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Updated: 1 day 9 hours ago

Vers une société automatisée : Les dix grandes tendances technologiques en 2019

Fri, 12/21/2018 - 00:00

L’Observatoire ConsumerLab d’Ericsson vient de publier la huitième édition de son rapport sur les 10 grandes tendances de consommation technologique pour l’année 2019. Cette liste se base sur des informations concernant l’évaluation des opinions et des attentes des consommateurs sur les technologies de demain, comme l’intelligence artificielle (IA), la réalité virtuelle, la 5G et l’automatisation.

«Beaucoup d’espoir et de peur occupent simultanément l’esprit des consommateurs, à mesure que les technologies du numérique se répandent dans la société. Les perspectives sont prometteuses et les opinions des usagers sur une société automatisée sont englobées dans ce rapport», peut-on lire dans le document. Le dernier rapport d’Ericsson révèle que les technologies autonomes et prédictives de l’humeur pourraient bientôt jouer un rôle plus important dans la vie quotidienne des usagers. Les conclusions du document reposent essentiellement sur une enquête en ligne réalisée en octobre 2018 auprès de 5 097 utilisateurs avancés d’internet basés à Johannesburg, Londres, Mexico, Moscou, New York, San Francisco, Sao Paulo, Shanghai, Sydney et Tokyo. Agés de 15 à 69 ans, les participants à cette enquête ont une utilisation moyenne élevée des nouvelles technologies numériques. Dans l’échantillon concerné, 47% utilisent des assistants virtuels tels que Siri d’Apple, Google Assistant et Alexa d’Amazon au moins une fois par semaine et 31% utilisent une réalité augmentée ou virtuelle (AR/VR) toutes les semaines. «Imaginez un smartphone animé d’une conscience, capable de décrypter non seulement ce que vous faites, mais aussi ce que vous êtes», a indiqué Michael Björn, directeur de la recherche à l’observatoire ConsumerLab d’Ericsson et auteur principal du rapport. «Aujourd’hui, l’intelligence artificielle est capable de cerner votre personnalité rien qu’en regardant dans vos yeux. Les premiers adoptants que nous avons interrogés imaginent même un futur où nos équipements auront de nous une connaissance meilleure que celle que nous aurons d’eux», a-t-il ajouté. Devrions-nous considérer ces technologies comme une menace ou une opportunité ? La réponse de Pernilla Jonsson, directrice au sein du Consumer & Industry Lab : «Nous sommes déjà entrés dans une ère où l’humain et des machines dotées d’intelligence interagissent dans presque chaque aspect de la vie quotidienne. Mais, nous n’en sommes encore qu’aux premiers balbutiements.» La première tendance révèle que bientôt, nos terminaux nous connaîtront mieux que nous les connaissons ! Plus de 60% des utilisateurs d’assistants virtuels pensent qu’il existera, d’ici trois ans, des équipements capables de décrypter nos humeurs. «Aujourd’hui, l’IA peut déjà comprendre votre personnalité simplement en vous regardant dans les yeux ou en entendant votre voix. La moitié de ceux qui utilisent aujourd’hui des assistants virtuels, par téléphone ou via des hauts-parleurs intelligents pensent que leurs smartphones comprendront bientôt leurs émotions. Et 42% pensent que les smartphones les comprendront bientôt mieux que leurs amis», lit-on dans le rapport. La deuxième tendance concerne les disputes «intelligentes».

Un «assistant virtuel» membre de la famille
L’étude relève que les assistants virtuels pourraient discuter avec leurs utilisateurs comme s’ils étaient des membres de leurs familles. «Ils sont 66% à imaginer, également d’ici trois ans, l’existence d’enceintes intelligentes capables de se lancer dans des disputes, comme le feraient les membres d’une famille», indiquent les rédacteurs du rapport.  La troisième tendance, ce sont les applications espionnes. En effet, 47% des consommateurs interrogés pensent que les applications collectent des renseignements sur eux, même en dehors des périodes d’utilisation. «De nombreuses applications populaires utilisent des caméras, microphones et informations de localisation pour collecter des données sur le comportement quotidien des consommateurs, même lorsque les applications ne sont pas utilisées», peut-on noter dans le rapport.  La tendance 4, c’est l’accord forcé : 51% des consommateurs se disent agacés par le fait qu’il leur est sans cesse imposé d’accepter l’utilisation de cookies collectant les données. «Avec un nombre croissant de sites Web souhaitant collecter nos informations, la navigation internet est devenue une véritable corvée. Bien que l’initiative de l’UE visant à protéger les données et l’intégrité des utilisateurs tienne compte des avantages des consommateurs, elle a déclenché une épidémie mondiale d’entreprises qui essaient de les amener à renoncer à leurs droits sur les données personnelles», souligne le rapport. La cinquième tendance, c’est l’internet des compétences. Le rapport indique que plus de 50% des utilisateurs de la réalité augmentée/virtuelle rêvent d’applications, lunettes ou gants qui les aideraient, virtuellement, à accomplir des tâches pratiques quotidiennes telles que la cuisine et les réparations. «Avec des instructions qui s’adaptent numériquement à toutes les tâches à accomplir et qui seront bientôt disponibles à la demande, nous assisterons probablement à la création de tout un réseau de compétences», estiment les rédacteurs du rapport. Quant aux cinq tendances restantes, elles concernent : «consommation sans aucune intervention» où près de la moitié des utilisateurs d’assistants virtuels souhaiteraient des factures ou des abonnements automatiques, ainsi que des articles ménagers capables d’auto-réapprovisionnement. Par ailleurs, «31% des consommateurs envisagent bientôt d’aller à des «cours de gymnastique mentale» pour s’exercer à la réflexion et lutter contre ce que le rapport appelle «l’obésité mentale». Dans le «moi écologique», le rapport explique que «39% des consommateurs sont demandeurs d’une montre capable de mesurer leur empreinte carbone», alors que 48% des utilisateurs de réalité augmentée/virtuelle veulent des avatars en ligne, une sorte de «jumeaux numériques», capables de les imiter à la perfection, de manière à pouvoir être à deux endroits à la fois. Enfin, près de 20% des utilisateurs des smartphones pensent que la 5G permettra d’améliorer la connectivité des objets, et sera le moteur de l’automatisation de la société.
F. F.

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Tamazight sur les smartphones et les tablettes

Thu, 12/20/2018 - 23:55

Écrire en tamazight sur vos smartphones et vos tablettes est désormais possible. En effet, une communauté de jeunes informaticiens et de développeurs basés au Québec a réussi à mettre en place des outils modernes pour la transcription des caractères de tamazight, y compris en caractère tifinagh, sur les téléphones mobiles et les tablettes. Il suffirait de télécharger et d’installer l’application KeyBer clavier amazigh pour accéder à ce nouveau service qui révolutionne l’écriture de la langue amazighe.

