You are here

Afrique

Churerin in elitärem Zirkel: Tennis-Ass Waltert gelingt doppelter Ranking-Coup

Blick.ch - Mon, 09/29/2025 - 14:53
Simona Waltert klettert in der Weltrangliste weiter nach oben. Dabei knackt sie gleich zweimal die magische 100er-Marke.
Categories: Afrique, Swiss News

L’Algérie lance son premier emprunt souverain avec un rendement de 6% net

Algérie 360 - Mon, 09/29/2025 - 14:46

L’État algérien émet pour la première fois, à partir du 2 novembre 2025, un emprunt souverain sous forme de Sukuk Ijara, un instrument de finance […]

L’article L’Algérie lance son premier emprunt souverain avec un rendement de 6% net est apparu en premier sur .

Categories: Afrique, European Union

Achtung vor Teilzeitarbeit: So viel Geld verlierst du bei der Vorsorge wirklich

Blick.ch - Mon, 09/29/2025 - 14:25
Teilzeitarbeit nimmt zu. Das bringt gerade bei der Vorsorge finanzielle Einbussen. Wir zeigen dir, wie heftig diese ausfallen – und was du beachten solltest.
Categories: Afrique, Swiss News

Power-Duo könnte neue Ära einläuten: Machen zwei Stürmer YB wieder zur gefürchteten Walze?

Blick.ch - Mon, 09/29/2025 - 14:24
Es gab die Zeit, da crashte YB alles in Grund und Boden, was sich dem Team entgegenstellte. So wie am Sonntag in der letzten halben Stunde gegen Thun. War die Doppelneun Bedia/Cordova der Start in eine neue Ära?
Categories: Afrique, Swiss News

Sänger der Band Megawatt: Dafür gibt Thomas Graf am meisten Geld aus

Blick.ch - Mon, 09/29/2025 - 14:24
Seine Rockband Megawatt zählt zu den erfolgreichsten des Landes. Eben erschien ihr viertes Album. Der Sänger über Alpferien, kurze Nächte und geliebte Menschen.
Categories: Afrique, Swiss News

10 ans de prison pour viol d'une fillette de 6 ans

24 Heures au Bénin - Mon, 09/29/2025 - 14:18

Un jeune de 20 ans a été condamné à 10 ans de prison ferme pour viol d'une fillette âgée de 6 ans.

La Cour de Répression des Infractions Economiques et du Terrorisme (CRIET) a condamné, le 18 octobre 2023, le sieur Justin Z. à 10 ans de prison ferme, 500.000 FCFA d'amendes, 200.000 FCFA de dommages et intérêts pour la victime.

Le prévenu doit également verser le franc symbolique à l'Institut National de la Femme (INF).

Il est jugé pour des faits de viol sur mineure. Les faits se sont déroulés, mardi 21 février 2023 à Ouidah dans le département de l'Atlantique, a rapporté la Secrétaire Exécutive de l'INF dans une vidéo Facebook.

De retour d'une course commandée par son père, aux environs de 19 heures, la fillette de 6 ans a été interceptée par le jeune homme de 20 ans. Celui-ci la conduit dans une brousse où il a eu des relations sexuelles avec elle malgré ses cris.

Le violeur a été surpris par un passant qui alerta les populations.

Arrêté et condamné par la justice, le prévenu a fait appel du jugement.

La CRIET, en appel, a retenu contre le prévenu l'infraction d'atteintes sexuelles sur mineure de moins de 13 ans et confirmé la peine.

Categories: Afrique, Swiss News

Mit 88 Jahren: Deutscher Bariton Franz Grundheber gestorben

Blick.ch - Mon, 09/29/2025 - 14:16
Der deutsche Opernsänger Franz Grundheber ist tot. Er starb am Samstag im Alter von 88 Jahren in Hamburg, wie sein Management mit Verweis auf die Familie mitteilte.
Categories: Afrique, Swiss News

Auch Kinder darunter: Schwerer Busunfall in Hamburg – 20 Personen verletzt

Blick.ch - Mon, 09/29/2025 - 14:04
Schweres Busunglück im Hamburg: Ein Schulbus fuhr einem anderen Linienbus am Montagmorgen auf. Bei dem Auffahrunfall wurden 20 Menschen, darunter Kinder, verletzt. In einem der Busse befand sich eine Schulklasse.
Categories: Afrique, Swiss News

