Le premier adjoint au maire de Parakou est désormais connu. Il a nom Mohamed Abdel Taya Yari.
Un membre du parti Bloc Républicain occupe le poste de premier adjoint au maire de Parakou. Il s'agit de Mohamed Abdel Taya Yari. Il remplace Charles Toko, ex-premier adjoint au maire désormais député à l'Assemblée nationale. Mohamed Abdel Taya Yari a été chef du deuxième Arrondissement de Parakou. Il rejoint l'équipe de Inoussa Zimé Chabi au poste de premier adjoint.
A.A.A
Le Conseil des Investisseurs Privés au Bénin (CIPB) en partenariat technique avec le Tribunal de Commerce de Cotonou organise, le 30 novembre prochain, la 5e édition du Séminaire sur la Justice commerciale (SJC). À quelques jours de cette rencontre d'intérêt juridique et économique, 24 heures au Bénin a rencontré Roland Riboux, président du Conseil des investisseurs privés au Bénin.
La 5e édition du Séminaire sur la Justice Commerciale (SJC) est placée sous le thème « L'amélioration du climat des affaires et l'efficience du recouvrement des créances ». Qu'est-ce qui motive le choix de ce thème ?
Ce séminaire va permettre d'aborder le problème du recouvrement des créances. Quand on est un opérateur économique, c'est un problème qu'on peut avoir avec un partenaire. C'est toujours une affaire de recouvrement de créances d'une façon ou d'une autre. Je pense que c'est une bonne idée d'avoir choisi ce thème, parce que l'efficience du recouvrement des créances, cela veut dire que votre dossier de recouvrement de créance ne va pas rester pendant des années coincé au Tribunal de Commerce ; celui-ci va rendre une décision rapide. Le Tribunal de Commerce a vraiment un objectif d'efficacité ; il tient des statistiques et veut les améliorer de façon à ce qu'on puisse dire que les affaires qu'il traite sont résolues rapidement.
Le climat des affaires sera sûrement amélioré au Bénin, si l'on sent que, chaque fois qu'on signe un contrat d'achat ou de vente avec quelqu'un, on va obtenir une décision rapide en cas de litige. On va considérer que le Bénin est un pays vertueux, un pays où il faut investir puisque, si on y met son argent, si on fait les bons contrats, on est sûr de récupérer son argent à la sortie.
Quelle est la particularité de cette 5e édition ?
Nous avons depuis quelques semaines une Cour d'Appel de Commerce. Nous aurons l'occasion de voir le déploiement de cette nouvelle entité. L'un des intervenants est le nouveau président de la Cour d'Appel de Commerce. Le nouveau président du Tribunal de Commerce va aussi se faire connaître. Une autre particularité, est que, pour des raisons financières et d'efficacité, le Séminaire sur la Justice Commerciale se tient désormais en une seule journée à Cotonou.
Quels sont les participants attendus à ce séminaire ?
Nous attendons, à part les membres du CIPB, des représentants du Ministère de la Justice, des personnes désignées par le Tribunal de Commerce, que ce soient des juges consulaires ou des juges des cours et tribunaux, et de nombreux avocats. Les banques seront présentes. Auparavant, elles intervenaient au travers de l'APBEF (l'Association Professionnelle des Banques et Etablissements Financiers du Bénin, ndlr) qui, habituellement intervenait sur un thème. Désormais, les banques viennent de façon individuelle ; ce sont les banques les plus importantes qui vont faire le déplacement.
Au terme de ce séminaire, quels sont les résultats escomptés ?
Les participants s'attendent à apprendre quelque chose de nouveau, des choses à éviter ou à promouvoir, des attitudes à avoir dans certains cas. On ne connaît pas tout de la matière judiciaire ; souvent on commence à apprendre quand un problème se présente. Si l'on a eu l'occasion d'écouter une intervention sur le sujet concerné, on a plus de chance d'éviter des chausse-trapes. Après le séminaire, un document est rédigé, qui contient des propositions qui peuvent être prises en compte par le Ministère de la Justice. Cela va aider à améliorer le fonctionnement de la Justice Commerciale.
