Le CR Belouizdad s’est imposé devant l’ES Sétif sur le score de 1 à 0 (mi-temps : 1-0), pour le compte de la 20e journée du championnat de Ligue 1 Mobilis de football, mardi au stade du 20-août 1955 (Alger).
L’unique but de la rencontre a été inscrit par Bouchar (43′) pour le CRB.
Cette victoire permet aux Belouizdadis de respirer un tant soit peu mais restent tout de même lanterne rouge avec un total de 16 points, alors que l’ES Sétif occupe provisoirement la 6e place avec 27 points, en attendant le déroulement des autres rencontres de cette journée.
Deux autres matchs se déroulent en ce moment : MO Béjaïa- USM Alger et CABB Arreridj- DRB Tadjenanet, alors que MC Alger-Olympique Médéa aura lieu à partir de 18h00.
Lundi, la JS Kabylie s’était inclinée face au Paradou AC (2-0), le CS Constantine a largement dominé l’USM Bel-Abbès (4-0), alors que l’AS Ain M’lila avait été accrochée à domicile par le MC Oran (0-0).
La suite et fin de la 20e journée aura lieu jeudi avec le déroulement de la rencontre JS Saoura – NA Husseïn-Dey (18h00).
Mardi 5 février:
CR Belouizdad – ES Sétif 1-0
MO Béjaïa – USM Alger (en cours)
CABB Arreridj – DRB Tadjenanet (en cours)
Alger (5-Juillet) : MC Alger – Olympique Médéa (18h00)
Déjà joués:
Lundi 4 février:
AS Aïn M’lila – MC Oran 0-0
USM Bel-Abbès – CS Constantine 0-4
Paradou AC – JS Kabylie 2-0
Jeudi 7 février:
Béchar : JS Saoura – NA Husseïn-Dey (18h00)
Classement Pts J
1). USM Alger 40 19
2). JS Kabylie 36 20
3). CS Constantine 31 19
4). Paradou AC 30 20
5). MC Alger 28 18
6). ES Sétif 27 19
–). NA Husseïn-Dey 27 19
8). JS Saoura 24 18
–). MC Oran 24 20
10). O. Médéa 22 19
11). AS Aïn M’lila 21 20
–). MO Béjaïa 19 19
–). USM Bel-Abbès 19 20
15). DRB Tadjenanet 18 18
16). CR Belouizdad 16 19
NDLR: ce classement prend en considération la victoire de l’AS Aïn M’lila face au CR Belouizdad sur tapis vert (3-0) et la défalcation de 3 points à ce dernier.
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Les services de la protection civile de la wilaya de Tébessa ont rouvert, au cours des dernières 48 heures, toutes les routes nationales et chemins de wilaya, fermés à la circulation et ont libéré de nombreux véhicules bloqués par la neige, a-t-on appris mardi auprès de la direction locale de ce corps constitué.
La même source a précisé à l’APS que les éléments de la protection civile ont pu, en coordination avec les services de la direction des travaux publics et des éléments de l’Armée populaire nationale (APN) et des entrepreneurs privés, rouvrir plusieurs routes nationales et chemins de wilaya en mobilisant des chasse-neiges, des tracteurs, et d’importantes quantités de sel.
L’axe routier d’ « Ain Fadha » et « Oued Djarboua » sur la route nationale (RN) 10 a été rouvert ainsi que la RN 83 au lieu-dit « Bir Lahzem », « Col Gaagaa » et « Col Basbas » dans la commune d’ Ogla est praticable, a révélé la source, détaillant que le CC 8 au niveau du « Col Tnoukla » dans la commune de Ma Labiod et « Douken » à Tébessa, et le CC 1 dans la région « Bouchekifa » dans la commune de Bir Mokadem, et le CC 5 au « Col Lekrima » à Thlidjen sont désormais ouverts à la circulation.
Les unités principales et secondaires et les postes avancés de protection civile se sont chargés de libérer plus de 70 voitures et 35 camions coincés dans la neige à travers les communes Chéréa, Ouanza, Békaria, Morsot, El-Kouif notamment, où l’amoncellement de la poudreuse a bloqué ces collectivités, a-t-on encore détaillé.
En outre, les éléments de la protection civile sont intervenus, durant la même période pour secourir 3 personnes dont une fille de 4ans, suite une explosion d’une bouteille du gaz du butane, suivie d’un incendie dans une demeure à Douken (Tébessa) et 5 écoliers présentant des symptômes d’asphyxie par le monoxyde du carbone dans une école primaire à Ogla.
Pour leur part, les services météorologiques de l’aéroport Larbi Tbessi ont souligné que des pluies orageuses et des chutes de neige sont attendues sont attendues et seront accompagnées de vent qui dépassera 70 km/h.
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La nouvelle révélation française du stand up « HAROUN » prévoit un spectacle pour la première fois en Algérie produit par KERAL PRODUCTIONS le 22 février 2019 à l’Opéra d’Alger Boualem Bessaih
HAROUN, la nouvelle révélation de l’humour et du stand up francophone, prévoit dans le cadre de sa tournée international une date pour un premier spectacle en Algérie organisé par KERAL PRODUCTIONS et ce le 22 février 2019 à 20h30 à l’Opéra d’Alger « Boualem Bessaih ».
Considéré comme la nouvelle révélation française grâce à son humour décalé et ironique, HAROUN se distingue par son humour ficelé sans vulgarité ni malveillance dans tous les domaines tout en décryptant avec aisance et malice notre monde actuel et ses absurdités. Son style de premier de la classe et son sarcasme lui ont valu une entrée au royaume du stand up.
Ayant déjà convaincu les spectateurs français, HAROUN reste très attendu par le public algérien. Son spectacle qui est prévu pour le vendredi 22 février 2019 à l’Opéra d’Alger va en ravir plus d’un.
Les billets seront bientôt en vente notamment à l’Opéra d’Alger « Boualem Bessaih » à partir de 3000 DA. Plus d’informations sur la vente des billets sur https://www.facebook.com/KeralProductions/
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Schneider Electric, le leader de la transformation numérique de la gestion de l’énergie et des automatismes, lance Go Green in the City 2019, son concours annuel international étudiant pour faire émerger des idées audacieuses et des solutions innovantes pour des villes plus intelligentes, plus efficaces et plus durables.
