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IPI and the International Civil Society Action Network (ICAN) cohosted an interactive event on “The Ghosts of 1325: Past, Present, Future” followed by a reception, on October 29th.
Bringing together women peacebuilders, civil society leaders, member states, UN agencies, and media, this event was hosted in partnership with the Permanent Mission of the United Kingdom to the United Nations, the Permanent Mission of Norway to the United Nation, the Global Partnership for the Prevention of Armed Conflict (GPPAC), Legal Action Worldwide (LAW), the PAIMAN Alumni Foundation, the Association for War Affected Women (AWAW), the Center for Civil Society and Democracy (CCSD), the Coalition for the UN We Need (C4UN), and Wo=Men Dutch Gender Platform.
Speakers invoked “The Ghosts of 1325”—carrying the voices of the past, present, and future to confront the Security Council with its unfilled promises. The event provided an opportunity for reflecting on, reckoning with, and renewing collective commitment to the vision of Resolution 1325.
On October 31, 2000, the UN Security Council unanimously adopted Resolution 1325 on women, peace, and security (WPS)—the first resolution to recognize women’s leadership and participation as critical to peace and security. From the outset, civil society has driven the WPS agenda, setting its vision, pushing governments to act, and holding them accountable while leading implementation on the ground.
Twenty-five years later, despite normative progress, women’s inclusion in peace processes remains the exception rather than the rule. Implementation has too often lagged behind rhetoric, and the WPS agenda risks being sidelined in transactional geopolitics. An agenda rooted in the prevention of war and humanization of security stands in contrast to current trends of rising violence and militarization. Marking the 25th anniversary offers an opportunity not merely to commemorate, but to provoke urgent reflection: What if 1325 were fully realized? What if it fades into irrelevance?
Speakers:
Phoebe Donnelly, Senior Fellow and Head of Women, Peace, and Security, International Peace Institute
Andreas Løvold, Deputy Permanent Representative of Norway to the United Nations
Paul Shrubsole, Acting WPS Focal Point, Permanent Mission of the United Kingdom to the United Nations
Sanam Anderlini, Founder and CEO, International Civil Society Action Network (ICAN)
Visaka Dharmadasa, Founder and Chair, Association of War Affected Women
Cerue Garlo, Women’s Alliance for Security Leadership
Mossarat Qadeem, Founder and President PAIMAN Alumni Trust
Helena Gronberg, Program Director, ICAN
France Bognon, Managing Director and Co-CEO, ICAN
Rajaa Altalli, Co-Founder, Center for Civil Society and Democracy
Adam Lupel, Executive Director, Coalition for the UN We Need
Mobina S.B. Jaffer, Former Canadian Senator representing British Columbia
Anwarul K. Chowdhury, Founder of Global Movement for the Culture of Peace
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La zone forestière de Séri est désormais incorporée au complexe du Parc national de la Pendjari. La décision a été prise ce mercredi 29 octobre 2025 en Conseil des ministres.
La réserve forestière de Séri intégrée au complexe du Parc national de la Pendjari. C'est l'une des décisions prises ce mercredi en Conseil des ministres. Cette zone selon le communiqué du gouvernement, connaît une dégradation inquiétante due à l'installation incontrôlée de champs de cultures, l'exploitation clandestine d'essences forestières, le braconnage et autres pratiques nuisibles à la préservation de la nature. Du fait de ces incursions, la superficie de cet espace protégé s'est réduite, passant d'environ 1250 km² en 1996 à 553,8 km² en 2019, soit une régression de plus de 54 % en 23 ans.
« Or, l'état de destruction continue de la zone compromet l'intégrité écologique de l'ensemble du complexe Pendjari et menace son statut de Réserve de Biosphère inscrit sur la liste du Patrimoine Mondial. Ce périmètre, de grande valeur écologique, comporte d'une part un écosystème forestier atypique dont la diversité biologique et les habitats naturels en font une extension du Parc national de la Pendjari. Elle abrite d'autre part, une faune diversifiée de grands mammifères tels que les damalisques, les éléphants, les buffles et les bubales. On y rencontre également des carnivores de prestige comme le lion, le léopard et l'hyène tachetée. L'autre atout non moins important est que cette aire géographique constitue un corridor de migration d'espèces fauniques tel qu'il a été observé à des périodes données », renseigne le compte rendu du Conseil des ministres.
Tenant compte de l'aboutissement du processus participatif engagé depuis 2018 qui a consacré l'adhésion des communautés riveraines et des autorités locales, le gouvernement a alors a décidé de prendre les mesures appropriées pour sa préservation et sa protection par son intégration totale au complexe de la Pendjari.
L'ex maire de la ville de Cotonou Isidore Gnonlonfoun et l'ex directeur des affaires domaniales, Martial Dègla Abobo ont été relâchés dans l'après-midi de ce mercredi 29 octobre 2025, après une journée de garde-à-vue dans le cadre d'une procédure judiciaire à la Cour spéciale des affaires foncières (CSAF).
Isidore Gnonlonfoun et Martial Dègla Abobo libres de tout mouvement après une journée de garde-à-vue. Ces deux anciens responsables de l'administration municipales ont été interpellés dans la journée du mardi 28 octobre dans le cadre d'une enquête judiciaire sur l'attribution de parcelles au profit de la collectivité Hounguè à Agla, dans le 13e arrondissement de Cotonou durant la période 2017-2020. Une affaire qui aurait induit l'établissement et la modification de documents administratifs.
Désormais libres de tout mouvement, on ignore si les deux responsables ont été totalement blanchis dans le dossier ou s'ils bénéficient d'une liberté provisoire.
F. A. A.
L’Algérie s’impose progressivement comme une puissance économique régionale. Selon un rapport relayé par Al Jazeera, et fondé sur les dernières données du Fonds Monétaire International […]
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