Quel est l'objectif du CIPB en organisant chaque année depuis 2019, un séminaire sur la Justice Commerciale.
Grâce à ce séminaire, nous mettons en exergue une de nos activités. En effet, le CIPB, depuis sa création, s'est focalisée sur deux choses : la Fiscalité et la Justice. Sur la Fiscalité, nous avons un cadre de concertation, une plateforme de demandes que nous présentons chaque année à l'Assemblée Nationale. Il s'est aussi saisi de la Justice Sociale et de la Justice Commerciale. Pour la Justice Sociale, nous avons milité pour la limitation des dommages et intérêts en cas de licenciement dit abusif, parce que les indemnités étaient abusives ! Le Président Talon dès son arrivée, a retrouvé le dossier qui était déjà à l'Assemblée Nationale. Il a intégré plusieurs clauses concernant les contrats de travail à durée déterminée et indéterminée. La Justice Sociale n'est plus une préoccupation pour nous, puisque les employés ont été remis dans la bonne direction.
Par contre, la Justice Commerciale est un sujet inépuisable, puisqu'il est beaucoup plus difficile de fixer des normes. Parmi les sujets que nous abordons avec les autorités, il y a toujours le fait qu'il faudrait plus de magistrats. Si un juge n'a pas de greffier, il devient inefficace. Il faut former les gens et cela prend du temps. C'est une chose qui doit être gérée dans la durée. C'est aussi pourquoi nous organisons ce séminaire qui, vraiment, aide à rapprocher le Secteur Privé de la Justice, du Ministère et du Gouvernement en général.
Comment appréciez-vous les réformes mises en œuvre par le Gouvernement de Patrice Talon pour améliorer le climat des affaires au Bénin.
Sur le droit du travail, c'est un grand succès. Pour ce qui est de la Justice Commerciale, il y a désormais une Cour d'Appel, c'est aussi un grand succès. Sur la Fiscalité notre remarque, c'est qu'en très peu de temps on est arrivé à faire des choses qui, pour nous, étaient impensables avant l'arrivée du Président Talon. Avant, si vous souhaitiez payer vos impôts, vous alliez faire la queue pendant une demi-journée. Beaucoup de choses désormais se font par internet. C'est une réforme très importante qui a été faite. D'autres mesures ont été prises pour attirer l'investisseur : le nouveau code des investissements, la Zone Economique Spéciale de Glo-Djigbé, etc.
Il y a aussi les gros efforts qui sont faits dans le domaine de l'énergie. J'espère bien qu'avant la fin du mandat du Président Patrice Talon, le Bénin va se lancer dans le nucléaire, c'est-à-dire planifier l'installation d'une mini-centrale nucléaire, comme le Ruanda et le Cap Vert sont en train de le faire.
Propos recueillis par Akpédjé Ayosso
La présente mise au point vise à clarifier le travail de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF) dans le cadre de l'audit du fichier électoral togolais qu'elle a réalisé en octobre dernier.
L'OIF invite à ne pas confondre son rôle dans ce contexte avec celui d'autres acteurs intervenant dans le processus électoral togolais. Elle tient à rappeler que le mandat de sa mission d'expertise au Togo était circonscrit exclusivement à l'audit du fichier électoral et non à l'audit de l'ensemble des problématiques liées au processus électoral de manière générale.
Un audit de fichier électoral n'étant qu'une étape parmi tant d'autres de ce processus, l'OIF ne saurait être tenue pour responsable de défaillances relevées lors de la période d'inscription des électeurs.
En effet, par lettre du ministre de l'Administration territoriale, de la Décentralisation et du Développement des territoires du 5 juin 2023, le gouvernement togolais a sollicité l'appui de l'OIF en vue de réaliser un audit du fichier électoral ainsi que son assistance et son accompagnement pour la modernisation de l'état civil du Togo. Le fichier électoral en question est celui issu du recensement des électeurs, du 29 avril au 14 juin 2023.
