La campagne électorale pour le premier tour de la présidentielle au Sénégal s’est ouverte, dimanche, et se déroulera jusqu’au 22 février courant, ont rapporté des médias locaux.
Le 24 février, plus de 6 millions de Sénégalais seront appelés aux urnes pour choisir leur président parmi cinq candidats en lice.
En effet, le Conseil constitutionnel a validé définitivement, le 20 janvier écoulé, la liste des présidentiables, comprenant, outre le président sortant, Macky Sall, la majorité présidentielle réunie autour de la coalition Benno Bokk Yakaar, l’ancien Premier ministre Idrissa Seck (Rewmi-opposition), Ousmane Sonko (Pastef/ Patriotes du Sénégal pour le Travail, l’Ethique et la Fraternité), l’ancien ministre des Affaires étrangères Madické Niang (dissident du Parti démocratique sénégalais/PDS) et le député Issa Sall (Parti de l’unité et du rassemblement/PUR).
Sur une trentaine de candidats au départ, 22 ont été recalés à l’étape du parrainage et deux autres, sous le coup de condamnations judiciaires, ont été écartés de la course.
Il s’agit, pour ces deux derniers cas, de l’ancien maire de Dakar, Khalifa Sall, et de l’ex-ministre Karim Wade, poursuivis et condamnés respectivement pour les délits d’escroquerie, faux et usage de faux en écriture publique et privée sur des derniers publics, pour le premier, et pour enrichissement illicite, pour le second.
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«Est-ce que le Président Bouteflika va présenter sa candidature ? Vous en doutez encore ?». C’est ainsi que le secrétaire général du Rassemblement national démocratique et Premier ministre, Ahmed Ouyahia, répondait à une question d’un journaliste, lors d’une conférence de presse qu’il animait, hier samedi au siège du parti à Ben Aknoun à Alger. Il ne pouvait être plus clair, en effet !
Kamel Amarni – Alger (Le Soir) – Le RND ayant tranché sa position officielle sur cette question de la présidentielle en juin 2018, à savoir le soutien de Abdelaziz Bouteflika, position réitérée à l’occasion de la réunion de son conseil national, ce week-end à Alger, Ouyahia passera même à l’offensive.
«A bientôt un mois de la date limite de dépôt des candidatures, si vous faites un peu de mathématiques, et comme nous n’avons pas prévu de plan B comme vous le dites, vous allez déduire que le Président Bouteflika va présenter sa candidature» ! Il répondait, ici, à une question similaire d’un confrère lui demandant si le pouvoir n’avait pas prévu «un plan B», au cas ou Bouteflika n’allait pas se présenter la présidentielle du 18 avril. «Ma conviction, répétera encore le Premier ministre, est que le Président va se présenter et il va adresser un message aux Algériens».
Exprimée par la voix du chef de l’exécutif en personne, le pouvoir annonce donc, ici, officiellement la candidature de Abdelaziz Bouteflika pour la présidentielle du 18 avril et ne reste plus que la formalisation, qui se fera via un message que le concerné adressera à la nation dans les prochains jours. «Rien ne l’empêche de se porter candidat», insistera Ouyahia. Y compris la maladie. «Le Président a eu son accident de santé en avril 2013. Cela n’a pas empêché le peuple de voter pour lui en avril 2014». Le Premier ministre, visiblement énervé par les questions relatives à l’état de santé de Bouteflika, répondra sèchement à une consoeur : «La maladie ? C’est vous qui en êtes malade ! Et cela depuis 2004 !».
Pour Ouyahia, certains «ont la hantise de cette candidature de Bouteflika car ils savent que s’il se présente, il va passer (…) En 2004, ils avaient pour slogan ‘‘tout sauf Bouteflika’’, puis, en 2014, ils réclamaient l’application de l’article 88 de la Constitution pour l’empêcher de se présenter». Pour autant, le Premier ministre reconnaîtra : «Oui, le Président Bouteflika ne va pas faire la campagne électorale. On ne va pas se mentir. Son état de santé n’est plus le même qu’en 1999 (…) Mais contrairement à 1999, il n’a pas besoin de mener une campagne physique. Les Algériens le connaissent. Ils connaissent son projet et savent ce qu’il a réalisé.»
La campagne électorale pour le compte du candidat Bouteflika se fera, bien sûr, exactement de la même manière qu’en 2014. Une campagne que mènera un directoire, composé quasiment du même personnel et que dirigera le même Abdelmalek Sellal.
«Un consensus national est impératif»
Autre aspect de la feuille de route du pouvoir que reconnaîtra implicitement Ahmed Ouyahia, la fameuse conférence pour le consensus et la révision de la Constitution, décalées pour après la présidentielle. «Attendons que notre candidat gagne les élections et on verra après», dira-t-il à ce propos.
«Ce qu’ a dit Abderrazak Makri à propos de sa rencontre avec Saïd Bouteflika l’engage lui (…) Nous concernant, nous avons clairement dit à nos amis du MSP, lors de notre rencontre ici-même au siège du RND en août 2018, que l’Algérie ne vit pas une crise politique. Toutefois, nous en convenons qu’il nous faut un consensus national large et un dialogue dans tous les domaines». Ouyahia insistera, en particulier, sur les questions économiques et ne manquera pas de rappeler que, par exemple, «si nous n’avions pas opté pour l’endettement interne, en septembre 2017, nous n’aurions pas eu de quoi payer les salaires au mois de novembre de la même année».
En ce début 2019, les réserves de change en sont à moins de 80 milliards de dollars, annoncera le Premier ministre. «Cela devrait d’ailleurs inciter les candidats à la présidentielle à bien méditer sur la situation et les difficultés économiques du pays auxquelles ils devraient proposer des solutions et non plus se suffire de simples slogans lors de la campagne». Et à propos des candidatures fantaisistes qui défilent depuis quelques jours au niveau du Palais du gouvernement, Ouyahia s’est montré franchement scandalisé : «Maintenant, il apparaît clairement que des mesures nouvelles doivent être introduites dans la loi pour ne plus avoir à vivre cette mascarade. C’est le Premier ministre qui parle». Avant d’ajouter : « Certes, il y a des candidats sérieux, mais la grande majorité ne viennent que pour rire ou faire les pîtres. Mais à qui est la faute ? Elle incombe essentiellement aux chaînes de télévisions qui leur tendent leurs micros.»
