Vous recherchez un smartphone à petit prix ? Dans le cadre des soldes d’hiver 2019, Aliexpress propose le Xiaomi Mi A2 Lite dans sa version globale avec toutes les bandes 4G à 136€ (environ 28.000 Da) !
Pour la fiche technique, le Mi A2 Lite dispose d’un écran IPS 5,84 pouces de 2280 x 1080 pixels. Il embarque le processeur Snapdragon 625, accompagnée de 3 Go de mémoire vive. Il offre 32 Go d’espace de stockag. Il dispose aussi d’un lecteur d’empreintes, d’un double module caméra de 12 et 5 Mégapixels et d’une batterie de 4000 mAh. Il se recharge en Micro USB.
Voici quelques photos réelles du Mi A2 lite:
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Le site préféré des cinéphiles IMDb, « Base de données cinématographiques d’Internet », se lance désormais dans la diffusion de film en streaming, ce qui le met en concurrence directe avec les acteurs comme Netflix !
Sans abonnement, gratuit, le site IMDb (appartenant à Amazon) lance IMDb Freedive. Cette plateforme permet d’accéder librement à une bibliothèque de films et séries, à condition d’accepter de consommer un peu de publicité.
Freedive disponible en Algérie ?Pour l’heure, IMDb n’a donné aucune précision sur le déploiement de Freedive en dehors du territoire américain. D’ailleurs la plateforme bloque systématiquement les utilisateurs qui tentent de s’y connecter par le biais d’un logiciel VPN ou d’un Proxy HTTP.
Freedive n’est pour l’heure disponible que dans l’application IMDb ou via son site officiel. Amazon ne propose pas encore d’application indépendante pour le service, qui reste néanmoins accessible aux utilisateurs américains via une Fire TV ou l’appareil sur lequel ils ont installé IMDb.
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Depuis quelques temps, on attend parler d’une famille de smartphones Galaxy M à venir chez Samsung. Elle serait censée rendre plus claire l’offre de la firme sud-coréenne qui multiplie les gammes (Galaxy J, Galaxy One, Galaxy C, Galaxy A, Galaxy S et Galaxy Note), en regroupant les modèles les plus abordables.
Trois modèles de Samsung Galaxy M seraient prévus par le constructeur, les Galaxy M10, Galaxy M20 et Galaxy M30. Les smartphones devraient d’abord être commercialisés en Inde avant une possible disponibilité dans le reste du monde. On devrait en savoir plus sur les différents modèles lors de leur présentation officielle prévue le 28 janvier prochain.
Qu’en est-il des spécifications ?Le M10 disposerait d’un écran Infinity-V de 6 pouces, d’un processeur Exynos 7870, d’une batterie de 3400 mAh, de 3 Go de mémoire vive et d’un stockage de 32 Go. Les M20 et M30 devraient disposer d’une batterie de 5000 mAh et de composants et de processeurs plus performants.
Samsung va-t-il casser les prix pour défier Xiaomi ?Les prix des Galaxy M devraient s’étaler entre 125 et 250 €. A ces tarifs, les clients auront droit à la recharge sans fil et des batteries à forte autonomie.
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Le Secrétaire général (SG) au ministère de l’Agriculture, du Développement durable et de la Pêche, Kamel Chadi, a affirmé mercredi à Alger, que les cas des produits algériens destinés à l’exportation et qui avaient été retournés par certains pays, n’avaient aucun lien avec la qualité du produit lui même, mais étaient plutôt liés à des lacunes ou des irrégularités dans les procédures légales et administratives concernant l’opérateur économique, à savoir l’exportateur.
Lors d’une rencontre avec des acteurs intervenants dans la filière tomate en conserve dans le cadre de l’une journée d’évaluation de la filière, M. Chadi a précisé que les cas de produits retournés relevés ces dernières années, « n’ont aucun lien avec la qualité du produit, mais sont en rapport avec les procédures administratives et légales et les opérations d’emballage et d’étiquetage concernant l’opérateur exportateur ».
D’après le même responsable, le secteur de tutelle œuvre à éviter la récurrence de ces cas, en dispensant une formation aux opérateurs exportateurs sur les différentes procédures légales et administratives et les précautions relatives à la sécurité du produit.
« Actuellement, nous œuvrons à accompagner les agriculteurs et les exportateurs afin de leur permettre d’exporter leurs produits sans problèmes », a indiqué M. Chadi qui souligne que le secteur œuvrait à équiper des laboratoires agréés afin de procéder à des analyses d’échantillons dans le pays.
