La direction du commerce de la wilaya de Médéa «s’emploie actuellement à augmenter le nombre de points de vente agréés de lait pasteurisé», dans le but «d’améliorer la distribution de ce produit et de lutter contre toute pratique spéculative susceptible de provoquer des tensions sur le lait en sachet», a indiqué, lundi à l’APS, le responsable de cette structure.
Des démarches ont été entreprises en direction de la laiterie de Ghrib, dans la wilaya de Ain-Defla, qui assure l’essentiel de l’approvisionnement de la wilaya de Médéa en lait pasteurisé, en vue de «faciliter la création de nouveaux points de vente réglementé», de sorte à «élargir le circuit de distribution légal et mieux maitriser la distribution du lait en sachet» à travers toutes les communes de la wilaya, a expliqué Haroun Daoudi. Il a précisé, dans ce contexte, que les responsables du groupement «Giplait», dont dépend la laiterie de Ghrib, sont disposés à accompagner et à apporter leur aide pour la concrétisation de cet objectif», ajoutant qu’un appel a été lancé récemment aux investisseurs et aux commerçants pour les «inciter à adhérer à cette démarche».
L’ouverture de nouveaux points de vente agréés devrait permettre, selon ce responsable, de garantir la «disponibilité de ce produit, de mieux organiser le circuit de distribution local et éviter toute forme de spéculation», tout en faisant observer que les «tensions enregistrées parfois dans certaines régions sont dues en grande partie à l’insuffisance de ces points de vente, mais aucunement au volume de lait pasteurisé affecté à la wilaya». Il a fait part, à cet égard, de l’existence d’un seul point de vente, sis au chef-lieu de wilaya, qui dépend directement de la laiterie de Ghrib, et dispose d’un volume de roulement quotidien de quelque 6000 sachets de lait pasteurisé, alors que le reste de la distribution est assuré par des particuliers, au nombre de 46 distributeurs.
Le quota quotidien de lait pasteurisé livré à la wilaya de Médéa par la laiterie de Ghrib s’élève, d’après Haroun Daoudi, à 85 000 litres, auquel il faut ajouter un apport de 41 000 litres supplémentaires, assurés par deux laiteries privées, destinés globalement à l’approvisionnement de plus d’une quinzaine de communes. Les besoins en lait des autres communes sont couverts par les producteurs privés de lait cru, qui disposent de leur propre circuit de vente constitué essentiellement de crémeries traditionnelles, a-t-il conclu.
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Quelque 87 réseaux criminels nationaux et internationaux ont été neutralisés et leur éléments arrêtés, par les différentes unités du Groupement territorial de la Gendarmerie nationale de Blida, durant l’année 2018, a indiqué, lundi , le commandant de ce corps sécuritaire, le lieutenant- colonel Mokhtar Zeroual.
«87 réseaux criminels nationaux et internationaux activant notamment dans le trafic de drogues et de véhicules et la falsification de monnaie et de documents officiels, ont été mis hors d’état de nuire, dans le cadre du plan de lutte contre la criminalité sous toutes ses formes», a déclaré le lieutenant-colonel Mokhtar Zeroual, dans un point de presse consacré à la présentation du bilan annuel d’activité du groupement territorial de la Gendarmerie nationale de Blida, durant l’année 2018. Il a cité entre autres, un réseau de trafic de drogues, constitué de sept éléments, dont la neutralisation a permis la saisie de pas moins de 60 kg de kif traité, alors qu’une autre opération similaire a permis l’arrestation d’une bande criminelle spécialisée dans l’usage de faux, et impliquée dans la falsification de 4.168 vignettes automobiles.
Les éléments de la Gendarmerie nationale de Blida ont, également, réussi, à la période indiquée, à neutraliser un réseau de trafic de pièces archéologiques, dont les membres ont été trouvés en possession d’une statue pharaonique et de pierres précieuses. Un total de 247 pièces de corail et d’autres pierres précieuses ont été également saisies, en 2018, auprès d’une autre bande criminelle, dont tous les membres ont été arrêtés.
Le lieutenant colonel Mokhtar Zeroual a fait part, à ce titre, du traitement, par ses services en 2018, de 566 affaires liées au crime organisé (trafic de drogues et d’armes, immigration clandestine, falsification de monnaie), impliquant 619 personnes, dont 433 ont été placées en détention provisoire.
Au titre des efforts de lutte contre le trafic de drogues, il a fait cas du traitement de 525 affaires de ce type, ayant impliqué 529 personnes. Il a notamment signalé la mise en échec d’une opération visant la vente de 121 kg de kif traité et de 9.886 comprimés de psychotropes.
Les services de la police judicaire ont, pour leur part, traité six affaires liées à des trafics en tous genre, ayant abouti à l’arrestation de 11 personnes, outre la restitution de 7.200 unités pyrotechniques, outre des pièces archéologiques, dont des pièces de monnaie ancienne et des statuettes.
Selon le responsable, un taux de 47% des personnes généralement impliquées dans différents crimes, ont une moyenne d’âge allant de 29 à 40 ans, au moment où 29% ont plus de 40 ans, contre un taux de 18% pour les mineurs (âgés de 18 ans), Sachant qu’un taux de 95% des criminels sont de sexe masculin.
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Les démocrates essaient déjà de se placer dans la course face à Donald Trump en 2020. Mais le président américain figurera-t-il effectivement sur le bulletin de vote dans deux ans? Avec une cote de popularité qui tourne autour des 40% (voire moins selon certains sondages), les spéculations vont bon train sur l’idée que M. Trump pourrait devoir passer par une primaire républicaine pour être candidat à la présidentielle au nom du parti.
Le président a été très critiqué pour la récente paralysie partielle des administrations fédérales. Bien qu’il ait duré plus d’un mois, ce «shutdown» n’a pas abouti à un accord sur la promesse de campagne phare de M. Trump: un mur à la frontière avec le Mexique. Et le procureur spécial Robert Mueller doit encore livrer le rapport final sur son enquête fleuve, qui doit déterminer s’il y a eu collusion entre des membres de l’équipe de campagne de M. Trump et la Russie pour le faire élire en 2016. Il est rare pour un président en place, candidat à sa réélection, d’être défié par un membre de son propre parti, mais ce n’est pas sans précédent.
En 1976, Ronald Reagan, ancien gouverneur de Californie, avait tenté d’arracher la nomination républicaine au président Gerald Ford. Quatre ans plus tard, le président Jimmy Carter avait dû se confronter au sénateur du Massachusetts, Ted Kennedy, lors d’une rude primaire démocrate. Et en 1992, le président George H.W. Bush avait repoussé la tentative du commentateur d’extrême droite Pat Buchanan. Chacun de ces trois présidents ayant dû faire face au défi d’une primaire a ensuite perdu l’élection.
Plusieurs noms circulent
Il faut remonter à 1884 pour trouver le dernier président en place à avoir échoué à obtenir l’approbation de son parti: Chester Alan Arthur, alors malade, avait perdu la nomination républicaine face à James Blaine. Bien qu’aucun républicain ne se soit pour l’instant déclaré prêt à mettre le président Trump au défi, plusieurs noms circulent, comme celui de l’ancien gouverneur de l’Ohio John Kasich. A 66 ans, ce républicain modéré n’a pas écarté d’entrer dans la course à la présidentielle, disant aux étudiants de l’université de Floride la semaine dernière que «toutes les options (étaient) sur la table». «Ça ne m’intéresse que si je peux gagner», a-t-il dit selon le journal Gainesville Sun. «Ça ne m’intéresse pas d’être candidat pour nuire à quelqu’un d’autre».
