Publié par Kamel Gaci
Les services de la brigade de la SWPJ de Béjaïa chargés des affaires économiques ont élucidé la semaine dernière une importante affaire liée au détournement d’une somme de 9 milliards de centimes de la caisse du Trésor public local.
L’affaire a été détectée, selon nos informations, par le directeur du Trésor, avant qu’il ne donne l’alerte aux services de sécurité, qui ont immédiatement pris l’enquête en charge pour situer la responsabilité de cet acte.
L’auteur n’était finalement que le responsable de la caisse, qui a usé de ses compétences et de son expérience pour détourner la modique somme hors réseau financier.
Le présumé auteur a été placé en détention provisoire à la maison d’arrêt de Béjaïa par les magistrats instructeurs en attendant sa comparution devant la cour criminelle, avons-nous appris de la cellule de communication de la Sûreté de wilaya.
Kamel Gaci
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Les éléments du service de la protection de la faune et de la flore, relevant de la Conservation des forêts, appuyés par la brigade nautique de la Protection civile, sise au barrage Béni-Haroun, ont effectué ces jours-ci une opération humanitaire et hautement symbolique, signe d’un professionnalisme avéré et d’une conscience encore éveillée, Dieu merci !
C’était lors d’une tournée effectuée sur les rives du barrage Béni-Haroun, à l’occasion du lancement, ce 14 janvier, de la campagne de recensement des oiseaux migrateurs, que l’équipe menée par la dynamique Manel, ingénieur au-dit service, a découvert qu’un canard colvert est pris au piège par un filet de pêche deux jours durant, près de Ferdoua sur les rives sud du barrage Béni-Haroun !
C’est ainsi que l’équipe des forestiers a sollicité celle de la brigade nautique, appartenant à la Protection civile, pour une opération sauvetage de ce palmipède. Empruntant leur embarcation et orientés au point précis du piège, les pompiers ont pu délivrer ce volatile qui a été mis en liberté, malgré quelques signes de faiblesse et d’épuisement ! Un geste à encourager !
A. M’haïmoud
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Des dizaines de citoyens ont fermé hier la mairie d’Emir-Abdelkader pour contester la liste de 72 logements publics locatifs qui a été affichée mardi par la commission de la daïra, a-t-on appris auprès d’une source proche de la commune.
En effet, les protestataires ont empêché les fonctionnaires d’accéder à leurs bureaux. Ce qui a pénalisé lourdement de nombreux citoyens de la commune. Et afin de parer à d’éventuels dérapages, les services de la Gendarmerie nationale ont signalé leur présence sur les lieux de la protestation.
Bouhali Mohammed Cherif
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On apprend de sources sûres, que le stratégique siège de l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA ) de la wilaya de Jijel est convoité par certains cercles qui veulent faire main basse sur ce bijou foncier qui s’étend sur une superficie d’environ 1 000 mètres carrés.
Aucun s’interrogent sur l’identité du futur bénéficiaire de ce lieu, situé sur le stratégique front de mer de Beaumarchais à quelques mètres de la mer, surtout que de nombreuses institutions publiques trouvent refuge dans des «bicoques» et cherchent vainement des sièges depuis plusieurs années. Affaire à suivre.
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Publié par Bouhali Mohammed-Cherif
Le wali, Far Bachir, a affirmé hier que le programme de mise à niveau octroyé à la wilaya de Jijel par le ministère de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire comporte la réalisation de 715 opérations dans différents secteurs, ciblant 627 localités et mechtas pour un montant de 1 400 milliards de centimes, soulignant que ce programme générera 10 000 emplois dont 7 000 directs et 3 000 indirects.
En effet , le chef de l’exécutif a ajouté, lors d’un point de presse tenu à la salle de conférences en présence des présidents des Assemblées populaires communales de la cité administrative, que ce programme accorde une importance capitale pour le secteur de l’hydraulique à travers la réalisation de 67 opérations pour l’alimentation en eau potable pour un montant de 171 milliards de centimes, 68 projets pour l’assainissement pour une cagnotte de 223 milliards de centimes.
Le même responsable a souligné, par ailleurs, que le secteur de la jeunesse et des sports a bénéficié de 92 projets portant sur la réalisation et l’aménagement des stades communaux, des aires de jeux à travers certaines communes de la wilaya pour un montant de 110 milliards de centimes.
Far Bachir a indiqué également que le secteur de l’éducation a bénéficié de 286 opérations portant sur la réalisation des classes extensibles, des cantines scolaires, la chaufferie des classes pour un montant de 110 milliards de centimes. 45 opérations ont été inscrites au profit du secteur de la santé portant sur la réalisation et la réfection des salles de soins, l’acquisition des ambulances et des équipements médicaux pour un montant de 28,8 milliards de centimes, a souligné en outre le chef de l’exécutif qui a ajouté que l’aménagement urbain et le centre d’archives de la wilaya ont bénéficié respectivement de 70 milliards de centimes, 15 milliards de centimes pour son équipement.
Il a aussi révélé que conformément aux engagements du ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire lors de sa visite les 15 et 16 septembre dernier, le dossier du retour des populations vers leurs douars d’origine a été pris en charge dans le cadre de ce programme avec une enveloppe de 300 milliards de centimes.
Cependant, on s’interroge sur les critères établis dans le classement des priorités par secteur. Comment se fait-il que le secteur de la santé qui est sinistré ne bénéficie que de 45 opérations pour un montant de 28 milliards de centimes dont une partie concerne l’acquisition des ambulances alors que le secteur de la jeunesse et des sports a une cagnotte de 110 milliards de centimes destinés à la réalisation de 92 projets ?
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Les écoles de formation paramédicale ont visiblement abandonné la formation dans la spécialité de puériculture. Et d’ailleurs, le personnel hospitalier dénonce l’absence de puéricultrices dans les services de pédiatrie. Le ministère de la Santé est lourdement interpellé.
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Une grève générale inédite touchant tous les services publics était observée jeudi en Tunisie à l’appel de la puissante centrale syndicale de l’union générale tunisienne du travail (UGTT) qui réclame une augmentation des salaires, une demande rejetée par le gouvernement en raison de l’état des finances publiques insuffisant, a rapporté l’agence de presse TAP.