«Nous maîtrisons la rue et nous combattrons l’anarchie»
En cette période de campagne électorale, propice aux promesses en tout genre, mais aussi à la propension de l’Etat à céder à toutes les revendications, le gouvernement fera-t-il montre de générosité avec les syndicats et les diverses réclamations sociales ? «Si vous croyez que, parce que nous sommes en période électorale, ce sera la foire au populisme, vous vous trompez lourdement», répondra le Premier ministre. Idem, concernant les partisans du boycott ou d’opposants au cinquième mandat. «Ceux qui boycottent les élections sont libres de le faire. Mais nous ne permettrons à personne d’utiliser la rue. Ici, je parle au nom de l’Etat. Nous ne permettrons jamais l’anarchie», prévient le patron de l’exécutif qui rappellera qu’en 2014, «nous avons fait comprendre à ces gens-là qu’ils peuvent demander des salles éventuellement, mais pas de manifestations de rue. La rue, nous la maîtrisons».
K. A.
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Ebranlé de toute part, tiraillé par les crises politiques impliquant des pays influents, et surtout pas à l’abri des perspectives annonçant des rebondissements géopolitiques, le marché pétrolier continue de voguer en pleine incertitude.
Ce n’est sans doute pas cette semaine qui vient de s’écouler qui aura permis de voir un peu plus clair sur cette stabilité tant recherchée aussi bien par les investisseurs et les pays producteurs, d’une part, et les clients de l’autre, sans parler des spéculateurs de tous bords. C’est une semaine qui vient de s’achever donc avec une hausse sur le mois de janvier qui atteint les 15% pour le Brent de la mer du Nord. Une tendance haussière de bon augure mais qui, comme l’illustrait la séance de jeudi dernier sur l’Intercontinental exchange de Londres puis celle du marché new yorkais, les cours ont été soumis à une certaine dispersion, les opérateurs ne savant pas sur quel pied danser entre les effets induits, ou que pourraient induire, la crise au Venezuela et les chiffres de l’augmentation rapide de la production aux Etats Unis. Jeudi, donc, le baril de Brent de la mer du Nord, livraison pour le mois de mars, a gagné 24 cents pour clore à 61,89 dollars, alors que sur le marché nord américain, le Light sweet crude bouclait la journée avec une perte de 44 cents, clôturant à 53,79 dollars, mais avec une hausse sur le mois de janvier qui a atteint 18,5 %.
Tel que le notait le site spécialisé «prix du baril.com», les cours ont notamment été portés ces derniers jours par les sanctions américaines contre le Venezuela, pays parmi les plus importants exportateurs, malgré la baisse de sa production. La même source estime également que les cours ont tiré profit des chiffres sur les produits pétroliers aux Etats Unis qui ont relevé une augmentation des réserves de brut de 900 000 barils certes, mais moins que ce qui était prévu. Un tableau qui a été conforté dans une très large mesure lors de la séance de vendredi, la première du mois de février, qui a été bouclée sur une belle hausse qui résonne comme l’impact immédiat de ce qui se passe au Venezuela et du respect scrupuleux de l’accord passé entre l’OPEP et ses pays partenaires quant à une baisse de la production, conclu début décembre dernier l’année à Vienne.
Vendredi donc, le baril de Brent de la mer du Nord, livraison pour avril, a bouclé sur le marché londonien avec un gain de 1,91 dollar par rapport à la séance de jeudi pour terminer à 62,75 dollars. A New York, par contre, le baril de Light sweet crude affichait 55,26 dollars, soit une hausse de 1,47 dollar. Une séance, celle de vendredi, qui peut-être a donné le ton sur ce que sera ce mois de février lors duquel les «points chauds» qui ont permis de gagner en cours au pétrole pourraient s’avérer inextricables dans l’immédiat.
M. Azedine
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A l’occasion du lancement de « Sadeem« , un concours digital sur les réseaux sociaux qui vise à révéler les meilleurs créateurs de contenu en devenir dans le monde arabe, et leur offre la possibilité de développer leurs notoriété, d’améliorer leur contenu et de partager leurs messages avec le monde, Chemseddine DZ Joker, qui est membre du jury de « Sadeem » a accepté de répondre aux questions d’Algerie360.com et de revenir sur son parcours.
-Parlez-nous de vos débuts avec la vidéo
A mes débuts, je n’avais pas les moyens d’acquérir le matériel nécessaire pour faire des vidéos, j’ai donc commencé avec des enregistrements audio. J’ai ensuite dû emprunter une caméra à un ami et c’est comme ça que j’ai vraiment commencé les podcasts. La qualité, que nous connaissons aujourd’hui, n’y était pas, mais il fallait bien débuter par quelque chose.
-Que s’est-il passé ces derniers mois dans la vie de Chemssedine Dz Joker ?
Cela fait plus d’un an que je n’ai pas enregistré de vidéo. Je me concentre actuellement sur l’écriture de scénarios et la réalisation, ce qui me prend un temps considérable, beaucoup plus de temps que de tourner des podcasts.
Ces derniers mois, je me concentrais sur l’écriture d’une série qui arrivera bientôt, inch’Allah.
-Pourquoi avez-vous arrêté les podcasts ?
J’ai arrêté les podcasts pour laisser l’opportunité à la jeune génération de podcasteurs algériens de faire leur preuves. J’ai remarqué qu’il y avait pas mal de nouveaux talents, dans le domaine, qui font du bon travail.
Donc en ce moment je cède ma place et me concentre sur les séries et la réalisation.
-En parlant de podcasteurs, que pensez-vous de la nouvelle génération de Podcasteurs/ snapchateurs, comme Rifka ou Mourad Aoudia ?
C’est bien ce qu’ils font, parce qu’ils tentent quelque chose et cela me plaît. Et en ce qui concerne les personnes qui les critiquent, je leur réponds que ce n’est pas facile de faire des vidéos tout seul, surtout quand on est limité financièrement, donc il faut plutôt les encourager !
-Parlez-nous du programme Sadeem. Pourquoi avez-vous accepté d’y participer ?
J’ai accepté de participer au programme Sadeem parce qu’ils veulent encourager les jeunes et leur offrir l’opportunité de se faire connaître, d’améliorer leur contenu, et de partager leurs messages avec le monde.
-Pour participer, les candidats ont dû transmettre une vidéo. Y a-t-il des sujets qui vous ont touché ?