Un autre politicien évoqué est le gouverneur du Maryland Larry Hogan, facilement réélu en novembre en tant que républicain centriste dans un Etat largement démocrate. Selon le Washington Post, M. Hogan, 62 ans, «mène des consultations avec des conseillers et des détracteurs de Trump au sein du parti républicain» à propos d’une candidature présidentielle. Le quotidien affirme que Larry Hogan, qui critique ouvertement le président, pourrait attirer «les dissidents républicains qui cherchent une alternative moins polarisante au président Trump». M. Hogan semble ne pas avoir encore pris de décision, et le journal cite des proches qui jugent peu probable qu’il se présente «à moins que Trump ne soit sérieusement affaibli ou décide de ne pas briguer un second mandat».
Parmi les autres républicains évoqués figurent le sénateur de l’Arizona à la retraite Jeff Flake, 56 ans, un opposant au président, et le sénateur de l’Utah Mitt Romney, 71 ans, qui a perdu l’élection présidentielle de 2012 face à Barack Obama. Pour le moment, la cote de popularité de M. Trump chez les républicains reste élevée, à près de 80%. Selon des politologues, ce nombre devra probablement baisser avant qu’il soit réaliste pour tout challengeur de défier M. Trump. «Alors, même un fidèle républicain –candidat ou électeur– pourrait être amené à penser que la seule chose qui pourrait sauver le parti serait d’avoir quelqu’un d’autre», écrit Paul Waldman, du Washington Post.
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Les «gilets jaunes» en France ont indiqué dans un appel rendu public lundi qu’ils «ne se laisseront plus faire», se disant «révoltés contre la vie chère, la précarité et la misère». Réunis samedi et dimanche en «assemblée des assemblées» dans la région de la Meuse, ils s’identifient comme des «gilets jaunes» des ronds-points, des parkings, des places, des assemblées et des manifestations.
«Depuis le 17 novembre, du plus petit village, du monde rural à la plus grande ville, nous nous sommes soulevés contre cette société profondément violente, injuste et insupportable», ont-ils mentionné affirmant qu’ils «ne se laisseront plus faire». «Nous nous révoltons contre la vie chère, la précarité et la misère. Nous voulons, pour nos proches, nos familles et nos enfants, vivre dans la dignité», ont-ils ajouté, appelant les Français à «partager la richesse et pas la misère». Dont leur appel, qui sera proposé aux assemblées locales, les «gilets jaunes» exigent l’augmentation «immédiate» des salaires, des «minimas» sociaux, des allocations et des pensions, ainsi que le droit «inconditionnel» au logement et à la santé, à l’éducation et l’accès à des services publics «gratuits et pour tous».
«C’est pour tous ces droits que nous occupons quotidiennement des ronds-points, que nous organisons des actions, des manifestations et que nous débattons partout. Avec nos gilets jaunes, nous reprenons la parole, nous qui ne l’avons jamais obtenu», ont-ils expliqué, rejetant la réponse du gouvernement déclinée dans «la répression et le mépris «. Regrettant la mort de manifestants (onze depuis le début du mouvement) et des milliers de blessés, les gilets jaunes ont dénoncé l’utilisation «massive» d’armes par tirs tendus qui «mutilent, éborgnent, blessent et traumatisent», indiquant que plus de 1000 personnes ont été «arbitrairement condamnées et emprisonnées».
A partir du Caire où il entame lundi une visite en Egypte, le président Emmanuel Macron a «déploré» que «11 personnes aient perdu la vie», soulignant qu’aucune n’avait «été victime des forces de l’ordre». Par ailleurs, les «gilets jaunes» ont estimé que le «grand débat national», lancé par le chef de l’Etat, est en fait «une campagne de communication du gouvernement, qui instrumentalise nos volontés de débattre et décider». Ils appellent à «poursuivre les actes (acte 12 contre les violences policières devant les commissariats, actes 13, 14…), à continuer les occupations des ronds-points et le blocage de l’économie, à construire une grève massive et reconductible à partir de mardi (5 février).
Initiée par la Confédération générale du travail (CGT), la grève, soutenue par les «gilets jaunes», est une «urgence sociale», dont les revendications concernent la hausse des salaires et des minimas sociaux, et une réforme de la fiscalité. L’autre syndicat, considéré comme le numéro 1, la Confédération française démocratique du travail (CFDT) a déclaré ne pas répondre à l’appel de la CGT. Son secrétaire général, Laurent Berger a affirmé que le ralliement à cette grève de certains «gilets jaunes» pose problème. «Je crois que certains gilets jaunes qui les rejoignent, dont les plus radicaux au niveau politique, ce n’est pas un très bon signe» a-t-il fait savoir.
Pour sa part, le leader de La France insoumise, Jean-Luc Mélenchon, qui a affirmé que la France vit «un moment d’histoire», a considéré que la grève de mardi prochain «ouvrirait une nouvelle phase de l’insurrection citoyenne qui dure depuis onze semaines», tandis que le Nouveau parti anticapitaliste (NPA) a annoncé qu’il se joindra à cette grève.
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Sanctions sur le pétrole, appels à la désertion de l’armée: le président vénézuélien Nicolas Maduro voit l’étau se resserrer, alors que l’opposition menée par Juan Guaido se prépare à manifester mercredi.
Déterminé à provoquer son départ, le Parlement, dirigé par M. Guaido, 35 ans, qui lui dispute la place à la tête de l’Etat, se réunit mardi. Au menu de la session: l’examen d’une loi sur «la transition à la démocratie», l’étude du «plan de sauvetage du pays» et un «débat sur les élections libres et transparentes» que réclame l’opposition. «Le sang qui peut couler au Venezuela sera sur vos mains, Donald Trump», a lancé lundi soir Nicolas Maduro, furieux après l’annonce de nouvelle sanctions de Washington. Les manifestations d’opposants ont déjà fait au moins 35 morts, selon plusieurs ONG, et le pape François a dit redouter un «bain de sang».
Tous les regards sont tournés vers ce pays qui est l’un des plus violents au monde, mais en plein naufrage économique et au coeur d’une bataille diplomatique internationale. Nicolas Maduro reste soutenu par la Russie, la Chine, la Corée du Nord, la Turquie ou encore Cuba. Mais de plus en plus de voix se rallient à Juan Guaido, notamment en Europe où six pays (Espagne, France, Allemagne, Royaume-Uni, Portugal, Pays-Bas) ont donné jusqu’à dimanche au président socialiste pour organiser des élections, faute de quoi ils reconnaîtront son adversaire.
