Par Ilhem TERKI
Les chiffres parlent d’eux-mêmes. 50.000 nouveaux cas sont enregistrés, le taux le plus élevé est celui du cancer du sein, du colon, du rectum, du poumon et de la prostate.
Les spécialistes tirent la sonnette d’alarme. Ils indiquent que le cancer pourrait connaître une progression plus constante dans les prochaines années. Les chiffres avancés sont glaçants. Des milliers de nouveaux cas sont enregistrés annuellement, sachant que cette maladie silencieuse, vient en 2e position dans la morbidité générale. Pour le professeur Messaoud Zitouni, chargé du suivi et de l’évaluation du Plan national de lutte contre le cancer, ce plan a été réalisé à hauteur de 70%.
Il précise, qu’une véritable évaluation de ce programme ne peut se faire qu’après parachèvement de toutes les étapes et expiration du délai restant qui s’étalera jusqu’à fin 2019 ou début 2020. La situation est dramatique. Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Ce plan, comprend huit principaux axes, il met en exergue quatre types de cancer qui représentent, à eux seuls, 50% du nombre global des types les plus répandus en Algérie. 50 000 nouveaux cas de cancer sont enregistrés, le taux le plus élevé est celui du cancer du sein, du colon, du rectum, du poumon et de la prostate. Les causes de la hausse des tumeurs cancéreuses, d’une année à l’autre, sont dues au changement du mode d’alimentation, d’où le taux élevé de cancers du côlon et du rectum après 40 ans, et qui se classe en deuxième position après le cancer du sein chez la femme et avant le cancer du poumon chez l’homme.
Il est important de savoir que ces types figurent parmi ceux du cancer qui peuvent être réduits à travers la prévention de base, le dépistage précoce et une alimentation saine. Selon le professeur Zitouni, entre 13.000 et 14.000 nouveaux cas de cancer du sein ont été enregistrés. Malheureusement, le cancer du sein, est classé en tête, atteint la femme âgée de 40 ans et plus, dont 80% à 90% consultent à un stade avancé, contrairement aux pays développés où la maladie apparaît à l’âge de 50 ans et plus. Le même chercheur a mis l’accent sur l’impératif de la prise de nouvelles mesures organisationnelles pour relancer le système de santé, appelant, en outre à l’organisation de campagnes de diagnostic précoce du cancer, et ce sur des bases scientifiques fructueuses.
Concernant le suivi du malade, le professeur Zitouni a mis en avant le progrès enregistré en matière de chimiothérapie, indiquant qu’une centaine de services assurent le traitement par chimiothérapie à travers le territoire national. Dans ce même cadre, il a appelé à mobiliser les professionnels de la santé pour un bon suivi et une coordination à même d’assurer le contrôle de ce traitement coûteux, allant de son importation auprès des laboratoires étrangers jusqu’à son administration au malade. Concernant la radiothérapie qui connaît un véritable déficit en termes de rendez-vous, le même professeur a indiqué que ce problème sera probablement réglé. Pour lui, la réception et l’équipement de tous les centres anticancer (CAC), viendront atténuer ce problème de rendez-vous.
«Neuf centres relevant du secteur privé, dont deux se trouvant au niveau d’Alger, un centre à Tizi Ouzou, à Oran, Blida et Constantine, sont dotés des meilleures techniques internationales et des compétences nationales», souligne-t-il. A ce propos, il a estimé, la nécessité de revoir les tarifs des soins pratiqués dans le secteur privé, qui ne sont pas abordables pour le patient, et ce à travers l’application du système de contractualisation et la mise à jour de la nomenclature des métiers médicaux. Pour ce qui est de l’enveloppe financière mobilisée par le Fonds national du cancer, estimées à 30 milliards DA, M.Zitouni a fait état de l’exploitation d’un taux faible de 3% seulement, imputant ce taux à la loi de finances qui n’avait pas abordé le volet relatif à la gestion de ces fonds d’une part, et au manque de compétences auxquelles a été assignée cette mission d’autre part.
De son côté, la directrice régionale de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Matshidiso Rebecca Moeti, a appelé les gouvernements africains à s’engager en faveur de l’instauration d’une couverture sanitaire universelle, afin de lutter contre le cancer, mettant en garde contre un doublement de la morbidité cancéreuse en Afrique à l’horizon 2040 si les tendances actuelles persistaient. Pour rappel, plusieurs campagnes de dépistage précoce du cancer du sein, ont été lancées par le ministère de la Santé dans le cadre de ce plan, dans sept wilayas pilotes: Biskra, Laghouat, Tipasa, Constantine, Jijel, Boumerdès, Tlemcen et autres concernant le cancer du colon et du rectum dans trois wilayas pilotes: Annaba, Batna et Béjaïa.
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Ooredoo, Sponsor Officiel de la Fédération Algérienne d’Escrime (FAE) et de l’Equipe Nationale, présente ses chaleureuses félicitations aux escrimeurs algériens suite à leurs brillants résultats obtenus lors du 16ème Championnat Méditerranéen d’Escrime qui s’est déroulé du 1er au 3 février 2019 à Cagliari (Italie).