M. Chadi a fait savoir que « concernant les données relatives à l’utilisation des engrais, des pesticides et des médicaments, l’Algérie respecte ces normes, comparé à certains pays voisins et amis limitrophes et amis ».
S’agissant de la tomate en conserve, le Directeur de la Régulation et du développement de la production agricole auprès du ministère de l`Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Mohamed Kharroubi a fait savoir que le Secteur s’employait à accompagner les producteurs et transformateurs de la tomate, en vue d’augmenter les quantités produites et les orienter vers l’exportation.
Le Secteur s’attèle à orienter ces producteurs et transformateurs pour accéder à ce marché qui a enregistré l’exportation d’une quantité dépassant 40 tonnes de tomate en conserve en 2018, contre zéro importation du double concentré de tomate.
L’intervenant a appelé les acteurs dans cette filière à exporter les quantités « ramassées » dans les dépôts, en prévision de la prochaine campagne qui verra l’augmentation de 16% de la superficie plantée, soit 27.557 hectares.
Une décision a été signée en janvier pour permettre aux opérateurs une irrigation au goutte-à-goutte et assurer la protection végétale, selon la même source.
Outre la problématique de la protection du produit national, les producteurs et transformateurs de cette matière ont évoqué plusieurs autres problématiques qui attendent d’être traitées pour la relance de cette filière, dont celles d’ordre financier, notamment la relation entre les transformateurs et les banques et l’impact du produit importé concurrent qui induit le stockage de la production locale, d’où la difficulté de sa commercialisation.
Dans ce cadre, le président du conseil national de la filière Tomate, Mohamed Mazouzi a affirmé que les opérateurs de la filière ont la volonté de travailler et de produire, toutefois les quantités importées qui dépassent 50.000 tonnes (2018) leur causent des problèmes financiers qui entravent la reprise de leurs activités durant les prochaines saisons.
Par ailleurs, les opérateurs ont évoqué les problématiques liées au manque de formation et d’accompagnement, notamment dans le domaine phytosanitaire et en matière de formation des agriculteurs.
A une question de la presse concernant la production de la pomme de terre et de l’ail, le directeur de la régulation, Mohamed Kherroubi a indiqué que le secteur prévoyait la récolte de 18 millions de quintaux de pomme de terre d’arrière saison produite actuellement.
Un programme spécial a été adopté pour le stockage de la pomme de terre qui a atteint jusqu’à présent 25.000 tonnes, a fait savoir le responsable, précisant que l’opération se poursuivra jusqu’à atteindre 80.000 tonnes qui seront commercialisés durant la période de soudure (mois de mars et avril).
Pour ce qui est de l’ail, l’opération de déstockage se fera régulièrement durant la période allant du 15 janvier en cours au 15 avril prochain pour maintenir un prix ne dépassant pas 160 da/kg, selon M. Kherroubi.
Depuis la précédente saison, le ministère a adopté un programme de stockage de cette matière qui avait atteint le prix de 1.000 da /kg en raison d’une production insuffisante, selon le même responsable.
Cette opération vise essentiellement à préserver la stabilité des prix sur le marché et le pouvoir d’achat du consommateur.
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Une secousse tellurique d’une magnitude de 3 degré sur l’échelle de Richter, a été enregistrée, aujourd’hui à 19H27 (GMT+1) dans la wilaya de Boumerdes a annoncé le Centre de recherche en astronomie astrophysique et géophysique (CRAAG)
L’épicentre de cette secousse a été localisé à 9 km Est de la ville de Bouzegza Keddara.
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Le représentant de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le Dr. Francois Bla Nguessa, a souligné mercredi à Tissemsilt, que « l’Algérie capitalise une expérience pionnière en Afrique en matière de rapprochement des citoyens des services sanitaires ».
Dans une déclaration à l’APS, en marge de la visite de la délégation de l’OMS de l’établissement public hospitalier (EPH) de Bordj Bounâama, le Dr Nguessa a ajouté que « l’Algérie a réussi à assurer une couverture sanitaire dans ses régions intérieures par le biais de conventions de jumelage entre les hôpitaux du Nord et ceux des Hauts Plateaux et du Sud », estimant dans ce contexte, que l’Algérie compte une expérience pilote en Afrique en ce qui concerne le rapprochement des citoyens des prestations sanitaires ».
« Nous comptons mettre en oeuvre l’expérience algérienne en matière de jumelage entre hôpitaux dans d’autres pays membres de l’OMS car, cette expérience est très réussie en assurant les prestations sanitaires de qualité au profit des malades », a indiqué le Dr. Nguessa.