La demande précise que cet audit ait été demandé à l'OIF, sur la base des recommandations formulées par les acteurs politiques et de la société civile togolaise, précisément à l'issue du dialogue politique qui s'est déroulé en 2021 au sein de la Concertation nationale entre acteurs politiques (CNAP).
En réponse à cette demande des autorités togolaises, via un courrier en date du 20 juin 2023, l'OIF a confirmé sa disponibilité à accompagner cet Etat membre dans la réalisation technique de ces deux chantiers.
1. Conformément à sa pratique, et en lien avec la Commission nationale électorale indépendante (CENI), l'OIF a déployé du 17 au 27 octobre 2023 à Lomé, une mission d'audit composée d'experts qualifiés comprenant un informaticien, un juriste et un statisticien-démographe en vue de la réalisation de cette opération.
2. La mission d'audit a échangé sur place, le 19 octobre 2023, avec toutes les parties prenantes nationales, en particulier la CENI, et a présenté à ces dernières les modalités (principes, approche et champs de couverture) d'un audit de fichiers électoraux par l'OIF. Ces modalités incluent particulièrement les principes de transparence et d'inclusivité, induisant l'implication d'un spectre représentatif de la classe politique et de la société à la supervision et au suivi de l'opération d'audit.
3. La CENI, maître d'œuvre de l'audit, et garante de l'application du principe d'inclusivité à cette opération, a élaboré les Termes de référence (TDR) de celle-ci et mis en place un Comité d'audit composé des différentes sensibilités (majorité, opposition et société civile).
4. Le 25 octobre 2023, les experts de l'OIF ont rencontré les membres de ce Comité d'audit, pour partager avec ces derniers leurs constats et recommandations. A l'exception de ceux de la société civile, les représentants des partis politiques (Majorité et Opposition) étaient présents.
5. Le rapport final de l'audit a été remis à la CENI, le 15 novembre 2023, à l'issue d'une séance de restitution ouverte et publique tenue par l'OIF à Lomé, en présence de partenaires nationaux togolais. Ce rapport, accessible auprès de la CENI aux membres du Comité d'audit et à tout acteur politique national intéressé, comporte des analyses objectives et impartiales sur les différentes opérations portant sur le fichier électoral, depuis le recensement électoral. Il est assorti de recommandations visant à renforcer davantage le fichier.
Au nom du principe du contradictoire, ce rapport ainsi mis à la disposition de la CENI peut faire l'objet de commentaires et/ou d'observations éventuels de la part des partenaires togolais. Les acteurs politiques nationaux intéressés peuvent dès lors prendre attache avec la CENI et, si besoin, faire valoir leurs objections et alternatives aux analyses techniques et scientifiques effectuées sur le fichier électoral par les experts de l'OIF.
Au demeurant, l'OIF tient à souligner, avec insistance, que sa mission d'audit au Togo a été menée de manière transparente, impartiale et objective et selon des procédés techniques et scientifiques éprouvés, y compris auparavant dans de nombreux autres pays de l'espace francophone engagés dans des processus électoraux.
Depuis plusieurs décennies, l'OIF a développé une expertise en matière électorale qui fait autorité auprès de nombreux partenaires. Les conclusions et recommandations de missions d'audit qu'elle a menées dans de nombreux pays membres, et mises en œuvre par ces derniers, ont significativement contribué à consolider les fichiers électoraux et à renforcer la confiance dans les processus électoraux de ces pays.
La Mairie de Bohicon a organisé du 21 au 23 novembre 2023 avec l'appui du projet ReFORME de la Giz, un atelier de renforcement des capacités des membres du cadre intégrateur.
La salle de conférence de la gare routière de Bohicon a servi de cadre à l'atelier de renforcement des membres du cadre intégrateur organisé du 21 au 23 novembre 2023 par la Mairie de Bohicon grâce à l'appui du projet ReFORME de la Giz.
A l'ouverture de l'atelier, le maire de Bohicon, Rufino d'Almeida a fait savoir qu'il entend collaborer avec le « cadre intégrateur » qui est « une force de proposition d'action de développement en même temps qu'un relai d'informations stratégiques au niveau des citoyens ».