Organisée par la Confédération méditerranéenne d’escrime, cette compétition a rassemblé les escrimeurs (cadets et juniors), des catégories Fleuret, Sabre et Epée, représentants les pays du bassin méditerranéen.
Campionati del Mediterraneo Cagliari 2019 – 1/3 Febbraio 2019.
Foto: Trifiletti Andrea / Bizzi TEAM
Les deux sélections nationales, féminine et masculine, ont brillé lors de de cette compétition internationale en remportant un total de 07 médailles à savoir : deux médailles d’or dans les spécialités Sabre et Fleuret, une médaille d’argent dans la spécialité Epée, et quatre médailles de bronze dans les spécialités Sabre et Fleuret.
Campionati del Mediterraneo Cagliari 2019 – 1/3 Febbraio 2019.
Foto: Trifiletti Andrea / Bizzi TEAM
Tout au long de ces 16èmes Championnats d’Escrime, Ooredoo a apporté son soutien en encourageant les escrimeurs algériens, à travers notamment la présence du représentant de Ooredoo, M. Ramdane Djezairi, Directeur Opérationnel chargé des Relations Publiques et Médias.
Campionati del Mediterraneo Cagliari 2019 – 1/3 Febbraio 2019.
Foto: Trifiletti Andrea / Bizzi TEAM
A noter qu’en marge de cette compétition, Ooredoo a été honorée par la Fédération Italienne d’Escrime en reconnaissance à ses efforts dans le soutien et l’accompagnement de la Fédération Algérienne d’Escrime et de l’Equipe Nationale.
A travers sa présence à cet évènement, Ooredoo confirme son soutien au sport national et sa contribution dans le rayonnement de l’Algérie dans les grandes manifestations sportives internationales.
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Sarl SIMPREC, l’une des trois imprimerie des quotidiens El Khabar et El Watan a été victime d’un incendie ce mardi matin, rapporte le site d’information ALG24.
Située dans la nouvelle ville « Ali Mendjeli » de Constantine, cette infrastructure a été construite en 2006, et fait partie, avec les deux autres usines d’Alger et d’Oran, des trois imprimeries lancées par El Khabar et El Watan au milieu des années 2000.
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Le nouveau président de la République démocratique du Congo Félix Tshisekedi a rendu visite, hier, aux militaires de la garde présidentielle confirmant sa volonté de rassurer l’appareil sécuritaire légué par son prédécesseur Joseph Kabila.
«N’ayez peur de rien. Vous êtes entre de bonnes mains, votre commandant suprême sera bienveillant envers vous comme son prédécesseur (Joseph Kabila)», a déclaré le premier président congolais issu d’une alternance pacifique à plusieurs centaines de militaires et leurs dépendants dans un camp militaire de Kinshasa.»
J’avais promis d’améliorer les conditions sociales des militaires. Je suis venu visiter le camp Tshatshi pour voir comment les soldats et leurs familles sont soignés afin d’améliorer (leur sort)», a-t-il indiqué, sous les applaudissements et des cris de joie des épouses et des enfants des militaires, rappelant l’une de ses promesses de campagne.»Je vais vérifier la ration, comment mangent et dorment les militaires et leurs enfants. Ce qu’il faut améliorer dans l’école des enfants», a détaillé M. Tshisekedi, issu du parti historique de l’opposition Union pour la démocratique et le progrès social (UDPS).
Sans expérience militaire ni sécuritaire, M. Tshisekedi a donné d’autres gages à l’appareil sécuritaire mis en place par son prédécesseur, qui a visé plus d’une fois dans le passé des militants de l’UDPS. M. Tshisekedi a nommé par ordonnance François Beya au poste de conseiller spécial en matière de sécurité à la présidence. Patron de la Direction générale des migrations (DGM) pendant douze ans, ce professionnel du renseignement a travaillé avec les deux précédents présidents Kabila père et fils.
Le nouveau chef de l’Etat avait rencontré vendredi l’état-major de l’armée et les commandants des grandes unités ainsi que ceux de toutes les provinces. Selon la Constitution congolaise, le président de la République est le président suprême des forces armées et préside le Conseil supérieur de défense.
Le président Félix Tshisekedi, proclamé élu par la Cour constitutionnelle le 20 janvier, a pris la succession de Joseph Kabila resté au pouvoir pendant 18 ans à l’issue des élections générales à un tour du 30 décembre. Cette première alternance pacifique dans l’histoire de la RDC est contestée par l’autre opposant Martin Fayulu, qui revendique la victoire avec 61% des voix et dénonce «putsch» électoral.
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Par Chaabane BENSACI
«La Constitution irakienne rejette toute utilisation de l’Irak comme base pour frapper ou agresser un pays voisin», a martelé hier à Baghdad le président Barham Saleh.