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Impact de la loi de finances sur l’entreprise : La Caci se charge de l’information des opérateurs

Thu, 12/20/2018 - 23:54

 La Caci (Chambre algérienne de commerce et d’industrie) organise, lundi 7 janvier 2019 à l’hôtel El-Aurassi (Alger), une journée d’information sur “La loi de finances pour 2019 et son impact sur l’entreprise”. Cette journée, dont l’objectif vise à informer les opérateurs économiques sur les principales mesures et nouvelles dispositions introduites par la loi de finances pour 2019, sera animée par de hauts responsables des administrations centrales des impôts et des douanes.

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Cité administrative de Tizi Ouzou : 6 millions de dinars en lampes LED

Thu, 12/20/2018 - 23:52

Parmi les articles soumis au vote et adoptés par les élus APW, dans le cadre du vote du budget primitif de la wilaya de Tizi Ouzou au titre de l’année 2019, figure, au chapitre 950 du budget d’équipement, la fourniture et pose de lampes LED à la cité administrative pour une enveloppe de 6 millions de dinars.
La somme aurait pu paraître insignifiante si seulement il n’y avait pas d’autres priorités nécessitant une prise en charge urgente. C’est le cas, entre autres, du tronçon routier de la RN12 dont l’éclairage n’est toujours pas fonctionnel de Bordj Menaiel jusqu’à Azazga. Une absence d’éclairage qui fait de cette route à grande circulation un véritable enfer pour les usagers.

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[Vidéo] Ouyahia : le produit algérien rivalise avec le produit marocain sur le marché

Thu, 12/20/2018 - 23:33

La 27ème édition de la Foire de la production algérienne a été inaugurée jeudi au Palais des expositions (Pins maritimes, Alger) par le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, en présence notamment de membres du gouvernement.

Le premier ministre a recommandé aux producteurs algériens de se lancer vers l’avant en précisant « Notre produit peut concurrencer le produit marocain », a-t-il insisté.

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Un prix des meilleures devantures et enseignes commerciales

Thu, 12/20/2018 - 23:23

Dans le but d’insuffler une nouvelle dynamique de rénovation des vitrines et devantures commerciales et, du coup, renforcer l’image et la notoriété de la wilaya, le wali de Tamanrasset, Doumi Djilali, a pris l’initiative d’accompagner les meilleurs projets autour d’une véritable identité commerciale. Pas moins de 13 commerçants, désignés par le cabinet de la wilaya suivant la qualité et les finitions des façades de leurs magasins, ont été honorés par le chef de l’exécutif qui œuvre à l’instauration d’un prix spécial en vue de motiver les commerçants de l’Ahaggar à une modification structurelle des enseignes et devantures de leurs échoppes dégradées et préjudiciables à la dynamique d’attractivité. L’initiative, louable à plus d’un titre, vise également à préserver l’identité architecturale de cette région

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Dossier d’établissement de la carte grise : La commune de Mohammadia exige la carte de vote

Thu, 12/20/2018 - 23:20

Au moment où le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Bedoui, prône la décentralisation et la modernisation des administrations locales pour juguler la bureaucratie et faciliter la vie, voilà que la commune de Mohammadia (Dar El-Beïda), à Alger, exige encore la carte de vote aux citoyens pour se faire délivrer une carte grise. En effet, hier, le préposé au guichet de ladite daïra a catégoriquement signifié un niet à un citoyen, cadre de son état, qui voulait déposer un dossier pour l’établissement de ce document. L’infortuné citoyen a pourtant présenté la résidence établie par les mêmes services qui ne fait pas office de document officiel pour délivrer une carte grise.

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Colloque national en hommage à Matoub Lounès les 23 et 24 janvier 2019

Thu, 12/20/2018 - 23:00

 L’université Mouloud-Mammeri de Tizi Ouzou vient de lancer un appel à communication en prévision d’un colloque national qui sera organisé en hommage au regretté artiste Matoub Lounès les 23 et 24 janvier 2019. Pour les organisateurs, “l’œuvre poétique et musicale de Matoub Lounès a fait l’objet de quelques études de son vivant. Mais après son assassinat, il y a 20 ans, cela a connu un tel engouement qu’il ne se passe pas une année sans que la parution d’une publication, une soutenance d’un mémoire, un colloque touchant à la vie et/ou à l’œuvre de Matoub Lounès ne soient annoncés”. Le thème choisi pour ce colloque est “L’œuvre de Matoub Lounès revisitée”.

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Un club de businessmen algéro-danois créé en février

Thu, 12/20/2018 - 23:00

Un club de businessmen algéro-danois sera créé en février 2019. C’est ce que nous a déclaré l’ambassadrice du Danemark à Alger, Madame Julie Elisabeth Pruzan-Jørgensen, en marge de la cérémonie de signature du mémorandum de partenariat algéro-danois, signé mardi soir au siège de l’Institut Pasteur du Hamma. Ce club qui sera parrainé, ajoutera-t-elle, par le ministre du Commerce, Saïd Djellab, consolidera les relations entre les deux pays. “Ce club va renforcer la présence des sociétés danoises en Algérie qui viendront investir dans divers domaines économiques”, a expliqué l’ambassadrice du Danemark à Alger.

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Recherche scientifique: ouverture de 81 nouveaux laboratoires de recherche

Thu, 12/20/2018 - 22:56

ALGER – Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Tahar Hadjar a annoncé ,jeudi à Alger, l’ouverture de « 81 nouveaux laboratoires de recherche et la dissolution de 72 autres en raison de dysfonctionnements et de lacunes ayant marqué leurs travaux et résultats ».

« La décision d’ouverture de ces laboratoires et la fermeture d’autres a été prise suite à une opération d’évaluation globale des laboratoires de recherches durant trois (03) ans », a fait savoir le ministre à l’ouverture de la conférence nationale des université, coïncidée avec la tenue des travaux du Conseil national pour l’évaluation de la recherche scientifique et le développement technologique.

« Cette opération d’évaluation a permis de relever plusieurs lacunes et dysfonctionnements et a abouti à la dissolution de 72 laboratoires de recherche universitaire ne répondant pas aux normes adoptées en la matière », a fait savoir le ministre.

L’évaluation s’inscrit, a-t-il précisé, dans le cadre « des travaux préparatifs visant l’application des programmes de recherche conformément à la loi d’orientation sur la recherche scientifique et le développement technologique dont les dispositions ne permettent pas l’existence d’instances non productives ».

M. Hadjar a annoncé, en parallèle, « l’ouverture de 81 nouveaux laboratoires de recherche devant contribuer à la promotion de la recherche scientifique et à l’amélioration de son rendement », exhortant, à cet égard, les recteurs à « déployer davantage d’efforts pour intégrer les offres de formation doctorale dans les axes de la recherche adoptés par les laboratoires universitaires tout en veillant à l’implication réelle des enseignants chercheurs et des doctorants dans les travaux de ces laboratoires ».