Selbstunfall in Kriens LU: Lernfahrer klaut Mercedes und kracht gegen Gartenzaun

Blick.ch - Mon, 09/29/2025 - 13:56
Ein 22-jähriger Mann aus Eritrea hat in Kriens einen Selbstunfall mit einem entwendeten Auto verursacht. Der Fahrer, nur im Besitz eines Lernfahrausweises, flüchtete vor der Polizei und wurde später festgenommen.
Categories: Afrique, Swiss News

Tomorrow’s Leaders 2026 : des bourses américaines prestigieuses ouvertes aux étudiants algériens

Algérie 360 - Mon, 09/29/2025 - 13:43

L’ambassade des USA en Algérie annonce le lancement du prestigieux programme Tomorrow’s leaders. Parrainé par l’initiative de partenariat entre les États-Unis et le Moyen-Orient, ce […]

L’article Tomorrow’s Leaders 2026 : des bourses américaines prestigieuses ouvertes aux étudiants algériens est apparu en premier sur .

Categories: Afrique, European Union

« Un triple danger »… Saâdaoui dresse la liste noire des fléaux qui guettent les élèves algériens

Algérie 360 - Mon, 09/29/2025 - 13:25

Le ministre de l’Éducation nationale, Mohamed Seghir Saâdaoui, a mis en garde contre un « triple danger » pesant sur la santé des élèves, à l’occasion du […]

L’article « Un triple danger »… Saâdaoui dresse la liste noire des fléaux qui guettent les élèves algériens est apparu en premier sur .

Categories: Afrique, European Union

Le Bénin renforce sa souveraineté budgétaire et sa crédibilité internationale

24 Heures au Bénin - Mon, 09/29/2025 - 13:19

Entre 2016 et 2023, le Ministère de l'Economie et des Finances (MEF) a doublé les recettes fiscales, réduit la dette et multiplié les dépenses sociales. Voici comment le MEF a transformé l'économie du Bénin.

Au Bénin, les recettes domestiques ont plus que doublé en sept ans. Elles sont passées de 746 milliards FCFA en 2016 à plus de 1 700 milliards en 2023. Une augmentation de 128 % sans hausse d'impôts.

Le Code Général des Impôts a adopté a permis la suppression de vingt taxes et impôts.

En parallèle, la télédéclaration et le télépaiement ont été généralisés.

Le civisme fiscal a suivi. Le nombre d'entreprises contribuables a été multiplié par trois. De 2 979 à 8 655.
De sources proches du Ministère de l'Economie et des Finances, l'objectif d'ici 2026 est financer 75 % du budget national avec les ressources propres, contre 59 % en 2023.

Accès aux marchés internationaux et crédibilité retrouvée

Depuis 2019, le Bénin est noté par les trois principales agences. En avril 2024, S&P a relevé sa note à BB-.
Le Bénin a gagné la confiance des marchés. Cinq eurobonds ont été levés depuis 2016 pour 1 754 milliards FCFA. Des levées de fonds qui ont servi à rembourser d'anciennes dettes plus chères (taux > 7%) ; racheter par anticipation des eurobonds pour profiter des conditions favorables ; Financer les projets de développement (974 milliards FCFA).

Autre symbole de rigueur : les dettes internes sont désormais réglées sous 30 jours. Un soulagement pour les entreprises.

Le taux d'endettement du Bénin reste bas : autour de 50 % du PIB. En dessous du seuil communautaire de 70 %.

Le Bénin occupe désormais la première place en Afrique francophone en matière de transparence budgétaire. Deuxième à l'échelle du continent.

Le social au cœur du budget : des dépenses multipliées par cinq

En 2023, le Bénin a investi près de 900 milliards FCFA dans les dépenses sociales prioritaires, contre 177 milliards avant 2016.

Les actions sont multiples : cantines scolaires (1,3 million d'enfants), microcrédits, soins gratuits pour les plus démunis, assurance maladie universelle, entretien des pistes rurales, soutien à l'entrepreneuriat des jeunes.
Le gouvernement rompt avec l'assistanat ponctuel. Il privilégie des politiques sociales structurées, pour plus d'autonomie.

Le budget de l'État est publié dans un langage simplifié. Il est traduit en huit langues nationales. Un effort salué par la société civile.

