This article discusses the complexities of Shona kinship structure and how it positions women through relationships that are based on consanguinity and affinity. The article, which is an auto-ethnographic discussion emanating from my insider status as a participant observer in Shona kinship structure, addresses women’s fluctuation between being women and “social men” in their patrilineages. Shona patriarchy involves the positioning of women in a kinship structure in which social hierarchy, status and gender are fluid and not necessarily aligned with biology. Women’s status in Shona kinship structure is not homogeneous and fixed, but contingent upon a flexible interpretation of gender. Este artigo discute a complexidades da estrutura de parentesco Shona e como ela posiciona as mulheres por meio da relacionamentos que são baseados na consanguinidade e na afinidade. O artigo, que é uma discussão autoetnográfica que emana do meu status de insider como uma observadora-participante na estrutura de parentesco Shona, aborda a flutuação das mulheres entre mulheres e “homens sociais” em suas patrilinhagens. O patriarcado Shona envolve o posicionamento das mulheres em uma estrutura de parentesco na qual a hierarquia social, o status e o gênero são fluidos e não necessariamente alinhados com a biologia. O status das mulheres na estrutura de parentesco Shona não é homogêneo e fixo, mas contingente a uma interpretação flexível do gênero.
This article discusses the complexities of Shona kinship structure and how it positions women through relationships that are based on consanguinity and affinity. The article, which is an auto-ethnographic discussion emanating from my insider status as a participant observer in Shona kinship structure, addresses women’s fluctuation between being women and “social men” in their patrilineages. Shona patriarchy involves the positioning of women in a kinship structure in which social hierarchy, status and gender are fluid and not necessarily aligned with biology. Women’s status in Shona kinship structure is not homogeneous and fixed, but contingent upon a flexible interpretation of gender. Este artigo discute a complexidades da estrutura de parentesco Shona e como ela posiciona as mulheres por meio da relacionamentos que são baseados na consanguinidade e na afinidade. O artigo, que é uma discussão autoetnográfica que emana do meu status de insider como uma observadora-participante na estrutura de parentesco Shona, aborda a flutuação das mulheres entre mulheres e “homens sociais” em suas patrilinhagens. O patriarcado Shona envolve o posicionamento das mulheres em uma estrutura de parentesco na qual a hierarquia social, o status e o gênero são fluidos e não necessariamente alinhados com a biologia. O status das mulheres na estrutura de parentesco Shona não é homogêneo e fixo, mas contingente a uma interpretação flexível do gênero.
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Les services de la wilaya de Bordj Bou Arréridj annoncent une déviation temporaire de la circulation des poids lourds sur l’autoroute Est-Ouest, entre les échangeurs […]
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Grâce à un compte ouvert à la Poste du Bénin un instituteur aurait réussi à trouver une technique qui lui permettait de voler plus de 33 millions FCFA à cette structure publique. L'éducateur risque désormais sept (7) ans de prison ferme et une lourde amende pour vol et blanchiment de capitaux. Le ministère public a requis cette peine de prison lors de son procès le lundi 26 mai 2025 à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET).
Il a ouvert un compte pour recevoir son salaire, mais un instituteur, Aspirant au métier d'enseignant (AME), va découvrir une défaillance technique qui lui permettra un vol présumé de plus de 33 millions FCFA et de les recevoir sur son compte mobile money. C'est ainsi que l'on pourrait résumer les faits reprochés au prévenu K.M.J, instituteur AME placé en détention préventive le mardi 2 avril 2024 par le parquet spécial de la CRIET. L'homme est poursuivi pour faits de vol et blanchiment de capitaux.
Selon l'accusation, l'instituteur a ouvert un compte chèque postal (CCP) auprès de la Poste du Bénin afin de domicilier son salaire. Par la suite, il aurait découvert une défaillance technique qui lui aurait fait soustraire frauduleusement plus de 33 millions FCFA sur ce compte CCP. L'enseignant a été interpellé après la découverte du vol par les agents de la police républicaine.
7 ans de prison ferme et 10 millions d'amendes
Lors de l'audience du lundi 26 mai 2025, les avocats de la Poste du Bénin ont réclamé au prévenu 40 millions FCFA pour toute cause de préjudices subis.