Creuset qui fédère les cadres de concertations existantes, le cadre intégrateur permet d'optimiser l'efficacité de tous ces cadres.
M. M.
Un incendie s'est déclaré dans la nuit du jeudi 23 novembre 2023 au marché de Cococodji. Une trentaine de hangars ont été détruits par le feu.
Incendie au marché de Cococodji. Le feu s'est déclaré aux environs de 23 heures. Il a ravagé près d'une trentaine de hangars et de boutiques selon les premières informations. Les dégâts matériels sont énormes. La population a mené des actions avant l'arrivée des sapeurs-pompiers. Ces derniers ont pu finalement maitriser le feu.
Le Préfet de l'Atlantique Jean-Claude Codjia, le maire de la commune Angelo Ahouandjinou, le CA de Godomey et des éléments de la police républicaine se sont rendus sur les lieux. L'origine du feu n'est pas encore connue.
A.A.A
Le Président du Bénin Patrice Talon est attendu, fin novembre 2023 à Dubaï aux Émirats arabes unis pour la 28ème Conférence des Parties sur le Climat de l'ONU (COP 28).
Le Chef de l'État béninois pourrait se rendre dans les prochains jours à Dubaï. Il y est attendu pour sa participation à la 28e Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques. Elle se déroulera du 30 novembre au 12 décembre 2023. L'accent sera mis entre autres sur le premier bilan mondial, la transition énergétique. Les États évalueront « les progrès accomplis dans la réalisation des objectifs fixés par l'Accord de Paris et définiront un plan d'action ».
La conférence va réunir les pays signataires de la Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques et les acteurs et actrices du climat.
A.A.A
Des dépôts d'essence de contrebande communément appelée "kpayo" sont dissimulés dans des écoles, des maisons et des centres de loisirs à Badagry et le long des ruisseaux frontaliers entre le Bénin et le Nigéria. Ces dépôts ont été découverts grâce à l'opération AWATSE lancée par la marine nigériane.
Des dépôts illicites, dissimulés dans des écoles, des maisons et des centres de loisirs à Badagry, et le long des ruisseaux frontaliers avec le Bénin. C'est ce qu'a découvert la marine nigériane grâce à l'opération dénommée AWATSE. Elle a été menée avec des moyens aériens et des installations électro-optiques dans sa lutte engagée contre les activités illicites qui menacent l'économie du pays.
En réponse à cette découverte, des mesures ont été prises pour évacuer en toute sécurité les produits pétroliers confisqués, tandis que des patrouilles renforcées sont prévues pour prévenir tout acte de sabotage économique futur dans la région, rapporte Les 4Vérités.
Le stockage de l'essence de contrebande a provoqué de nombreux incendies dont les dégâts au plan humain, sont énormes. Le drame de Sèmè-Kraké en septembre dernier, en est une illustration.
Un magasinier est poursuivi à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET). Il est accusé d'avoir emporté une somme d'argent estimée à 235 millions de francs CFA, appartenant à son patron. Le ministère public a requis une peine de 05 ans de prison contre lui lors d'une audience jeudi 23 novembre 2023.
Un magasinier risque gros à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme. Poursuivi pour abus de confiance, il risque de passer 05 ans derrière les barreaux. Le prévenu selon les déclarations à la barre, a disparu avec les recettes générées par la vente des sacs de ciment et de potasse. Porté disparu, il a été arrêté à Houègbo dans la commune de Toffo.
Lors des enquêtes préliminaires, il a confié avoir perçu 18 millions de francs CFA, avant de varier dans ses déclarations à la barre.
Dans ses réquisitions, le ministère public demande à la Cour de retenir l'accusé dans les liens de la prévention, et de le condamner à une peine de 5 ans de prison ferme, et au remboursement des 235 millions FCFA.
Le juge après les débats a renvoyé le délibéré au 11 décembre 2023.
