Par Madjid BERKANE
Le gouvernement a prévu toute une stratégie pour venir à bout du phénomène des accidents de la route.
L’installation de la Délégation nationale de la prévention routière est imminente. «Elle aura lieu dans les toutes prochaines semaines. Le décret portant sa création est finalisé», a affirmé, hier, le ministre de l’Intérieur Nouredine Bedoui, en marge de l’inauguration de la seconde édition du Salon international sur la sécurité et la prévention routière au Palais des expositions (Safex) à Alger.
«Le gouvernement tient à la mise en place de cette institution, car les questions de la sécurité et de la prévention routière sont des priorités. Le gouvernement a prévu toute une stratégie pour venir à bout du phénomène des accidents de la route», a jouté le ministre.
«Le phénomène des accidents de la route doit être maîtrisé. Il est vrai que ce n’est pas facile, mais il est tout à fait réalisable. La réduction du taux des accidents de la route de 8% en 2018 est déjà un bon signe. Ce taux doit être réduit au moins de 30%, dans un premier temps», a-t-il noté. «L’objectif de la réduction des accidents de la route ne sera pas toutefois atteint, nuance Bedoui, si les autres parties ne mettent pas la main à la pâte».
«Les autres parties sont la société civile et les concessionnaires. Ces derniers doivent participer de façon efficace aux campagnes de sensibilisation, à l’endroit des conducteurs.
La mission de la sensibilisation ne doit pas être celle des services de sécurité ou de la Gendarmerie nationale», a-t-il souligné. Les réseaux sociaux présentent, concernant la sensibilisation routière, selon le ministre de l’Intérieur, de grands atouts. Ils permettent en effet, explique-t-il, de viser un large public. «La sensibilisation, à travers les réseaux sociaux ne doit pas l’être de façon anarchique. Elle doit s’appuyer sur des critères scientifiques susceptibles de la rendre d’abord intéressante et compréhensible», a-t-il soutenu. Pour rappel, Nouredine Bedoui s’est entretenu avec l’ensemble des exposants. Il a insisté auprès de ces derniers pour qu’ils redoublent d’efforts et ne pas cesser d’innover.
La deuxième édition du Salon international de la sécurité et de la prévention routière se déroule en marge du Salon international des transports, de la logistique et de la mobilité. Le salon regroupe quelque 40 exposants sur près de 1500 m2. Le Salon s’attend à recevoir 3 000 visiteurs. Il aspire à atteindre trois objectifs, à savoir le regroupement les acteurs de la prévention et de la sécurité routière, sensibilisation des opérateurs et les usagers de la route et l’inversion des accidents. Le Salon est organisé par le Centre national de la prévention et de la sécurité routière.
25 000 permis à points délivrés
Interrogé sur la délivrance du permis à points entré officiellement en vigueur depuis le mois de mars 2018, Nouredine Bedoui a fait savoir que pas moins de 25 000 permis ont déjà été délivrés. Les permis en question ont été remis particulièrement aux nouveaux titulaires de permis de conduire. «La catégorie des jeunes constitue la grande partie parmi ces personnes», a précisé Bedoui. La délivrance de ces permis va se poursuivre normalement en 2019. «L’Etat a acquis tout le matériel nécessaire pour la confection et la mise en service des permis», a-t-il indiqué.
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Par Arezki SLIMANI
Le lieutenant-colonel Réda Ababssia, chef du groupement territorial de la Gendarmerie nationale à Béjaïa, a présenté, hier, le bilan d’activités pour l’année 2018 au cours duquel il a abordé dans le détail les activités juridiques, la sécurité routière et l’exploitation du numéro vert.
S’agissant de la criminalité, la gendarmerie à Béjaïa a enregistré une baisse en raison d’une occupation correcte du terrain et l’orientation de l’activité des unités dans les régions isolées et non sécurisées en s’appuyant sur la carte de la criminalité. Si le nombre d’affaires enregistrées est nettement en baisse il n’en demeure pas moins que le nombre de personnes impliquées et la qualité saisie, notamment en matière de kif traité, sont en hausse. Plus de 94 kg et des quantités importantes de psychotropes ont été saisis à la faveur d’un plan soigneusement étudié ayant permis le démantèlement de nombreux réseaux d’écoulement de commercialisation.
Grâce aux efforts fournis dans le redéploiement des services de la gendarmerie, 123 personnes ont été arrêtées et placées sous mandat de dépôt. Sept autres sont en fuite et 1621 individus ont été contrôlés puis relâchés. En matière de drogue, la Gendarmerie nationale de Béjaïa a enregistré 39 affaires. Sur le volet de la couverture sécuritaire de la wilaya de Béjaïa, le groupement de la Gendarmerie nationale a indiqué que le terrorisme routier sévit encore et toujours. Ce corps de sécurité a enregistré 216 interventions supplémentaires par rapport à l’année dernière. Cette hausse sensible est due «essentiellement au redéploiement quasi quotidien de la gendarmerie motorisée dans la majorité des axes routiers connus pour leur dangerosité. 294 accidents ont été recensés, soit huit cas de plus que l’année précédente.
Le nombre d’accidents mortels est en baisse de l’ordre de 37,31%. Les routes de Béjaïa restent cependant incapables de supporter le flux de véhicules, note-t-on, soulignant que les mois de juin, juillet et août sont les plus meurtriers tout comme les Routes nationales 09, 75 et 26. Concernant les causes de ces accidents on trouve le facteur humain en tête du classement avec plus de 95% sur l’ensemble des cas. Dans le même sillage, les services de la Gendarmerie nationale ont noté 36 132 retraits de permis de conduire. Il est également souligné l’apport considérable du numéro vert (1055) mis à la disposition des citoyens dans le règlement de plusieurs situations.
A ce sujet, les unités de sécurité routière ont effectué 725 interventions en donnant suite à des appels durant l’année 2018, soit une moyenne de deux interventions par jour. «Le moindre appel reçu est pris au sérieux et notre intervention est immédiate pour apporter aide et assistance aux citoyens» indique le lieutenant-colonel. Par ailleurs, sept terroristes ont été arrêtés par les services de la gendarmerie de Béjaïa dans les localités de Chellata et Toudja. Le corps de la Gendarmerie nationale assure une couverture sécuritaire de l’ordre de 53, 84% du territoire de la wilaya avec 28 unités.
