Les opérations d’assainissement effectuées dans les villages de la wilaya n’ont pas satisfait, dans la majorité des cas, aux exigences environnementales. Les eaux usées n’ont pas abouti dans les stations d’épuration mais… dans les oueds.
à se fier aux déclarations des différents responsables locaux, toutes les mesures de nature à éviter le risque de contamination par le choléra sont prises par les autorités locales. Au fil des jours, ces déclarations ne se sont pas révélées vaines puisqu’aucun cas n’est jusque là enregistré dans cette wilaya et la population ne peut être que rassurée. Mais, une question continue, tout de même, de tarauder les esprits : le risque de maladies à transmission hydrique est-il définitivement écarté dans cette région ?
Si l’on juge par la qualité de l’eau potable qui arrive dans les robinet, le risque de MTH ne peut être que très infime, et même quasiment exclu dans la wilaya de Tizi Ouzou où les laboratoires de l’Algérienne des eaux (ADE), et de la Seaal pour la station de traitement des eaux du barrage de Taksebt, ont mis en place les procédés les plus rigoureux en matière de contrôle de qualité de l’eau distribuée aux ménages.
A contrario, la situation du raccordement aux réseaux d’assainissement dans la région est loin de donner la même assurance. Lorsqu’on entend des responsables annoncer que le taux de raccordement aux réseaux d’assainissement à Tizi Ouzou a atteint 88% après avoir été de 78% il y a une dizaine d’années, et que la région dispose de 8 stations d’épuration fonctionnelles, de plus de 200 bassins de filtration et une trentaine d’autres de décantation on est presque tenté d’applaudir. Sauf que ce taux cache une situation bien inquiétante par endroits. Une des inquiétudes vient de ces nombreux villages où les eaux usées des ménages sont déversées dans des conduites d’évacuation qui ne vont généralement pas au-delà de la sortie de ces villages. En effet, réalisés généralement par les APC et les comités de village, ces conduites ne sont reliées à aucun collecteur conduisant vers une quelconque station d’épuration. C’est dans la nature, les ruisseaux et les rivières que les eaux usées des villages sont généralement déversées. Une situation que nous avons eu à vérifier dans de nombreuses communes telles que Mâatkas, Béni Zmenzer, Béni Douala, Irdjen, Larbâa Nath Irathen, Aïn
El-Hammam…Cette situation n’est pas sans risque de provoquer des contaminations de la ressource hydrique et, par conséquent, un risque sérieux de prolifération de maladies à transmission hydrique parmi les populations locales comme ce fut le cas durant l’été 2015 dans la localité d’Irdjen où plusieurs personnes ont été évacuées vers les structures de santé. Tout récemment encore, l’ADE a dû intervenir, fort heureusement à temps, pour interrompre l’alimentation de certains habitants à Bouzeguène après qu’une conduite fut contaminée par des eaux usées, a-t-on appris auprès de sources locales. Dans la localité de Tizi Gheniff, à l’extrême sud de Tizi Ouzou, les eaux usées ont également contaminé la source El-Ainceur Tala Yaâla où s’approvisionnent les deux villages Ioufithène et Ibellithène. “À l’origine de cette pollution, des réseaux d’assainissement qui déversent leurs eaux usées dans la nature et qui ont fini par contaminer la source”, a expliqué un habitant de la région.
La commune de Mechtras court le même risque tant le principal oued traversant le chef-lieu et qui trouve son prolongement dans la commune d’Assi Youcef, est totalement pollué. Mais le plus gros risque dans la wilaya de Tizi Ouzou guette, à l’avenir, surtout le barrage de Taksebt dont la cuvette continue de recevoir les eaux usées de la cinquantaine de villages nichés sur les collines le surplombant. Le projet de six stations d’épuration destinées à le protéger a été dégelé récemment après avoir été gelé en 2015 sous prétexte de l’austérité mais encore faut-il savoir dans combien de temps ce projet sera fonctionnel. En attendant, la vigilance s’impose car le risque de MTH n’est pas définitivement écarté.
Samir LESLOUS
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“J’ai été auditionné le 19 août dernier par les services de sécurité sur les dons perçus de la part de Kamel El-Boucher”, a confirmé Boualem R., 54 ans, imam à la mosquée du quartier du 5-Juillet à Lakhdaria.