Categories: Afrique, Swiss News

En principe, ce sont les délégués des partis qui sont attendus à Parakou

24 Heures au Bénin - Mon, 09/29/2025 - 12:32

Porté en triomphe par la majorité présidentielle pour briguer la magistrature suprême au Bénin en avril 2026, Romuald WADAGNI, ministre d'Etat en charge de l'économie et des finances et de la coopération, sera officiellement investi, samedi 4 octobre 2025, à Parakou. L'évènement initialement réservé aux délégués des formations politiques, suscite beaucoup d'engouement tant de l'intérieur qu'à l'extérieur du pays.

Le dimanche 31 août 2025, les deux grands blocs de la mouvance présidentielle, l'Union progressiste le renouveau (UP-R), et le Bloc Républicain (BR), avaient officialisé leur choix sur l'actuel ministre d'Etat en charge de l'économie et des finances, Romuald WADAGNI, pour porter les couleurs de la majorité à la présidentielle de 2026 au Bénin.

Dans une convergence d'actions, les forces politiques soutenant les actions du chef de l'Etat Patrice TALON, notamment le MOELE-BENIN de Jacques AYADJI, la RN de Claudine PRUDENCIO, des acteurs politiques aussi bien de la mouvance présidentielle que de l'opposition, ont exprimé leur soutien à Romuald WADAGNI.

L'ancien président de la République, Nicéphore SOGLO, en dépit de ses critiques parfois très acerbes contre le gouvernement du président TALON, a salué ce choix opéré par les partis politiques de la mouvance présidentielle au Bénin. Pour lui, ce choix traduit une volonté de continuité mais ouvre également de nouvelles perspectives pour la réconciliation nationale. « Je tiens à adresser mes vives et sincères félicitations à ce brillant et jeune expert-comptable qui a fait ses preuves aux côtés du président Patrice TALON ces neuf dernières années », avait déclaré SOGLO, après avoir salué le parcours professionnel du futur locataire de la Marina.

L'autre soutien qui retient les attentions est celui du député Léon Basile AHOSSI, 2e vice-président de l'Assemblée nationale, membre du parti Les Démocrates, formation politique radicalement opposée à la gouvernance actuelle au Bénin. Deux semaines après sa note de soutien qui a fait le tour des réseaux sociaux, il a fait une déclaration officielle le 18 septembre pour exprimer son admiration à l'ex patron du cabinet Deloitte, devenu argentier national depuis 2016. Dans un entretien diffusé sur Matin Libre TV, il a confié avoir des accointances particulières avec le ministre d'Etat Romuald WADAGNI. « On a des choses en privé qui font qu'on se doit une certaine vérité, une certaine assistance », a-t-il renchéri.

Fort engouement à la cérémonie d'investiture
Quelques jours avant l'investiture du duo candidats Romuald WADAGN-Mariam Chabi TALATA, c'est la ferveur totale à l'intérieur comme à l'extérieur du pays. Nul ne veut se faire compter l'évènement.
Des ressortissants béninois à Accra au Ghana, Abidjan en Côte d'Ivoire et plusieurs autres capitales africaines, annoncent leur participation à cette cérémonie d'investiture alors que selon le principe, ce sont les délégués des partis qui souvent, sont invités pour l'investiture du candidat.

Les regards sont alors tournés vers Parakou, métropole de la région septentrionale du Bénin pour un évènement inédit qui sera gravé dans les annales de l'histoire.

Categories: Afrique, Swiss News

Un homme de 39 ans condamné à 10 ans pour viol d'une fillette

24 Heures au Bénin - Mon, 09/29/2025 - 12:28

La Cour de Répression des Infractions Economiques et du Terrorisme (CRIET) a condamné un homme de 39 ans pour viol sur une mineure de 12 ans.

Une mineure de 12 ans, vendeuse ambulante, de patates douces à Kétou, dans le département du Plateau, a rencontré un acheteur. L'homme de 39 ans a acheté toute la marchandise et demande à la fillette de lui déposer les patates douces dans la chambre.

Profitant de la situation, il « s'est jeté sur l'enfant et l'a déshabillée avant d'abuser sexuellement d'elle ». Contre son silence, le violeur a remis à la fillette une somme de 2500 FCFA en lui promettant encore plus d'argent si elle revenait.

Les faits se déroulent le 04 octobre 2023.

De retour à la maison, la petite narra toute sa mésaventure à sa mère.