Dans sa réquisition, le ministère public, représenté par le troisième substitut du procureur spécial près la CRIET a estimé que les faits reprochés à l'instituteur sont constitués. Il a demandé à la Cour de le retenir dans les liens des infractions de vols et de blanchiment de capitaux.
Le parquet spécial de la CRIET a requis sept (07) ans de prison ferme et dix (10) millions FCFA d'amendes contre le prévenu. Il a demandé à la Cour de faire droit à la demande de la poste qui réclame 40 millions FCFA pour toute cause de préjudices subis, rapporte l'envoyé spécial de Libre Express.
Après les réquisitions du ministère public, un avocat de la défense a demandé à la Chambre correctionnelle de la CRIET de ne pas suivre les réquisitions du ministère public. L'homme de droit a souligné que le rapport du CNIN n'est pas contradictoire et que la condamnation de son client pourrait constituer une erreur judiciaire. « On ne sait pas si c'est lui-même qui a manipulé ces données », a déclaré la défense au sujet du rapport, rapporte l'envoyé spécial de Libre Express.
Le tribunal de première instance de première classe de Cotonou a rendu son verdict dans l'affaire de vente présumée d'enfant impliquant deux ressortissants français. Les deux expatriés ont été condamnés à une peine de 36 mois de prison dont 12 ferme au terme d'une audience ce vendredi 30 mai 2025.
Poursuivis pour fausses déclarations de naissance, fausses attestations, et sortie illégale de mineur hors du territoire national, deux ressortissants français ont été fixés sur leur sort ce vendredi 30 mai 2025. Le tribunal statuant en matière correctionnelle les a condamnés à une peine de 36 mois de prison dont 12 mois ferme. Ils devront payer également la somme de 1 million de francs CFA d'amende chacun. Selon la décision du tribunal, les deux expatriés sont interdits de sortir du territoire national pendant une période de 5 ans. Le juge dans son verdict a ordonné la destruction des actes établis au nom de l'enfant.
Lire aussi : https://www.24haubenin.info/?Le-couple-francais-et-deux-autres-prevenus-fixes-le-30-mai-prochain&var_mode=calcul
A hazai katonai repülőhajózó képzés helyreállításának egyik, technikai összetevőjeként ma megérkezett Kecskemétre az Aero Vodochody Aerospace L-39NG (immáron Skyfox) haladó kiképző repülőgépek első szállítmánya (a leszállás sorrendjében: 142-0540, 144-0518, 141-0539) Kecskemétre.
Titánék elfogták az új gépek hármas raját, és bekísérték Kecskemétre.
Útvonal a gyár otthonából, Odolena Vodából az Alföldre.
Az érkezés örömteli pillanatai LHKE közelkörzetében :-)
A leszállás előtti rózsa analitikus megközelítésben, szintén az ADS-B Exchange jóvoltából.
Az első hazai leszállás utáni kigurulás 30-as irányba.
Immár "kötelező" az érkezéskor a tűzoltókocsis locsolás.
MiG-15 és Il-28 a háttérben, jó helyen járunk :-)
Mindhárman a NATO-hangárral szemközi zónában.
Pillantás az első...
...és a hátsó kabinba. Az NG-ben, magasabban ül az oktató, mint az eredeti Albán, de műszerfal tetején azért jól jön egy HUD repeater, ami persze szintén többfunkciós.
A múltba vezető vaskos kötelék. Fotók előző Albáinkról a bázis bejáratával szemközti Pilóta Presszóból (ismeretlen szerző)
Zord
Dr Sidi Ould Tah a été élu président de la Banque Africaine de Développement (BAD), le 29 mai 2025 à Abidjan (Côte d'Ivoire). Dans son premier discours, il a exprimé sa gratitude envers les États africains, les gouverneurs et son pays, la Mauritanie, tout en soulignant le poids de la responsabilité qui l'attend. Il a aussi rendu hommage à tous ceux qui ont soutenu sa candidature lors de cette élection.
Voici les premiers mots du Dr Sidi Ould Tah à la suite de son élection à la Présidence de la BAD.
