A Savè dans le département des Collines, un homme s'est séparé de sa femme. Raison évoquée, le 3e enfant né de leur union ressemblerait au voisin.
Un homme constate que son 3e enfant ressemble à son voisin et renvoie sa femme. Le fait divers a lieu à Savè dans le département des Collines. L'homme, un menuisier de profession selon l'information rapportée par diverses sources, aurait lu les traits physiques du voisin sur son 3e enfant. Un constat qui selon lui, vient corroborer les rumeurs selon lesquelles, sa femme le trompe. Il décide alors de la répudier.
L'épouse, une revendeuse de ‘'waké'' apprend-on, rejette les accusations portées sur sa personne. La ressemblance évoquée pour elle, serait une « pure coïncidence ».
F. A. A.
Le rappeur béninois Vano Baby est désormais le nouvel ambassadeur de la marque Celtiis. Il a été présenté vendredi 20 janvier 2023, en marge de la cérémonie Celtiis Inside Kick-off 2023.
Celtiis porte son choix sur Vano Baby. L'artiste est le nouvel ambassadeur de la marque du 1er opérateur global du Bénin. « Nous sommes ici chez nous au Bénin, nous partageons les mêmes valeurs, c'est pour cela que nous sommes ravis que vous ayez accepté. Nous vous avons observé et regardé, j'ai lu beaucoup d'articles sur vous et j'ai vu beaucoup de valeurs qui sont les nôtres », a affirmé la directrice générale de la société béninoise d'infrastructure numérique (SBIN SA), Thérèse Tounkara.
Elle cite entre autres les valeurs de la performance, l'engagement et la responsabilité. « Toutes ces valeurs que vous avez, ce sont ces valeurs que nous, la famille des Sbinois, la famille Celtiis, nous portons. C'est pour cela que nous avons l'immense joie, l'immense plaisir de faire de vous l'ambassadeur de notre marque, l'ambassadeur de Celtiis », a déclaré Thérèse Tounkara.
L'artiste n'a pas manqué de remercier Celtiis. « On va faire le chemin ensemble, si déjà, vous m'avez fait confiance, je n'ai pas le droit de vous décevoir. Celtiis, c'est notre chose, c'est notre marque, le combat commence aujourd'hui », a-t-il ajouté.
Akpédjé Ayosso
Après sa désignation le 15 janvier dernier, le 39ème empereur de Nikki a été intronisé dimanche 22 janvier 2023 en présence des têtes couronnées, dignitaires et populations de l'aire culturelle Baatonu et Boo.
Nouvel empereur de Nikki, Séro Toorou Touko Sari a été intronisé le dimanche 22 janvier 2023 à la suite du rituel de rasage.
Le nouveau Sinaboko a remercié tous ceux qui sont venus à la cérémonie. « Nous ne devons pas abandonner notre culture, c'est notre identité. C'est pourquoi, j'invite tout un chacun de nous à se donner la main pour la valorisation de notre culture », a indiqué Séro Toorou Touko Sari, nouvel empereur de Nikki.
Séro Toorou Touko Sari a été joueur de football à Nikki, délégué du quartier Kpaa Wollou de 2008 à 2015. Il a épousé deux femmes et est père de 13 enfants dont 7 filles et 6 garçons.
Le nouvel empereur succède à Sabi Na Yina 3 décédé le 19 octobre 2022.
M. M.
15 présumés malfrats ont été arrêtés par les éléments du commissariat du 6e arrondissement de Cotonou. Leur interpellation fait suite à un cambriolage au cours duquel 9 millions de francs CFA et plusieurs autres objets de valeurs ont été volés dans la nuit du 09 au 10 janvier 2023.
