Un orchestre symphonique amazigh sera créé « prochainement », a indiqué samedi à Tizi-Ouzou, le ministre de la culture, Azzedine Mihoubi.
« Nous avons décidé entre autres projets qui contribuent à la promotion de la culture amazigh de créer un orchestre symphonique qui se chargera de reprendre, sous forme philarmonique, les œuvres des grands artistes amazigh », a souligné, M. Mihoubi en inspectant certains projets de son secteur dans la wilaya.
Cet orchestre sera conduit par le maestro Amine Kouider, directeur de l’Orchestre symphonique national, et composé essentiellement de musiciens de la région qui connaissent déjà ces œuvres.
Citant plusieurs figures de la chanson amazigh ayant « une notoriété mondiale », à l’instar de Slimane Azem, Nouara, Akli Yahiatène, Matoub Lounes, Idir, Taleb Rabah et Lounis Ait Menguellet, le ministre a considéré que leurs œuvres gagneraient d’avantage à être « traduite en symphonies ».
En outre, et s’agissant des projets de création d’un conservatoire de musique et d’un Opéra dans la wilaya, le ministre a assuré que ces projets sont « gelés et non annulés ». « Il y a certains projets qui sont gelés mais non pas annulés et qui seront réalisés dès que les moyens financiers le permettent » a-t-il indiqué, à ce propos.
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Plusieurs réserves émises par la Commission de visionnage du Centre national d’études et de recherches sur le mouvement national à propos du film « Ben M’hidi » de Bachir Derrais ont été levées, a fait savoir samedi à Tizi-Ouzou, le ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi.
« Plusieurs réserves émises sont en train d’être prises en charge et le passage à l’étape d’exploitation du film est en bonne voie », a souligné M. Mihoubi.
Il a dans ce sens ajouté: « il est temps de mettre fin à cette polémique qui ne bénéficie ni au cinéma ni à Ben M’hidi que nous ne devons pas laisser otage de ces polémiques sans intérêt ».
S’exprimant lors d’un point de presse à l’occasion du premier coup de manivelle du film « Si Mohand Ou M’hand » à Djamaa N’Saridj, (25 Km à l’Est de Tizi-Ouzou), M. Mihoubi a expliqué que les ministères des Moudjahidines et de la Culture n’ont rien à avoir dans ce « différend artistique entre la commission de visionnage et le réalisateur ».
Les deux ministères qui financent le film, a-t-il précisé, « ont juste demandé au réalisateur qui a voulu imposer une vision particulière, le respect du scénario initial convenu entre les deux parties ».
Le Centre national d’études et de recherches sur le mouvement national qui a la charge de suivre les films et documentaires traitant de la guerre de libération nationale (1954-1962) avait émis des réserves sur le contenu du film et le traitement.
S’agissant du film sur Si Mohand Ou M’hand, du réalisateur Ali Mouzaoui, le ministre a indiqué que son département mettra tous les moyens nécessaires, logistiques et financiers pour la réalisation de ce projet qui, a-t-il dit, participe au travail de « sauvegarde de la culture et de la mémoire historique de l’Algérie ».
Dans le même sillage, Il a estimé que « le legs de Si Mohand Ou Mhand, qui a laissé son empreinte dans chaque coin du pays, mérite de bénéficier de l’intérêt des chercheurs et des historiens ».
Pour sa part, M. Mouzaoui a considéré que la réalisation de ce film « consacre le couronnement d’une volonté politique de promotion de la culture amazighe et d’une soif culturelle de production », soulignant que « Si Mohand Ou Mhand a été un communicateur qui a porté la voix et la détresse du peuple algérien ».
Le ministre qui a visité plusieurs projets relevant du secteur de la culture comme le cinéma Djurdjura et le théâtre de verdure qui seront livrés au courant de cette année, a relevé « le dynamisme culturel » qui caractérise la wilaya de Tizi-Ouzou, appelant les élus locaux à « accompagner cette dynamique qui rayonne au-delà de ses frontières et du pays ».
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Le président du parti Tadjamou Amel Al-Djazaïr (TAJ), Amar Ghoul a appelé, samedi à Alger, à la l’élaboration d’une charte de déontologie de la pratique politique pour « hisser le niveau de l’activité politique », à travers la présentation d’opinions et de programmes « loin de toute invective ».
Lors d’une conférence de presse animée au terme de l’inauguration du bureau communal de sa formation politique dans la commune de Bordj El Kiffan, Amar Ghoul a affirmé que son parti « demeure fidèle à ses principes nationaux et reste attaché à l’élaboration d’une charte de déontologie pour la pratique politique ».
Dans ce cadre, M. Ghoul a réitéré « l’attachement du parti à l’idée de la tenue d’une conférence de consensus national pour unifier les rangs des enfants de la patrie et dépasser tous les différends à travers l’appui au dialogue constructif et la mobilisation de tous pour relever les défis actuels ».
Ces enjeux exigent « le resserrement des rangs des enfants de la nation », a lancé le président de TAJ qui souhaite que cette conférence soit organisée juste après la présidentielle du 18 avril prochain pour construire l’Algérie et la rendre pionnière dans divers domaines ».
Par ailleurs, M. Ghoul a salué la convocation du corps électoral par le président de la République, réitérant le soutien constant et permanent de son parti au président de la République pour poursuivre la direction du pays de façon à préserver les acquis et les réalisations accomplies, notamment en ce qui concerne la réconciliation nationale et le rétablissement de la sécurité et de la stabilité et à poursuivre les réformes pour relancer le développement dans différents domaines ».
Par ailleurs, M. Ghoul a appelé les militants de son parti à « se rapprocher des citoyens, noter leurs préoccupations et les soulever aux autorités concernées ».
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La justice a ouvert en 2018 près de 200 affaires relatives à l’émigration clandestine donnant lieu à la comparution de 344 individus et à 24 condamnation, a révélé samedi à Alger le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du Territoire, Noureddine Bedoui.
« Nous avons donné des instructions fermes aux services de sécurité d’intensifier les enquetes et de focaliser les efforts sur le démantèlement des réseaux de trafic et la lutte contre les passeurs, en donnant la priorité à ces actions dans leurs plans opérationnels », a indiqué M. Bedoui à l’ouverture des travaux du Forum national sur le phénomène de l’émigration clandestine par la mer (ou harga).
Il a affirmé, à ce propos, que « ces efforts ont permis, durant l’année 2018, le démantèlement de plusieurs réseaux, l’ouverture de près de 200 affaires par la justice, la comparution de 344 individus devant les juridictions compétentes, dont 24 ont été condamnés à des peines d’emprisonnements fermes pour plusieurs années ».
Soulignant que « ces efforts se poursuivent pour identifier davantage de passeurs », le ministre a expliqué que « de tels actes ne sont pas fortuits mais soigneusement et minutieusement planifiés par des individus, qui font, malheureusement, dans cette odieuse activité ». »Les investigations des services compétents montrent que parmi les facteurs de la montée de ce phénomène, l’existence d’individus qui organisent minutieusement ces voyages en effacant toutes traces de leurs actes criminels », a-t-il précisant ajoutant qu’il s’agit d’individus « qui ont vendu leur conscience pour le profit au point ou la vie de ces jeunes ne compte plus pour eux ».