Sanctions pétrolières
Les Etats-Unis ont déjà franchi ce pas et considèrent Juan Guaido comme président par intérim. Lundi, ils ont encore fait monter la pression sur Caracas, en visant cette fois la compagnie pétrolière vénézuélienne PDVSA, accusée d’être «un véhicule de corruption». Selon le Trésor américain, ces sanctions qui interdisent à PDVSA de faire du commerce avec des entités américaines et gèlent ses avoirs à l’étranger ont pour objectif d’empêcher «le détournement de davantage de ressources» par Nicolas Maduro. Juan Guaido a, lui, annoncé qu’il prenait le contrôle des actifs du Venezuela à l’étranger, pour éviter que le chef de l’Etat ne les dilapide au cas où il quitterait la présidence.
Il a ajouté avoir commencé «le processus de nomination des comités de direction de PDVSA et Citgo», filiale de raffineries aux Etats-Unis. Le pétrole, c’est justement le joyau de la couronne au Venezuela, qui dispose des plus importantes réserves de brut au monde, même si sa production a fondu ces dernières années par manque d’entretien des installations. «Ils veulent nous voler l’entreprise Citgo, à nous les Vénézuéliens», a dénoncé Nicolas Maduro, annonçant engager des poursuites contre les Etats-Unis.
L’armée, autre pilier
Le deuxième angle d’attaque de l’opposition et de Washington est l’armée, l’autre pilier qui maintient au pouvoir le chef de l’Etat depuis 2013. John Bolton, conseiller à la sécurité nationale de la Maison Blanche, a exhorté l’armée et les forces de sécurité à accepter la transition «pacifique, démocratique et constitutionnelle» du pouvoir. Dans ce même sens, Juan Guaido a offert l’amnistie aux fonctionnaires et militaires acceptant de le soutenir. Des dissensions commencent justement à apparaître: attaché militaire du Venezuela à Washington, le colonel José Luis Silva a fait défection samedi. Fort de son soutien à l’international, Juan Guaido appelle à manifester mercredi, «pour exiger des forces armées qu’elles se mettent du côté du peuple», puis samedi, «pour accompagner le soutien de l’Union européenne et l’ultimatum». Jusqu’à présent, Nicolas Maduro se montre inflexible et rejette l’ultimatum des Européens.
Pression diplomatique
Mais la pression diplomatique s’intensifie: le Canada accueillera lundi prochain à Ottawa une réunion d’urgence du Groupe de Lima, qu’il forme avec une dizaine de pays d’Amérique latine, afin d’étudier les mesures pour «soutenir Juan Guaido et le peuple vénézuélien». Les ministres des Affaires étrangères de l’UE se pencheront eux sur cette crise lors d’une réunion informelle jeudi et vendredi à Bucarest.
Outre la violence, la communauté internationale redoute aussi la catastrophe humanitaire dans ce pays, autrefois le plus riche d’Amérique latine, qui se débat aujourd’hui entre hyperinflation (10.000.000% en 2019 selon le FMI) et graves pénuries d’aliments et de médicaments.
L’impasse politique au Venezuela remonte à fin 2015, quand l’opposition avait remporté les élections législatives, gagnant la majorité au Parlement. Nicolas Maduro avait répliqué avec une Assemblée constituante, uniquement composée de ses partisans, qui a confisqué la plupart des prérogatives des députés. Découragée, l’opposition a boycotté l’élection présidentielle de mai 2018 et considère le second mandat remporté par Maduro comme frauduleux. Estimant qu’il y a donc vacance du pouvoir, Juan Guaido s’est autoproclamé président par intérim, ce que le gouvernement socialiste qualifie de coup d’Etat, orchestré selon lui par Washington.
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La famille de Michael Jackson a qualifié lundi de « lynchage public » les réactions scandalisées ayant suivi la diffusion au festival Sundance d’un nouveau documentaire relançant les accusations d’agressions contre le chanteur.
La famille avait déjà jugé début janvier « scandaleux et pathétique » ce nouveau film signé Dan Reed et intitulé « Leaving Neverland », du nom du ranch de l’artiste en Californie. Mais sa diffusion vendredi au festival du film de Sundance –en présence notamment de la fondatrice du mouvement #MeToo Tarana Burke, selon Vanity Fair– a déclenché une tempête sur les réseaux sociaux. Beaucoup d’internautes se sont montrés scandalisés, disant ne plus croire en l’innocence du « roi de la pop », acquitté en 2005 pour des abus sur un mineur et décédé en juin 2009 d’une surdose médicamenteuse. « Michael tendait toujours l’autre joue, et nous avons toujours tendu l’autre joue quand des gens s’en sont pris à notre famille –c’est comme ça qu’on fait chez les Jackson », a indiqué la famille du chanteur dans sa déclaration lundi.
« Mais nous ne pouvons pas assister en silence à ce lynchage public, où des vautours sur Twitter et d’autres qui ne connaissaient pas Michael s’en prennent à lui ». « Michael n’est pas là pour se défendre, sinon ces accusations ne seraient pas sorties », a-t-elle indiqué. Dans ce documentaire de quatre heures, qui doit être diffusé sur HBO au printemps 2019, deux hommes –Wade Robson et James Safechuck– accusent avec force détails Michael Jackson d’avoir abusé d’eux quand ils avaient respectivement sept et dix ans. Ils sont aujourd’hui âgés de 36 et 40 ans. Il y a des années, ils avaient témoigné en faveur de Michael Jackson. Mais après sa mort, ils avaient assigné en justice ses héritiers, des plaintes déboutées en raison de délais de prescription dépassés.
Interrogé début janvier sur les témoignages à charge des deux hommes, Dan Reed –connu notamment pour son documentaire sur l’attentat contre le journal satirique Charlie Hebdo en janvier 2015 en France– avait dit n’avoir « aucun doute sur leur crédibilité ». « S’il y a bien une chose que nous avons apprise, c’est que les abus sexuels sont complexes et qu’on doit entendre la voix des victimes », avait-il expliqué. Michael Jackson a été à plusieurs reprises accusé d’avoir commis des actes pédophiles. Avant le procès de 2005, un adolescent de 13 ans avait porté plainte en 1993 contre lui pour attouchements. L’affaire s’était réglée à l’amiable contre 15 millions de dollars.
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Le (mounchid) sénégalais Omar Niane a marqué, dimanche dernier, de son empreinte, la soirée d’ouverture de la 7ème édition du Festival international du»Samaâ soufi» de Sétif, en emportant le public dans un univers auréolé de chants spirituels.
Les amoureux du Samaâ Soufi étaient au rendez-vous de cet évènement, accueilli pendant 4 jours par la maison de la culture Houari-Boumediene, avec une soirée d’ouverture animée par le chanteur sénégalais Omar Niane et les troupes «Achouak» de Béchar et «Darb El Houda» de Sétif, qui ont offert à un public conquis un bouquet varié de chants soufis. Cette manifestation culturelle a été entamée par la prestation remarquable du chanteur sénégalais Omar Niane qui a brillamment interprété les chants spirituels «Ahlan ya chahr El Mawlid», «Ya rassoul Allah Lil Allamin», «Tabibi» et «Kilini» (signifiant éloigne-toi de moi), concluant avec la chanson émouvante de»Talaâ El Badr Alaina», en totale communion avec le public.