A travers le pays, les écoles publiques étaient fermées, les transports en commun paralysés et les vols de la compagnie aérienne nationale TunisAir perturbés.
Les fonctionnaires et les salariés des entreprises publiques, représentant près d’un quart de la population active, étaient appelés à se rassembler devant leurs bureaux à travers le pays. Un rassemblement est prévu dans la matinée devant le siège de l’Union générale des travailleurs tunisiens (UGTT) à Tunis.
Les enseignants ont commencé, tôt le matin, à affluer vers le local de l’Union régionale du travail à partir duquel une marche devra prendre le départ pour protester contre « l’échec programmé des négociations sociales avec le gouvernement « .
Des renforts policiers sont déployés aux environs de l’Union régionale du travail et tout au long de l’artère principale de la ville, selon la même source.
Le syndicat réclame des augmentations de salaires plus importantes que les 70 dinars (20 euros) pour 2019 et 110 dinars (30 euros) pour 2020 proposés par le gouvernement, soulignant la baisse du pouvoir d’achat due à l’inflation, qui a atteint 7,5% en 2018.
Le salaire brut moyen d’un fonctionnaire est de 1.580 dinars (500 euros), selon le dernier rapport officiel pour 2016.
Suite à l’échec des négociations entre l’UGTT et le gouvernement sur l’augmentation des salaires des fonctionnaires, la centrale syndicale a décidé de maintenir la grève générale fixée au jeudi 17 janvier.
« La réunion, qui s’est poursuivie mardi de 11 heures à 19 heures, a vu l’UGTT faire une concession en acceptant les deux tiers de ce qu’avait été accordé aux employés du secteur public, soit une renonciation des augmentations d’un an, comme il accepté de renoncer au versement des augmentations à partir de mai 2018 et d’accepter la date d’octobre 2018 », a déclaré le secrétaire général adjoint du syndicat du travail tunisien, Hefaidh Hefaidh cité par l’agence TAP.
Insuffisance budgétaire, l’Etat incapable de satisfaire les demandes
Le chef du gouvernement tunisien, Youssef Chahed, a assuré dans un discours télévisé mercredi soir que l’état des finances publiques ne permettait pas d’accepter les demandes de l’UGTT, ajoutant que le dialogue se poursuivrait après cette grève de 24 heures. Mais selon le dirigeant de la centrale syndicale, le gouvernement « n’est pas maître de sa décision et son recours pour un versement des augmentations comme privilège fiscal au lieu de les verser de la masse salariale n’est qu’un engagement pour les conditions imposées par le FMI ».
En outre, le gouvernement a exigé dans un décret publié in extremis mercredi que certaines organisations publiques dont des compagnies de transport, d’eau et d’électricité, assurent un service minimum.
Une grève concernant la fonction publique avait été très suivie en novembre dernier, la première mobilisation de cette ampleur depuis deux grèves générales en 2013 en réaction aux assassinats de deux opposants.
La grève de jeudi est la première de ce type, touchant à la fois la fonction publique et les entreprises publiques, selon l’UGTT et des historiens.
Elle intervient alors que le débat politique s’est crispé ces derniers mois à l’approche des élections législatives et présidentielle prévues fin 2019.
L’inflation, alimentée notamment par la chute du dinar, et le chômage persistant au-dessus de 15%, alimentent un mécontentement qui se traduit par des heurts ponctuels notamment en janvier, et une série de mobilisations sociales.
Les bailleurs de fonds qui maintiennent la Tunisie à flot appellent à ralentir l’endettement de l’Etat et à diminuer le poids de la fonction public dans le PIB, qui atteint 14%, l’un des taux les plus élevés de la région.
Le pays a obtenu en 2016 du Fonds monétaire international (FMI) un prêt de 2,4 milliards d’euros sur quatre ans, en promettant de mener de vastes réformes.
Au terme de sa réunion du 24 novembre 2018, la commission administrative nationale de l’UGTT avait lancé un mot d’ordre de grève générale dans la fonction publique et les établissements publics pour le 17 janvier 2019, en cas d’échec des négociations sur l’augmentation des salaires des fonctionnaires.
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La croissance économique effective de l’Algérie a atteint 2,3% en 2018 en volume, contre 1,4% en 2017, alors que la loi de finances de 2018 tablait sur une croissance de 4%, selon les données provisoires du ministère des Finances.
Le Produit intérieur brut (PIB) algérien a ainsi atteint 20.509,5 milliards de DA (mds DA) en 2018 contre 18.594,1 mds de Da en 2017, apprend-on auprès de ce ministère.
En dollars, le PIB national a été de 178,3 mds de dollars en 2018 contre 167,6 mds de dollars en 2017, selon la conversion faite par le ministère.
Quant au PIB hors hydrocarbures, il a enregistré une croissance de 4% en 2018 contre 2,2% en 2017, selon la même source.
Le ministère indique que le prix moyen à l’exportation du pétrole algérien a été de 72,43 dollars en 2018 contre 52,71 dollars en 2017.
Le taux de change moyen DA/dollar des douze mois de 2018 a été de 116,62 Da/dollar contre 110,96DA/dollar pour les douze mois de 2017 alors que le taux de change moyen DA/euro a été de 137,69DA/euro contre 125,32 DA/euro pour 2017, selon la même source.
Le ministère ajoute que le taux d’inflation moyen des douze mois de 2018 a été de 4,27% contre 5,59% comme taux moyen de l’année 2017.
La loi de finances 2018 prévoyait une inflation de 5,5%.
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Le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du Territoire, Noureddine Bedoui a affirmé, jeudi à Alger, que l’élaboration du nouveau découpage administratif au niveau des Hauts Plateaux « arrive à sa phase finale », avant son application sur le terrain.
Présidant la célébration de la journée nationale de la commune, au siège de la wilaya, sous le thème « la commune au cœur des mutations », M. Bedoui a indiqué que le nouveau découpage administratif, en cours d’élaboration par le secteur, « demeure l’un des engagements pris par le président de la République », se félicitant du « progrès considérable enregistré en matière d’organisation administrative au niveau des wilayas des Hauts Plateaux qui touche à sa fin, en prévision de son application sur le terrain ».