Quatre nouvelles unités sont en construction au niveau des communes d’Aokas, Tazmalt, Draâ El Gaïd et Taskériout. Il est prévu de lancer incessamment deux autres unités à Bouhamaza et Tizi n’berber. Le lieutenant-colonel prévoit la réouverture des brigades de Seddouk, Chemini, Ighrem et Ighil Ali fermées durant les événements du printemps noir.
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L’émissaire de l’ONU au Yémen a déclaré que la mise en oeuvre de l’accord de trêve dans la ville portuaire de Hodeïda (ouest) et d’un autre accord sur un vaste échange de prisonniers avait été repoussée en raison de difficultés sur le terrain.
Ces accords avaient été conclus en décembre en Suède lors de pourparlers organisés par l’ONU entre le gouvernement yéménite soutenu par l’Arabie saoudite et les rebelles Houthis appuyés par l’Iran. «La dynamique (des pourparlers en Suède) est toujours là, même si les délais de mise en oeuvre ont été prolongés, tant à Hodeïda qu’en ce qui concerne l’accord d’échange de prisonniers», a déclaré Martin Griffiths dans une interview publiée lundi par le quotidien saoudien Asharq Al-Awsat, qui a coïncidé avec son retour dans la capitale yéménite Sanaa. Il a expliqué ce changement par le fait que «les échéances (fixées pour l’application de ces accords) étaient ambitieuses» et que la situation était «complexe sur le terrain». M. Griffiths a confirmé par ailleurs que le général néerlandais à la retraite Patrick Cammaert, qui dirige une équipe d’observateurs chargés de superviser la trêve à Hodeïda, allait être remplacé.
«Le plan du général Cammaert était de rester assez peu de temps au Yémen pour préparer le terrain à l’établissement de la mission de Hodeïda», a-t-il dit, ajoutant: «Toutes les spéculations sur les autres raisons du départ ne sont pas exactes». Le remplacement de Patrick Cammaert, qui est contesté par les Houthis, avait été évoqué la semaine dernière par des sources diplomatiques au siège de l’ONU à New York.
M. Griffiths a conditionné la tenue de nouveaux pourparlers de paix à des progrès dans l’application des accords de Suède, après avoir évoqué récemment la possibilité de les tenir en février. «Nous sommes tous d’accord sur le fait que nous devons voir des progrès dans la mise en oeuvre de ce qui a été convenu en Suède avant de convoquer la prochaine série de consultations», a-t-il affirmé.
Hodeïda a été pendant des mois la principale ligne de front de la guerre au Yémen. Les forces progouvernementales ont lancé une offensive en juin en direction de la ville portuaire de la mer Rouge par laquelle transite l’essentiel de l’aide alimentaire et des importations alimentaires du pays. L’accord de cessez-le-feu est entré en vigueur le 18 décembre dans la ville, mais des combats sporadiques s’y poursuivent. Un redéploiement des forces rivales programmé pour le 7 janvier n’a pas eu lieu et un échange de prisonniers ne s’est pas matérialisé.
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La Syrie, suspendue par la Ligue arabe fin 2011, fait aujourd’hui débat, et ce au moment où Damas a repris sa place après avoir vaincu les groupes terroristes et réinstauré l’autorité de l’état sur son territoire.
Le retour de la Syrie au sein de Ligue arabe semble se préciser davantage après l’appel du secrétaire général de l’organisation panarabe, Ahmed Aboul Gheit, à mettre fin aux ingérences internationales et régionales dans la crise syrienne, alors qu’un tel retour reste tributaire d’un consensus parmi les états membres dont certains affichent encore une réticence. à l’issue d’un entretien, dimanche au Caire, avec le nouvel émissaire des Nations unies en Syrie, Geir Pedersen, nommé à ce poste le 31 octobre dernier, le Secrétaire général de la Ligue arabe, Ahmed Aboul Gheit, a appelé à mettre fin aux ingérences internationales et régionales dans les affaires syriennes, mettant en garde contre leurs conséquences négatives sur la résolution de la crise ayant frappé la Syrie depuis 2011.
Selon Aboul Gheit, ces ingérences n’ont fait que prolonger la durée de la crise, soulignant à cet égard l’importance de poursuivre l’action en faveur de la lutte contre le danger du terrorisme dans ce pays en vue de le réduire d’une façon définitive. Il a également jugé nécessaire de parvenir à une solution pacifique qui répond aux aspirations du peuple syrien, garantit au pays son intégrité régionale et qui permet de gérer d’une façon intégrée le drame humanitaire dont pâtissent des millions de Syriens pendant les huit dernières années.
Pour sa part, M. Pedersen, qui a effectué, la semaine dernière, sa première visite à Damas, a présenté les principaux résultats des premiers contacts, effectués avec les différentes parties concernées par cette crise depuis sa nomination, faisant part de sa volonté de poursuivre le dialogue avec la Ligue arabe afin de s’informer sur sa vision et les développements de la position du monde arabe à l’égard de cette crise.
En parallèle, le président de l’Assemblé nationale jordanienne, Atef al-Tarawneh, dont le pays est favorable à la normalisation des relations avec Damas, a annoncé avoir convié son homologue syrien à une réunion interparlementaire arabe en mars à Amman.» Ce n’est dans l’intérêt d’aucune partie de voir une Syrie fragmentée, déchirée, et où se déplacent en liberté des terroristes et des forces d’intervention extérieures», a déclaré M. Tarawneh, estimant que «tant que la Syrie est considérée comme profondément arabe et que nous prenons en compte la stabilité, les intérêts et l’unité de son peuple, elle doit être présente».
La Syrie, suspendue par la Ligue arabe fin 2011, fait aujourd’hui débat, et ce au moment où Damas a repris sa place après avoir vaincu les groupes terroristes et réinstauré l’autorité de l’état sur son territoire.
Un consensus sur son retour au sein de l’organisation panarabe semble se préciser davantage, soulignent les observateurs. A l’instar des émirats arabes unis, qui ont rouvert en décembre leur ambassade à Damas, l’Irak, le Liban et la Tunisie ont appelé à un retour du gouvernement syrien à la Ligue arabe. Pour Beyrouth, qui a abrité le Sommet économique arabe, la décision de la Ligue arabe de suspendre la Syrie était «une soumission aux ordres de l’Occident», appelant à «sa réintégration sans autorisation».