L’ouverture du festival international du Samâa soufi s’est poursuivie avec la prestation attendue de la troupe locale «Darb El Houda», dont les 11 membres ont enchanté le public avec des chants interprétés avec grâce et élégance, à l’instar de «Ain Errahma Mohamed» du patrimoine marocain, «Essohba Essaliha» du patrimoine algérien et «Allah Allah Allah Ya Mohamed», en plus d’un certain nombre d’Ibtihalat comme «Haram Ala Kalbi Mahabet Ghirkoum» et «Sakani Al Hawa Kaassan Safia oua Laitahou Lama Sakani». Cette première soirée a été clôturée par la troupe «Achouak» de Béchar, conduite par le chanteur Mohamed Chouaib, qui a envoûté l’assistance en déclinant un florilège de chants soufis avec un timbre sahraoui et naili, comme «Assalat Ala Rassoul Allah», «Ouled Lajoued», «Loumeima» et «Salat Ala Mohamed Chafiê Oumatihi».
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Le ministre des Ressources en eau, Hocine Necib a affirmé, mardi à Blida, que l’Algérie était à l’abri du stress hydrique en dépit de sa position géographique, où elle se trouve menacée par la sécheresse due aux changements climatiques, et ce grâce aux investissements énormes réalisés par le secteur des Ressources en eau.
S’exprimant au cours de sa visite dans la wilaya de Blida, le ministre a indiqué que « l’Algérie est à l’abri du stress hydrique grâce aux réalisations accomplies depuis l’an 2000, lesquelles ont couté 55 milliards de dollars », ajoutant qu’il s’agissait de 36 barrages, plusieurs stations de dessalement et d’épuration, des aqueducs et des réseaux de distribution d’eau.
Ces efforts visant la sécurisation du secteur ont cocerné la création d’un ministère consacré aux ressources en eau, l’Algérienne des eaux (ADE), ainsi que l’Office national d’assainissement (ONA) pour conférer davantage de professionnalisme aux métiers du secteur.
M. Necib a affirmé, en outre, que la gestion des ressources hydriques et la fourniture d’un service public de qualité requéraient une technique, un savoir-faire et une expertise, faisant état, à ce propos, du recours de son département à l’expertise internationale en matière de gestion du secteur dans les grandes villes, à savoir Alger, Oran et Constantine, ce qui « a permis, poursuit-il, la réalisation de résultats positifs qui nous ont poussé à renouveler, cette année, le contrat avec l’opérateur étranger ».
Afin d’assurer le transfert d’expérience et d’expertise aux Algériens, il a été décidé la création d’une Ecole nationale des métiers de l’eau, pour bénéficier de l’expertise étrangère et former des cadres et éléments compétents à même de préserver la ressource hydrique et d’améliorer les prestations prodiguées.
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Plus de 2.400 postes d’emploi sont proposés par des entreprises et établissements qui participent à la 13ème édition du salon du recrutement et de la formation continue.
Ouvert mardi au Palais des expositions (Pins Maritimes) à Alger, « le Salon regroupe environ 40 entreprises publiques et privées, dans plusieurs secteurs, notamment, le BTPH, l’informatique et l’agro-alimentaire », a indiqué Ali Belkhiri.
Le commissaire du Salon, précise que cette manifestation s’adresse, notamment, aux demandeurs d’emploi ou aux personnes souhaitant créer leur propre entreprise, mais également aux jeunes à la recherche de stages, ainsi qu’à tous ceux (étudiants ou diplômés) qui veulent renforcer leurs compétences et savoir-faire.
Ce salon, qui s’étalera sur 3 jours et auquel prennent part, également, des écoles et instituts de formation, se veut un espace d’intermédiation entre les jeunes demandeurs d`emploi et des entreprises en quête de compétences.
S’agissant du volet entreprenariat, ce salon ambitionne d’être un « carrefour » de rencontres entre les représentants des organismes publics d`emploi, notamment, l`Agence nationale de soutien à l`emploi des jeunes (ANSEJ) et la Caisse nationale d’assurances-chômage (CNAC) et les jeunes porteurs de projets, a indiqué Ali Belkhiri.
Cet évènement permettra aux jeunes de pouvoir accéder aux informations et aux orientations sur les mesures et procédures liées au financement des projets d`activités et à la création de la micro-entreprise.
D’autre part, un espace sera réservé aux conférences thématiques et ateliers de conseil et d`information qui seront animés par des professionnels et experts dans le domaine de l`emploi, sur les différentes procédures liées, notamment, à la rédaction des CV, la préparation à l’entretien d’embauche, et l’établissement d’un bilan de compétences, a-t-il fait savoir.
Pour cette nouvelle édition du salon, les organisateurs ambitionnent de dépasser les 25.000 visiteurs. Lors de la précédente édition (2017), le nombre de visiteurs enregistrés a atteint 20.000.
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Le temps sera pluvieux sur le nord du pays. Les pluies toucheront plusieurs wilayas du Centre et Est du pays, indique un BMS de l’Office National de la Météorologie (ONM).
Les wilayas concernées : Relizane, Chlef, Ain Defla, Tissemsilt, Jijel, Skikda, Annaba, El-Tarf, Béjaia, Tizi-Ouzou et Bouira.
Par ailleurs, un autre BMS annonce de fortes rafales de vent sur les wilayas de l’Ouest. Les wilayas concernées sont Ain Temouchent, Oran et Tlemcen. Les rafales de vent qui souffleront sur ces wilayas peuvent dépasser localement les 60 Km/h, précise le même BMS.
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Par Hasna YACOUB
Ahmed Ouyahia entrera, à coup sûr, de plain-pied ce samedi dans la précampagne électorale. Le RND n’aura ainsi fait qu’accorder ses violons avec ceux de son allié et frère aîné, le FLN qui, lui, a déclenché, hier, le roulement des tambours pour porter son candidat à El Mouradia.
Sans surprise aucune, il est attendu demain, lors de l’ouverture des travaux de la session extraordinaire du conseil national du Rassemblement national démocratique (RND), qu’Ahmed Ouyahia réitère à nouveau son appel au chef de l’Etat à «continuer son oeuvre» en se portant candidat à la candidature du 18 avril prochain. Le secrétaire général du parti, qui devra évoquer avec ses partisans la préparation du prochain rendez-vous électoral et débattre de la situation générale du pays, va marquer son retour sur la scène médiatique avec l’animation ce samedi d’une conférence de presse.
En s’adonnant à un exercice qu’il affectionne le plus, à savoir les questions-réponses avec les journalistes, Ahmed Ouyahia entrera, à coup sûr, de plain-pied dans la précampagne électorale. Une précampagne qui s’entamera par des appels incessants à Abdelaziz Bouteflika pour entrer dans la course à la présidentielle et durant laquelle sera également présenté le bilan des vingt dernières années du président sortant. Sur le plan structurel, le RND va sûrement mettre en place les organes qui se chargeront de préparer la collecte des signatures, les meetings et autres manifestations populaires en prévision de la campagne qui sera menée pour le prochain scrutin. La formation politique n’aura ainsi fait qu’accorder ses violons avec ceux de son allié et frère aîné, le FLN qui, lui, a déclenché, hier, le roulement des tambours pour porter son candidat à El Mouradia.
