ALGER – Cent trente-neuf (139) postulants à la candidature à l’élection présidentielle du 18 avril prochain, dont 13 chefs de partis politiques, ont procédé au retrait des formulaires de souscription de signatures individuelles, indique le ministère de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire dans un communiqué rendu public lundi.
Selon le ministère de l’Intérieur, 139 lettres d’intention de candidature ont été déposées au ministère, dont 13 émanant de présidents de partis politiques et 126 de prétendants indépendants, ajoutant que « les concernés ont pu bénéficier des quotas de formulaires de souscription, en application des dispositions légales en vigueur ».
« Les opérations se poursuivent au fur et à mesure que les demandes soient formulées », précise la même source relevant que l' »opération se déroule dans de bonnes conditions ».Les présidents de partis politiques qui ont postulé à la candidature à l’élection de la présidence de la République sont Belaïd Abdelaziz, du Front El-Moustakbel, Adoul Mahfoudh, du Parti de la victoire nationale (PVN), Ali Benflis, du parti Talaie El Hourriyet, Ahmed Gouraya, du Front des jeunes démocrates pour la citoyenneté (FJDC), Ali Zeghdoud, du Rassemblement algérien (RA), Guerras Fethi, du Mouvement démocratique et social (MDS), Ali Faouzi Rebaine, du parti Ahd 54, Omar Bouacha du Mouvement El Infitah, Mohamed Hadef, du Mouvement national de l’espérance (MNE), Abdelkader Bengrina, du Mouvement El Binaâ, Salim Khalfa, du Parti de la jeunesse démocratique (PJD), Aissa Belhadi, du Front de la bonne gouvernance (FBG), et Abderazzak Makri, du Mouvement de la société de la paix (MSP).
Le Conseil constitutionnel, rappelle-t-on, avait annoncé que le dernier délai de dépôt des dossiers de candidature pour l’élection du président de la République est fixé au 3 mars 2019 à minuit.The post Présidentielle: 139 prétendants ont retiré les formulaires de souscription appeared first on .
Pour bonne politique, bons moyens. Si cette citation signifiait, autrefois, dans le sport avoir un bon entraineur ou une bonne paire de souliers, aujourd’hui, ça serait plutôt avoir un bon Moniteur.
Ayant compris la différence que pourrait apporter sa technologie intelligente dans l’industrie du jeu, LG surf sur la vague E-sport en offrant, ainsi, l’occasion de promouvoir les produits de divertissement à domicile.
En effet, les joueurs, à la recherche de la configuration de jeu idéale, pour une immersion totale, passent du simple jeu de PC au jeu sur moniteurs accompagnées de barres de son haute résolution, sur les kits home cinémas ou encore sur les projecteur 4K CineBeam de LG. Un concentré de d’innovation et de connectivité pour offrir meilleure des expériences visuelles de ce genre.
Annoncé en juillet 2018 et présenté au CES en janvier 2019, le nouveau vidéoprojecteur laser à ultra courte focale CineBeam Laser 4K (modèle HU85L deuxième génération) avec optique UST (Ultra Short Throw ou Ultra courte focale) vient compléter l’offre de vidéoprojecteurs DLP laser 4K home cinéma du constructeur coréen, après la sortie en 2018 du modèle HU80K ( première génération).
Grâce à son bloc optique à focale ultra courte, le laser LG CineBeam 4K peut être placé à 6 centimètres près du mur pour projeter une image de 2m30.
Placé à une distance de 18 centimètres, le projecteur affiche une image beaucoup plus grande, de 3 mètres de diagonale.
Extrêmement compact, le projecteur peut être facilement déplacé et adapté à n’importe quel environnement ou installation. Plus petit que les autres projecteurs 4K, le CineBeam Laser 4K profite d’un design discret qui se fond dans le décor et n’interfère pas avec l’expérience visuelle. Il offre une précision visuelle améliorée, éliminant ainsi la distorsion d’image qui affecte souvent les autres projecteurs UST (Ultra Short Throw).
Le LG CineBeam Laser 4K apporte un maximum de confort à l’utilisateur grâce à l’intégration de la technologie AI (intelligence artificielle) qui permet d’utiliser des commandes vocales pour accéder aux commandes de l’appareil.
Les spectateurs peuvent contrôler le fonctionnement du projecteur ou sa connectivité grâce aux commandes vocales qui lui sont vocales intégrées.
La télécommande Magic Remote reconnaît également les gestes de son utilisateur : augmenter le son, diminuer…etc. Elle comporte, également, des boutons rétroéclairés qui s’allument automatiquement lorsqu’un mouvement est détecté pour faciliter la navigation.
Avec ses 2 500 lumens ANSI et sa résolution 4K UHD, le LG CineBeam Laser 4K assure des images claires et lumineuses. En effet, le modèle HU85L de LG peut reproduire des couleurs très précises grâce à sa large gamme de couleurs.
Aussi, il offre de nombreuses options de contenu, permettant aux utilisateurs de diffuser en continu des films et des émissions à partir de leurs services préférés (smart projecteur) alors que ses prises USB, Ethernet et HDMI offrent plus de choix de connectivité.
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Dans une circulaire adressée aux académies, le ministère de l’Éducation aurait instruit les responsables locaux de sévir contre les enseignants ayant participé à la grève du 21 janvier dernier initiée par le collectif des syndicats autonomes du secteur. En plus des ponctions sur salaires, les grévistes auront un avertissement dans leur dossier ce qui risque de les priver de promotions.
Pour le secrétaire général du SATEF, Boualem Amoura, le ministère a pour but à travers l’application de ces mesures répressives, d’avorter la prochaine action de contestation prévue pour le mois de février prochain. Joint hier par téléphone, Amoura, qui est également représentant de l’intersyndicale, a accusé les responsables du ministère de vouloir gérer le secteur par la terreur, soulignant que face à cette attitude les syndicats ne comptent pas se taire. Selon lui : « priver un enseignant de promotion parce qu’il a fait grève est une transgression de la loi». Sachant, a-t-il rappelé, que «la grève est un droit reconnu par la Constitution».
Aussi notre interlocuteur a accusé le département de Benghebrit d’abuser de son pouvoir en appelant les chefs d’établissements des écoles primaires de ne pas répondre à l’appel de grève. « Le directeur est avant tout un fonctionnaire comme les autres, et lui dire de ne pas faire grève est tout simplement un abus de pouvoir », a déclaré à ce propos le SG du SATEF. Il convient de souligner que selon certaines sources, une circulaire a été en effet envoyée par le ministère aux différentes académies du pays afin d’appliquer des sanctions strictes contre les enseignants ayant répondu à la grève de l’intersyndicale du 21 janvier dernier ainsi qu’aux rassemblements organisés dans l’après-midi du mardi 22 janvier.
Dans cette circulaire, le ministère aurait demandé l’élaboration d’une liste des enseignants et les fonctionnaires ayant en effet participé à la grève afin d’appliquer des ponctions sur leurs salaires et les priver des primes de rendement. Mais pas que; le ministère a également décidé de mettre des avertissements dans les dossiers des contestataires; ce qui les privera d’emblée des promotions aux grades. Devant cet état de fait, il faut dire que le bras de fer entre le ministère de l’Éducation et les contestataires n’est pas prêt de connaître son épilogue, sachant que l’intersyndicale prévoit de se réunir vers la mi-février pour fixer une date de sa prochaine grève.
Ayant qualifié les dernières rencontres de concertation avec la tutelle de superficielles, le collectif des syndicats autonomes de l’éducation avait également exprimé des réserves quant au contenu des PV ayant sanctionné ces rencontres. à rappeler que la plateforme de revendications de l’intersyndicale porte essentiellement sur des aspects socioprofessionnels et pédagogiques, à l’instar de la reclassification du personnel du service économique, celui de l’orientation scolaire et professionnelle, ainsi que les laborantins et les superviseurs, outre le maintien de la retraite proportionnelle sans condition d’âge et la mise en place de mécanismes rétablissant l’équilibre du pouvoir d’achat.