Les 5000 soldats encore stationnés en Irak sont-ils vraiment les bienvenus? Il semble que ce ne soit plus le cas depuis la déclaration du président américain Donald Trump, selon laquelle le maintien des troupes en Irak est nécessaire pour «surveiller l’Iran». Propos qui a engendré une foule de réactions indignées non seulement au sein de la population irakienne, mais également parmi les formations politiques et les dirigeants les plus en vue du pays. «La Constitution irakienne rejette toute utilisation de l’Irak comme base pour frapper ou agresser un pays voisin», a martelé hier à Baghdad le président Barham Saleh.
«Les forces américaines sont présentes en vertu de la loi et dans le cadre d’accords entre les deux pays, toute action menée hors de ce cadre est inacceptable», a-t-il tenu à rappeler en guise d’avertissement. Il n’aura pas fallu beaucoup de temps après la diffusion dimanche dernier de l’entretien accordé par le président américain à la chaîne CBS pour que des députés comme Sabah al-Saadi, du bloc que dirige le leader chiite Moqtada Sadr, montent au créneau. Al Saadi a ainsi considéré que ces déclarations belliqueuses faisant de l’Irak une base d’agression contre un pays voisin rendaient le «départ des troupes américaines d’Irak une obligation nationale».
Il faut savoir que ce même député a déposé dernièrement une proposition de loi en ce sens, et il n’a cessé depuis, de plaider pour son adoption de toute urgence, arguant non sans raison que l’Irak est actuellement pris en étau entre ses deux grands alliés, les Etats-Unis et l’Iran, alors qu’ils sont deux grands ennemis. Hassan al-Kaabi, numéro deux du Parlement et proche de Moqtada Sadr, s’en est pris pour sa part à ce qu’il qualifie de «nouvelle provocation» du président américain, décidément inspiré quand il s’agit de jeter de l’huile sur le feu, aux yeux de nombreux Irakiens. Lors de sa dernière visite aux troupes basées dans ce pays, à la fin du mois de décembre 2018, Trump s’était exhibé sur la base aérienne d’Aïn al-Assad en prenant soin de ne rencontrer aucun officiel irakien.
Un geste ressenti comme une véritable offense par des dirigeants conscients que le message était on ne peut plus clair, en ce qui concerne leur vassalité. Officiellement, les Irakiens estiment qu’ils n’ont accordé aucune base sur leur sol aux Etats-Unis, ces derniers ayant fourni essentiellement des instructeurs chargés d’accompagner les troupes irakiennes dans leur lutte contre le groupe Etat islamique. Or, le président Trump a déclaré sur CBS qu’il entend «garder» la base aérienne de Aïn al-Assad, pour, dit-il, «surveiller l’Iran» voisin. Parmi ses divers arguments, le fait que «si quelqu’un cherche à faire des armes nucléaires, nous allons le savoir avant qu’il le fasse». «L’Irak n’est pas votre terrain familial et nous n’acceptons plus aucune force étrangère sur notre sol», a répliqué vivement le député Hassan Salem, membre d’une coalition d’ex-combattants antiterroristes proches de l’Iran, au Parlement.
«La mission de l’armée américaine en Irak est d’aider les forces de sécurité irakiennes contre le terrorisme, pas de ‘surveiller » d’autres pays», s’est aussi révolté, sur Twitter, Sarkawt Chemseddine, député du parti kurde d’opposition Nouvelle génération. «Nous attendons des Etats-Unis qu’ils (…) évitent de pousser l’Irak dans un conflit régional», a-t-il souligné, tandis que les commentaires pleuvaient sur les réseaux sociaux pour dénoncer des propos significatifs d’une «force d’occupation».
Tout cela ne constitue pas, à vrai dire, une nouveauté puisque depuis l’invasion de l’Irak par les Etats-Unis en 2003, la présence américaine ne cesse de nourrir de violentes polémiques. On a compté jusqu’à 170.000 militaires américains présents officiellement pour conforter la lutte contre l’insurrection puis, ces dernières années, le retrait s’est effectué à une cadence de plus en plus accélérée, les quelque milliers de soldats encore présents ayant pour «mission» de conduire la coalition internationale mobilisée contre Daesh.
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En 2015, Buhari avait remporté 89% des voix à Kano, face à Goodluck Jonathan, un chrétien du Sud. Mais cette année, face à Atiku Abubakar, autre musulman du nord, et après un premier mandat plutôt décevant, la tâche ne sera pas si évidente.
Des vagues d’autobus ont déferlé sur Kano. D’autres sont arrivés à cheval ou à dos de chameau: des dizaines de milliers de personnes ont convergé dans la capitale du nord du Nigeria, pour soutenir Muhammadu Buhari, président sortant et candidat à la réélection à la présidentielle du 16 février. Buhari, haoussa musulman originaire du nord, a été ovationné par la foule, lors d’un de ses plus importants meetings de campagne, la semaine dernière.
Les plus téméraires ont même escaladé les immenses projecteurs du stade de la ville pour y accrocher des drapeaux du parti au pouvoir, le Congrès des Progressistes (APC).
