La marque au losange a renforcé, en Afrique, son leadership à 18,1% de parts de marché, avec 218 797 véhicules vendus, grâce notamment à sa performance au Maroc, en Afrique du Sud et en Égypte. Curieusement, le constructeur français ne fait aucunement référence au marché algérien, y compris son tableau relatif aux 15 principaux marchés de la marque à fin décembre 2018.
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Au premier jour des soldes dans la wilaya de Bouira, le centre commercial a été pris d’assaut.
En moins d’une journée, le rayon habillement a été complètement vidé.
Ce qui est un signe de la dégradation du pouvoir d’achat des Algériens et de leur prise de conscience de cette situation qui les pousse à mieux faire leurs comptes. Ce qui est également un signe de l’évolution de leur mode de consommation. Il est certain que le même comportement est observé dans les autres wilayas à l’occasion de l’ouverture de la période des soldes.
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Après la marche ayant rassemblé des centaines de milliers de citoyens à Béjaïa, la Coordination prévoit d’en organiser une autre à Tizi Ouzou, dont la date sera arrêtée aujourd’hui.
Dans un communiqué rendu public hier, la Coordination nationale des comités de soutien aux travailleurs de Cevital et aux investissements économiques appelle à “une réunion élargie aux représentants de la communauté universitaire, à l’ensemble de la société civile, tous les syndicats, toute la classe politique, tous les élus, ainsi qu’aux opérateurs économiques”, qui se tiendra aujourd’hui 19 janvier 2019, à 13h, à la maison de la culture Mouloud-Mammeri de Tizi Ouzou, “pour faire le point, se concerter, débattre, donner un prolongement à la marche du 11 décembre, et décider ensemble des actions à entreprendre pour entretenir la flamme de l’espoir permettant de sauvegarder Cevital, de pérenniser les emplois existants et de débloquer les investissements économiques garantissant la création d’emplois futurs”.
Dans une déclaration jointe à cet appel et ayant pour titre “L’acharnement continue, le combat continue !”, la même Coordination de soutien aux travailleurs de Cevital a tenu à rappeler que “depuis mars 2017, les bateaux transportant des équipements neufs et de dernière technologie du groupe Cevital destinés au projet de l’usine de trituration de graines oléagineuses sont interdits d’accostage et sont systématiquement refoulés par tous les établissements portuaires du pays. Ce projet répond à toutes les normes et est créateur d’un millier d’emplois directs et de 100 000 indirects. Cette attitude, que nous n’avons cessé de dénoncer, est sans fondement légal et réglementaire”.
Dans la même déclaration, la Coordination nationale des comités de soutien à Cevital rappelle que “les blocages injustes dont fait l’objet Cevital sont, en fait, étendus à d’autres filiales, dans d’autres régions, Samha et Brandt-Algérie à Sétif, Oxxo à Tizi Ouzou, le Hub portuaire de Cap-Djinet à Boumerdès, le projet d’Evcon à Blida”, tout en précisant que “dans sa démarche bien élaborée, orchestrée, synchronisée et organisée dans l’objectif de briser le plus grand investisseur du continent africain, le pouvoir met en danger l’avenir social, économique et la sécurité alimentaire de millions d’Algériens”. Par ailleurs, la même coordination affirme que “notre région, cible de ce pouvoir, subit aujourd’hui une politique de sabotage économique et de discrimination démontrée par le gel ou l’annulation de tous les projets structurants” et que “face à ce déni de justice et à cet acharnement, les Algériens ont pris leurs responsabilités devant l’histoire lors de la marche historique du 11 décembre 2018 où les femmes et les hommes, les vieux et les jeunes, les travailleurs et les chômeurs ont exprimé, par centaines de milliers, leur colère, avec calme et sérénité, mais aussi avec rage et détermination ; une marche de l’espoir qui constitue une étape importante dans l’histoire de la lutte des citoyens dans notre pays et qui a solidement consacré le choix populaire en faveur de l’Algérie qui produit comme solution à la crise économique qui frappe de plein fouet notre pays et particulièrement notre jeunesse”. Enfin, la Coordination nationale des comités de soutien aux travailleurs de Cevital et aux investissements économiques déplore qu’“à ce jour, le pouvoir continue de faire la sourde oreille et ignore le cri de la société et aucune lueur d’espoir n’est venue éclaircir l’avenir sombre dans lequel nous sommes englués”, tout en insistant sur le fait que “le bon sens et l’intérêt de la collectivité nationale doivent prévaloir sur tout autre considération”. D’où l’idée de maintenir et d’“élargir la contestation par des actions d’envergure, telles que des marches pacifiques à travers d’autres wilayas du pays, à commencer par Tizi Ouzou” où la Coordination se réunira, aujourd’hui notamment, pour arrêter la date de la prochaine action.
M. Haouchine
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Les dégâts causés par les catastrophes naturelles dans les différentes régions du pays en 2018 s’élevaient à 53 milliards de dinars, soit un peu plus de 800 millions de dollars.