C’est désormais la neuvième édition de Go Green in the City qui constitue un événement majeur dans l’agenda des écoles d’ingénieurs et de commerce du monde entier. En 2018, plus de 24 000 jeunes innovateurs, dont 58% de femmes, provenant de plus de 3 000 universités dans 163 pays y ont participé. L’enjeu de ce concours est important pour les participants. Il leur donne non seulement la possibilité d’avoir un impact sur la transformation de l’économie numérique, mais il leur offre également la chance de remporter un voyage à l’international pour participer au Global Innovation Summit 2019 de Schneider Electric, un événement de deux jours qui se déroulera à Barcelone (Espagne) les 2 et 3 octobre prochains.
Les étudiants pourront y rencontrer des experts de Schneider Electric et des acteurs influents du monde de l’industrie et se faire mentorer. Ils pourront échanger et partager avec eux leurs idées audacieuses, pour mener la transition vers une économie numérique. À terme, ils auront la possibilité d’obtenir un emploi au sein de Schneider Electric.
Les finalistes de Go Green in the City 2018 lors de l’Innovation Summit de Schneider Electric à Atlanta (Etats-Unis)
Associer développement durable et technologie
En 2019, la compétition devrait susciter encore plus d’intérêt, notamment grâce aux quatre catégories thématiques pour lesquelles les étudiants sont invités à soumettre leurs idées audacieuses : Bâtiments du futur ; Usines du futur ; Réseaux électriques du futur ; Développement durable et accès à l’énergie.
Ces défis sont en lien avec la stratégie développement durable de Schneider Electric et reflètent son engagement pour atteindre les Objectifs de Développement Durable (ODD) définis par les Nations Unies. Les étudiants sont invités à partager leurs idées pour redéfinir le futur et présenter le développement durable sous un angle davantage porté sur l’efficacité. L’objectif est de faire le lien entre les impacts sociétaux et environnementaux avec la technologie et le monde de l’entreprise.
Olivier Blum, Directeur général Ressources humaines globales de Schneider Electric, déclare : « La jeune génération est confrontée à d’immenses défis pour se créer un meilleur futur. Un avenir durable ne peut devenir une réalité que si nous aidons et donnons aux jeunes les moyens de devenir une force au service de l’innovation. Je suis heureux que Go Green in the City devienne une plateforme leur permettant de développer leurs idées pour un avenir meilleur. »
Un parcours d’apprentissage continu pour les étudiants
Zvirevo Chisadza et Tariro Cynthia Mutsindikwa, tous deux étudiants à l’Institut des sciences de l’eau et de l’énergie de l’Université panafricaine en Algérie, ont partagé leur enthousiasme en tant que lauréats de Go Green in the City 2018: « Go Green in the City 2018 a été pour moi une expérience incroyable. Tout a commencé par une petite idée qui grâce à l’aide de nos mentors chez Schneider Electric est devenue une grande idée que nous avons améliorée et qui permet de lutter contre la faim dans le monde », raconte Tariro Cynthia. « Grâce au concours, nous avons tissé un réseau avec des experts de Schneider Electric et avons eu la chance de beaucoup apprendre sur les défis auxquels est confronté le monde en termes de développement durable », ajoute Zvirevo.
Les équipes doivent être composées de deux étudiants en formation en école de commerce, d’ingénierie, de physique, de sciences informatiques, ou mathématiques. Elles doivent être basées dans le même pays ou la même région durant toute la durée du concours. Chaque équipe doit être composée d’au moins une femme, conformément à la politique de Schneider Electric en faveur de la diversité et de l’inclusion. L’échéance pour déposer sa candidature est fixée au 25 mai 2019.
Pour plus d’informations : gogreeninthecity.se.com, www.facebook.com/GoGreenintheCity
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Un incident est survenu ce jour le Mardi 05 Février 2019 sur une canalisation principale de refoulement, localisé au niveau de l’avenue des 03 Freres Bouaddou dans la commune de Bir Mourad Raïs.
SEAAL a mobilisé ses équipes afin de procéder aujourd’hui le Mardi 05 Février 2019 de 12h00 à 20h00 aux travaux de réparation. Ces travaux engendreront une suspension de l’alimentation en eau potable qui impactera les communes suivantes :
SEAAL met en place un dispositif de citernage, afin de limiter la gêne, et assurer les usages prioritaires (établissements publics et hospitaliers).
SEAAL rassure ses clients des communes impactées que la remise en service de l’alimentation en eau potable reprendra progressivement durant la nuit du Mardi 05 Février 2019.
SEAAL prie ses clients de l’excuser, des désagréments causés par ces travaux.
Pour toutes informations, SEAAL met à la disposition de ses clients le numéro de son centre d’appel téléphonique CATO le 1594, fonctionnel 24h/24 ; 07j/07.
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La prévalence du cancer ne connait pas de baisse. Chaque année, l’Algérie enregistre 42 000 nouveaux cas. Les cancers du colon, du poumon et de la prostate touchent de plus en plus d’hommes tandis que les femmes sont plus touchées par le cancer du sein.
Nawal Imés – Alger (Le Soir) – Le cancer ne recule pas. Chaque année, l’Algérie continue d’enregistrer pas moins de 42 000 nouveaux cas soit 100,3 cas pour 100 000 habitants.
L’incidence est plus importante chez les femmes en raison du nombre grandissant des cas de cancer du sein. Il représente à lui seul 50% des cancers féminins, soit un taux qui avoisine les cinq cancers masculins les plus fréquents.
Selon les indicateurs des registres du cancer, en plus du cancer du sein, les femmes sont touchées par le cancer colorectal, de la thyroïde, de l’utérus, puis de l’estomac. Chez les hommes, les cancers digestifs sont les plus fréquents en plus de celui de la prostate. Ils représentent à eux seuls, 63 % des cas enregistrés. Des données quantifiées dans le registre national du cancer.
Le professeur Hammouda qui présentait hier un état des lieux a estimé qu’actuellement, le registre du cancer est essentiellement quantitatif. Le qualitatif, dit-elle, restait à faire et dépendait essentiellement de la qualité du dossier du patient.