Sur le plan pédagogique, les représentants des syndicats revendiquent, notamment la révision des programmes scolaires en fonction du niveau des apprenants et particulièrement ceux de l’école primaire, l’amélioration de la formation, des conditions de travail et de scolarisation, la réalisation d’un enseignement de qualité, la réduction du volume horaire pour l’ensemble des paliers en respectant le volume de travail et les tâches assignées, la préservation du pouvoir pédagogique des enseignants et la liberté d’exercer le travail syndical.
Ania Nait Chalal
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Le marché régional de gros des produits alimentaires de Kharouba, à l’Ouest de Boumerdès, fermé depuis plusieurs années, verra bientôt le règlement des situation, grâce à l’intégration d’une nouvelle formule pour sa gestion et organisation, susceptible de le réactiver et d’arrêter sa dégradation, a-t-on appris auprès de la wilaya.
«Il est impératif de réactiver le rôle de cet espace commercial d’importance dans les plus brefs délais», avait déclaré à l’APS le wali de Boumerdès, Mohamed Selmani, lors d’une récente visite d’inspection de ce lieu. Il a, à ce titre, fait part de la tenue d’une rencontre «programmée prochainement» avec toutes les parties concernées, en vue d’élaborer une «étude détaillée» de la situation de cet espace de 17 ha englobant 550 carrés commerciaux, et de la «prise des mesures d’urgence pour sa réactivation dans les plus brefs délais», a-t-il dit.
Parmi les propositions émises en vue de la réactivation de ce marché, dont l’assiette a bénéficié d’un reclassement l’ayant intégré dans le domaine de l’Etat, la directrice du commerce de la wilaya, Ababssa Samia, a cité celle relative à sa gestion par un operateur privé, a qui il sera exigé «la présentation d’un plan d’investissement à son propos», a-t-elle précisé. Une autre proposition, devant ultérieurement être soumise à examen au titre d’une commission ad hoc, recommande la concession de la gestion de cet espace au profit d’opérateurs privés pour une durée de 30 ans , conformément à la législation en la matière.
Des réserves à l’origine de l’inexploitation du marché
Toujours selon Mme Ababsa, des réserves réglementaires formulées par la commission de wilaya chargée de l’activité commerciale, qui avait conseillé leur levée avant le règlement de la situation juridique et l’exploitation de cet espace commercial, ont conduit à la suspension officielle de toute activité à son niveau, depuis 1996, ce qui a engendré une totale anarchie en son sein, a-t-elle estimé . Parmi les réserves formulées, il est fait état de la destruction de 38 locaux et carrés commerciaux, réalisés sur des conduites d’eau potable en provenance de la commune voisine de Keddara, dont une partie (de ces commerces) a été déjà détruite. à cela s’ajoute le reclassement de l’assiette du marché, relevant à l’origine du domaine agricole.
Il s’agit, également, de la fermeture des devantures de locaux commerciaux donnant sur le chemin de wilaya 222 (CW 222), mitoyen à ce marché de gros, pour «non-respect de la distance réglementaire les séparant de la route», a ajouté la même responsable, outre la nécessité pour les services de la Protection civile de la wilaya d’exprimer leur avis sur la question. Ce n’est qu’une fois ces réserves levées qu’il sera procédé à la réhabilitation et au réaménagement de ce marché, dont il est attendu «une importante contribution à la dynamique de développement de toute la partie-Ouest de la wilaya, tout en assurant des revenus pour la commune», a souligné la même responsable. Elle a fait part d’une enveloppe de près de 40 millions DA affectée à cette opération en 2014, au titre des Plans communaux de développement, mais «elle a été jugée insuffisante et l’opération fut gelée», a-t-elle fait savoir, relevant qu’une étude technique de ce projet de réaménagement a fait ressortir que l’enveloppe necessaire pour ce faire est d’au moins 100 millions de dinars.
Cet espace commercial relevant de la commune de Kharrouba, unique en son genre dans le centre du pays, était auparavant un marché de gros de fruits et légumes, avant d’être promu en marché régional de gros de produits alimentaires. Il devrait générer, une fois sa mise en exploitation effective, quelque 10.000 emplois directs et indirects, selon des estimations de la direction du commerce de la wilaya. Outre son importante surface pouvant contenir un grand nombre de véhicules, lourds et légers, cette infrastructure est située dans une place stratégique, mitoyenne deswilayas d’Alger et Blida, et des routes nationales principales.
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Après avoir fait parler des associations consuméristes sur les dernières affaires en date, faisant apparaitre des alertes sur un certain nombre de produits dont la qualité est mise en doute, le Forum du Courrier d’Algérie a reçu, hier, l’Association des producteurs algériens de boissons pour écouter sa version des faits.
Ainsi, son président Ali Hamani, tout en invitant les consommateurs à faire preuve de prudence dans la consommation, il déplore l’imprudence avec laquelle sont lancées ces alertes. Quoiqu’il dise être d’accord avec ce système, lequel est à même d’attirer l’attention de tout le monde sur un danger à la santé publique, le représentant des producteurs de boissons relève une mauvaise communication de l’autorité du Commerce. Mais surtout les approximations, voire les rumeurs, sur lesquelles sont basés les rapports des directions locales.
Et comme la dernière affaire est liée à une marque d’eau minérale, Hamani fait un exposé sur une filière qui compte 63 entreprises qui sont en activité sur un total de 97 autorisations délivrées pour des opérateurs. «Comme l’eau est une source stratégique et sensible, cette filière est la plus contrôlée dans le domaine. Le contrôle se fait de façon stricte et rigoureuse par l’institut Pasteur et les laboratoires assermentés de l’Hydraulique», s’est défendu le président de l’APAB comme pour faire peu de cas de l’affaire de l’eau de marque «Texenna». Mais pendant qu’en y est, il a révélé que les opérations de contrôle et l’enquête diligentée pour élucider l’affaire se poursuivent toujours et l’activité de l’usine demeure gelée pour le moment. Si maintenant il dit être d’accord qu’il y ait des alertes, il appelle surtout à prendre le sujet avec tact et prudence, tant les conséquences s’avéreront préjudiciables pour l’image de marque du produit.
C’est le cas aussi de l’autre affaire des plus édifiantes qui ont fait couler beaucoup d’encre, notamment le jus de marque «Amila», dont l’activité d’une ligne de production de l’usine est gelée et est soumise donc au contrôle. Ce qui pose surtout problème aux yeux du représentant des industriels de la filière boissons, c’est surtout le «défaut de communication» des autorités du secteur. «J’ai moi-même interpellé le ministère du Commerce sur ces alertes qui portent préjudice aux producteurs. Je suis d’accord avec les alertes, mais faisons-le avec attention ! », Soutient Hamani, qui plaide pour plus de rigueur dans la communication et l’action dans pareille situation d’alerte.
«Nous pourrons exporter jusqu’à 30 millions de dollars»
Pourtant, dans le feu de l’alerte, des preuves mettant en avant des résultats de laboratoires ont accompagné les signalements de ces produits de boisson dont la teneur en certains composants et la qualité sont mis en doute. Il n’en est pas le cas pour notre invité. Preuve en est, l’APAB qu’il dirige n’a réagi qu’une fois le nuage est passé par souci d’attendre les résultats des enquêtes menées sur les cas soulevés. Un cheveu dans la soupe, pour ainsi dire, qui tombe dans une filière en pleine croissance comme l’a fait savoir Hamani.