Oui il y avait beaucoup de sujets qui m’ont touché, mais ce qui m’a vraiment touché ce sont les sujets traitant de cohabitation et de tolérance, parce qu’à titre personnel, j’ai eu la chance de voyager et de rencontrer d’autres personnes avec une d’autre mentalités, de ce fait, j’aimerais voir les jeunes faire passer un message qui parle de cohabitation dans son sen général !
-Qu’est-ce qu’il faut faire pour plaire au jury DZ Joker ?
La première chose que je regarde c’est la créativité et la persévérance, par exemple, quand on voit un youtubeur présent depuis un moment sur les réseaux continuer à partager et à persévérer malgré un nombre d’abonnés insuffisant…pour moi c’est la bonne personne.
-Le programme traite notamment du cyber-harcèlement. Est-ce un sujet qui vous touche personnellement ?
Oui, parce que on a tous été victimes de cyber-harcèlement, donc c’est un sujet qui nous concerne tous, et je crois qu’il est temps de dénoncer ça.
-Quels sont vos projets pour 2019 ?
Beaucoup de vidéos qui arrivent Inch’Allah et je vais tout faire pour que cette année soit la mienne !
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Amar Ghoul a annoncé, hier, à la fin des travaux du conseil national de son parti que le candidat du TAJ pour l’élection présidentielle du 18 avril prochain, c’est le Président Bouteflika. Ghoul qui est revenu sur son initiative de tenir une conférence nationale de consensus a indiqué que cet événement se tiendra après le rendez-vous électoral.
Salima Akkouche – Alger (Le Soir) – Le TAJ a réuni la session ordinaire de son conseil national les 1er et 2 février. Le parti qui a organisé une conférence de presse, hier, à la fin des travaux de son conseil national a annoncé que le conseil national a choisi de soutenir le Président Bouteflika pour un 5e mandat. Le parti, a souligné Amar Ghoul, est prêt pour entamer la collecte de signatures et mener une campagne au profit de Bouteflika. Amar Ghoul qui a précisé qu’il allait donner des messages plutôt qu’un simple discours, lors de sa conférence de presse, a indiqué que son parti TAJ s’est imposé et est devenu un grand parti sur la scène nationale et politique. «Notre parti joue un rôle primordial sur la scène nationale, et ce, grâce à son fort programme et à son discours responsable. Nous sommes un parti éduqué, nous n’utilisons pas un discours insultant, la politique c’est des idées et non de la violence», a souligné Amar Ghoul qui «salue la dernière lettre du ministère de la Défense nationale».
Pour justifier le choix du candidat du parti, Amar Ghoul a indiqué que ce choix s’est porté sur Bouteflika, avant tout, parce que le parti est «fidèle». Deuxièmement, dit-il, «par conviction ». «Nous voulons aussi à travers ce candidat préserver les acquis, les réalisations et la paix dans notre pays», a indiqué l’intervenant. Le parti soutient Bouteflika pour un 5e mandat parce que, souligne encore Ghoul, «nous sommes conscients des dangers régionaux et internationaux qui guettent le pays et les agendas internationaux qui menacent la stabilité de notre pays». Et de poursuivre, «aussi parce que Bouteflika est un homme de consensus au sein de la scène politique, régionale et internationale».
Par ailleurs, le rendez-vous électoral prochain n’a pas fait oublier à Amar Ghoul son initiative d’une conférence de consensus nationale. D’ailleurs, dit-il, qu’importe le nom qui sera donné à cette initiative. Le plus important, selon lui, c’est son contenu. «Vous pouvez l’appeler conférence, assises nationales, congrès, négociations… peu importe le nom, le plus important c’est le contenu», a souligné le président du TAJ.
Amar Ghoul a indiqué que la conférence nationale de consensus est reportée à après l’élection présidentielle et se tiendra sous l’égide du Président Bouteflika. Il considère que la tenue de cette conférence qui a fixé huit objectifs est plus que nécessaire sur tous les plans.
S. A.
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Après l’agrumiculture qui place la wilaya de Chlef de grande productrice d’agrumes en quantité et en qualité, c’est maintenant la filière oléicole qui s’impose et qui gagne du terrain, une filière qui promet de participer grandement à l’autosuffisance locale, régionale et nationale et même de concourir à l’exportation.
C’est ce qui ressort de la récente réunion régionale de coordination et de concertation des filières oléicoles à laquelle ont participé les représentants des 7 wilayas du Centre et de l’Ouest en l’occurrence outre celle de Chlef, la wilaya hôte, les wilayas de Tissemsilt, Tipasa, Aïn Defla, Relizane, Mostaganem et Mascara. Dans le cadre de la contribution technique et scientifique pour la promotion et le développement de l’oléiculture, ont pris part aussi à cette rencontre le directeur général de l’ITAF (Institut technique de l’arboriculture fruitière) et le directeur de l’INPV (l’Institut régional de la protection végétale INPV).
Cette rencontre, selon ses organisateurs, obéit au souci et à la volonté des oléiculteurs de produire plus et mieux, de plus, assure-t-on, il apparaît un engouement de plus en plus prononcé pour la production oléicole à travers de nombreuses wilayas du pays. Selon les intervenants, produire plus et mieux nécessite une plus grande organisation, une organisation où le rôle que doivent jouer les conseils interprofessionnels est très important et même prépondérant, et c’est ce qui a motivé la tenue de cette rencontre. A propos de la progression de l’oléiculture, il y a lieu de citer l’exemple de la wilaya de Chlef où le verger oléicole en 2016-2017 occupait 4 594 ha dont 3 216 étaient entrés en production soit une récolte d’olive estimée à 77 190 q qui, après transformation, a permis de produire 5 421 hl d’huile à raison d’une moyenne de 13 l par quintal.
Toujours pour la wilaya de Chlef, durant la campagne 2017-2018, la superficie du verger s’est accrue de 108 ha, passant de 4 594 à 4 712 ha. Toujours durant la campagne 2017-2018, la superficie du verger entrée en production a, elle aussi, augmenté passant de 3 216 ha à 3 257 ha soit 41 ha de plus. De ce fait, la production durant la dernière campagne a été de 81 425 q soit 4 235 q d’olives de plus que la campagne précédente. Le volume d’huile produite est passé ainsi de 5 421 hl à 8 583 hl et le rendement moyen est lui aussi passé de 13 à 15 l par quintal grâce à une meilleure qualité de la production.
Karim O.