Et de manière grandiose puisque le Front et alors que toutes ses institutions sont gelées, a décidé d’ouvrir ses portes à l’ensemble des anciens cadres du parti pour mener campagne en faveur du président de la République. Avant l’heure, il faut le dire, puisque le chef de l’Etat ne s’est pas encore exprimé sur son intention de se porter ou pas candidat. Le RND ne restera pas en rade. Mieux, il ne se laissera pas distancer sur cette question en appelant ses «figures» médiatiques à se préparer à la bataille électorale. Mais outre le soutien du RND au président Bouteflika, Ahmed Ouyahia, qui a la double casquette de Premier ministre et de SG du RND, aura à s’exprimer, lors de la conférence de presse qu’il animera au siège du parti, sur plusieurs autres sujets.
Il sera sûrement harcelé pour savoir si le chef de l’Etat va briguer un nouveau mandat malgré le fait qu’il s’agit là d’une décision qui relève strictement du président de la République. L’ambition présidentielle de Ahmed Ouyahia en cas d’absence du candidat Bouteflika sera également au coeur des questionnements et là aussi, le SG du RND va botter en touche en préférant rappeler que le RND a déjà son candidat et donner rendez-vous aux journalistes le 4 mars prochain, date à laquelle toutes les candidatures seront connues. Ahmed Ouyahia, qui a cette particularité d’avoir des réponses à toutes les questions, avec une certaine suffisance, va peut-être commenter la forte présence de candidats-bouffons, mais il lancera, à ne pas en douter, des pics aux autres candidats à la candidature qui, dès l’entame de leur campagne, ont critiqué le «pouvoir en place» ou encore le «bilan du chef de l’Etat».
Enfin et inéluctablement, le secrétaire général du RND défendra le bilan des vingt ans de règne de Bouteflika et justifiera son appel pour la «continuité». Il défendra la politique du gouvernement et ses choix économiques adoptés. C’est là pour lui, l’entame d’un processus qui ne prendra fin que le 18 avril prochain avec le succès espéré du camp des alliés.
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Par Brahim TAKHEROUBT
Le chef de la diplomatie algérienne n’a pas omis de rappeler, dans son intervention, que la politique étrangère de l’Algérie se fonde sur la non-ingérence dans les affaires intérieures des états.
Aux observateurs américains subjugués par cette «spécificité algérienne» en sa qualité de pays resté incroyablement stable dans une zone d’extrêmes turbulences, Abdelkader Messahel a livré une partie de la recette. S’exprimant, avant-hier, dans le cadre d’une conférence organisée au prestigieux Centre des études internationales stratégiques de Washington, le ministre des Affaires étrangères a souligné que cette stabilité instaurée après une décennie de terrorisme, est le résultat d’une démarche de paix qui tire ses racines des fondements de la société algérienne, ses us et sa religion, ainsi que la clairvoyance de ses dirigeants politiques.
«Cette démarche, explique-t-il, a débuté par la politique de Concorde civile suivie par celle de la Réconciliation nationale, conduite par le président de la République, M.Abdelaziz Bouteflika, mettant ainsi fin à la tragédie nationale et orientant les ressources du pays vers les objectifs de développement socio-économique». Messahel a précisé que cette «démarche globale» c’est elle qui a contribué au «renforcement» des institutions de l’Etat et à «l’approfondissement de la bonne gouvernance et de la démocratie en tant qu’antidote du discours de l’exclusion et de l’exclusif».
Ce sont les premiers ingrédients de cette recette miracle ayant fait que le pays conserve sa stabilité malgré les multiples défis d’ordre sécuritaire et les crises et conflits dans la région.
Messahel a ajouté que l’Algérie avait mis «progressivement» en oeuvre des «politiques globales» de déradicalisation se fondant notamment sur la «réappropriation de l’identité nationale, la promotion du référent religieux national d’un islam d’ouverture et de tolérance, ainsi que les réformes économiques et des secteurs de la justice et de l’éducation, en vue de lutter contre les facteurs d’exclusion et de marginalisation. Des chantiers qui ont nécessité un investissement humain, financier et un engagement politique sans concession et continu.
«Ce sont ces réalisations qui permettent à l’Algérie de préserver sa stabilité et sa sécurité et, partant, de contribue à la stabilité régionale», a conclu M.Messahel. Cet engagement et ce souci de la stabilité font que l’Algérie est un pays pivot dans toute la sous-région sahélo-saharienne. C’est ainsi, explique le ministre des Affaires étrangères, que l’Algérie joue un rôle et apporte sa contribution à la paix et à la stabilité aussi bien sur le plan régional qu’international. Cela étant, le chef de la diplomatie algérienne n’a pas omis de rappeler dans son intervention que la politique étrangère de l’Algérie se fonde sur le triptyque «non-ingérence dans les affaires intérieures des Etats», «équidistance entre les parties» et «appropriation par celles-ci des processus de règlement des crises».
C’est ce qui garantit aujourd’hui à l’Algérie une indépendance de décision qui lui est très chère et qui lui permet d’apporter sa contribution à la stabilité régionale et internationale. Selon Abdelkader Messahel, la persistance des conflits et crises est justement due, notamment à la violation et au non-respect de ces principes, en particulier la non-ingérence dans les affaires intérieures des Etats, le non-recours à la force et la promotion de solutions politiques et pacifiques. Il a soutenu que la forte conviction en la capacité des solutions militaires de régler les conflits est également une source de préoccupation en ce qu’elle fait durer les crises au lieu de contribuer à leur résolution.
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Par Mohamed BOUFATAH
L’enjeu ne sera pas le contrôle des instances du FLN, puisque dissoutes, mais de donner le change aux électeurs et démontrer qu’au-delà de l’ego des uns et des autres, les Algériens peuvent compter sur un FLN plus puissant que jamais.
Les partis de l’Alliance présidentielle, dont le FLN, ne laissent aucun doute sur l’option d’un nouveau mandat pour le président de la République. Le parti majoritaire organisera un grand meeting le 9 février prochain à Alger. Le président de l’instance dirigeante du FLN, Mouad Bouchareb, a confirmé la tenue, le 9 février prochain, d’une rencontre nationale élargie pour donner un coup de starter aux préparatifs de la présidentielle. «Nous allons travailler ensemble pour préparer une rencontre nationale qui se tiendra normalement le 9 février. Cette rencontre concerne le parti du FLN et les organisations qui lui sont inféodées (…). Cette rencontre sera ouverte à tous les militants sans exclusion. Les anciens secrétaires généraux et les anciens membres du comité central sont les bienvenus», révèle Bouchareb.
Cette décision, qui n’est pas anodine, est certainement à la hauteur de la mission que se donne le vieux parti. Il ne veut rien laisser au hasard. C’est cela le sens qu’il faut donner à l’appel de Bouchareb. Dans un FLN sans structures officielles et définitives, l’ensemble des cadres mécontents trouve sa place. Ainsi, des Belayat, Belkhadem, Bouhadja, Ould Abbès, Saâdani et autres anciens ministres et membres du BP, qui ont eu des différends avec les directions précédentes se retrouveront sur le même pied d’égalité.
L’enjeu ne sera pas le contrôle des instances du FLN, puisque dissoutes, mais de donner le change aux électeurs et démontrer qu’au-delà de l’ ego des uns et des autres, les Algériens peuvent compter sur un FLN plus puissant que jamais et franchement uni derrière son candidat. Si la dissolution du vieux parti avait pour objectif une réconciliation de son élite, ce serait une formidable trouvaille.