Le ministre a évoqué, en outre, la découverte de « choses honteuses et révélatrices du caractère abject de ces trafiquants et à quel point ils sont dénués de toute notion d’humanisme » en poussant vers la mort des jeunes innocents et inconscients du danger à bord d’embarcations hasardeuses et un matériel non conformes aux normes de sécurité.
Dans ce contexte, M. Bedoui a appelé tous les corps de sécurité à « consentir davantage de sacrifice et d’efforts afin de mettre en échec les plans ourdis ici et là pour faire miroiter aux jeunes ce rêve illusoire et fatal, dont les héros sont des criminels en quete de profit au détriment de la vie de nos jeunes fourvoyés », promettant à ces individus que leurs méfaits ne resteront pas sans sanctions et que la justice ne les toléra jamais.
Les travaux de ce Forum de deux jours est une occasion pour étudier ce phénomène dans tous ses aspects, ambitionne d’etre un espace de débat, de concertation et d’échange sur une approche objective et scientifique concernant le phénomène de la harraga.
Ce forum sera également rehaussé par quatre ateliers sur les thèmes de « Sensibilisation, communication et cyberespace : pour une action préventive commune », « Intégration économique des jeunes : de la jeunesse dans le domaine économique : réalités, contraintes et enjeux », « Programmes de jeunesse, de culture et de loisir : entre réalité et aspirations pour une attractivité meilleure », et « Role des organisations de la société civile dans la prise en charge de la jeunesse : travail de proximité, médiation et réseautage ».
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Les assises nationales du tourisme, prévues lundi et mardi au Palais des nations (Alger), constituent une occasion idoine pour évaluer et enrichir le Schéma directeur d’aménagement touristique (SDAT), approuvé en 2008, et dégager une vision prospective à l’horizon 2030, a indiqué un responsable du secteur.
Organisées par le ministère du Tourisme et de l’artisanat, en coordination avec l’Agence nationale de développement du tourisme (ANDT), sous le haut patronage du président de la République, les assises nationales du tourisme constituent « une occasion idoine pour mettre en avant, en toute objectivité, les points positifs et négatifs du SDAT, afin de palier les lacunes et adopter des plans et des programmes susceptibles de promouvoir le tourisme en Algérie, dans le cadre d’une vision prospective basée sur la réalisation des objectifs du développement intégré », a déclaré à l’APS, le directeur général de l’ANDT, Noureddine Nedri.
Larencontre qui verra la participation de quelque 1000 représentants de différents partenaires, professionnels et acteurs permettra également de rechercher les moyens d’adapter ce schéma aux nouveautés enregistrées dans le domaine du tourisme, afin d’asseoir une destination Algérie singulière, diversifiée, durable et attractive ».
Ces assises seront sanctionnées de recommandations « susceptibles de relancer les différentes formules touristiques pour aboutir à une vision future qui tienne compte des importants atouts naturels, civilisationnels, culturels, religieux, historiques et archéologiques que recèle l’Algérie, a-t-il poursuivi.
Rappelant que les assises régionales organisées précédemment au sud, à l’est et au centre du pays, M. Nedri a souligné l’importance des assises nationales pour « la promotion et la diversification de l’activité touristique, en oeuvrant à assurer la qualité, à respecter l’environnement et à construire une destination touristique capable de capter des marchés internationaux, couvrir la demande interne et offrir des prestations de qualité à la hauteur des attentes du client ».
Il a estimé, en outre, que le schéma soumis au débat et à l’actualisation « est un cadre référentiel pour développer le tourisme, élaborer des visions prospectives en la matière et arrêter des mécanismes opérationnelles pour la concrétisation des objectifs de construction de cette destination, à travers la diversification de l’offre touristique nationale et l’élaboration de programmes promotionnels en vue de faire connaître les potentialités touristiques de l’Algérie et encourager l’investissement ».
Les participants à ces travaux devront mettre l’accent, selon M. Nedri, sur l’impératif de « généraliser la numérisation du secteur en termes de gestion de dossiers et de programmes sectoriels pour faciliter les procédures administratives relatives à l’investissement et sur l’importance de consolider l’action commune avec les secteurs concernés, en l’occurrence l’environnement, les transports, la santé, les collectivités locales, la formation et la recherche scientifique ».
L’importance de renforcer la décentralisation de la gestion et de la prise de décision et de veiller à l’application des différents programmes de développement, seront également mis en avant, a-t-il ajouté. Ils devront débattre également des moyens à même de « dynamiser et parfaire l’offre touristique et proposer un cadre juridique et réglementaire le régissant », « la modernisation des établissements de formation relevant du secteur et l’actualisation des programmes pédagogiques » outre « la promotion de la culture touristique dans la société ».
Les travaux se poursuivront au niveau de quatre ateliers consacrés à « l’examen de la révision du schéma en mettant en relief les insuffisances dont souffre le secteur, notamment, la formation à adapter au volume des investissements en cours de réalisation et les moyens de transport à améliorer. L’apport du secteur au PIB a été estimé l’année écoulée à 3%.
Outre le tourisme côtier et thermal, ces ateliers se pencheront, en particulier, sur le tourisme saharien qui intéresse désormais beaucoup de touristes, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays, a encore précisé M. Nedri qui évoqué, par ailleurs, le développement des zones frontalières et la généralisation des TIC et leur exploitation au service du tourisme.
Il sera question également de « l’amélioration des prestations touristiques à travers la révision du système de formation spécialisée et sa modernisation pour être au diapason des nouveaux enjeux et de l’adaptation de la législation aux derniers développement et de l’accompagnement des opérateurs afin de hisser ces prestations au niveau des standards internationaux outre la nécessaire réhabilitation des structures hôtelières publiques ».
S’étalant jusqu’au 2030, le SDAT se déroule en deux phases principales, la première étant le lancement effectif du processus de développement du tourisme et la consécration de l’acte de développement à travers la valorisation de la destination touristique, le renforcement du parc d’accueil, la promotion de la qualité, le soutien des maillons de la chaine touristique et l’appui du partenariat avec l’ensemble des secteurs concernés ».
Ce schéma a fixé les grands choix pour asseoir une véritable industrie touristique dans le cadre de la concrétisation de la nouvelle politique du développement touristique visant aménager des espaces d’investissement, promouvoir la destination Algérie, consolider les activités touristiques dans différentes régions du pays en vue de créer un équilibre régional, réaliser le développement et préserver le patrimoine naturel, culturel, civilisationnel et historique et permettre au tourisme de contribuer au développement en tant qu’alternative aux hydrocarbures.
Le SDAT repose sur cinq (05) dynamiques essentielles visant la promotion de l’activité touristique, la valorisation de la destination Algérie, la création d’une sorte de compétitivité, le développement de pôles et villages d’excellence à travers tous le territoire national, la rationalisation de l’investissement, le développement d’un label qualité et le concrétisé sur le terrain en vue de l’amélioration des prestations et le soutien à la formation conformément aux standards internationaux, outre l’appui au partenariat avec tous les secteurs concernés pour promouvoir le tourisme et assurer, de même, le financement permettant la réalisation des projets d’investissement.