« Le ministère est à pied d’œuvre pour accompagner les wilayas déléguées dans le Grand Sud afin de les ériger, à l’avenir, en wilayas à part entière », a-t-il poursuivi.
L’objectif de cette organisation administrative est de « rapprocher l’administration du citoyen », a-t-il dit, soulignant que ce projet « sera soumis au parlement pour examen ».
S’exprimant sur la journée nationale de la commune, M. Bedoui a rappelé que cette journée « a été instituée et consacrée dans le calendrier des fêtes nationales et religieuses, grâce au président Bouteflika ».
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Cinq orpailleurs ont été arrêtés mercredi par des détachements combinés de l’Armée nationale populaire (ANP) qui ont également saisi, lors d’opérations distinctes menées à Djanet et Bordj Badji Mokhtar, six groupes électrogènes, quatre marteaux piqueurs, ainsi que dix sacs de mélange de pierres et d’or brut, indique jeudi un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN).
« Dans le cadre de la lutte contre la contrebande et la criminalité organisée, des détachements combinés de l’Armée nationale populaire ont arrêté, le 16 janvier 2019, lors d’opérations distinctes menées à Djanet (4ème Région militaire) et Bordj Badji Mokhtar (6ème Région militaire), cinq (5) orpailleurs et saisi six (6) groupes électrogènes, quatre (4) marteaux piqueurs, dix (10) sacs de mélange de pierres et d’or brut, ainsi qu’un véhicule tout-terrain et un camion chargé de six (6) tonnes de charbon », précise le communiqué.
Au niveau de la 5ème Région militaire, des éléments de la Gendarmerie nationale « ont appréhendé deux (2) narcotrafiquants et saisi 2,4 kilogrammes de kif traité et deux (2) véhicules touristiques à Bejaïa et Mila, tandis que 11.100 unités de différentes boissons ont été saisies à Constantine », note la même source.
Par ailleurs, des éléments de la Gendarmerie nationale « ont arrêté, à Tébessa (5ème Région militaire), trois (3) criminels en possession de faux billets de banque en devise s’élevant à plus de dix (10) millions de Dinar Tunisien », ajoute le communiqué.
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Neuf (9) personnes ont péri, intoxiquées par des fuites de monoxyde de Carbonne durant la période du 14 au 17 janvier en cours, dans plusieurs wilayas du pays, selon un bilan établi jeudi par le services de la Protection civile.
En outre, depuis le début du même mois, 31 personnes sont mortes, intoxiquées par le même gaz toxique, alors que 224 autres, incommodées par son inhalation, ont été secourues.
Devant un bilan aussi lourd, les services de la Protection civile qui appellent les utilisateurs d’appareils de chauffage et chauffe-bains, « à redoubler de vigilance », incombent ces pertes humaines aux « erreurs de prévention en matière de sécurité, à lÆabsence dÆune bonne aération, ainsi qu’à la mauvaise utilisation de ces appareils », mis en cause dans de nombreux cas signalés.
D’autant, que la baisse de température, favorise l’utilisation massive de ces dispositifs qui requièrent une grande attention de la part de leurs utilisateurs, avertit la même source.
Les citoyens, sont par conséquent appelés à élever « le niveau de prudence et de vigilance », exigées et à respecter les consignes de sécurité, afin de préserver leur vie et les dommages qui peuvent être générés.
Les services de la Protection civile, rappellent dans ce contexte le dispositif de sécurité à respecter pour éviter des accidents dramatiques et insistent sur la nécessité de « laisser ouvertes les prise d’air du logement lors de l’utilisation des appareils de chauffage et d’aérer au moins 10 minutes par jour, les pièces occupées, au moment de l’utilisation des dispositifs de chauffage ».
Tout utilisateur de ces appareils est tenu, par ailleurs, de les entretenir et les régler régulièrement par un professionnel, de ne pas les utiliser dans des pièces dépourvues d’aérations, et de ne pas se servir de moyens de chauffage traditionnels tels que « Tabouna » ou d’appareils de cuisson pour se réchauffer.
Les services de la Protection civile qui interpellent, en outre, les utilisateurs de véhicules sur les dangers d’asphyxie encourus, en laissant le moteur d’un voiture, en marche, dans un garage fermé, rappellent au citoyen la nécessité de recourir au numéro d’appel de la Protection civile (14), pour toutes urgence, en précisant l’adresse exacte et la nature de l’accident pour une prise en charge rapide et efficace.
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Le milieu de terrain Hamza Aït Ouameur a résilié son contrat avec le MC Oran, mercredi soir, portant à huit le nombre de joueurs ayant quitté cette formation au cours du mercarto hivernal, a-t-on appris du club de Ligue 1 .
Un contact émanant d’un club étranger serait derrière la décision du joueur de 30 ans de mettre un terme à son aventure oranaise plus tôt que prévu, précise-t-on de même source.
L’effectif du MCO a connu, pour l’occasion, une véritable saignée avec le départ de pas moins de huit joueurs, dont six avaient été recrutés au cours du mercato estival.
Il s’agit, outre d’Aït Ouameur, de Bouazza, Dosse, Bouchar, Hamar et Yettou. Les deux autres joueurs ne faisant plus partie du groupe des « Hamraoua » sont Chibane et Bellal.
Cette situation met, d’ores et déjà, l’entraîneur Omar Belatoui dans l’embarras, dans la mesure où la plupart des joueurs partis étaient des titulaires indiscutables.
La mission du coach devient encore délicate après l’échec, pour le moment, de la direction du club à qualifier ses cinq nouvelles recrues hivernales (l’Ivoirien Assie-Koua, Mohamedi, Aouedj, Benamara et El-Moueden) en raison des dettes qu’elle doit honorer envers d’anciens joueurs et entraîneurs non encore réglées et estimées à 44 millions DA.
Le MCO, en mauvaise posture en championnat (11e, 18 pts), rendra visite au MO Béjaïa, vendredi, dans le cadre de la 18e journée du championnat. Belatoui a pris avec lui quatre des cinq nouveaux joueurs dans l’espoir de recourir à leurs services pour l’occasion si leurs licences venaient à être récupérées avant le match.
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Organisées sur deux jours, hier et aujourd’hui, à l’hôtel El Aurassi, les 10es Journées internationales du marketing touristique abordent cette année la thématique «Enjeux et défis de la destination Algérie dans la compétition mondiale».