Par ailleurs, le premier responsable du secteur a appelé les recteurs à « aplanir les difficultés entravant les doctorants ayant rempli toutes les conditions fixées par la réglementation en vigueur, de soutenir leurs thèses ».

M. Hadjar a souligné, dans ce sens, la nécessité « d’accorder d’avantage d’intérêt aux travaux d’évaluation périodique des activités de recherche et leurs résultats afin de renforcer la vulgarisation scientifique, ainsi que les activités en relation avec la rationalisation des ressources financières ».

Outre l’évaluation du bilan quantitatif et qualitatif de la rentrée universitaire 2018-2019 à tous les niveaux pédagogique, matériel, structurel et des services, la conférence nationale des universités assure le suivi de la dynamique entamée par la tutelle pour hisser le rendement de l’université en matière de formation, de recherche et de gouvernance au niveau des références de mesure qui marquent les systèmes de l’enseignements supérieur au niveau régional et international.

Concernant le sit-in organisé dernièrement par le Syndicat national des chercheurs permanents, (SNCP), M.Hadjar a affirmé qu’une délégation de ce syndicat a été reçue par la tutelle, rappelant que « les portes du dialogue sont toujours ouvertes

De son coté, le président de la Fondation nationale pour la promotion de la santé et du développement de la recherche scientifique (FOREM), Mustapha Khiati, a relevé l’impératif accélération du lancement des travaux d’une agence pour la qualité afin de lutter contre le phénomène de plagiat, l’installation de commissions d’éthique au niveau des facultés et des universités et la création d’une base de données pour l’ensemble des travaux de recherche au niveau des universités.

Il a demandé, par ailleurs, la mise en place d’un doctorat professionnel pour renforcer la relation entre les entreprises économiques et les établissements de l’enseignement supérieur.

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Recherche scientifique: ouverture de 81 nouveaux laboratoires de recherche

Thu, 12/20/2018 - 22:56

ALGER – Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Mokhtar Hasbellaoui a annoncé, jeudi à Alger, que son département ministériel avait intégré, au titre de la nouvelle loi sur la santé, les cabinets médicaux et les cliniques privées au sein du réseau national de soins.

Répondant aux préoccupations d’un membre du Conseil de la nation sur les activités des cabinets médicaux et cliniques privées, lors d’une plénière consacrée aux questions orales, le ministre a indiqué que « dans le cadre de la nouvelle loi sur la santé, le ministère procède à l’intégration des cabinets et cliniques au sein du réseau national de soins », d’autant que l’actuelle stratégie tracée « repose sur le dossier électronique du malade (DEM) pour un système sanitaire intégré et cohérent ».

« Le ministère procède actuellement à une inspection et une évaluation globales au niveau national, en vue de mettre à jour le fichier national de ces cabinets et cliniques privées, dans le but d’amener leurs propriétaires ayant ont été titulaires d’agrément avant la promulgation de la nouvelle loi sur la santé, à respecter les nouvelles dispositions énoncées dans le cahier des charges ».

Concernant les opérations d’inspection menées par les services compétents en 2017, le premier responsable du secteur a fait état de « 5676 inspections au niveau des officines de pharmacie, 148 au niveau des unités d’hémodialyse, 77 opérations au niveau des laboratoires d’analyse médicale, 1276 inspections au niveau des cabinets publics, 2779 opérations au niveau des cliniques privées et 74 inspections au niveau des cliniques de chirurgie dentaire ».

Suite aux opérations d’inspection, 35 décisions de fermeture définitive ou provisoire de ces cabinets, cliniques, laboratoires et pharmacies ont été prises et 227 avertissements, 141 mises en demeure et 13 blâmes ont été adressés, a fait savoir le responsable, soulignant que le ministère enquête, en collaboration avec les conseils de déontologie de la profession, sur les dépassements pouvant empêcher le patient de bénéficier des prestations médicales nécessaires.

Concernant l’octroi d’agréments aux cabinets et cliniques, M. Hasbellaoui a indiqué que cette opération etait soumise à des conditions, fixées dans la nouvelle loi sur la santé pour garantir le bien-être et la sécurité du citoyen et que ces agréments ne sont accordés qu’après un constat sur le terrain effectué par les services du ministère pour s’assurer que les conditions nécessaires sont remplies, notamment l’aération et l’hygiène ».

Ces cliniques sont soumises à l’inspection et à l’évaluation, après la pratique de l’activité, de façon permanente ou inopinée, par les médecins des directions de la santé réparties à travers le territoire national, pour s’assurer de leur conformité, a-t-il ajouté.

A une question d’un autre député sur la non programmation de l’hôpital public de 242 lits dans la wilaya d’Oum El Bouaghi, le ministre, qui a précisé que ce projet sera programmé après parachèvement des travaux des projets en cours, a fait savoir qu’une enveloppe financière supplémentaire a été dégagée pour l’équipement et l’aménagement de certains services, à l’instar des urgences médicales, rappelant les différentes réalisations en matière de santé dont a bénéficié cette wilaya.

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Protection civile: exploiter les réseaux sociaux dans la prévention contre les risques

Thu, 12/20/2018 - 22:51

SAIDA – Des cadres de la protection civile ont plaidé, jeudi à Saida, pour l’exploitation des réseaux sociaux dans la prévention contre les risques et dangers.

Les intervenants ont insisté, au terme de la 3e session de formation sur les techniques de communication au profit des officiers de la protection civile chargés de l’information des wilayas de l’Ouest du pays, organisée deux jours durant par la Direction générale de la protection civile, sur la sensibilisation des jeunes à travers les réseaux sociaux.

Le chargé d’information au niveau de la Direction générale de la protection civile, le capitaine Nassim Bernaoui a souligné, dans son intervention abordant l’élaboration et la diffusion de bulletins de sensibilisation, que les officiers chargés de l’information ont intérêt à exploiter les réseaux qui sont très suivis par les jeunes pour informer, sensibiliser et prévenir contre les risques menaçant leur sécurité.

Le sous-directeur des statistiques et informations à la Direction générale de la protection civile, le colonel Farouk Achour a insisté, en abordant la vision collective de l’information, sur la maitrise par les officiers chargés de l’information des nouvelles technologies de communications, pour mieux faire passer les messages à large échelle, signalant que les cellules d’information des directions de la protection civile du pays seront renforcées en début d’année prochaine en moyens humains et matériels pour développer la sensibilisation.

Cette rencontre de formation a vu la participation de 17 officiers chargés de l’information des wilayas de l’ouest du pays.