Le violeur présumé est interpellé. Il a nié les faits mais reconnait avoir demandé à la mineure si elle était toujours vierge.

Le 17 janvier 2024, le violeur est condamné à 10 ans d'emprisonnement dont 7 fermes, 1 million d'amendes, 200.000 FCFA de dommages et intérêts pour la victime et franc symbolique pour l'Institut National de la Femme (INF).

Le prévenu fait appel du jugement. Mais la CRIET a retenu contre lui l'infraction d'atteintes sexuelles sur mineure de moins de 13 ans et confirmé le jugement, a rapporté la Secrétaire Exécutive de l'INF dans une récente publication Facebook.
M. M.

Categories: Afrique, Swiss News

Mort d’Amar Slimani en France : le récit controversé du policier qui a tiré six fois

Algérie 360 - Mon, 09/29/2025 - 12:08

Un an après avoir tragiquement mis fin à la vie d’Amar Slimani, un jeune Algérien sans papiers, le policier mis en cause sort du silence […]

L’article Mort d’Amar Slimani en France : le récit controversé du policier qui a tiré six fois est apparu en premier sur .

Categories: Afrique, European Union

Faouzi Saichi, un pilier du cinéma algérien, n’est plus

Algérie 360 - Mon, 09/29/2025 - 12:05

Le monde de la culture algérienne est en deuil. L’acteur Faouzi Saichi, figure marquante du cinéma et du théâtre national, s’est éteint ce lundi matin. […]

L’article Faouzi Saichi, un pilier du cinéma algérien, n’est plus est apparu en premier sur .

Categories: Afrique, European Union

Wie weiter mit der krisengeschüttelten Welthandelsorganisation?

Zunehmend drängt sich der Eindruck auf, dass europäische Entscheidungsträger den Glauben an das multilaterale Handelssystem verlieren – ein Eindruck, der sich auch im deutschen Diskurs in der Abwertung der Welthandelsorganisation (WTO) als „funktionsunfähig“ niederschlägt. Als Alternative zur WTO werden zunehmend Freihandelsabkommen gesehen, von denen Deutschland als Teil der Europäischen Union (EU) mehr als 40 Abkommen mit mehr als 70 Ländern abgeschlossen hat. Hierbei wird es jedoch nicht bleiben. So will die EU das schwelende Abkommen mit dem lateinamerikanischen Wirtschaftsverbund Mercosur endlich ratifizieren. Erst letzte Woche wurden die Verhandlungen mit Indonesien abgeschlossen und auch mit Indien will die EU bis Ende des Jahres handelseinig werden. Zuletzt in der Diskussion: eine engere Kooperation der EU mit den zwölf Mitgliedern der Transpazifischen Partnerschaft, ein besonders umfassendes und innovatives Abkommen.

Gibt es außerhalb der krisengeschüttelten WTO also tatsächlich einfachere, pragmatischere Wege regelbasierten Handel zu ermöglichen?

Leider wird oft übersehen, dass in dem Maße wie Freihandelsabkommen überschätzt werden, die Rolle der WTO vielfach unterschätzt wird. Das zentrale Argument gegen Freihandelsabkommen kommt aus der italienischen Küche: der Handelsökonom Jagdish Bhagwati verglich Freihandelsabkommen einst mit einer Spagettischüssel. Er kritisierte damit die mangelnde Kohärenz und Übersichtlichkeit zahlreicher bilateraler Abkommen. Freihandelsabkommen schaffen tatsächlich ein unübersichtliches Geflecht aus Zöllen und Bestimmungen, das Kosten und Bürokratie verursacht, durch die die Vertragsparteien versuchen, andere Länder von den Handelsvorteilen auszuschließen. Dies schmälert die Effizienzgewinne, die mit niedrigen Zöllen einhergehen. Gerade kleine und mittlere Unternehmen ohne gutausgestattete Abteilungen für Zollwesen greifen daher oft lieber auf die zwar teils höheren aber einfacher umzusetzenden multilateralen Zölle zurück, die im Rahmen der WTO vereinbart wurden. Zudem dauert es oft Jahre, bis die zunehmend komplexen Freihandelsabkommen verhandelt und ratifiziert sind. Auch ist mit den beiden anderen Handelsgroßmächten, China und den USA, kein Abkommen in Sicht. Freihandelsabkommen sollten daher als Ergänzung, nicht aber als Ersatz für die WTO angesehen werden.