Le challenge, c’est d’améliorer la qualité et l’exhaustivité des données. Pour y arriver, il est urgent de nommer les responsables de ces registres de manière officielle. Ces derniers se voient souvent refuser l’accès aux centres anti cancéreux. Idem pour le reste du personnel affecté au registre du cancer qui est souvent itinérant, passant de service en service. Compte tenu de la non-validation de certains registres, les cas recensés pourraient ne pas refléter la réalité.
Auparavant, le ministre de la Santé avait pris la parole à l’occasion de la journée mondiale du cancer, affirmant qu’il était urgent de dépasser le slogan choisi pour cette année et qui est : «Cancer, on peut en guérir».
S’adressant aux responsables des registres du cancer, Mokhtar Hasbellaoui leur demandera de faire une évaluation de ces derniers dans les plus brefs délais, insistant sur la nécessité du dépistage qui peut être l’apanage du ministère de la Santé uniquement.
Le ministre de la Santé affirme par ailleurs que 63 milliards de dinars sont alloués aux médicaments soit 59% du budget dédié à ce segment au niveau de la PCH. Prenant la parole à son tour, le professeur Zitouni, chargé de l’élaboration du plan cancer a rappelé que le cancer était l’une des premières causes de mortalité non seulement en Algérie mais dans le monde.
En raison de l’espérance de vie qui s’allonge dit-il, il arrivera un moment où les gens mourront du cancer comme on meurt de vieillesse, d’où la nécessité dit-il d’une lutte qui ne peut être fragmentaire et isolée mais doit être prise dans toutes les dimensions de la société et du comportement humain. La notion de stratégie doit dépasser les éléments simplement techniques dit-il. Le plan cancer compte huit axes et 19 objectifs. Une première évaluation en sera faite en 2020.
N. I.
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Après avoir enchaîné 15 victoires consécutives en autant de matchs, dont une en Coupe d’Algérie, le WO Boufarik, solide leader du championnat de la division nationale 1 de basket-ball, affronte cet après-midi le PS El-Eulma en match comptant pour la 14e journée avec un effectif réduit.
Et pour cause, la bonne série et le rythme enclenché depuis le début de la saison ont laissé quelques séquelles sur le groupe qui connaît quelques blessés. Pour son déplacement à El-Eulma ; une rencontre que redoute Khaled Mehnaoui, ancien international, et président du WOB, l’équipe est amoindrie de trois éléments clés. «Certes, l’équipe réalise un bon parcours depuis le début de l’exercice avec zéro défaite, mais la rencontre d’aujourd’hui face à El-Eulma ne sera pas facile devant une formation locale très difficile à manier chez elle d’autant plus, notre équipe s’est déplacée amoindrie de trois joueurs blessés.
Pour y remédier, le staff technique a convoqué trois juniors», nous dira Mehnaoui qui espère toutefois que la bonne série des matchs sans défaite se poursuivra «le plus longtemps possible». Par ailleurs, le NA Hussein-Dey et le NB Staouéli, qui partagent la seconde place, évolueront également en déplacement face respectivement à l’OSB Bou-Arréridj et l’OMS Miliana. Dans le bas du classement, l’AB Skikda, qui ferme les marches du classement, n’aura pas la tâche facile devant le réveil du GS Pétroliers, 5e au classement, qui cherche à revenir au-devant du classement notamment depuis la prise en main de la barre technique par le duo Boulahia-Harrouni.
Ah. A.
Start (cet après-midi, 15h)
USM Blida-Rouiba CB
O Batna-IRBB Bou-Arréridj
AB Skikda-GS Pétroliers
OSB Bou-Arréridj-NA Hussein-Dey
USM Alger-CRB Dar-el-Beïda
CSMBB Ouargla-US Sétif
PS El-Eulma-WO Boufarik
OMS Miliana-NB Staouéli.
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La moitié des commerçants et les opérateurs économiques affiliés au CNRC dans la wilaya de Mostaganem, soit près de 48%, ont obtenu leurs nouveaux registres de commerce électroniques depuis le lancement de cette nouvelle procédure.
La délivrance de ce document se déroule dans des conditions normales au Centre national du registre de commerce mais le local de la réception des usagers s’avère trop exigu pour recevoir les opérateurs économiques et autres commerçants.
Aucune anomalie n’a été décelée depuis l’entame de cette instruction qui s’achèvera à la fin du mois d’avril prochain.
Le registre de commerce électronique est un document doté d’un code crypté qui permet de faciliter et alléger les procédures administratives, d’assainir le registre des manipulations frauduleuses et de mettre fin aux actes de falsification.
Ce registre permet également de connaître l’identification du commerçant ou de l’opérateur économique et de se servir en un temps record d’opérations de contrôle de toutes les activités commerciales. Ce nouveau registre de commerce électronique remplacera les anciens registres. Les inscriptions au registre du commerce en 2018 toutes natures confondues ont augmenté de 4% par rapport à l’année 2017 et le nombre des inscriptions au R/C est passé à plus de 6 800 comprenant des personnes physiques et des personnes morales. Le nombre de modifications a augmenté de 6% tandis que les radiations au registre de commerce ont connu également une élévation de l’ordre de 8%.
Concernant la répartition des inscriptions par secteur d’activité pour l’année 2018, les commerces de détail sont toujours dominants dans la wilaya suivis des secteurs services et de production avec le BTPH et l’industrie et les taux les moins élevés sont la production artisanale, le commerce de gros et l’import/export. La numérisation permet une meilleure gestion avec le registre de commerce électronique. Selon la forme juridique, à la fin de l’année 2018, la Sarl domine dans la wilaya suivie de l’Eurl, la SNC, la SPA, l’Epic, le groupement et la succursale.
A. Bensadok
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Le recouvrement des cotisations de la Caisse nationale de sécurité sociale des non-salariés (Casnos) a atteint plus de 68 milliards de DA durant l’année 2018, a affirmé, mardi 29 janvier 2019, à Alger, le directeur général de cet organisme, Achek Youcef Chawki. Intervenant devant les membres de la commission de santé et des affaires sociales de l’Assemblée populaire nationale (APN), Achek Youcef Chawki a précisé que le recouvrement des cotisations de la Casnos a atteint 68,8 milliards de DA en 2018, montant qui représente les cotisations de 857 360, sur 1 697 463 affiliés actifs», soulignant que 104 024 nouveaux affiliés ont été immatriculés durant la même période.