Avec l'appui des partenaires techniques et financiers, le gouvernement de Patrice Talon procède à la réalisation du projet de mise en place de 8 écoles des métiers (EM) de référence au Bénin.
La formation technique et le développement des compétences occupent une place de choix dans les actions du gouvernement de Patrice Talon. Dans le but d'apporter une solution à la récurrente question de l'inadéquation entre la formation et le marché de l'emploi, le gouvernement a décidé de construire 30 Lycées Techniques Agricoles et de mettre en place 8 Ecoles de Métiers (EM du Numérique ; EM de l'Energie et du Développement Durable ; EM de l'Eau et de l'Assainissement ; EM de la Menuiserie du Bois et de l'Aluminium ; EM de la maintenance des véhicules et des Equipements Industriels ; EM du Bâtiment et des Travaux Publics ; EM de la mode et du textile).
Dans le cadre du projet de mise en place de 8 écoles des métiers (EM) de référence, plusieurs actions ont été déjà menées par le gouvernement. A la date d'aujourd'hui, les financements ont été déjà mobilisés auprès de la Banque mondiale pour 7 écoles des métiers) et de LuxDev (Ecole des Métiers du THR). Les études techniques et architecturales sont en cours (APS disponible ; APD en cours de finalisation ; DAOI en cours d'élaboration). Le curricula est en cours d'élaboration avec toutes les parties prenantes.
Les Ecoles des Métiers vont assurer la formation des techniciens supérieurs, des techniciens et des ouvriers qualifiés, compétents et performants pour les besoins de l'économie béninoise et de la sous-région. Les apprenants pourront intégrer les écoles de métiers soit en formation initiale, duale ou continue.
Trois (03) types de diplômes seront préparés dans les écoles de métiers. Il s'agit du diplôme de Technicien au Métier (DTM), équivalant à un baccalauréat professionnel, accessible après la classe de troisième pour un cycle de trois années d'étude ; du diplôme de Technicien Supérieur au Métier (DTSM) équivalant à un Bac + 2, accessible après un DTM ou un Baccalauréat général. Dans les écoles des métiers, il sera également possible de recevoir des formations qualifiantes et d'accompagnement modulaires ou de courte durée pour la reconversion et l'insertion des jeunes et des adultes, notamment sur des compétences spécifiques.
A.A.A
Les travaux du Forum des Agents des Douanes de l'UEMOA ont été lancés, mercredi 22 novembre 2023 au Palais des Congrès de Cotonou.
Le 11ème Forum des Agents des Douanes de l'UEMOA s'est ouvert, mercredi 22 novembre 2023 sur le thème : « La modernisation des services de surveillance à l'épreuve des nouveaux types de criminalité transfrontalière ». L'objectif est de doter les Etats membres de l'UEMOA d'instruments modernes pour faire face aux nouvelles formes de criminalité.
« L'insécurité que vit notre région constitue un véritable défi existentiel pour nos États », selon le représentant du président de la Commission de l'UEMOA, Professeur Filiga Michel Sawadogo. Pour la Directrice Générale des Douanes par intérim du Bénin, Adidjatou Hassan Zanouvi, le « forum permettra également de donner la parole à de nombreux et divers interlocuteurs sur des thématiques, les règles, et les enjeux d'origine, les échanges sur le contrôle des services de surveillance des douanes pour une lutte efficace face aux entraves à la libre circulation ».
Procédant à l'ouverture officielle des travaux Hermann Orou Takou, le Représentant du Ministre de l'économie et des finances a rappelé les mesures prises par le gouvernement du Bénin pour la modernisation des services de surveillance.
Il a souhaité que les échanges aboutissent à des « orientations adéquates pour relever les défis auxquels les États membres de l' UEMOA sont confrontés en matière de criminalité transfrontalière ».
Les travaux du 11ème Forum des Agents des Douanes de l'UEMOA dureront trois jours.