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Comme il fallait s’y attendre, le cycliste international Yacine Chalel est le seul coureur algérien et africain qualifié pour les prochains Championnats du monde de cyclisme sur piste qui auront lieu à Varsovie, en Pologne du 27 février au 3 mars.
La liste des qualifiés, arrêtée au 28 janvier dernier ne renferme aucun autre coureur africain, masculin, hormis une Egyptienne également retenue. Le sociétaire de Paris Club Olympique est retenu dans deux épreuves à savoir le scratch et la course aux points. Une qualification arrachée grâce à ses derniers exploits en championnat d’Afrique 2019 à Durban, en Afrique du Sud, où il a arraché trois médailles de bronze. «C’est désormais officiel : je suis qualifié pour les prochains Championnats du monde à Varsovie.
Y aller une première fois était une vraie fierté, mais pouvoir me qualifier pour la deuxième année consécutive prouve que je réussis petit à petit à m’immiscer dans le circuit international (…) Une vraie fierté pour moi d’être le premier coureur africain en endurance et de représenter mon pays de la sorte sur le circuit international», a écrit Chalel sur sa page Facebook. «Rendez-vous donc en Pologne», a-t-il souligné en affirmant qu’il entamera sa préparation lundi avec «trois semaines qui s’annoncent particulièrement intenses».
Ah. A.
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Les journées passent et le WO Boufarik continue de dominer le championnat national de basket-ball de la division nationale 1 messieurs en enchaînant avec une 15e victoire consécutive en autant de rencontres dont une rencontre en coupe d’Algérie.
Une domination sans partage des Boufarikois qui raflent tout sur le passage cette saison avec une première place logique au classement avec 28 points devant le NA Hussein-Dey et le NB Staouéli, avec 26 points chacun. Vendredi, les gars de la ville des Oranges n’ont pas fait dans le détail en disposant de la modeste équipe de Ouargla avec un écart de 44 points (96-54). Auparavant, le WOB avait remporté son match en retard, mardi, devant le GS Pétroliers. Le NAHD et le NBS, qui talonnent de près les Boufarikois, se sont imposés à domicile face respectivement à l’O Batna (91-54) et le PS El-Eulma (73-69) tandis que le GSP, qui écope d’une sanction de quatre matchs à huis clos, a battu l’OMS Miliana à la salle de Hydra (90-60).
En bas du classement, l’AB Skikda, après avoir réussi ses premières victoires, n’arrive toutefois pas à quitter la dernière marche du classement qu’elle partage d’ailleurs avec l’O Batna avec 16 points chacun. Battu 75-74, l’ABS, qui a failli piéger la formation de Rouiba vendredi, devra regretté d’avoir laissé filer les points de confrontation, au même moment l’USM Alger a contraint l’US Sétif d’aller à la prolongation pour départager les deux équipes. La victoire finale est revenue aux Sétifiens (73-69). La 15e et dernière journée de la phase aller est programmée pour ce mardi 5 février avec le déplacement du leader à El-Eulma et ses poursuivants.
La Fédération algérienne de basket-ball (FABB) compte terminer la première phase du championnat le plus tôt possible, avant le mois d’avril qui coïncidera avec l’élection présidentielle qui devrait connaître l’arrêt des compétitions sportives à cause de la réquisition des salles omnisports par les autorités.
Ahmed A.
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Ce qui est en train d’arriver dans la wilaya d’El Tarf dépasse tout entendement et logique de gestion. Et pour cause, selon le directeur de wilaya de l’éducation, le plan de gestion du secteur a été refusé par le directeur de wilaya de la Fonction publique.
Une situation anachronique qui démontre, clairement, que certains responsables sont à mille lieux des attentes de la population, et surtout de ces milliers de jeunes diplômés qui sont au chômage, faute d’emplois durables. «Nous avons présenté le plan de gestion avant la date butoir qui est le 20 décembre 2018, au services de la Fonction publique. Le plan a été vérifié et passé aux cribles par les agents de ladite direction. Malheureusement, le directeur n’a pas voulu donner son visa pour son approbation au motif que sur les 3 000 identifications de diplômes, 200 ne le sont pas encore.
Nous avons expliqué à ce responsable de la Fonction publique que nous avons, dans ce sens, adressé des correspondances aux universités concernées et nous attendons les documents de l’identification du diplôme, sachant que nous avons accompli un travail titanesque, en un temps très court, avec 2 800 diplômes vérifiés et identifiés.
Et aucun diplôme n’a été déclaré falsifié. Des wilayas limitrophes qui n’ont réalisé que 40% de l’opération d’identification des diplômes ont vu leurs plans de gestion respectifs avalisés.
C’est depuis 2012 que les plans de gestion du secteur ne sont pas approuvés par la Direction de la Fonction publique à l’exception de celui de 2015, et ce, pour explication (plan de gestion d’explication)», a révélé le chef service du personnel de la Direction de l’éducation, M. Youbi Ramzi. Et d’ajouter, pour mieux expliciter cet imbroglio administratif ubuesque, que «le problème d’identification des diplômes est d’ordre national. Les autres wilayas trouvent toujours une solution médiane pour ne pas priver leur personnel de la promotion et de catégories salariales.
Dans notre wilaya, on fait l’exception. D’ailleurs, nous avons même proposé à la ministre de l’Education de mettre en place une base de données nationales des diplômes qui sera gérée conjointement avec la Direction générale de la Fonction publique avant d’éviter cet écueil et sortir de ce cercle vicieux. Il faut savoir que dans le plan de gestion, il existe le tableau n°4 qui concerne l’augmentation de catégories afin de bénéficier d’augmentation salariale. De fait, ce sont des milliers de fonctionnaires qui sont privés de leurs droits légitimes. C’est inacceptable».
Dans le même registre, il existe une vérification a posteriori sur une période s’étalant sur 10 années après le dépôt du plan de gestion. De fait, la Fonction publique dispose de tous les outils légaux pour rectifier le tir au cas où un dépassement ressurgirait. « Aussi, le décret exécutif n°12/98 du 6 avril 1998 ordonne-t-il au directeur de la Fonction publique de veiller à l’approbation des plan de gestion tout étant très souple afin d’éviter la perte des emplois programmés. Nous sommes éreintés par de tels comportements et nous interpellons, les hautes autorités du pays afin d’accorder une dérogation spéciale pour notre wilaya pour le visa de notre plan de gestion», a révélé notre interlocuteur.