Kano, avec ses quelque 15 millions d’habitants, capitale millénaire de l’islam en Afrique de l’Ouest au carrefour du Sahel, est une région clé pour les candidats à la présidence: celui qui gagnera la ville et la région pourrait faire basculer les résultats de tout le pays.
«Les élections se jouent sur le vote de masse», explique Moses Aluaigba, chercheur associé au centre Aminu Kano, un think tank de recherche politique à l’université de la ville. «Si l’APC a la masse » derrière lui, il prendra l’avantage.
«En 2015, Buhari avait remporté 89% des voix à Kano, face à Goodluck Jonathan, un chrétien du Sud. Mais cette année, face à Atiku Abubakar, autre musulman du nord, et après un premier mandat plutôt décevant, la tâche ne sera pas si évidente.»Nous apporterons 5 millions de voix à Muhammadu Buhari et son vice-président Yemi Osinbajo», scandait le MC à la foule. Mais avec 5,5 millions d’inscrits dans tout l’Etat de Kano, cette promesse semble bien ambitieuse.
La foule rassemblée lors du meeting politique, bien qu’impressionnante, n’est pas forcément un indicateur de popularité au Nigeria, où personne ne fait rien gratuitement. Les périodes électorales sont surtout l’occasion de récupérer quelques billets distribués par les partis politiques, de la nourriture, et autres «cadeaux» jetés à la foule. Certes, Buhari est toujours perçu comme un «homme du peuple» à Kano, et les affiches de l’APC ont envahi la ville. Dans le marché de Sabon Gari, Aminu Uba Sanka et Kabiru Isa reconnaissent que le chef de l’Etat n’a pas tenu toutes ses promesses, mais il reste quand même leur candidat favori. «Si Buhari s’en va, tous ces gens vont souffrir», assure Aminu Sanka, un petit commerçant du marché, en montrant la foule du doigt. «Nous avons besoin de lui encore quatre ans pour qu’il puisse finir les projets qu’il a commencé», explique-t-il, répétant quasiment mot pour mot le slogan de campagne de l’APC.
En 2015, Kano – et le marché de Sabon Gari en particulier – était la cible d’attentats revendiqués par le groupe jihadiste Boko Haram. «Maintenant nous vivons relativement en paix», confie Kursiyya Abdullahi, une habitante de la ville devant une échoppe de maroquinerie.
«La vie est dure. Mais je pense qu’il vaut mieux avoir de l’inflation plutôt que de l’insécurité.»
En effet, peu après l’élection de Muhammadu Buhari, le Nigeria a plongé dans la pire récession économique depuis trente ans, et le premier producteur de pétrole du continent africain peine à retrouver sa croissance du début des années 2000. En ce qui concerne la lutte contre la corruption, sa grande promesse électorale, Buhari a trop concentré les accusations sur ses opposants politiques, selon Aminu Yumba. «On devrait donner une seconde chance à Atiku Abubakar», assène ce résident de Kano.
Ancien vice-président sous Olusegun Obasanjo (1999-2007), Abubakar, richissime homme d’affaires, est perçu comme l’un des politiques les plus corrompus du Nigeria. Mais il est Haoussa, et même s’il a fait l’essentiel de sa carrière dans le sud chrétien, il n’est pas exclu de voter pour lui. Les résultats devraient être serrés entre les deux candidats principaux.
C’est en tout cas, la prédiction de Tanko Yakasai, ancien politicien de 93 ans, mémoire vive de Kano et du Nigeria post-colonial. Cet ancien conseiller du président Shehu Shagari (celui-là même que le général Buhari avait démis du pouvoir par un coup d’Etat en 1983), assure qu’il y aura une division des votes dans le nord du pays et le sud, traditionnellement plus affilié au Parti Populaire Démocratique (PDP), sera majoritairement derrière Abubakar. «Cette fois, les résultats des élections ne seront pas liés à une religion ou une ethnie. Il n’y aura pas de sectarisme ou de tribalisme», analyse le vieil homme. «Ce sera très serré ou Atiku pourrait l’emporter».
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Les autorités syriennes ont annoncé hier l’évacuation de 4000 familles syriennes logés dans de bâtiments endommagés à Alep, dans le nord du pays, après la récente mort de 11 civils dans l’effondrement de leur immeuble, ont rapporté des médias locaux.
Selon le journal pro-gouvernemental Al-Watan, au moins 4000 familles syriennes, occupant des logements dans environ 10.000 bâtiments endommagés à Alep vont être relogées temporairement, le temps que leur immeuble d’habitation soit réhabilité ou reconstruit.
11 personnes sont mortes samedi dernier dans l’effondrement d’un immeuble de cinq étages dans le quartier de Salaheddine, dans l’est d’Alep, lequel était touché en 2016 par des affrontements entre l’armée syrienne et les groupes terroristes lors de l’opération de sécurisation de cette ville. Ce quartier se trouve aujourd’hui en grande partie endommagé et nécessite une opération de reconstruction, a ajouté le média syrien. Depuis la libération de la ville fin 2016, de nombreux syriens avaient décidé de retourner chez eux, même si leurs habitations étaient en grande partie touchée par les combats.