M. M.
Le 11e Forum des agents de douanes de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) a démarré ce mercredi 22 novembre 203 au Palais des congrès de Cotonou. Le directeur de cabinet du ministre d'Etat en charge de l'économie et des finances, Hermann Orou TAKOU a procédé au lancement officiel des travaux en présence de la directrice générale de la douane, Adidjatou H. ZANOUVI, et Filiga M. SAWADOGO, représentant le président de la Commission de l'UEMOA, et des délégués des administrations douanières des pays membres de l'Union.
« La modernisation des services de surveillance à l'épreuve des nouveaux types de criminalité transfrontalière », c'est le thème retenu pour le 11e Forum des agents de douanes. Les assises ont été ouvertes ce mercredi 22 novembre 2023 au Palais des congrès de Cotonou.
La directrice générale de la douane a rappelé l'objectif du forum. Il s'agira selon Adidjatou H. ZANOUVI, de donner la parole à de nombreux et divers interlocuteurs sur des thématiques, les règles, et les enjeux d'origine, les échanges sur le contrôle des services de surveillance des douanes pour une lutte efficace face aux entraves à la libre circulation. Elle n'a pas manqué de rappeler les mesures prises par le gouvernement du Bénin dans le cadre de la modernisation des services de surveillance.
« La libre circulation des biens et des personnes au sein de l'espace UEMOA est une pierre angulaire de notre Union dont la réalisation a pour finalité de favoriser le développement économique et de renforcer les liens entre nos peuples », a rappelé Filiga M. SAWADOGO, représentant du président de la Commission de l'UEMOA. L'insécurité dans la région Afrique de l'Ouest selon lui, est « un véritable défi existentiel » pour les États.
Le directeur de cabinet représentant le ministre d'Etat a mis l'accent sur les actions des services des douanes. « Les actions des services des douanes doivent rimer avec la facilitation des échanges, le renforcement de la bonne gouvernance et de l'éthique ainsi que la lutte contre la fraude sous toutes ses formes et la criminalité transfrontalière », a souligné Hermann Orou TAKOU. Il dit être convaincu que des échanges, sortiront des orientations adéquates pour relever les défis auxquels les États membres de l'UEMOA sont confrontés en matière de criminalité transfrontalière.
F. A. A.
La Chambre de commerce et d'industrie du Bénin (CCI Bénin) en partenariat avec la Chambre de commerce et d'industrie de Côte d'Or, Métropole de Bourgogne en France, a organisé les 22 et 23 novembre 2023, la première vague de soutenances des postulants au parcours de la Validation des Acquis des Expériences (VAE). Au total, 10 chefs d'entreprises et autres professionnels des entreprises planchent devant le jury présidé par Olivier DALLA PIAZZA, Directeur de Smart Campus à la Chambre de commerce et d'industrie de Côte d'Or.
Des postulants de l'Ecole de la CCI Bénin défendent leurs mémoires pour la Validation des Acquis des Expériences. Une initiative du programme CCI Formation de la CCI Bénin, rendue possible grâce au partenariat signé le 19 mai 2021, avec la Chambre de commerce et d'industrie de Côte d'Or.
L'organisation de cette soutenance, selon le représentant du secrétaire général de la CCI Bénin, Joelle VIDEHOUENOU, vise non seulement à développer l'axe de la formation à destination des salariés et dirigeants des entreprises béninoises, mais aussi, à créer et pérenniser une école de commerce à l'endroit du monde entrepreneurial. L'objectif poursuivi par le processus VAE selon Joëlle VIDEHOUENOU, est de permettre à des salariés et professionnels des entreprises, de faire valoir, au regard de leurs expériences professionnelles, des compétences (savoir, savoir-faire, savoir-être), leur permettant de valider un diplôme inscrit au répertoire national des certifications professionnelles de France. Les actions de cette soutenance s'étendront progressivement à d'autres activités qui visent à définir, concevoir et mettre en place des actions de formation exécutives à destination des décideurs et cadres en entreprise, ainsi que des coworking dont la finalité est de favoriser des échanges entre étudiants et entreprises de France et du Bénin, a-t-elle informé.