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Incident dramatique à El-Biar : Un homme meurt suite à la chute d’une barre de fer d’un immeuble en construction

Thu, 12/20/2018 - 20:53

Un dramatique incident est arrivé ce matin en plein centre d’El Biar (Alger), où un homme âgé de la quarantaine a été tué suite à la chute d’une barre de fer, qui soutenait une dalle d’un immeuble en construction. La protection civile et la police sont très vite arrivé sur les lieux. Malheureusement l’homme est mort sur le coup. Les éléments de la sûreté nationale ont ouvert une enquête pour déterminer les causes exactes de cet accident.

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Investissement industriel : la stratégie adoptée a dynamisé le secteur

Thu, 12/20/2018 - 20:07

BOUMERDES – Le ministre de l’Industrie et des mines, Youcef Yousfi a affirmé, jeudi à Boumerdes, que la stratégie (procédures organisationnelles et incitatives) adoptée en matière d’investissement industriel a insufflé « une véritable dynamique » au secteur, ces dernières années.

« Cette dynamique est reflétée par d’innombrables investissements et réalisations structurelles ayant commencé à apporter leurs fruits depuis le début de cette année 2018 », a soutenu le ministre dans son allocution à l’ouverture d’une rencontre nationale annuelle des directeurs des wilayas de l’industrie et des mines, au niveau de l’institut national de la productivité et de développement industriel(INPED ) de la wilaya.

Il a particulièrement cité le créneau des matériaux de construction, dont lequel l’Algérie s’est transformé d’un pays importateur (avec un pic de 500 millions de dollars d’importations en 2014) en un pays exportateur par excellence, a-t-il souligné.

Assurant, en outre, que le pays a consacré « une autosuffisance » dans plusieurs matériaux de construction, dont le plâtre, le ciment blanc, et la céramique, qui « vont tous être destinés à l’exportation prochainement », a-t-il fait savoir.

L’industrie du tissu et du cuir est également appelée à connaitre un essor grâce au complexe de Relizane, a- t-il estimé.

Le secteur national de la sidérurgie est, aussi, « sur la bonne voie », selon le ministre, qui a évoqué les importants investissements réalisés dans ce domaine, ces dernières années, dont le complexe sidérurgique de Bellara (Jijel) et le complexe de production de l’aciérie ½ Tosyali » d’Oran, qui ont contribué au relèvement de la production nationale en la matière, et partant à la réduction des importations, avec en prime l’enregistrement de la première exportation dans le domaine dernièrement, s’est ûil félicité.

Le ministre n’a pas manqué, en outre, de citer la réalisation en cours d’un pole industriel à Tebessa, dédié à la transformation du phosphate notamment, dans le cadre d’un partenariat avec la Chine, qui, ajouté à une dizaine d’autres investissements, attendus à la réception à l’horizon 2022, « seront d’une contribution certaine dans la couverture du marché national, avec une option pour l’exportation, tout en aidant à l’amélioration de l’attractivité du marché algérien », a-t-il observé.

Néanmoins, M.Youcef Yousfi a relevé « l’insuffisance de ces investissements au regard des enjeux futurs de l’économie algérienne, et des évolutions de l’industrie mondiale, concernant notamment la révolution numérique et ses exigences », a t-il dit.

Il a aussi plaidé pour une mobilisation des efforts en vue de consacrer la diversification économique, parallèlement au renforcement du tissu industriel national par l’encouragement d’un entrepreneuriat garant de la création de la richesse et de l’emploi.

Un objectif dont les conditions principales sont « l’ amélioration du climat des affaires et la facilitations des procédures administratives, en vue de relever l’attractivité de l’investissement en Algérie », a-t-il conclu.

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Gaïd Salah supervise l’exercice d’essai démonstratif des drones de reconnaissance Hassi Bahbah

Thu, 12/20/2018 - 19:59

Le général de corps d’Armée, vice-ministre de la Défense nationale, chef d’Etat-Major de l’Armée nationale populaire (ANP), Ahmed Gaïd Salah, en visite de travail et d’inspection, jeudi, en 1ére Région militaire (RM), a qualifié d' »encourageants » les résultats préliminaires de l’exercice d’essai démonstratif des drones de reconnaissance, dont il a supervisé l’exécution, a indiqué un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN).

« …Je considère les résultats préliminaires de cet exercice encourageants et en phase avec nos ambitions. De même, il doit être considéré comme une motivation pour la quête de plus de compétences et pour l’apprentissage de techniques nouvelles et l’emploi des expériences acquises, dont le fruit fera germer un nouveau départ pour le meilleur », a déclaré le général de corps d’Armée depuis la Base aérienne d’Aïn-Ouessara, à l’issue de l’exercice qui s’est déroulé au Polygone central de l’Air à Hassi Bahbah.

Dans une allocution suivie, via visioconférence, par l’ensemble des unités de la Région et prononcée devant les cadres et personnels, il a ajouté que qu' »il est du devoir de tous d’être conscients de l’ampleur des efforts que nous avons fournis ces dernières années, afin que les Forces aériennes parachèvent toutes ces étapes faisant d’elles une composante intrinsèque, puissante et développée de l’ANP, dont nous considérons l’enjeu de son développement, de sa modernisation et de son aboutissement aux finalités tracées, comme étant le défi que nous avons relevé, afin de parfaire son parcours réussi et de remporter ses objectifs escomptés », précise la même source.

« Aussi, la concrétisation de cet exercice des systèmes de drones, deuxième de son genre après celui exécuté fin octobre dernier, réitère l’importance majeure que confère le Haut Commandement de l’ANP à l’accompagnement efficient des grandes évolutions technologiques que connaît le domaine militaire, notamment en matière des drones qui constituent désormais l’un des outils de la technologie de pointe s’avérant efficace sur le terrain et dans les différentes actions, surtout le contrôle aérien permanent et la transmission en temps réel des données de reconnaissance », a-t-il poursuivi.

« D’autre part, cet exercice est considéré comme étant un véritable test sur le terrain du niveau de cohésion opérationnelle et d’interopérabilité entre les drones et les autres moyens qui accomplissent leurs missions en fonction des données exactes de reconnaissance qui leur sont parvenues », a encore noté Gaïd Salah, avant de considérer que « celui qui retracerait le parcours de développement de l’ANP, verra clairement tous les efforts fructueux et soutenus consentis en permanence, afin de faire aboutir nos Forces armées à ses objectifs de développement tracés ».

« Nous œuvrons en permanence, avec la Volonté d’Allah Le Tout-Puissant, et grâce au soutien indéfectible et immuable du Président de la République, Chef suprême des Forces armées, ministre de la Défense nationale, afin d’accomplir davantage de réalisations, dans ce domaine comme dans d’autres, qui cadrent parfaitement avec nos ambitions au sein de l’ANP, digne héritière de l’Armée de Libération nationale, et qui visent essentiellement l’édification d’une Armée forte, moderne et développée, dont la pierre angulaire est la ressource humaine qualifiée, spécialisée et apte à assimiler les nouvelles techniques et les technologies de pointe, à la hauteur des défis accélérés à relever. Ce sont, donc, de grandes missions dont l’ANP est autant fière, qu’elle veille à leur parfait accomplissement », a encore discouru le vice-ministre de la Défense nationale.