Saisi d'un cas de cambriolage, le commissariat du 6e arrondissement de Cotonou a ouvert une enquête qui a conduit à l'interpellation de 15 personnes. La perquisition effectuée aux domiciles des mis en cause dans les quartiers Sainte Cécile, Védoko, et Agla (Cotonou), et à Godomey, Tankpè, et Akassato dans la commune d'Abomey-Calavi a permis de découvrir et de saisir une somme de 5.315.000 CFA, 04 motocyclettes, 50 téléphones portables de diverses marques, 04 colliers, un bracelet en or, 04 iphones 13 pro max, 02 routeurs wifi, et 06 ordinateurs portables.
Un passeport emporté lors d'un braquage dans la nuit du 08 au 09 janvier 2023 à Tokan dans la commune d'Abomey-Calavi, a été retrouvé chez l'un des mis en cause lors de la perquisition.
Lors du cambriolage à Cotonou, les malfrats avaient emporté une somme de 9 millions de francs CFA, 04 iphones 13 pro Max, 02 passeports, 01 collier et 04 montres en or.
Les objets ainsi retrouvés ne laissent plus de doute sur les personnes interpellées. On dénombre parmi elles, deux femmes. Ils seront bientôt présentés au procureur de la République.
F. A. A.
Votée le 8 décembre 2022 par l'Assemblée nationale, 8è législature, la Loi N°2022-38 du 03 janvier 2023 fixant le régime des zones économiques spéciales en République du Bénin vient d'être promulguée.
La loi qui régit la création, la promotion, l'exploitation, l'administration, l'entretien et le développement des zones économiques spéciales au Bénin a été promulguée.
Les activités autorisées dans les Zones Economiques Spéciales sont celles liées à la production industrielle ; agroalimentaire ou agro-industrielle ; les activités d'assemblage d'intérêt majeur ou stratégique pour l'économie nationale, de logistique, d'entreposage et de développement d'infrastructures pour l'industrie ou pour le commerce au profit de hub internationaux de distribution ou des entreprises installées dans la zone économique spéciale pour l'exportation exclusivement et les activités commerciales ou de services destinées à faciliter l'activité principale de production.
Une autorité aura à charge l'aménagement et la gestion des ZES. Il sera également mis en place une autorité de régulation, un comité d'agrément.
Avantages accordés aux investisseurs
Les investisseurs bénéficient de deux régimes : exportation (type1) et promotion des échanges intracommunautaires (type2).
Les deux (02) types de régimes permettent aux promoteurs de bénéficier des gains de compétitivité offerts par l'écosystème économique et les chaînes de valeurs créées au sein de la zone économique spéciale.
Les agréments relevant du régime d'exportation ou régime du type 1 ouvrent à leurs bénéficiaires, le droit d'exonération totale de droits de douane en phase d'exploitation sur l'importation de matières premières. Cette exonération n'est pas appliquée pour les agréments ou régime de la promotion des échanges intracommunautaires ou régime du type 2.
« Le régime de type 2 comporte trois 03) catégories dénommées A, B et C. Ce sont les régimes ci-après : le régime 2-A qui s'applique aux entreprises dont le montant hors taxe des investissements est supérieur ou égal à dix milliards 10 000 000 000) de Francs CFA et inférieur ou égal à vingt milliards (20 000 000 000 000) de francs CFA ; le régime 2-B qui s'applique aux entreprises dont le montant hors taxes des investissements est supérieur à vingt milliards 20.000.000.000) de Francs CFA et inférieur à cinquante milliards (50 000 000 000) de francs CFA ; le régime 2-C qui s'applique aux entreprises dont le montant hors taxes des investissements est supérieur ou égal à cinquante milliards (50 000 000 000) de francs CFA », selon l'article 34 de la Loi N° 2022 - 38 du 03 janvier 2023 fixant le régime des zones économiques en République du Bénin.
M. M.
Un accident a fait dans la soirée du dimanche 22 janvier 2023 des morts et des blessés à Têgnon- Zogbodomey.