Fort du rassemblement de toutes ses «ressources», le FLN paraîtra «gigantesque» et aucune force politique n’oserait s’y frotter. Les observateurs nationaux et internationaux «toucheront du doigt» la force du parti. Celle-ci se verra lors de cette rencontre qui «constituera un véritable coup d’envoi des préparatifs de la présidentielle», souligne le parti. Il a également annoncé lors de la rencontre avec ses deux groupes parlementaires au siège du parti, l’installation d’une direction nationale pour la campagne électorale du candidat du parti, qu’il n’a pas cité, mais tout le monde l’aurait compris qu’il s ‘agissait du président sortant, Abdelaziz Bouteflika. Il a précisé que son parti a décidé de fixer la date de la tenue du prochain congrès extraordinaire du parti après l’élection présidentielle, prévue le 18 avril prochain.
Ce report est motivé par une seule raison: «Resserrer les rangs du parti et rassembler tous ses militants derrière le candidat du parti.», a fait savoir mouad bouchareb. Et d’enchaîner: «Le candidat du FLN vous le connaissez tous. Celui qui ne le connaît pas n’est pas dans la salle.» Il a révélé qu’une rencontre au sommet des partis de l’Alliance présidentielle se tiendra ce samedi pour «élaborer une vision commune». «Je déclare de façon officielle l’installation de l’instance du FLN pour la préparation de l’élection présidentielle. Cette instance sera composée par les actuels et anciens ministres du FLN, les cadres du parti, les élus députés et sénateurs.
C’est elle qui conduira la campagne électorale au profit du candidat du parti, a-t-il ajouté. Le FLN a entamé, a-t-il souligné, la phase des préparatifs de la prochaine échéance, réitérant sa confiance en le président de la République et président du parti, Abdelaziz Bouteflika, pour poursuivre la mise en oeuvre de son programme prometteur qui a fait avancer l’ Algérie à pas de géant…».
Il s’est dit attaché à impliquer tous les cadres et militants du parti dans la campagne électorale.
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Par Hocine NEFFAH
Le président de la Hiise s’est contenté de dire que «le Code électoral est un produit de l’homme, ce n’est pas un texte révélé. Donc, il est certainement frappé d’imperfections et de lacunes».
Le président de la Haute instance indépendante de surveillance des élections (Hiise), Abdelwahab Derbal, a pour une fois joué le jeu de la clarté sur le rôle qui échoit à son instance. Derbal n’y est pas allé avec le dos de la cuillère pour qualifier son instance de «structure officielle créée par un mécanisme constitutionnel et appuyé par une loi organique qui détermine ses missions et ses prérogatives», a-t-il souligné.
Mais cette fois-ci, Derbal a coupé court avec l’idée que son instance est en mesure d’assurer des élections libres et honnêtes. Dans ce sens, le président de la Hiise a indiqué que «je ne pourrai dire que mon instance serait en mesure d’assurer toute la régularité et la transparence quant à l’opération électorale. Mais je peux dire que mon instance fera de son mieux pour que l’élection présidentielle se déroulerait dans un climat où les résultats seraient rassurants», a précisé le président de la Hiise.
Abdelwahab Derbal s’est permis tout de même une «exégèse» par rapport au rôle et les missions de son instance sur le plan technique et procédural. Mais il a occulté l’aspect politique qui a sa part du lion en termes d’instrument déterminant pour asseoir les critères de l’indépendance et de l’autonomie de la Hiise et les interférences de l’administration en la matière. Dans ce registre, Derbal a voulu être hors «circuit» pour éviter de traiter l’aspect politique de la gestion électorale de l’élection présidentielle. Le président de la Hiise s’est contenté de dire que «le Code électoral est un produit de l’homme, ce n’est pas un texte révélé.
Donc, il est certainement frappé d’imperfections et de lacunes», et d’ajouter que «les erreurs, il y en aura certainement, c’est une question de pratique sur le terrain qui déterminera la véracité du texte de loi ou non», a souligné le président de la Hiise.
Derbal s’est adonné à un exercice juridique périlleux, il a même essayé de se mettre dans l’habit d’un constitutionnaliste. Mais n’empêche, il a indiqué que «du point de vue de la loi et de la Constitution, l’instance est indépendante. Mais quel est le degré d’indépendance de cette instance? C’est une question qui reste posée», s’est-il interrogé.
Le président de la Hiise a jeté un pavé dans la mare avec cette sortie inattendue de sa part. A bien suivre ses déclarations, l’indépendance de son instance obéit surtout à une norme qui ne devrait pas sortir du giron de «l’Etat pour qui cette instance voue un attachement viscéral dans sa relation en tant qu’instrument propre», a-t-il tonné.
Pour bien boucler la boucle, Derbal n’y est pas allé de main morte pour dire que «la Hiise n’est pas un parti politique, elle est neutre, elle se fie à la loi uniquement, mais je confirme que l’instance ne dispose pas de toutes les prérogatives qui puissent lui permettre d’assumer son rôle totalement», a-t-il insisté.
Cette déclaration à elle seule prête à confusion et est sujette à des interprétations multiples. Abdelwahab Derbal reconnaît que l’indépendance de son instance est frappée d’incapacité dans des aspects relevant de l’outil politique tous azimuts. D’ailleurs, c’est pour cette raison, que le président de la Hiise a insisté sur «la nécessité de faire en sorte d’entamer le processus électoral d’une manière graduelle pour réussir un processus électoral et démocratique non pas propre et honnête, mais surtout rassurant», (sic).
C’est dire que Abdelwahab Derbal reconnaît que quelque part la Hiise ne dispose pas de mécanismes lui permettant d’asseoir les critères «transparents» d’un déroulement de processus électoral intègre, propre et honnête.
Le président de la Hiise renvoie les concernés par les missions de son instance au texte fondateur de la Hiise en précisant qu’«une partie des missions de la gestion de l’opération électorale est concentrée au niveau de la partie de l’administration et une autre partie est située au niveau de l’appareil judiciaire».
Tout compte fait, le président de la Haute instance indépendante de surveillance des élections n’hésite pas, comme à l’accoutumée, de renvoyer l’ascenseur aux autres structures officielles censées permettre à son instance de jouir de toute son autonomie pour assumer sa tâche consistant à assurer des élections libres, propres et honnêtes. S’agit-il d’un message politique que Abdelwahab Derbal veut adresser à une instance officielle précise? Le temps, nous le dira…
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Par Ilhem TERKI
L’une des conventions vise à garantir une meilleure prise en charge de la retraite complémentaire.
Hier à Alger, plusieurs conventions ont été signées entre Sonelgaz et la Fédération nationale des travailleurs des industries électriques et gazières (Fntieg). Ces conventions ont été signées afin doffrir de meilleures prestations et services aux travailleurs de ce groupe énergétique public. Cette cérémonie a été organisée en présence du P-DG de Sonelgaz, Mohamed Arkab, du président de la Fntieg, Achour Telli, et en présence des ministres, respectivement, de l’Energie, Mustapha Guitouni, du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, Mourad Zemali, et de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Mokhtar Hasbellaoui, et du secrétaire général de l’Union générale des travailleurs algériens (Ugta), Abdelmadjid Sidi Saïd.