« Ces nobles objectifs dont vous œuvrez à la réalisation sur le terrain, requièrent effectivement autant de persévérance pour les atteindre, et je salue l’ensemble du personnel pour leur participation efficiente pour faire aboutir cet exercice aérien, chacun dans son poste de responsabilité et dans la limite de ses compétences », a conclu Gaïd Salah, avant de « présenter ses vifs remerciements à tous les participants, toutes catégories confondues, qui ont fait montre, à travers cet exercice, du bon emploi de leurs aptitudes et leurs expériences en termes de maitrise des systèmes et des équipements modernes, entre autres les drones, et qui ont également contribué à confirmer clairement le haut niveau opérationnel atteint par nos Forces aériennes ».

L’intervention du général de corps d’Armée a été suivie par celles des personnels et cadres ayant réitéré « leur capacité à maitriser les nouvelles technologies de pointe, afin de protéger leur pays contre tout éventuel danger ».

Accueilli en compagnie du général-major Abdelhamid Ghriss, Secrétaire général du MDN et du Général-major, Hamid Boumaïza, Commandant des Forces aériennes, le général de corps d’Armée a écouté des exposés détaillés sur le déroulement de l’exercice et ses différentes étapes puis suivi les phases de son exécution, en commençant par une opération de reconnaissance aérienne et en aboutissant à l’exécution de tirs, a précisé le MDN.

Il est à souligner que ces drones construits localement par des ingénieurs, des techniciens et de cadres de l’ANP, portent respectivement les noms : Algérie 54 et Algérie 55, et ce, en référence à ces deux événements historiques phares de la Glorieuse Révolution de Libération, souligne la même source, notant, enfin, que « l’exécution de cet exercice démonstratif a pour objectif de tester les capacités opérationnelles de ces drones en matière de reconnaissance aérienne ».

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Présomptions de corruption : Airbus dans le collimateur de la justice américaine

Thu, 12/20/2018 - 19:45

PARIS – Le fleuron européen de l’aéronautique Airbus se trouve dans le collimateur de la justice américaine qui a ouvert une enquête pour corruption au sein du groupe, a révélé jeudi le quotidien du soir Le Monde.

Selon les informations du journal, le groupe européen aurait utilisé, sans les mentionner, des « intermédiaires » dans plusieurs contrats à l’étranger, notamment en Asie, alors qu’il est déjà soupçonné pour corruption en France et au Royaume-Uni.

D’autres investigations sont en cours en Inde, un pays où Airbus a signé d’importants contrats ces dernières années, a-t-on ajouté de même source, estimant que le constructeur encourt une amende « record » de plusieurs milliards de dollars et la condamnation à titre individuel de certains cadres.

Sentant le feu à la maison, le conseil d’administration du groupe aéronautique avait engagé, en décembre 2017, un grand renouvellement de l’équipe dirigeante, rappelle-t-on.

Selon Le Monde, le parquet américain (Department of Justice) enquête depuis fin 2017 mais n’a prévenu Airbus, qui a tout fait pour éviter cette procédure, que cet été?.

Il faut rappeler que le Department of Justice, qui peut enquêter aux Etats-Unis comme à l’étranger, a déjà poursuivi les entreprises françaises Total, Technip, Alcatel, Société générale et Alstom, qui ont été condamnées à des amendes de centaines de millions d’euros.

Selon les craintes d’un proche du dossier, cité par le journal, la catastrophe pour le consortium européen se traduirait par la condamnation pénale d’Airbus en tant que personne morale.

Dans ce cas, il sera exclu des marchés publics internationaux pour une période de cinq ans. Un scénario où son concurrent éternel Boeing « se frotterait les mains », tout comme le chinois Comac, qui ambitionne de percer sur le marché aéronautique mondial.

Il est reproché à Airbus des consultants rémunérés dans les campagnes de ventes d’avions, notamment en Chine et en Turquie, considérables comme de pratiques « litigieuses » s’apparentant à de la corruption.

Par ailleurs, Le Monde révèle que la justice locale enquête, pour sa part, sur le soutien financier apporté par le groupe européen à une ONG fondée par un intermédiaire bien connu dans l’aéronautique.

Selon le rapport d’enquête finalisé fin 2017 et auquel Le Monde a eu accès, Airbus SAS a signé à Paris, le 10 mai 2012, un accord avec Advantage India pour le versement de 9 millions d’euros déboursés en tranches annuelles de 3 millions d’euros.

« Au final, l’ONG a reçu entre 2012 et 2015, 12,8 mil- lions d’euros des deux entreprises contre les 15 millions d’euros initialement prévus », a ajouté le journal.

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Le ministre de l’intérieur n’évoque toujours pas le rendez-vous électoral, Bedoui : le silence qui confirme l’impasse

Thu, 12/20/2018 - 16:15

Même la Haute instance indépendante de surveillance des élections (Hiise), présidée par Abdelwahab Derbal, a “disparu” des écrans radars depuis quelques semaines.

Il y a encore quelques mois, on lui prêtait un destin de joker de la République, au regard de son activisme débordant, ses visites à un rythme soutenu à travers nombre de wilayas du pays et les projets, dont certains d’envergure, comme le mégaprojet énergétique lancé au printemps dernier à Timimoun, en présence du ministre de l’Énergie et de celui des Travaux publics. Noureddine Bedoui, le ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, qui d’ordinaire s’employait plusieurs mois à l’avance pour sensibiliser l’opinion sur l’échéance électorale, en alternant sorties sur le terrain et efforts de communication, se complaît, depuis quelques semaines, dans un mutisme assourdissant concernant la prochaine élection présidentielle.
Aucun mot, pour l’heure, sur les préparatifs, autant politique que logistique. Et aucune campagne publicitaire, comme cela se faisait il y a encore quelques mois, dans l’optique de susciter quelque engouement des électeurs, surtout que les élections, ces dernières années, ont été marquées par une désaffection sans commune mesure. Tout se passe comme si une espèce d’omerta, conjuguée à l’opacité, devait entourer ce rendez-vous qui focalise observateurs et chancelleries. Pourtant, ce ne sont pas les occasions qui manquent pour le ministre, auquel échoit le rôle premier d’évoquer tout ce qui a trait à l’organisation, aux préparatifs et aux moyens, autant matériels qu’humains, mobilisés pour l’échéance, pour s’exprimer sur la question.