Face à cette situation, le gouvernement syrien s’est engagé dans d’importants projets de reconstruction, avec l’aide de pays amis, notamment la Russie, la Chine et l’Iran. Selon des estimations de l’ONU, la Syrie aura besoin de 300 milliards de dollars pour remettre en état les villes et zones touchées par le conflit, depuis l’année 2011.
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Une attaque perpétrée, dans la nuit de dimanche à lundi à Kain, dans la région du nord du Burkina Faso, a causé 14 morts parmi la population civile et la mort de 146 terroristes, a annoncé un communiqué de l’Etat-major général des forces armées.
« Dans la nuit de dimanche à lundi, une attaque terroriste à Kain (province du Yatenga, région du nord) a fait quatorze victimes civiles parmi la population », a indiqué cette source.
En réaction à cette attaque, les Forces de défense et de sécurité (FDS) burkinabè ont immédiatement engagé des opérations dans les départements de Kain, de Banh (province du Loroum, région du nord) et de Bomboro (province de la Kossi, région de la Boucle du Mouhoun), signale le communiqué, précisant que la riposte a permis de neutraliser 146 terroristes dans les trois départements.
Le bilan pour les FDS fait état de blessés légers mais d’aucune perte en vie humaine alors que les opérations de sécurisation de ces départements se poursuivent toujours.
Pays de l’Afrique de l’Ouest, le Burkina Faso est confronté, depuis 2015, à une recrudescence des attaques terroristes sur son territoire, notamment dans les régions situées près des frontières avec le Mali, le Niger et le Bénin. Ces dernières ont déjà fait plus de 300 morts parmi les civils et les forces de défense et de sécurité, selon des observateurs locaux.
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Un collectif de jeunes ont découvert dans le lit de l’oued El Maleh, dans la wilaya de Djelfa, située à 300 km au sud d’Alger, un site préhistorique qui contient des ossements animaliers qui remonterait jusqu’à 12.000 ans au minimum.
Ces ossements sont identifiés comme étant « des restes de cranes et d’autres parties du squelette d’un Rhinocéros blanc de l’espèce Ceratotherium simum », affirme Farid Kharbouch, directeur général du Centre National de Recherches Préhistoriques, Anthropologiques et Historiques (CNRPAH), au micro de Djilali Ould Safrani, correspondant de la Chaine 3 de la Radio Algérienne dans la wilaya de Djelfa.
« C’est une découverte importante », ajoute le DG du CNRPAH qui annonce que des fouilles seront entamés par son organisme et les chercheurs de l’université de Djelfa qui le souhaite, afin de « procéder à la datation de ce site en vue d’avoir une indication précise du Rhinocéros de ce site et de manière globale de tout l’art rupestre de la région de Djelfa »
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Khaled Boumediene
Pour mieux répondre aux demandes des patients et garantir une offre de soins complète et qualifiée, la polyclinique de Béni-Boussaid (Zouia), située à l’extrême frontière algéro-marocaine, qui a été, rappelons-le, inaugurée au courant du mois d’octobre de l’année écoulée par le wali de Tlemcen, Benyaiche Ali, s’est renforcée ce dimanche par une maternité et une garde médicale, comme a tenu à le souligner hier lors d’une brève entrevue, M. Baghdous Abdelkader, directeur de la santé et de la population de la wilaya de Tlemcen. « La direction de la santé et de la population de Tlemcen s’est engagée, dans son programme d’action de l’année 2018, à ouvrir des maternités et des points de garde médicale H24.Donc, après la dotation en polycliniques des localités d’El-Aricha, Sidi-Djillali et Fellaoucène et après que des investissements en matériels et moyens humains et mesures organisationnelles aient été mis en place, cet établissement s’est doté d’une garde médicale et d’une maternité, dotées de radios, d’un laboratoire et de plusieurs équipements de médecine, afin de densifier la couverture sanitaire dans cette zone déshéritée et frontalière, qui manquait cruellement de ce genre de structure de proximité pour la prise en charge des patients.
La mise en service de ces deux unités permettra à la polyclinique de s’intégrer parfaitement dans la région et de tourner à 100% de ses capacités en attendant son renforcement par le personnel paramédical spécialisé, notamment les opérateurs de radio et les laborantins durant le mois d’août prochain et ce, à l’occasion de la sortie de la nouvelle promotion de l’institut national de formation supérieure des sages-femmes de Tlemcen. Dans le même sillage, le DSP de Tlemcen a indiqué, qu’une polyclinique est en cours de réalisation à Hennaya afin de parer aux insuffisances de prise en charge des soins des habitants de cette localité située à 10 kilomètres au nord du chef-lieu de la wilaya de Tlemcen.The post Tlemcen: Des renforts pour la santé appeared first on .