Pour sa part, le directeur de la Fonction publique, fermé comme une huître, a indiqué, lapidaire, qu’«il ne fait qu’appliquer les directives du directeur général de la Fonction publique (DGFP)». Dans le même registre, le wali a noté lors de la dernière session de l’APW, que «la wilaya d’El Tarf ne dispose pas d’un tissu industriel dense et fort et que la Fonction publique reste le seul apanage et refuge pour des milliers de chômeurs diplômés. De fait, j’implore la Direction de la Fonction publique qui se doit de tout mettre en œuvre pour ne pas perdre les postes d’emploi dans l’administration publique».
Il est judicieux d’indiquer qu’en plus du plan de gestion de l’éducation, le plan de gestion de la formation professionnelle (DFP) et celui de la Direction de la jeunesse et sports (DJS) ont été, également, refusés. Ainsi, ce sont des milliers d’emplois et de promotions qui sont ajournés et perdus dans un silence total. Un massacre au su et au vu de tout le monde.
Daoud Allam
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Les services de l’Inspection divisionnaire des douanes du port de Mostaganem ont enregistré, au cours de l’année 2018, une hausse sensible des exportations de 15% par rapport à l’année précédente, a-t-on appris auprès de ce corps constitué.
Cette hausse des activités portuaires dans le domaine de l’exportation traitée par la douane au port commercial de Mostaganem a nécessité de multiples actions afin de se rapprocher des opérateurs économiques privés et publics, ainsi que des sociétés mixtes pour faciliter et encourager les exportations.
La valeur des exportations s’est établie à 1,4 milliard DA pour un volume de 10 200 tonnes de marchandises et de matières premières comme de la bentonite de forage qui sort principalement à partir de ce port. Ces exportations ont été effectuées par 24 opérateurs économiques tant nationaux que de l’étranger avec le traitement de 63 déclarations d’exportations.
Les exportations sont constituées, pour l’essentiel, de poissons et produits de mer, de la pomme de terre, des fruits et légumes, des dattes, des produits chimiques et des câbles électriques. Ces produits nationaux ont été acheminés vers plusieurs pays arabes, africains et européens. L’entreprise portuaire de Mostaganem espère bien rester sur cette lancée en 2019 à la faveur de multiples facilitations accordées aux exportateurs.
A. Bensadok
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Les routes de plusieurs wilayas du pays ont été coupées à cause des importantes chutes de neige sur le nord du pays, rapporte le site d’information Alg24.
En effet, selon un communiqué de presse de la gendarmerie nationale cité par le média d’information, la neige a bloqué la RN 22 reliant les wilayas de Tlemcen et de Naâma. Elle a également bloqué la RN 64 à Médéa au niveau de la commune de Ben-Chicao. A Bejaia, la RN 159 est fermée au niveau du village El Ma à cause de la neige, précise la même source.
Par ailleurs, le trafic routier est compliqué sur les axes routiers de plusieurs régions suite aux fortes chutes de neige, ajoute la gendarmerie nationale qui annonce un glissement de terrain à El Tarf. En effet, la route n ° 44 est fermée au niveau de la commune de Bouteldja.
Pour rappel, les chutes de neige continueront d’affecter les wilayas de l’Est et de l’Ouest jusqu’à demain lundi, selon un dernier BMS de l’office nationale de météorologie.
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La célébration de la Journée mondiale des zones humides, relative au 2 février, a été marquée dans la wilaya de Naâma, par plusieurs activités organisées par la Conservation locale des forêts.
Le programme de cette journée coïncidant avec un jour férié, comporte des visites guidées pour les élèves auprès des sites classés zones humides, ainsi que des cours pédagogiques donnés sur les lieux par les professionnels en la matière. Notons que la wilaya de Naâma dispose d’une vingtaine de zones humides, dont trois sont de portées internationales classées dans la liste de Ramsar : il s’agit des palmeraies de Tiout et de Moghrar ; la station thermale de Aïn-Ouarka, et le lac de Oglat-Eddaïra de Aïn-Benkhellil.
Des sites inscrits par leur valeur dans la Convention de Ramsar et constituent un riche patrimoine naturel dans la région tant du côté biologique que touristique. Trois autres sites font l’objet d’études et de propositions en vue de leur classement dans la liste de Ramsar, il s’agit de la zone humide de Roudassa, Oglet Naâdja et Dhayet Souid, renfermant un rôle multifonctionnel d’intérêt écologique, économique et sociologique. Ces lieux constituent des habitats indispensables à la survie et à la conservation de toutes les espèces d’oiseaux sédentaires et migrateurs, nécessitant toutefois une surveillance accrue et une protection stricte de l’autorité.
Pour l’édition 2019, qui se déroulera du 1er au 28 février, le comité permanent de la Convention de Ramsar sur les zones humides a choisi comme thème : «Les zones humides et le changement climatique.» En effet, le 2 février de chaque année, la communauté internationale célèbre la Journée mondiale des zones humides pour commémorer la signature de la Convention sur les zones humides, le 2 février 1971, dans la ville iranienne de Ramsar, au bord de la mer Caspienne. Chaque année donc, depuis 1997, des organismes gouvernementaux, des organisations non gouvernementales et des groupes de citoyens à tous les niveaux de la société profitent de l’occasion pour lancer des actions de sensibilisation du public aux valeurs et aux avantages des zones humides en général, et de la Convention de Ramsar en particulier.
B. Henine
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Fin du calvaire des habitants de quatre agglomérations relevant de la commune de Hennancha, après une longue attente et les dédales de promesses qui se sont perpétuées pendant une décennie.
Il s’agit des mechtas de Groura, Bentala, Gabel et Zerga, ces hameaux enclavés viennent de bénéficier du raccordement au gaz naturel selon un responsable de la Direction des mines, ladite opération inscrite au titre du programme sectoriel de l’exercice 2019 vient de cibler des foyers qui s’étendent sur 22 kilomètres avec un coût global de 250 millions de dinars.
Ce projet sera achevé dans quelques semaines selon toujours la même source, le taux de couverture de la wilaya de Souk Ahras avoisine les 72%. Dans le même contexte, nous venons d’apprendre que les habitants de mechta d’El Charef, dans la même commune, et ceux de Aïn el Oudjoul dans la localité de Médaourouch, rouspètent et réclament le gaz naturel.
Barour Yacine
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L’eau d’aubergine est une boisson faible en calories qui est devenue populaire dans le monde entier comme un complément sain pour perdre du poids.