«La Syrie doit être parmi nous, sans attendre une quelconque autorisation pour son retour. Et ce, afin de ne pas nous couvrir d’une honte historique en l’ayant suspendue sur un ordre étranger et en la réintégrant sur autorisation étrangère», a souligné le ministre libanais des Affaires étrangères, Gebran Bassil.
L’Irak par la voix de son chef de la diplomatie, Mohamed Ali al-Hakim, s’est aussi exprimé en faveur du retour de la Syrie dans les rangs de la Ligue arabe, mettant en exergue l’importance de la victoire sur le terrorisme en Syrie.»
L’Irak soutient l’unité syrienne et son retour à son état naturel dans le monde et dans la région et son rétablissement au sein de la Ligue arabe», a-t-il déclaré.
De son côté, la Tunisie qui accueillera en mars le Sommet annuel de l’organisation panarabe, a estimé que la «place naturelle de la Syrie est dans le giron arabe», soulignant le poids et l’importance de ce pays, appelant les dirigeants des pays arabes lors de leur prochaine réunion, à décider de la manière de réintégrer la Syrie.
Par ailleurs, l’Arabie saoudite, semble encore réticente à une normalisation avec la Syrie et à sa réintégration au sein de l’organisation panarabe.
Toutefois, Damas a indiqué qu’elle n’allait pas solliciter son retour.
Le chef de la Ligue arabe a, pour sa part, fait allusion à un manque de «consensus» parmi les pays membres sur cette question.
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Khaled Boumediene
L’histoire de l’agglomération d’Aïn Tekbalet de la commune de Bensekrane est intimement liée à la grande figure du soufisme, Sidi Boumediene El Ghout (né en 1126 à Cantiallana dans la région de Séville en Andalousie), qui est décédé en 1198 dans cette contrée située à huit kilomètres de la ville de Bensekrane, puis enterré sur les hauteurs d’El-Eubbad (Tlemcen) dont la mosquée datant du XIVe siècle porte son nom. Il est à rappeler qu’à environ cinq kilomètres d’Aïn Tekbalet se trouve la carrière de marbre, datant de l’époque coloniale, qui a attiré après l’indépendance, de nombreuses familles à cause des opportunités d’emploi offertes à l’époque par ce matériau translucide, très prisé pour les revêtements muraux et de sol. Ainsi, ces familles habitèrent à R’kham, qui renferme un trésor composé d’une très grande variété de roches riches en cristaux de calcite (principal composant des vrais marbres) et à Aïn Takbalet, une localité très agricole. Maniant l’art et la volonté, ces hommes apprirent par cœur les techniques d’extraction, de transport, de sciage et de travail de cette matière fragile et précieuse.Cependant, Aïn Tekbalet a, depuis, connu un développement urbain considérable, qui se heurte aujourd’hui aux terres agricoles très fertiles qui l’assiègent de toute part et bloquent l’extension de cette agglomération de plus de 8.000 habitants (à titre d’exemple, la commune de Zenata compte 4.000 habitants). Oubliée dans un recoin de l’oued de l’Isser, cette contrée se désagrège aussi lentement qu’inexorablement ces dernières années, victime de ces contraintes physiques, mais aussi de la marginalisation et des atermoiements des autorités locales et de certains élus.
Outre les structures de culture et les équipements sportifs et la précarité de l’emploi faisant défaut auxquels sont confrontés les nombreux jeunes, les habitants d’Aïn Tekbalet souffrent du manque de logements sociaux et ruraux, de réseaux d’assainissement, d’éclairage public, de transport pour leurs enfants scolarisés et d’autres problèmes ayant trait à leur cadre de vie. A chaque fois, ces habitants se regroupent et ferment avec des troncs d’arbres, des pneus et de grosses pierres la RN 2 très fréquentée, qui relie Bensekrane à Aïn Kihal, pour exprimer leur mécontentement. Depuis samedi vers 23 heures, plusieurs dizaines d’habitants (notamment des jeunes) s’y sont ainsi rassemblés. Ils ont installé deux tentes et exigé au chef de la daïra la présence du wali en personne pour lui exposer leurs préoccupations et trouver des solutions toujours repoussées, selon eux, à leurs problèmes. «Certains élus nous ont promis monts et merveilles lors des campagnes électorales précédentes, on ne les voit aujourd’hui que sur Facebook en train de faire de la propagande et de se réunir dans des beaux salons ! Hormis le président de l’APC de Bensekrane, aucun autre élu, ni de l’APC ni de l’APW, n’est venu s’enquérir de notre situation difficile à vivre depuis longtemps ! Nous ne discuterons avec personne, nous voulons le wali ! Nous aussi, nous sommes des Algériens ! Est-ce normal de n’octroyer que 20 logements ruraux à plus de 8.000 habitants ? », déclarent ces habitants en colère.The post Tlemcen: La colère des habitants d’Aïn Tekbalet appeared first on .
Mahi Ahmed
L’état des lieux de l’EPSP (Etablissement public de santé de proximité) de Yellel a incité la direction de l’établissement sanitaire à procéder à une vaste opération d’aménagement dont le montant nécessaire est de l’ordre de 500 millions de centimes et dont l’étude a été confiée à un bureau d’études spécialisé dans les structures sanitaires. Le directeur M. Belhamri a indiqué que la dégradation qui a touché certains services de la structure a nécessité des travaux de rénovation. «En outre, la nécessité de réorganiser certains circuits de l’EPSP nous a poussés à cette réflexion. Ainsi, il a été procédé au déplacement de la salle d’observation qui était incommode et qui a subi une extension dans le but de prendre en charge sérieusement les malades. De même que le circuit des urgences dont l’organisation faisait défaut a été aménagé de façon que les prestations soient améliorées significativement». Le chef de l’établissement a précisé aussi que certaines conduites défaillantes du réseau d’assainissement laissant dégager des odeurs nauséabondes à l’intérieur de la structure ont été rénovées. L’établissement a été renforcé par un troisième bureau pour les consultations urgentes, une 2ème chambre de garde et d’un bureau des consultations pneumo-phtisiologiques et de pédiatrie. La direction projette, d’autre part, la construction d’une salle d’attente pour désengorger les urgences et les guichets des entrées en plus de l’informatisation du système des consultations médicales. Le réseau d’AEP, l’éclairage de la structure et la pose des caméras de surveillance sont les autres préoccupations à satisfaire prochainement lorsque les finances nécessaires seront disponibles.The post Relizane: Aménagement annoncé à l’EPSP de Yellel appeared first on .