Une vingtaine d’imams, vingt et un plus précisément, exerçant dans la daïra de Lakhdaria, dans la banlieue ouest de Bouira, ont été auditionnés par les services de la Police judiciaire, dans le cadre d’une enquête sur des financements douteux de certaines mosquées de la région, par le sulfureux homme d’affaires, Kamel Chikhi, dit “El-Boucher”, a-t-on appris auprès de sources concordantes. Ainsi et selon nos informations, l’enquête coordonnée par les éléments de la Police judiciaire ainsi que ceux de la Gendarmerie nationale, vise à déterminer la destination des fonds gracieusement accordés par Kamel “El-Boucher”, lequel faut-il le rappeler, est natif de la région de l’ex-Palestro. Les enquêteurs soupçonnent une destination occulte pour ces financements. Les mêmes sources précisent que ces imams, notamment ceux des localités de Zbarboura, Krachiche et même des communes avoisinantes telles que Guerrouma et Zbarbar, ont déclaré ignorer l’origine des fonds provenant de cet homme d’affaires mais, en revanche, ils ont reconnu devant les enquêteurs que ces sommes, plus de 30 millions de dinars, soit plus de 3 milliards de centimes ont servi à l’édification et la réfection de plusieurs mosquées et autres écoles coraniques de la région.
L’un de ces imams auditionnés, Boualem R., 54 ans, officiant à la mosquée du quartier du 5-Juillet en plein cœur de la ville de Lakhdaria, nous a confirmé ces auditions par les officiers de la Police judiciaire. “J’ai été auditionné le 19 août dernier par les services de sécurité sur les dons perçus de la part de Kamel ‘El-Boucher’. Les enquêteurs m’ont demandé à quoi a servi cet argent et j’ai répondu à leurs question”, a-t-il indiqué, sans révéler ce qu’il a consenti à leur dire. Pour notre interlocuteur, Kamel “El-Boucher” avait pour habitude d’aider la communauté par des dons et de manière régulière. “Avant que toute cette affaire n’éclate, Kamel Chikhi était très apprécié de la part des citoyens de Lakhdaria, car il aidait tout monde, sans exception (…) ce qui s’est passé ensuite je n’en sais rien et je l’ai explicitement dit aux enquêteurs”.
Néanmoins et selon des sources judiciaires, les enquêteurs soupçonnent certains de ces hommes de foi d’avoir destiné en réalité ces sommes d’argent à d’autres fins, et ce, avec le consentement de Kamel Chikhi. Actuellement, l’enquête diligentée par le parquet d’Alger est encore à ses débuts, précise-t-on. Cependant et à en croire les mêmes sources, des indices concordants auraient déjà été établis et qui peuvent constituer des preuves pour l’inculpation de certains imams. Interrogé à propos de l’enquête des services de sécurité, le directeur des affaires religieuses et des waqfs de Bouira, Brahim Touati, n’a ni confirmé ni infirmé cette information. “Pour ma part, je ne peux me prononcer sur cette affaire, du moment que je n’ai pas eu connaissance de ces enquêtes.” Concernant les dons effectués par Kamel “El-Boucher”,
M. Touati, a indiqué qu’il était au courant de ces financements, mais selon lui, cet homme d’affaires, n’a jamais introduit une demande officielle auprès de ses services, afin de financer tel ou tel édifice religieux. “J’ai entendu dire qu’il financé la mosquée de Madinet El-Hayet et une mosquée à El-Krachiche”, a-t-il déclaré. Par ailleurs, hier en début d’après-midi, une folle rumeur a circulé à Bouira, faisant état du limogeage du doyen des imams de Lakhdaria pour sa présumée mise en cause dans cette affaire.
M. Touati a démenti cette rumeur en déclarant : “Aucune mesure n’a été prise contre le doyen de Lakhdaria. Il est toujours en poste.” Quoi qu’il en soit, la communauté des imams de Bouira est sous le choc, après le déclenchement de cette enquête.
RAMDANE BOURAHLA
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Les étudiants de l'Université d'Abomey Calavi (UAC) veulent déclencher un mouvement général de grève pour non satisfaction de leurs revendications. La nouvelle a été annoncée, le 28 août dernier, au cours d'une conférence, organisée par l'Union Nationale des Scolaires et Etudiants du Bénin et l'Ong La voix des étudiants.
Les responsables des organisations estudiantines exigent entre autres l'octroi de bourses et secours universitaires aux enfants de parents pauvres sans critère de moyenne d'âge, l'affichage des noms et le paiement immédiat de tous les étudiants allocataires, des frais de mémoires des années antérieures. Ils demandent aussi des explications sur la disparition mystérieuse de nombreux dossiers des étudiants allocataires des années 2014 à 2017.