Le ministre des Travaux publics et des Transports, Abdelghani Zaâlane, a réagi, jeudi dernier, lors d’une séance plénière à l’Assemblée populaire nationale (APN) consacrée aux questions orales, à la multiplication des dégâts et des malfaçons constatées, ces derniers mois, sur les ouvrages d’art, notamment les routes et les échangeurs. Pour un aveu, c’en est un, M. Zaâlane a indiqué que “la réalisation de nouveaux échangeurs requérait des études techniques et financières approfondies”. Citant l’exemple de la détérioration des tronçons de la RN1 dans la wilaya de Tamanrasset, dont les travaux de réhabilitation ont été confiés à une entreprise privée en 2014, mais toujours pas entamés, le ministre a fait savoir que son département avait dressé le constat nécessaire et procédé au changement du staff supervisant cette opération à la direction des travaux publics de la wilaya. À cet effet, une enveloppe de 550 milliards de centimes a été consacrée pour la prise en charge de 217 km sur différents tronçons de la RN1 qui constitue par ailleurs un chantier important, précise le ministre, ajoutant que trois entreprises publiques ont entamé la réalisation de plus de 200 km sur cet axe. Ceci dit, le ministre de tutelle n’a pas évoqué l’ensemble des tronçons affectés par les malfaçons, notamment celui de la RN12 ou encore des axes qui se détériorent sur l’autoroute Est-Ouest. En revanche, le délégué national aux risques majeurs au ministère de l’Intérieur, des Collectivités locale et de l’Aménagement du territoire, Tahar Melizi, a révélé que les dégâts causés par les catastrophes naturelles dans les différentes régions du pays en 2018 s’élevaient à 53 milliards de dinars, soit un peu plus de 800 millions de dollars. Ce responsable, qui intervenait à l’occasion de la célébration de la Journée nationale de la commune, a affirmé que l’Algérie avait connu, les deux dernières années, des catastrophes naturelles dangereuses, à l’image des inondations, des tempêtes et des incendies de forêts qui ont provoqué d’importants dégâts matériels et humains. En plus des cultures agricoles, des maisons et des écoles, des dizaines de tronçons routiers ont été détériorés, voire fermés à la circulation routière, durant l’année 2018, provoquant un ralentissement dans l’activité économique. “En dépit des mesures initiées et de la mobilisation de tous les moyens humains et matériels nécessaires, ces catastrophes ont révélé un déficit en matière de prévision et de gestion de ces phénomènes”, a avoué M. Melizi. Celui-ci rappellera que l’Algérie avait pris plusieurs mesures pour faire face à ces dangers par “le renforcement du cadre législatif et les projets de développement”. En parallèle, ce responsable a estimé qu’il était temps “de rattraper le retard en matière de gestion de catastrophes par le parachèvement du cadre juridique, le renforcement des institutions concernées, la formation des responsables et la sensibilisation des citoyens”.
Pour lui, “la prochaine étape dans la gestion des risques exige l’actualisation de la stratégie nationale en la matière, le parachèvement des plans sectoriels, l’élaboration de stratégies locales et un travail sérieux de la part des responsables en charge de la mise en œuvre de cette stratégie”, soulignant, dans ce cadre, que “les responsables locaux ne sont pas préparés pour remplir ces missions. La majorité des textes de loi relatifs à la lutte contre les risques majeurs sont dépassés. Il est temps de les adapter et de renforcer les capacités des collectivités locales en la matière”.
FARID BELGACEM
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Le célèbre architecte français, Jean Nouvel, croyait bien faire en envoyant une lettre d’explications aux 400 personnalités qui se sont élevées, il y a quelques semaines, contre sa désignation pour la restauration de La Casbah.
Cette missive a été rendue publique, il y a deux jours, sur le site du journal en ligne français Mediapart, par son confrère Léopold Lambert, qui est l’un des initiateurs de la pétition conduite contre lui. Celui-ci s’est principalement servi d’une phrase glissée par Jean Nouvel, à la fin de sa lettre, afin de le charger à nouveau.
Dans cette phrase, l’architecte considère que la France et l’Algérie se sont engagées depuis des années dans une relation d’amitié et qu’il faut tourner la page de la colonisation qui évoque, selon lui, des crimes, mais également des erreurs. “Un demi-siècle après, personne n’est responsable des crimes et des erreurs des générations d’alors”, a écrit Jean Nouvel. Ce qui a conduit Léopold Lambert à lui répondre, critiquant, par la même occasion, le déni qui entoure encore la question coloniale en France. “Je vous rappelle tout d’abord que de nombreuses personnes ayant participé aux ‘erreurs’ (sic) que vous évoquez sont toujours vivantes. Vous-même ne manquiez que de quelques années pour avoir le même âge des plus jeunes des policiers de Paris qui massacrèrent près de 300 manifestants pacifiques algériens le 17 octobre 1961. Il est vrai que les responsabilités à imputer sont moins individuelles que collectives. La France (dont nous formons tous deux une partie, que nous le voulions ou non), n’a jamais demandé pardon au peuple algérien pour 132 ans de meurtres, de pillages, de destructions, de tortures et d’humiliations. Le ‘crime contre l’humanité’ que constitue le colonialisme (que dénonçait il y a peu un candidat désormais président moins vocal à ce sujet) n’a pas de prescription et tout(e) Français(e) partage une certaine responsabilité de ce crime tant que celui-ci ne sera pas reconnu, regretté et réparé. Cela n’est donc pas à nous de dire que la page est tournée et que ‘l’heure est au respect mutuel et à l’amitié’”, a commenté l’architecte. À la place de l’amitié, Léopold Lambert évoque plutôt une sorte de patronage malsain qu’il ne souhaite pas voir son confrère endosser. “Je ne peux donc faire appel qu’à votre conscience pour vous demander à nouveau de ne pas vous rendre complice de ce que vous appelez un ‘mécénat’ de la région île-de-France. Veuillez laisser La Casbah à celles et ceux qui attendent toujours que les marques physiques et symboliques que le colonialisme a laissées sur leurs corps et leurs villes soient reconnues pour qu’elles puissent enfin s’estomper ; celles et ceux qui sont ce que La Casbah a fait d’elles/eux ; celles et ceux qui vivent celle-ci non pas comme un patrimoine d’un Unesco lointain, mais comme un lieu de vie, un lieu de mémoire et un symbole urbain de la lutte contre le colonialisme. Ces personnes ont parmi elles toutes les compétences, toute la connaissance et toute la légitimité à répondre aux difficultés que La Casbah traverse”, souligne l’architecte.