Le P-DG de Sonelgaz, Mohamed Arkab, a indiqué que cette convention vise à garantir une meilleure prise en charge de la retraite complémentaire. En effet, Sonelgaz s’engage à financer un complément d’un taux de 1,5% de l’assiette mensuelle globale soumise à la sécurité sociale pour assurer les besoins du Fonds de la retraite complémentaire des travailleurs du groupe. Selon le même responsable, la deuxième convention a été signée entre sept filiales de Sonelgaz et la Mutuelle générale des travailleurs des industries électrique et gazière (Muteg), permettant aux travailleurs de ces entreprises de bénéficier des services offerts par cette mutuelle.
Concernant le volet de la formation, une convention a aussi été signée entre Sonelgaz, la Fntieg et l’institut de formation et d’évaluation de Sonelgaz (Ifeg), afin d’assurer la formation de 300 élus syndicaux et délégués du personnel, relevant des sociétés du groupe, et ce, dans les domaines du Partenariat social et du droit du travail. Dans ce même cadre, le groupe Sonelgaz a signé une convention avec le Fonds des oeuvres sociales et culturelles des travailleurs des industries électrique et gazière (Fosc) et l’hôpital Mustapha Pacha (Alger) portant sur l’achat de matériels et d’équipements médicaux au profit des malades admis dans cet établissement hospitalier.
Lors de cette cérémonie de signature, le P-DG de Sonelgaz a considéré que ces conventions constituaient «un nouveau cadre qui encourage les travailleurs du groupe à donner le meilleur d’eux-mêmes». Il a fait savoir que, l’objectif est aussi de faire converger tous les travailleurs du groupe dans cette efficacité recherchée: réduction des charges, augmentation du profit, réalisation efficace du programme de développement.
«Nous avons besoin de faire adhérer tout le monde», a-t-il souligné encore une autre fois.
Quant à la troisième convention, elle a été signée entre la Muteg et la Cnas dans le but de permettre aux adhérents à cette mutuelle de bénéficier des facilitations en matière d’utilisation de la carte Chifa et du système du tiers payant.
Un chiffre d’affaires de 390 milliards DA en 2018
Le Groupe Sonelgaz a réalisé, en 2018, un chiffre d’affaires de plus de 390 milliards DA, a indiqué, hier à Alger, son président-directeur général (P-DG), Mohamed Arkab. «Sonelgaz a réussi à réaliser un chiffre d’affaires important s’élevant à 390 milliards DA, à travers, notamment, le recouvrement d’une grande partie de ses créances auprès des clients», a fait savoir Arkab dans une déclaration à la presse en marge de la signature de conventions pour l’élargissement des services sociaux en direction des fonctionnaires du Groupe.
Les créances de Sonelgaz (factures impayées par les clients) ont reculé de 86 milliards DA en 2017 à 50 Milliards DA en 2018, a-t-il précisé. Ces résultats «importants» sont «le fruit du plan d’action adopté par le groupe en 2018 en sus de l’aide de l’Etat», a ajouté Arkab. Il a fait savoir, dans ce sens, que le groupe avait bénéficié récemment d’un crédit de 380 Mds DA pour la poursuite de son programme d’investissement.
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Par Wahib AïT OUAKLI
«Nous allons procéder à la résiliation des contrats nous liant avec vous (des entreprises défaillantes, Ndlr)», a menacé le ministre.
Le ministre des Travaux publics n’a pas dissimulé son ire en se rendant en fin de journée de lundi dernier dans le chantier portant sur la réalisation de la nouvelle aérogare d’Oran. Constatant le retard accusé, Abdelghani Zalène a vite fait de réagir en annonçant des mesures à prendre dont des mises en demeure à adresser à trois entreprises chargées de la réalisation du projet. Connu pour sa fermeté et sa rigueur dans ses positions, le ministre ne tient pas compte des états d’âme avancés ni encore moins des explications lui ayant été formulées sur place.
«Nous allons sommer les trois entreprises d’accélérer les travaux.» Pour le ministre, il s’agit d’un défi à relever par le département en se réunissant en fin de journée avec 25 entreprises. Aucun compromis à faire ni encore moins, de concessions. «l’aéroport sera prêt l’été de l’année en cours», a-t-il prononcé d’un ton sec, ne laissant aucun répit à ses interlocuteurs ayant, toutefois, tenté de verser dans la «diversion» en avançant un tas d’états d’esprit dont; selon le ministre, «rien ne peut justifier un tel retard». Et ce n’est pas tout. Le ministre ne transige pas ni ne capitule aucunement à ce qu’il estime comme «fuite en avant», en lui débroussaillant le terrain tout en avançant, pêle-mêle, des éclaircissements ne tenant pas la route, notamment en ce qui concerne la nouvelle aérogare d’Oran.
Intraitable, il a été dans ses propos tout en menaçant de passer à l’action radicale consistant à couper tout pont liant son département avec des entreprises ayant raflé le projet. «Nous allons procéder à la résiliation des contrats nous liant avec vous (entreprises défaillantes, Ndlr)», a-t-il prononcé expliquant que «nous allons poursuivre ces entreprises défaillantes pour nous rembourser en nous payant les pénalités de retard». «Pour cela, nous sommes bien outillés par tous les moyens réglementaires. Un tel recours est tout aussi réglementaire, nous revenant de droit», a-t-il argumenté expliquant que «la loi régulant les marchés nous permet de régler ce genre de différends». C’est comme un coup de tonnerre qu’il a lâché devant une assistance composée essentiellement de cadres des entreprises concernées par le projet.
D’autant plus qu’il est bien au fait de ce qui se trame dans la wilaya d’Oran étant donné qu’il a eu à prendre le commandement de cette capitale de l’Ouest en qualité de wali avant sa promotion au poste de ministre. La livraison, l’été prochain, de la nouvelle aérogare d’Oran est, pour le ministre, d’une importance indiscutable, d’où son discours expressif qu’il a tenu en sommant les réalisateurs d’assumer et d’honorer leurs engagements tels que prévu par le cahier des charges ratifié par les deux parties, le ministère des Travaux publics et les entreprises en question.
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Par Mohamed BOUFATAH
Les cours de l’or noir, qui avaient entamé la semaine sur une baisse significative, ont repris des couleurs, hier, sur fond de tensions entre les Etats-Unis et le Venezuela.
Un choc pétrolier en vue? Une hypothèse à ne pas écarter. Le marché risque en effet à nouveau d’être fortement chahuté. La crise vénézuélienne qui s’y est invitée ne va certainement pas le laisser de marbre. Les sanctions qui viennent d’être prises par le président américain contre Caracas vont probablement affecter l’offre mondiale d’or noir. Le Venezuela qui disposerait des plus importantes réserves de pétrole au monde, devant l’Arabie saoudite étant un des plus gros producteurs de l’Opep avec une capacité de production d’environ 4 millions de barils par jour.
Les prix du pétrole s’affichaient d’ailleurs à la hausse hier, en cours d’échanges européens: les Etats-Unis ont directement visé la compagnie nationale vénézuélienne Pdvsa pour fragiliser le régime de Nicolas Maduro, ce qui représente une menace directe pour l’offre mondiale de brut qui risque d’en pâtir. Cette nouvelle donne d’ordre géopolitique intervient dans le sillage de l’annonce d’une augmentation des puits actifs aux Etats-Unis. La société Baker Hugues, qui recense cet indicateur anticipant la production à venir, a comptabilisé le 25 janvier 10 puits de pétrole actifs supplémentaires aux États-Unis par rapport à la semaine précédente.