Aussi, réclament-ils l'annulation pure et simple du décret N°2017-155 du 10 mars 2017, portant critère d'attribution des allocations universitaires dont le contenu écarte les enfants des pauvres du droit aux bourses et aides universitaires et la décision qui contraint les nouveaux bacheliers à avoir au moins une mention Assez bien et 21 ans au plus avant de participer au concours d'entrée dans les écoles et instituts publics.
En tout état de cause, indique Josué Houngbédji, porte-parole de l'ONG, les étudiants du Bénin enclencheront une grève générale dans les jours à venir, au cas où les revendications ne seront pas satisfaites. « Les autorités en charge de l'enseignement supérieur au Bénin, seront tenues responsables de toutes les déconvenues qu'engendreraient leur entêtement à refuser la satisfaction des différentes revendications des étudiants béninois », a affirmé Josué Houngbédji.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)
Au rayon des fléaux ciblés, figurent l’évasion fiscale, l’endettement fictif des entreprises auprès de sociétés de services établies à l’étranger, la délocalisation d’une part de la base taxable des entreprises, les transferts de devises…
C’est au moyen de certaines dispositions fiscales incluses dans l’avant-projet de loi de finances 2019 que le gouvernement tentera d’endiguer le phénomène du transfert de devises vers l’étranger ainsi que celui de la fraude et de l’évasion fiscales. Il tente ainsi de manifester son engagement en faveur d’une lutte contre des fléaux économiques qui ne cessaient de prendre des proportions pour le moins inquiétantes ces dernières années. L’avant-projet de loi de finances 2019 se veut une feuille de route pour y mettre un terme. Pourvu que les mesures soient appliquées et respectées à la lettre par l’ensemble des institutions de l’État. En effet, l’État taxe désormais les sommes injectées par les entreprises dans la rémunération des services rendus, à titre de frais d’assistance technique, financière ou comptable, par une entreprise installée à l’étranger. Au rayon des fléaux ciblés par l’article 2 de l’avant-projet de loi de finances 2019, dont Liberté a obtenu une copie, figurent l’évasion fiscale, l’endettement fictif des entreprises auprès de sociétés de services établies à l’étranger, la délocalisation d’une part de la base taxable des entreprises, les transferts de devises, etc. Le gouvernement fait montre désormais de limiter le recours à l’assistance technique, financière et comptable assurée par des cabinets de consulting basés à l’étranger. Laquelle assistance “peut être un foyer pour l’évasion fiscale”, voire une pratique de facturation parfois “exagérée” et au profit de “services fictifs”, lit-on dans l’exposé des motifs de l’article 2 de l’avant-projet de finances 2019. “La proposition de mesure tend à soumettre les frais d’assistance technique, financière ou comptable à un plafond de déductibilité, en prenant en considération le type d’activité exercée, et ce, pour, d’une part, limiter l’évasion fiscale et, d’autre part, encourager les entreprises à effectuer des contrats d’assistance technique avec un transfert technologique ou du moins accompagné d’un complément à un savoir-faire”, lit-on dans le texte initial de la LF 2019 qui fait exception aux frais d’assistance technique et d’études relatives aux installations lourdes essentiellement, le montage d’usines.
Pratiques dommageables pour le Trésor
Le gouvernement montre également une envie naissante de s’attaquer à certaines pratiques jugées dommageables pour le Trésor public, dont les sommes injectées à titre de prêt par les associés dans leurs sociétés moyennant des intérêts. Il s’agit aussi des avances et des prêts sans intérêts que les sociétés mettent à la disposition des associés. Désormais les intérêts et les prêts versés aux associés sont déductibles. Au moyen dudit dispositif présenté par l’article 2 de l’avant-projet de loi de finances 2019, l’Exécutif dit vouloir lutter contre les schémas d’optimisation fiscale, l’endettement artificiel et la sous-capitalisation. L’avant-projet de loi de finances 2019, qui met davantage les entreprises à contribution pour le budget du prochain exercice, s’intéresse également à une autre niche qui se rapporte à la publicité des entreprises. L’article 3 dudit avant-projet taxe davantage la promotion des produits (biens et services), prétextant une volonté de limiter “des abus constatés en la matière et qui ont comme finalité la réduction de la base imposable”. La première mouture de la loi de finances 2019, débattue cette semaine en réunion du gouvernement, propose également un arsenal de mesures destinées à combattre la fraude fiscale et la fraude à la facturation générées par le recours “intensif” à la sous-traitance. Dans cette pratique, le législateur y voit le moyen par lequel les entreprises contournent la législation aux fins de frauder. “Il est certain que ce type de situation s’est beaucoup développé dans le secteur du bâtiment et des travaux publics et cette pratique va, sans aucun doute, se généraliser vers les autres secteurs de production industrielle et de prestation de services, tels que l’industrie de l’automobile, de l’électronique et bien d’autres segments d’activité d’une importance économique exceptionnelle”, lit-on dans l’avant-projet de loi de finances 2019. “L’usage intensif de ce mode opératoire favoriserait la prolifération du phénomène de la fraude à la facturation qui se caractérise par le recours à l’établissement de fausses factures et/ou de factures de complaisance, ce qui induirait un énorme préjudice au Trésor public, dû au fait que ces opérateurs enregistrent des bénéfices faibles ou des déficits, au moment où leurs coûts de sous-traitance sont élevés.”