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Le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Noureddine Bedoui, a indiqué samedi à Alger que 119 corps ont été repêchés et 96 autres personnes sont portées disparues suite à des tentatives d’émigration clandestine (harga) durant l’année 2018.
Dans une allocution prononcée à l’ouverture des travaux du Forum national sur le phénomène de la « harga » (émigration clandestine), le ministre a fait savoir que « durant 2018, les commissions de wilayas en charge du dossier ont enregistré le repêchage de 119 corps, dont la plupart n’avaient pas embarqué à partir des côtes algériennes », déplorant « des cas tristes et douloureux de jeunes, partis discrètement et qui n’ont donné aucun signe de vie depuis ».
Le nombre de ces disparus s’élève à 96 jeunes, a-t-il ajouté, soulignant que « les autorités compétentes œuvrent, sans cesse, à la recherche de ces disparus dans le but de connaitre leur sort et apaiser leurs familles », M. Bedoui a fait état « de dizaines de personnes sauvées en haute mer et empêchées ainsi de mettre leur vie en péril ».
Pour le ministre de l’Intérieur, « ces données qui traduisent l’ampleur et la gravité de la tragédie, devraient mobiliser toutes les forces et volontés pour se pencher sur ce phénomène et les facteurs de son évolution ».
Saluant, dans ce sens, « les énormes efforts déployés par les forces maritimes, les gardes côtes et l’ensemble des corps de sécurité pour « la protection et le sauvetage des jeunes » ainsi que tout le travail fourni pour lutter contre ceux qui sont derrière « les voyages de la mort, le ministre a appelé ces mêmes services à « davantage de sacrifice pour mettre en échec les plans des criminels dont la seule quête est l’argent au détriment de la vie des jeunes fourvoyés ».
Cette rencontre de deux jours, qui constitue une occasion pour étudier ce phénomène « dans tous ses aspects », ambitionne d’être un espace de débat, de concertation et d’échange entre tous les acteurs concernés dans le but d’analyser la situation à travers quatre ateliers sur les thèmes de « Sensibilisation, communication et cyberespace: pour une action préventive commune », « Intégration économique des jeunes: réalités, contraintes et enjeux », « Programmes de jeunesse, de culture et de loisir: entre réalité et aspirations pour une attractivité meilleure », et « Rôle des organisations de la société civile dans la prise en charge de la jeunesse: travail de proximité, médiation et résautage ».
Les participants à ce forum auront, également, à formuler plusieurs recommandations pour la mise en place d’un plan d’action global visant à endiguer ce phénomène.
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Le projet hydraulique d’envergure de transfert des eaux albiennes du champ de captage de la région de Béni-Ounif vers cinq commune de la wilaya a savoir Bechar, Kenadza, Abadla, Mechraa Houari-Boumediene et Erg Farradj, sera réceptionné et mis en service dès la fin du mois d’avril prochain, a annoncé vendredi à Bechar, le ministre des eaux Necib Hocine.
‘‘Cet important projet dont les travaux ont été lance au mois de juillet dernier dont le but de la sécurisation de l’alimentation en eau potable des habitants des mêmes collectivités, et qui s’inscrit au titre du programme du président de la république et de la stratégie nationale de mobilisation des eaux souterraines dans l’unique souci de la diversification des ressources d’alimentation en eau potable des populations de ces communes, vise aussi a mettre un terme a la dépendance de leur alimentation en eau du barrage de ‘‘Djorf Ettorba’’, sujet a des réduction de son volume a cause de sécheresses périodique’’, a précisé Necib Hocine en marge de sa visite du site de ce projet.
‘‘Cet important projet, qui vise à assurer une alimentation régulière en eau potable des mêmes communes a été précédé par la concrétisation d’une étude hydrogéologique réalisée par l’Agence nationale des ressources hydriques (ANRH), au titre d’un programme de mobilisation des ressources hydriques souterraines de la wilaya pour répondre aux besoins des populations de la région en eau potable’’, a souligne le membre du gouvernement.
‘‘A ce titre, une enveloppe financière d’urgence de 9,5 milliards DA a été allouée a réalisation afin de permettre le transfert quotidiennement de 30.000 m3 d’eau à partir de dix (10) forages d’une profondeur variante en 400 a 500 mètres, et qui sont tous localisés dans la région de Béni-Ounif, a expliqué le directeur général de l’agence nationale des barrages et des transferts hydrauliques (ANBT)’’.
‘‘Les travaux en cours de cette importante réalisation, confiée à des entreprises nationales, permettra la réalisation a la fin d’avril prochain de 190 km de conduites, de trois (3) stations de pompage et de deux grands réservoirs de 15.000 et 20.000 m3, qui seront alimentés à partir des forages précités’’, ajoute Arezki Beraki, dont l’agence pilote ce même projet.
‘‘Ce projet, qui est scindé en neuf (9) lots pour permettre une intervention plus soutenue des entreprises réalisatrices dans la perspective de sa réception a l’échéance annoncée par le ministre des ressources en eau des moyens humains et matériels très importants ont été déployés dans son site de concrétisation et dans le souci de répondre aux préoccupations des habitants des mêmes communes’’, a indiqué à l’APS, le même responsable de l’ANBT.
Ce projet hydraulique d’envergure qui a été accueillit favorablement par les populations de la région, vient aussi en application des mesures prises en mars 2018 par le ministre des ressources en eau, Hocine Necib, qui a insisté, lors de sa visite de travail dans la wilaya, sur la diversification des ressources hydriques pour l’AEP et ne pas dépendre exclusivement des eaux du barrage de ‘‘Djorf Torba’‘ qui restent une ressource aléatoire, dépendante de la pluviométrie.
‘‘C’est sous le sceau de l’urgence, et suite a la baisse aggravante des eaux du même barrage qu’une dizaine de grandes entreprises ont été consultées par l’ANBT, qui est chargée du pilotage et la gestion de ce projet pris en charge actuellement par huit (8) d’entre elles qui ont été choisies en étant les ‘‘moins-disantes’’ sur leur offre financière, et aussi en fonction de leur expérience dans le domaine de l’hydraulique et pour l’importance de leurs moyens humains et matériels à mettre à contribution pour la concrétisation du projet’’, ont tenu a souligne des responsables nationaux et locaux du secteur des ressources en eau.
Hocine Necib et au cours de sa visite d’inspection de ce projet a en outre décidé le renforcement de sa station de pompage pour permettre le transfert de 45.000 M3 d’eau par jour au lieu et place des 40.000 M3 prévus inégalement et ce dans le seul souci de la satisfaction davantage des habitants en AEP et aussi en prévision de l’extension urbaine de la ville de Bechar ou il est prévu la distribution de plus de 11.000 lots a bâtir au titre de l’auro-construction.
Coup d’envoi des travaux de réalisation d’une station de traitement et épuration des eaux usées.
Le ministre des ressources en eau et à l’occasion de sa visite de travail d’une journée à Bechar a aussi donne le coup d’envoi officiel des travaux de réalisation d’une station de traitement et épuration des eaux usées, (STEP), localisée au sud de cette ville.