Il a ajouté que son organisation « enregistre avec intérêt le succès de l’expérience algérienne dans la gestion des ressources humaines au niveau des établissements sanitaires ». « L’Algérie est un pays pionnier dans ce domaine », a-t-il dit .
Par ailleurs, le même responsable a affirmé que la visite de la délégation de l’OMS à l’EPH de Bordj Bounâama a permis de s’enquérir de près de l’efficacité et de la performance de l’opération de jumelage avec l’EHU « Bachir Mentouri » de Kouba (Alger).
Dans ce contexte, il a annoncé que la délégation de l’OMS en Algérie poursuivra, cette année, ses visites aux différents EPH des wilayas des Hauts Plateaux et Sud du pays pour s’enquérir de visu des opérations de jumelage inter-hôpitaux, programmées par le ministère de la santé, de la population et de la réforme hospitalière.
A noter que la délégation de l’OMS, qui comprend quatre représentants d’Afrique et d’Europe, a visité l’EPH de Bordj Bounâama où elle a rencontré l’équipe médicale et paramédicale de l’EHU « Bachir Mentouri » de Kouba qui a assuré, au début de l’année en cours, plusieurs interventions chirurgicales dans plusieurs spécialités comme l’ORL, la gynécologie obstétrique et la chirurgie générale.
La délégation de l’OMS s’est également enquis de la gestion par informatique des ressources humaines de cet établissement hospitalier de la wilaya de Tissemsilt.
Cette délégation a été accompagnée des directeurs des services de la santé et des ressources humaines relevant du ministère de tutelle, rappelle-t-on.
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La 7e étape du Challenge national de cross country, prévue samedi à Bouchaoui (Alger), sera dédiée à la mémoire du regretté journaliste Abderazak Seghouani dit « Abdou » décédé le 4 juillet dernier.
« Vadrouilleur, Abdou dit aussi Monsieur omnisport par sa polyvalence, a aimé le sport en général, avec un penchant pour l’athlétisme en général et le cross en particulier. Ce cross que la ligue d’Alger a eu l’initiative de dénommé Abdou-Seghouani restera une compétition commémorative de la mémoire de ce grand homme qui s’était sacrifié pour l’information sportive », a indiqué la Fédération algérienne de la discipline (FAA).
« Cette 12e édition du cross d’Alger sera une opportunité pour les meilleurs de s’illustrer sur un parcours qu’ils connaissent très bien pour l’avoir foulé à plusieurs occasions et en différentes circonstances », ajoute la FAA dans son communiqué, soulignant que cette course sera qualificative au Mondial de cross-country qui aura lieu le 30 mars au Danemark.
A cette occasion, la direction technique nationale de la FAA a conditionné la participation au Championnat du monde par de bonnes prestations lors des Challenges nationaux et le Championnat national de cross du 2 mars prochain à Sétif, supervisant toutes les sorties des athlètes.
La FAA a également indiqué que la ligue d’Alger organisatrice de cette manifestation a pris toutes les dispositions pour parer à toutes éventualités, en cas de temps pluvieux.
Programme du cross d’Alger « Abdou-Seghouani » :
9h00 : Minimes garçons 2500m
9h15 : Minimes filles 2000m
9h30 : Benjamins 2000m
9h45 : Benjamines 1500m
10h00 : Ecole garçons 1500m
10h15: Ecole filles 1500m
10h30: U18 filles 3500m
10h50 : U18 garçons 5000m
11h00 : U20 et seniors dames 5000m
10h40 : U20 hommes 6000m
11h30 : Seniors hommes 8000m.
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Le sort de l’ancien président de Côte d’Ivoire (2000 – 2011), Laurent Gbagbo, et de l’un de ses plus proches partisans, Blé Goudé, acquittés la veille par les juges de la Cour pénale internationale (CPI), était suspendu mercredi à l’examen de l’appel introduit par les Procureurs de la Cour, qui évoquent notamment un « risque concret » que les accusés ne comparaissent pas devant la CPI en cas d’un procès en appel.
Laurent Gbagbo et Blé Goudé dont les affaires ont été jointes en 2015, devant la CPI, étaient accusés de quatre chefs d’accusation de crimes contre l’humanité, à savoir, « meurtres, viols, persécutions et autres actes inhumains ».
Toutefois, les juges Cuno Tarfusser (juge président) et Geoffrey Henderson, formant la majorité de la Chambre, ont noté le conflit politique violent ayant eu lieu dans le contexte de l’élection présidentielle de 2010, à Abidjan et dans d’autres parties du pays.