Le même responsable a ajouté que les dépenses globales de la Casnos ont dépassé 57 milliards de DA, estimant que la Caisse est en «bonne santé financière», ce qui lui permet de tenir tous ses engagements à l’égard de ses cotisants en matière de remboursement des frais médicaux et de versement des pensions de retraite». Il a précisé que «cette bonne santé financière est appelée à s’améliorer davantage», cependant, pour la pérennité de ce système solidaire et par répartition, «il est nécessaire d’apporter plus de performances», a-t-il fait savoir.
Facilitations accordées pour le rachat des 4 années de cotisations
Abordant à l’occasion les infractions relevées par les services concernés de la Casnos, M. Achek Youcef Chawki a indiqué que 3% des non-salariés ne sont pas affiliés, 49% ne cotisent pas et 85% ne cotisent pas au minimum, affirmant que plus de 430 contrôleurs ont été formés, agréés et assermentés pour lutter contre les défauts d’affiliation, de paiement et de la sous-déclaration.
L’intégration du travail informel en Algérie par la sécurité sociale a été également au menu de cette rencontre. Le DG de la Casnos a affirmé à ce sujet que son organisme «a enregistré une affiliation d’office de 5 354 rapports de constat d’activité et procès-verbaux, permettant la régularisation de 1765 cas».
A cette occasion, M. Achek a invité les non-salariés à se rapprocher de la Csnos dans les meilleurs délais afin de régulariser leur situation dans le cadre des facilitations accordées par la caisse notamment pour le rachat des 4 années de cotisations.
LSR
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Dans les années 1970, la wilaya de Aïn Defla où la culture des légumineuses : lentilles, pois chiches, haricots, petits pois secs avait donné des résultats très prometteurs, favorisée par la qualité des sols des coteaux tels que la région nord-est et sud-ouest de la wilaya, notamment dans les communes de Aïn Soltane, Djendel et autre Tiberkanine.
Depuis cette époque, soit depuis plus de trois décennies, ces cultures avaient été abandonnées sans grande explication, laissant le champ libre à l’importation. C’était aussi une époque où les familles à faibles revenus se rabattaient sur les légumineuses, (pois chiches, petits pois secs, lentilles et haricots secs). Cependant, de nos jours, le kg de lentille coûte 110 DA, les pois chiches 230 Da, les haricots secs 220 DA.
Il faut rappeler que dans les années 1970, la wilaya de Aïn Defla produisait la betterave sucrière qui était transformée à Sidi Lakhdhar et à Relizane, des expériences très probantes et prometteuses de culture du riz et du coton avaient été tentées.
C’est depuis quelques années que s’amorce la reprise de ces cultures. En effet, selon la DSA, durant la campagne 2017-2018, la relance des légumineuses a été entamée et 2 687 ha ont permis de produire 53 655 q de fèves et autres féveroles, 487 ha de petits pois ont donné 9 960 q de petits pois secs, une superficie de plants de lentilles a permis de récolter près de 3 000 q alors que 761 ha de pois chiches ont produit 8 100 q. Pour ce qui est du programme cultural en cours durant cette campagne 2018-2019, 3 260 ha ont été ensemencés dont 2 600 ha de fèves et féveroles, 500 ha de petits pois, 560 ha de pois chiches, 50 ha de lentilles avec une prévision de récoltes toutes espèces confondues de 85 000 q, soit 11 000 q de plus que durant la campagne précédente.
Les prévisions établies pour la campagne prochaine tablent sur une superficie de 4 780 ha emblavés de légumineuses dont 3 040 pour les fèves, 270 pour les lentilles, 1 030 ha pour les pois chiches et 440 ha pour les petits pois.
Il est à remarquer que ni durant la campagne 2017-2018 ni durant la campagne en cours, et encore moins dans le cadre prévisionnel, il n’est question de production de haricots secs.
Karim O.
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400 g de pois chiches (en conserve), 1 c. à s. d’huile d’olive, 20 g de beurre, 1 cuillère à café de cannelle, 1 cuillère à café de cumin, coriandre fraîche ciselée, 2 petites aubergines, 2 tomates, 1 gousse d’ail, 1 oignon, menthe fraîche ciselée, sel, poivre
Lavez les aubergines et coupez-les en rondelles d’environ 5 mm d’épaisseur dans le sens de la largeur. Disposez-les sur une plaque huilée au pinceau et mettez sous le gril du four. Dès coloration, retournez les rondelles pour faire griller l’autre face. Pendant ce temps, dans une sauteuse, faites blondir l’oignon et l’ail dans le beurre fondu environ 5 minutes. Remuez de temps en temps. Lavez, pelez et épépinez les tomates.
Coupez-les en dés et ajoutez-les dans la sauteuse bien chaude. Saupoudrez de cannelle et de cumin, d’une pincée de sucre (pour ôter l’acidité des tomates) et salez. Couvrez et cuisez à feu doux pendant 10 minutes. Une fois grillées, mélangez les aubergines à la préparation précédente. Rincez et égouttez les pois chiches. Ajoutez-les dans la sauteuse et assaisonnez avec le sel et le poivre. Poursuivez la cuisson en couvrant partiellement sur feu doux jusqu’au moment de servir. Ajoutez la coriandre et la menthe fraîches ciselées au dernier moment.
Suggestion : Servez avec un yaourt assaisonné de menthe fraîche et de cannelle.
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350 g de riz, 10 cl de crème fraîche liquide, 30 g de beurre, bouillon de volaille (ou de l’eau), 100 g de fromage, sel, poivre
Faire chauffer le beurre dans une casserole, ajouter le riz et remuer jusqu’à ce qu’ils changent de couleur, mouiller avec le bouillon de volaille, saler et poivrer. Laisser cuire pendant 15 minutes. 5 minutes avant la fin de la cuisson, ajouter la crème fraîche et le fromage râpé. Servir aussitôt.