Cette STEP destinée à la prise en charge des rejets d’une population de 386.000 habitants, dispose d’une capacité de traitement de 55.584 M3 d’eaux usées par procédé d’épuration boue activée a faible charge, selon la fiche technique du projet dont le cout de réalisation pour un délai de 30 mois est de plus de 5 milliards de DA, dégagé par le secteur des ressources en eau.
L’inscription et la réalisation de cette STEP a pour objectifs la protection de l’oued de Bechar des rejets des eaux de même qualité, les réutilisation des eaux épurées pour les besoins de l’irrigation agricole soit une superficie de 1.250 hectares ,la valorisation de la boue et la lutte contre les maladies a transmission hydrique (MTH), selon des responsables du secteur.
Une partie des eaux épurées sera à l’avenir rejeter dans le même oued, qui ferra a l’avenir l’objet d’un projet de réhabilitation pour en faire un véritable espace de détente et de loisirs des habitants de la ville de Bechar.
Sur le site de ce chantier, le ministre des ressources en eau a pris la mesure d’allouer un montant de 100 millions de DA pour la poursuite des travaux en cours de confortement et réhabilitation de cet espace naturel qui longe sur plus de 17 km la ville du même patronyme.
Le ministre des ressources qui a achevé sa visite de travail d’une journée dans la wilaya par une visite a la station de traitement des eaux du barrage de ‘‘Djorf Ettorba’’,qui a fait l’objet de rénovation pour lui permettre d’augmenter sa production de 40.000 a 45.000 M3 d’eaux destine a l’AEP des villes de Bechar, Kenadza et Abadla, a inspecte auparavant le projet finalise de rénovation de la conduite d’adduction d’eau potable sur 20 km d’Ouakda a Bechar, qui a nécessité un investissement public de plus de 400 millions de DA.
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Une révision exceptionnelles des listes électorales sera ouverte du 23 janvier au 6 février 2019, en prévision de l’élection présidentielle du 18 avril 2019, indique samedi le ministère de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire dans un communiqué.
Suite à la signature du Décret présidentiel fixant la date de la convocation du corps électoral au jeudi18 avril 2019, pour l’élection à la présidence de la République, le ministère « informe les citoyens et citoyennes qu’un période de quinze (15) jours de révision exceptionnelle des listes électorales sera ouverte du mercredi 23 janvier au mercredi 6 février 2019, en application de l’article de la loi organique n16-10 sur 25 aout 2016, relative au régime électoral », précise la meme source.
« A cette effet , tous les citoyens et citoyennes non-inscrits sur les listes électorales agés de dix-huit (18) ans révolus le jour du scrutin, soit le 18 avril 2019, sont invités à demander leur inscription sur la liste électorale de la commune de résidence », ajoute le communiqué, précisant que « les électrices et électeurs ayant changé de résidence doivent se rapprocher de leur nouvelle commune de résidence qui prendra en charge la procédure de radiation et d’inscription ».
La demande d’inscription doit etre appuyée par la présentation de deux documents, l’un justifiant l’identité et l’autre justifiant la résidence, souligne la meme source.
Les bureaux de vote chargés des élections au niveau des communes, « sont ouverts tous les jours de la semaine, de 9H 00 à 16h30, précise le communiqué du ministère.
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La campagne de dénombrement des oiseaux migrateurs, menée par la Conservation des forêts au niveau des zones humides de la wilaya d’Oran, a permis de constater un rejet massif des déchets industriels au niveau du lac Télamine, une zone humide classée Ramsar, a déploré le chef du réseau d’ornithologie régional, relevant de la Conservation des forêts.
‘‘Il nous a été très difficile de rester longtemps sur les lieux, tellement que les odeurs émanant du lac sont fortes. Dans certains endroits, l’odeur suffocante des produits chimiques était difficile à supporter’‘, a indiqué Mohamed Chami, président du réseau pour le dénombrement et de l’observation des oiseaux migrateurs au niveau des wilayas d’Oran, Relizane et Mascara.
Une chimiste, membre du réseau, a été chargée de faire des prélèvements suite à ce constat pour déterminer la nature des produits rejetés dans le lac, a précisé le responsable, ajoutant que les autorités sécuritaires seront saisies pour désigner les responsables de ‘‘cette catastrophe écologique’‘.
Pour sa part, l’ornithologue Ali Mahadji, associé pour la troisième année consécutive aux campagnes de dénombrement, a indiqué, à l’APS, qu’il a été témoin d’une scène où un camion-citerne était venu, il y a quelques jours, au lac pour déverser des produits dont l’odeur et la couleur laissent penser qu’il s’agit de déchets chimiques.
‘‘La situation est beaucoup plus critique cette année’‘, s’est-il alarmé, ajoutant qu’il est insoutenable de rester près du lac, tellement que les odeurs sont fortes.
La sonnette d’alarme sur l’état extrêmement pollué du lac, vers lequel se déversent quelque 80.000 m3 d’eau usées par jour, a été tirée depuis des années. Le projet pour la construction d’une station d’épuration à proximité de ce site naturel a été gelé. Il a été remplacé par une proposition de construire des bassins de décantation.
Beaucoup moins couteuse, la solution des bassins de décantation serait en mesure de dépolluer le lac. Le wali D’Oran, Mouloud Cherifi, avait validé le projet, lors d’une réunion avec les élus de l’APW, mais le projet peine toujours à voir le jour, a-t-on déploré.
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Cinq (5) narcotrafiquants ont été arretés à Tlemcen et Tissemsilt par des détachements de l’Armée nationale el populaire (ANP) et des éléments de la Gendarmerie nationale, indique samedi le ministère de la Défense nationale (MDN), dans un communiqué.
« Dans le cadre de la lutte contre la criminalité organisée et, suite à l’opération qui a permis, le 17 janvier 2019, de neutraliser un narcotrafiquant et de saisir (309) kilogrammes de kif traité à Hassi Khabi (3e Région militaire), un détachement de l’Armée nationale populaire a arrêté deux (2) narcotrafiquants, dans la meme zone, tandis que des Garde-frontières et des éléments de la Gendarmerie nationale ont appréhendé, à Tlemcen et Tissemsilt (2e RM), trois (3) narcotrafiquants et aisi (34,5) kilogrammes de kif traité », précise la meme source.
Par ailleurs et à In Guezzam (6e RM), un détachement de l’Armée nationale populaire « a arreté dix-huit (18) orpailleurs et saisi un véhicule tout-terrain, (4) groupes électrogènes, (4) marteaux piqueurs et divers outils d’orpaillage, alors que quinze (15) immigrants clandestins de différentes nationalités ont été interceptés à Adrar (3e RM) et Djanet (4e RM) ».
En outre, et suite à une opération de recherche et de sauvetage, des Garde-cotes « ont réussi à sauver trois (3) personnes coincées près de la plage de Oued Saboun à Skikda (5e RM) ».
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L’année 2018 n’a finalement pas été désastreuse pour l’Algérie, même si le taux de croissance réalisé est en deçà de celui prévu dans la loi de finances, qui a été fixé à 4%.