Le ton ne change pas de celui de la pétition publiée en décembre dernier, dans laquelle architectes, historiens, universitaires et artistes des deux rives de la Méditerranée ont contesté à la France son rôle dans “la revitalisation de La Casbah”, estimant qu’elle a, au cours de sa présence coloniale, mis en œuvre des transformations brutales qui visaient à contrôler ses habitants et à les ghettoïser. Dans sa réponse, Jean Nouvel a rappelé son parcours d’architecte engagé. Il a aussi mis en valeur sa capacité à adapter ses projets aux quatre coins du monde en tenant compte des spécificités environnementales. “Il est donc pour moi étonnant de lire que tant de professionnels de la profession soient contrariés du choix d’un architecte comme moi pour réfléchir sur une thématique de même ordre pour la ville d’Alger”, a-t-il déploré, confirmant son intention de prendre en charge la restauration de La Casbah. Il a annoncé, à cet égard, que l’étude a commencé.
Le projet implique outre la wilaya d’Alger et la Région Île-de-France, l’Institut d’aménagement et d’urbanisme d’Île-de-France, l’Agence nationale algérienne des secteurs sauvegardés, l’Agence nationale algérienne de gestion des réalisations des grands projets de la culture, l’Association des Amis d’Alger “Sauvons La Casbah”, ainsi que des architectes et urbanistes algériens.
S. L.-K.
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Le consul général a exclu tout traitement politique de la délivrance des visas aux Algériens.
Les Algériens ont eu moins de visas pour la France en 2018. C’est ce que révèlent les chiffres donnés par le consulat général de France à Alger. Ils sont, en effet, passés de 413 976 en 2017 à 297 104 en 2018. Soit une baisse considérable de 116 872 visas, même si la demande est restée, comme le reconnaissent les autorités consulaires françaises, la même durant les deux années. La demande était de 618 000 en 2017 et de 570 000 en 2018.
Selon Marc Sédille, consul général de France à Alger, cette baisse ne répond aucunement à des considérations politiques. Lors d’une rencontre avec la presse, jeudi, au siège du consulat, M. Sédille a expliqué que cette baisse est due principalement à deux raisons.
À savoir, le changement du prestataire de services, de TLS contact vers VFS Global, et ensuite, pour cause du resserrement du contrôle aux frontières à cause de la crise migratoire de 2015. “Il y a eu le changement de prestataire au début de l’année. Le consulat a cessé de recevoir les demandes pendant un mois”, a-t-il dit, ajoutant que cela “s’est traduit par une baisse du nombre de dossiers traités, donc du nombre de visas délivrés”. “Il n’y a pas de quota de visas pour les Algériens. La délivrance d’un visa répond exclusivement au dépôt d’un dossier complet avec des documents fiables”, a rassuré le responsable comme pour évacuer toute gestion politique du dossier des visas entre l’Algérie et la France. Pour lui, cette baisse ne s’explique que par les deux raisons susmentionnées, précisant que le taux de refus était de 40%, mettant l’accent sur le fait que les services consulaires d’Alger traitent la moitié des demandes à l’échelle nationale et que les deux autres consulats, celui d’Oran et celui d’Annaba, ne traitent que les 2/4 des demandes. Il a également rappelé que l’entrée en vigueur de la plateforme France-visa a uniformisé les justificatifs des demandes. C’est ce qui a mis fin, a-t-il souligné, au dispositif dérogatoire dont bénéficiaient auparavant certaines professions. Interrogé pour savoir si cette baisse se poursuivra pour l’année en cours, M. Sédille a estimé que 2018 était une année charnière et rien n’indique que cette tendance à la baisse sera maintenue en 2019.
Une dette hospitalière de 25 millions d’euros
Pour 2019, le consul général de France à Alger reste “optimiste” et précise que l’analyse d’une quelconque politique migratoire se fait sur la durée. “Nous avons délivré 297 104 visas en 2018” ce qui équivaut, a-t-il ajouté, “à une ville entière qui se déplace”, regrettant que le détournement de l’objet de visa ait provoqué une situation telle que la dette hospitalière privée cumulée par les Algériens a atteint 25 millions d’euros.
Cette dette ne concerne que les structures hospitalières de la région île-de-France, tenait-il à préciser. Parmi “les fraudeurs”, M. Sédille a souligné que les enquêtes effectuées ont démontré que “des personnes qui ont beaucoup de moyens ici en Algérie” recourent à cette pratique. Sans préciser l’identité de ces “personnes qui ont des moyens ici en Algérie”, M. Sédille a souligné que, partant de cette situation, “les contrôles de police révèlent que les Algériens en situation irrégulière sont nombreux, il y a beaucoup de mesures d’éloignement qui visent les Algériens”, a-t-il révélé. Concernant les “fausses” déclarations, M. Sédille a estimé que les gens “doivent nous dire la vérité sur leur situation”, indiquant que “tout le monde est conscient ici de la situation de l’informel”. Sur ce, il met en garde contre le recours à des intermédiaires. “Les demandeurs doivent constituer leurs dossiers eux-mêmes”, a-t-il dit, précisant que c’est “en fonction des documents que le demandeur dépose que cela démontre s’il est réellement en mesure de financer son séjour. Parfois, nous sommes face à une incohérence dans les déclarations”. “Les demandeurs doivent fournir des documents fiables”, a-t-il plaidé, ajoutant que près de 1/3 des recours ont été positifs.
Il faut noter qu’en 2017, les Algériens ont été classés deuxièmes parmi les quinze nationalités auxquelles ont été délivrés le plus grand nombre de visas. Les Chinois ont eu 849 039 visas en 2017. En 2018, l’Algérie est classée 4e bien après le Maroc, 3e avec 334 016 visas, la Russie (2e avec 372 451 visas) et toujours la Chine en pole position avec 875 994 visas.