Mais, la majorité a considéré que le Procureur n’a pas fourni des preuves suffisantes en vue de démontrer la responsabilité de M. Gbagbo et de M. Blé Goudé pour les incidents faisant l’objet de l’examen de la Chambre.
De plus, la Chambre a conclu, à la majorité, que le Procureur n’a pas démontré que des discours publics de M. Gbagbo ou M. Blé Goudé auraient permis d’ordonner, solliciter ou encourager les crimes allégués.
Par conséquent, la Chambre a décidé que la Défense n’avait pas besoin de soumettre des éléments de preuves supplémentaires. Maintenant, il appartient à la Chambre d’appel, composée de cinq autres juges, de statuer sur la requête introduite par les Procureurs de la Cour.
Deux appels sont possibles, un concernant la libération immédiate des prévenus, et un autre concernant la décision même d’acquittement. Pour les procureurs, il existe des « raisons exceptionnelles » de s’opposer à la libération inconditionnelle de M. Gbagbo et de son coaccusé, Blé Goudé.
Ils évoquent notamment un « risque concret » que ce dernier ne comparaisse pas devant la CPI en cas d’un procès en appel. « On ne peut pas dire que la procédure en appel soit un mort-né. Il se pourrait très bien qu’il y ait un nouveau procès », a affirmé le procureur Eric McDonald au cours de l’audience.
L’accusation a cependant déclaré, selon des médias sur place, qu’elle ne s’opposerait pas à une mise en liberté dans un pays membre de la CPI — excepté la Côte d’Ivoire — « si le risque de fuite peut être atténué en imposant une série de conditions ».
Les deux équipes de défense ont également indiqué être prêtes à signer un document de la Chambre qui engage les deux accusés à comparaître à un éventuel procès en appel s’ils sont libérés. En détention depuis plus de sept ans, Laurent Gbagbo a explosé de rire quand, à la demande du juge, une de ses avocate est venue lui demander s’il était prêt à signer un tel document.
« Bien sûr! », a répondu son avocat, Emmanuel Altit, sous les rires euphoriques de la tribune publique, ont rapporté les médias. « L’accusation semble vouloir ignorer le changement sur le fond. Laurent Gbagbo n’est plus un accusé, Laurent Gbagbo a été accusé. Il n’est plus présumé innocent, il est reconnu innocent. Cela change tout », a-t-il martelé.
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L’ensemble des directeurs de l’Education ainsi que les directeurs des établissements scolaires des trois cycles ont été mis en alerte par ministère de l’Éducation sur l’utilisation de l’application Tik Tok.
Tik Tok , anciennement appelée Musical.ly , la nouvelle application préférée des préados, sert aux jeunes algeriens à partager des clips d’eux, la plupart avec un fond sonore préenregistré. L’occasion pour eux de chanter en play-back les paroles de leurs artistes préférés, ou encore de rejouer les répliques de leurs films favoris.
A cet effet, le ministère de l’Education soulève deux problématiques : Les défis parfois dangereux lancés sur ce réseau social et qui pourrait pousser les mineurs à se mettre en danger pour les réaliser. Ainsi que le caractère immoral ou obscène de certaines vidéos réalisées par des mineurs et qui pourraient les exposer au danger du chantage sur les réseaux sociaux.
Ainsi, les directeurs de l’Education, ainsi que les directeurs des établissements scolaires, sont appelés à sensibiliser davantage les parents quant à l’utilisation adéquate des réseaux sociaux par leurs enfants.
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Le Parlement européen a entériné mercredi l’accord agricole « illégal » UE-Maroc visant à étendre les préférences tarifaires aux produits du Sahara occidental, à l’issue d’un vote entaché d’ »irrégularités » et d' »illégalité », ont dénoncé des eurodéputés.
Après un long processus de négociations entre l’UE et les autorités marocaines visant à contourner les arrêts de la Cour de justice de l’Union européen (CJUE), le Parlement européen a entériné mercredi l’accord agricole UE-Maroc visant à étendre les préférences tarifaires aux produits du Sahara occidental.
Cet accord est qualifié par des eurodéputés d' »illégal », soulignant à ce propos que le Parlement européen n’a pas respecté les arrêts de la CJUE qui avait statué sur le caractère « distinct » et « séparé » du territoire du Sahara occidental et de l’inapplicabilité dudit accord à ce territoire ainsi que sur l’impératif du consentement du peuple sahraoui pour toute action d’exploitation de ses ressources.