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Pour la pâte : 250 g de farine, 1 cuillère à soupe de sucre, 2 cuillères à soupe d’huile, 1 œuf, 3 cuillères à café de levure de boulanger, 1 pincée de sel
La crème pâtissière : 1/2 litre de lait bouillant, 175 g de sucre, 60 g de farine, 15 g de beurre, 4 œufs, 1 paquet de sucre vanillé, 1 pincée de sel
Dans une terrine, disposez la farine en fontaine. Ajoutez l’huile, l’œuf, la levure et une pincée de sel. Sablez et mouillez peu à peu avec le lait, jusqu’à obtention d’une pâte malléable. Laissez reposer 1/2 heure. Entre-temps, mettez dans une casserole à fond épais le sucre, le beurre, les œufs et le sel. Travaillez à l’aide d’une cuillère en bois ou d’une spatule. Ajoutez le lait bouillant et la vanille. Mélangez et mettez la casserole sur le feu. Laissez bouillir pendant quelques minutes, sans cesser de remuer pour ne pas laisser la crème coller au fond de la casserole. Verser dans une terrine et remuez la crème à mesure qu’elle refroidit.
Pétrissez la pâte pendant 15 minutes, jusqu’à ce qu’elle devienne légère. Confectionnez de petits boudins de la forme des éclairs. Laissez reposer pendant 5 minutes. Versez l’huile dans une poêle. Diminuez le feu dès que l’huile devient chaude. Plongez les beignets, un à un, en prenant soin de les imbiber d’huile. Retirez de la poêle et laissez égoutter. Une fois les beignets refroidis, coupez-les dans le sens de la longueur et remplissez de crème pâtissière. Saupoudrez de sucre cristallisé.
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ALGER- Le commerce illicite de produits du tabac fait perdre près de 10 milliards dollars par an aux administrations fiscales en Afrique subsaharienne, selon le nouveau rapport de la Banque mondiale sur l’impact du commerce illicite de tabac sur les pays à travers le monde.
Selon l’institution financière, la croissance de la population jeune, les taxes d’accise minimales imposées et la faiblesse des structures gouvernementales sont autant de facteurs qui font du continent, une zone stratégique pour les acteurs de la contrefaçon du tabac.
La part du trafic illicite de cigarettes dans le marché du tabac va de 41 % au Cameroun à 38 % en Ethiopie et descend à 25 % dans des pays comme le Nigeria, l’Afrique du Sud et la Zambie.
Globalement d’après l’Organisation, 43 milliards de tiges de cigarettes illégales circulent chaque année sur le marché en Afrique subsaharienne.
A l’échelle mondiale, les pertes en recettes fiscales liées au tabac illégal ont été estimées entre 40 et 50 milliards dollars, ce qui représente l’équivalent de 10% de la valeur de consommation mondiale de cigarettes.
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RABAT- L’Union du Maghreb Arabe (UMA) a annoncé, dans un communiqué avoir obtenu un don de la Banque africaine de développement (BAD), pour financer les activités préparatoires du projet d’une ligne de chemin de fer trans maghrébine reliant l’Algérie, la Tunisie et le Maroc.
Le projet vise, dans une première étape, à réhabiliter et à moderniser une ligne ferroviaire de 363 kilomètres entre l’Algérie et le Maroc et une autre ligne de 503 kilomètres entre l’Algérie et la Tunisie.
Une partie du don de la BAD, dont le montant n’a pas été dévoilé par l’UMA, sera consacrée à l’organisation de la table ronde des bailleurs de fonds, prévue le 28 mars 2019.
La ligne ferroviaire transmaghrébine devrait s’étendre sur environ 2.350 km. Le coût de ce projet, initié au début des années1990 et qui vise à promouvoir les échanges commerciaux entre les trois pays du Maghreb central et à assurer une libre circulation des personnes et des marchandises, est estimé à 3,8 milliards de dollars.
Fin janvier, l’UMA a lancé un appel à candidature international pour le recrutement d’un consultant individuel (ou représentant d’une société) pour le marketing et la publicité de l’étude de la réhabilitation et de la modernisation de la ligne de chemin de fer transmaghrébine.
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Des fabricants espagnols de céramique, de la région Castellón près de Valencia, ont exprimé leurs préoccupations au sujet de l’institution par le gouvernement algérien d’un droit additionnel provisoire de sauvegarde (DAPS), une mesure applicable à 1 095 produits, dont la céramique.
Ils sont mécontents que l’Algérie ait instauré une telle mesure, estimant qu’elle pose problème et constitue un obstacle à l’entrée des produits de céramique espagnols sur le marché algérien, un marché dont ils disent qu’ils tiraient profit, étant le principal débouché pour leurs produits. Cette information est rapportée par le média espagnol La Vanguardia. Ce dernier ajoute que les exportateurs mécontents ont qualifié la mesure de « protectionniste », soulignant qu’elle est en porte-à-faux avec des dispositions de l’accord d’association liant l’Algérie à l’Union européenne. En fait, la décision du gouvernement est une décision souveraine. Elle est objectivement justifiée, parce que prise dans un contexte de déficit de la balance des paiements. En règle générale, le commerce extérieur est ouvert sans contrainte. Mais une dérogation à cette règle est admise en cas de déséquilibre de la balance de paiement. Et c’est le cas aujourd’hui.
Ce n’est pas la première fois que les fabricants espagnols de céramique critiquent les restrictions à l’importation adoptées en Algérie. En 2018, ils ont exprimé leur mécontentement au sujet de la liste des 850 produits interdits à l’importation. Mais, un accord a été trouvé entre Algériens et Espagnols, en prorogeant les délais des licences d’importation de céramique espagnole jusqu’au 31 mai 2018. En juin 2018, l’association des fabricants espagnols de céramique est montée au créneau, après l’expiration des délais. Elle a mentionné, dans un communiqué rendu public et repris par le journal El Periodico del Azulejo, que l’Algérie a de nouveau porté un coup dur au secteur de la céramique espagnole, après la décision de geler des importations de produits de la région de Castellón depuis le 31 mai 2018, c’est-à-dire après l’expiration des délais prescrits dans le cadre des licences d’importation. Avant le gel des importations de céramique par l’Algérie, le marché algérien générait environ 120 millions d’euros par an au profit du secteur de la céramique en Espagne.