Articulées autour d’une quinzaine de conférences traitant différents aspects de la problématique de promotion de la destination Algérie, elles ont rassemblé une multitude d’acteurs qui interviennent dans la chaîne.
Du rôle de la diplomatie, développé par la sous-directrice du suivi des programmes et de promotion des échanges économiques au ministère des Affaires étrangères, aux bonnes pratiques de la publicité du secteur touristique et de la promotion de la destination via une compétition sportive internationale, en passant par la mutation de l’environnement hôtelier algérien, les conférenciers ont ainsi essayé de cerner la problématique qui engage, désormais, pouvoirs publics et opérateurs économiques.
Les conférences se poursuivront aujourd’hui avec un focus sur la digitalisation, le rôle des médias et les réseaux sociaux comme vecteur de business pour les acteurs du tourisme.
L. H.
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Publié par Farid Farah
La stratégie de la politique numérique de l’Algérie a besoin d’atouts supplémentaires et surtout de partenariat international. La construction d’une économie des services dans le domaine des technologies du digital nécessite un soutien massif des compagnies internationales. Ce soutien doit débuter obligatoirement par une présence réelle en Algérie des compagnies d’internet les plus connues comme Google, Apple et Amazon. Une question se pose donc : pourquoi ces entreprises ne veulent toujours pas introduire leurs activités sur le marché algérien ? A notre avis, les raisons sont multiples…
Le pays n’a toujours pas fait l’effort financier nécessaire pour bien promouvoir les nouvelles technologies et dispenser ainsi ce secteur des restrictions budgétaires drastiques. Il est temps de promouvoir l’impact des technologies sur les organisations en tenant compte des enjeux environnementaux, de renforcer la pénétration du digital au sein des PME/PMI, des administrations et collectivités locales et contribuer à l’accessibilité des technologies au plan de la santé, de l’éducation et de la formation.
L’accès facile et multicanal au «vrai» internet haut débit devra être généralisé à tous les foyers résidentiels, et les efforts utiles à la facilitation de la mise en œuvre d’une authentique société de l’information doivent être élargis aux plans administratif, financier, juridique et universitaire.
Le débat sur l’Algérie numérique demeure absent. Le secteur des finances en général et des banques en particulier a besoin d’un nouveau plan et d’une réglementation souple afin qu’au moins 50 % de la population puissent acheter en ligne d’ici à 2020.
Côté régulation, l’absence d’une législation stricte sur l’usage des données des internautes par les représentants du Web algérien plane toujours. La régulation ne concerne pas les éditeurs de contenus électroniques. La question de l’adéquation du contenu au support mobile se pose encore et les règles de sa mise en exécution ne sont pas rédigées. La régulation devra aussi s’accompagner d’une batterie de réformes en faveur des consommateurs dont la possibilité de se faire indemniser en cas de dysfonctionnements continus des services offerts par les opérateurs de la chaîne digitale.
Les acteurs algériens du digital, banques et administrations y compris, sont donc appelés à jouer un rôle de plus en plus important dans le développement d’infrastructures flexibles, basées sur le Cloud qui s’appuient sur l’interopérabilité, la souplesse et l’optimisation des coûts.
F. F.
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De notre envoyé spécial en Chine, Azedine Maktour
Elle n’en finit pas de prendre de la dimension, la position du géant chinois Huawei dans le monde, Algérie comprise. Une dimension qui, depuis plusieurs mois maintenant, lui a permis de supplanter l’américain iPhone, à la seconde place dans la hiérarchie des fabricants et distributeurs mondiaux de smartphones, après le leader sud-coréen Samsung, tout en se plaçant comme le plus grand fabricant d’équipements de télécommunications au monde, présent dans 170 pays.
Partenaire de haute volée déjà avec plusieurs entités algériennes, en tout premier lieu Algérie Télécom et ses filiales, ainsi que des ministères névralgiques tels ceux de l’Intérieur et des Collectivités locales ou encore celui de l’Energie, Huawei devrait atteindre, cette année, une autre importante étape dans son intégration dans l’écosystème algérien, en pleine mutation, avec le lancement effectif de sa ligne de production de smartphones, une de plus, qui viendra s’ajouter aux 35 déjà en activité de par le monde avec, au total, chaque mois, deux millions de nouveaux smartphones destinés à une clientèle répartie à travers plus de 200 pays.
Des chiffres qui donnent un peu une idée sur le gigantisme de Huawei qui, il faut le souligner, s’appuie sur la vingtaine de laboratoires de recherche implantés en Chine et à travers le monde, dont les plus importants sont établis à Pékin et surtout dans cette véritable ville qu’il s’est construit en plein dans la nouvelle capitale mondiale des technologies de l’information et de la communication, la ville ultramoderne de Shenzhen qui, avec les huit autres grandes villes de la province du Guangdong, dans le delta de la rivière des Perles, dispute le statut de paradis des TIC à la Silicon Valley, à l’autre bout du monde, au sud de la baie de San Francisco.
Sécurité, recherche et développement (R&D)
Huawei c’est, comme qui dirait, une petite planète qui élague ses satellites à partir de Shenzhen d’abord, dans le delta de la rivière des Perles, puis de Pékin, la capitale de l’Empire du Milieu totalement transformée depuis une quarantaine d’années jusqu’à rattraper et même dépasser certaines capitales et grandes métropoles occidentales sur tous les plans.