Dimanche dernier, il avait présidé la rencontre nationale sur la qualité du service public organisé par l’Observatoire national de service public (ONSP) en présence du ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale et de la présidente du Conseil national des droits de l’Homme (CNDH), Fafa Benzerrouki. Noureddine Bedoui a parlé de tout, de la numérisation, des documents biométriques, de la formation des élus, de la décentralisation, mais point des élections. Ce fut le cas également lors de la rencontre avec les walis, fin novembre, où il a été plutôt question de la décentralisation, de l’attractivité des territoires, des défis de l’entrepreneuriat et de l’écosystème numérique. Même lors de certaines rencontres avec des dirigeants étrangers, il ne concède pas à s’exprimer devant les médias sur le sujet.
Ce silence, à moins de quatre mois de l’échéance électorale, ne dissimule pas moins quelque cafouillage et l’absence de cap chez un Exécutif visiblement prisonnier du rapport de force dans le sérail. Bedoui a-t-il été instruit pour ne pas se hasarder à s’exprimer sur une échéance qui s’annonce comme un serpent de mer ? Il faut dire que même la Haute instance indépendante de surveillance des élections (Hiise), présidée par Abdelwahab Derbal, a “disparu” des écrans radars depuis quelques semaines, soit dès le lendemain de la fin des rencontres de formation organisées à l’intention des structures locales de l’Instance. Incommodé par les critiques formulées par la mission de l’observation de l’UE lors des législatives de mai 2017, Abdelwahab Derbal n’a jamais donné suite aux recommandations sur lesquelles, objectivement, il devait communiquer à la veille d’une échéance aussi importante que la présidentielle.

“L’amélioration du processus électoral dans notre pays est une mission nationale noble et stratégique, car il s’agit de la sécurité et de la stabilité qui sont la clé du développement durable”, disait-il seulement en septembre dernier. Sous le feu des critiques de l’opposition également, l’ancien cadre d’Ennahda avait même tenté, en août dernier, de rassurer en perspective de la… présidentielle. La Hiise s’est dit, en effet, disposée à écouter les préoccupations des formations politiques, en vue de peaufiner son travail et d’adopter “une plateforme commune pour la surveillance des élections et parvenir à des élections rassurantes en termes de probité et transparence, étant un engagement constitutionnel de l’instance et une exigence politique authentique”. Depuis, mystère et boule de gomme !

S’il ne faut probablement pas être grand clerc pour deviner quelque malaise au sommet, il demeure évident que le mutisme dans lequel sont plongés les acteurs chargés de la préparation et de la surveillance de la prochaine échéance, au-delà de l’incertitude qui entoure l’organisation du scrutin, maintenant que des initiatives en faveur du report se multiplient et que l’intention présidentielle est élevée au rang de secret d’État, traduit de façon éclatante l’impasse politique dans lequel semble s’être englué le régime.

Karim Kebir

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Une réunion les aurait regroupés hier à la résidence de Zéralda: Mystérieux conclave des alliés

Thu, 12/20/2018 - 16:05

La réunion aurait également associé deux ministres et un conseiller du président Bouteflika, selon une source proche d’un parti de l’Alliance.

Une réunion des quatre chefs des partis de l’Alliance présidentielle aurait eu lieu, hier, à la résidence d’État de Zéralda. Une réunion qui aurait également associé deux ministres et un conseiller du président Bouteflika, selon une source proche d’un parti de l’Alliance. La  même source, qui a tenu à son anonymat, a soutenu que la question du report de l’élection présidentielle à laquelle Abderrezak Makri, président du MSP, appelle de tous ses vœux, n’a pas été au menu de la rencontre. Selon cette source, elle n’a du tout pas été évoquée. L’option serait-elle définitivement écartée ? Les indiscrétions qui ont fuité de la réunion confidentielle des chefs des partis de l’Alliance présidentielle le laissent supposer. La qualité des personnes présentes le suggère également.

Outre la présence de Moad Bouchareb, coordinateur du FLN, Ahmed Ouyahia, SG du RND, Amara Benyounès, président du MPA et Amar Ghoul, président de TAJ, des représentants de la présidence de la République, Tayeb Louh, ministre de la Justice, garde des Sceaux, Noureddine Bedoui, ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, et Tayeb Belaïz, conseiller du Président, auraient pris part à la rencontre. Un staff beaucoup plus impliqué dans les processus électoraux que dans la prise de décision politique, celle relative au report en est évidemment une. Notre source a souligné également que les discussions ont tourné autour “des scénarios possibles pour la tenue du scrutin présidentiel dans les délais de rigueur”. À comprendre que “la continuité”, sur laquelle les soutiens d’Abdelaziz Bouteflika fondent leur discours depuis que l’option du 5e mandat s’éloigne, n’était pas un vain mot pour les partis du pouvoir.

Il y a lieu de souligner que si l’option d’une autre mandature pour le chef de l’État était retenue, la campagne aurait démarré en faveur de cette décision et l’un de ses fervents défenseurs, à savoir Djamel Ould Abbes, n’aurait pas quitté l’ex-parti unique, laissant la place à un Moad Bouchareb qui n’a, jusque-là, évoqué dans aucun de ses discours, le 5e mandat, mais il a plaidé exclusivement pour la continuité. À comprendre également de ces affirmations de notre source que l’idée du report de l’élection présidentielle serait décidément écartée des scénarios possibles adoptés par les décideurs. “Les présents à la réunion ont opté pour l’étude de toutes les propositions qui conformeraient leur engagement pour la continuité”, a répondu notre source, estimant que l’idée du report de la présidentielle “n’a pas eu l’assentiment des présents, du fait qu’elle vient en porte-à-faux des affirmations des pouvoirs publics de leur respect du calendrier électoral”.

Concernant la présence des deux ministres, celui de la Justice et son homologue de l’Intérieur, ainsi que Tayeb Belaïz, notre source a souligné que “c’est justement leur présence qui confirme, si besoin est, le maintien du scrutin dans les délais”, indiquant qu’“une cellule de suivi” du travail autour de l’option qui sera retenue définitivement est installée. La composante et les missions de cette cellule, selon notre source, seront rendues publiques très prochainement. Sur un autre volet et concernant l’initiative lancée par le président de TAJ, Amar Ghoul, notre source a confié que “l’option n’a pas été rejetée”, mais “des orientations ont été données au chef de TAJ de ne pas diluer sa proposition dans des approximations qui ne vont pas servir les directives des hautes autorités du pays”. Autrement dit, le chef de TAJ est appelé à ne défendre que les orientations données sans tenter une quelconque digression.