Accident mortel sur l'axe Cotonou-Bohicon. Selon les informations, il s'agit d'une collision entre un camion citerne quittant Bohicon et une voiture 4×4 en provenance de Cotonou. Roulant à grande vitesse, le conducteur du camion aurait perdu le contrôle. Le choc a été violent. Le bilan provisoire fait état de deux morts et plusieurs blessés grave. Les blessés ont été conduits à l'hôpital pour les soins.
A.A.A
Un avocat stagiaire et trois autres personnes ont été placés en garde à vue, vendredi 20 janvier 2023, à la Bef pour une affaire d'escroquerie au nom du procureur spécial près la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet).
Une présumée affaire d'escroquerie au nom du procureur spécial de la Criet Mario Mètonou. Selon Le Potentiel, les personnes interpellées auraient pris une somme de trois millions de FCFA chez un Chinois. Se présentant comme proches du procureur spécial de la Criet, elles devraient mener les démarches pour la libération de l'épouser du Chinois. L'affaire a éclaté. La Brigade économique et financière s'est saisie du dossier. Trois personnes et un avocat stagiaire ont été placés en garde à vue. Les présumés escrocs seront présentés au procureur spécial de la Criet dès la semaine prochaine.
A.Ayosso
Après le Groupe A, c'est au tour de la Poule B de livrer son verdict ce dimanche 22 janvier 2023.
Ce sont le Sénégal et la Côte d'Ivoire qui sourient et accèdent aux quarts de finale du CHAN 2023 en Algérie et l'Ouganda et la RD Congo qui pleurent et rentrent chez eux au terme de la troisième journée dans le groupe B.
Dans le premier choc du soir, le Sénégal n'a fait qu'une bouchée de la RDC (3-0) à Annaba. Pour la première fois, la RDC, vainqueur de l'épreuve à deux reprises, se fait éliminer dès la phase de groupes et confirme son déclin. De son côté, le Sénégal termine en tête et défiera le 1er du groupe D en quart de finale.
Dans l'autre match, la Côte d'Ivoire a rapidement annoncé la couleur contre l'Ouganda (3-1). Et donc, la Côte d'Ivoire devance l'Ouganda au bilan des confrontations directes et défiera l'Algérie, pays-hôte de la compétition en quarts de finale !
Josué SOSSOU
Le Ministère du tourisme, de la Culture et des Arts a procédé à la publication de la liste des encadreurs culturels suivant leurs établissements d'affectation respectifs.
La liste des admis au casting des encadreurs culturels dans le cadre du programme des Classes culturelles du gouvernement a été rendue publique. Entre autres disciplines retenues dans le cadre du programme, il y a la danse, les arts plastiques, le théâtre, la percussion, la batterie, la musique guitare la musique piano.
Le Ministère du tourisme, de la Culture et des Arts invite les encadreurs à consulter individuellement leur Etablissement d'affectation respectif sur : https://classesculturelles.bj/affectation
Chacun des encadreurs aura à renseigner ses Nom et Prénoms, la Discipline, la Commune et le Département.
M. M.
L'inspecteur de police Raymond Fadonougbo a tiré sa révérence.
Le décès est survenu, samedi 21 janvier 2023, des duites d'une longue maladie.
Raymond Fadonougbo fut Directeur général de la Police nationale (ex-Dgpn) sous feu président Mathieu Kérékou.
En 2020, Raymond Fadonougbo a été jugé par la Cour de Répression des Infractions Economiques et du Terrorisme (Criet) pour des faits de détournement de deniers publics.
M. M.
Monsieur Laïssi Radji a été nommé en qualité de membre du Conseil Economique et Social (CES) en remplacement de monsieur Nestor Wadagni au titre de la 6è mandature. C'est par décret du président de la République Patrice Talon en date du 13 janvier 2023.
Le président Patrice Talon vient de mettre fin à la vacance au poste au sein du Conseil Economique et Social (CES), 6è mandature.