La sous-traitance, un artifice pour la fraude
Pour lutter contre de telles pratiques, le gouvernement exige des opérateurs économiques de procéder, d’une part, à l’authentification des références commerciales et fiscales de leurs partenaires bénéficiaires de ces paiements et, d’autre part, de produire, en marge de leurs déclarations annuelles de résultats, un état détaillé des sommes versées aux tiers ne faisant pas partie de leurs personnels, dont notamment la sous-traitance, les commissions et toutes autres rémunérations versées à des tiers. D’autres dispositions fiscales de l’avant-projet de LF 2019 instaurent également l’application d’une amende pour les contribuables ne procédant pas à l’authentification des numéros des registres du commerce et des numéros d’identification fiscale de leurs partenaires commerciaux. L’Exécutif décide également de taxer les opérations commerciales effectuées via les plateformes numériques. Une retenue à la source de l’ordre de 5% au titre de l’IFU, libératoire d’impôts, est ainsi introduite pour la vente des biens et services par Internet (article 11). Alimenter les caisses du Trésor public en taxant certaines transactions, en luttant contre les fléaux économiques et en s’intéressant à de nouvelles niches parmi les grands contribuables. C’est ce que propose dorénavant l’avant-projet de loi de finances 2019, dont le concepteur semble redécouvrir les vertus de taxer les mauvais contribuables plutôt que de matraquer davantage les petits contribuables parmi les ménages et les classes moyennes. C’est la première fois que l’Exécutif s’intéresse aussi ouvertement à la lutte de certains crimes économiques, dont le transfert de devises au profit des sociétés et/ou partenaires étrangers fictifs, la fraude fiscale par le moyen du recours “intensif” à la sous-traitance, etc. Une activité complémentaire à l’administration fiscale qui demande tout de même de renforcer ses effectifs et ses moyens pour une meilleure efficacité. Plus les moyens sont renforcés, plus la collecte de l’impôt est meilleure, la lutte contre les fraudeurs est plus efficace. En 2009, il y a dix années déjà, faut-il le rappeler, Ahmed Ouyahia, alors chef du gouvernement, avait adressé une instruction aux P-DG d’entreprises publiques les enjoignant de limiter le recours à l’expertise étrangère, prétextant la détection de pratiques frauduleuses et la conclusion de contrats avec des partenaires fictifs. L’instruction n’a pas pu endiguer pour autant un fléau endémique. Serait-ce la bonne solution ; celle contenue, aujourd’hui, dans la mouture de la loi de finances 2019 ?
Ali Titouche
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Tel est le décor à l’entrée du souk Abbacha-Ammar
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De l’aveu du wali de Constantine, Abdessamia Saïdoune, les dernières affectations de logements sociaux dans son département seraient entachées d’irrégularités. Reconnaissant que des ayants droit ont été lésés lors des confections des listes des attributaires, le premier responsable de l’exécutif dans cette wilaya a révélé, hier, que ces dernières comprenaient, étonnamment, des émigrés ne remplissant pas les critères d’éligibilité au bénéfice d’un logement social. D’autres contrôles seraient vraisemblablement effectués par les mêmes services, concernant plusieurs opérations de relogement effectuées, récemment, par la wilaya de Constantine. Néanmoins, pour prévenir d’éventuels cas de fraude dans les prochaines distributions de logements sociaux, le wali a instruit les services de l’OPGI d’exiger la présentation du passeport à la remise des clés aux bénéficiaires et de récuser la procédure pour les détenteurs de titres de voyage délivrés par les services consulaires.