El-Houari Dilmi
Le phénomène prend des proportions inquiétantes dans la wilaya de Tiaret. Le vol des couvercles des avaloirs et des poubelles écologiques exacerbe les autorités locales, à commencer par le directeur de l’EPIC «Tiaret Nadhafa», une entreprise de wilaya créée dernièrement pour s’occuper de l’enlèvement des ordures ménagères, l’éclairage public et l’aménagement d’espaces verts. En effet, intervenant sur les ondes de la radio locale, le premier responsable de l’EPIC «Tiaret Nadhafa» a dénoncé le vol des poubelles écologiques par des «bandes organisées qui les transforment en plastique pour le revendre au poids à raison de 25 DA le kilo» a-t-il révélé. «Nous avons installé, au niveau de 420 points dans la ville de Tiaret, des poubelles écologiques de 260 et 660 litres qui nous ont coûté un investissement financier important avant de constater leur disparition du paysage » a encore dénoncé M. Hamzaoui Ahmed, directeur de «Tiaret Nadhafa».L’autre phénomène qui perdure est celui des couvercles des avaloirs en fonte qui font l’objet de vol, se traduisant par des obstructions des canaux d’évacuation des eaux pluviales en pleine période hivernale. «Ces couvercles d’avaloirs sont volés de jour comme de nuit par des bandes organisées pour être revendus ensuite à des individus qui les acheminent en dehors des frontières de la wilaya», alerte un élu à l’APC de Tiaret. Les plaques de signalisation routière ne sont pas non plus épargnées par ce phénomène, à tel point que des automobilistes sont parfois déboussolés à cause de la disparition de ces plaques, y compris à l’intérieur du périmètre urbain de la ville de Tiaret.
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Ayache Djamel
La cité des 34 logements «Fonal» située sur les hauteurs de la localité balnéaire de Stidia, souffre depuis 2013, date de sa réalisation, de l’inexistence d’un réseau électrique, plongeant ses 200 habitants dans l’obscurité et un isolement total depuis 6 ans. Avec tous les désagréments qui en découlent pour les occupants de ces habitations, notamment les écoliers qui ne peuvent réviser leurs cours ou faire leurs devoirs dès la tombée de la nuit. Face à cette situation, plusieurs habitants de la cité ont pris l’initiative, combien dangereuse, de se brancher illicitement au réseau le plus proche en dépit des dangers que cela représente. «Nous avons frappé à toutes les portes, APC, Sonelgaz…, des années durant, et toutes nos tentatives son restées vaines», explique un habitant de la cité. «Notre sécurité et celle de nos enfants est quotidiennement menacée par le passage des fils électriques parfois endommagés, branches illicitement au-dessus de nos têtes», souligne un autre. «Ce n’est pas normal qu’en 2019, la cité n’est même pas branché au réseau électrique malgré son passage à 200 mètres de ce groupement urbain».Les habitants lancent un appel au premier responsable de la wilaya pour mettre un terme à cette situation qui dure depuis 6 ans et permettre ainsi aux habitants de jouir d’un meilleur cadre de vie.
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Le ministère de l’Education nationale réunira, ce lundi, quatre syndicats sans la participation de “l’intersyndicale” qui a opté pour le boycott de cette rencontre consacrée au débat du dossier des œuvres sociales.
Le ministère de l’Education nationale réunira, ce lundi, quatre syndicats sans la participation de “l’intersyndicale” qui a opté pour le boycott de cette rencontre consacrée au débat du dossier des œuvres sociales. Pour les syndicats affiliés à l’intersyndicale, la tutelle temporise et n’a aucunement l’intention de s’asseoir à la table de dialogue.Il est utile de rappeler que le collectif des syndicats autonomes a accordé à la tutelle un ultimatum, afin de prendre en charge leurs revendications à travers des réponses écrites, qui expirera le 15 de ce mois.
Par ailleurs, les partenaires sociaux ont décidé de ne pas prendre part à la réunion qu’a convoquée ce lundi la ministre de l’Education, Nouria Benghabrit, soutenant que le point portant sur les œuvres sociales n’a rien d’urgent, eux qui ont proposé jadis d’organiser un “référendum national” auquel participeront tous les syndicats.
En outre, ils devront bouder également la rencontre de mercredi où il sera question d’examiner les dysfonctionnements du statut particulier des professionnels du secteur.
A ce propos, Boualem Amoura, président du Syndicat autonome des travailleurs de l’éducation et de la formation (Satef) a indiqué à Echorouk que la tutelle a convoqué les syndicats de l’intersyndicale pour prendre part à des réunions successives consacrées à débattre du dossier des œuvres sociales dont la ministre a tranché ,à elle seule, sans impliquer les partenaires sociaux.
Le président de Satef a fait savoir que le deuxième dossier étant celui du “statut particulier des professionnels du secteur” – est actuellement en étude- après avoir été transféré à la commission intersectorielle regroupant le ministère de l’Education, les Finances, l’Enseignement supérieur et la Direction générale de la Fonction publique qui sont appelés à revoir ses lacunes.