Mohamed Mouloudj
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Ils stressent pour tout. Avant un rendez-vous médical, la veille d’un voyage, au moment de prendre le volant, avant un entretien d’embauche… La nervosité et l’angoisse étreignent ces grands stressés de la vie, sans raison valable. Ils s’agitent, s’inquiètent, perdent le sommeil et l’appétit. Impossible de canaliser leur stress. Ni les tisanes ni les cures de magnésium ne parviennent à leur rendre la sérénité. Témoignages
Ali, 55 ans
«Conduire à Alger me stresse beaucoup. Je me déplace en métro pour me rendre à mon travail, mais dès que je dois prendre le volant durant le week-end par exemple, je sens une sorte de fébrilité s’emparer de moi. Je redoute les embouteillages et ne supporte pas d’être bloqué dans la circulation. Dès que je suis pris dans un bouchon, je passe mes nerfs sur mon épouse et mes filles. Le stress me submerge aussi lorsque je dois aller quelque part. En vacances par exemple. L’idée d’un changement dans mon cadre de vie et mes habitudes ajoute à mon anxiété. Pour calmer mon agitation, je prends des compléments alimentaires de magnésium et de vitamine B6. Je fais des footings le week end afin de libérer cette mauvaise tension, mais c’est à peine si mon stress diminue.»
Nawel, 39 ans
«Je suis un cauchemar pour mon entourage ! Zéro patience envers mes enfants et mon mari. De retour à la maison après le travail, je stresse. Je supervise les devoirs de mes enfants en scrutant l’horloge. Si le temps des révisions déborde sur l’heure du dîner, je commence à crier. Pendant les compositions des petits, je me ronge les ongles. Je dors mal et m’imagine qu’ils vont avoir des notes catastrophiques. Mon époux est tout mon contraire. Il est plus zen que le dalaï-lama. Il se moque de moi puis s’énerve de toutes les mauvaises ondes que je dégage et que je transmets à toute la famille. Je n’y peux rien. Je suis une angoissée de la vie. Je fume beaucoup pour calmer mes nerfs. Je grignote également des aliments sucrés pour essayer de dompter mon stress. Le chocolat est mon allié quotidien et forcément, cela se répercute sur mon poids.»
Redouane, 47 ans
«Il y a des situations qui me stressent plus que d’autres. Celles qui sont liées aux attentes et aux espaces où il y a trop de monde en font partie. Aller régler une facture me stresse. Faire la queue pour acheter quelque chose me rend nerveux aussi. Lorsque je dois me rendre à une fête familiale, je stresse.
Il y a des personnes que je n’apprécie pas forcément mais je dois faire bonne figure et prendre sur moi en affichant un sourire hypocrite. La veille, je suis plein d’anxiété. Je deviens taciturne, fermé, silencieux. Mon stress à moi s’exprime ainsi.»
Manel, 28 ans
«Lorsque j’étais étudiante, je devenais malade à l’approche des examens à cause du stress. Mon médecin me prescrivait des calmants pour m’aider à trouver le sommeil et à maîtriser mes émotions. Je me disais que ça allait passer après mes études. Hélas, je suis toujours aussi stressée. Quand je me suis mariée, je suis rentrée dans une grande phase d’agitation. Je voulais tout superviser, tout contrôler. Ma famille me demandait de rester tranquille mais j’ai mis mon grain de sel partout. Juste avant la ‘‘tesdira’’ j’ai versé un torrent de larmes. C’était nerveux. Je vis avec le stress tout le temps. Lorsque j’ai un entretien d’embauche, je ne ferme pas les yeux la nuit qui précède ce rendez-vous. Je deviens une boule de nerfs et perds tous mes moyens devant mon recruteur. Recevoir des invités à la maison me stresse également. J’ai peur de rater mes préparations, j’angoisse à l’idée que mes invités trouvent mes plats insipides. Je veux que tout soit vraiment parfait. J’en fais des tonnes. Ces situations me fatiguent énormément car le plaisir se transforme en stress négatif.»
Chafia, 27 ans
«Avoir un rendez-vous galant est une grande source de stress pour moi. Je suis toujours à la recherche de l’homme de ma vie mais lorsque j’ai un tête-à-tête, je suis vraiment anxieuse.
J’ai une boule au ventre, l’envie de vomir et de prendre mes jambes à mon coup pour retrouver ma chambre. Il m’est arrivé d’annuler des rendez-vous juste à cause de ce stress insurmontable et paralysant.»
Un stress paralysant. Un stress angoissant provoqué par une peur inexplicable et irrationnelle. Les stressés de la vie ne parviennent pas à calmer cette envahissante nervosité qui leur gâche la vie.
En parler à un psychologue serait peut-être le premiers pas vers le chemin de la sérénité.
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Les élections primaires pour la désignation du candidat du groupe FLN au scrutin prévu prochainement pour la succession du président de l’Assemblée populaire de la wilaya (APW) de Annaba, Abdenacer Hamoud, élu le 29 décembre écoulé au Sénat, ont été remportées par Abdelatif Beddiar.
Celui-ci ayant occupé durant plusieurs mandats la présidence d’une commission au sein de cette assemblée locale.
Plusieurs autres candidats avaient pris le départ de la course dont deux ex-P/APW. Mais le candidat Beddiar avait obtenu une assez large marge, estimée au double, entre lui et le second. Il a, en effet, obtenu 16 voix alors que son poursuivant Farouk Jarraïa n’avait compté que 8 voix sur les 31 votants représentant le groupe FLN à l’APW. Supervisée par le membre de l’instance de coordination du parti, Samira Kerkouche, l’élection s’est déroulée jeudi à l’hôtel Mimosa Palace de Annaba. Ainsi, se termine une lutte en sourdine entre plusieurs membres du groupe FLN à l’APW Annaba pour décrocher ce poste tant convoité pour les avantages qu’il procure.