Le Parlement européen a procédé, également, au vote sur un rapport « biaisé » validant l’accord UE-Maroc établi par l’ex-rapporteur, Patricia Lalonde, alors que cette eurodéputée française a été contrainte de démissionner début décembre 2018 après l’ouverture d’une enquête à son encontre suite à des révélations l’impliquant dans un cas de « conflit d’intérêt manifeste » et de « violation du code de conduite » du Parlement européen, ont ajouté les eurodéputés.
L’adoption de l’accord a été effectuée, en outre, sans aucun débat public au niveau du Parlement, et ce, après le rejet par 10 voix d’écart de la demande introduite par le Groupe des Verts/ALE d’inscrire un débat, préalablement au vote, à l’ordre du jour de la session plénière du 14 janvier 2019.
En refusant ce débat, plusieurs eurodéputés ont été privés de parole afin de mettre en évidence les multiples « contrevérités » et « incohérences » du rapport Schaake ou ex-Lalonde, mais surtout de la possibilité d’interpeller publiquement cette dernière sur les raisons l’ayant poussé à la démission et vérifier la « régularité » de procéder au vote sur un rapport que la « rédactrice » n’a pas assumé jusqu’au bout.
Les parlementaires européens n’ont pas manqué de relever, dans ce contexte, la position de nouvelle rapporteuse, remplaçante de Patricia Lalonde, la néerlandaise Marietje Schaake, qui a tenu à se démarquer de la position affichée par le Parlement.
S’exprimant dans une tribune qu’elle a publiée, mercredi, avant le vote sur le rapport controversé, celle-ci a reconnu que la CJUE a clairement exigé le consentement du peuple du Sahara occidental préalablement à tout extension d’accord au Sahara occidental.
Apportant son soutien à la proposition de résolution introduite par une centaine d’eurodéputés et par laquelle ils sollicitaient l’avis de la CJUE avant d’entériner l’accord au niveau du Parlement, Mme Schaake a confié avoir introduit un amendement, dans lequel elle a sollicité la Commission d’explorer les moyens pour que les préférences commerciales soient effectivement accordées à l’avenir à la totalité du peuple vivant au Sahara occidental.
Ceci illustre, selon les eurodéputés, du caractère « bancal » de l’accord, dans le sens où la nouvelle rapporteuse de la Commission du commerce international (INTA) admettait que cet accord ne bénéficie pas à la totalité du peuple vivant au Sahara occidental, contrairement à ce que défendait la Commission européenne dans son rapport.
La nouvelle rapporteuse a annoncé avoir proposé un deuxième amendement portant sur la suppression d’un passage du rapport (paragraphe 9) qui laissait entendre que le projet d’accord UE-Maroc serait « compatible » et ne « porterait pas préjudice au processus onusien sur la question sahraouie ».
Des « dépassements ignorés » par les instances européennes
Outre ces « irrégularités » signalées, les déclarations faites par le Commissaire européen en charge des Affaires économiques, Pierre Moscovici ont suscité l’inquiétude des eurodéputés.
L’ex-ministre français de l’Economie a reconnu, dans une lettre rendue publique par l’ONG Western Sahara Resource Watch, que le Maroc avait refusé la proposition de la Commission européenne visant à mettre en place un mécanisme de « traçabilité » des produits importés du Sahara occidental, avouant que la Commission européenne a dû accepter une proposition « alternative » marocaine, qui ne répondait pas aux attentes en la matière.
A cet égard, plusieurs eurodéputés ont exprimé leur étonnement que ce vote ait lieu, alors que des questions concernant un « conflit d’intérêt manifeste » et des « dépassements » vis-à-vis de la loi n’ont pas trouvé d’explications de la part des instances européennes.
Appelant au rejet « sans réserve » de cet accord, des centaines d’eurodéputés ont insisté sur la sollicitation de l’avis de à la Cour européenne de justice préalablement au vote sur l’accord. Dans un communiqué publié par l’Intergroupe Sahara occidental du Parlement européen, juste avant le vote, ses membres ont exhorté le Parlement européen à respecter les arrêts de la CJUE.
L’intergroupe a également indiqué dans son communiqué que « le non-respect total du droit international et du droit de l’UE par le biais de l’accord proposé suscitent de vives inquiétudes quant au rôle contre-productif de l’UE dans le processus de paix onusien ».
« Tant que toutes les grandes questions juridiques et politiques ne seront pas réglées, nous rejetterons l’accord proposé », ont souligné les membres de l’Intergroupe, s’engageant à dénoncer de la même manière le projet d’accord de pêche UE-Maroc qui sera soumis au vote le mois prochain.
