Une opération menée par les enquêteurs de la section de recherches et d’investigations du groupement territorial de la Gendarmerie nationale de Annaba a démantelé un […]
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Ce dimanche 1er juin 2025 à Gankpintin, une localité de la commune de Dassa, dans les Collines, plusieurs personnes ont perdu la vie suite à une collision entre un bus de transport en commun, et un camion gros porteur. Le bilan provisoire fait état de 5 morts.
Grave accident de circulation à Dassa ce dimanche 1er juin 2025. Un bus de transport en commun provenant de Cotonou est entré en collision avec un camion gros porteur transportant du bétail aux environs de 2 heures du matin. Le bilan provisoire selon Bip radio, fait 5 morts et 21 blessés transférés d'urgence à l'hôpital.
Cette collision provoqué un autre accident. Un camion chargé de poteaux en provenance de Cotonou, a percuté le bus accidenté en stationnement sur la chaussée.
Les forces de sécurité se sont dépêchées sur les lieux pour le constat et rétablir la circulation.
F. A. A.
Le Niger a sollicité les marchés financiers de l'UEMOA, mercredi 28 maí 2025. Le Bénin a apporté une contribution non négligeable à cette mobilisation.
Niamey a organisé une double émission de titres publics pour mobiliser 100 milliards de FCFA à travers des Bons et Obligations du Trésor. Les maturités proposées étaient de 364 jours et 3 ans.
A l'issue de l'émission, mercredi 28 mai 2025, Niamey n'a récolté que 69,329 milliards de FCFA, soit environ 69 % de l'objectif initial.
Le Bénin maintient le lien
Malgré ce score partiel, certains pays ont répondu présents. Le Burkina Faso en tête, avec 34,605 milliards de FCFA. Vient ensuite le Bénin, avec 933 millions de FCFA, suivi du Mali (23 millions) et du Sénégal (52 millions).
La Côte d'Ivoire, le Togo et la Guinée-Bissau sont restés en retrait. Aucun soutien financier enregistré de leur part pour cette opération.
La contribution du Bénin peut sembler modeste. Mais elle est symbolique. Dans un contexte régional tendu, le Bénin montre qu'il reste un partenaire de confiance pour le Niger.
M. M.
Le Niger a sollicité les marchés financiers de l'UEMOA, mercredi 28 maí 2025. Le Bénin a apporté une contribution non négligeable à cette mobilisation.
Niamey a organisé une double émission de titres publics pour mobiliser 100 milliards de FCFA à travers des Bons et Obligations du Trésor. Les maturités proposées étaient de 364 jours et 3 ans.
A l'issue de l'émission, mercredi 28 mai 2025, Niamey n'a récolté que 69,329 milliards de FCFA, soit environ 69 % de l'objectif initial.
Le Bénin maintient le lien
Malgré ce score partiel, certains pays ont répondu présents. Le Burkina Faso en tête, avec 34,605 milliards de FCFA. Vient ensuite le Bénin, avec 933 millions de FCFA, suivi du Mali (23 millions) et du Sénégal (52 millions).
La Côte d'Ivoire, le Togo et la Guinée-Bissau sont restés en retrait. Aucun soutien financier enregistré de leur part pour cette opération.
La contribution du Bénin peut sembler modeste. Mais elle est symbolique. Dans un contexte régional tendu, le Bénin montre qu'il reste un partenaire de confiance pour le Niger.
M. M.
Le Royaume Uni vient de s'inscrire dans la dynamique internationale de soutien au Plan marocain d'autonomie pour le Sahara. Le pays considère ce plan comme "la base la plus crédible, viable et pragmatique pour régler le différend" et entend agir conformément à cette position sur les plans bilatéral, régional et international.
La position du Royaume Uni sur le dossier du Sahara marocain a été exprimée dans un Communiqué conjoint signé, ce dimanche 1er juin 2025, à Rabat, par le Secrétaire d'Etat britannique aux Affaires étrangères, au Commonwealth et au Développement, David Lammy, et le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger, Nasser Bourita.
Le Royaume Uni, selon le communiqué, "considère la proposition d'autonomie, présentée [par le Maroc] en 2007, comme la base la plus crédible, viable et pragmatique pour un règlement durable du différend" régional autour du Sahara marocain, et "continuera d'agir sur le plan bilatéral, notamment en matière économique, ainsi que sur les plans régional et international, conformément à cette position, afin de soutenir le règlement du différend".