Monsieur Nestor Wadagni, représentant des associations de développement des départements du Mono et du Couffo au Conseil Economique et Social (CES), décédé en cours de mandat, est remplacé pour le reste de la durée de la 6è mandature par monsieur Laïssi Radji. C'est par décret n°2023-002 du 13 janvier 2023.
Le décret vient entériner le choix fait par les associations de développement le 29 juillet 2022.
Laïssi Radji poursuivra le mandat jusqu'en juillet 2024.
Nestor Wadagni est le géniteur de l'actuel ministre d'Etat, ministre de l'économie et des finances Romuald Wadagni. L'ex vice-président du CES est un Ingénieur Statisticien Economiste sorti de la prestigieuse École Nationale de la Statistique Economique (ENSAE) de Paris. Il a occupé plusieurs fonctions au sein de l'administration publique. Nestor Wadagni est décédé le 3 septembre 2021 à l'âge de 67 ans.
Le Conseil Economique et Social (CES) est une assemblée consultative de 30 membres qui assure la représentation des principales activités économiques et sociales.
L'institution donne son avis sur les projets de loi, d'ordonnance ou de décrets ainsi que sur les propositions de loi qui lui sont soumises. Les projets de loi qui touchent l'économie et le social lui sont obligatoirement soumis pour avis. Elle peut être aussi sollicitée directement par le chef de l'Etat sur tout problème lié à l'économie, au social, au culturel et aux sciences et techniques.
Le Conseil économique et social peut, de sa propre initiative, sous forme de recommandation, attirer l'attention de l'Assemblée nationale et du Gouvernement sur les réformes d'ordre économique et social qui lui paraissent conformes ou contraires à l'intérêt général.
Marc MENSAH
Les articles 1, 16, 18, 19 et 24 du décret n° 2022-111 du 16 février 2022 portant attributions du préfet, organisation et fonctionnement des départements ont été modifiés. C'est à travers un nouveau décret pris par le Chef de l'Etat.
Au lieu de 5 ans exigés dans l'ancien décret, il faut désormais 10 ans d'expériences professionnelles avant de prétendre au poste de préfet de département au Bénin.
Le préfet est nommé parmi les hauts fonctionnaires de l'Etat ayant au moins 10 ans d'expériences professionnelles, stipule l'article premier nouveau du décret n° 2022-696 du 7 décembre 2022 portant modification des articles 1, 16, 18, 19 et 24 portant attributions du préfet, organisation et fonctionnement des départements.
« Le chargé de mission du préfet est nommé par décret pris en Conseil des Ministres, sur proposition du ministre chargé de l'administration territoriale, parmi les cadres de la catégorie A échelle 1 ayant au moins dix (10) ans d'expérience professionnelle ou de niveau et qualification équivalents s'il devait être choisi hors de l'Administration publique », selon l'article 16 nouveau.
Une expérience professionnelle de dix (10) ans est également exigée pour la nomination du conseiller financier (article 18 nouveau), du conseiller juridique (article 19 nouveau) et du secrétaire général (article 24 nouveau).
M. M.
La Confédération syndicale des travailleurs du Bénin (CSTB) à travers un communiqué, vendredi 20 janvier 2023, a salué la décision de réintégration des enseignants ayant boycotté l'évaluation diagnostique, prise par le gouvernement en Conseil des ministres. L'organisation syndicale tout en se réjouissant, a dressé le bilan des trois années de radiation dans les familles des enseignants concernés.
Trois ans après leur radiation des effectifs des agents de l'État, les enseignants qui avaient boycotté l'évaluation diagnostique réintègrent la fonction publique. La décision a été prise, mercredi 18 janvier 2023, en Conseil des ministres.