Die WTO befindet sich in einer Krise, sicher; dysfunktional ist sie deswegen aber nicht. Während der Streitbeilegungsmechanismus – früher als Kronjuwel der WTO bezeichnet – aufgrund einer Blockade des Berufungsorgans durch die USA geschwächt ist, werden stetig neue Streitfälle eingebracht. Der Austausch in den technischen Komitees der WTO führt dazu, dass viele Missverständnisse gelöst werden können, bevor aus ihnen Streitfälle werden. Die WTO hat zudem nach wie vor eine wichtige Rolle im Monitoring der Handelspolitiken ihrer Mitglieder und sorgt damit für systemweite Transparenz. All diese Funktionen der WTO können und müssen weiterentwickelt werden. Sie können aber nicht durch ein Netz von Freihandelsabkommen ersetzt werden, die diese Systemleistungen nicht bereitstellen.

Im Schatten der Diskussion über den vermeintlichen Stillstand in der WTO, bleiben erzielte Fortschritte oft unbemerkt. Eine wichtige Funktion der WTO ist die Aushandlung neuer Handelsregeln. Der Verhandlungsmotor der WTO läuft untertourig und zu langsam, abgewürgt ist er aber nicht. Erst vor wenigen Tagen ist das Abkommen gegen Fischereisubventionen in Kraft getreten. Dieses Abkommen kommt spät – mehr als 20 Jahre nach Verhandlungsstart – es hat dennoch das Potential einen Beitrag zur Verhinderung weltweiter Überfischung zu leisten. Auch wurde vor Kurzem ein Abkommen zur Erleichterung des Dienstleistungshandels beschlossen und ein Abkommen über Investitionserleichterungen liegt verhandlungsfertig auf dem Tisch. Gerade diese beiden „plurilateralen“ Abkommen verdeutlichen, wie auch angesichts der Blockadehaltung einiger weniger Mitglieder in Zukunft das WTO-Regelwerk weiterentwickelt werden kann: durch themenspezifische Kooperation in Allianzen mit gleichgesinnten Mitgliedern.

Das WTO-Abkommen für Investitionserleichterungen kann hierbei den Weg weisen: es ist ein Abkommen, das vor allem von Volkswirtschaften (mittlerweile: 127 der 166 WTO-Mitglieder) niedrigen und mittleren Einkommens initiiert und verhandelt wurde. Es enthält ein flexibles Regelwerk und eine umfassende Entwicklungsdimension. Es hat das Potential den weltweiten Wohlstand zu steigern, auch von Nicht-Mitgliedern. Nach wie vor blockieren Länder wie Indien und Südafrika die Aufnahme des Abkommens in das WTO-Regelwerk. Dessen ungeachtet haben die Mitglieder bereits angefangen, das Abkommen umzusetzen, indem sie die Implementierung der darin enthaltenen Regeln vorbereiten, weil sie davon überzeugt sind, dass sie hierdurch einen verlässlichen Rahmen für ausländische Direktinvestitionen bieten können. Deutschland und die Europäische Union sollten diesen Umsetzungsprozess noch stärker unterstützen, im Interesse der Partnerländer, aber auch der eigenen im Ausland investierenden Unternehmen.

Die WTO sollte nicht ohne Not zum Problemfall gemacht werden. Gerade angesichts der Notwendigkeit, die wirtschaftlichen Risiken in den Handelsbeziehungen zu China und den USA zu reduzieren, sind Deutschland und die EU auf die WTO angewiesen. Sie bleibt die zentrale Plattform, um mit der Mehrheit der Volkswirtschaften themenspezifische Partnerschaften aufzubauen, um ein kooperatives und regelbasiertes Welthandelssystem zu fördern.

Wie weiter mit der krisengeschüttelten Welthandelsorganisation?

Zunehmend drängt sich der Eindruck auf, dass europäische Entscheidungsträger den Glauben an das multilaterale Handelssystem verlieren – ein Eindruck, der sich auch im deutschen Diskurs in der Abwertung der Welthandelsorganisation (WTO) als „funktionsunfähig“ niederschlägt. Als Alternative zur WTO werden zunehmend Freihandelsabkommen gesehen, von denen Deutschland als Teil der Europäischen Union (EU) mehr als 40 Abkommen mit mehr als 70 Ländern abgeschlossen hat. Hierbei wird es jedoch nicht bleiben. So will die EU das schwelende Abkommen mit dem lateinamerikanischen Wirtschaftsverbund Mercosur endlich ratifizieren. Erst letzte Woche wurden die Verhandlungen mit Indonesien abgeschlossen und auch mit Indien will die EU bis Ende des Jahres handelseinig werden. Zuletzt in der Diskussion: eine engere Kooperation der EU mit den zwölf Mitgliedern der Transpazifischen Partnerschaft, ein besonders umfassendes und innovatives Abkommen.