Cependant, au-delà de cette qualité, c’est un remède efficace contre les taux élevés de cholestérol et autres problèmes cardiovasculaires. Les propriétés dépuratives de ce jus d’aubergine au citron facilitent l’expulsion des lipides et des toxines, améliorant ainsi la santé artérielle et cardiaque. Grâce à sa forte teneur en acide chlorogénique, un puissant antioxydant, il semblerait que ce légume puisse permettre de contrôler les niveaux élevés de cholestérol, de lutter contre l’action des radicaux libres et de perdre du poids. En plus d’être diurétique, l’eau d’aubergine et de citron vous permet d’équilibrer les taux de sucre dans le sang et de dépurer l’excès de toxines.
Découvrez tous les bienfaits médicinaux de l’eau d’aubergine dont vous pouvez bénéficier si vous en consommez régulièrement.
Réduire votre taux de cholestérol
Le principal bienfait de cette boisson est dû à sa teneur en acide chlorogénique, un composé actif qui facilite l’élimination des lipides toxiques. L’aubergine contient également des flavonoïdes, très utiles pour prévenir différents problèmes cardiaques en lien avec un taux élevé de cholestérol.
Combattre les rhumatismes
L’acide chlorogénique contenu dans l’aubergine dispose également d’une action anti-inflammatoire et antibiotique, qui contribue à traiter différentes maladies, comme les rhumatismes et l’arthrite. Les personnes qui souffrent de ces affections peuvent boire de l’eau d’aubergine tous les jours. C’est une excellente habitude pour améliorer votre qualité de vie.
Éliminer la rétention d’eau
L’eau d’aubergine est la boisson favorite des personnes qui veulent perdre du poids, grâce à sa puissante action diurétique, qui permet d’éliminer les liquides retenus dans le corps. C’est donc un excellent moyen d’affiner votre silhouette.
Réduire la graisse abdominale
Cela peut paraître incroyable, mais c’est l’un des bienfaits les plus importants de l’eau d’aubergine. Depuis quelques années déjà, les pouvoirs de cette boisson pour brûler des graisses, pour mincir et pour avoir une silhouette plus affinée ont été mis en évidence.
Ce bienfait s’explique notamment par le fort pouvoir diurétique et dépuratif de l’eau d’aubergine, qui contribue à éliminer les déchets de l’organisme qui empêchent de nombreuses personnes de perdre du poids. De plus, elle permet de maintenir le foie et la vésicule biliaire dans un excellent état de fonctionnement. Ces deux organes jouent un rôle important dans la mise en action de votre métabolisme. Les personnes qui souhaitent perdre de la graisse abdominale plus facilement peuvent dynamiser leur régime alimentaire, en consommant quotidiennement de l’eau d’aubergine.
Comment préparer de l’eau d’aubergine
La préparation de cette boisson médicinale est très simple et ne demande que très peu de temps.
Ingrédients :
• 1 aubergine moyenne.
• 1 litre d’eau.
• le jus d’un demi-citron.
Préparation :
• Lavez bien l’aubergine et coupez-la en petits morceaux. Mettez à bouillir un litre d’eau, puis lorsque celle-ci arrive à ébullition, ajoutez les morceaux d’aubergine.
• Laissez le tout cuire à feu doux pendant 25 minutes, jusqu’à ce que les morceaux de légume soient bien mous. Lorsque tout est prêt, retirez du feu et laissez reposer pendant au moins une heure.
• Après ce laps de temps, filtrez bien le liquide obtenu et réservez les morceaux
d’aubergine.
• Versez l’eau dans une bouteille opaque, ajoutez le jus du demi-citron et agitez bien pour que tout se mélange
correctement.
Comment consommer l’eau d’aubergine
Le litre d’eau d’aubergine doit être consommé en plusieurs fois au cours de votre journée. Buvez un premier verre à jeun, un deuxième au moment du déjeuner, puis un troisième au milieu de l’après-midi, et enfin un dernier après le dîner. Consommez-en pendant 7 jours d’affilée, une ou deux fois par mois.
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La Chine et le Japon ont tenu vendredi à Pékin, une consultation diplomatique régulière et un dialogue de sécurité. Au cours de ces rencontres, auxquelles ont assisté le vice-ministre chinois des Affaires étrangères Kong Xuanyou et le vice-ministre japonais des Affaires étrangères Takeo Mori en visite en Chine, les deux parties sont convenues que l’année 2019 était une année «vitale pour le passage à un niveau supérieur des relations sino-japonaises».
Les deux parties doivent «saisir l’occasion et mettre en œuvre le consensus auquel sont parvenus leurs dirigeants, à savoir que la Chine et le Japon sont des partenaires de coopération plutôt qu’une menace l’un pour l’autre, et qu’ils doivent se soutenir mutuellement dans le développement pacifique», selon un communiqué publié à l’issue de la consultation. Les deux parties sont convenues de planifier et de préparer des échanges de haut niveau, de réaliser des progrès solides en matière de coopération commerciale et d’échanges de personnes, et de traiter comme il convient les questions importantes et sensibles.
Au cours du dialogue sur la sécurité, les deux parties ont souligné qu’elles «partageaient d’importantes responsabilités dans la sauvegarde de la paix et de la stabilité régionales et mondiales», et qu’elles «devaient s’en tenir à la voie du développement pacifique». Les deux parties sont convenues d’intensifier le dialogue, de gérer leurs différends, d’instaurer la confiance et de s’efforcer d’établir une relation constructive en matière de sécurité.
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L’association culturelle et artistique Cheikh-Mohamed-Bouali de Tlemcen a programmé des soirées de musique andalouse pour célébrer le quatrième anniversaire de sa création, a-t-on appris de son président, Bentchouk Mohamed Amine.
Ces soirées musicales, prévues les 14 et 15 février courant à la maison de la culture Abdelkader-Alloula, verront la participation des associations Bachtarzia d’El Koléa et Sadek-Béjaoui de Béjaïa, l’objectif étant de réhabiliter ce genre musical millénaire. Des jeunes élèves de l’école Cheikh-Mohamed-Bouali mettront également leur talent et leur maîtrise des instruments de musique utilisés dans le genre andalou. Un ensemble de chants du terroir sera présenté au public par les associations, en plus de représentations théâtrales.