Cheikh Guetbi
Maghnia vient d’être dotée d’un nouveau siège de daïra dont les travaux de réalisation arrivent quasiment à leur terme. Celui-ci a été la principale étape de la visite d’inspection que le wali a effectuée dimanche dans cette ville frontalière qualifiée à juste titre de «vitrine du pays». Accompagné du chef de la daïra, du P/APC et de certains directeurs de l’exécutif, le wali a durant cette visite passé en revue l’avancement des travaux de réalisation de certains équipements dont ce nouveau siège qui se caractérise par son imposant espace vert. Lors de sa visite de cet équipement, le wali s’est montré exigeant sur la qualité des travaux de finition, voire jusque sur la qualité du mobilier et pour lesquels il a émis pas mal de réserves qu’il a demandé aux entreprises de lever. L’hôtel public «La Tafna» a été la seconde étape de cette visite d’inspection où le wali s’est enquis de la qualité des travaux de réaménagement de ce principal établissement hôtelier de la daïra et passé en revue jardin, piscines, chambres, cuisine, restaurant Il s’est montré relativement satisfait des travaux réalisés. Le wali s’est ensuite déplacé au village de Ouled Charef où il a présidé l’inauguration protocolaire d’un établissement primaire «Mechichi Abdellah» où il s’est entretenu avec la société civile locale. Dans la même localité, le wali a rendu visite à la zaouia de Cheikh Ibrahim Ajradi. L’ultime étape de cette visite était celle de Hammam Boughrara où le wali a inauguré la route de 11 km qui relie Maghnia à Hammam Boughrara via Sid El Machhour et s’est enquis des travaux de réalisation d’une nouvelle station de pompage qui permettra le passage de l’alimentation en eau la daïra de Maghnia de 15.000 m3/j à 40.000 m3 /j.A noter que l’implantation du nouveau siège de daïra qui sera incessamment inauguré par le ministre de l’Intérieur a été, à l’origine, contesté par la population car il occupe une bonne partie d’un des patrimoines de la ville, à savoir le champ hippique qui est situé à l’entrée ouest de la ville. «Aussi bien la société civile, les élus que les différents services technique auxquels je reproche leur passivité et leur insouciance, ont participé au massacre de cet unique poumon de la ville qui, grâce à son importance spatiale, aurait pu aussi bien garder son caractère original et être un lieu aménagé en espaces verts, terrains pour diverses disciplines sportives, pistes cyclables qui font énormément défaut et ce pour les sorties récréatives des familles maghnaouies», dira un citoyen.
«Je ne vois pas l’utilité d’un nouveau siège alors que presque tous les services de la daïra ont été délocalisés vers le siège de l’APC. La situation centrale de l’ancien siège est, en plus, plus adéquate», conclut le même habitant.The post Maghnia: Un nouveau siège de daïra appeared first on .
ANNABA – Le manque à gagner du Complexe Sider El Hadjar (Annaba) avoisinerait 2,25 milliards DA en cas d’arrêt des activités de la zone chaude (haut fourneau et aciéries) durant 15 jours suite aux récentes inondations, a déclaré lundi le PDG du complexe, Chamseddine Maâtallah.
Dans une conférence animée au siège du complexe, présidée par le secrétaire général du ministère de l’Industrie et des Mines, Kheireddine Medjoubi, le même responsable a indiqué que « parallèlement au pompage des eaux infiltrées dans le haut fourneau et les aciéries, les opérations d’assèchement des installations industrielles touchées par les eaux se poursuivent pour favoriser la reprise de l’activité du complexe dans les plus proches délais ».
Le Secrétaire général du ministère de l’Industrie et des Mines a salué, dans ce contexte, « l’intervention professionnelle et responsable du personnel du Complexe Sider, ainsi que la mobilisation des travailleurs pour préserver les installations », relevant que leur action anticipative a permis d’éviter la détérioration des installations submergées par les eaux.
M. Medjoubi s’est également enquis, en compagnie du wali d’Annaba, Toufik Mezhoud, de l’ampleur des dégâts et du déroulement des opérations de pompage des eaux de la zone chaude et des opérations d’assèchement des installations.
Les intempéries, enregistrées jeudi et vendredi dans la wilaya d’Annaba, avaient causé de vastes inondations suite au débordement des affluents de l’Oued Larabâa qui passe par le Complexe avant de rejoindre l’Oued Seybouse qui a tardé à se déverser dans la mer. Plusieurs wilayas voisines ont envoyé à Annaba des équipements pour le pompage des eaux et faire face à l’ampleur des dégâts causés par ces inondations.
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ALGER – Les travaux de la 9ème session de la commission mixte intergouvernementale Algéro-russe de coopération économique, commerciale scientifique et technique se tiennent du 28 au 30 janvier 2019 à Moscou (Russie), a indiqué lundi le ministère des Finances dans un communiqué.
Le ministre des Finances, Aderrahmane Raouya, se déplace en Russie pour coprésider avec le ministre russe de l’énergie, Alexandre Novak, les travaux de cette session qui se tiendront les 28 et 29 janvier en cours au niveau des experts et le 30 janvier au niveau des ministres, précise le communiqué.
Selon la même source, cette rencontre permettra de passer en revue les relations de coopération qui lient les deux pays et de dresser le bilan de l’état de mis en œuvre des recommandations consignées au procé-verbal de la 8ème session qui s’était tenue à Alger du 18 au 20 septembre 2017.
Elle sera également mise à profit, continue la même source, pour identifier de nouvelles actions pour impulser une dynamique nouvelle à la coopération bilatérale multisectorielle. La tenue de cette session de la Commission mixte s’inscrit dans le prolongement de la visite officielle en Algérie les 23 et 24 janvier 2019 du ministre des Affaires étrangères de la fédération de Russie, Serguei Lavrov, a souligné la même source.
Par ailleurs, il est noté dans le texte du communiqué que la délégation algérienne que conduira M. Raouya est composée des représentants de différents ministères et d’autres institutions.
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En une semaine, les manifestations contre le président vénézuélien se sont soldées par la mort d’au moins 35 personnes, et l’arrestation de 850 manifestants.