Mais avant l’élection du nouveau P/APW, le groupe du FLN est appelé à tenir une session pour la désignation d’un remplaçant à Abdenacer Hamoud au sein du groupe afin de compléter le nombre des 32 membres dont il dispose au sein de cette Assemblée contre 7 pour le Rassemblement national démocratique (RND).
Tout cela est lié d’abord à l’installation du Sénat dont la date devait intervenir ce dernier mardi 15 janvier courant.
Mais elle a été reportée en raison de l’établissement de la liste des membres du tiers présidentiel qui ne serait pas finalisée, estime-t-on.
A. Bouacha
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L’institut supérieur de la formation paramédicale de Mostaganem a abrité, à la fin de la semaine dernière, une journée d’évaluation sur le plan anticancer. Ce rendez-vous a été organisé par la direction de la santé et de la population au profit d’une assistance constituée de spécialistes en oncologie, des généralistes formés en oncologie, des chefs d’établissements hospitaliers et du mouvement associatif.
Les dispositifs de dépistage de cancer dans la wilaya disposent de 25 structures sanitaires, 3 unités mobiles, 3 unités en cytopathologie, une unité d’anatomie pathologique avec un laboratoire d’ana-pathologique.
Prenant la parole, le responsable du registre cancer, le docteur Hennous, a présenté un tableau sur la situation épidémiologique du cancer dans la wilaya. Sur son rapport, l’orateur a insisté sur la qualité de l’information dans le cadre du registre cancer.
Pour cela, dit-il, il est impératif de travailler avec les laboratoires et les praticiens privés pour qu’ils contribuent à la collecte d’informations afin de disposer d’un fichier stable des malades atteints de cette pathologie. Le plan d’action pour l’année 2019 verra la mise en activité du service oncologie-hématologie, de la mise en fonction du service oncologie pédiatrique.
Sur la base des premiers résultats, l’oncologue, la docteur Negadi , qui assure la fonction de médecin-chef du centre oncologie de Mazagran a abordé l’évaluation de la prise en charge des cas de cancers dans son service sur la base des diagnostics. Elle dira à cet effet : «L’histologie de la tumeur primitive + métastases représente un taux de 90,6% tandis que la cytologie/hématologie est de 7% et autres 2,4%. Les cancers les plus fréquents enregistrés chez l’homme sont celui du poumon suivi des cancers de la vessie, colorectal, estomac et la prostate et chez la femme, le cancer du sein, col utérin, thyroïde et l’ovaire.
En 2018, la maladie a provoqué le décès de 19 patients de sexe masculin et de 14 de sexe féminin tandis que 12 à 13 nouveaux cas sont répertoriés chaque semaine dans la wilaya. Le service oncologie de Mazagran a traité 986 malades pour 7 615 séances de cures de chimiothérapie.
Le cancer à Mostaganem est une maladie majeure tant sur le plan de l’incidence que de la prévalence. Cette année, on prévoit de traiter les malades par un nouveau traitement, l’immunothérapie. Cette journée d’évaluation du plan cancer a été clôturée par l’intervention du docteur Guerd, maître-assistante en hématologie. Elle admettra que faute de structures pour la prise en charge thérapeutique des malades atteints d’hémopathies malignes, les patients se voient orientés vers des structures plus appropriées au CHU d’Oran, à Sidi Bel-Abbès et Tlemcen.
La prochaine ouverture du service d’oncologie de Mostaganem disposera d’une hotte à feux luminaires et assurera toutes les prestations médicales.
A. Bensadok
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La visite du ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale dans la wilaya de Mila, jeudi, a été marquée par un fait, pour le moins, inédit. En effet, l’ensemble des élus (APN et APW) du RND dans cette wilaya ont brillé par leur boycott des activités de Mourad Zemali. On ne connaît, toutefois, pas les raisons de cette action. S’agit-il d’un boycott du ministre suite à la raclée subie par le parti d’Ouyahia aux sénatoriales dans cette wilaya, ou de l’expression d’un divorce de l’actuel wali avec les élus RND ?
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Jouissant d’un long parcours militaire et titulaire d’un doctorat en sciences politiques et d’un magistère en Relations internationales, Ghederi deviendrait ainsi le premier candidat sérieux à la prochaine présidentielle.
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Le ministre des Travaux publics et des Transports a affirmé que la réalisation des stations de péage au niveau de l’autoroute Est-Ouest se faisait en fonction du nombre d’échangeurs exploités, qui relient plusieurs wilayas et régions à cette autoroute.
Mohamed Kebci – Alger (Le Soir) – Pour Abdelghani Zaâlane, qui était avant-hier à l’APN dans le cadre d’une séance de questions orales, la réalisation de nouveaux échangeurs supposait, au préalable, des études techniques et financières «approfondies». Car, expliquera-t-il, la conception de ces échangeurs et la définition des sites devant les abriter étaient examinées par les wilayas concernées afin de les classer «définitivement». Et de faire part, dans ce cadre, de la décision de réaliser 48 échangeurs au niveau de l’autoroute Est-Ouest. Des échangeurs qui doivent être distants de 20 km à 30 km et dont l’accord est tributaire du nombre des stations de péage en cours de réalisation, pour éviter tout retard, ajoutera le ministre qui révélera le nombre «important de demandes pour la réalisation d’échangeurs, sachant que les structures réalisées jusque-là sont programmées en fonction des stations de péage».
Pour ce qui est du transport aérien vers le sud du pays, le ministre des travaux publics et des transports annoncera le remplacement d’une partie de ces avions (des ATR) qui assurent ces dessertes et ce, dans le sillage du renouvellement par la compagnie nationale Air Algérie de sa flotte. Ce qui aura un impact certain sur la qualité des prestations de transport.
Pour sa part, le ministre de la jeunesse et des sports fera part de l’octroi à la wilaya d’Oran, dans le cadre des préparatifs pour les Jeux méditerranéens de 2021 (JM 2021), d’une enveloppe de 48 milliards DA. Une ville qui sera, selon Mohamed Hattab, «totalement prête pour accueillir cet événement sportif méditerranéen».