Cheikh Mohamed Bouali est l’un des pionniers de la musique andalouse à Tlemcen. Né le 10 février 1919 à Tlemcen, il a été éduqué dans une famille intellectuelle, héritant de son père, Ghouti Bouali, la pratique de la musique et le penchant pour la musique andalouse et les instruments de musique. Il a été le fondateur de l’association et de l’orchestre de musique «La flamme» qui a formé plusieurs mélomanes. Il décéda en 1996 à Tlemcen. Pour rappel, l’association Cheikh- Mohamed-Bouali a été créée en 2015.
Elle compte plus d’une centaine d’adhérents, la plupart des musiciens du genre andalou.
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Toujours en quête de nouvelles tendances au cœur de l’actualité de l’art, du patrimoine, de l’artisanat et de la mode, Amal Mihoub est la fondatrice du concept «Paon Galerie». Cette diplômée de l’université Paris 8 Vincennes Saint-Denis en arts plastiques, option histoire de l’art, est aussi diplômée en gestion d’affaires bachelor et DEES en communication événementiel Icoges de Paris. Elle vient, dernièrement ,d’ouvrir une galerie d’arts privée, «Le Paon», située au Centre des arts de Riadh El-Feth, à Alger. Amal Mihoub est une adepte de l’art millénaire du feng shui et s’inspire de la culture chinoise millénaire pour créer l’harmonie entre les personnes et leur environnement.
Le soir d’Algérie : Un petit aperçu du métier de galeriste?
Amal Mihoub : Le métier de galeriste, c’est essentiellement organiser des expositions temporaires mettant en valeur les œuvres d’un seul artiste à la fois (peintre, aquarelliste, sculpteur, photographe, etc.) ou une collection permanente d’œuvres variées de différents artistes. Choisir des artistes, leur organiser des expositions, authentifier des tableaux, conseiller les clients pour leurs choix, car il ne faut jamais acheter une œuvre si ce n’est pas un besoin plus fort que vous, font aussi partie du travail d’un galeriste. Pour un client, peu importent le nom de l’artiste ou le prix de l’œuvre, parce qu’il va devoir vivre avec l’œuvre et la voir tous les jours, donc il doit d’abord l’aimer et vraiment l’apprécier.
Des objectifs à travers une galerie d’arts ?
Mes objectifs sont de faire connaître l’art algérien sous toutes ses formes, faire sortir des artistes de l’ombre, faire aimer l’art aux nouvelles générations et promouvoir la peinture algérienne. Tout simplement, être une passerelle entre le public et l’artiste, car un artiste ne peut se mettre en valeur lui-même et parler de son art : un artiste s’exprime à travers ses toiles. Ma galerie est un lieu d’échange et de partage avant tout, située dans un espace qui raconte notre Histoire, à savoir le monument des martyrs de Riadh-El-Feth. C’est une responsabilité cruciale, car une galerie d’arts contribue largement à la propagation de l’art. Elle influe aussi sur le paysage culturel. La galerie d’art est sans doute le premier endroit où les œuvres sont vues et appréciées par le public, les connaisseurs ou les initiés.
Vous avez inauguré la galerie par une exposition collective. Pourquoi ?
Cette première exposition avait réuni huit artistes plasticiens actuels : Moussa Bourdine, Djanet Dahel, Moncef Guita, Mohamed Laraba, Yasmina Saadoun, Karim Sergoua, Abdelhadi Talbi et SoupCons art (un duo d’artistes céramistes). J’ai choisi ces artistes aux styles complètements différents afin de mettre en avant l’art algérien sous toutes ses formes.
Et l’actuelle expo ?
L’exposition «Alwan 2019» est un ensemble d’œuvres phares de cinq artistes plasticiens algériens actuels. Leurs points communs, ce sont les couleurs radieuses avec leurs effets lumineux. C’est une belle palette de couleurs intenses pour bien commencer l’année. Chaque artiste a un style complètement différent de l’autre. Djahida Houadef, avec son art naïf, nous fait rêver et voyager avec ses belles compositions. Slimane Bouchetta est un artiste plasticien complet qui utilise plusieurs techniques, des supports matériels variés, entre figuratif et semi-figuratif et qui représente bien notre patrimoine. Abderrahmane Kahlane avec ses belles médinas, ses casbahs colorés…Yasmina Saâdoun, dans le semi-figuratif, parle du combat des femmes algériennes. Azougli Abderhmane, avec ses belles compositions de collage grattage, traite des sujets actuels comme les frontières.
Ouvrir une galerie dans un pays sans marché de l’art n’est-il pas un risque ?
Dans chaque métier il y a des risques. Mais, ces dernières années, l’art en Algérie est en pleine croissance.
Des projets ?
Pour l’année 2019, je projette d’organiser une exposition chaque fin de mois. Le 22 février prochain c’est une expo de lithographie avec la Japonaise Wakai Mayouka. Le 23 mars, ce sera une rétrospective de Slimane Bouchetta. Le 27 avril 2019, la galerie abritera une exposition collective avec les étudiants des Beaux- Arts.
Quelle est votre définition de l’art, vous qui êtes diplômée dans ce domaine ?
Pour moi, l’art sous toutes ses formes n’a pas de limites ni de spécialité précise. L’art c’est toute ma vie, donc je ne me limite pas. Mon meilleur exemple c’est Picasso. Il a touché à tout. c’est le fondateur du cubisme, mais avec tout ça, une de ses dernières phrases a été : «L’art reste à faire.»
Entretien réalisé par Kader B.
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La Banque d’Algérie va mettre en circulation de nouvelles coupures de billets de banque et pièce de monnaie à partir de la seconde quinzaine du mois de février en cours, et ce, dans le cadre d’une opération de rafraîchissement de monnaies, a indiqué dimanche à Alger le secrétaire général de la Banque d’Algérie, Lahbib Goubi.
Il s’agit de nouvelles coupures de billets de banque de 500 DA et de 1.000 DA, et de la pièce de monnaie de 100 DA, qui circuleront concomitamment avec les autres billets de banque et pièces de monnaie actuellement en circulation et de même valeur faciale, a indiqué M. Goubi lors d’une séance de présentation de ces nouvelles coupures de billet. Pour rappel, les règlements de la Banque d’Algérie portant création de ces deux nouveaux billets de banque et de la nouvelle pièce de monnaie métallique de 100 dinars ont été publiés au Journal officiel no 73 de l’année 2018. Ces nouvelles coupures de billets de banque et pièce de monnaie portent la date symbolique du 1er novembre 2018.