Gibt es außerhalb der krisengeschüttelten WTO also tatsächlich einfachere, pragmatischere Wege regelbasierten Handel zu ermöglichen?

Leider wird oft übersehen, dass in dem Maße wie Freihandelsabkommen überschätzt werden, die Rolle der WTO vielfach unterschätzt wird. Das zentrale Argument gegen Freihandelsabkommen kommt aus der italienischen Küche: der Handelsökonom Jagdish Bhagwati verglich Freihandelsabkommen einst mit einer Spagettischüssel. Er kritisierte damit die mangelnde Kohärenz und Übersichtlichkeit zahlreicher bilateraler Abkommen. Freihandelsabkommen schaffen tatsächlich ein unübersichtliches Geflecht aus Zöllen und Bestimmungen, das Kosten und Bürokratie verursacht, durch die die Vertragsparteien versuchen, andere Länder von den Handelsvorteilen auszuschließen. Dies schmälert die Effizienzgewinne, die mit niedrigen Zöllen einhergehen. Gerade kleine und mittlere Unternehmen ohne gutausgestattete Abteilungen für Zollwesen greifen daher oft lieber auf die zwar teils höheren aber einfacher umzusetzenden multilateralen Zölle zurück, die im Rahmen der WTO vereinbart wurden. Zudem dauert es oft Jahre, bis die zunehmend komplexen Freihandelsabkommen verhandelt und ratifiziert sind. Auch ist mit den beiden anderen Handelsgroßmächten, China und den USA, kein Abkommen in Sicht. Freihandelsabkommen sollten daher als Ergänzung, nicht aber als Ersatz für die WTO angesehen werden.

Die WTO befindet sich in einer Krise, sicher; dysfunktional ist sie deswegen aber nicht. Während der Streitbeilegungsmechanismus – früher als Kronjuwel der WTO bezeichnet – aufgrund einer Blockade des Berufungsorgans durch die USA geschwächt ist, werden stetig neue Streitfälle eingebracht. Der Austausch in den technischen Komitees der WTO führt dazu, dass viele Missverständnisse gelöst werden können, bevor aus ihnen Streitfälle werden. Die WTO hat zudem nach wie vor eine wichtige Rolle im Monitoring der Handelspolitiken ihrer Mitglieder und sorgt damit für systemweite Transparenz. All diese Funktionen der WTO können und müssen weiterentwickelt werden. Sie können aber nicht durch ein Netz von Freihandelsabkommen ersetzt werden, die diese Systemleistungen nicht bereitstellen.

Im Schatten der Diskussion über den vermeintlichen Stillstand in der WTO, bleiben erzielte Fortschritte oft unbemerkt. Eine wichtige Funktion der WTO ist die Aushandlung neuer Handelsregeln. Der Verhandlungsmotor der WTO läuft untertourig und zu langsam, abgewürgt ist er aber nicht. Erst vor wenigen Tagen ist das Abkommen gegen Fischereisubventionen in Kraft getreten. Dieses Abkommen kommt spät – mehr als 20 Jahre nach Verhandlungsstart – es hat dennoch das Potential einen Beitrag zur Verhinderung weltweiter Überfischung zu leisten. Auch wurde vor Kurzem ein Abkommen zur Erleichterung des Dienstleistungshandels beschlossen und ein Abkommen über Investitionserleichterungen liegt verhandlungsfertig auf dem Tisch. Gerade diese beiden „plurilateralen“ Abkommen verdeutlichen, wie auch angesichts der Blockadehaltung einiger weniger Mitglieder in Zukunft das WTO-Regelwerk weiterentwickelt werden kann: durch themenspezifische Kooperation in Allianzen mit gleichgesinnten Mitgliedern.