Le ministre réfutera, dans la foulée, la demande d’une députée, liée à une enveloppe supplémentaire pour «l’embellissement de l’environnement, la création d’espaces verts et l’éclairage public, au motif que ces opérations relevaient des missions des autorités locales.
Pour sa part, la ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme, dira s’atteler à l’augmentation des postes d’emploi consacrés au profit des personnes aux besoins spécifiques par les petites et moyennes entreprises (PME). Et à Ghania Eddalia de signifier son «vœu de voir augmenter le taux d’emploi des personnes aux besoins spécifiques dans les PME, fixé actuellement dans la proportion de 1% de leur effectif»
M. K.
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Une réflexion est engagée pour exclure certaines catégorises sociales des prélèvements sur les comptes clients qui représentent pour Algérie Poste son unique source de revenus en contrepartie des prestations qu’elle fournit.
M. Kebci-Alger (Le Soir)- La ministre de la Poste, des Télécommunications, des Technologies et du Numérique, qui a fait cette déclaration, jeudi, à l’Assemblée populaire nationale dans le sillage d’une séance de questions orales de députés, a expliqué cette situation par le système financier d’Algérie Poste qui est «purement participatif en ce sens que les prélèvements sur les différentes opérations constituent son unique source de revenus», complètement différent, donc, des autres établissements financiers bancaires qui emploient les fonds des clients dans divers investissements».
Il faut relever dans ce cadre, que l’entreprise enregistre quotidiennement près de 3 millions d’opérations de retrait et de versement au niveau national aussi bien à travers les distributeurs automatiques des billets (DAB) que des bureaux de poste.
Se voulant plus explicite, Imane Houda Féraoun dira que «les montants prélevés ne constituent pas des taxes et impôts à verser au Trésor public, mais réinjectés dans les investissements de l’entreprise et à la couverture de ses dépenses de fonctionnement».
Un fonctionnement, poursuivra la ministre, dont les charges salariales s’élèvent à 29.6 milliards DA au moment où au chapitre des investissements, Algérie Poste a consacré, l’année dernière, 2.2 milliards DA à la fibre optique et 920 millions DA à la maintenance et à l’amélioration des flux internet.
Comme feuille de route pour l’année en cours, La ministre de la Poste, des Télécommunications, des Technologies et du Numérique fera savoir que l’entreprise compte acquérir 65 bureaux de poste mobiles pour un montant de 1.9 milliard DA.
A propos de ces prélèvements, Féraoun annoncera l’engagement d’une réflexion sur la révision du décret les régissant et ce, afin d’en exclure certaines catégories de la société, dont les personnes aux besoins spécifiques. Ce qui suggère, ajoutera-t-elle, la mise en place de nouvelles techniques de gestion des réseaux d’Algérie Poste.
Pour sa part, le ministre des Moudjahidine a déclaré que son département veillait à promouvoir les musées pour préserver la mémoire nationale et transmettre son message aux générations montantes. Avec, soutiendra Tayeb Zitouni lors de la même séance de questions orales, la garantie de «tous les moyens matériels et humains nécessaires» et ce, conformément aux dispositions du décret exécutif N° 17-203 daté du 22 juillet 2017 modifiant et complétant le décret exécutif N° 08-170 daté du 11 juillet 2008 portant création, organisation et fonctionnement de musées régionaux du moudjahid, notamment en ce qui concerne le changement d’appellation d’annexes du musée du moudjahid à musées de wilayas du moudjahid.
M. K.
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La ministre de l’Education nationale a fini par lâcher du lest par rapport aux revendications du partenaire social pour éviter la crise. Après l’échec des premières discussions, le ministère de l’Education a revu sa méthode de négociations. La commission chargée des négociations a réussi à apaiser un peu les tensions en répondant favorablement à certains points soulevés dans la plateforme de revendications des syndicats. Le ministère de l’Education entamera demain dimanche, le dernier round des négociations avec le CLA. Les syndicats maintiennent malgré tout leur appel à la grève.
Salima Akkouche – Alger (Le Soir) – Les négociations mal engagées entre les syndicats et la tutelle semblent connaître un petit déblocage. Le ton de dialogue a changé lors de la deuxième rencontre de négociations qui a eu lieu avec le Satef.
Le syndicat a indiqué que la tutelle a changé son discours, qui était, dit-il, «plus apaisant». Boualem Amoura, président du Satef, a indiqué que le ministère de l’Education a affiché une bonne volonté lors de leur face-à-face. La tutelle a, en effet, lâché du lest en acceptant la signature des P-V de réunions avec le partenaire social.
«Les responsables du ministère, qui ont tenu avec nous un discours apaisant, ont nié catégoriquement l’existence d’une instruction sur la suppression des congés de maladie, et concernant le respect du repos hebdomadaire des enseignants, ils nous ont affirmé que les cours de remédiation ne sont pas une mesure obligatoire et que la démarche est laissée à la bonne volonté des enseignants qui désirent dispenser ces cours à leurs élèves», a déclaré M. Amoura.
Mais, selon le syndicat, cela reste «des promesses, tant que nous n’avons pas encore eu la signature des P-V de réunions». Meziane Meriane, coordonnateur du Snapest, reçu jeudi au ministère de l’Education, a déclaré la même chose. «Ils nous ont promis qu’il y aura une prise en charge de la commission had hoc du dossier du statut particulier qui sera discuté avec la Fonction publique, nous avons parlé également de la revalorisation des heures supplémentaires, mais c’est toujours des promesses et pour le moment il n’y rien de concret, je fréquente les couloirs du ministère de l’Education depuis 2003 et j’ai entendu beaucoup de promesses qui n’ont pas été concrétisées», dira M. Meriane.