1 sur 2. Le gouvernement a atteint un objectif sur les deux qu’il s’était fixés. La perfor-mance réalisée en ce qui concerne l’inflation est remarquable. Elle devait exploser après que l’Exécutif a opté pour le financement non conventionnel. Finalement, elle a été maîtrisée. Un choix qui a donné libre cours à des scénarios ravageurs qui devaient conduire à la faillite de l’économie nationale. Le financement conventionnel étant réputé être créateur d’inflation. Un risque soulevé par la délégation du Fonds monétaire international qui avait séjourné en mars 2018 à Alger. Cette option qui a été vue d’un mauvais oeil par les experts de l’institution de Bretton Woods n’a non seulement pas produit d’effets pervers, mais elle a défié bien des estimations. Le taux d’inflation réalisé l’an dernier a été estimé à 4,5% au lieu des 5,5% prévus dans la loi de finances 2018. Et pour ne pas gâcher la fête, le grand argentier du pays l’a annoncé identique pour cette année. «Le taux d’inflation, estimé à 4,5% demeurera stable en 2019 comme il a été l’année d’avant», a déclaré Abderrhamane Raouya lors d’un point de presse tenu en marge d’une visite d’inspection et de travail qu’il a effectué, jeudi, à Sidi Bel Abbès. Le ministre des Finances a indiqué à cette occasion que le recouvrement fiscal a connu, également en 2018, une amélioration «notable», qui s’explique par les nouvelles méthodes adoptées dans ce sens et par les efforts déployés par les agents en charge de ces opérations tout en appelant les opérateurs économiques à se diriger vers les banques pour s’acquitter de leurs impôts. Les cadres et les agents chargés de l’opération doivent «redoubler d’efforts pour augmenter davantage les sommes engrangées lors de ces opérations», a indiqué le ministre. L’année 2018 n’a finalement pas été désastreuse pour l’Algérie, même si le taux de croissance réalisé est en deçà de celui prévu dans la loi de finances, qui a été fixé à 4%. «La croissance économique effective de l’Algérie a atteint 2,3% en 2018 en volume, contre 1,4% en 2017, alors que la loi de finances de 2018 tablait sur une croissance de 4%», indiquent les données provisoires du ministère des Finances publiées le 17 janvier. Une performance qui n’est pas si mauvaise que cela puisse paraître. La dégringolade des prix du pétrole et la baisse des revenus qu’en en tire le pays, de ses exportations, ne l’ont pas empêché d’afficher une résistance insoupçonnée qui indique que son économie n’est pas en si mauvaise santé qu’on veut nous le faire croire. Bien des pays industrialisés sont moins bien notés. En effet, si la croissance économique en Algérie a atteint 2,3% en 2018 contre 1,4% en 2017, pour croître à 2,7% en 2019 selon les prévisions du FMI, elle atteindra à peine 1,6% cette année en Italie et doit se situer à 1% l’an prochain. La France est dans le même cas de figure 1,6% en 2018 et 2019. Pas de quoi faire grise mine donc. Autre bonne nouvelle. Le Produit intérieur brut s’est lui aussi affiché à la hausse! Il s’est élevé à 20.509,5 milliards de dinars en 2018 contre 18.594,1 milliards de dinars en 2017. Selon la conversion faite par le ministère, le PIB a atteint 178,3 milliards de dollars en 2018 au lieu de 167,6 milliards de dollars en 2017. Quant au PIB hors hydrocarbures, il a enregistré une croissance de 4% en 2018 contre 2,2% en 2017, selon la même source. Le ministère des Finances a par ailleurs, annoncé que le prix moyen à l’exportation du pétrole algérien a été de 72,43 dollars en 2018 contre 52,71 dollars en 2017. Le niveau du prix du baril reste en définitive le baromètre incontestable qui indique l’état de santé de l’économie du pays. Tout comme il est l’artisan de ces chiffres de l’espoir…
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Avait-il des soupçons ou était-ce un pur hasard? L’enquête ouverte après le drame qui s’est déroulé, il y a deux jours, à Haï Chouf Lakdad dans la wilaya de Sétif, va le déterminer.
Un drame qui a failli coûter la vie à un jeune d’une vingtaine d’années. Ce dernier, inconscient et sûrement très amoureux, a eu la folle idée de s’introduire dans la maison parentale de sa bien-aimée en l’absence de son père. Peut-être que le jeune homme aimait se faire monter de l’adrénaline et qu’il avait pris l’habitude de le faire sans jamais se faire prendre mais le jour du drame, ce geste irréfléchi et audacieux a failli lui ôter la vie. Il va néanmoins l’envoyer à l’hôpital et pour longtemps. Tout va se passer très vite. Le père, on ne sait pour quelle raison va rentrer à la maison à un heure où il n’était pas attendu. A sa grande surprise, il va découvrir dans le lit de sa fille, la victime. Ahuri par ce qu’il venait de voir, l’homme accourt à la cuisine pour prendre un couteau et asséner plusieurs coups au ventre à l’amant de sa fille. Le laissant baignant dans son sang, il se dirige vers le salon, prend son téléphone et appelle les services de la sûreté et les agents de la Protection civile. Le jeune homme a été évacué d’urgence à l’hôpital, le père offusqué a été conduit par la police pour répondre de son acte.
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La marque au losange a renforcé, en Afrique, son leadership à 18,1% de parts de marché, avec 218 797 véhicules vendus, grâce notamment à sa performance au Maroc, en Afrique du Sud et en Égypte. Curieusement, le constructeur français ne fait aucunement référence au marché algérien, y compris son tableau relatif aux 15 principaux marchés de la marque à fin décembre 2018.
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Au premier jour des soldes dans la wilaya de Bouira, le centre commercial a été pris d’assaut.
En moins d’une journée, le rayon habillement a été complètement vidé.
Ce qui est un signe de la dégradation du pouvoir d’achat des Algériens et de leur prise de conscience de cette situation qui les pousse à mieux faire leurs comptes. Ce qui est également un signe de l’évolution de leur mode de consommation. Il est certain que le même comportement est observé dans les autres wilayas à l’occasion de l’ouverture de la période des soldes.
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Après la marche ayant rassemblé des centaines de milliers de citoyens à Béjaïa, la Coordination prévoit d’en organiser une autre à Tizi Ouzou, dont la date sera arrêtée aujourd’hui.
Dans un communiqué rendu public hier, la Coordination nationale des comités de soutien aux travailleurs de Cevital et aux investissements économiques appelle à “une réunion élargie aux représentants de la communauté universitaire, à l’ensemble de la société civile, tous les syndicats, toute la classe politique, tous les élus, ainsi qu’aux opérateurs économiques”, qui se tiendra aujourd’hui 19 janvier 2019, à 13h, à la maison de la culture Mouloud-Mammeri de Tizi Ouzou, “pour faire le point, se concerter, débattre, donner un prolongement à la marche du 11 décembre, et décider ensemble des actions à entreprendre pour entretenir la flamme de l’espoir permettant de sauvegarder Cevital, de pérenniser les emplois existants et de débloquer les investissements économiques garantissant la création d’emplois futurs”.