Das WTO-Abkommen für Investitionserleichterungen kann hierbei den Weg weisen: es ist ein Abkommen, das vor allem von Volkswirtschaften (mittlerweile: 127 der 166 WTO-Mitglieder) niedrigen und mittleren Einkommens initiiert und verhandelt wurde. Es enthält ein flexibles Regelwerk und eine umfassende Entwicklungsdimension. Es hat das Potential den weltweiten Wohlstand zu steigern, auch von Nicht-Mitgliedern. Nach wie vor blockieren Länder wie Indien und Südafrika die Aufnahme des Abkommens in das WTO-Regelwerk. Dessen ungeachtet haben die Mitglieder bereits angefangen, das Abkommen umzusetzen, indem sie die Implementierung der darin enthaltenen Regeln vorbereiten, weil sie davon überzeugt sind, dass sie hierdurch einen verlässlichen Rahmen für ausländische Direktinvestitionen bieten können. Deutschland und die Europäische Union sollten diesen Umsetzungsprozess noch stärker unterstützen, im Interesse der Partnerländer, aber auch der eigenen im Ausland investierenden Unternehmen.

Die WTO sollte nicht ohne Not zum Problemfall gemacht werden. Gerade angesichts der Notwendigkeit, die wirtschaftlichen Risiken in den Handelsbeziehungen zu China und den USA zu reduzieren, sind Deutschland und die EU auf die WTO angewiesen. Sie bleibt die zentrale Plattform, um mit der Mehrheit der Volkswirtschaften themenspezifische Partnerschaften aufzubauen, um ein kooperatives und regelbasiertes Welthandelssystem zu fördern.

Wie weiter mit der krisengeschüttelten Welthandelsorganisation?

Zunehmend drängt sich der Eindruck auf, dass europäische Entscheidungsträger den Glauben an das multilaterale Handelssystem verlieren – ein Eindruck, der sich auch im deutschen Diskurs in der Abwertung der Welthandelsorganisation (WTO) als „funktionsunfähig“ niederschlägt. Als Alternative zur WTO werden zunehmend Freihandelsabkommen gesehen, von denen Deutschland als Teil der Europäischen Union (EU) mehr als 40 Abkommen mit mehr als 70 Ländern abgeschlossen hat. Hierbei wird es jedoch nicht bleiben. So will die EU das schwelende Abkommen mit dem lateinamerikanischen Wirtschaftsverbund Mercosur endlich ratifizieren. Erst letzte Woche wurden die Verhandlungen mit Indonesien abgeschlossen und auch mit Indien will die EU bis Ende des Jahres handelseinig werden. Zuletzt in der Diskussion: eine engere Kooperation der EU mit den zwölf Mitgliedern der Transpazifischen Partnerschaft, ein besonders umfassendes und innovatives Abkommen.

Gibt es außerhalb der krisengeschüttelten WTO also tatsächlich einfachere, pragmatischere Wege regelbasierten Handel zu ermöglichen?

Leider wird oft übersehen, dass in dem Maße wie Freihandelsabkommen überschätzt werden, die Rolle der WTO vielfach unterschätzt wird. Das zentrale Argument gegen Freihandelsabkommen kommt aus der italienischen Küche: der Handelsökonom Jagdish Bhagwati verglich Freihandelsabkommen einst mit einer Spagettischüssel. Er kritisierte damit die mangelnde Kohärenz und Übersichtlichkeit zahlreicher bilateraler Abkommen. Freihandelsabkommen schaffen tatsächlich ein unübersichtliches Geflecht aus Zöllen und Bestimmungen, das Kosten und Bürokratie verursacht, durch die die Vertragsparteien versuchen, andere Länder von den Handelsvorteilen auszuschließen. Dies schmälert die Effizienzgewinne, die mit niedrigen Zöllen einhergehen. Gerade kleine und mittlere Unternehmen ohne gutausgestattete Abteilungen für Zollwesen greifen daher oft lieber auf die zwar teils höheren aber einfacher umzusetzenden multilateralen Zölle zurück, die im Rahmen der WTO vereinbart wurden. Zudem dauert es oft Jahre, bis die zunehmend komplexen Freihandelsabkommen verhandelt und ratifiziert sind. Auch ist mit den beiden anderen Handelsgroßmächten, China und den USA, kein Abkommen in Sicht. Freihandelsabkommen sollten daher als Ergänzung, nicht aber als Ersatz für die WTO angesehen werden.