En effet, selon lui, la production algérienne de boissons arrive en deuxième position dans le secteur industriel en matière de croissance (8%), quoiqu’elle ait régressé entre 2017 et 2018 ainsi située entre 2 et 4%. Au titre du nombre des opérateurs, il y a 1 767 opérateurs inscrits sur le fichier national du Registre de commerce, alors que l’Office national des statistiques parle de 800 entreprises dans cette filière. Si maintenant il défend une productions capable d’exporter pour une valeur marchande de 30 millions de dollars en 2019, Hamani déplore l’anarchie qui règne dans la filière des boissons alcoolisées.
Selon un constat qu’il a établi, il dit que sur 67 producteurs avancés, il n’ y a à vrai dire que quelque sept qui exercent dans la régularité. «Il faut procéder à un toilettage et établir des statistiques exactes car on n’arrive plus à suivre les choses», dénonce-t-il tout en restant optimiste quant à ce que les choses évoluent dans le bon sens avec l’arrivée du Registre de commerce électronique qui permettra plus de traçabilité. Reprenant avec le domaine de l’exportation, Hamani fait le bilan de l’APAB : «En 2016 et 2017, nous avons exporté à raison de 35 millions de dollars, 20 millions en 2018 et nous tablons jusqu’à 30 millions en 2019», a-t-il annoncé tout en appelant les autorités, le Commerce dans le viseur, à faciliter la procédure aux opérateurs algériens, pour conquérir davantage les marchés étrangers, de surcroît pour une orientation économique qui commande d’étendre son assiette production à l’exportation.
Le produit local couvre «95%» de la consommation nationale
Preuve à l’appui de ce potentiel des «boissonneurs» algériens à relever le défi à l’exportation, Hamani fait savoir qu’il y a des producteurs qui tâtent déjà le terrain du marché africain, dans la foulée des opérations d’exportations faites récemment en Mauritanie, comme ouverture vers le marché africain. Toutefois, Hamani relève le problème de la mise en place de représentants des opérateurs au niveau des pays visés par l’exportation. Ainsi déplore-t-il un «refus des autorités du Commerce» de délivrer une autorisation pour permettre aux opérateurs algériens d’aller dans ce projet alors que leurs compères étrangers sont autorisés à le faire en Algérie.
«Les producteurs algériens sont prêts à relever le défi de l’exportation. Laissez-les travailler et permettez-leur d’ouvrir des représentations à l’étranger, créer des showrooms, payer leurs agents sur place… etc.», plaide le patron de l’APAB. Il fait noter que le problème ainsi soulevé par l’APAB concernant également d’autres filières dont les opérateurs ont maintes fois interpellé les autorités sur la nécessité d’aller vers cette idée, qui permettra une présence de représentants des opérateurs sur les marchés étrangers.
Autre sujet sur lequel l’attention de notre invité a été attirée, il s’agit du texte de loi qui impose l’étiquetage sur le produit permettant au consommateur de connaître la liste des composants, surtout la teneur en sucre. Il s’agit surtout de connaître le niveau de conformité des producteurs de boissons à cette loi. «Il faut savoir que nous sommes en avance par rapport à cette loi qui entrera en vigueur en mars prochain. Nous sommes déjà dans le texte. Car un délai de 5 à 6 ans nous a été accordé pour se conformer à cette exigence», répond le conférencier qui émet toutefois des réserves quant à la réalisabilité «difficile» de cette tâche. Et pour cause, selon lui, pour pouvoir réduire le taux de sucre dans un produit, cela équivaut à changer la recette. Mais, la loi reste la loi, et Hamani défend, au contraire, le respect du cadre de la loi, car, et avant tout, «cela va de l’intérêt du producteur, qui doit axer son produit sur la qualité».
Interrogé justement si l’Association qu’il dirige reste de garde sur tous «opérateurs véreux» susceptibles de porter atteinte à l’image des producteurs de boissons, Hamani reste formel. «Nous n’avons pas le droit d’avoir dans nos rangs ceux qui ne respectent pas les normes de production», a-t-il répondu. Une discipline à laquelle s’astreint l’APAB, ou mieux encore, pour reprendre son président, «une grande responsabilité car 95% des boissons que nous consommons sont fabriquées localement». Enfin, Hamani, qui renvoie au marché informel des boissons, met en garde les consommateurs qu’il invite à «ne pas acheter la maladie pour leurs enfants».
Farid Guellil
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Neuf nouvelles spécialités seront ouvertes à travers les centres de formation professionnelle de Tlemcen lors de la rentrée de février prochain, a-t-on appris dimanche de la direction du secteur. Il s’agit des spécialités d’installation de plaques photovoltaïques énergétiques et thermiques, pose du béton armé, élevage des ruminants, la gestion des travaux de restauration du patrimoine l’emballage de produits agroalimentaires, l’hôtellerie et restauration (options services de café et services hôteliers) et patrimoine et topographie, a indiqué la conseillère à la direction précitée, Asma Brahimi.
Ainsi, 4 485 nouveaux postes de formation sont offerts au titre de la prochaine rentrée professionnelle répartis sur la formation de premier niveau couronnée par un diplôme d’état en modes résidentiel (525 postes), apprentissage (1.147 ), formation par passerelles (75), cours du soir (135), en milieu rural (25) et formation en entreprises privées (166). Le deuxième niveau de formation couronné par un diplôme de qualification concerne 395 postes, en milieu rural (505), la femme au foyer (520), la formation des détenus aux établissements pénitentiaires (123) , la formation en écoles agréées (332), les cours du soir (450) et la formation contractuelle (87).
Il est également prévu, à la rentrée de février prochain, l’inauguration du pavillon des applications de la spécialité d’hôtellerie et du tourisme à l’institut spécialisé de formation professionnelle d’artisanat et hôtellerie et tourisme de Tlemcen d’une capacité de 50 places pédagogiques et doté de moyens nécessaires, a-t-on fait savoir. Les inscriptions se poursuivent au secteur de la formation professionnelle jusqu’au 16 février prochain. Il a été recensé, jusqu’au 27 janvier en cours, 3.140 nouveaux inscrits à travers les CFPA de la wilaya.
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Les participants à une rencontre sur l’émigration clandestine organisée samedi à Ouargla ont plaidé pour l’implication de tous les acteurs dans la lutte contre ce phénomène.
L’implication de l’ensemble des acteurs concernés, notamment les jeunes et les institutions de la société civile, s’avère «indispensable» pour endiguer le phénomène de l’émigration clandestine qui n’a pas cessé de s’accroître ces dernières années, dont des dizaines de jeunes ont trouvé la mort noyés en Méditerranée, en tentant de rejoindre les côtes européennes, sans oublier aussi les migrants subsahariens disparus ou morts de soif en plein désert dans leurs tentatives de rejoindre l’Algérie, devenue leur destination privilégiée, ont souligné des intervenants lors de cette rencontre tenue à l’institut de formation supérieure des cadres de la jeunesses Mechri Ahmed.
Ils ont mis l’accent également sur la nécessité de coordonner les efforts pour connaître les causes de ce phénomène dans tous ses aspects socioéconomiques et psychologiques notamment, afin de trouver des solutions adéquates. Animée par des chercheurs et enseignants issus des universités du pays, cette rencontre d’une journée a été une occasion pour insister sur la nécessité de multiplier les efforts pour faire face à ce phénomène, en coordination avec la communauté internationale à travers une approche commune basée sur le respect des droits de l’Homme.
Initiée par la Ligue algérienne de la pensée et de la culture, en collaboration avec le secteur de la jeunesse et des sports (DJS) sous le thème «Le phénomène de l’émigration clandestine des jeunes algériens vers l’étranger – réflexions et solutions’’, cette rencontre entre dans le cadre d’un programme qui prévoit l’organisation d’une série de rencontres régionales à Alger, Constantine, Oran et Ouargla, selon les organisateurs. La rencontre s’est articulée autour de quatre thèmes principaux, à savoir «L’émigration clandestine, concept, motifs et raisons», «L’immigration clandestine en Algérie et ses impacts politiques, sécuritaires, économiques, sociaux et psychologiques», «Les efforts menés par l’Algérie, les mécanismes de prévention, de réduction du phénomène, les campagnes de sensibilisation et d’accompagnement psychologique et du système juridique» et enfin «Les démarches entreprises par l’Etat algérien à l’échelle international dans le cadre de la lutte contre ce phénomène».