Toutes ces « incohérences » et « irrégularités », ayant conduit à l’approbation de cet accord « illégal », seront autant d’éléments à charge qui vont peser dans le balance en prévision de futures batailles juridiques que le Front Polisario compte engager prochainement.
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L’entraîneur du CS Constantine, Denis Lavagne, a indiqué que son équipe, métamorphosée depuis l’arrivée du Français à la tête de la barre technique, ambitionnait d’ »aller le plus loin possible » en Ligue des champions d’Afrique.
« Le CSC, qui a renforcé son effectif durant le mercato hivernal, compte désormais une doublure dans chaque poste », ce qui permet « de donner plus de confiance à l’équipe pour atteindre un tour avancé en Ligue des champions », a déclaré le technicien français à l’APS.
Le club de « Cirta » a signé mardi une septième victoire de suite, toutes compétitions confondues, en dominant à domicile le CA Bordj Bou Arréridj (1-0) en match décalé de la 17e journée de Ligue 1.
Lavagne, concentré déjà sur la rencontre de samedi soir qui devra opposer, au stade Chahid-Hamlaoui de Constantine (20h00), les Sanafir au TP Mazembe (RD Congo), pour le compte de la 2e journée (groupe C) de la phase de poules de la Ligue des champions, affirme avoir privilégié le « turn-over » mardi en faisant souffler des joueurs comme Abid, Zaalani et Yettou, « en attendant l’intégration de Dylan Bahamboula et Arouna Dang ».
En C1, le CSC reste sur un succès de prestige à Sousse devant le Club Africain de Tunis (1-0) vendredi dernier et devra confirmer samedi face au TP Mazembe avant de se rendre le 1er février en Egypte pour affronter Al-Ismaïly.
« Nous respectons nos adversaires mais nous ne les craignons pas, bien que certaines équipes de ce groupe se sont adjugées le trophée de cette compétition », a souligné l’entraîneur du CS Constantine, assurant que si son équipe reste dans le même état d’esprit, « elle pourra bien se qualifier au prochain tour ».
S’agissant de la préparation du match du TP Mazembe, l’ancien sélectionneur du Cameroun a fait savoir que ses joueurs « devront d’abord bien récupérer et se préparer mentalement pour pouvoir être solidaires, éviter d’encaisser des buts à domicile et surprendre l’adversaire par des contres afin d’avoir le dernier mot sur une équipe congolaise redoutable ».
Et d’ajouter : « Le TP Mazembe a réalisé une belle performance contre Al-Ismaïly en s’imposant sur le score de 2 à 0, mais après avoir analysé son style de jeu, je pense que nous pouvons les bousculer vu que nous avons les qualités nécessaires et nous jouerons devant nos supporters ».
De son côté, le manager général du club, Tarek Arama, a souligné la difficulté de la mission et du calendrier chargé du CS Constantine qui devra disputer sept matchs durant ce mois de janvier, toutes compétition confondues, estimant que son équipe « relèvera le défi et fera tout pour satisfaire ses supporters ».
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Chaque année, le monoxyde de carbone est responsable de plusieurs intoxications en Algérie, ce gaz est indétectable mais peut être mortel en moins d’une heure. Il émane généralement des systèmes de chauffage par combustion, présentant un défaut d’aération ou d’installation. C’est pourquoi il est important de les faire vérifier avant chaque hiver. Suivez nos conseils.
Comment éviter les intoxications ?En cas d’intoxication grave (chronique ou aiguë), les personnes gardent parfois des séquelles : migraines chroniques ou bien dépendances neurologiques invalidantes (troubles de la coordination motrice, paralysies de toutes formes). Les femmes enceintes nécessitent souvent une prise en charge spécifique.
Massin.A
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Le ministre de l’Agriculture, du développement rural et de la pêche, Abdelkader Bouazghi, a pris part mercredi à une conférence débat au niveau du Congrès américain à Washington où il a présenté les réalisations enregistrées par l’Algérie grâce aux programmes de développement agricole initiés depuis 2000.
Lors de son allocution, M. Bouazghi, qui effectue une visite de travail du 13 au 18 janvier aux Etats-Unis, a présenté les différents programmes de développement agricole initiés par le président de la République Abdelaziz Bouteflika dans le cadre du Plan National de Développement Agricole (PNDA) « au moment où l’Algérie a renoué avec la paix et la sécurité grâce à la politique de réconciliation nationale », indique un communiqué du ministère.
Cette stratégie a permis d’enregistrer des résultats notables qui contribuent à la consolidation de la sécurité alimentaire du pays par le développement de l’ensemble des filières stratégiques, selon la même source.