En Algérie et à la suite de la suppression de l’importation de la matière première, incluse dans la liste des 850 produits interdits d’importation, quelque 50 petites et moyennes entreprises du secteur de la céramique étaient menacées de fermeture et de licenciement de leurs salariés. Le pays importe de la matière première pour l’équivalent de 35 millions d’euros, annuellement, alors que la facture des produits de céramique importés, dans le cadre de la revente en l’état est de 71 millions d’euros. Il gagne relativement au change.
Mais au fort de la crise, en 2018, autour de la longue liste des produits frappés d’interdiction, nous avions assisté à une grande confusion quant aux objectifs de l’interdiction. Et les professionnels de la filière se posaient la question suivante : comment le gouvernement, le ministère du Commerce, considéraient-ils que 35 millions d’euros était une grosse facture à supporter par le budget, alors que 71 millions d’euros de produits finis importés, dans le cadre de la revente en l’état, était une facture acceptable. La facture des produits finis était le double de ce que l’Algérie importait en matière première, c’était là le problème.
En tout cas, ils pensaient (et ils le pensent encore) que c’est de là qu’était venue la confusion. Rappelons que le Daps dont le taux oscille entre 30 et 200% concerne plusieurs groupes de produits, à savoir les viandes blanches et rouges (à l’exception de la viande bovine congelée), les fruits secs, les fruits frais (à l’exception de la banane), les légumes frais, la préparation de viandes, la préparation de poissons et les fruits conservés ou préparés. Il concerne également les préparations alimentaires, les préparations pour soupes et potages, les dérivés de céréales, le ciment, les produits cosmétiques et les papiers d’hygiène.
Ils sont aussi concernés par le Daps, les produits plastiques, les caisses et caissettes en bois, les tapis, et autres revêtement de sol en matières textiles, le marbre et le granit finis, la céramique finie, les produits en céramique, le verre et l’ouvrage en verre, les ouvrages en fonte, l’aluminium et l’ouvrage en aluminium, les articles de robinetterie sanitaire, les chaises et les meubles, les lustres, les machines et les articles électroménagers, le téléphonie mobile et les ouvrages divers. Les produits de céramique importés sont dorénavant soumis une taxe additionnelle de 60%.
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Les cambistes affichent pour l’heure une indifférence qui s’explique par le fait que l’information a été bien digérée depuis novembre ainsi que par l’absence d’indicateurs fiables confirmant des velléités d’action contre l’informel, à en croire notre interlocuteur.
Lors de la présentation des deux nouveaux billets de banque de 500 et de 1 000 dinars ainsi que de la nouvelle pièce de monnaie de 100 dinars, dont la mise sur le marché est prévue dès la seconde moitié du mois en cours, les responsables de la Banque d’Algérie ont insisté sur le fait qu’il ne s’agit que d’une opération de rafraîchissement, voire d’une substitution progressive en matière de recyclage des billets en circulation.
Dit autrement, il n’est point question d’un changement de la monnaie nationale. Il ne s’agit non plus d’un moyen à même d’absorber les montants en dinar en circulation dans les réseaux informels. Il serait prématuré de parier sur un quelconque comportement du marché informel. Il y a deux raisons pour ça, nous explique un cambiste : d’abord, parce que le marché a eu à digérer cette information depuis son annonce en novembre dernier. A ce moment-là, l’information s’est répandue comme une traînée de poudre et chacun y est parti de sa propre interprétation, ce qui a fait que le dinar chutait vertigineusement face aux principales devises. Les choses se sont, ensuite, décantées, en attendant la seconde moitié de février, date prévue pour la mise en circulation des nouveaux billets de banque. Cette indifférence s’explique ainsi par le fait que l’information a été bien digérée depuis novembre ainsi que par l’absence d’indicateurs fiables confirmant des velléités d’action contre l’informel, à en croire notre interlocuteur.
N’empêche, la monnaie nationale a atteint des plus bas historiques face aux principales devises, sur le marché parallèle des changes. Un dollar s’échange contre 187 dinars, alors qu’une pièce de un euro valait 214 dinars. Jamais le dinar n’a atteint des niveaux aussi bas contre le billet vert et la monnaie unique européenne. «Cette hausse n’est guère attribuable aux récentes annonces de la banque centrale, même si les précédentes, datées de novembre, ont créé un climat de suspicion et de doute quant aux véritables intentions de cette institution», nous confie un autre cambiste, qui reconnaît que les taux appliqués actuellement sur le marché tirent leur source, en partie, de cette psychose qui s’est emparée des milieux de change informels au lendemain de l’annonce, en novembre, de l’intention de la Banque centrale d’émettre de nouvelles coupures de billets.
Mais l’attention des cambistes reste focalisée sur le comportement des détenteurs de capitaux en dinars non bancarisés et qui sont, de coutume, les plus gros demandeurs de devises sur le marché informel. Un autre cambiste évoque ainsi l’impact de ce genre d’annonces sur le comportement des détenteurs de capitaux en dinars. «L’impact sur le comportement du demandeur est plus important que l’influence que cela pourrait avoir sur l’offreur», soutient notre interlocuteur. Il explique qu’il est encore prématuré d’évaluer le comportement des gros demandeurs et que le marché traverse un passage à vide après que la psychose provoquée en novembre se soit estompée.
Les cambistes sont pour ainsi dire dans une posture attentiste à quelques jours de la mise en circulation des nouveaux billets de banque, alors que la grande interrogation porte plutôt sur le comportement des gros demandeurs de devises à des fins de thésaurisation. C’est un phénomène qui s’est accentuée depuis la dépréciation du dinar ; les détenteurs de capitaux en dinars non bancarisés se ruaient vers les devises, y voyant une valeur refuge contre un dinar malmené à la fois par les dévaluations officielles que par les rumeurs.
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La Compagnie française d’assurance pour le commerce extérieur (Coface) a estimé mardi à Paris que la croissance de l’Algérie reste « modérée » en 2019, tout en maintenant pour la troisième année consécutive la note « C » dans son guide annuel des risques pays.
Classée depuis 2009 à la catégorie A4, l’Algérie a reculé d’un cran en 2016 pour être classé, à partir de janvier 2017, dans la catégorie « C ».
Cette catégorie classe les pays où les perspectives économiques et financières sont très incertaines, l’environnement des affaires comporte d’importantes lacunes et la probabilité moyenne de défaut des entreprises est élevée.