Une mue qui se confond un peu avec l’histoire de Huawei, et d’autres géants locaux ainsi que d’autres incontournables de l’économie mondiale qui s’y sont établis, notamment à partir de la fin des années 1990 et du début des années 2000. Le leader des équipements destinés aux technologies de l’information et de la communication, comme on peut l’imaginer, ne s’est pas fait du jour au lendemain pour devenir une des success stories les plus marquantes de la révolution technologique qui n’en finit pas de transformer la face du monde. Le géant qu’il est aujourd’hui est né en 1987, quelques années après l’ouverture économique décidée par le régime, avec l’objectif de se faire une place dans le monde fermé des fournisseurs de solutions pour les naissantes — à l’époque — technologies de l’information et de la communication, avant de connaître le début de son apogée surtout au tout début du nouveau millénaire, notamment en mettant le cap sur la recherche et le développement (R&D) dans le domaine de la cybersécurité, antivirus et solutions les plus pointues, pour ensuite développer de nouveaux axes, aujourd’hui majeurs, dans ses activités comme la téléphonie mobile, les technologies de stockage de l’information et l’intelligence artificielle. Ainsi, du cœur de la mégalopole pékinoise, à quelques kilomètres de l’impressionnant China Business District, l’immense quartier d’affaires de la capitale chinoise, une savante reproduction de la city londonienne en plus large et de Manhattan et ses immeubles, et à l’écart de la multitude de skyscrapers, ces gratte-ciel à perte de vue plantés sur le long des infinies avenues qui n’ont rien de l’austère Pékin des plus dures années communistes, Huawei se déploie comme par enchantement à partir d’une des banlieues de la ville millénaire, en bordure de campagne, avec ses immeubles «frappés» à leur sommet de cette fleur à huit feuilles rouges, le logo de l’entreprise.
Là, dès le seuil du premier building franchi, ça respire très fort la Hitech, et quelle technologie ! En effet, c’est à partir des impressionnants laboratoires dédiés à la sécurité informatique que l’immersion dans le monde de Huawei commence.
Est-il utile de dire combien ces lieux sont sensibles, donc hautement sécurisés, et auxquels – grand privilège – la délégation composée d’une quinzaine de journalistes algériens a pu accéder pour voir «en live», entre autres prouesses technologiques dans le domaine de la sécurité des réseaux, le très précis traçage de l’origine de la multitude d’attaques quasiment simultanées dirigées contre les terminaux et centres portant le logo Huawei, en Chine comme partout ailleurs dans le monde.
La réplique s’opère pratiquement au moment où ces attaques sont déclenchées, et aussitôt se met en branle un processus qui aboutira en un temps record à la mise au point d’une solution qui annihilera l’attaque et pouvant aller jusqu’à la prévoir. Huawei détient dans son enviable escarcelle plusieurs centaines de brevets dédiés à la sécurité des réseaux, tel celui dont est équipé le très sensible Centre d’information à Pékin d’où sont interconnectées l’ensemble des institutions publiques, et d’autres solutions sorties des laboratoires de la capitale donc, de Shenzhen, la ville intelligente par excellence, et Hangzhou, l’autre pôle dédié à la recherche et le développement.
Des réalisations à la pelle qui valent à Huawei, depuis plusieurs années maintenant, une croissance qui donne le vertige, surtout à ses rivaux occidentaux, comme l’illustrent les prévisions sur le revenu global de l’année 2018 qui devrait atteindre les… 100 milliards de dollars !
Une récompense pour le deuxième plus gros distributeur de smartphones au monde et leader en innovation technologique, résultat de ses investissements en R&D qui ont atteint les 45 milliards de dollars sur les dix dernières années avec des pics comme ce fut le cas il y a deux ans, lorsqu’il a été consacré une enveloppe de plus de 13 milliards de dollars à ce département qui, il faut le savoir, s’accapare 80 000 sur les 180 000 membres du personnel de l’entreprise.
A Shenzhen, le futur c’est déjà aujourd’hui
Huawei a donc étendu son filet jusque partout dans le monde, à partir de Pékin, mais c’est à environ deux mille kilomètres au sud-est de la capitale de l’Empire du Milieu que la grandeur de l’entreprise se révèle encore un peu plus dans toute sa splendeur : la ville de Shenzhen, celle qui illustre peut-être le mieux l’histoire de Huawei parce qu’elle se confond avec ce qu’il est advenu de la région du delta de la rivière des Perles — dans la province du Guangdong— dont fait partie la métropole de Shenzhen, une partie du monde où l’on enregistre un des taux de croissance économique les plus stratosphériques. Shenzhen est une des neuf villes les plus importantes du delta de la rivière des Perles, là où tout a commencé il y a exactement 40 ans, lorsque la ville a reçu le statut de «zone économique spéciale», décrété par le président Den Xiaoping, foulant aux pieds des principes purs et durs du communisme en accordant aux potentiels investisseurs privés des terrains pour ériger des manufactures et surtout en leur octroyant la possibilité de lever des fonds. Une orientation de l’économie chinoise qui allait permettre de voir naître une floraison d’entreprises, des manufactures et quelques pionniers dans l’innovation dont Huawei, moins d’une dizaine d’années plus tard, en 1987.
Comme on peut l’imaginer, le fabricant de smartphones qui a chassé iPhone il y a quelques mois de l’enviée seconde place mondiale derrière Samsung ne s’est pas fait du jour au lendemain pour devenir une des success stories les plus marquantes de la révolution technologique qui n’en finit pas de transformer le monde.
Le géant qu’il est aujourd’hui est né avec l’objectif de se faire un nom dans le monde fermé des fournisseurs de solutions pour les technologies de l’information et de la communication, avant de connaître le début de son apogée au tout début du nouveau millénaire en mettant le cap sur la recherche et le développement (R&D) dans le domaine des technologies de sécurité, parmi lesquelles les solutions les plus pointues, pour ensuite développer plusieurs axes d’activité, dont la téléphonie mobile, et d’autres parmi lesquels deux branches aujourd’hui majeures : le stockage de l’information (le cloud) et l’intelligence artificielle. C’est surtout il y a près d’une quinzaine d’années que Shenzhen voyait la constitution d’un écosystème qui va bouleverser le monde, composé de fabricants de composants électroniques, d’incubateurs, et de laboratoires dédiés aux nouvelles technologies.
Shenzhen, quelle ville ! C’est en fait la parfaite illustration de l’histoire de ces trente dernières années de la Chine avec les technologies de l’information et de la communication.
Trois décennies en arrière, le delta de la rivière des Perles, dans cette région du Guangdong où Shenzhen tout comme plusieurs autres villes y sont rattachées, entamait son entrée dans une dimension qui n’a pas fini de prendre de l’ampleur.
Shenzhen est l’une des métropoles au cœur du plan décliné en 2008 par les autorités chinoises pour la création d’une zone urbaine, de la taille d’un pays, autour des neuf villes de la rivière des Perles, Macao et Hong Kong que l’on peut rejoindre de Shenzhen en un petit quart d’heure en TGV.