La rencontre s’est déroulée en présence des autorités de la wilaya d’Ouargla, des élus locaux et des représentants de la société civile.
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La Cour suprême de Bahreïn a confirmé hier en appel la peine de prison à perpétuité du chef de l’opposition chiite, cheikh Ali Salmane, ainsi que celle de deux de ses collaborateurs, pour «intelligence avec le Qatar», selon une source judiciaire.
Il s’agissait du dernier recours de cheikh Salmane, qui est déjà emprisonné. A la tête du mouvement Al-Wefaq, cheikh Salmane, 53 ans, avait été condamné le 4 novembre pour «intelligence avec le Qatar (…) dans le but de renverser l’ordre constitutionnel du pays» et «actes d’hostilité envers le royaume de Bahreïn». Ce jugement avait aussitôt été dénoncé comme politique par des organisations de défense des droits humains, Amnesty International le qualifiant de «parodie de justice». Un groupe d’opposition, The Bahrain Institute for Rights and Democracy (Bird), a fermement condamné le verdict de lundi, aboutissement d’un processus «biaisé». «C’est une vengeance politique et une insulte à la justice», a affirmé son directeur, Sayed Ahmed Alwadaei, dans un communiqué, ajoutant que cette décision faisait «honte aux dirigeants de Bahreïn et à leurs alliés, les Etats-Unis et le Royaume-Uni».
Résidants hors de Bahreïn, deux collaborateurs de cheikh Salmane, Hassan Sultan et Ali al-Aswad, avaient été condamnés à la même peine par contumace. Ils étaient poursuivis aussi pour «intelligence» avec le Qatar, pays du Golfe boycotté par Manama et d’autres alliés de l’Arabie saoudite. L’inculpation de cheikh Salmane était intervenue après l’embargo décrété en juin 2017 contre le Qatar par l’Arabie saoudite, Bahreïn, les Emirats arabes unis et l’Egypte. Ces pays ont accusé le Qatar de soutenir des mouvements islamistes radicaux, ce que Doha a démenti, et de se rapprocher de l’Iran chiite. Le Qatar a accusé en retour ses adversaires de chercher à mettre sa politique étrangère sous tutelle.
«Prisonnier de conscience»
Lors de son inculpation, cheikh Salmane purgeait déjà une peine de quatre ans de prison pour «incitation à la haine confessionnelle», dans un pays à majorité chiite dirigé par une monarchie sunnite. Lors de ce deuxième procès, les accusations contre lui étaient fondées, selon Manama, sur une conversation téléphonique datant de 2011 entre l’opposant chiite bahreïni et l’ancien Premier ministre du Qatar, cheikh Hamad ben Jassem Al-Thani. Doha a récusé tout lien avec cheikh Salmane, dont la condamnation à la perpétuité était intervenu 20 jours avant la tenue de législatives, le 24 novembre, boycottées par son mouvement.
Le scrutin s’est déroulé en l’absence d’Al-Wefaq, dissous sur ordre des autorités qui ont également interdit l’Action nationale démocratique (Waad), un mouvement d’opposition libéral. Le petit royaume du Bahreïn a été secoué par des troubles à partir de 2011, lorsque les forces de sécurité ont réprimé un grand mouvement de protestation de la majorité chiite qui réclamait des réformes démocratiques. Les autorités de Bahreïn, siège de la Ve Flotte des Etats-Unis, ont accusé l’Iran d’être responsable des troubles, ce que Téhéran a démenti. Depuis 2011, les procès d’opposants se sont multipliés à Bahreïn. Des centaines de dissidents sont actuellement emprisonnés, jugés ou déchus de leur nationalité.
Le royaume a également approuvé en 2017 un amendement constitutionnel donnant à la justice militaire la possibilité de juger des civils accusés de «terrorisme». Pour Amnesty International, la condamnation à la perpétuité de cheikh Salmane est «une preuve des efforts illégaux déployés sans relâche par les autorités de Bahreïn pour museler toute opposition». «Cheikh Ali Salmane est un prisonnier de conscience, détenu pour le seul exercice pacifique de son droit à la liberté d’expression», avait déclaré en novembre Heba Morayef, directrice régionale d’Amnesty.
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Le prestigieux casting du film « Black Panther », Glenn Close et Rami Malek ont été dimanche les principaux lauréats des Screen Actors Guild (SAG) Awards, récompenses considérées comme un indicateur majeur en vue des Oscars, en particuliers pour les comédiens.
Egalement en lice pour les Oscars, « Black Panther », film Marvel qui a dominé le box-office mondial en 2018 (1,3 milliard de dollars de recettes), a reçu le SAG du « meilleur ensemble d’acteurs », au détriment du drame romantique « A Star Is Born », pourtant donné favori, et à « BlacKkKlansman » du vétéran Spike Lee, lui aussi bredouille. Le casting de « Black Panther », en grande majorité composé d’acteurs noirs, était en effet des plus impressionnants: Angela Bassett, Chadwick Boseman, Danai Gurira, Michael B. Jordan, Lupita Nyong’o, Andy Serkis, Forest Whitaker… « On sait tous ce que ça fait de s’entendre dire qu’il n’y a pas de place pour soi dans une oeuvre, alors qu’on est jeune, doué et noir », a lancé sur la scène de l’auditorium Shrine Chadwick Boseman, qui incarne le super-héros africain.
« Nous savions que nous avions quelque chose de spécial, qu’on pouvait être des êtres humains à part entière dans les rôles que nous interprétions », a-t-il souligné « Black Panther » n’était sélectionné dans aucune autre catégorie hormis celle des cascades, où son équipe forte de plusieurs dizaines de professionnels l’a également emporté. Dans les catégories individuelles, le jury des SAG Awards a largement confirmé les choix des Golden Globes décernés au début du mois. Considéré comme un outsider, Rami Malek a une nouvelle fois créé la surprise en étant élu « meilleur acteur » pour son rôle de Freddie Mercury dans « Bohemian Rhapsody », damant le pion au grand favori Christian Bale, méconnaissable en vice-président américain Dick Cheney pour « Vice ».
Chez les femmes, c’est encore Glenn Close qui a gagné pour « The Wife », face à une autre lauréate des Golden Globes (catégorie « comédie »), Olivia Colman qui incarne la reine Anne dans « La Favorite », film en tête des nominations aux Oscars (dix catégories). Moins en vue que les Golden Globes, les SAG sont considérés comme un indicateur plus fiable pour les Oscars car leurs membres votent à l’Académie des arts et sciences du cinéma. S’ils ne pointent qu’une fois sur deux vers le « meilleur film » aux Oscars (48 % de correspondance), ils sont en revanche bien plus significatifs pour les comédiens: 79 % chez les hommes et 75 % chez les femmes pour les rôles principaux.
Gaga et Cooper grands perdants
Bradley Cooper et la popstar Lady Gaga, qui semblaient pourtant avoir de bonnes chances après le succès populaire et critique de « A Star Is Born », font figure de grands perdants de la soirée. Autre fait marquant de cette 25e édition, le film « Roma » d’Alfonso Cuaron, célébré par la critique et en pole position pour les Oscars avec dix nominations, était quant à lui totalement absent de la course aux SAG Awards… Actuellement à l’affiche de la nouvelle saison de « True Detective », Mahershala Ali a reçu le prix du « meilleur second rôle » pour « Green Book », où il incarne le pianiste noir Donald Shirley qui osa en 1962 une tournée dans le Sud des Etats-Unis encore régi par la ségrégation raciale, sous la protection d’un garde du corps d’origine italienne (Viggo Mortensen). Il avait lui aussi reçu un Golden Globe pour sa performance.