En Afrique du Nord, l’Algérie est classée avec la Tunisie, qui a perdu une catégorie, à la troisième place derrière le Maroc (A4) et l’Egypte (B). Derrière elles, viennent la Mauritanie (D) et la Libye (E) en raison de la crise.
Sur les 48 pays africains évalués, elle partage la 15ème place avec l’Angola, le Burkina Faso, le Cameroun, le Djibouti, l’Ethiopie, le Gabon, la Guinée, le Niger, le Nigeria, l’Ouganda, le Congo (RD), le Sao-Tomé-Et-Principe, la Tanzanie, le Togo et la Tunisie.
Dans son « Guide Risques Pays & Sectoriels 2019 », présenté lors de son 23ème forum, la Coface a estimé que la croissance de l’économie algérienne restera « modérée » en 2019, relevant que l’augmentation du cours du pétrole a permis à l’économie algérienne de reprendre de l’allant en 2018.
« Les recettes d’exportations d’hydrocarbures, qui représentent 93 % des volumes exportés, se sont accrues allégeant la pression sur les recettes budgétaires, permettant, ainsi, à l’Etat de poursuivre sa politique de soutien à l’activité », a expliqué cet organisme d’assurance du commerce extérieur, notant qu’à contrario, les volumes exportés ont baissé au cours de l’année, à cause du recul de la production.
Légère diminution du déficit public
Cette dernière, a-t-on souligné, reste « pénalisée » par le « manque d’investissement et l’arrivée à maturité des champs », ajoutant qu’afin de répondre à ces enjeux, le gouvernement devrait mettre en place une nouvelle loi pétrolière qui serait effective en 2019 qui aura pour objectif d’attirer les investissements étrangers.
La Coface évoque également la diversification des sources et modes de production avec le développement de l’offshore et l’exploitation des hydrocarbures non conventionnels, estimant que ça « devrait permettre au secteur de retrouver un nouveau souffle ».
Cependant, a-t-elle relevé, qu’en dépit d’un marché pétrolier qui devrait rester « favorable » aux exportateurs d’hydrocarbures, l’activité algérienne « devrait légèrement ralentir en 2019 ».
« L’Etat devrait bénéficier de marges de manoeuvre budgétaire supplémentaires, mais (…) ces dernières seraient axées sur des mesures sociales. Les transferts sociaux devraient en effet augmenter, ce qui soutiendrait la consommation des ménages, mais les dépenses d’investissements publics devraient marquer le pas », a-t-elle fait remarquer, considérant que le ralentissement de l’économie hors hydrocarbures, notamment des secteurs fortement dépendants de la dépense publique et un climat des affaires « peu favorable », « devraient continuer à pénaliser l’investissement privé ».
Concernant la politique budgétaire du gouvernement, le rapport a considéré que l’amélioration de la conjoncture pétrolière « a favorisé une légère diminution du déficit public en 2018, qui devrait se poursuivre en 2019 ».
Pour cet organisme, les dépenses de fonctionnement et les transferts sociaux (notamment en soutien des familles), « devraient augmenter au détriment des dépenses d’équipement », ajoutant que la dette publique devrait augmenter en conséquence, « mais elle restera majoritairement domestique ».
« Le recours à l’endettement extérieur reste pour le moment exclu par les pouvoirs publics », a-t-on affirmé, relevant que le déficit courant s’est « nettement contracté » en 2018.
Par ailleurs, la Coface estimé que les réserves de change « continuent de s’éroder, mais à un rythme moins rapide, prévoyant une augmentation des IDE, « notamment grâce la nouvelle loi d’investissement dans le secteur pétrolier ».
Parmi les points forts de l’économie algérienne, la Coface cite les importantes réserves de pétrole et de gaz, le potentiel dans les domaines des énergies renouvelables et du tourisme et la situation financière extérieure solide (très faible endettement extérieur, importantes réserves de change).
Parmi les points faibles, elle évoque entre autres la forte dépendance aux hydrocarbures, le taux de chômage des jeunes « élevé », le poids « excessif » du secteur public, les lourdeurs bureaucratiques, les faiblesses du secteur financier et un environnement des affaires « problématique ».
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L’association Maurice-Audin a affirmé vouloir «poursuivre les exigences de vérité sur les conditions de l’assassinat de Maurice Audin, mais aussi l’action sur tous les disparus de la guerre d’Algérie». Cette déclaration a été signée par le président de l’association, Pierre Mansat, qui réagissait à la disparition de la veuve du jeune mathématicien enlevé et assassiné en 1957 par l’armée coloniale française durant la guerre de Libération.
«Nous allons continuer le combat (…) et c’est sans doute le plus bel hommage qu’on peut rendre à Josette Audin», a promis avant-hier dimanche Pierre Mansat sur les ondes de la Chaîne de Radio française France Info. Josette Audin est morte samedi dernier à Bagnolet, près de Paris, à l’âge de 87 ans. Elle se battait depuis 60 ans pour que l’armée française reconnaisse avoir torturé et assassiné son mari. Elle sera «enterrée dans l’intimité familiale. Nous avons convenu avec Pierre et Michèle Audin (ses enfants, ndlr) que ce sera sans doute lors de l’inauguration du cénotaphe Maurice Audin, qui va être réalisé au Père Lachaise.
Un hommage public sera rendu à Josette Audin à cette occasion, sans doute en juin 2019», a indiqué Pierre Mansat. «Elle a vécu toute sa vie avec cette injustice enfouie au fond d’elle-même», a réagi de son côté sur France Info, Pierre Laurent, ancien secrétaire national du Parti communiste et sénateur de Paris. «C’était une militante très humble, modeste mais très courageuse, assurée dans ses convictions et elle l’est restée toute sa vie.» En Algérie, le président de la République Abdelaziz Bouteflika a adressé un message de condoléances à la famille de la défunte, rendant hommage à une «militante anticolonialiste de la première heure».
«C’est avec une grande tristesse que j’ai appris le décès de Josette Audin, militante anticolonialiste de la première heure», écrit le président Bouteflika dans son message. Le chef de l’Etat a tenu à saluer «avec émotion» la mémoire de «cette grande dame qui a mené un combat inlassable, sa vie durant, afin que la vérité soit faite sur l’assassinat de son mari et la pratique de la torture durant la guerre de Libération nationale». «Son courage, sa persévérance, la force de ses convictions et de ses engagements ont marqué les esprits à jamais», a-t-il ajouté.