Au Venezuela, les tensions ne sont pas retombées après une semaine d’une crise politique majeure. Selon un dernier bilan fourni lundi 28 janvier par plusieurs organisations non gouvernementales (ONG), les manifestations contre le président Nicolas Maduro se sont soldées par la mort d’au moins 35 personnes, et l’arrestation de 850 manifestants.
« Nous avons le chiffre vérifié, avec le prénom, le nom, l’endroit et les responsables présumés, de 35 personnes assassinées dans le cadre des manifestations », a déclaré Rafael Uzcategui, le directeur de l’ONG Provea au cours d’une conférence de presse à Caracas. M. Uzcategui a également dénoncé huit « exécutions illégales » en marge de ces manifestations, pendant des opérations policières dans des quartiers populaires. Il a accusé des agents des FAES (Forces policières d’actions spéciales) d’en être responsables.
Ultimatum des EuropéensLa crise politique dans ce pays pétrolier, ruiné après avoir été l’Etat le plus riche d’Amérique latine, s’est intensifiée en une semaine. Le chef de l’Etat vénézuélien, Nicolas Maduro, est mis sous pression par son opposant Juan Guaido, qui s’est autoproclamé président et appelle à manifester de nouveau cette semaine.
Six pays européens (Espagne, France, Allemagne, Royaume-Uni, Portugal, Pays-Bas) ont donné à Nicolas Maduro jusqu’à dimanche pour convoquer des élections, faute de quoi ils reconnaîtront Juan Guaido comme président. L’Union européenne, quant à elle, « prendra des mesures » si des élections ne sont pas convoquées « dans les prochains jours », y compris concernant « la reconnaissance du leadership » dans le pays. Jusqu’à présent, Nicolas Maduro se montre inflexible et rejette l’ultimatum des Européens.
Le bolivar dévaluéPour tenter de reprendre l’avantage, le gouvernement a dévalué lundi sa monnaie, le bolivar, de 34,83 %, pour l’aligner sur le taux pratiqué sur le marché noir, pourtant combattu par le gouvernement de Nicolas Maduro. Avec la mise en place d’un nouveau système de change, le taux a été fixé à 3 200 bolivars pour un dollar.
Cette annonce marque un grand changement alors que le gouvernement socialiste impose un strict contrôle des changes et des devises depuis 2003, ce qui complique l’accès des particuliers et des entreprises aux dollars. Beaucoup ont donc recours au marché noir, où le taux du dollar était parfois trente fois plus élevé que le taux officiel, alors que le gouvernement surévaluait artificiellement le bolivar.
Les experts recommandaient depuis des années de mettre fin à ce contrôle des changes afin de pouvoir lutter contre la grave crise économique qui frappe le pays, avec une inflation attendue à 10 000 000 % par le FMI en 2019 et de graves pénuries d’aliments et de médicaments.
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Les opérations d’importation de marchandises s’opèrent désormais librement conformément aux dispositions de l’Ordonnance n 03-04 du 19 Juillet 2003, modifiée et complétée, relative aux règles générales applicables aux opérations d’importations et d’exportation de marchandises, a indiqué lundi le ministère du Commerce dans un communiqué.
« Les marchandises et produits qui ont été soumis à la suspension provisoire à l’importation durant l’année 2018, sont désormais, libre à l’importation moyennant le paiement d’un droit additionnel provisoire de sauvegarde (DAPS) », a précisé la même source.
Le ministère du Commerce rappelle, à ce titre, que l’instauration du DAPS comme instrument tarifaire, intervient pour des raisons liées à la sauvegarde de la balance de paiement, l’encouragement de la production nationale et le développement des industries naissantes.
Le DAPS concerne ainsi plusieurs groupes de produits à savoir les viandes blanches et rouges (à l’exception de la viande bovine congelée), les fruits secs, les fruits frais (à l’exception de la Banane), les légumes frais, la préparation de viandes, la préparation de poissons et les fruits conservés ou préparés. Il concerne également les préparations alimentaires, les préparations pour soupes et potages, les dérivés de céréales, le ciment, les produits cosmétiques et les papiers d’hygiène.
Ils sont aussi concernés par le DAPS, les produits plastiques, les caisses et caissettes en bois, les tapis, et autres revêtement de sol en matières textiles, le marbre et le granit finis, la céramique finie, les produits en céramique, le verre et l’ouvrage en verre, les ouvrages en fonte, l’aluminium et l’ouvrage en aluminium, Le communiqué cite aussi les articles de robinetterie sanitaire, les chaises et les meubles, les lustres, les machines et les articles électroménagers, le téléphonie mobile et les ouvrages divers.
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WASHINGTON – Le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel a donné lundi une conférence au Centre des Etudes Internationales Stratégiques de Washington sur le thème de l’expérience algérienne en matière de lutte contre le terrorisme, de réconciliation nationale et son rôle pour la stabilité régionale.
Dans son intervention devant une audience d’experts spécialisés, M. Messahel a mis en exergue la stabilité dont jouit l’Algérie dans une zone marquée par de « grandes turbulences », rappelant à cet égard, que l’Institut Gallup de Washington a classé l’Algérie durant deux années successives, 2016 et 2017, parmi les pays « les plus sûrs au monde ».
Il a ajouté que cette stabilité était le « fruit d’une politique globale et cohérente qui a été conduite par le Président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika allant de la concorde civile, à la réconciliation nationale soutenue par une politique de déradicalisation et enfin au vivre ensemble en paix ».
Dans ce cadre, M. Messahel a également mis en exergue le « rôle crucial » de l’Armée nationale populaire et des services de sécurité dans la lutte antiterroriste qui a également emporté l’adhésion du peuple algérien qui a rejeté la barbarie terroriste. « Cette démarche de paix a permis à l’Algérie de mettre un terme à la tragédie nationale et de concentrer l’effort national sur les objectifs de développement socio-économique », a souligné M. Messahel.
Cette démarche a, ajouté M. Messahel, s’est renforcée récemment par l’initiative de l’Algérie ayant permis à l’Assemblée Générale des Nations Unies, de proclamer le 16 mai de chaque année, journée internationale du vivre ensemble en paix.
Le ministre des Affaires étrangères a rappelé, à cet égard, le discours historique du Président de la République M. Abdelaziz Bouteflika, prononcé en 2005 à l’UNESCO sur « le dialogue des cultures et des religions » qui a mis en exergue les vertus du vivre ensemble en paix.