« Je suis reconnaissant de faire partie de cette confrérie de gens et d’artistes qui ont la chance de se frotter à la condition humaine, et qui essayent de le faire de manière responsable », a dit Ali en recevant son prix, saluant particulièrement son camarade Viggo Mortensen, encore malchanceux dimanche soir. La statuette du « meilleur second rôle féminin » est allée à Emily Blunt pour le thriller fantastique « Sans Un Bruit », réalisé par son époux John Krasinski. « Merci de m’avoir donné ce rôle… Tu aurais été en très mauvaise posture si tu ne l’avais pas fait », lui a-t-elle lancé. Côté télévision, également célébrée par les professionnels des SAG, c’est l’équipe de la série « La Fabuleuse Mme Maisel » qui a raflé les trois prix dans la catégorie « comédie » (Tony Shalhoub, Rachel Brosnahan et l’ensemble d’acteurs).
Pour les séries dramatiques, Sandra Oh a elle aussi confirmé son Golden Globe pour son rôle d’agent pas si secret dans « Killing Eve », tandis que Jason Bateman a été primé chez les hommes pour « Ozark ». La récompense du « meilleur ensemble d’acteurs dans une série dramatique » est allée au casting de « This Is Us ».
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Le dernier volet de la trilogie de super-héros réalisée par M. Night Shyamalan est resté largement en tête du box-office nord-américain pour sa seconde semaine d’exploitation, selon des chiffres provisoires publiés dimanche par la société spécialisée Exhibitor Relations.
Le film réunit les trois héros croisés dans les films « Incassable » (2000) et « Split » (2016), dans un affrontement final qui joue avec les notions de bien et de mal, une thématique récurrente ces dernières années, vue également chez Marvel et DC. « Glass » a enregistré 19 millions de dollars de recettes durant le week-end, ce qui porte son total à 73,5 millions depuis sa sortie, il y a dix jours.
A bonne distance, mais bien accroché à la deuxième place, « The Upside », adaptation du film-phénomène français « Intouchables », continue son beau parcours inattendu, avec 12,2 millions de dollars de recettes de vendredi à dimanche, et 63,1 millions en trois semaines. Comme la semaine dernière, « Aquaman » complète le podium, avec 7,3 millions de dollars de billets vendus aux Etats-Unis et au Canada, et 316 millions en six semaines.
Immédiatement derrière se glisse « Alex, le destin d’un roi », film inspiré de la légende du roi Arthur, dans lequel un jeune collégien britannique découvre la fameuse épée Excalibur et tente de sauver l’humanité. Bien reçu par la critique, ce long métrage a glané 7,2 millions de dollars au box-office nord-américain ce week-end pour sa sortie en salles. Nommé aux Oscars, le film d’animation « Spider-Man: New Generation » reste calé à la cinquième place, avec 6,1 millions de dollars de recettes et 169 depuis sa sortie.
Voici le reste du Top 10 :
6 – « Green Book »: 5,4 millions de dollars (49 millions en 11 semaines)
7 – « L’incroyable aventure de Bella »: 5,2 millions de dollars (30,8 en 3 semaines)
8 – « Serenity », un thriller assassiné par la critique a effectué des débuts modestes avec 4,8 millions de dollars sur le week-end
9 – « Escape Game »: 4,2 millions de dollars (47,9 en 4 semaines)
10 – « Dragon Ball Super: Broly »: 3,6 millions de dollars (29,9 en 2 semaines).
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Par Saïd MEKKI
Des performances qui sont dues juste à l’application des joueurs du programme du staff technique et notamment du coach en chef, le Portugais Francisco Alexandre Chalo et son adjoint Abdelhakim Sabeur.
Le Paradou AC, club du président de la Fédération algérienne de football (FAF), Kheïreddine Zetchi, géré actuellement par son frère Hassan, est en train d’effectuer un retour remarquable, en se hissant en haut de tableau du championnat d’Algérie, tout en s’étant qualifié aux quarts de finale de la coupe d’Algérie. Des performances qui sont bien à retenir surtout qu’elles sont juste dues à l’application par les joueurs, du programme du staff technique et notamment du coach en chef, le Portugais Francisco Alexandre Chalo et son adjoint Abdelhakim Sabeur, ce qui donne plus d’assise et de consistance aux efforts déployés sur le terrain, aussi bien par les joueurs que par leur staff, le président de la FAF n’étant en rien impliqué dans ce parcours, faut-il bien le faire remarquer.
Un retour en force
Durant cette phase-retour du championnat d’Algérie de Ligue 1 et après une courte défaite à domicile lors du derby algérois face au MC Alger (1-0), l’équipe paciste a enregistré pas moins de trois bons résultats, en commençant par tenir en échec le CR Belouizdad au stade du 20-Août (0-0) avant de battre l’ES Sétif à domicile (1-0) puis, enfin, et pas plus tard que le week-end passé, l’équipe de Chalo est allée ramener trois précieux points en déplacement face à l’O Médéa (1-0). Ce dernier succès montre, si besoin est, le «réveil» des joueurs du duo Chalo-Sabeur, dont la majorité des joueurs ne supporte pas la pression.
Normal, puisqu’il s’agit d’une équipe bel et bien «académique» où seul le langage du terrain prime et non les résultats, quelle qu’en soit la manière. Ce précieux but inscrit par Hichem Boudaoui est d’une importance capitale pour le moral des joueurs qui doutent lorsqu’ils jouent à l’extérieur de leurs bases, car craignant par trop la «pression». D’ailleurs c’est le but de la première victoire de l’équipe du Paradou à l’extérieur. De plus, l’équipe rencontrait une formation de Médéa laquelle est dos au mur, car jouant pour éviter la relégation. Le buteur de ce match, Boudaoui l’a bien indiqué en déclarant, entre autres: «On s’est mesuré à un adversaire menacé par la relégation, qui nous a créé beaucoup de problèmes.
Mais les consignes du coach et de ses adjoints durant la pause, ont porté leurs fruits». Une belle victoire à l’extérieur qu’il faut bien retenir pour cette équipe formée de jeunes talents. D’ailleurs, un autre match référence est à signaler pour cette sympathique équipe du Paradou: c’est cette qualification en quarts de finale de la coupe d’Algérie devant une très bonne équipe de l’USM El Harrach (3-0), formée de joueurs beaucoup plus expérimentés que ceux du coach Chalo.
Seul le travail paie
Ces résultats ne sont nullement dus à une quelconque «pression» du président de la FAF, mais au bon travail du staff et des joueurs, que cela soit bien clair au passage. Encore faut-il ne pas oublier que l’équipe a même été lésée par des «erreurs» d’arbitrage qui lui ont valu des points précieux de perdus… Et là, il faut aussi noter qu’il faut bien faire attention à cette bonne équipe de football de l’Académie du Paradou pour le reste du parcours dans cette phase-retour du championnat, bien décisive, et la suite du parcours en coupe d’Algérie. à propos de l’avenir de l’équipe, fidèle à ses principes professionnels, il faut reconnaître qu’il lui reste encore beaucoup à faire et il faudra continuer sur cette même lancée et enregistrer de biens meilleurs résultats à l’avenir, avant de conclure. L’équipe travaillera dans la sérénité et pourra donc réussir une fin de saison parfaite… Avis aux amateurs.
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Avec une 15e couronne, «Djoko» dépasse Pete Sampras (14) et s’installe seul au troisième rang des joueurs les plus titrés en Grand Chelem.