Le ministère de l’Education va conclure, demain, dimanche, sa série de négociations avec le collectif des syndicats autonomes en recevant le CLA.
Cependant, l’appel à la grève du 21 janvier, affirment les syndicats, est toujours maintenu.
S. A.
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Fini le jeu d’ombres, donc, les supputations et les réprobations, et puis les blâmes qui sont tombés sur la tête du chef de file du Mouvement de la société pour la paix (MSP), Abderrezak Makri, l’auteur de l’initiative politique la plus controversée de ces derniers mois liée directement à la prochaine présidentielle.
Depuis hier, donc, l’intermède qui a agité dans tous les sens la classe politique est relégué aux faits de l’histoire d’avant l’élection présidentielle du 18 avril 2019. Une fin définitive que le chef du parti islamiste a anticipée de quarante-huit heures, venue sous la forme d’un courrier qu’il a adressé à ses ouailles, dont le contenu a été révélé par le quotidien Al Khabar dans son édition de jeudi. Le chef du MSP, rappelons-le, demandait le report d’une année de l’élection présidentielle, sous certaines conditions, motivant sa requête par des horizons pas très clairs pour le pays, et ce, eu égard à l’impossibilité que son état de santé permette au président de la République de se représenter et l’absence d’un homme faisant consensus au sein du pouvoir en place. L’option du report défendue par Makri, est-il expliqué dans la lettre adressée au conseil consultatif du MSP, a eu «un écho favorable» chez Saïd Bouteflika, qu’il aurait rencontré plusieurs fois, et sa famille pas très encline apparemment à ce que le Président brigue un nouveau mandat.
En annonçant officiellement l’échec de son initiative aux membres de son conseil consultatif à travers la missive dont Al Khabar a livré le contenu, il est ainsi facile de supposer que Makri a eu vent que la convocation du corps électoral allait avoir lieu vendredi. Et puis, comme pour être plus exhaustif à l’attention de ses amis au parti, puisqu’il a nommé les «pour», Makri n’a pas omis de nommer les «contre» son initiative en mettant le non-aboutissement de celle-ci sur le dos, comme le barre la Une d’Al Khabar, de l’armée et des «anciens services de renseignement», auxquels il joint des partis de sa mouvance, oubliant ou feignant oublier que ses amis, ou ex-amis, de l’opposition, chacun sous la forme qu’il a voulue, ont vu d’un mauvais œil sa propension à faire cavalier seul à un moment charnière de l’avant-élection présidentielle.
M. Azedine
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Les travaux du Forum national sur le phénomène de « harraga » (migration clandestine), organisé par le ministère de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, ont débuté samedi au Palais des nations à Alger.
Inscrit sur le thème « L’avenir de nos jeunes, une responsabilité partagée », ce forum de deux jours se tient en présence du ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Noureddine Bedoui, ainsi que d’autres membres du gouvernement et des représentants de plusieurs secteurs et d’experts nationaux et internationaux.
Cette rencontre, qui est une occasion pour étudier ce phénomène « dans tous ses aspects », ambitionne d’être un espace de débat, de concertation et d’échange sur une approche objective et scientifique concernant le phénomène de la harraga, qui permettra aux participants plus particulièrement les experts et les chercheurs en plus des représentants de la société civile, d’analyser ce phénomène et de diagnostiquer ses causes afin de décliner des recommandations et propositions de solutions, en appui aux mesures adoptées par les pouvoirs publics pour aboutir à une démarche globale de résolution de la question, a-t-on indiqué auprès du ministère.
Ce forum sera également rehaussé par quatre ateliers sur les thèmes de « Sensibilisation, communication et cyberespace : pour une action préventive commune », « Intégration économique des jeunes : de la jeunesse dans le domaine économique : réalités, contraintes et enjeux », « Programmes de jeunesse, de culture et de loisir : entre réalité et aspirations pour une attractivité meilleure », et « Rôle des organisations de la société civile dans la prise en charge de la jeunesse : travail de proximité, médiation et réseautage ».
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Le MC Oran a été le principal bénéficiaire de la 18e journée du championnat de Ligue 1 Mobilis de football, jouée jeudi et vendredi, en allant battre à Bejaia, le MO Bejaia (3-0), alors que le leader, l’USM Alger, s’est contenté d’un nul face au CABBA (1-1), que pourrait exploiter son poursuivant immédiat, la JS Kabylie en cas de victoire samedi, face à l’USM Bel-Abbes.
Cette 18e journée a débuté jeudi soir avec le derby algérois, MC Alger-CR Belouizdad (1-1) qui a finalement décu leurs supporteurs respectifs.
Les clubs aux objectifs diamétralement opposés, avaient besoin de la victoire.
Le Doyen (3e) pour se rapprocher du duo de tete, l’USMA et la JSK, alors que le CRB avait un besoin urgent de points pour quitter la zone de turbulence.
C’était au tour de l’USM Alger de réaliser le meme score face au CABB Arreridj en match joué à huis-clos et sur terrain neutre (Magra).
Les « Rouge et Noirs » étaient à deux doigts de la défaite, mais qui doivent leur salut au but égalisateur du Libyen Ellafi (78e), en répondant à Ziad auteur du but du CABBA (4e).
La JS Kabylie qui ne jouera que samedi à Bel-Abbes face à l’ USMBA, pourrait réduire son retard sur le leader à deux points, en cas de victoire, ce qui constituerait une belle excellente opportunité pour les « Canaris » de retour en fin, au devant de la scène sportive nationale.
Cette journée a été marquée par l’exploit du Mouloudia d’ Oran qui a damé le pion à son homologue de Bejaia, humilié chez lui sur le score sans appel (0-3). Deux buts en 1re période signés, Nadji et Mohammedi, et un 3e contre son camp de Ali-Guechi ont remis en selle les « Hamraouas » tout en plongeant dans le doute les « Crabes » et leur coach Madoui Khiereddine, désormais sur la corde raide.