Avec joie et satisfaction, la CSTB a publié un communiqué pour saluer la décision du gouvernement. « A l'endroit du gouvernement et de son chef, le Président de la République : nous prenons acte et nous nous réjouissons de ce qu'ils ont compris la nécessité de prendre cette décision salutaire pour corriger une injustice sociale qui a trop duré et qui impactait des centaines de familles », lit-on dans le communiqué signé de Kassa Mampo. Le syndicaliste n'a pas manqué d'évoquer quelques conséquences de la décision de radiation dans les familles des enseignants concernés. A l'en croire, trois enseignants ont perdu la vie pendant la période de radiation. Plusieurs autres familles ont été disloquées, des enseignantes et enseignants reniés par leurs parents pour avoir refusé de participer à l'évaluation diagnostique. « La décision tombe après beaucoup de dégâts », regrettent Kassa Mampo et ses camarades.
Selon l'organisation syndicale, « les conséquences sociales de la décision de radiation de ces enseignants sont incalculables ».
Tout en félicitant les 305 enseignants pour leur courage, la CSTB exprime ses remerciements à toutes les personnes qui avaient soutenu leurs camarades « financièrement, matériellement et moralement » afin de permettre à leurs familles ainsi qu'à eux-mêmes, « de traverser courageusement » cette période difficile de leur vie.
F. A. A.
Le Conseil supérieur du pouvoir judiciaire (CSPJ) du Maroc a exprimé, samedi 21 janvier 2023, sa vive condamnation des allégations sans fondements contenues dans la résolution du Parlement européen (PE) du jeudi 19 janvier 2023. Ces accusations et allégations graves portent atteinte à l'indépendance du pouvoir judiciaire du Royaume.
Dans un communiqué diffusé à l'issue d'une réunion du Conseil, le CSPJ annonce avoir pris connaissance de cette résolution du Parlement européen qui contient des "accusations et des allégations graves portant atteinte à l'indépendance du pouvoir judiciaire".
Ces allégations infondées travestissent les faits et sèment le doute sur la légalité et la légitimité des procédures judiciaires prises au sujet d'affaires, dont certaines ont été jugées et d'autres en cours, précise le communiqué lu par Mustapha Libzar, secrétaire général du CSPJ.
“Le Conseil regrette cette dénaturation des faits dans le cadre de procès qui se sont déroulés conformément à la loi, dans le respect total des garanties constitutionnelles et des conditions d'un procès équitable reconnues au niveau international”, indique le communiqué.
Le CSPJ dénonce vigoureusement l'approche du Parlement européen qui s'est arrogé le droit de juger la justice marocaine de manière flagrante et partiale, portant préjudice aux institutions judiciaires du Royaume et n'accordant aucune considération à leur indépendance.
Le Conseil exprime ainsi son rejet catégorique de toute ingérence dans la justice ou tentative d'influencer ses décisions, d'autant que certaines affaires évoquées sont toujours devant les tribunaux.
“Ceci contredit toutes les normes et règles internationales, notamment les principes et déclarations des Nations-Unies relatives à l'indépendance de la justice”, indique le texte.
Le CSPJ dénonce aussi le contenu de cette résolution qui incite à exercer des pressions sur le pouvoir judiciaire aux fins de la libération immédiate des personnes qu'il a mentionnées, notant que “ceci porte une grave atteinte à l'indépendance de la justice et constitue une tentative de l'influencer, alors que certaines affaires sont toujours devant les tribunaux.”
Le Conseil rejette également les allégations citées dans la résolution, inspirées par certaines sources connues pour leurs positions dogmatiques sans disposer de preuves et de données vérifiées, et qui sont de surcroît réfutées par les faits.
Le Conseil rappelle que les personnes citées dans la résolution ont bénéficié de l'ensemble des garanties d'un procès juste et équitable prévues par la loi, dont la présomption d'innocence, le droit à la défense et l'accès à tous les documents, un procès présentiel public, la convocation de témoins et leur questionnement, le recours à l'expertise judiciaire, les voies de recours, entre autres garanties fixées par la loi marocaine telles que stipulées dans les conventions internationales des droits de l'Homme ratifiées par le Royaume.