Un signe d’une probable hausse des extractions de brut dans les semaines à venir fait-on remarquer. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mars a cédé 1,71 dollar, lundi dernier, pour clôturer à 59,93 dollars sur l’Intercontinental Exchange de Londres. «Les cours sont affectés par la hausse du nombre de puits dévoilée vendredi», a indiqué Andy Lipow, de Lipow Oil Associates. Cette tendance baissière n’a donc finalement pas fait long feu. Le marché ayant vite intégré la menace que représentent les sanctions américaines, qui ont ciblé la production pétrolière du Venezuela, sur l’offre mondiale.
On est malgré tout encore loin d’une flambée des prix. Hier, vers 15h30 heure algérienne le baril de Brent de la mer du Nord s’affichait autour des 61, 11 dollars engrangeant un gain de 1,30 dollar par rapport à la veille. Tandis que le baril de light sweet crude progressait de 1,29 dollar pour s’échanger à 53,28 dollars. Ce rebond significatif pourrait toutefois être freiné par des négociations sino-américaines qui risquent de capoter. C’est ce qu’ont estimé certains experts: «Les investisseurs sont nerveux face à l’incertitude sur les négociations commerciales entre les Etats-Unis et la Chine et à l’augmentation de la production aux Etats-Unis», soulignaient hier matin des analystes parisiens.
Le département américain de la Justice vient de sonner la charge contre l’équipementier télécoms chinois Huawei alors même que des négociations commerciales de haut niveau sont prévues cette semaine entre officiels chinois et américains à Washington, indique-t-on. Il n’empêche que le baril qui garde un oeil sur le dossier vénézuélien s’affiche contre vents et marées en nette hausse. Trois indicateurs au moins jouent en faveur d’une envolée des prix.
Il y a les sanctions américaines contre l’Iran, la baisse de la production de l’alliance Opep-non Opep de 1,2 million de barils par jour décidée le 8 décembre dernier, la diminution importante de l’offre saoudienne qui a pour objectif de propulser le baril au-dessus des 80 dollars. Le prix à payer par Donald Trump pour renverser le président vénézuélien Nicolas Maduro passera inévitablement par une envolée des cours de l’or noir. Un baril à 100 dollars? Ce n’est pas exclu! Les paris sont ouverts…
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Une énorme faille dans le système des iPhone et iPad vient d’être révélée ce mardi. Et elle est d’autant plus préoccupante qu’elle permet d’espionner une personne via le micro, voire-même la caméra de son téléphone.
En raison d’un bug qu’Apple n’a pas encore résolu, il est possible d’espionner une personne en utilisant l’application de conversation FaceTime sur iPhone ou iPad. En lançant une conversation de groupe, il est possible d’espionner votre interlocuteur via son micro, avant même que ce dernier ne décroche. Pire, la caméra présente sur le devant du téléphone peut s’activer dans certaines situations. La fonctionnalité d’appel de groupe est disponible sur FaceTime depuis octobre 2018 : la faille a donc existé pendant environ quatre mois.
Le procédé, qui tourne en boucle sur les réseaux sociaux depuis ce matin, est assez simple. Il faut appeler un de ces contact via FaceTime, cliquer sur « Ajouter une personne à FaceTime » et s’ajouter soi-même à la conversation. Le micro de votre interlocuteur s’active alors et il est possible d’entendre tout ce qu’il dit. Si votre contact décide de de décliner l’appel ou d’appuyer sur un bouton de contrôle du volume, la caméra s’active à son tour et vous pouvez non seulement l’entendre, mais aussi le voir !
Apple a rapidement réagit face à la découverte de cette faille et à sa diffusion massive sur internet. La firme a la pomme a indiqué qu’elle était au courant du bug et travaillait sur un correctif qui sera mis en place avec la prochaine mise à jour du logiciel iOS. Cette mise à jour devrait être disponible « au plus tard cette semaine », précise Apple. En attendant, les conversations de groupe sur FaceTime ont été désactivées pour tous les détenteurs d’un iPhone ou d’un iPad.
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WASHINGTON-L’Algérie et les Etats-Unis d’Amérique se sont engagés, mardi à Washington, à renforcer la coopération bilatérale dans divers domaines, notamment politique, sécuritaire, économique et culturel.
« Les deux gouvernements sont convenus de poursuivre leur coopération afin de promouvoir leur intérêt commun à la stabilité régionale et à la défaite des groupes terroristes, notamment AQMI et l’EI », ont affirmé Alger et Washington dans un communiqué conjoint publié à l’issue de la 4ème session de leur dialogue stratégique tenue, lundi à Washington, sous la coprésidence du ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel et du secrétaire d’Etat américain, Michael Pompeo.
Les deux parties ont souligné, à l’occasion, leur « ferme soutien à un engagement accru des entreprises, à un commerce libre, juste et réciproque et à un partenariat économique plus étroit ».
Les deux Gouvernements ont également examiné, lors de cette nouvelle session de leur dialogue stratégique, « les programmes culturels et éducatifs entre les deux pays » et sont convenus d' »intensifier les efforts communs pour promouvoir les échanges éducatifs et protéger le patrimoine culturel ».
Le chef de la diplomatie algérienne, Abdelkader Messahel et le secrétaire d’Etat américain, Michael Pompeo ont souligné « leur attachement à une relation de longue date entre l’Algérie et les Etats-Unis », réitérant leur volonté de « poursuivre les consultations sur les sujets examinés lors de cette session du dialogue stratégique ».
La 4ème session du dialogue stratégique algéro-américain a été également l’occasion pour les ministres des deux pays d’examiner « le partenariat étroit et productif entre l’Algérie et les Etats-Unis » et de « débattre des domaines de coopération algéro-américaine future ».
Les deux ministres se sont entretenus, au siège du département d’Etat, sur les relations bilatérales et les questions régionales et internationales d’intérêt commun.
Cette session du dialogue stratégique s’est déroulée autour de la réunion de quatre commissions sectorielles portant respectivement sur les questions politiques, sécuritaires, économiques et commerciales ainsi que celles liées à l’éducation et à la culture.
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Amateur de grosses coupures, apprêtez-vous à verser une larme. Depuis ce dimanche, 17 des 19 banques centrales des pays de la zone euro ont mis fin à l’impression des billets de 500 euros.
Seules les banques centrales allemande et autrichienne continueront d’émettre le billet violet jusqu’au 26 avril 2019, au grand désespoir des habitants de ces deux pays, où des pétitions avaient même été lancées pour protester contre sa disparition. En effet, Allemands et Autrichiens utilisent plus que la moyenne des Européens l’argent liquide dans la vie courante, y compris pour le règlement de fortes sommes.
Après l’arrêt total de l’émission des billets de 500 euros, ces derniers continueront d’avoir cours légal et ils garderont leur valeur. Ils pourront donc toujours être utilisés pour payer ou pour mettre de l’argent de côté. De plus, la coupure de 500 € pourra être échangée auprès des banques centrales nationales de l’Eurosystème pendant une période illimitée.
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