Selon un agent de l’immigration, ils sont ainsi plus d’un demi-million de personnes à voyager entre Shenzhen et Hong Kong quotidiennement et donnent une envergure ahurissante à ce qu’a subi comme transformations la région après la crise qui a emporté un tas d’usines manufacturières ayant vu le jour il y a quelques années après les largesses accordées en 1979 par le régime en classant Shenzhen «zone économique spéciale». Une transformation qui se voit à travers tous les recoins de cette métropole, comme par exemple dans le quartier de Quianhai où le long d’immenses boulevards ont «poussé», comme des arbres ailleurs, des dizaines d’immeubles en verre où se sont installés quelques géants tels Microsoft, ZTE, DJI (le leader mondial dans la fabrication des drones miniatures) ou encore Tencent aux côtés d’une multitude de start-up et de petites entreprises toutes versant dans les nouvelles technologies et… celles du futur. Dès lors, on comprend qu’à Shenzhen et dans le delta de la rivière des Perles, le futur, on est déjà en plein dedans. Ils ne traînent pas pour s’offrir les infrastructures qui vont avec leurs ambitions, comme ce pont inauguré il y a moins de trois mois, le plus long au monde (55 km) pour relier Hong Kong, Macao et le pôle industriel de Zhuhai, en attendant celui, en construction, qui permettra de connecter Shenzhen à Zhongshan. C’est dans cet environnement que trônent les installations de Huawei, dont le siège de l’entreprise.
Le campus de Huawei : une ville dans la ville
En parallèle aux plans quinquennaux menés par les autorités du pays pour doter celui-ci d’infrastructures adéquates, Huawei s’est engagé de son côté à se donner des moyens pour son développement afin d’arriver et surtout se maintenir à une place de choix dans le monde hermétiquement fermé jusqu’à il y a quelques années par des «monstres» de la technologie issus de l’Occident. Sans trop se forcer, on comprend dès le début de cette immersion dans le monde de Huawei que l’entreprise fondée par Ren Zhengfei en 1987 doit son arrivée dans le gotha des fournisseurs de solutions en technologies de l’information et de la communication et de la téléphonie mobile à son pari sur la recherche et le développement (R&D). Au cœur de ce département, il y a l’homme, un capital qui prend toute sa signification dès les premiers pas effectués dans les entrailles de cette ville dans la ville qu’est l’extraordinaire Campus de Huawei, au nord de Shenzhen, où s’étendent sur plus de 2 km² des répliques à couper le souffle de merveilles architecturales comme les châteaux de Heidelberg et de Versailles, des restaurants et cafétérias, dont une «copie» du Café de Flore, le tout étendu sur un cadre verdoyant «entrecoupé» de lieux conviviaux pour les plus de 30 000 étudiants ou stagiaires et leurs enseignants afin de se relaxer après des heures d’études et de travail dans ces immenses bâtiments répartis sur d’authentiques arrondissements avec des rues aux noms célèbres telles la AG Bell Road ou la M. Curie Road, pas loin du cœur du campus constitué de plus d’une centaine de salles où sont dispensés les cours par des enseignants dont nombre d’entre eux sont considérés comme les véritables héros de l’institution Huawei, leurs immenses portraits ornant des murs du campus qui abrite un centre destiné à des tests des produits, notamment de l’AI, tel cet appartement «intelligent» destiné à faciliter comme peu pourraient l’imaginer à faciliter la vie dans un futur proche. C’est une véritable ville, ce campus où ont trouvé place également des partenaires de Huawei, issus de start-up et autres laboratoires impliqués dans le développement d’applications, produits de l’imagination débordante de spécialistes en intelligence artificielle (AI), dont quelques-unes ont fait l’objet de démonstrations qui ont laissé sans voix la délégation de journalistes algériens encore plus que ce fut le cas lors de la visite à l’Exhibition Center de Pékin où, pourtant, l’on croyait avoir atteint le sommet de l’émerveillement et des… regrets. Les regrets de ne pas avoir vu l’Algérie miser, lorsque les moyens le permettaient, sur un modèle de développement en s’inspirant de ce qu’a accompli la Chine ou d’autres pays n’ayant jamais eu les moyens qui étaient les nôtres il n’y a pas longtemps.
Les ambitions de Huawei en Algérie
C’est dans les locaux du luxueux Huawei Executive Briefing Center qu’une conférence de presse a été animée par M. Alexandre Tian Jia, le maître de cérémonie et directeur des relations publiques de Huawei Algérie. L’occasion pour l’accompagnateur et le co-organisateur avec Algérie Télécom de ce voyage pas ordinaire de s’étaler sur les relations et les ambitions de l’entreprise dans notre pays qu’elle accompagne depuis plusieurs années, notamment dans la grande œuvre consistant à généraliser le FTTX en Algérie, c’est-à-dire faire parvenir la fibre optique au plus près de l’utilisateur, afin d’augmenter la qualité de service, en particulier le débit. Des projets, Huawei en a en Algérie, mais ce qui semble lui tenir le plus à cœur c’est la formation des personnels entre ingénieurs et techniciens. Selon M. Tian Jia, 80% du personnel employé par la filiale algérienne de Huawei sont des ingénieurs auxquels l’entreprise a dispensé des formations. L’on saura, également, que parmi les 120 projets de smart cities répartis à travers une quarantaine de pays, l’Algérie y figure et Huawei compte participer pleinement à la création de l’écosystème parfait en Algérie pour arriver à une plateforme impliquant de nombreux partenaires, dont 130 ont déjà adhéré. Un autre projet devrait également être matérialisé lors des tout prochains mois, il consiste en le lancement effectif de la ligne d’assemblage de téléphones.
«On compte y aller crescendo», a confié le directeur des relations publiques de Huawei Algérie, en précisant que l’usine en question commencera par la production de smartphones d’entrée de gamme.
Ceci en parallèle avec son implication dans le lancement de la 5G avec Algérie Télécom et sa filiale Mobilis. En tous les cas, ce qui est certain, c’est que l’Algérie intéresse au plus haut point Huawei où, d’abord, il entend mettre le paquet sur la formation.