«Détermination inébranlable»
Pour sa part, le président français Emmanuel Macron a affirmé, hier lundi, que le militant Maurice Audin «avait été torturé puis exécuté ou torturé à mort» par l’armée française. Dans un hommage à Josette Audin, il a rappelé, qu’arrêté à son domicile par des militaires français le 11 juin 1957, Maurice Audin «ne revint jamais».»
Il avait été torturé puis exécuté ou torturé à mort par ceux qui l’avaient arrêté», a-t-il dit, soulignant que la plainte pour enlèvement et séquestration que Josette Audin déposa alors «achoppa, comme d’autres, sur le silence ou le mensonge des témoins-clés».
Il a encore rappelé que «l’enquête fut définitivement close en 1962 par un non-lieu, en raison des décrets d’amnistie pris à la fin de la guerre d’Algérie, qui mirent fin à toute possibilité de poursuite».
«Déplaçant alors son combat pour la justice sur le terrain de l’établissement et de la reconnaissance de la vérité, des faits historiques et des responsabilités politiques, Josette Audin continua à se battre avec une détermination inébranlable pour savoir ce qui était arrivé à son époux, puis pour que cette histoire soit connue, et, plus généralement, pour que l’histoire complexe et douloureuse de la guerre d’Algérie soit regardée avec courage et lucidité», a ajouté le chef de l’Etat français. «La vie de Madame Audin fut une vie d’amour et de combat pour son mari et pour la vérité.
C’est son viatique et la source de notre profond respect», a-t-il conclu.
Le 13 septembre 2018, le président Macron, en rendant visite à Josette Audin, avait reconnu le rôle de la France dans l’assassinat de son mari et la pratique de la torture durant la guerre de Libération nationale.
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Le président du Front de la justice et le développement (FJD), Abdallah Djaballah, ne perd pas espoir de parvenir à un « candidat consensuel » de l’opposition pour la présidentielle d’avril prochain. C’est ce que suggère sa déclaration d’hier annonçant des rencontres qu’il va mener avec les potentiels prétendants à la magistrature suprème, dont Makri, Ghediri et Benflis et bien d’autres personnalités. Objectif : parvenir à présenter un seul candidat de l’opposition. Le chef du FJD est convaincu que ça serait l’unique option viable pour les candidats de l’opposition.
Par NAZIM B et AZIZ LATRECHE
Invité hier de TSA-Direct, M. Djaballah est revenu par ailleurs sur le fait que son parti n’a pas présenté de candidat au prochain scrutin présidentiel. Les membres du Conseil consultatif du FJD « ont voulu que je me présente à la présidentielle, mais je me suis excusé. C’est à partir de là qu’ont été prises les décisions de ne pas participer et d’entamer des discussions avec l’opposition sérieuse, partis ou personnalités, afin de dégager un consensus sur un candidat unique», a-t-il souligné. Sur son activisme pour fédérer les partis de l’opposition, M. Djaballah a plaidé pour « une position commune, car seul le peuple peut retirer la légitimité au gouvernant, à supposer qu’il l’a élu par le passé. Il est difficile de faire partir le lobby qui détient le pouvoir aujourd’hui avec une multitude de candidatures», a-t-il soutenu.
Pour lui, «cela lui donnerait l’occasion d’arranger les résultats de l’élection en sa faveur puis expliquer la victoire de son candidat par l’éparpillement des voix de l’opposition». S’agissant de la candidature du président Bouteflika pour sa propre succession, Djaballah estime qu’elle est «inéluctable, sauf s’il décède», jugeant qu’elle est «en porte-à-faux avec les dispositions de la Constitution». Critiquant les partis politiques qui appellent à une candidature du président sortant, le chef du FJD a souligné que « ceux qui parlent en son nom courent derrière leurs intérêts personnels et partisans. S’ils étaient fidèles au peuple, s’ils se souciaient des intérêts du peuple, ils n’auraient pas accepté d’adopter une telle position».
M. Djaballah s’est également attaqué à ce qu’il a qualifié de « lobby » détenteur de la décision, estimant que « la façade de ce lobby, ce sont les partis de l’Alliance, mais il y a aussi des hommes d’affaires et des intellectuels… » Il convient de souligner que le parti du FJD a fait état au lendemain de la réunion de son conseil consultatif d’entamer une série de rencontres et de concertations avec les candidats, les personnalités ainsi que les partis politiques concernés par cette élection pour aboutir à un candidat autour duquel l’opposition pourrait éventuellement fédérer ses forces. M. Lakhdar Benkhellaf, dirigeant du parti, a relevé dimanche, qu’il s’agira d’un candidat qui adopte « un projet consensuel incluant notamment une réforme constitutionnelle et juridique en faveur de la nation et sa jouissance du pouvoir et de la fortune ».
« Si notre initiative n’aboutit pas, nous aurons à prendre notre propre décision et à ce moment-là tous les scenarios seront envisageables y compris ceux qui consistent à boycotter ou opter pour des bulletins blancs lors de l’élection », nous a indiqué le même responsable. A la question de savoir si le parti pense à un candidat précis pour cette précampagne électorale, M. Benkhellaf nous dira, que pour l’instant, « il n’existe aucun nom précis ». Par contre, a-t-il précisé, « il y a un cahier des charges que le candidat doit respecter », dira-t-il, relevant que « ce cahier des charges que nous avons déjà établi et que nous allons enrichir encore, contient la nécessité d’établir des réformes fondamentales en faveur de l’intérêt de la nation et notamment des réformes constitutionnelles qui garantissent les libertés ainsi que des élections libres qui soient loin de la fraude ».
« Nous avons décidé de ne pas présenter un candidat du parti parce que nous savons que cette élection sera fermée (…) mais au moins nous voulons opter pour la mener loin de la division politique. Nous avons fixé une date butoir pour l’aboutissement de notre initiative qui sera le 3 mars prochain, c’est-à-dire la même date butoir pour la présentation des candidatures », a noté M. Benkhellaf.
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