La même source indique que les faits, objet du procès des individus cités dans la résolution du Parlement européen ne sont en aucun cas liés à une activité journalistique ou à l'exercice de la liberté d'opinion et d'expression, qui sont garanties par la loi et la Constitution marocaines. De fait, les accusations qui leur sont portées concernent des crimes de droit commun, tels que la traite d'êtres humains, le viol, l'exploitation de la vulnérabilité des personnes, des actes sévèrement sanctionnés par les lois partout dans le monde.
Le CSPJ rejette la logique de “deux poids deux mesures” qui caractérise cette résolution qui au lieu de condamner les agressions sexuelles subies par les victimes a défendu un ensemble de contrevérités et d'allégations infondées.
La Haute juridiction rappelle que les avancées substantielles réalisées ces dernières années par la justice marocaine telles que l'indépendance du parquet vis-à-vis du pouvoir exécutif dès 2017, ou encore le fait d'ériger la justice en pouvoir indépendant, consacré par la Constitution de 2011 et acté par la création du CSPJ en 2017 ; alignant ainsi le système judiciaire marocain sur les normes d'indépendance les plus avancées et les plus rigoureuses, normes d'indépendance que jusqu'à présent certains pays européens ont encore beaucoup de peine à atteindre.
Le Conseil réaffirme l'attachement des magistrats à leur indépendance ainsi que leur engagement à préserver les droits et libertés et garantir les conditions de procès équitables, en tant que devoir constitutionnel, légal et moral.
La juridiction assure aussi sa détermination à agir constamment pour la préservation de l'indépendance de la justice et son immunisation contre toutes les formes d'ingérence et de pressions étrangères, quelles qu'elles soient et ce, conformément à la Constitution et la loi organique du CSPJ.
L'audience pour l'examen du recours en invalidation de siège aux élections législatives déposé par le parti d'opposition Les Démocrates s'est ouverte ce samedi 21 janvier 2023. Elle a été reportée pour permettre au requérant de fournir les preuves.
La Cour Constitutionnelle a reporté au jeudi 26 janvier 2023 l'audience portant examen du recours en invalidation de siège pour permettre au parti Les Démocrates de fournir les preuves de ses allégations.
Le contentieux électoral porte sur l'invalidation de siège dans la 10è Circonscription Électorale.
Le siège de Comlan Benoît A. Dègla, élu sur la liste du Bloc Républicain dans la 10è circonscription est en sursis.
À l'audience du samedi 21 janvier 2023, Les Démocrates ont réclamé copie des procès-verbaux de compilation des résultats. Des documents caducs après la proclamation des résultats, selon le représentant de la Commission Électorale Nationale Autonome (CENA). La Cour a demandé au président des Démocrates si le parti a positionné des représentants dans tous les bureaux de vote lors des législatives. Une question à laquelle Éric Houndété, le président du parti a répondu par la négative.
Le rapporteur de la Cour constitutionnelle a suggéré le rejet du recours du parti Les Démocrates.
M. M.
Le groupe A du CHAN 2023 a rendu son verdict.
Ce samedi 21 janvier, l'Algérie, pays-hôte déjà qualifié pour les quarts de finale, s'est assurée de terminer en tête de la poule en enchaînant un troisième succès face au Mozambique (1-0) au Stade Nelson Mandela de Baraki. Malgré la défaite, le Mozambique finit 2ème et sera en quarts de finale du CHAN comme l'Algérie.
L'Ethiopie a en effet laissé passer sa chance en s'inclinant 3-1 contre la Libye, déjà éliminée dans l'autre match du Groupe A.
Le classement final du groupe A : Algérie 9 points, Mozambique 4 points, Libye 3 pts, Ethiopie 1 point
Josué SOSSOU
Lors de la cérémonie Joy Awards, ce samedi 21 janvier 2023 en Arabie Saoudite, Achraf Hakimi, le latéral droit du Paris Saint-Germain, est élu meilleur joueur arabe de l'année civile 2022.