A. M.
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Publié par Abdelkader Zahar
Un peu plus que la moyenne mondiale, l’usage des ordinateurs personnels domine encore le paysage des connexions internet à partir d’Algérie. Ainsi, plus d’une connexion sur deux a été effectuée à partir d’un PC de bureau ou laptop en 2018. Le taux est en baisse par rapport à 2017. Mais cette domination risque rapidement de changer, courant 2019, puisque le taux d’usage des terminaux mobiles (smartphones et tablettes) est en forte hausse.
A fin 2018, les terminaux connectés à internet à partir de l’Algérie représentaient 52,68%, en baisse par rapport à un taux de 55,86% enregistré en 2017, selon les chiffres de StatCounter. Les connexions mobiles (smartphones et tablettes) représentaient 47,32% en 2018, contre 44,14% en 2017. Par type de terminal, les smartphones représentent 45,66% (41,2% un an plus tôt) et les tablettes en baisse à 1,66% (2,94% en 2017). La moyenne mondiale, en 2018, était de 48,44% pour les ordinateurs, 47,89% pour les smartphones et 3,67% pour les tablettes.
Par système d’exploitation (ordinateurs et terminaux mobiles), les données de StatCounter montrent que la part de marché d’Android en Algérie est de 45%, contre 42,3% pour Windows, 2,1% pour OS X, 1,65% pour iOS, 0,62% pour Linux. Dans la famille des OS Android de Google, toujours en Algérie, c’est la version 6.0 «Marshmallow» qui était en tête avec 24,04% en 2018, contre 28,39% en 2017. Seuls deux versions Android ont vu augmenter leurs parts de marché en 2018. Il s’agit de «Nougat» 7.0, avec 21,61% contre 9,73% un an plus tôt, et de «Oreo» 8.0 avec 6,34% contre 0,05% à fin 2017. Android «Lollipop» 5.1 a vu sa part de marché en Algérie dégringoler à 19,83%, contre 27,61% en 2017. «KitKat» 4.4 a également chuté à 9,32% (contre 16,98% un an plus tôt).
Smartphones Android qui datent
Près d’un smartphone sur quatre utilisé en Algérie fonctionne sous Android «Marshmallow» 6.0, un OS sorti en 2015. Cette version équipe des smartphones mis en vente entre 2014 et 2015. Il s’agit, à titre d’exemple, des : Galaxy Note 4 (2014), le Galaxy Note Edge (2014), le Galaxy S6 Active (2015), Xperia M4 Aqua (2015), Xperia Z3 (2014), Xperia Z3 Compact (2014), Huawei P8 (2015), Huawei P8 Lite (2015), HTC One M8 (2014), ou encore LG G3 (2014). L’OS «Nougat» 7.0 sorti en 2016 équipe plus de 21% des smartphones en Algérie. Cette version équipe des smartphones relativement plus récents, comme : Galaxy A3 et Galaxy A5 (sortis en 2014 et 2015), Galaxy Note 5 (2015), Xperia Z5 (2016), Huawei P9 (2016), Huawei P9 Lite (2017), HTC One A9 (2015), LG G5 (2016) et LG G4 (2015). Le plus récent des OS Android en Algérie est «Oreo» 8.0. Il équipe 6,34% des smartphones à fin 2018, contre 0,05% à fin 2017. Des smartphones plus récents fonctionnent sous Oreo. Il s’agit, entre autres, de : Galaxy S8, Galaxy S8 Plus, de la famille Xperia XZ, X, et X Compact, et de Huawei P10.
iPhone : iOS 12 à plus de 40%
Dans la famille iOS, le système d’exploitation mobile d’Apple, la part de marché la plus importante en 2018 revient à la version la plus récente, à savoir iOS 12.0 et iOS 12.1 qui totalisent plus de 40% des terminaux mobiles de la firme de Cupertino. Cette prédominance de la version 12 au sein la famille iOS indique qu’il s’agit d’iPhone (et à moindre mesure d’iPad) très récents. Ainsi, iOS 12.1 représente 31,9% du parc iPhone en Algérie en 2018, suivi de iOS 10.3 avec 11,29% (contre 18,21% en 2017), iOS 11.4 avec 11.09%, iOS 9.3 (9%), iOS 12.0 (8.37%), et iOS 7.1 avec 5.9%. Les plus récents iOS (versions 12 et 11) représentent au total 51,36% du parc Apple des terminaux mobiles (essentiellement l’iPhone). iOS 12 fonctionne sous : iPhone 6S et 6S Plus, iPhone 7 et 7 Plus, iPhone 8 et 8 Plus, iPhone X. Quant aux tablettes Apple, l’iOS 12 est compatible avec : iPad Pro 11 et 12,9 pouces, les iPad (6e gen), iPad Pro 9,7 et 10,5 pouces.
Samsung en tête des ventes en Algérie
Toujours selon les données de StatCounter, Samsung est en tête des terminaux mobiles les plus utilisés en Algérie avec 31,48% (contre 29,93% en 2017), suivi de Condor avec 21,14% (22,93% un an plus tôt), Huawei 6,05% (contre 5,67% en 2017), LG 5,56% (5,55%), Oppo 5,47% (5,26%), et des marques inconnues (selon StatCounter) avec 16,39% (12,05% l’année d’avant).
Plusieurs marques de smartphones ont enregistré une baisse de leurs parts de marché en 2018 en Algérie. Il s’agit de Lenovo 2,74% (3,19% en 2017), Apple 2,84% (contre 3,79%), Wiko 2,32% (3,48%), et Sony Ericsson 1,21% (1,94%). Concernant les résolutions d’écran les plus populaires en Algérie, il s’agit de : 360×640 (35,81%), 720×1280 (14,69%), 480×855 (7,97%), 320×570 (5,31%), 480×801 (3,5%) et 320×534 (3,31%).
A. Z.
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Le ministre de la Jeunesse et des Sports, Mohamed Hattab a indiqué, mardi à Boumerdès, que des mesures avaient été prises pour trouver une solution au problème du financement, faisant état de la relance de la réalisation de la tranche restante du nouveau stade de football de Bordj Menaïel, d’une capacité de 10.000 places.