Dans une déclaration jointe à cet appel et ayant pour titre “L’acharnement continue, le combat continue !”, la même Coordination de soutien aux travailleurs de Cevital a tenu à rappeler que “depuis mars 2017, les bateaux transportant des équipements neufs et de dernière technologie du groupe Cevital destinés au projet de l’usine de trituration de graines oléagineuses sont interdits d’accostage et sont systématiquement refoulés par tous les établissements portuaires du pays. Ce projet répond à toutes les normes et est créateur d’un millier d’emplois directs et de 100 000 indirects. Cette attitude, que nous n’avons cessé de dénoncer, est sans fondement légal et réglementaire”.
Dans la même déclaration, la Coordination nationale des comités de soutien à Cevital rappelle que “les blocages injustes dont fait l’objet Cevital sont, en fait, étendus à d’autres filiales, dans d’autres régions, Samha et Brandt-Algérie à Sétif, Oxxo à Tizi Ouzou, le Hub portuaire de Cap-Djinet à Boumerdès, le projet d’Evcon à Blida”, tout en précisant que “dans sa démarche bien élaborée, orchestrée, synchronisée et organisée dans l’objectif de briser le plus grand investisseur du continent africain, le pouvoir met en danger l’avenir social, économique et la sécurité alimentaire de millions d’Algériens”. Par ailleurs, la même coordination affirme que “notre région, cible de ce pouvoir, subit aujourd’hui une politique de sabotage économique et de discrimination démontrée par le gel ou l’annulation de tous les projets structurants” et que “face à ce déni de justice et à cet acharnement, les Algériens ont pris leurs responsabilités devant l’histoire lors de la marche historique du 11 décembre 2018 où les femmes et les hommes, les vieux et les jeunes, les travailleurs et les chômeurs ont exprimé, par centaines de milliers, leur colère, avec calme et sérénité, mais aussi avec rage et détermination ; une marche de l’espoir qui constitue une étape importante dans l’histoire de la lutte des citoyens dans notre pays et qui a solidement consacré le choix populaire en faveur de l’Algérie qui produit comme solution à la crise économique qui frappe de plein fouet notre pays et particulièrement notre jeunesse”. Enfin, la Coordination nationale des comités de soutien aux travailleurs de Cevital et aux investissements économiques déplore qu’“à ce jour, le pouvoir continue de faire la sourde oreille et ignore le cri de la société et aucune lueur d’espoir n’est venue éclaircir l’avenir sombre dans lequel nous sommes englués”, tout en insistant sur le fait que “le bon sens et l’intérêt de la collectivité nationale doivent prévaloir sur tout autre considération”. D’où l’idée de maintenir et d’“élargir la contestation par des actions d’envergure, telles que des marches pacifiques à travers d’autres wilayas du pays, à commencer par Tizi Ouzou” où la Coordination se réunira, aujourd’hui notamment, pour arrêter la date de la prochaine action.
M. Haouchine
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Les dégâts causés par les catastrophes naturelles dans les différentes régions du pays en 2018 s’élevaient à 53 milliards de dinars, soit un peu plus de 800 millions de dollars.
Le ministre des Travaux publics et des Transports, Abdelghani Zaâlane, a réagi, jeudi dernier, lors d’une séance plénière à l’Assemblée populaire nationale (APN) consacrée aux questions orales, à la multiplication des dégâts et des malfaçons constatées, ces derniers mois, sur les ouvrages d’art, notamment les routes et les échangeurs. Pour un aveu, c’en est un, M. Zaâlane a indiqué que “la réalisation de nouveaux échangeurs requérait des études techniques et financières approfondies”. Citant l’exemple de la détérioration des tronçons de la RN1 dans la wilaya de Tamanrasset, dont les travaux de réhabilitation ont été confiés à une entreprise privée en 2014, mais toujours pas entamés, le ministre a fait savoir que son département avait dressé le constat nécessaire et procédé au changement du staff supervisant cette opération à la direction des travaux publics de la wilaya. À cet effet, une enveloppe de 550 milliards de centimes a été consacrée pour la prise en charge de 217 km sur différents tronçons de la RN1 qui constitue par ailleurs un chantier important, précise le ministre, ajoutant que trois entreprises publiques ont entamé la réalisation de plus de 200 km sur cet axe. Ceci dit, le ministre de tutelle n’a pas évoqué l’ensemble des tronçons affectés par les malfaçons, notamment celui de la RN12 ou encore des axes qui se détériorent sur l’autoroute Est-Ouest. En revanche, le délégué national aux risques majeurs au ministère de l’Intérieur, des Collectivités locale et de l’Aménagement du territoire, Tahar Melizi, a révélé que les dégâts causés par les catastrophes naturelles dans les différentes régions du pays en 2018 s’élevaient à 53 milliards de dinars, soit un peu plus de 800 millions de dollars. Ce responsable, qui intervenait à l’occasion de la célébration de la Journée nationale de la commune, a affirmé que l’Algérie avait connu, les deux dernières années, des catastrophes naturelles dangereuses, à l’image des inondations, des tempêtes et des incendies de forêts qui ont provoqué d’importants dégâts matériels et humains. En plus des cultures agricoles, des maisons et des écoles, des dizaines de tronçons routiers ont été détériorés, voire fermés à la circulation routière, durant l’année 2018, provoquant un ralentissement dans l’activité économique. “En dépit des mesures initiées et de la mobilisation de tous les moyens humains et matériels nécessaires, ces catastrophes ont révélé un déficit en matière de prévision et de gestion de ces phénomènes”, a avoué M. Melizi. Celui-ci rappellera que l’Algérie avait pris plusieurs mesures pour faire face à ces dangers par “le renforcement du cadre législatif et les projets de développement”. En parallèle, ce responsable a estimé qu’il était temps “de rattraper le retard en matière de gestion de catastrophes par le parachèvement du cadre juridique, le renforcement des institutions concernées, la formation des responsables et la sensibilisation des citoyens”.
Pour lui, “la prochaine étape dans la gestion des risques exige l’actualisation de la stratégie nationale en la matière, le parachèvement des plans sectoriels, l’élaboration de stratégies locales et un travail sérieux de la part des responsables en charge de la mise en œuvre de cette stratégie”, soulignant, dans ce cadre, que “les responsables locaux ne sont pas préparés pour remplir ces missions. La majorité des textes de loi relatifs à la lutte contre les risques majeurs sont dépassés. Il est temps de les adapter et de renforcer les capacités des collectivités locales en la matière”.
FARID BELGACEM
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Le célèbre architecte français, Jean Nouvel, croyait bien faire en envoyant une lettre d’explications aux 400 personnalités qui se sont élevées, il y a quelques semaines, contre sa désignation pour la restauration de La Casbah.
Cette missive a été rendue publique, il y a deux jours, sur le site du journal en ligne français Mediapart, par son confrère Léopold Lambert, qui est l’un des initiateurs de la pétition conduite contre lui. Celui-ci s’est principalement servi d’une phrase glissée par Jean Nouvel, à la fin de sa lettre, afin de le charger à nouveau.