Le ministre a mis en avant « les résultats probants enregistrés, qui permettent aujourd’hui à notre pays de couvrir, par la production nationale, la quasi-totalité des besoins en produits maraichers, fruitiers et carnés et démontrent la pertinence de la stratégie adoptée comme l’illustrent la réhabilitation de l’activité agricole et la création de multiples créneaux d’investissements pour la promotion d’une agriculture productive et moderne ».
Ces avancements « nous encouragent à poursuivre les efforts consentis afin de les consolider à travers la diversification des productions agricoles pour l’amélioration de l’offre, la réduction des importations et la dynamisation des exportations hors hydrocarbures », en s’appuyant sur « une mobilisation plus accrue des capitaux et de l’initiative privée », indispensables à la relance de l’investissement dans le secteur, a souligné le ministre à cette occasion.
En marge de la rencontre, M. Bouazghi a assisté au lancement du livre « Algeria et Transatlantic Relations ».
La délégation conduite par le ministre effectuera des visites à de grandes exploitations de production laitière, céréalière, fourragère, de fruits et d’élevage ainsi qu’à des unités de transformation et de conditionnement en Californie.
La présence de nombreux opérateurs économiques algériens aux Etats-Unis vise, selon la même source, à établir des partenariats avec leurs homologues américains dont la mise en œuvre contribuera à renforcer d’avantage les relations bilatérales et de partenariat économique entre les deux pays dans le domaine agricole.
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La quantité de la tomate collectée et transformée a augmenté à près 8 millions de quintaux durant la campagne 2017-2018, a indiqué mercredi le ministère de l’Agriculture, du développement rural et de la pêche dans un communiqué.
« La quantité de la tomate collectée et transformée a atteint 7.884.482 quintaux, en hausse de 7% par rapport à la campagne précédente », note le communiqué qui précise que ce bilan a été présenté lors d’une journée d’évaluation de la filière tomate industrielle organisée mercredi par le ministère de l’Agriculture, du développement rural et de la pêche, qui a regroupé les directeurs des services agricoles des wilayas concernées, l’Office national interprofessionnel des légumes et des viandes, les professionnels de la filière, la Banque de l’Agriculture et du développement rural (BADR), la Caisse nationale de mutualité agricole (CNMA) ainsi que les instituts et centres spécialisés.
Cette quantité représente une équivalence en double de concentré de tomate de 1,34 million de quintaux.
Concernant la production globale de la tomate industrielle, elle a atteint 15,4 millions de quintaux, en hausse de 27% par rapport à la compagne précédente, tandis que la superficie plantée a augmenté à 23.702 hectares, en hausse de 17% par rapport à la campagne 2017. Cette campagne a été marquée par l’introduction de la culture de tomate industrielle au niveau de trois (3) autres wilayas: Constantine (20 ha), Tamanrasset (14 ha à In Salah) et Nâama (59 ha).
Concernant les objectifs tracés pour la campagne agricole 2018-2019, la superficie destinée à la plantation de la tomate destinée à l’industrie agroalimentaire a été fixée à 27.557 hectares, soit une hausse de 16% par rapport à la campagne 2017-2018.
Les plantations pour cette campagne ont démarré en septembre dernier au niveau de la zone Sud pour atteindre un niveau de réalisation de 1.149 hectares . Les récoltes ont déjà débuté au niveau de la wilaya de Tamanrasset à partir de la première décade du mois de janvier en cours avec une production de 350 quintaux.
Durant cette rencontre, l’évaluation a porté sur les performances enregistrées durant la campagne agricole 2017-2018, la régulation notamment des niveaux de stocks en concentré de tomate détenus par les conserveries, l’accompagnement financier (payement des primes à la production et à la transformation) et les dispositifs d’encadrement mis en place pour la campagne agricole en cours.
A ce propos, les initiateurs de cette rencontre ont assuré que toutes les dispositions organisationnelles, techniques, financières ont été prises pour assurer une mobilisation optimale de l’ensemble des intervenants sur le terrain pour encadrer le programme de la campagne en cours.
Ainsi, des orientations ont été données pour appuyer davantage la dynamique de développement de cette filière à travers notamment le renforcement des campagnes de sensibilisation axées sur l’amélioration des niveau de production et de la qualité de la tomate produite, la sensibilisation des agriculteurs sur la nécessité de sécuriser les parcelles plantées notamment par des irrigation et une protection phytosanitaire et leur encouragement à contracter une assurance contre les risques agricoles.