«Des mesures sont en examen en vue de relancer les travaux du stade de 10.000 places à travers une étude menée, conjointement avec le secteur des finances, par un groupe de travail après l’inscription du projet parmi les projets clés du secteur qui connaitront un dégel financier», a indiqué le ministre lors d’une déclaration à la presse au cours de son inspection du stade communal Salah-Tkdjerad en marge de sa visite de travail et d’inspection au niveau d’un nombre de projets de jeunes et de sports à travers la wilaya de Boumerdès. Et d’ajouter : «Le stade de Bordj Menaïel, dont le lancement de la réalisation de certaines infrastructures et d’environ 5000 places a été entamé, constitue l’une des priorités, tant sur le plan local que sectoriel. Un intérêt particulier est accordé à ce projet en vue de le réinscrire et de fournir son financement sectoriel dans le but de parachever la réalisation de la tranche restante.»
Il est à rappeler que les travaux de la 1re tranche du projet accomplie consistent en le terrassement de ce stade et la réalisation des piliers et des tribunes (5 000 places). Le montant pour la réalisation de la 2e partie restante du projet s’élève à près de 2 milliards DA et comprend la réalisation de 5 000 places, d’une pelouse naturelle et une clôture de sécurité ainsi que de différentes commodités annexes.
Inscrit en 2006, le projet a bénéficié d’une enveloppe préliminaire de près de 500 millions DA, déjà consommée, avant d’être complétée par une dotation supplémentaire de 1,6 milliard de dinars, au titre du programme complémentaire 2014, dans le cadre d’une réévaluation de la première tranche. Cependant, cette enveloppe avait été gelée pour cause d’austérité. Les travaux de réalisation de ce stade n’ont démarré qu’en 2012, pour des problèmes de foncier, puis arrêtés en 2014, pour des considération financières. L’infrastructure est implantée sur une superficie de plus de 10 ha, à la sortie nord de la ville, à hauteur de la RN 12 reliant Tizi-Ouzou et Boumerdès.
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par Ali Chabana
Lors d’une patrouille effectuée sur la route reliant Tébessa à Souk Ahras, les gendarmes ont intercepté une voiture, sa fouille a permis la saisie d’une somme d’argent évaluée à 12 millions et 290 mille dinars tunisiens. Le convoyeur de la cagnotte a été arrêté pour transfert illégal d’argent.
Par ailleurs, les éléments de la Gendarmerie nationale ont récupéré une quantité de boissons alcoolisées, sur le tronçon routier de la RN 16 entre la localité de Boulhaf Dyr et Tébessa, soit 1.320 unités. Là également, le conducteur de la voiture a été arrêté, selon le communiqué de la Gendarmerie nationale.
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par A. El Abci
Le siège de la daïra a été pris d’assaut, hier matin, par des citoyens demandeurs de logements sociaux, qui ne se sont pas retrouvés dans la 2ème liste des 2.500 bénéficiaires de logements sociaux, qui a été affichée, très tôt, dans la journée de ce mercredi, aux 10 secteurs urbains de la commune de Constantine et sur le site de la wilaya.Il s’agit, surtout, de protestataires détenteurs de décisions de pré-affectation et d’autres qui n’en possèdent pas, et qui dénoncent, en commun, le fait que leurs noms ne figurent pas sur cette liste de bénéficiaires. « Cela, ajoutent-ils, malgré les promesses du chef de daïra, qui nous demandait, à chaque fois, de patienter et vous ne serez pas déçus, disait-il. « On peut lui répondre, donc, que nous avons patienté, mais nous sommes encore déçus », raillent des manifestants. Un groupe de femmes brandissant des pancartes, portant la date du dépôt de leurs dossiers et d’autres demandant « le départ du wali », ont affirmé être à ce sit-in, avant 8h et ont trouvé, déjà, beaucoup de policiers sur place. Quoi qu’il en soit, aussi bien les bénéficiaires de pré-affectations que les non bénéficiaires, se sont mis d’accord pour descendre en flamme le wali et le chef de daïra, dont ils sont mécontents et qu’ils considèrent comme responsables de leur « exclusion » de cette liste.
Peut-être même des autres, si c’est vrai qu’il y en a d’autres, renchérit un habitant Sidi Mabrouk, qui se présente comme faisant partie de ceux qui ont les pré-affectations en poche, mais qui sont « oubliés », à chaque fois, et sûrement « exclus » du logement social. «C’est de la hogra’, j’ai déposé mon dossier, en 1990, alors que d’autres l’ont fait en 2002 et 2003, et ils figurent sur la liste des bénéficiaires », dira-t-il.
Un autre protestataire affirme que les noms de gens habitant hors de la wilaya ont été affichés, mais pas le sien ni ceux d’autres personnes originaires de Constantine.
Le chef de daira, Azzedine Antri, dans une déclaration faite à la radio, hier, a précisé que des instructions fermes ont été données à ces 10 secteurs, pour accueillir tous les recours, car c’est seulement à leur niveau que l’opération doit se faire, en sus, du nouveau centre installé à la salle Ahmed Bey (ex Zénith). Rappelant que le délai pour le dépôt de ces recours est de 8 jours, à compter d’hier, 16 janvier.
Le wali a rassuré, pour sa part, que la dernière liste comportant les détenteurs des pré-affectations, sera affichée, dans 2 mois et à laquelle seront intégrés également les anciens bénéficiaires de bons’ de l’OPGI.
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par El-Houari Dilmi
«Les logements sociaux vides ou sous-loués seront récupérés et mis à la disposition du wali», c’est ce qu’a déclaré lundi le directeur général de l’Office de promotion et de gestion immobilière (OPGI) non sans susciter une certaine inquiétude chez ceux qui sont dans cette situation. En effet, le premier responsable de l’OPGI a expliqué que «des équipes ont été constituées pour recenser les logements sociaux inoccupés ou sous-loués afin de les mettre à la disposition du wali». «Les logements ainsi récupérés seront redistribués à ceux qui les méritent», a encore indiqué le DG de l’OPGI. Toujours selon ce dernier, «même les logements distribués durant cette année, comme à la cité des 1900 logements, n’ont pas encore été occupés. Leurs bénéficiaires ont pourtant pris possession de leurs clefs», a-t-il révélé.The post Tiaret: Les logements sociaux inoccupés ou sous-loués seront récupérés appeared first on .