Londres, New York et maintenant Melbourne. La résurgence de Novak Djokovic, sur une table d’opération il y a un an, n’en finit plus: le numéro un mondial s’est offert un 7e sacre record à l’Open d’Australie, un 15e en Grand Chelem, en surclassant Rafael Nadal (numéro 2) dimanche. L’Espagnol n’a tenu qu’à peine plus de deux heures – 2h04 min exactement, moins de temps que la finale dames la veille (2h27 min) – sur la Rod Laver Arena, concassé par l’infernale machine serbe 6-3, 6-2, 6-3. Jamais auparavant, il n’avait sombré en trois sets en finale de Grand Chelem. Un rapide retour en arrière permet de mesurer combien le redressement est colossal.
Il y a un an, Djokovic (31 ans) était sur le point de se faire opérer du coude droit dans la foulée de son élimination en 8es de finale de l’Open d’Australie (par Chung) et avait le moral dans les chaussettes, entre crise de confiance et motivation larvée. Après avoir quitté Roland-Garros moribond, il était même éjecté du top 20 fin juin, pour la première fois depuis près de 12 ans. Le Serbe était pourtant sur le point de recouvrer ses esprits et sa plénitude physique, lui qui avait renoué au printemps avec l’entraîneur de tous ses succès, le Slovaque Marian Vajda, après un an de séparation: depuis l’été dernier, il s’est montré irrésistible dans les grandes occasions, triomphant successivement à Londres, New York, puis Melbourne.
Resté bloqué 2ans, entre 2016 et 2018, son compteur de titres en Grand Chelem s’emballe depuis six mois. Avec une 15e couronne, Djokovic dépasse l’Américain Pete Sampras (14) et s’installe seul au 3e rang des joueurs les plus titrés en Grand Chelem, «encore loin» selon ses mots des vingt trophées record de Roger Federer. Nadal, lui, en reste à 17 titres majeurs. Le numéro un mondial devient aussi le premier à répéter trois fois une série d’au moins trois sacres d’affilée en Grand Chelem (déjà 3 de suite entre 2011 et 2012 et 4 de suite entre 2015 et 2016). Sur la Rod Laver Arena dimanche, même Nadal n’a pu que surnager. Breaké d’entrée, l’Espagnol de 32 ans n’avait marqué qu’un seul point après trois jeux. Jamais, il n’est parvenu à installer un combat avec Djokovic.
Etouffé par la régularité sans faille de son adversaire – seulement neuf fautes directes!-, coupable aussi, face au mur serbe, de fautes beaucoup plus nombreuses qu’à l’accoutumée, en particulier sur son arme numéro un, le coup droit. Illustration de la domination sans partage de Djokovic: Nadal a dû patienter 1h45 min pour obtenir, en vain, son unique balle de break du match!
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Par Mohamed BENHAMLA
La gestion de la période des transferts et le cas de Chérif El Ouezzani, contrôlé positif à la cocaïne, n’ont pas plaidé en faveur de KKS, dont les jours sont comptés.
Désormais, rien ne tourne rond au Mouloudia d’Alger et la situation va de mal en pis. L’élimination en 8es de finale de la coupe d’Algérie et la réaction hostile des supporters tombent au mauvais moment. Sachant que l’équipe s’apprête à disputer, ce jeudi, le match-aller des quarts de finale de la Coupe arabe face aux Soudanais d’El Merrikh, au stade du 5-Juillet. Comme rapporté dans l’une de nos anciennes livraisons, les responsables de la Sonatrach, actionnaire majoritaire du club, ne comptent pas rester les bras croisés face à cette situation, puisque des décisions radicales seront prises dans les heures à venir.
La première serait, apprend-on, celle de mettre fin aux fonctions de l’actuel directeur sportif, Kamel Kaci-Saïd, qui n’est pas en odeur de sainteté avec plusieurs dirigeants et même certains joueurs. La gestion de la période des transferts et le cas de Chérif El Ouezzani, contrôlé positif à la cocaïne, n’ont pas plaidé en faveur de KKS, dont les jours sont comptés. Une réunion en interne au sein de la firme pétrolière aurait déjà eu lieu il y a quelques jours de cela, et tout porte à croire que l’on se dirige droit vers une séparation avec le directeur sportif en question. Selon nos informations, deux raisons reportent l’officialisation de cette décision. La première c’est que l’équipe s’attend à un match très important ce jeudi, que certains qualifient même du «match de la saison», puisqu’il ne reste que cette compétition à l’équipe pour se sauver.
La deuxième est liée au remplaçant de Kaci-Saïd dans son poste. Les responsables de la Sonatrach ne veulent pas que ce poste reste vacant, et préfèrent se fixer sur le remplaçant de KKS avant de le limoger. Dans tout ce remue-ménage, les joueurs poursuivent leur préparation pour le rendez-vous de ce jeudi face aux Soudanais, avec l’espoir de gagner et remettre du calme au sein du groupe. Cela ne risque pas d’être aisé, du fait qu’un gros morceau sera mis en face d’eux. Après avoir repris les entraînements dimanche à l’Ecole supérieure d’hôtellerie et restauration (ESHRA) de Aïn Benian, l’équipe est entrée en stage bloqué hier en début d’après-midi au niveau du Centre technique national (CTN) de Sidi Moussa.
Le staff technique, qui mesure bien l’importance de ce rendez-vous, veut éloigner les joueurs de la pression de leurs supporters, lesquels n’avalent toujours pas les derniers faux pas et surtout la manière avec laquelle l’équipe s’est fait éliminer en coupe d’Algérie par le NAHD (1-0). Enfin, il est à noter que l’ancien défenseur du MCA et de l’Equipe nationale, Mourad Slatni, a tout conclu avec les dirigeants du club pour intégrer le staff technique. L’enfant de Annaba, faut-il le rappeler, a déjà travaillé avec Adel Amrouche, lorsque ce dernier tenait la barre technique de la sélection du Kenya et celle de la Libye.
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Il s’agit, des wilayas de Jijel et Béjaia et Sétif qui seront affectées ce mardi soir à 21 h: 00. Les mêmes conditions pluvieuses se poursuivent jusqu’à demain mercredi, indique l’Office nationale de météorologie (ONM).
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Par Brahim TAKHEROUBT
Ils rejoindront désormais, les placards de la politique, qui regorgent de victimes. Mais dans ce domaine précis, on n’est jamais complètement mort. Belle consolation pour ces «grands brûlés».
Le train de la présidentielle vient de s’ébranler laissant sur le quai trois hommes politiques qui ont rêvé d’un destin national, ils y ont cru. Frustrés, Mouloud Hamrouche, Abdelaziz Belkhadem et Bouguerra Soltani, rejoindront désormais les placards de la politique, qui regorgent de victimes. Mais dans ce domaine précis, on n’est jamais complètement mort. Belle consolation pour ces «grands brûlés». Mouloud Hamrouche est un homme solitaire, à l’entourage peuplé. Il est l’un des rares politiques qui gardent intactes leurs admirateurs tout en ayant une longue absence sur la scène politique.
Ne parle-t-on pas encore de «hamrouchiens»? En ermitage depuis près de 30 ans, il refuse de quitter sa tanière. Méfiant et fin analyste, l’ancien chef de gouvernement scrute le moindre mouvement favorable du système et attend son heure depuis 1991, date de sa démission de la chefferie du gouvernement. Mais cette heure ne vient pas. Réapparu en 1999 comme candidat indépendant à la présidentielle, il a regagné sa tanière et s’est refusé tout combat politique ou compétition électorale. Pourtant, ses «fans», ne manquaient pas d’arguments pour vendre sa candidature. Affublé du titre d’«homme des réformes et de l’ouverture médiatique», on explique que M.Hamrouche est le candidat de la situation, surtout qu’il jouit aussi d’une grande estime, aussi bien au sein du régime, de l’opposition que de la mouvance islamiste.