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Les laboratoires pharmaceutiques Salem, basés à El-Eulma, dans la wilaya de Sétif, se sont distingués par ce qui peut constituer une première dans le domaine, à savoir intégrer la langue amazighe sur les emballages de ses médicaments. La photo d’illustration met en évidence l’écriture en tifinagh sur la boîte Spasmol, produit par les laboratoires Salem.
Clin d’œil aux efforts consentis pour donner une place plus importante à Tamazight devenu langue nationale et officielle. Une initiative à saluer.
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La Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) a décidé de reprendre les opérations combinées avec la Gendarmerie nationale. En effet, ces opérations, instaurées durant les années 2000 à travers les 48 wilayas et qui avaient donné leurs fruits dans le cadre de la lutte contre la criminalité et les accidents de la circulation, ont été mises au placard depuis 2010 alors que l’interopérabilité et la complémentarité entre ces deux institutions étaient dictées par l’émergence de nouvelles formes de criminalité. Selon notre source, après une première opération effectuée avec succès à l’Est de Tipasa dans le cadre de la lutte contre les foyers de la délinquance, ces deux institutions ont déployé un dispositif commun à la veille de la rentrée scolaire pour sensibiliser les automobilistes contre les accidents de la circulation.
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La secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT) reste une anti-libérale assumée. Pour elle, le seul moyen de mettre fin à la dérégulation du marché, c’est-à-dire d’avoir une emprise et un contrôle sur les prix, c’est de rétablir le monopole de l’Etat sur les importations et …de revenir à l’époque de galeries et des aswak el fellah. La proposition a été émise, hier, par Louisa Hanoune en conférence de presse.
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Le mois de septembre sera un mois chargé pour le RCD. Outre les rendez-vous organiques, qui se tiennent régulièrement, le parti de Mohcine Belabbas a prévu une série d’activités politiques publiques. Demain vendredi, il tiendra le conseil régional de la wilaya de Bouira. Une semaine plus tard, soit le 8 septembre, il organisera la conférence nationale sur le code du travail, une conférence qui sera animée par des spécialistes du droit et des questions sociales. Une semaine après, soit le 15 du même mois, il enchaînera avec la conférence internationale sur la femme, à laquelle prendront part des invités du Maroc, de la Tunisie, de la Libye et de la Mauritanie.
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ORAN – Le ministre des Ressources en eau, Hocine Necib, a affirmé jeudi à Oran, que l’eau du robinet est « très saine et n’a de lien avec aucune épidémie« .
Le ministre a indiqué, en marge de sa visite au laboratoire principal de la Société de l’eau et de l’assainissement d’Oran (SEOR), que l’eau du robinet est très saine et ne présente aucun problème.
L’eau « est un produit vital soumis à un contrôle rigoureux », a-t-il déclaré.
Le ministre a souligné, en réponse à la question d’un journaliste sur le sujet, que l’eau du robinet est de bonne qualité et n’a aucun lien avec une quelconque épidémie.
Dans ce cadre, il a indiqué que l’eau du robinet est « une denrée vitale qui nécessite un contrôle permanent et intensif, car il y va de la santé du consommateur », ajoutant: « nous continuerons à soutenir la sécurisation du réseau national de distribution d’eau potable, à faire preuve de vigilance et à garantir toutes les mesures nécessaires ».
Hocine Necib a également rassuré que la qualité de l’eau du robinet est garantie à travers l’ensemble du réseau national.
Le ministre poursuit sa visite dans la wilaya d’Oran, en inspectant plusieurs installations de son secteur, notamment la station de dessalement d’eau de mer de Mers El-Hadjadj et la station de traitement des eaux usées d’El-Kerma.
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Le Président de la République, Son Excellence Monsieur Patrice Talon a quitté Cotonou, ce jeudi 30 août 2018, en direction de Pékin. La délégation gouvernementale comprend aussi les ministres Aurélien Agbénonci des Affaires étrangères et de la Coopération, Romuald Wadagni de l'Économie et des Finances, Oswald Homeky du Tourisme de la Culture et des Sports, Samou Séidou Adambi de l'Eau et des Mines et José Didier Tonato du Cadre de vie et du développement durable.
Le Chef de l'Etat se rend en visite de travail en Chine et pour participer au 3e sommet du Forum sur la Coopération Sino-Africaine (FCSA), qui se tiendra les 3 et 4 septembre 2018 à Pékin. La rencontre est placée sous le thème : « La Chine et l'Afrique : Communauté de destin et partenariat mutuellement profitable ».