« C'est avec beaucoup d'humilité et un grand sens des responsabilités que je m'adresse à vous en ce moment particulier. Je voudrais d'abord remercier l'Afrique pour la confiance qu'elle vient de m'accorder. Je vous remercie, mesdames et messieurs les gouverneurs, pour cette confiance dont je mesure la responsabilité et le devoir qui l'accompagnent. Je voudrais tout particulièrement remercier mon pays et, à sa tête, le président Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani, qui a porté ma candidature et qui a fourni des efforts inlassables pour l'aboutissement que nous venons de connaître. Je remercie tous mes frères et toutes mes sœurs mauritaniens et mauritiennes, africains et africaines, pour l'élan de solidarité qui a accompagné ma campagne… J'ai le devoir aussi de remercier tous ceux qui ont appuyé ma candidature de près ou de loin, que je ne pourrais pas tous citer dans ces circonstances ».
La liste des surveillants de salle à l'examen du Certificat d'Etudes Primaire (CEP), session de juin 2025 est disponible en ligne via la plateforme Educmaster.
Les enseignants peuvent consulter la liste des surveillants à la composition du CEP 2025 sur la plateforme https://emp.educmaster.bj/verier-mon-inscription-acteurs-examen.
L'examen se déroulera du lundi 02 au mercredi 04 juin 2025 sur toute l'étendue du territoire national.
271 890 candidats dont 131 660 filles sont inscrits à cet examen. Ils sont répartis dans 805 centres de composition.
M. M.
Le mercredi 28 mai 2025, la Côte d'Ivoire a inscrit une nouvelle page dans l'histoire de son agriculture avec la première journée de cotation sur la Bourse des Matières Premières Agricoles (BMPA CI). À l'instar des grandes places de marché internationales, cette première séance s'est déroulée dans un climat mêlant solennité, professionnalisme et haute technicité.
Au cours de cette journée inaugurale, 47,81 tonnes de noix de cajou, 01 tonne de noix de cola et 40 tonnes de maïs ont été échangées, à un prix moyen respectif de 440 FCFA/kg, 1000 FCFA kg et 220 FCFA/kg, soit un volume total de 88,81 tonnes pour une valeur de 30,84 millions FCFA. Les transactions ont été effectuées sur des contrats spot standardisés, garantissant la qualité du produit (grade, humidité, calibrage) ainsi que la traçabilité via des entrepôts certifiés situés à Korhogo et Bouaké.
La séance a rassemblé une pluralité d'intervenants, signe de la dynamique inclusive voulue par les Autorités :
▪ Des représentants du gouvernement ivoirien, notamment, le Ministre d'Etat, Ministre de l'Agriculture, du Développement Rural et des Productions Vivrières ;
▪ Des acteurs du monde agricole ;
▪ Des établissements financiers locaux et internationaux ;
▪ Des courtiers agréés par la BMPA CI, tous formés dans le cadre du programme de démarrage supervisé par la BRVM (African Commodities Brokerage House, West African Commodities Market, Raw material trading). L'ensemble des transactions a été réalisé via la plateforme digitale interconnectée en temps réel.
Cette infrastructure numérique permet un suivi des prix, des volumes, et de la qualité des produits échangés, tout en assurant la confidentialité et la sécurité des données.
Avec cette première cotation, la Côte d'Ivoire se positionne comme un acteur crédible et structuré sur les marchés agricoles mondiaux. Cette entrée en matière réussie envoie un message fort :
▪ Aux producteurs, qui bénéficient désormais d'un outil de valorisation transparente de leurs produits,
▪ Aux investisseurs, pour qui la BMPA CI représente une nouvelle classe d'actifs agro financiers en Afrique de l'Ouest,
▪ Aux partenaires régionaux, qui voient dans ce modèle une solution exportable aux autres filières et autres pays africains.
Le succès de cette première journée est à la hauteur des ambitions du projet. La BMPA CI n'est pas une simple plateforme d'échange : elle est le catalyseur d'une nouvelle gouvernance agricole, basée sur la transparence, la technologie et l'équité.