Die WTO befindet sich in einer Krise, sicher; dysfunktional ist sie deswegen aber nicht. Während der Streitbeilegungsmechanismus – früher als Kronjuwel der WTO bezeichnet – aufgrund einer Blockade des Berufungsorgans durch die USA geschwächt ist, werden stetig neue Streitfälle eingebracht. Der Austausch in den technischen Komitees der WTO führt dazu, dass viele Missverständnisse gelöst werden können, bevor aus ihnen Streitfälle werden. Die WTO hat zudem nach wie vor eine wichtige Rolle im Monitoring der Handelspolitiken ihrer Mitglieder und sorgt damit für systemweite Transparenz. All diese Funktionen der WTO können und müssen weiterentwickelt werden. Sie können aber nicht durch ein Netz von Freihandelsabkommen ersetzt werden, die diese Systemleistungen nicht bereitstellen.

Im Schatten der Diskussion über den vermeintlichen Stillstand in der WTO, bleiben erzielte Fortschritte oft unbemerkt. Eine wichtige Funktion der WTO ist die Aushandlung neuer Handelsregeln. Der Verhandlungsmotor der WTO läuft untertourig und zu langsam, abgewürgt ist er aber nicht. Erst vor wenigen Tagen ist das Abkommen gegen Fischereisubventionen in Kraft getreten. Dieses Abkommen kommt spät – mehr als 20 Jahre nach Verhandlungsstart – es hat dennoch das Potential einen Beitrag zur Verhinderung weltweiter Überfischung zu leisten. Auch wurde vor Kurzem ein Abkommen zur Erleichterung des Dienstleistungshandels beschlossen und ein Abkommen über Investitionserleichterungen liegt verhandlungsfertig auf dem Tisch. Gerade diese beiden „plurilateralen“ Abkommen verdeutlichen, wie auch angesichts der Blockadehaltung einiger weniger Mitglieder in Zukunft das WTO-Regelwerk weiterentwickelt werden kann: durch themenspezifische Kooperation in Allianzen mit gleichgesinnten Mitgliedern.

Das WTO-Abkommen für Investitionserleichterungen kann hierbei den Weg weisen: es ist ein Abkommen, das vor allem von Volkswirtschaften (mittlerweile: 127 der 166 WTO-Mitglieder) niedrigen und mittleren Einkommens initiiert und verhandelt wurde. Es enthält ein flexibles Regelwerk und eine umfassende Entwicklungsdimension. Es hat das Potential den weltweiten Wohlstand zu steigern, auch von Nicht-Mitgliedern. Nach wie vor blockieren Länder wie Indien und Südafrika die Aufnahme des Abkommens in das WTO-Regelwerk. Dessen ungeachtet haben die Mitglieder bereits angefangen, das Abkommen umzusetzen, indem sie die Implementierung der darin enthaltenen Regeln vorbereiten, weil sie davon überzeugt sind, dass sie hierdurch einen verlässlichen Rahmen für ausländische Direktinvestitionen bieten können. Deutschland und die Europäische Union sollten diesen Umsetzungsprozess noch stärker unterstützen, im Interesse der Partnerländer, aber auch der eigenen im Ausland investierenden Unternehmen.

Die WTO sollte nicht ohne Not zum Problemfall gemacht werden. Gerade angesichts der Notwendigkeit, die wirtschaftlichen Risiken in den Handelsbeziehungen zu China und den USA zu reduzieren, sind Deutschland und die EU auf die WTO angewiesen. Sie bleibt die zentrale Plattform, um mit der Mehrheit der Volkswirtschaften themenspezifische Partnerschaften aufzubauen, um ein kooperatives und regelbasiertes Welthandelssystem zu fördern.

Climate Finance Will Be the First Casualty of Rising Militarism: Ali T. Sheikh Warns Ahead of COP30

Africa - INTER PRESS SERVICE - Mon, 09/29/2025 - 09:56

In an exclusive interview, Pakistan’s leading climate expert Ali T. Sheikh talks about the geopolitical undercurrents shaping COP30, why climate finance is under threat, and how Pakistan can reclaim its voice on the global stage.

Categories: Africa, Afrique

Pages

THIS IS THE NEW BETA VERSION OF EUROPA VARIETAS NEWS CENTER - under construction
the old site is here

Copy & Drop - Can`t find your favourite site? Send us the RSS or URL to the following address: info(@)europavarietas(dot)org.