Dans cette phrase, l’architecte considère que la France et l’Algérie se sont engagées depuis des années dans une relation d’amitié et qu’il faut tourner la page de la colonisation qui évoque, selon lui, des crimes, mais également des erreurs. “Un demi-siècle après, personne n’est responsable des crimes et des erreurs des générations d’alors”, a écrit Jean Nouvel. Ce qui a conduit Léopold Lambert à lui répondre, critiquant, par la même occasion, le déni qui entoure encore la question coloniale en France. “Je vous rappelle tout d’abord que de nombreuses personnes ayant participé aux ‘erreurs’ (sic) que vous évoquez sont toujours vivantes. Vous-même ne manquiez que de quelques années pour avoir le même âge des plus jeunes des policiers de Paris qui massacrèrent près de 300 manifestants pacifiques algériens le 17 octobre 1961. Il est vrai que les responsabilités à imputer sont moins individuelles que collectives. La France (dont nous formons tous deux une partie, que nous le voulions ou non), n’a jamais demandé pardon au peuple algérien pour 132 ans de meurtres, de pillages, de destructions, de tortures et d’humiliations. Le ‘crime contre l’humanité’ que constitue le colonialisme (que dénonçait il y a peu un candidat désormais président moins vocal à ce sujet) n’a pas de prescription et tout(e) Français(e) partage une certaine responsabilité de ce crime tant que celui-ci ne sera pas reconnu, regretté et réparé. Cela n’est donc pas à nous de dire que la page est tournée et que ‘l’heure est au respect mutuel et à l’amitié’”, a commenté l’architecte. À la place de l’amitié, Léopold Lambert évoque plutôt une sorte de patronage malsain qu’il ne souhaite pas voir son confrère endosser. “Je ne peux donc faire appel qu’à votre conscience pour vous demander à nouveau de ne pas vous rendre complice de ce que vous appelez un ‘mécénat’ de la région île-de-France. Veuillez laisser La Casbah à celles et ceux qui attendent toujours que les marques physiques et symboliques que le colonialisme a laissées sur leurs corps et leurs villes soient reconnues pour qu’elles puissent enfin s’estomper ; celles et ceux qui sont ce que La Casbah a fait d’elles/eux ; celles et ceux qui vivent celle-ci non pas comme un patrimoine d’un Unesco lointain, mais comme un lieu de vie, un lieu de mémoire et un symbole urbain de la lutte contre le colonialisme. Ces personnes ont parmi elles toutes les compétences, toute la connaissance et toute la légitimité à répondre aux difficultés que La Casbah traverse”, souligne l’architecte.
Le ton ne change pas de celui de la pétition publiée en décembre dernier, dans laquelle architectes, historiens, universitaires et artistes des deux rives de la Méditerranée ont contesté à la France son rôle dans “la revitalisation de La Casbah”, estimant qu’elle a, au cours de sa présence coloniale, mis en œuvre des transformations brutales qui visaient à contrôler ses habitants et à les ghettoïser. Dans sa réponse, Jean Nouvel a rappelé son parcours d’architecte engagé. Il a aussi mis en valeur sa capacité à adapter ses projets aux quatre coins du monde en tenant compte des spécificités environnementales. “Il est donc pour moi étonnant de lire que tant de professionnels de la profession soient contrariés du choix d’un architecte comme moi pour réfléchir sur une thématique de même ordre pour la ville d’Alger”, a-t-il déploré, confirmant son intention de prendre en charge la restauration de La Casbah. Il a annoncé, à cet égard, que l’étude a commencé.
Le projet implique outre la wilaya d’Alger et la Région Île-de-France, l’Institut d’aménagement et d’urbanisme d’Île-de-France, l’Agence nationale algérienne des secteurs sauvegardés, l’Agence nationale algérienne de gestion des réalisations des grands projets de la culture, l’Association des Amis d’Alger “Sauvons La Casbah”, ainsi que des architectes et urbanistes algériens.
S. L.-K.
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Le consul général a exclu tout traitement politique de la délivrance des visas aux Algériens.
Les Algériens ont eu moins de visas pour la France en 2018. C’est ce que révèlent les chiffres donnés par le consulat général de France à Alger. Ils sont, en effet, passés de 413 976 en 2017 à 297 104 en 2018. Soit une baisse considérable de 116 872 visas, même si la demande est restée, comme le reconnaissent les autorités consulaires françaises, la même durant les deux années. La demande était de 618 000 en 2017 et de 570 000 en 2018.
Selon Marc Sédille, consul général de France à Alger, cette baisse ne répond aucunement à des considérations politiques. Lors d’une rencontre avec la presse, jeudi, au siège du consulat, M. Sédille a expliqué que cette baisse est due principalement à deux raisons.
À savoir, le changement du prestataire de services, de TLS contact vers VFS Global, et ensuite, pour cause du resserrement du contrôle aux frontières à cause de la crise migratoire de 2015. “Il y a eu le changement de prestataire au début de l’année. Le consulat a cessé de recevoir les demandes pendant un mois”, a-t-il dit, ajoutant que cela “s’est traduit par une baisse du nombre de dossiers traités, donc du nombre de visas délivrés”. “Il n’y a pas de quota de visas pour les Algériens. La délivrance d’un visa répond exclusivement au dépôt d’un dossier complet avec des documents fiables”, a rassuré le responsable comme pour évacuer toute gestion politique du dossier des visas entre l’Algérie et la France. Pour lui, cette baisse ne s’explique que par les deux raisons susmentionnées, précisant que le taux de refus était de 40%, mettant l’accent sur le fait que les services consulaires d’Alger traitent la moitié des demandes à l’échelle nationale et que les deux autres consulats, celui d’Oran et celui d’Annaba, ne traitent que les 2/4 des demandes. Il a également rappelé que l’entrée en vigueur de la plateforme France-visa a uniformisé les justificatifs des demandes. C’est ce qui a mis fin, a-t-il souligné, au dispositif dérogatoire dont bénéficiaient auparavant certaines professions. Interrogé pour savoir si cette baisse se poursuivra pour l’année en cours, M. Sédille a estimé que 2018 était une année charnière et rien n’indique que cette tendance à la baisse sera maintenue en 2019.
Une dette hospitalière de 25 millions d’euros
Pour 2019, le consul général de France à Alger reste “optimiste” et précise que l’analyse d’une quelconque politique migratoire se fait sur la durée. “Nous avons délivré 297 104 visas en 2018” ce qui équivaut, a-t-il ajouté, “à une ville entière qui se déplace”, regrettant que le détournement de l’objet de visa ait provoqué une situation telle que la dette hospitalière privée cumulée par les Algériens a atteint 25 millions d’euros.
Cette dette ne concerne que les structures hospitalières de la région île-de-France, tenait-il à préciser. Parmi “les fraudeurs”, M. Sédille a souligné que les enquêtes effectuées ont démontré que “des personnes qui ont beaucoup de moyens ici en Algérie” recourent à cette pratique. Sans préciser l’identité de ces “personnes qui ont des moyens ici en Algérie”, M. Sédille a souligné que, partant de cette situation, “les contrôles de police révèlent que les Algériens en situation irrégulière sont nombreux, il y a beaucoup de mesures d’éloignement qui visent les Algériens”, a-t-il révélé. Concernant les “fausses” déclarations, M. Sédille a estimé que les gens “doivent nous dire la vérité sur leur situation”, indiquant que “tout le monde est conscient ici de la situation de l’informel”. Sur ce, il met en garde contre le recours à des intermédiaires. “Les demandeurs doivent constituer leurs dossiers eux-mêmes”, a-t-il dit, précisant que c’est “en fonction des documents que le demandeur dépose que cela démontre s’il est réellement en mesure de financer son séjour. Parfois, nous sommes face à une incohérence dans les déclarations”. “Les demandeurs doivent fournir des documents fiables”, a-t-il plaidé, ajoutant que près de 1/3 des recours ont été positifs.