Confusion autour d’une rencontre
Contrairement à cette source qui affirme que la rencontre a bel et bien eu lieu, une autre, tout aussi proche de l’Alliance et qui également parle à visage découvert, jure que la réunion n’a pas eu lieu. Il s’agit de Seddik Chihab, porte-parole du RND, qui a tenu à démentir la tenue de ladite rencontre. “Il n’y a pas eu et il n’y aura pas de réunion des partis de l’Alliance aujourd’hui (hier, ndlr)”, a-t-il déclaré à Liberté, soulignant, par ailleurs, qu’il tenait même, sur ordre d’Ahmed Ouyahia, SG du RND, à démentir “catégoriquement” l’information relative à la tenue du conclave entre les chefs des partis de la majorité présidentielle. De leur côté, les alliés du RND au sein de l’Alliance ont confirmé la tenue de la réunion.
Cette confusion au sein du conglomérat des soutiens du chef de l’État n’était surtout pas pour apporter le moindre éclairage sur la situation déjà confuse qui entoure le scrutin présidentiel prévu au printemps 2019. Pourquoi ce cafouillage autour de la réunion ? Pourquoi voudrait-on garder secrète une rencontre entre ces responsables ? Difficile d’apporter une quelconque réponse à ces interrogations, surtout que la seule directive donnée aux participants, et dont on est sûr, est de ne rien divulguer, ni sur la tenue de la rencontre et encore moins sur ses conclusions.
Il faut rappeler, à ce propos, que l’instance exécutive de l’Alliance présidentielle a annoncé à l’issue de sa récente rencontre au siège du RND que la réunion des états-majors des partis de la majorité aura lieu au siège de TAJ. Cette même rencontre sera, quelques jours après, reportée à une date ultérieure. Le flou qui entoure le scrutin présidentiel et la volonté des partis de l’Alliance de tenir secrètes leurs rencontres confirment, au moins, l’impasse dans laquelle le régime se trouve à moins d’un mois de la convocation du corps électoral. Abdelaziz Bouteflika sera-t-il le candidat de “la continuité” ou y aurait-il un autre candidat du consensus ? Difficile d’y répondre. Ce qui est sûr en revanche, c’est que cette multiplication de sources contradictoires n’aide pas l’opinion à y voir plus clair.
Le brouillard que l’on supposait près de se dissiper risque de prendre de l’épaisseur encore pour un temps. Mais les décantations devraient forcément intervenir avant la convocation du corps électoral. Soit au plus tard la mi-janvier 2019.

Mohamed Mouloudj

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Un organisme onusien accrédite la thèse: Disparitions forcées de harragas algériens en Tunisie

Thu, 12/20/2018 - 16:01

Le groupe de travail des disparitions forcées ou involontaires de l’ONU a jugé recevables 10 plaintes de familles de harragas. En juillet dernier, l’instance a qualifié la réponse de la Tunisie, où seraient détenus illégalement nos ressortissants, “insuffisante pour déterminer le sort de ces personnes”.

La thèse paraît, de prime abord, surréaliste. Pourtant, au fil des années, il devient de plus en plus probant que des dizaines de harragas algériens, qui ont échoué par erreur sur les côtes tunisiennes, sont détenus illégalement dans des prisons du pays voisin, certains depuis 2007. Environ 400 familles, conglomérées dans un collectif basé à Annaba, n’ont eu de cesse de réunir des preuves. À bout de souffle devant l’intransigeance des autorités algériennes et tunisiennes à ne pas prendre en charge les cas des disparitions énigmatiques d’équipages entiers, le collectif a déposé dix plaintes individuelles, en 2016, auprès du groupe de travail sur les disparitions forcées ou involontaires des Nations unies (GTDFI).

En juin 2017, l’instance onusienne juge les plaintes recevables dans le fond et dans la forme, et demande des explications, sur ces cas, auprès de Frontex (Agence européenne des garde-côtes et garde-frontières), de l’État tunisien et évidemment l’Algérie. Le 31 octobre de la même année, Frontex envoie une correspondance pour spécifier qu’elle “n’a pas le mandat de recueillir des informations sur des disparitions forcées ou involontaires (…) et qu’elle ne peut pas mener d’enquêtes et est régie par un cadre juridique très strict en matière de traitement des données à caractère personnel”. À la même période, les parents des migrants concernés ont été auditionnés par la Gendarmerie nationale. “Hormis cette réaction, il n’y a pas eu le moindre d’écho sur le sujet.” Les autorités tunisiennes n’ont pas fait écho, dans un premier temps, à la demande du GTDFI.

Sur insistance du groupe onusien, le gouvernement tunisien a fourni, en mars 2018, un historique exhaustif des procédures engagées par les autorités compétentes, concluant que les ressortissants algériens signalés ne se sont jamais introduits en Tunisie et ne sont, par conséquent, détenus dans aucune de ses prisons. Il a été précisé, dans cette réponse, que les accusations des familles et du collectif d’avocats ne sont pas fondées. Le comité onusien a considéré que “les informations apportées par le gouvernement n’étaient pas  suffisantes pour déterminer le sort de ces personnes. Les cas resteraient sous la considération du groupe de travail”. Il accrédite sans équivoque la thèse de l’“enlèvement forcé” en mer. Il est vrai que des faits troublants sont corrélés à la disparition de plusieurs embarcations, dont celle des dix Algériens pris en charge par le GTDFI. Le 17 avril 2007, un groupe de dix “harraga” a pris la mer à bord d’une embarcation artisanale, partant de la plage Sidi Salem (wilaya de Annaba) à destination de la Sardaigne (Italie). Il a disparu dans les eaux territoriales tunisiennes, sans laisser de traces matérielles en surface de la mer (épaves, bouées de sauvetage, corps, effets personnels…).

Selon les témoignages des familles, l’embarcation était en parfait état et la plupart des passagers possédaient des téléphones, connectés sur le réseau international. Les parents ont signalé la disparition aux garde-côtes algériens et tunisiens dans les 48 heures. Il s’en est suivi un appel de recherche lancé à leurs homologues italiens. “Au fil des mois, les informations et les preuves collectées par des parties séparées nous ont conduits directement vers la piste des disparitions forcées en Tunisie”, atteste Kamel Belabed, président du collectif des familles des harraga disparus et père de l’un d’eux. “Selon la législation tunisienne, toute personne qui entre de manière irrégulière sur le territoire national est considérée systématiquement comme terroriste potentiel. Elle est mise sous la tutelle de la sécurité d’État représentée par le ministère de l’Intérieur. Dans ces cas-là, il est quasiment impossible de retrouver ses traces d’une personne. En 2007, les attentats terroristes qui ont ciblé le palais du gouvernement et le siège des Nations unies à Alger a incité les Tunisiens à durcir les mesures coercitives contre les Algériens. C’est à cette période que mon fils Marouane et 9 autres jeunes ont pris le large.