L’ES Sétif qui traverse actuellement une crise interne, continue de manger son pain noir en enregistrant à Alger, sa 4e défaite de rang, cette fois-ci devant le Paradou AC (1-0) sur une réalisation du buteur-maison, Zakaria Naidji (76e) qui met les Sétifiens dans une situation très embarrassante à la veille de leur match des 8e de finale de la Coupe d’Algérie, prévu mardi prochain à Sétif, contre l’USM Alger, avec la quelle, et aussi le MC Alger, elle détient le record de victoires en Coupe (8).
Ce succès o combien précieux, place les Pacistes à la hauteur desSétifiens (5e – 24 points).
La 18e journée qui se poursuivra ce samedi avec deux rencontres (AS Aïn M’lila /Olympique Médéa et USM Bel-Abbès- JS Kabylie, puis le 29 janvier (NA Husseïn-Dey – DRB Tadjenanet) et ne prendra fin que le 1er mars avec le match des Africains: la JS Saoura et le CS Constantine, engagés en phase de poules de la lucrative compétition qu’est la Ligue des champions.
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Un accident de la circulation survenu, vendredi, au niveau de l’échangeur de Beni Tamou, dans la wilaya de Blida, sur l’autoroute Est-Ouest, a fait 14 blessés, qui étaient à bord d’un bus de transport des voyageurs, provenant d’Oran en direction de la région touristique de Chréa, ont indiqué, vendredi, les services de la Protection civile.
Tous les blessés qui étaient en voyage touristique vers le massif de Chréa qui accueille, depuis le week-end dernier, un grand nombre de touristes venus de plusieurs wilayas du pays, pour apprécier les paysages naturels sous la neige tombante, ont été évacués par les équipes de la Protection civile, qui n’ont enregistré aucun cas grave, précise-t-on de meme source.
Les services de la Protection civile ont appelé les usagers de la route à respecter le Code de la route et à éviter l’excès de vitesse, notamment, les freinages brusques, lors des chutes de pluies, afin de prévenir les dérapages susceptibles de provoquer des collisions.
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Un poisson-lapin, une espèce connue pour sa toxicité, a été capturé, dans la commune d’El Chatt, dans la wilaya d’El Tarf, a-t-on appris, vendredi, auprès des services locaux de la peche et des ressources halieutiques.
La capture de cette espèce dangereuse a été effectuée par un pêcheur jeudi, a-t-on précisé de meme source, soulignant que ce poisson lapin a été remis à la direction de la Peche.
Rappelant qu’une capture de poisson lapin a été effectuée, une première fois en 2014 puis une année plus tard au large du Cap Rosa à Kala, la même source a affirmé que les services concernés en ont profité pour alerter de nouveau les pêcheurs, professionnels ou amateurs, ainsi que les consommateurs, quant à la dangerosité de cette espèce.
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Que se passe-t-il? Où et quelles sont les failles? C’est ce type de questions que ne cesse de se poser un grand nombre de citoyens, sachant que personne n’est à l’abri, même en prenant toutes les précautions possibles.
Comme à chaque hiver, les services de la Protection civile recensent des dizaines de décès par asphyxie au monoxyde de carbone, ce gaz qui tue! La situation inquiète. Le bilan se fait d’année en année encore plus lourd.
Que se passe-t-il? Où et quelles sont les failles? C’est ce type de questions que ne cesse de se poser un grand nombre de citoyens, sachant que personne n’est à l’abri, même en prenant toutes les précautions possibles.
En trois jours, neuf personnes ont trouvé la mort dans plusieurs wilayas, intoxiquées par des fuites de monoxyde de carbone, a indiqué la Protection civile. Par ailleurs, les mêmes services font état du décès de 31 personnes de la même façon, tandis que 224 autres ont été secourues après inhalation de ce gaz. Pour répondre aux questions posées plus haut, la Protection civile impute ces pertes humaines aux «erreurs de prévention, à l’absence d’une bonne aération, mais encore, à la mauvaise utilisation de certains appareils». De ce fait, elle appelle la population à redoubler de vigilance pour éviter le pire. Les services de la Protection civile, rappellent dans ce contexte le dispositif de sécurité à respecter pour éviter des accidents dramatiques et insistent sur la nécessité de «laisser ouvertes les prise d’air du logement lors de l’utilisation des appareils de chauffage et d’aérer au moins 10 minutes par jour, les pièces occupées, au moment de l’utilisation des dispositifs de chauffage».
«Tout utilisateur de ces appareils est tenu, par ailleurs, de les entretenir et les régler régulièrement par un professionnel, de ne pas les utiliser dans des pièces dépourvues d’aérations, et de ne pas se servir de moyens de chauffage traditionnels tels que «Tabouna» ou d’appareils de cuisson pour se réchauffer», insiste la Protection civile. Il faut tout de même souligner que même si ce dispositif de sécurité doit devenir un rituel, on ne peut exclure que le problème peut se situer au niveau de la qualité de ces appareils à combustion. Bien que les modèles de chauffe-eau, de chauffage et autres soient variés et pas moins «sophistiqués», il demeure le fait que l’on constate qu’une bonne partie se retrouve défectueuse. Alors que beaucoup jugent que la qualité de ces appareils est discutable», le ministère du Commerce a de son côté tenu à affirmer récemment que «les appareils de chauffage à gaz commercialisés sur le marché national «sont conformes aux exigences de sécurité». D’ailleurs, en 2017, les services du même département avaient relevé que 6% des produits contrôlés étaient non conformes, contre 61% en 2014 et 85% en 2013.
Par ailleurs, si l’on se fie à la météo pour les prochains jours, la baisse des températures induira forcément une utilisation massive de ces appareils-là. L’heure est donc à la vigilance!
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