L'histoire de la BMPA CI commence avec promesse, et se dessine déjà comme une référence pour l'Afrique francophone et au-delà. A l'issue de la séance, Dr Edoh Kossi AMENOUNVE, Directeur Général de la BRVM a indiqué que « Les premières transactions qui ont eu lieu sur la BMPA CI et le succès de cette première journée de Bourse, laisse entrevoir un bel avenir pour cette bourse, qui, dans un avenir très proche j'en suis convaincu, se hissera dans le TOP 5 des bourses de matières Premières en Afrique.
La Caisse Nationale de Sécurité Sociale des Non-Salariés (CASNOS) a annoncé l’ouverture exceptionnelle de toutes ses agences à travers le territoire national ce samedi 31 […]
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Du 1er au 3 juin 2025, 5059 détenus, dont 57 femmes et 20 mineurs, passeront les épreuves du Brevet d’enseignement moyen dans 56 centres d’examen […]
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Khumbu glacier at the Mt. Everest region in Nepal. A new report says glaciers are even more sensitive to global warming than previously estimated. Credit: Tanka Dhakal/IPS
By Tanka Dhakal
BLOOMINGTON, USA, May 30 2025 (IPS)
Almost 40 percent of glaciers that exist now are already in danger of melting even if global temperature stabilized at present-day conditions, a study says.
An international study published in the journal Science finds that glaciers are even more sensitive to global warming than previously estimated.
More than 75 percent of glacier mass will be gone if global temperature rises to the 2.7°C that the world is heading towards, according to the trajectory set by current climate policies.
But meeting the Paris Agreement goal of limiting warming to 1.5°C would preserve 54 percent of glacier mass.
“Our study makes it painfully clear that every fraction of a degree matters,” Dr. Harry Zekollari, co-author of the research and Associate professor at the Vrije Universiteit in Brussels, said.
“The choices we make today will resonate for centuries, determining how much of our glaciers can be preserved.”
According to the papers’ co-lead author, Dr. Lilian Schuster, glaciers are regarded as a good indicator of climate change because their retreat allows researchers to see how climate is changing.
“But the situation for glaciers is actually far worse than visible in the mountains today,” she added.
Most important glaciers are even more sensitive
Impact of rising temperatures is skewed mostly by the very large glaciers around Antarctica and Greenland. According to the research, glaciers most important to human communities are even more sensitive, with several of them losing nearly all glacier ice already at 2°C.
The glacier regions, including the European Alps, the Rockies of the Western U.S. and Canada, and Iceland, may lose almost 85-90 percent of their ice in comparison to 2020 levels at 2°C warming.
But Scandinavia will no longer have glacier ice at that level of temperature rise.
The Hindu Kush Himalaya region, where glaciers feed river basins supporting 2 billion people, might lose 75 percent of its ice compared to the 2020 level at a 2°C temperature rise scenario.
Ice loss at various degrees of global warming.
Staying in line with the Paris Agreement goal preserves at least some glacier ice in all regions, even Scandinavia, with 20-30 percent remaining in the four most sensitive regions and 40-45 percent in the Himalayas and Caucasus.
This report reiterates the growing urgency of the 1.5°C temperature goal and rapid decarbonization to achieve it.
A team of 21 scientists from 10 countries used eight different glacier models to calculate the potential ice loss of the more than 200,000 glaciers worldwide under a wide range of global temperature scenarios. For each scenario, they assumed that temperatures would remain constant for thousands of years.
Researchers found that in all scenarios, the glaciers lose mass rapidly over decades and then continue to melt at a slower pace for centuries, even without further warming. This means they will feel the impact of today’s heat for a long time before settling into a new balance as they retreat to higher altitudes.
But glaciers in the Tropics–the central Andes of Peru, Ecuador, and Colombia, as well as East Africa and Indonesia—appear to maintain higher levels of ice, but this is only because they have lost so much already.
Venezuela’s final glacier, Humboldt, lost glacier status in 2024; Indonesia’s ironically named “Infinity Glacier” is likely to follow within the next two years. Germany lost one of its last five remaining glaciers during a heat wave in 2022, and Slovenia likely lost its last real glacier a few decades ago.
IPS UN Bureau Report
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