Cependant, une petite tache verte persiste sur son CV: l’armée lui a-t-elle définitivement pardonné son compagnonnage avec le FIS dissous, en 1991? Par sa dernière sortie médiatique d’il y a quelques jours, il a mis un trait définitif à son ambition présidentielle. Elevé dans l’antre du FLN où il a fait toutes ses classes, l’ancien chef du gouvernement et ancien secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem, s’est réellement vu dans le costume présidentiel. Il a cru croiser son destin en surfant la vague des révoltes arabes qui ont toutes abouti à des gouvernements islamistes comme cela a été le cas en Tunisie avec Ennahda, en Egypte avec les Frères musulmans et en Libye.
L’Algérie étant toujours en convalescence d’une guerre d’une rare violence terroriste, il lui fallait donc un islamiste modéré. Belkhadem était l’homme indiqué, pensait-il. Copieusement servi par ces révoltes arabes, le secrétaire général du FLN ne voulait plus se nourrir de merles là où il y avait des grives: «Moi ou le chaos», faisait-il croire à son entourage, multipliant des sorties médiatiques, des débats sur des plateaux de chaînes de télévision. Il écumait les rédactions, distillant des confidences et révélations jusqu’à ne plus s’imposer un droit de réserve en sa qualité de conseiller spécial du président de la République.
Grisé, emporté par les flots, il commet l’impardonnable en assistant à une réunion de l’opposition sans l’aval de la Présidence. Il sera «décapité» en public un soir du mois d’août 2014. Le président Bouteflika a mis fin à toutes ses fonctions et à ses activités en relation avec les structures de l’Etat. Il a été écarté, à la même occasion, des premiers rôles au sein de son parti. Il a voulu faire de sa réapparition, il y a quelques semaines au siège du FLN, une offre de retour, mais en vain…il faut attendre le prochain train. Le printemps arabe a fait rêver bien des politiques, Bouguerra Soltani en est une autre victime. «Nous avons coché cette date de 2012 parce qu’elle coïncide avec le 50e anniversaire de l’indépendance du pays.
Et nous représentons justement cette génération et ses préoccupations futures», avait confié, le 29 août 2009, dans une interview accordée au quotidien arabophone Asharq el Awsat, le leader du Mouvement de la société pour la paix. Aux élections législatives de mai 2012, la mouvance islamiste en Algérie et le MSP avec, s’est fait ramasser à la cuillère. La partie est désormais pliée et le rêve tant caressé par Soltani s’est brisé contre le glacis de la société algérienne qui a dit non à l’islamisme. Suprême humiliation, Bouguerra Soltani sera dégagé de la présidence du MSP accrochant à son cou une médaille de la compromission avec le pouvoir. Ayant goûté aux délices du pouvoir et douceurs des salons, pour avoir été plusieurs fois ministre, l’ancien président du MSP multiplie les offres, tente de se replacer, mais sans succès…
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Par Mohamed BOUFATAH
De hauts responsables, des membres du gouvernement, des personnalités nationales étaient présents aux obsèques.
Le président du Conseil constitutionnel, Mourad Medelci, décédé hier à 1h30 du matin à Alger, a été inhumé dans l’après-midi du même jour au cimetière de Ben Aknoun(Alger), en présence, de ses proches, amis, compagnons, de hauts responsables de l’Etat, des personnalités nationales et politiques, d’officiers supérieurs de l’Armée en retraite, ainsi que des anonymes. Les obsèques se sont déroulées en présence, notamment du président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah, du président de l’Assemblée populaire nationale (APN), Mouad Bouchareb.
La quasi-totalité des membres de l’actuel gouvernement, à leur tête le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, ont assisté aux funérailles. Etaient également présents, le conseiller à la Présidence et frère cadet du président de la République, Saïd Bouteflika, le secrétaire général de la Présidence, Hebba El-Okbi, le secrétaire général de l’Ugta, Abdelmadjid Sidi Saïd, le président du FCE, Ali Haddad. Plusieurs anciens ministres, dont Khaled Nezzar, Noureddine Zerhouni, et l’ancien Premier ministre, Abdelmalek Sellal ont également assisté à l’enterrement. Des représentants de partis politiques et des chefs de partis, à l’image de Amar Ghoul ainsi que l’ancien secrétaire général du FLN, Djamel Ould Abbès ont accompagné le défunt à sa dernière demeure.
Mourad Medelci est mort à l’âge de 76 ans, suite à une longue maladie, a-t-on appris auprès de ses proches. Né le 30 avril 1943 à Tlemcen, il a occupé plusieurs fonctions ministérielles avant d’être désigné, en septembre 2013, par le président Bouteflika, à la tête du Conseil constitutionnel. Il a occupé le poste de ministre du Commerce (1988-1989) puis celui de conseiller auprès de la présidence de la République (2002-2005), ministre des finances (2005-2007), et ministre des Affaires étrangères (2007- 2013).
Licencié en sciences économiques de l’université d’Alger en 1966, le défunt a également occupé des postes de direction dans plusieurs groupes publics avant de devenir directeur général de la Snta. Il a, également, été vice-président de la Fondation Emir Abdelkader (1996), membre fondateur de l’Association pour les relations internationales (1997), président fondateur de l’Association pour la promotion de l’éco-efficacité et de la qualité en entreprise (1998) et membre du Panel des Eminentes personnalités africaines chargées de superviser le Mécanisme d’évaluation par les pairs (Maep) entre 2003 et 2005.
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Par Madjid BERKANE
La convention en question permettra aux deux pays de se livrer les personnes poursuivies et condamnées par les autorités compétentes des deux pays.
La ministre française de la Justice, Nicole Belloubet, qui a clôt, hier, une visite de deux jours à Alger, n’a pas caché son enthousiasme pour ce qui concerne la justice algérienne. «Je suis impressionnée par la rapidité de la mise en place du processus de modernisation du secteur de la justice en Algérie», a noté la ministre, non sans souligner qu’en France le même processus est en cours. «J’en avais entendu parler et souhaité voir comment cela s’est fait, car nous sommes en France en train de construire ce type de modernisation qui est très complexe», a reconnu Mme Belloubet. Et d’ajouter: «Nous avons des difficultés en France à arriver à ce résultat en si peu de temps.» Au premier jour de la visite, le ministre de la Justice, garde des Sceaux Tayeb Louh et son homologue Mme Nicole Belloubet, ont signé à Alger la convention relative à l’extradition.
Selon Tayeb Louh, la convention d’extradition est d’une importance capitale pour les pays. «Elle permettra aux deux parties de se livrer réciproquement, conformément aux dispositions de forme et de fond contenues dans la convention, les personnes poursuivies ou condamnées par leurs autorités judiciaires compétentes, pour avoir commis des infractions donnant lieu à extradition», a-t-il indiqué. La convention d’extradition traite également, note Louh, les principes internationaux d’extradition notamment en ce qui concerne le refus d’extradition des nationaux des deux pays.
«La convention d’extradition qui complète le cadre conventionnel en matière juridique liant les deux pays, qui fut enclenchée par la signature de la convention judiciaire relative à l’entraide en matière pénale le 5 octobre 2016, entrée en vigueur le 1er mai 2018, vise essentiellement le développement des relations amicales existant entre l’Algérie et la France», a ajouté le ministre de la Justice.
«La signature de cette convention traduit par ailleurs la volonté des deux pays de faire face aux menaces qui pèsent sur la paix, la sécurité et la stabilité des sociétés et même sur l’évolution des démocraties dans le temps, ce qui nécessite une coopération judiciaire à même de garantir le respect des principes des droits de l’homme, la garantie des libertés fondamentales et le respect de la diversité des cultures et des civilisations», a enchaîné Tayeb Louh, relevant les bienfaits de la Réconciliation nationale adoptée par le président de la République.