Il souligne que "le Royaume Uni suit de près la dynamique positive actuelle menée à cet égard sous le leadership de Sa Majesté le Roi Mohammed VI". Le communiqué réaffirme que Londres "reconnaît l'importance de la question du Sahara" pour le Maroc. Il ajoute que la résolution de ce différend régional "renforcerait la stabilité de l'Afrique du Nord et relancerait la dynamique bilatérale et l'intégration régionale".
A travers le Communiqué conjoint, Londres annonce que "UK Export Finance peut considérer de soutenir des projets au Sahara", notamment dans le cadre de "l'engagement de UK Export Finance à mobiliser 5 milliards de Livres Sterling pour soutenir de nouveaux projets économiques à travers le pays".
"Le Royaume-Uni reconnaît le Maroc comme une porte d'entrée essentielle pour le développement socio-économique de l'Afrique et réaffirme son engagement à approfondir sa collaboration avec le Maroc en tant que partenaire pour la croissance sur tout le continent", indique le Communiqué conjoint.
Dans le document signé par les chefs de diplomatie marocain et britannique, "les deux pays soutiennent et considèrent comme vital le rôle central du processus mené par les Nations Unies" et réaffirment "leur plein soutien aux efforts déployés par l'envoyé personnel du secrétaire général des Nations Unies, M. Staffan de Mistura".
Le Royaume Uni déclare être "prêt, disposé et déterminé à apporter son soutien actif et son engagement à l'envoyé personnel et aux parties" pour le règlement définitif de ce différent régional.
En tant que membre permanent du Conseil de sécurité des Nations Unies, "le Royaume Uni partage l'avis du Maroc quant à la nécessité urgente de trouver une solution à ce différend de longue date, qui serait dans l'intérêt des parties".
"Il est grand temps de trouver une solution et de faire avancer ce dossier, ce qui renforcerait la stabilité de l'Afrique du Nord et relancerait la dynamique bilatérale et l'intégration régionale", souligne le Communiqué.
Après celle de la France, des Etats-Unis et du Royaume Uni, tous membres permanents du Conseil de Sécurité de l'ONU, cette position conforte la dynamique internationale grandissante impulsée par Sa Majesté le Roi Mohammed VI en faveur du Plan d'autonomie sous souveraineté marocaine, et confirme la crédibilité de cette initiative comme la meilleure pour parvenir au consensus autour d'une solution définitive au dossier du Sahara marocain.
Cotonou abrite du 2 au 4 juin une réunion de haut niveau parlementaire.
La capitale économique du Bénin accueille la 31ᵉ Assemblée régionale Afrique de l'Assemblée parlementaire de la Francophonie (APF).
Les travaux de l'Assemblée démarrent officiellement ce lundi 02 juin 2025. Au programme : échanges, bilan, et perspectives pour une Francophonie parlementaire plus forte et plus solidaire.
Les premières délégations ont déjà foulé le sol béninois.
Parmi les arrivées notables, celle de Jean-François Ndongou. Le président de l'Assemblée nationale du Gabon a été accueilli le samedi 31 mai à l'aéroport de Cotonou. Il a été accueilli par l'honorable Assan Seybou, représentant du président du parlement béninois Louis Gbèhounou Vlavonou.
Le président en exercice de l'APF, Hilarion Etong du Cameroun, est également déjà sur place.
Jean-François Ndongou a salué l'accueil chaleureux reçu au Bénin. Il a exprimé son espoir en des travaux fructueux. « C'est avec beaucoup d'engagement que nous allons aborder ce rendez-vous », a-t-il affirmé.
Il a également évoqué la situation du Gabon, en sortie de transition politique. Il a remercié l'APF pour son soutien constant, sans sanction ni exclusion. La Francophonie a accompagné le pays jusqu'à l'élection du nouveau président.
Selon lui, il est désormais nécessaire de créer un cadre juridique pour mieux gérer les transitions. « C'est un accident de parcours. Il faut des mécanismes adaptés pour y faire face », a-t-il précisé.
Cette rencontre est l'occasion de faire le point sur les actions menées par l'APF depuis la dernière réunion à Yaoundé. Mais aussi de se projeter sur les réformes à envisager pour renforcer l'institution.
M. M.