Rappelons que M. Messahel séjourne à Washington dans le cadre de la tenue de la 4ème session du dialogue stratégique algéro-américain qu’il coprésidera avec son homologue M. Micheal Pompeo demain mardi.
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Dévoilées ce 22 janvier, les nouveaux repères en matière d’alimentation et activité physique changent de registre : plutôt que de fixer des quantités, les épidémiologistes de Santé publique France ont préféré encourager à en augmenter certaines catégories et en réduire d’autres. Une approche louable, sachant que les quantités visées sont peu respectées : moins de trois adultes sur dix mangent assez de fruits et de légumes (5 portions par jour) et de poisson (2 portions par semaine).
Les experts conseillent donc d’augmenter la consommation de fruits et de légumes (frais, surgelés ou en conserve), mais aussi les fruits à coque comme les noix et les amandes (une poignée par jour) et les légumes secs comme les lentilles et les pois chiches (2 portions par semaine…). Le tout, en privilégiant le bio, si possible.
C’est la première fois que l’agriculture biologique est officiellement conseillée. Si le communiqué de Santé publique France met en avant des raisons écologiques, les raisons sanitaires jouent aussi : le Haut conseil de la santé publique avait souligné dans son avis de 2017 « l’intérêt de privilégier des aliments cultivés selon des modes de production diminuant l’exposition aux pesticides pour les fruits et légumes, les légumineuses, les produits céréaliers complets ». Dans le dernier Science & Vie, un article détaille les bienfaits du bio pour la prévention de certains cancers.
Réduire le temps passé assisAutre encouragement : augmenter l’activité physique, que les femmes et les enfants pratiquent de moins en moins . Face à ce fait préoccupant, prendre les escaliers, le vélo ou toute autre activité de loisir comme le ballon est conseillé 30 minutes par jour, et si possible du sport deux fois par semaine. Mais bouger ne fait pas tout : depuis cette année, il est aussi recommandé de réduire le temps passé assis, en prenant le temps de marcher un peu toutes les deux heures.
L’agence sanitaire incite aussi à inviter dans nos assiettes les féculents complets (plus riches en fibres), l’huile de noix, de colza et d’olive (riches en oméga-3) et la bonne quantité de produits laitiers (2 par jour) et de poisson. A savoir deux poissons par semaine, l’un blanc comme le lieu ou le cabillaud et l’autre gras comme le saumon ou les sardines.
Il est également recommandé d’aller vers les produits de saison et produits localement, dans un souci de réduction de l’impact sur l’environnement .
Enfin, une dernière catégorie est à réduire le plus possible : l’alcool, la charcuterie, les boissons sucrées et tous les aliments gras et sucrés, ainsi que les ultra-transformés, qui contiennent de nombreux additifs alimentaires. L’invitation est donc d’éviter les plats préparés, les produits affublés d’un logo nutriscore D ou E et de cuisiner le plus possible à la maison, que ce soit à partir de produits frais, en conserve ou surgelés. Quant à la viande, préférer la volaille et limiter les autres à 500 g par semaine… en faisant la part belle aux oeufs et aux légumes secs.
Reste à espérer que ces conseils seront suivis !
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Faire fusionner les messageries d’Instagram, Whatsapp et Messenger : c’est le nouveau grand chantier du PDG de Facebook, Mark Zuckerberg. Selon les informations du « New York Times », le groupe voudrait y parvenir d’ici fin 2019 ou début 2020.
Facebook envisage de crypter entièrement les messages échangés sur Messenger et Instagram, comme ils le sont déjà sur WhatsApp, également détenu par le réseau social, et de rendre ces applications compatibles entre elles.
« Les gens veulent que les messageries soient rapides, simples, fiables et privées », a indiqué, vendredi 25 janvier, une porte-parole du groupe. « Nous travaillons à ce que davantage de nos messageries soient cryptées de bout en bout et réfléchissons à des moyens pour rendre plus facile la communication avec familles et amis via tous les réseaux », a-t-il poursuivi, confirmant des informations du New York Times. Selon le quotidien, le groupe voudrait y parvenir d’ici fin 2019 ou début 2020.
Le cryptage total, qui rendrait les messages illisibles par d’autres que par l’expéditeur et le destinataire, pourrait répondre à la critique souvent adressée à Facebook quant à sa protection des données personnelles, jugée trop laxiste.
Cela voudrait dire aussi que Facebook intégrerait complètement Instagram et WhatsApp à son infrastructure, de façon à unifier toutes ses applications et à les rendre compatibles. On pourrait ainsi envoyer depuis Messenger un message à quelqu’un qui n’a que WhatsApp, par exemple. Mais cette intégration viendrait à l’encontre des promesses faites par le PDG Mark Zuckerberg, au moment des rachats d’Instagram et WhatsApp, de les laisser fonctionner de façon indépendante.
De gros remous en interneL’idée de cette intégration, qui selon le New York Times flotte depuis plusieurs mois chez Facebook, a créé de gros remous en interne, ce que le groupe a admis entre les lignes vendredi. « Comme on peut s’y attendre, il y a beaucoup de discussions et de débats à mesure que nous commençons à réfléchir à tous les détails », a dit la porte-parole.
Selon plusieurs médias américains, c’est d’ailleurs cette crainte de perte d’indépendance, ainsi que des divergences sur la façon de faire de l’argent avec ces applications, qui a poussé les fondateurs de WhatsApp puis d’Instagram à claquer la porte. Le New York Times affirme aussi que cette plus grande intégration permettrait à terme à Facebook de trouver de nouveaux relais pour accroître ses recettes publicitaires.
Les trois services de messagerie de Facebook revendiquent chacun plus d’un milliard d’usagers dans le monde.
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Après plus d’un mois de paralysie touchant 800 000 fonctionnaires, le président américain, Donald Trump, a annoncé vendredi un accord prévoyant un financement des services fédéraux jusqu’au 15 février.
Combien aura coûté le plus long shutdown de l’histoire politique des Etats-Unis ? L’exercice comptable est périlleux. Mais les services du budget du Congrès (CBO) s’y sont risqués, lundi 28 janvier, estimant que la fermeture partielle des services de l’Etat fédéral pendant plus d’un mois a grevé au total de quelque 11 milliards de dollars (9,4 milliards d’euros) l’économie du pays. Sur ce montant, 3 milliards de dollars (2,57 milliards d’euros) ne pourront être récupérés, estime l’agence indépendante.