Pour sa part, Mme Nicole Belloubet a souligné que la convention d’extradition signée entre les deux pays est un texte très important. «Elle scelle l’aboutissement de six ans de négociations. Elle prévoit des dispositions modernisées sur les demandes d’arrestation provisoire, les transits et la protection des données personnelles», notant que des négociations d’une autre convention d’entraide judiciaire en matière civile et commerciale se poursuivent.
«La convention d’extradition est aussi importante, car elle va renforcer la coopération entre les deux Etats devant faire désormais face à des défis communs: lutte contre le terrorisme, contre la criminalité organisée et contre les filières d’immigration illégale», a expliqué Mme Belloubet.
La coopération judicaire entre l’Algérie et la France est déjà forte, a fait remarquer la ministre. «En plus de l’échange de dialogue entre les magistrats, greffiers, juristes des deux pays, la coopération s’illustre aussi par une coopération plus large sur le plan régional», a-t-elle noté. Aussi, la visite de Nicole Belloubet se poursuit aujourd’hui. Elle doit en effet, se rendre au tribunal de Dar El Beida à l’est d’Alger afin de voir de près la mise en oeuvre de la modernisation de la justice adoptée en Algérie en 2015.
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Officiellement, la décision n’a pas encore été prise. Vendredi, Louisa Hanoune avait indiqué être opposée à une participation du PT à la prochaine présidentielle.
Mais le parti a décidé hier de retirer le formulaire de souscription et d’entamer la collecte de signatures, même s’il n’a pas encore décidé de sa participation ou non à l’élection. »Pour permettre au Comité central, l’instancehabilitée à décider, de trancher sur laquestion de la présidentielle à partir, exclusivement des considérant politiques, et en dehors de toute pression de quelque ordre que ce soit, le Bureau politique a pris la mesure conservatoire de réunir toutes les conditions juridiques et administratives pour ce faire.
Des représentants du Parti procéderont, aujourd’hui 28 janvier, au retrait du dossier de candidature auprès des services concernés au ministère de l’Intérieur », écrit le PT dans un communiqué. « Les militants seront appelés à entamer l’opération de collecte des parrainages, tout en poursuivant entre eux, dans les structures du parti, et avec les citoyens la discussion ouverte par la direction du Parti sur la position qu’elle jugera la plus appropriée à l’égard de la présidentielles », ajoute le PT. Aucune date n’a été fixée pour la réunion du Comité central du parti. « Nous ne sommes pas pressés », a précisé Ramdane Taazibt dans une déclaration. « Le retrait des formulaires ne veut absolument pas dire que nous allons participer à la présidentielle », a-t-il ajouté.
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Par Saïd BOUCETTA
Il est considéré comme un sérieux challenger, susceptible de créer la surprise dans le cas où le président de la République choisit de ne pas se porter candidat.
Ali Benflis a évoqué la prochaine élection présidentielle en termes assez «crus», insistant sur «l’opacité et du brouillard du champ politique». L’ancien chef du gouvernement et deux fois candidat malheureux à la présidentielle, a fait cette déclaration à l’ambassadeur de Grande-Bretagne à Alger, qu’il a reçu dans ses locaux. En effet, dans un communiqué rendu public par Talaïe El Hourryet, à l’issue de l’entretien, on apprend qu’ «au cours de la discussion et à la demande de l’ambassadeur, M. Ali Benflis a présenté son évaluation de la situation dans notre pays alors que le corps électoral a été convoqué pour l’élection présidentielle pour le 18 Avril 2019.
Il, a, notamment, relevé le brouillard et l’opacité du champ politique national à la veille de cette élection». Une position déjà exprimée par l’instance dirigeante du parti, lors de sa dernière réunion. Mettant en exergue «la gravité de la situation actuelle», Benflis a estimé que le pouvoir politique devrait «saisir l’opportunité historique qu’offre cette échéance électorale pour donner la parole au peuple souverain». Dans son communiqué, Talaïe El Hourryet évoque dans la foulée, le souhait de voir le peuple s’exprimer librement, «dans la transparence, et placer le pays dans une trajectoire de sortie de la crise sans précédent qui affecte notre pays».
Il a rappelé «sa proposition de sortie de crise à travers une démarche responsable, pacifique, consensuelle, graduelle, par le biais d’un dialogue inclusif. Il a considéré que les Algériens avaient besoin de se retrouver autour d’un projet rassembleur salvateur pour redresser la situation du pays et relancer le processus de développement économique et social».
En outre, M. Benflis a souligné «les efforts diplomatiques déployés par notre pays pour la solution pacifique des conflits dans la région et ceux de notre Armée nationale populaire pour sécuriser nos frontières». Cette entrevue fait suite à une série d’entretiens qu’a eus le président de Talaïe El Hourryet avec les représentants diplomatiques de pays occidentaux, à leurs demandes.
Crédité d’un poids politique plus important que le reste des candidats de l’opposition, Ali Benflis est considéré comme un sérieux challenger, susceptible de créer la surprise, dans le cas où le président de la République choisit de ne pas se porter candidat. C’est en tout cas, l’analyse que font les chancelleries étrangères en poste à Alger, compte tenu des résultats de la présidentielle de 2014.
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Par Saïd BOUCETTA
Cette manière de faire suppose qu’au sein du PT, la décision n’est pas définitivement prise pour une participation ou pas à la présidentielle.
Contre toute attente et au moment où l’on pensait que le Parti des travailleurs était sur la voie du boycott de l’élection présidentielle, décision a été prise, hier, de retirer le formulaire de souscription auprès du ministère de l’Intérieur. Officiellement donc, le PT a entamé la collecte des parrainages, avant que les instances dirigeantes n’aient opté pour la participation au scrutin. Une attitude plutôt incompréhensible pour une formation politique qui a habitué l’opinion nationale à une transparence dans sa conduite sur le terrain politique.
Ce «tournant» dans la position du parti est expliqué dans un communiqué rendu public le même jour. «Pour permettre au comité central, l’instance habilitée à décider, de trancher sur la question de la présidentielle à partir, exclusivement des considérants politiques, et en dehors de toute pression de quelque ordre que ce soit, le bureau politique a pris la mesure conservatoire de réunir toutes les conditions juridiques et administratives pour ce faire.» On aura compris à travers cette démarche l’indépendance des structures dirigeantes du parti par rapport à la secrétaire générale qui avait, vendredi dernier, affiché son scepticisme «personnel» vis-à-vis du prochain rendez-vous électoral.
Cette manière de faire suppose qu’au sein du PT, la décision n’est pas définitivement prise pour une participation ou pas à la présidentielle. En tout cas, c’est ce que l’opinion nationale est invitée à croire. De fait, le propos de Louisa Hanoune qui a publiquement annoncé sa position, sans se référer à ses camarades du BP, amène à se poser des questions sur la cohésion au sein du parti. Cela étant, «des représentants du Parti» ont procédé hier, «au retrait du dossier de candidature auprès des services concernés au ministère de l’Intérieur», souligne le PT dans son communiqué.
De fait, «les militants seront appelés à entamer l’opération de collecte des parrainages», sans connaître la position de leur parti et encore moins son candidat, suite à l’attitude sceptique de sa secrétaire générale, informe le communiqué, non sans rappeler aux militants de poursuivre «entre eux, dans les structures du parti, et avec les citoyens, la discussion ouverte par la direction du Parti sur la position qu’elle jugera la plus appropriée à l’égard de la présidentielle», lit-on dans le communiqué. Dans toute l’histoire politique du PT, c’est bien la première fois que le parti compte participer, sans l’être vraiment et surtout, sans présenter aux Algériens son candidat.
Quant à la réunion du comité central du parti, censé trancher la question, aucune date n’a été communiquée. «Nous ne sommes pas pressés», a précisé Ramdane Taâzibt dans une déclaration. «Le retrait des formulaires ne veut absolument pas dire que nous allons participer à la présidentielle», a-t-il ajouté.
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