Cette visite permettra également au Président Patrice Talon de mobiliser d'importants investissements pour la réalisation de son Programme d'action du gouvernement (PAG).
D. M.
Un jeune de 18 ans originaire de la localité de Hamadna, dans la wilaya de Relizane, s’est noyé dans la journée d’avant-hier au niveau de la plage de Sokhra, a-t-on appris hier auprès des éléments de la Protection civile.
Le corps de la victime a été repêché par un groupe de plongeurs de la Protection civile et transporté au service de la médecine légale de l’hôpital de Mostaganem, ajoute la même source qui précise que la plage susmentionnée n’est pas autorisée à la baignade.
A. B.
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Le guide suprême, l’ayatollah Ali Khamenei, a réaffirmé hier que l’Iran n’hésiterait pas à se retirer de l’accord de 2015, par lequel il s’est engagé à brider ses activités nucléaires, si celui-ci ne «préserve plus ses intérêts nationaux».
«Naturellement, si nous arrivons à la conclusion qu’il ne préserve plus nos intérêts nationaux, nous y renoncerons», a dit M. Khamenei, selon des propos tenus lors d’une réunion avec le gouvernement et publiés sur son site.
Conclu à Vienne par l’Iran et cinq grandes puissances, l’accord de 2015 a été dénoncé unilatéralement en mai par le Président américain Donald Trump, qui a, depuis, rétabli des sanctions contre Téhéran.
Les Européens, qui disposent d’une marge de manoeuvre réduite, tentent de sauver ce texte, mais le gouvernement iranien «ne doit pas placer trop d’espoirs» en eux, a répété hier le guide suprême. «Nous devons évaluer leurs promesses sous l’angle du scepticisme», a-t-il souligné.
L’ayatollah Khamenei a par ailleurs de nouveau exprimé le refus iranien d’entreprendre des négociations avec Washington, en dépit d’une récente offre en ce sens du Président américain.
Les Américains «veulent faire croire qu’ils peuvent amener n’importe qui, y compris la République islamique, à la table des négociations. Mais comme cela a déjà été dit de manière détaillée, aucune négociation n’aura lieu», a clamé le dirigeant iranien. Après avoir déchiré l’accord de 2015 et rétabli une première vague de sanctions, Washington prévoit de cibler le secteur énergétique en novembre.
Téhéran dénonce un «étranglement» de son économie, et vient de porter l’affaire devant la Cour internationale de justice (CIJ).
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Le Président américain Donald Trump a affirmé à des personnalités évangélistes que les démocrates allaient procéder «vite et de manière violente» à des changements si les républicains perdaient le contrôle du Congrès lors des élections de novembre, a rapporté le New York Times.
Lors de sa rencontre avec ces pasteurs à la Maison Blanche lundi soir, M. Trump a averti que son programme conservateur était en jeu si son parti perdait le scrutin de mi-mandat, selon un enregistrement fourni au quotidien par une personne ayant assisté aux échanges.
Les démocrates «vont annuler tout ce que nous avons fait et ils le feront vite et de manière violente», a-t-il dit. «Ils mettront immédiatement fin à tout». «Quand vous voyez les antifas», a-t-il ajouté en référence à certains groupuscules d’extrême gauche, «et que vous voyez certains de ces groupes, ce sont des gens violents».
Le New York Times a indiqué que les journalistes avaient été autorisés lundi soir à entendre de brefs propos de Trump devant les pasteurs et qu’il avait parlé d’avortement, de liberté religieuse et de chômage des jeunes.
Mais après le départ des journalistes de la salle, le président a changé de sujet, évoquant les moyens pour les évangélistes d’aider les républicains à gagner en novembre, selon le quotidien.
«Je vous demande juste de sortir et de vous assurer que tous vos gens votent», a dit M. Trump.
«Parce que s’ils ne votent pas nous allons avoir deux années affreuses (jusqu’à la présidentielle de 2020, ndlr) et nous allons passer, franchement, par une période très dure parce qu’on n’a qu’une élection.
Vous êtes à une élection près de perdre tout ce que vous avez». La Maison Blanche n’avait pas encore réagi à ces informations, parues dans la nuit de mardi à mercredi.
Ce n’est pas la première fois que M. Trump met en garde contre des violences si les choses ne vont pas comme il l’entend.
Pendant la campagne électorale de 2016, il a ainsi dit que ses partisans réagiraient probablement par «des émeutes» s’il ne remportait pas la nomination républicaine.
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