Dans le détail, le CBO relève qu’« en conséquence de la baisse de l’activité économique » le produit intérieur brut (PIB) a accusé un fort repli au quatrième trimestre 2018, et surtout au premier trimestre 2019. La perte de croissance durant le gel partiel des activités gouvernementales est évaluée à environ 11 milliards de dollars, mais 8 milliards de dollars seront récupérés grâce à la réouverture des ministères et au paiement des arriérés de salaires des employés fédéraux, explique le CBO.
En revanche, l’organisme estime « qu’environ trois milliards ne seront pas récupérés ». Un montant qui correspond à 0,02 % de l’estimation du PIB 2019.
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Près de trois tonnes de viande blanche d’origine douteuse ont été saisies hier, par les éléments de la Gendarmerie d’El-Haoudine, nord-est de Médéa, lors d’un contrôle routinier de camionnettes frigorifiques circulant sur la RN 8, a-t-on appris de ce corps de sécurité. L’opération de contrôle, menée par la section territoriale de la Gendarmerie nationale d’El-Haoudine, relevant de la brigade de Tablat, au niveau de l’axe routier El-Haoudine – Larbaa (Blida), a permis la découverte d’une quantité de viande blanche, estimée à 2881 kg, destinée a être écoulée sur le marché sans certificat sanitaire des services vétérinaires, a-t-on indiqué. La marchandise, provenant vraisemblablement d’ateliers d’abattage clandestins, était transportée dans des conditions d’hygiène déplorable à bord de deux camionnettes frigorifiques, a-t-on signalé.
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Le problème du transfert illicite de devise a pris de l’ampleur au niveau de l’ensemble des ports et aéroports du pays, et même les frontières ne sont pas épargnées, selon le bilan de l’exercice 2018, établis par les éléments de la douane régionale d’Oran qui fait état des saisies de plus de 05 millions d’euros, et 50. 000 dollars, et tout dernièrement, samedi dernier, d’un autre montant de 30.000 dollars, et 7300 euros à l’aéroport d’Es-Sénia
Pour preuve , le samedi 26 Janvier 2019, les éléments de la brigade des douanes de l’aéroport d’Es Senia ‘’Ahmed Benbella’’ ont réussi à arrêter un ressortissant turc à destination d’Istanbul en possession de 30.000 dollars bien enveloppées dans un papier en aluminium pour échapper au scanner, ainsi qu’un algérien à destination de Paris en possession de 7300 euros qu’il aurait dissimulé dans une boîte de médicaments mais aussi dans une paire de chaussures de sport. A l’issue de ces opérations, les douanes ont pu saisir pas moins de 05 millions d’euros, 50 000 dollars et quelque dix millions de dinars. Ces montants colossaux étaient destinés à franchir les frontières algériennes d’une manière illégale. De même, plusieurs personnes ont été arrêtées et déférées devant la justice. Ces dernières allaient, dans la majorité des cas, prendre des vols à destination d’Istanbul, Doha ou Dubaï. Malgré l’état d’alerte maximale pour avorter toute tentative de fuite des capitaux, les contrebandiers n’abdiquent pas. Parfois, ils réussissent à quitter le territoire. Lundi dernier, un Algérien en possession de 740.000 dollars a été arrêté au poste frontalier de Melloula en Tunisie.
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Par Madjid BERKANE
Aïda Farhat, docteure en études arabes, civilisations islamique et orientales, diplômée de l’université de Zeitouna (Tunis) et de l’Ecole pratique des hautes études (Ephe, Sorbonne) de Paris, est auteure de plusieurs articles et différents ouvrages et traduction: «12 Nouvelles de l’Arabie saoudite», «L’Abrégé de la Quintessence de la théorie légale». En ce moment, elle publie une traduction inédite et complète de l’introduction sur la logique de «La Quintessence de la théorie légale» d’al-Ghazali. Dans cet entretien, elle expliquera le but de son engagement pour l’islam, elle reviendra aussi sur l’enseignement de la langue arabe en France et donnera enfin son avis sur l’idée du Vivre ensemble.
Vous tenez à défendre inlassablement l’islam tolérant dans un pays(la France) devenu de plus en plus hostile à cette religion. D’où puisez- vous la force?
Tout simplement, je puise mes forces, mes idées, dans ma culture, mon éducation. Je crois que la meilleure école permettant de construire notre identité, est celle de nos mères.Aussi, un mot qui m’a intrigué «l’islam tolérant». Il n’y a pas plusieurs islam, c’est une conception inventée. L’islam par sa nature est souple et tolérant, malheureusement, nous sommes les seuls responsables de cette régression. C’est pourquoi cette image d’hostilité, par exemple en France, est «légitime», si je peux dire. Cela est confirmé par le sondage réalisé par l’Ifop (2016, Le Figaro) précisant que 63% des Français estiment que l’influence de l’islam est trop importante en France et que la présence d’une communauté musulmane est plutôt une menace. L’image de l’islam s’est dégradée dans l’opinion des Français, suite aux récents actes terroristes, «Allâh Akbar» devient, malheureusement, une formule faisant peur,formule relative des actes terroristes.
Vous vous référez souvent dans vos recherches à des érudits, tels que al-Ghazali et Ibn Rochd pour convaincre votre auditoire. Peut-on savoir pourquoi?
Puis-je répondre, en premier, «le destin». D’ailleurs, le film de Youssef Chahine «al-Masir», reflétant le destin même d’Averroès (Ibn Rochd), m’a incitée à fouiller dans l’héritage de ce personnage. Vu ma formation de base à l’université Zeitouna, où j’ai obtenu une maîtrise en sciences religieuses, approfondie par un doctorat de l’École pratique des hautes études, je ne peux que m’intéresser à son héritage juridique et non philosophique. Ce dernier m’a entraînée à aborder al-Ghazali, puisque son livre en question «La Quintessence de la théorie légale», était un travail d’abrégement de la part d’Ibn Rochd. Secundo, Ibn Rochd est une référence première et primordiale en Europe occidentale, son oeuvre a une grande influence sur les philosophes médiévaux latins et juifs dits «averroïstes». J’ai voulu avec cette recherche apporter des minisecousses dans le domaine de ma recherche. J’ai malmené quelques certitudes contribuant, modestement, à apporter un nouvel éclairage sur la relation entre al-Ghazali et Ibn Rochd à travers une approche qui avait comme fil conducteur la date de la composition du livre «L’Abrégé». J’ai également réussi à établir l’image d’Ibn Rochd comme juriste. Ceci n’exclut guère son apogée dans le domaine philosophique, la pierre angulaire de mon travail ce n’est pas d’effacer ses empreintes philosophiques, mais de réhabiliter sa formation de base comme juriste.