Il faut dire aussi que c’était l’époque de Zine El Abidine. Pour nous, il était impossible de déposer une plainte pour disparition de personnes”, poursuit-il. Ce n’est qu’en 2009 que les familles ont réussi à enregistrer la disparition au niveau de la police. “Il a fallu saisir Interpol Algérie qui a instruit le commissariat central de Annaba de prendre acte de nos dépositions et de nous délivrer des PV attestants que nos enfants ont quitté le territoire national de manière irrégulière”, raconte notre interlocuteur. Entre-temps et après cette date, d’autres équipages s’évanouissent dans la mer de manière aussi obscure. L’histoire des 14 harragas, embarqués depuis la plage Oued Semhout (Annaba) le 29 janvier 2016, est sidérante. À une centaine de miles des côtes, une défaillance du GPS survient, puis une panne de carburant. La barque et ses occupants a été entraînée, par les courants, à quelques centaines de mètres de la côte de djebel Segleb aux limites frontalières algéro-tunisiennes.

Un passager décède des causes d’une hypoglycémie. Ses coéquipiers tentent d’atteindre le rivage à la nage. Cinq garçons échouent du côté algérien et sont aussitôt pris en charge par les garde-côtes. Huit autres, âgés entre 17 et 30 ans, sortent de l’eau à quelques dizaines de mètres plus loin…, en Tunisie. À ce jour, leur sort reste inconnu. Pourtant, leurs compagnons certifient formellement qu’ils les ont vus mettre les pieds à terre. En 2015, un groupe de migrants clandestins se perd dans des circonstances similaires. Les proches sont avisés de leur présence en Tunisie. Devant l’amirauté de Tabarka, ils reconnaissent, à quelques signes distinctifs, la barque que les migrants avaient utilisée pour la traversée. Ils la montrent aux garde-côtes tunisiens. Une heure plus tard, la pièce à conviction est recélée. Reste le cliché pris à la dérobée par les familles. Les exemples, autant que les preuves foisonnent. Lors d’une visite organisée d’une ONG des droits de l’homme dans une prison tunisienne, un détenu a reconnu sur une photo, l’un des harragas portés disparus. “Oui, il est dans notre cellule.” Au moment de son interrogatoire par voie officielle, le prisonnier est introuvable.

Le Réseau d’avocats pour la défense des droits de l’homme en Algérie (RADDH) a déposé des plaintes auprès de la justice tunisienne et algérienne pour l’ouverture d’enquête sur la disparition de centaines d’immigrés clandestins à partir de 2007. Elles n’ont pas abouti. Le collectif a entrepris de saisir deux instances de l’ONU : le groupe de travail des disparitions forcées ou involontaires et le Comité des droits de l’homme.

Souhila Hammadi

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Immunisation contre les allergies respiratoires: Une gamme de traitements sera produite en Algérie

Thu, 12/20/2018 - 15:48

“Cette usine, la première dans la région du Maghreb, va définitivement régler le problème de rupture du traitement de l’immunisation contre les allergies”, a expliqué le DG de l’Institut Pasteur, Zoubir Harrat.

En rupture depuis bientôt deux ans, une gamme d’allergènes pour l’immunothérapie allergénique, indispensable pour le traitement de l’allergie respiratoire, sera désormais produite en Algérie. Les premiers lots des extraits allergéniques made in Algéria seront mis sur le marché fin décembre 2019. L’unité de production de ce “vaccin” qui agit et renforce le système immunitaire contre les allergies sera installée dans l’enceinte des laboratoires Frater-Razes sise à Oued El-Kerma, Birkhadem.
C’est ce qui ressort du mémorandum de partenariat entre l’Institut Pasteur d’Algérie, l’opérateur privé national les laboratoires Frater-Razes et la société danoise ALK-Abello qui un leader mondial dans le domaine de l’immunothérapie allergénique.
Le mémorandum s’intitule DA Capo (Danish Algerian Collaboration for the Allergie population). La cérémonie de signature de ce mémorandum de partenariat triangulaire public-étranger a eu lieu mardi soir au siège de l’Institut Pasteur du Hamma, en présence de Mme l’ambassadeur du Danemark à Alger, Julie Elisabeth Pruzan-Jørgensen.
Celle-ci a, d’ailleurs, relevé, lors de son intervention, l’importance de cet accord pour le devenir des relations algéro-danoises. Selon le mémorandum multilatéral en question, le leader danois, outre l’approvisionnement de la matière première de base, s’engage à développer le volet lié au transfert de technologie avec son partenaire algérien.

De son côté, l’Institut Pasteur interviendra dans le contrôle de la qualité et la libération des lots fabriqués par les laboratoires Frater-Razes. “Cette usine, la première dans la région du Maghreb, va définitivement régler le problème de rupture du traitement d’immunisation contre les allergies, parce que ces dernières années, le problème de rupture de cette thérapie était devenu récurrent, ce qui a pénalisé et aggravé la situation des malades. Ce projet va sécuriser le marché national. Ce partenariat triangulaire, pour la première fois en Algérie, constitue une aubaine pour le développement local de l’industrie pharmaceutique, ce qui va certainement drainer d’autres leaders mondiaux dans le médicament à venir investir en Algérie”, soulignera Zoubir Harrat, DG de l’Institut Pasteur.

Pour sa part le P-DG du groupe danois ALK-Abello a rappelé que son groupe vend ses traitements ciblés à travers le monde. “Il y a plus de 1,5 million de patients qui bénéficient de cette immunothérapie dans le monde. Nos produits sont des traitements biologiques, nous utilisons des allergéniques natifs et non pas modifiés, ce qui garantit l’efficacité de nos traitements. Notre portefeuille de thérapies est diversifié, nous fabriquons l’immunothérapie en injectable par la voie  sous-cutanée, ainsi qu’en comprimés par voie orale et sublinguale.” Le directeur général des laboratoires Frater-Razes, M. Cherfaoui, s’est montré très satisfait de ce partenariat qui va beaucoup apporter, dit-il, à l’industrie pharmaceutique nationale. “Nous avons fait une extension de notre site d’Oued El-Kerma pour entamer les installations de l’usine dont les travaux débuteront en janvier prochain.

Le coût du projet est estimé à 1 million d’euros. Dans un premier temps, une gamme d’allergènes sera produite sous forme injectable, et plus tard, nous entamerons la fabrication de cette thérapie en comprimés. Notre production répondra dans un premier temps aux besoins du marché national, ensuite, nous développerons le segment exportation. Les produits seront contrôlés et distribués par l’Institut Pasteur. La mise sur le marché relève des compétences de l’Institut Pasteur.”
Il faut souligner le rôle de médiation assuré par l’opérateur algérien GPS (Générale Pharmaceutique Services) dans les négociations pour convaincre ALK-Abello à venir investir en Algérie.
Signalons, enfin, que selon une étude de l’organisme international Isaac (International Study of Asthma and Allergies in Childhood), l’Algérie compte 5% d’asthmatiques, soit deux millions, et la rhinite touche 20% de la population générale, soit 8 millions d’Algériens.

Hanafi H.

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