Il faut noter qu’en 2017, les Algériens ont été classés deuxièmes parmi les quinze nationalités auxquelles ont été délivrés le plus grand nombre de visas. Les Chinois ont eu 849 039 visas en 2017. En 2018, l’Algérie est classée 4e bien après le Maroc, 3e avec 334 016 visas, la Russie (2e avec 372 451 visas) et toujours la Chine en pole position avec 875 994 visas.
Mohamed Mouloudj
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Ils stressent pour tout. Avant un rendez-vous médical, la veille d’un voyage, au moment de prendre le volant, avant un entretien d’embauche… La nervosité et l’angoisse étreignent ces grands stressés de la vie, sans raison valable. Ils s’agitent, s’inquiètent, perdent le sommeil et l’appétit. Impossible de canaliser leur stress. Ni les tisanes ni les cures de magnésium ne parviennent à leur rendre la sérénité. Témoignages
Ali, 55 ans
«Conduire à Alger me stresse beaucoup. Je me déplace en métro pour me rendre à mon travail, mais dès que je dois prendre le volant durant le week-end par exemple, je sens une sorte de fébrilité s’emparer de moi. Je redoute les embouteillages et ne supporte pas d’être bloqué dans la circulation. Dès que je suis pris dans un bouchon, je passe mes nerfs sur mon épouse et mes filles. Le stress me submerge aussi lorsque je dois aller quelque part. En vacances par exemple. L’idée d’un changement dans mon cadre de vie et mes habitudes ajoute à mon anxiété. Pour calmer mon agitation, je prends des compléments alimentaires de magnésium et de vitamine B6. Je fais des footings le week end afin de libérer cette mauvaise tension, mais c’est à peine si mon stress diminue.»
Nawel, 39 ans
«Je suis un cauchemar pour mon entourage ! Zéro patience envers mes enfants et mon mari. De retour à la maison après le travail, je stresse. Je supervise les devoirs de mes enfants en scrutant l’horloge. Si le temps des révisions déborde sur l’heure du dîner, je commence à crier. Pendant les compositions des petits, je me ronge les ongles. Je dors mal et m’imagine qu’ils vont avoir des notes catastrophiques. Mon époux est tout mon contraire. Il est plus zen que le dalaï-lama. Il se moque de moi puis s’énerve de toutes les mauvaises ondes que je dégage et que je transmets à toute la famille. Je n’y peux rien. Je suis une angoissée de la vie. Je fume beaucoup pour calmer mes nerfs. Je grignote également des aliments sucrés pour essayer de dompter mon stress. Le chocolat est mon allié quotidien et forcément, cela se répercute sur mon poids.»
Redouane, 47 ans
«Il y a des situations qui me stressent plus que d’autres. Celles qui sont liées aux attentes et aux espaces où il y a trop de monde en font partie. Aller régler une facture me stresse. Faire la queue pour acheter quelque chose me rend nerveux aussi. Lorsque je dois me rendre à une fête familiale, je stresse.
Il y a des personnes que je n’apprécie pas forcément mais je dois faire bonne figure et prendre sur moi en affichant un sourire hypocrite. La veille, je suis plein d’anxiété. Je deviens taciturne, fermé, silencieux. Mon stress à moi s’exprime ainsi.»
Manel, 28 ans
«Lorsque j’étais étudiante, je devenais malade à l’approche des examens à cause du stress. Mon médecin me prescrivait des calmants pour m’aider à trouver le sommeil et à maîtriser mes émotions. Je me disais que ça allait passer après mes études. Hélas, je suis toujours aussi stressée. Quand je me suis mariée, je suis rentrée dans une grande phase d’agitation. Je voulais tout superviser, tout contrôler. Ma famille me demandait de rester tranquille mais j’ai mis mon grain de sel partout. Juste avant la ‘‘tesdira’’ j’ai versé un torrent de larmes. C’était nerveux. Je vis avec le stress tout le temps. Lorsque j’ai un entretien d’embauche, je ne ferme pas les yeux la nuit qui précède ce rendez-vous. Je deviens une boule de nerfs et perds tous mes moyens devant mon recruteur. Recevoir des invités à la maison me stresse également. J’ai peur de rater mes préparations, j’angoisse à l’idée que mes invités trouvent mes plats insipides. Je veux que tout soit vraiment parfait. J’en fais des tonnes. Ces situations me fatiguent énormément car le plaisir se transforme en stress négatif.»
Chafia, 27 ans
«Avoir un rendez-vous galant est une grande source de stress pour moi. Je suis toujours à la recherche de l’homme de ma vie mais lorsque j’ai un tête-à-tête, je suis vraiment anxieuse.
J’ai une boule au ventre, l’envie de vomir et de prendre mes jambes à mon coup pour retrouver ma chambre. Il m’est arrivé d’annuler des rendez-vous juste à cause de ce stress insurmontable et paralysant.»
Un stress paralysant. Un stress angoissant provoqué par une peur inexplicable et irrationnelle. Les stressés de la vie ne parviennent pas à calmer cette envahissante nervosité qui leur gâche la vie.
En parler à un psychologue serait peut-être le premiers pas vers le chemin de la sérénité.
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Les élections primaires pour la désignation du candidat du groupe FLN au scrutin prévu prochainement pour la succession du président de l’Assemblée populaire de la wilaya (APW) de Annaba, Abdenacer Hamoud, élu le 29 décembre écoulé au Sénat, ont été remportées par Abdelatif Beddiar.
Celui-ci ayant occupé durant plusieurs mandats la présidence d’une commission au sein de cette assemblée locale.
Plusieurs autres candidats avaient pris le départ de la course dont deux ex-P/APW. Mais le candidat Beddiar avait obtenu une assez large marge, estimée au double, entre lui et le second. Il a, en effet, obtenu 16 voix alors que son poursuivant Farouk Jarraïa n’avait compté que 8 voix sur les 31 votants représentant le groupe FLN à l’APW. Supervisée par le membre de l’instance de coordination du parti, Samira Kerkouche, l’élection s’est déroulée jeudi à l’hôtel Mimosa Palace de Annaba. Ainsi, se termine une lutte en sourdine entre plusieurs membres du groupe FLN à l’APW Annaba pour décrocher ce poste tant convoité pour les avantages qu’il procure.
Mais avant l’élection du nouveau P/APW, le groupe du FLN est appelé à tenir une session pour la désignation d’un remplaçant à Abdenacer Hamoud au sein du groupe afin de compléter le nombre des 32 membres dont il dispose au sein de cette Assemblée contre 7 pour le Rassemblement national démocratique (RND).
Tout cela est lié d’abord à l’installation du Sénat dont la date devait intervenir ce dernier mardi 15 janvier courant.
Mais elle a été reportée en raison de l’établissement de la liste des membres du tiers présidentiel qui ne serait pas finalisée, estime-t-on.
A. Bouacha
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