D’une dimension 150 mm x 71,7 mm, le nouveau billet de 500 DA a pour thème « L’Algérie à l’ère des technologies de l’information et de la communication » et porte l’effigie de l’Emir Abdelkader. Quant au billet de banque de 1.000 dinars, sa dimension est de 160 mm x 71,7 mm, qui porte aussi l’effigie de l’Emir Abdelkader, il a pour thème « Culture, tradition et modernité ». Concernant la nouvelle pièce de monnaie métallique de 100 DA, elle est constituée d’une couronne extérieure en acier inoxydable, de couleur gris acier et d’un cœur en cupronickel serti à l’intérieur de cette couronne, de couleur jaune rosâtre. Son diamètre extérieur est 29,50 mm alors que son épaisseur est de 2,30 mm. Cette pièce a pour motif principal le satellite de télécommunication algérien ALCOMSAT-1 survolant le globe terrestre qui fait apparaître le continent africain, l’Algérie étant en relief, ainsi qu’une partie de l’Europe, de l’Asie et, dans une moindre mesure, de l’Amérique du sud.
En novembre dernier, le gouverneur de la Banque d’Algérie, Mohamed Loukal, avait expliqué qu’il s’agit d’une opération classique de rafraîchissement des monnaies déjà en circulation, certaines datant de plus de trois (3) décennies Dans ce sens, M. Loukal avait souligné avec insistance que « cette action ne constitue qu’une substitution progressive en matière de recyclage des billets en circulatio n de 500 DA et de 1.000 DA, à même valeur faciale ». Il avait alors précisé que cette opération « ne peut être et ne doit pas être interprétée comme un changement de la monnaie nationale ».
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Lors de son passage au forum de Liberté, le président du parti Jil Jadid, et coordinateur du mouvement Mouwatana, Sofiane Djilali, est revenu sur le récent soutien de la part de Zoubida Assoul au candidat à l’élection présidentielle, Ali Ghediri.
Dans une déclaration citée par le site d’information Interlignes Algérie, Sofiane Djilali appelle de façon indirecte Zoubida Assoul à céder sa place de porte-parole du mouvement Mouwatana, et informe qu’il a appris la décision de cette dernière par la presse « Il ne faut pas laisser de confusion. Personnellement, si je prends la décision de soutenir un candidat, je prendrai mes responsabilités et je céderai ma place de coordinateur de Mouwatana. Donc, on tiendra une réunion dans la prochaine jours pour trancher cette question (…) Madame Assoul a annoncé sa décision sans nous consulter. J’ai appris sa décision comme tout le monde dans la presse »
Le responsable politique ajoute que le mouvement Mouwatana n’a jamais eu l’intention de soutenir un candidat « Jamais il n’a été question de soutenir un candidat. On n’est pas obligé d’être un comité de soutien ».
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Vêtements importés de Chine ou de Turquie, ustensiles, pièces de rechange… tout intéresse les clients tunisiens qui, faut-il le signaler, font les affaires des marchands soufis ou tébessis.
L’on assiste ces derniers mois à un véritable rush de familles tunisiennes sur les marchés des wilayas frontalières d’Oued Souf et de Tébessa. La cherté de la vie et les conditions sociales de plus en plus difficiles qui prévalent actuellement dans ce pays voisin ont contraint ses habitants à franchir la frontière Est dans le but de s’approvisionner en produits alimentaires et autres. Compte tenu de tous ces paramètres, de l’érosion du pouvoir d’achat et de la valeur plus élevée du dinar tunisien par rapport à la monnaie nationale, soit 38 dinars tunisiens pour 1 dinar algérien, les marchandises algériennes demeurent indubitablement plus accessibles aux citoyens tunisiens. Les prix pratiqués au sein de ces deux wilayas limitrophes, pour ne citer que ces deux exemples, demeurent très abordables étant donné que les produits de large consommation sont subventionnés par l’État. Ainsi, le soutien des pouvoirs publics pour cette catégorie de produits profite amplement aux Tunisiens qui ne parcourent pas une longue distance pour faire leurs emplettes. Juste une petite heure de route. Ils viennent souvent en famille avec leur véhicule. Parfois, ils “s’infiltrent” dans des soi-disant voyages touristiques organisés, mais leur objectif premier n’a rien à voir avec les visites de sites ou autres monuments et symboles, mais beaucoup plus avec les achats et les offres intéressantes que proposent les commerçants de ces deux wilayas. Vu les offres plus qu’alléchantes suggérées en Tunisie, le sens inverse de la destination touristique entre les deux pays n’est forcément pas pour demain. Le produit le plus convoité par les voisins reste le carburant. Les stations-services se trouvant dans les communes les plus proches de cette zone limitrophe sont prises d’assaut quotidiennement par les Tunisiens. De longues files de voitures immatriculées en Tunisie se forment tous les jours devant ces pompes d’essence. Il faut dire que le prix du carburant dans notre pays est insignifiant comparé à celui pratiqué en Tunisie. Après l’essence ou le mazout, le lait en poudre et/ou en sachet est le produit le plus prisé. Ce produit de base subventionné par l’État est très demandé de l’autre côté de la frontière, à la fois par les consommateurs domestiques et les fabricants des produits laitiers tels que les yaourts, les fromages. Vêtements importés de Chine ou de Turquie, ustensiles, pièces de rechange… tout intéresse les clients tunisiens qui, faut-il le dire, font les affaires des marchands soufis ou tébessis. Leur business connaît en effet un essor. Attirés par cette nouvelle donne au marché quotidien d’El-Oued, de nombreux soufis s’improvisent commerçants dans une sorte de bazar à ciel ouvert où toutes les transactions commerciales licites ou non sont permises. Mais ce n’est pas le cas des citoyens qui, eux, se confrontent régulièrement au problème des pénuries récurrentes de ces produits sur le marché et subissent par ricochet la flambée de leurs prix à cause de cette rareté. Les Tunisiens évitent, toutefois, de prendre des produits interdits aux postes frontaliers où ils sont contrôlés, à l’aller et au retour, par les agents douaniers. Outre la contrebande et son impact socioéconomique désastreux sur les citoyens et les autorités locales, un nouveau phénomène commercial s’installe durablement dans cette région frontalière. Désormais, les responsables locaux doivent s’attaquer à deux fléaux au lieu d’un seul.
B. K.ns cz
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