Avec le Paris Saint-Germain, Achraf Hakimi a remporté le championnat de France, mais surtout, il a marqué l'histoire du football à tout jamais. Le joueur a porté la sélection marocaine jusqu'en demi-finale de la Coupe du Monde avec les Lions de l'Atlas, la première équipe africaine de l'histoire à atteindre ce stade de la compétition. Auteur de performances exceptionnelles tout au long de l'année, il a été récompensé au Joy Awards, cérémonie récompensant les athlètes arabes, organisée en Arabie saoudite.
Hakimi est ainsi récompensé pour sa belle année 2022 étant élu sportif arabe de l'année 2022 suite à un vote du public.
Les Joy Awards, c'est la plus grande cérémonie du Moyen-Orient pour reconnaître et honorer les artistes et célébrités arabes.
Josué SOSSOU
Lors de la cérémonie Joy Awards, ce samedi 21 janvier 2023 en Arabie Saoudite, Achraf Hakimi, le latéral droit du Paris Saint-Germain, est élu meilleur joueur arabe de l'année civile 2022.
Avec le Paris Saint-Germain, Achraf Hakimi a remporté le championnat de France, mais surtout, il a marqué l'histoire du football à tout jamais. Le joueur a porté la sélection marocaine jusqu'en demi-finale de la Coupe du Monde avec les Lions de l'Atlas, la première équipe africaine de l'histoire à atteindre ce stade de la compétition. Auteur de performances exceptionnelles tout au long de l'année, il a été récompensé au Joy Awards, cérémonie récompensant les athlètes arabes, organisée en Arabie saoudite.
Hakimi est ainsi récompensé pour sa belle année 2022 étant élu sportif arabe de l'année 2022 suite à un vote du public.
Les Joy Awards, c'est la plus grande cérémonie du Moyen-Orient pour reconnaître et honorer les artistes et célébrités arabes.
Josué SOSSOU
Ralentissement de la croissance en Afrique subsaharienne en 2022. Elle s'est établie à 3,4 % en raison de multiples chocs. Selon les perspectives de la Banque mondiale, la croissance en Afrique subsaharienne devrait atteindre 3,6 % en 2023 et 3,9 % en 2024.
La croissance en Afrique subsaharienne s'est nettement ralentie en 2022, pour s'établir à 3,4 %. Les fortes augmentations du coût de la vie conjuguées à la faiblesse de la demande extérieure et au resserrement des conditions financières mondiales ont freiné la reprise post-Covid dans de nombreux pays. Les tensions sur les prix des denrées alimentaires, déjà importantes avant la pandémie, se sont encore intensifiées en raison des aléas climatiques, des perturbations de l'approvisionnement aggravées par l'invasion de l'Ukraine par la Russie, d'une fragilité et d'une insécurité accrues et, dans certains pays, de fortes dépréciations monétaires. L'année dernière, l'inflation des prix alimentaires a dépassé 20 % dans plus d'un quart des pays, ce qui a ralenti la progression des revenus réels et de la demande des consommateurs et aggravé encore l'insécurité alimentaire.
Le ralentissement important de la croissance mondiale et la chute des prix des produits de base non énergétiques ont pesé sur l'activité économique de l'Afrique subsaharienne, en particulier dans les pays exportateurs de métaux. Malgré le récent relâchement des prix mondiaux de l'alimentation et de l'énergie, les coûts d'importation sont restés élevés, ce qui a contribué à creuser les déficits courants. La précarité des situations budgétaires due à la pandémie a persisté et, l'année dernière, la dette publique était supérieure à 60 % du PIB dans près de la moitié des économies de la région. La viabilité de la dette s'est encore détériorée dans de nombreux pays non producteurs de pétrole, entraînant une hausse des coûts d'emprunt, des sorties de capitaux et une dégradation de la cote de crédit.