En outre, ils ont souligné la nécessité d’impliquer la profession et l’interprofession notamment le Conseil interprofessionnel de la filière tomate industrielle, nouvellement créé, pour contribuer à améliorer les échanges entre les différents maillons de la filière, afin d’anticiper sur les problèmes pouvant surgir, et apporter des améliorations en termes de technique de production, de mécanisation et de régulation avec une approche collective.
Les participants ont également revendiqué l’implication des centres de recherche et des université dans le développement des variétés, maillon essentiel pour sécuriser davantage l’approvisionnement des programmes de production en semence.
Les participants ont évoqué le manque de main d’oeuvre agricole et la nécessité de combler les besoins de la filière par la mécanisation pour pallier à ce manque. Ils ont aussi abordé le volet investissement, en recommandant l’accompagnement des opérateurs pour les encourager à investir dans l’exportation notamment pour le double concentré de tomate.
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Une amélioration « qualitative » des investissements enregistrés dans la wilaya de Tizi-Ouzou est observé ces dernières années, a indiqué mercredi le directeur chargé de la facilitation des investissements a la direction générale de l’Agence nationale de développement des investissements (ANDI), Hamissi Youcef.
S’exprimant lors d’une journée d’étude sur le nouveau dispositif relatif à la promotion de l’investissement, abritée par la maison de la culture Mouloud Mammeri, ce même responsable a observé que, « 60% des investissements enregistrés à Tizi-Ouzou, relève du secteur de l’industrie, ce qui démontre le saut qualitatif réalisé par cette wilaya en matière d’investissements producteurs de richesse », a-t-il dit.
M. Hamissi qui a rappelé que par le passé la majorité des projets relevaient des secteurs des transport et es services, a observé que Tizi-Ouzou occupe depuis ces deux dernières années les premières places, à l’échelle nationale, en matière d’enregistrement des investissements. Cette position est toujours préservée en matière de dynamique et de qualité d’investissement, a-t-il ajouté.
Lors de cette rencontre organisée par le guichet unique décentralisés de l’ANDI à Tizi-Ouzou, M. Hamissi a rappelé les différentes lois prises par le gouvernement pour faciliter et promouvoir l’investissement, dont la loi N 16/09 du 3 août 2016 relative à la promotion de l’investissement qui a « permis de reconcentrer l’ANDI sur ses véritables missions qui sont la promotion et la facilitation de l’investissement et l’accompagnement des porteurs de projets ».
Abordant l’octroi des avantages, il a précisé que ces derniers seront modulés en fonction de l’importance du projet et de son apport économique et valeur ajoutée.
C’est dans ce cadre qu’il a été procédé à la révision de la liste de 2017 énumérant les activités exclus des avantages pour réintégrer certaines d’entre elles afin de répondre aux besoins spécificités exprimés dans chaque wilayas.
« Pour la wilaya de Tizi Ouzou, il a été procédé à la réintégration de deux activités dans la liste des avantages et qui sont l’entreposage frigorifique et les installations sportives », a-t-il fait savoir en soulignant en outre, l’octroie d’avantages pour les projets de minoteries et de laiteries qui seront réalisés dans les wilayas du grand sud.
Plus de 16 400 PME, 68 000 emplois générés et plus de 12500 artisans en activité
Pour sa part, le directeur de l’industrie et des mines de Tizi-Ouzou, Moula Hamitouche, a présenté la situation de l’investissement dans la wilaya. Selon les chiffres qu’il a présentés, Tizi-Ouzou compte un total de 16.424 PME qui ont généré plus de 68.000 postes d’emplois auxquels s’ajoutent plus de 12.500 artisans.
Le foncier industriel est d’une superficie globale de 326 ha dont la majorité nécessite une viabilisation et une mise à niveau pour un montant estimé à 2,56 milliard et dont 40% des terrains attribués soit environ 130 ha, ne sont pas exploités et font l’objet d’une procédure de récupération.
Ce foncier sera renforcé par la création prochaine de nouvelles zones d’activité et industrielles, a-t-il rappelé.
Un total de 1350 dossiers de demandes d’investissement a été déposé au niveau de la wilaya dont 319 dossiers ont été validés pour un montant d’investissement total de 87 milliards de DA et une projection de création de plus 18.000 postes d’emplois.
Sur ces 319 dossiers, 157 ont reçu un acte de concession et parmi lesquels 35 projets sont en cours de réalisation avec prévision de création de 1.841 emplois alors que 13 autres sont déjà en exploitation et ont permis de créer 663 emplois, a-t-il encore rappelé.
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