Pour lui, la tutelle joue la montre car sa démarche visant à associer les syndicats signifie que les dossiers en question seraient déjà tranchés ou en étude, qualifiant ainsi ces réunions de conjoncturelles.
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Le Forum des chefs d’entreprises se transforme officiellement en syndicat. Le FCE a annoncé aujourd’hui avoir obtenu auprès du Ministère du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, en ce 4 février l’agrément portant création du syndicat FCE sous le nom de « Confédération Forum des Chefs d’Entreprise ». Le Forum s’est d’ailleurs félicité « de l’aboutissement du processus de création du syndicat des Chefs d’entreprise, lancé en juin dernier, processus mené dans le respect de la réglementation et des lois de la République, en étroite collaboration avec les services du Ministère du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale ». Pour rappel, le processus de transformation du FCE en syndicat a été entamé en janvier 2018, lors d’une Assemblée générale extraordinaire de l’organisation patronale. Le dossier de demande d’agrément a été déposé le 14 juin dernier, laissant supposer une dissolution du Forum en tant qu’association professionnelle, chose qui a été démentie par la suite, avant que la transformation du Forum en syndicat ne soit confirmée lors de l’assemblée générale ordinaire du FCE tenu le 15 décembre dernier.
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ALGER – Le directeur des Transports de la wilaya d’Alger, Rachid Ouezzane a fait état, lundi, de l’entrée en service, fin février en cours, de 25 carrefours pilotes « intelligents » dans la wilaya d’Alger, dans le cadre de l’exécution de la première phase du projet algéro-espagnol portant mise en place d’un nouveau système de régulation du trafic routier et d’éclairage public.
Vingt-cinq (25) carrefours équipés de système de régulation du trafic routier seront opérationnels à la fin du mois de février à travers les communes de Belouizdad et Sidi M’hamed (étape pilote), et ce, dans le cadre de la concrétisation du projet algéro-espagnol visant à améliorer et fluidifier la circulation routière et régler le problème des embouteillages, a indiqué à l’APS M. Ouezzane.
Doté d’une enveloppe de 19 Mds DA, ce projet dont la réalisation, en 3 phases, est prévue sur 55 mois, est confié à la société mixte algéro-espagnole mobilité et éclairage d’Alger (MOBEAL), composée de l’Etablissement de gestion de la circulation et du transport urbain (EGCTU), de l’Etablissement de réalisation et de maintenance de l’éclairage public de la wilaya d’Alger ainsi que de deux entreprises espagnoles spécialisées, a-t-il précisé, ajoutant que c’est là un projet « ambitieux » qui permettra de connaitre le trafic routier en temps réel, d’améliorer les conditions de déplacement, réduire la durée des voyages et tenir informé les usagers de la route via Internet.
Soulignant que la réception et la mise en marche des feux tricolores intelligents sur l’axe Place du 1er mai (Sidi M’hamed) – Belouizdad constituent la première phase, M. Ouezzane a expliqué que la zone pilote sera raccordée « temporairement » à un mini centre pilote au niveau de l’unité ETUSA de la Place du 1er mai afin de bien s’imprégner des particularités de ce système intelligent et de l’utilisation de nouveaux outils technologiques.
Cette première phase, concrétisée à hauteur de 40%, enregistre un retard dû à la topographie des sites, a-t-il ajouté. Le directeur des Transports d’Alger a évoqué la réception, d’ici octobre prochain, de 200 carrefours intelligents, dans le cadre de la première phase, à travers les communes d’Alger, notamment à El Biar, Alger centre et Kouba.
Il a fait état, dans ce sens, de l’achèvement des travaux de réalisation d’un centre de régulation à Kouba, devant entrer en service en octobre prochain après son aménagement et son équipement pour la gestion intelligente du trafic routier, la collecte des informations sur les flux de circulation grâce à des caméras de détection de véhicules. Des données analysées, par la suite, pour l’amélioration du trafic routier, a-t-il dit.
Concernant la deuxième phase, M. Ouezzane a fait savoir que le lancement est prévu début septembre prochain avec un délai de réalisation de 25 mois, déclarant qu’elle concerne la mise en place de 300 autres carrefours intelligents dans les communes d’Alger-est et d’Alger-ouest, outre la création d’un mini-centre de régulation du trafic routier de secours au niveau de la Cité des sciences (Alger), auquel il sera fait appel uniquement en cas de panne du centre de Kouba.
Quant à la troisième phase, devant être concrétisée en 18 mois, elle porte sur la gestion des moyens de transport commun, des parkings, tunnels et les accès, a-t-il ajouté soulignant que les données collectées via les caméras seront analysées pour tenir informés les conducteurs à travers un site électronique exclusivement destiné à l’information routière.
Ces carrefours « intelligents » et les trottoirs adjacents ont été aménagés pour être accessibles aux personnes aux besoins spécifiques et équipés d’un système sonore destiné aux non-voyants, et ce en coordination avec diverses associations, dans le cadre de la prise en charge de cette catégorie de la société, a-t-il conclu.