La croissance des trois plus grandes économies d'Afrique subsaharienne — l'Afrique du Sud, l'Angola et le Nigéria — s'est fortement contractée pour ressortir à 2,6 % seulement en 2022. L'Afrique du Sud, deuxième économie de la région, n'a enregistré qu'une croissance de 1,9 % en raison de l'aggravation des pénuries d'électricité et du renforcement des politiques de rigueur pour juguler l'inflation. L'incertitude politique, le fléchissement de la demande extérieure et les perturbations dues aux inondations et aux grèves ont aussi nui à la croissance. En Angola, les cours élevés du pétrole et la stabilité de la production pétrolière ont permis un rebond de 3,1 %. Dans le même temps, la croissance au Nigéria, premier producteur de pétrole de l'Afrique subsaharienne, a continué de s'affaiblir en raison de l'intensification des problèmes de production dans le secteur pétrolier. L'inflation dans ce pays a dépassé 21 % en 2022, son niveau le plus élevé depuis 17 ans, ce qui a entraîné un nouveau resserrement des politiques économiques. Et pour les populations vulnérables, l'accessibilité des denrées alimentaires s'est encore détériorée du fait des perturbations dans le secteur agricole et des déplacements de population massifs provoqués par de récentes inondations dévastatrices.
Perspectives
La croissance en Afrique subsaharienne devrait atteindre 3,6 % en 2023 et 3,9 % en 2024. Par rapport aux prévisions de juin, la croissance a été revue à la baisse pour près de 60 % des pays, y compris pour plus de 70 % des exportateurs de métaux qui devraient être pénalisés par la poursuite de la baisse des cours mondiaux. En dépit de l'atténuation attendue des pressions inflationnistes, le rythme de reprise devrait rester stable dans de nombreux pays en raison de l'impact négatif de la pauvreté persistante et de l'insécurité alimentaire sur la croissance, amplifié par d'autres facteurs de vulnérabilité tels que les conditions météorologiques défavorables, l'endettement élevé, l'incertitude politique, la violence et les conflits.
Ce ralentissement de la croissance constitue un obstacle majeur pour le développement économique de l'Afrique subsaharienne. Le revenu par habitant ne devrait augmenter que de 1,2 % en moyenne en 2023- 2024, un taux beaucoup trop faible par rapport aux progrès nécessaires pour réduire durablement la pauvreté et compenser les pertes de revenus consécutives à la pandémie. Cette année, le revenu par habitant en Afrique subsaharienne devrait rester inférieur de plus de 1 % à celui de 2019. Et les projections anticipent que dans près de 40 % des pays, y compris les trois plus grandes économies de la région, le revenu par habitant n'aura pas retrouvé son niveau antérieur à la pandémie même d'ici à la fin de 2024.
Risques
De nombreux risques de détérioration pèsent sur les perspectives régionales. Un ralentissement plus marqué qu'attendu de l'économie mondiale pourrait entraîner une chute brutale des cours des matières.
Source : Banque mondiale
À travers un message radio, le directeur général de la police républicaine, l'Inspecteur général de police de 2e classe Soumaïla Yaya informe de la poursuite de l'opération de contrôle d'excès de vitesse sur les axes routiers à partir de ce lundi 23 janvier 2023.
Contrôle d'excès de vitesse sur les axes routiers. Selon le directeur général de la police républicaine, Soumaïla Yaya, les agents doivent poursuivre la mission de contrôle d'excès de vitesse avec l'appareil cinémomètre laser sur toute l'étendue du territoire national dès ce lundi 23 janvier 2023. L'objectif est de réduire les accidents de circulation sur les axes routiers. L'opération de contrôle devra être conduite sous le contrôle effectif des directeurs départementaux de la police républicaine. Elle « ne doit nullement donner lieu à des actes de rançonnement, ni tracasseries routières ».
Akpédjé Ayosso