Vous dites souvent que l’islam est victime du comportement des musulmans. Pouvez-vous nous en dire davantage à ce sujet?
Oui exactement. Si on aime vraiment notre islam, nous devons le protéger de toute nuisance, de tout facteur constituant un préjudice. Malheureusement, aujourd’hui, je vois que l’intérêt personnel prévaut sur le général. On vit dans un monde égocentrique, on se permet de commenter, de «parler de l’islam» et d’avancer ses fatwas parce qu’on a lu un livre dans le domaine. Or, l’islam exige des propositions fondamentales, seul un spécialiste dans le domaine, qui a reçu l’instruction et l’enseignement, peut (dans ce domaine) fournir la ou les réponses demandées.
A côté de l’islam du juste milieu que vous défendez, vous menez aussi un travail remarquable de l’enseignement de la langue arabe en France. A ce sujet, vous aimez préciser que ce sont les musulmans et les Arabes de France qui refusent en premier l’apprentissage de cette langue. Comment expliquez- vous cela?
Je suis contre l’emploi de «l’islam du juste milieu», je suis pour l’islam tout court, d’ailleurs, ce sont ces appellations qui ont permis ces divergences et par conséquent la perturbation de la compréhension de l’islam, telle que «l’islam de France», on localise l’islam pour limiter son extension. Mais pour répondre à votre question, je me base sur mon expérience d’enseignement en France. Je ne peux pas vous dire, ou, plutôt, vous confirmer que «ce sont les musulmans et les Arabes de France qui refusent en premier l’apprentissage de la langue arabe», je vous laisse constater! J’ai commencé l’enseignement de la langue arabe avec des grandes chaînes de télé: BFM TV, RMC, Cnews…, tous mes élèves adultes et enfants, sont français, je parle ici des «Français de souche». C’est étonnant: est-ce que l’apprentissage de la langue arabe ne répond pas aux critères des tendances de cette époque? La langue arabe assure sa place en Europe, d’ailleurs la Journée mondiale célébrant la langue arabe chaque 18 décembre, est la meilleure récompense et le meilleur exemple sur la reconnaissance de l’arabe comme langue riche. J’ai adjoint la traduction à la langue arabe, car j’ai voulu traduire des textes surtout religieux pour transmettre cette langue et cette religion à ceux qui veulent s’instruire.
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Dans une allocution, lue en son nom par le chef de cabinet du ministère Zoubir Djouabri, lors d’un atelier technique sur les géosciences, le ministre a souligné que « le principal objectif qui guide la politique du secteur est de mettre en évidence de nouvelles réserves d’hydrocarbures, y compris celles accessibles par l’amélioration de taux de récupération des gisements matures ».
Selon M. Guitouni, le domaine minier en hydrocarbures compte de nombreux champs matures cumulant plusieurs décennies de production, ce qui impose l’introduction de nouvelles technologies avec des techniques de récupération assistée afin d’en améliorer les performances.
« Nos gisements d’hydrocarbures les plus anciens, tels que Hassi Messaoud et Hassi R’mel, produisent en continu depuis des décennies et recèlent encore des volumes de réserves restants considérables à exploiter », a-t-il affirmé.
Dans ce sens, il a insisté sur l’importance de tirer profit des solutions techniques et technologiques existantes en associant davantage le monde scientifique pour préserver à moyen et long termes l’indépendance énergétique de l’Algérie.
« Il est une réalité que la paradigme de la découverte des grands gisements a effectivement laissé place à de nouvelles approches imposées par des circonstances d’ordre géologique, mais aussi technique et technologique, telle que l’amélioration de taux de récupération », a soutenu M. Guitouni.
Il a rappelé, dans ce cadre, que durant la crise pétrolière que l’industrie vient de traverser, la technologie et l’innovation avaient constitué « les atouts principaux des compagnies et des acteurs du domaine pour assurer leur survie et leur maintien ».
« Le vaste domaine minier hydrocarbures algérien demeure sous-exploré. Seul un tiers de ce domaine est exploré alors que les deux tiers devront l’être dans l’avenir et confirmeront les grandes potentialités que recèle le domaine minier national », a-t-il encore noté.
De son côté, le président de l’Agence nationale pour la valorisation des ressources en hydrocarbures (Alnaft), Arezki Hocini, a fait savoir que l’augmentation du taux de récupération de 10%, grâce aux nouvelles techniques et technologies, permettra de prolonger de 30 ans les gisements matures. Selon lui, le taux de récupération dans les gisements algériens se situe actuellement entre 20 et 30%.
Organisé par Alnaft en collaboration avec l’Association européenne des géoscientifiques et ingénieurs (EAGE), cet atelier technique sur les géosciences, qui se tient du 28 au 30 janvier, regroupe des experts et spécialistes dans le domaine de l’exploration pour échanger sur les différentes thématiques relatives à la récupération améliorée de pétrole dans les champs matures et l’évaluation de réserves profondes.
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Selon l’article 182 de la constitution algérienne, le conseil constitutionnel est une institution indépendante chargée de veiller au respect de la constitution. Autrement dit, c’est un organe qui sert à la bonne application des lois constitutionnelles régissant la vie institutionnelle d’un Etat.
En outre, il veille à la régularité des opérations de référendum, des élections présidentielles et législatives. Aussi, il reçoit et étudie les recours des résultats provisoires des élections présidentielles et législatives, et proclame les résultats définitifs.
Il se prononce par simple avis sur la constitutionnalité des traités, des lois et des règlements.
le président du conseil constitutionnel est désigné par le président de la république pour un mandat unique de 8 ans et en cas de décès, le conseil constitutionnel délibère sous le régit du vice président.
Et dans le cas ou le vice président se trouve dans l’incapacité de mener à bien cette mission, le membre le plus âgé devra se munir de cette fonction et dont notification est faite au président de la république.
Dans ce cas, le vice-président assure l’intérim de la présidence du Conseil constitutionnel jusqu’à la date de désignation du nouveau président.
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