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AIN TEMOUCHENT- Le législateur algérien a uniformisé, à travers les réformes introduites au Code de la famille, les droits et devoirs communs entre conjoints et permis à la femme une égalité avec l’homme, ont affirmé lundi à Ain Témouchent, des universitaires qui ont animé une journée d’étude sur la situation de la femme dans le système juridique national.
L’enseignante à la faculté de droit de l’université de Tlemcen, Sanae Cheikh, a fait remarquer que « le Code de la famille algérienne stipule que l’âge du mariage est fixé à 19 ans pour l’homme comme pour la femme et exige une autorisation du juge concernant les mineurs », précisant, par ailleurs que l’article 37 du Code de la famille reconnaît aux femmes la pleine liberté de disposer de leurs biens.
L’universitaire de Tlemcen, Mourad Benaouda Haskar, a mis l’accent, dans sa communication abordant les mécanismes permettant à la femme fonctionnaire d’assumer son rôle dans le développement durable, sur la nécessité de définir les postes ne permettant pas aux femmes d’exercer un métier vu sa pénibilité et les risques qu’elles peuvent encourir d’où le refus de l’employeur à recruter des femmes.
La présidente de la rencontre, Nassima Cheikh, de la faculté de Droit du centre universitaire « Belhadj Bouchaib » d’Ain Témouchent, a mis l’accent sur le principe d’équité entre les deux sexes, signalant que le législateur algérien a tenté, par le biais de réformes, de mettre en place des mécanismes à même de promouvoir la participation politique de la femme dans la prise de décision et la contribution au développement national durable.
« La consécration de cette équité permet à la femme d’être un élément efficace dans la société » et de préserver sa place et ses caractéristiques de femme et de mère partant des constantes et des valeurs de la nation.
Un débat ouvert entre conférenciers, étudiants et représentants d’associations locales a eu lieu au terme des communications présentées au cours de cette journée d’étude, organisée par la faculté de Droit du CU ‘Belhadj Bouchaib’ avec la participation d’universitaires des wilayas d’Oran, de Tlemcen, de Sidi Bel-Abbès et d’Ain Témouchent.
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ALGER – Le ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Abdelkader Bouazghi, a appelé lundi, à Alger, les présidents des conseils interprofessionnels des filières agricoles à fédérer le maximum d’agriculteurs autour de ces conseils, a indiqué un communiqué du ministère.
Au cours d’une réunion de travail consacrée à l’évaluation périodique de la mise en œuvre de l’activité des Conseils interprofessionnels des filières, qu’il a présidée au siège de son département ministériel, M. Bouazghi a recommandé aux présidents des conseils interprofessionnels des filières agricoles de consolider l’encrage des différents conseils au niveau local et de fédérer le maximum d’agriculteurs autour de ces conseils.
Dans ce cadre, « il leur a également recommandé de procéder à la construction d’une base de données permettant de dresser un état exhaustif de leur filières, tout en veillant au recours aux moyens modernes de collection d’information », a ajouté le communiqué.
La même source a indiqué par ailleurs que, le ministre a sollicité les présidents des conseils de communiquer d’avantage sur leurs conseils et les objectifs assignées aux filières agricoles par les différents voies de communication afin de renforcer d’une part la composante des conseils et faire adhérer, d’autres part, les différents acteurs à la stratégie entreprise par le secteur pour la redynamisation et le renforcement des filières agricoles.
Lors de cette rencontre à laquelle ont assisté les présidents des conseils des filières agricoles, les chefs de file et les cadres centraux du ministère, M. Bouazghi « a exhorté les présidents des conseils à redoubler d’effort afin de relever le défi de la diversification économique et du renforcement de la sécurité alimentaire du pays, à travers la concertation régulière entre les acteurs des filières », lit-on dans le communiqué.
Le ministre a par ailleurs rappelé le rôle stratégique que devraient jouer ces conseils afin d’atteindre les objectifs qui leur ont été assignés, notamment la mise en place d’un cadre efficace et cohérent permettant de soutenir la dynamique de croissance enregistrée dans les différentes filières agricole.
Il a enfin souligné que les efforts fournis en matière de développement des filières devraient être renforcés à travers l’accompagnement de tous les acteurs agissant tout au long des différents segments des filières depuis la fourniture des intrants jusqu’au produit final en passant par la production , la commercialisation et la transformation.
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ALGER – Trois (3) personnes ont trouvé la mort et 80 autres ont été blessées dans 69 accidents de la route survenus en zones urbaines le week-end dernier, ont indiqué lundi les services de la Sûreté nationale.
Le facteur humain demeure la principale cause de ces accidents en sus d’autres facteurs, selon ces mêmes services.
A cet effet, la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) appelle les usagers de la route à faire preuve de prudence et de vigilance et à respecter le code de la route, sans oublier de soumettre les véhicules à un contrôle régulier, particulièrement en cette période marquée par les intempéries affectant certaines régions du pays, et ce pour la préservation de la vie et l’intégrité des usagers de la voie publique.
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