Au nom des élus consulaires de la Chambre de commerce et d'industrie de Côte d'Or, Olivier DALLA PIAZZA, directeur de smart campus, a exprimé ses remerciements aux élus consulaires au Bénin pour le partenariat. Le Bénin fait-il savoir, a été choisi pour sa singularité, la qualité de son accueil et la bienveillance des personnes qui accueillent avec beaucoup de professionnalisme et beaucoup de considération. Il n'a pas manqué de féliciter les candidats pour le sérieux et l'enthousiasme dont ils ont fait preuve durant le processus qui, d'après lui, honore le partenariat entre les deux chambres consulaires. « C'est l'ADN des chambres de commerce que de délivrer ce diplôme uniquement à travers le jugement de professionnels. Ce sont des diplômes qui sont fabriqués par des professionnels, pour des professionnels, pour l'entreprise », a indiqué le président du jury après ses mots de remerciements aux élus consulaires et à l'équipe technique.
Kisito CODJIA, délégué VAE CCI Métropole de Bourgogne, initiateur du partenariat, a évoqué à l'occasion, la mise en place de smart campus Bénin, pour lequel, des réflexions sont initiées avec l'élaboration d'un plan d'action. « L'accompagnement VAE, c'est de l'écoute individuelle, de l'écoute permanente, et si les gens sont encore là, avec enthousiasme jusqu'à ce stade, c'est qu'ils ont cet accueil permanent », s'est réjoui le délégué VAE CCI Métropole de Bourgogne, exprimant ses remerciements à l'équipe VAE.
A son tour, Christian MONDJANNAGNI, président de la commission formation de la CCI Bénin, précise que le diplôme délivré aux candidats est « un élément fort qui pourra servir à convaincre leur entourage ». « C'est un poids non négociable […] à la disposition de l'entreprise pour son développement », a-t-il ajouté avant d'exhorter le jury à tout mettre en œuvre pour que l'on ait des postulants à la hauteur de ce qu'ils auraient acquis.
A propos du programme VAE de la CCI Bénin
Selon GIBIGAYE, chef du département formation de la CCI Bénin, la VAE est un procédé, un processus qui part des expériences du postulant pour le qualifier. C'est un processus individuel. Toutefois les postulants qui ont les mêmes préoccupations peuvent être regroupés pour la formation.
Suivant les explications du chef département formation de la CCI Bénin, le postulant en début de processus est soumis à un questionnaire composé des blocs de compétences de la diplomation choisie. Les réponses fournies à ces questions permettent d'apprécier ses niveaux de compétences et ses expériences ; lesquelles permettront également de déclarer sa candidature recevable, ou non.
Il faut le rappeler, le processus de la VAE a démarré à la CCI Bénin, en début d'année avec les inscriptions lancées à travers les divers canaux de communication de la CCI Bénin.
Quelques images
F. A. A.
Les évêques du Bénin ont tenu du lundi 20 au mercredi 22 novembre 2023, la 70e session plénière ordinaire de la Conférence épiscopale du Bénin (CEB). Au cours de ces assises, le clergé catholique a salué les efforts du gouvernement visant à donner un nouveau visage au Bénin à travers des réalisations concrètes telles que l'amélioration des axes routiers, l'éclairage des zones obscures, les nombreux projets de construction et de modernisation dans divers domaines. Après avoir remercié le gouvernement pour ces efforts, les évêques du Bénin ont exprimé le souhait renouvelé pour la prise de mesures sociales pour remédier à la flambée des produits de première nécessité.
La visite Ad Lumina à Rome en octobre dernier, le Synode sur la Synodalité à Rome, la tenue au Bénin de l'édition 2023 de Refresher Program, une rencontre internationale des journalistes et communicateurs catholiques de l'Afrique occidentale, sont entre autres les sujets abordés au cours de cette 70e session plénière ordinaire de la CEB.
Lire le communiqué final
C'est avec une grande surprise que nous avons pris connaissance de plusieurs articles de la presse en ligne béninoise le mardi 21 novembre, faisant un lien inadéquat entre un supposé désaccord entre VISTA et ECP, actionnaire majoritaire du groupe Orabank et l'inquiétude que cela devrait susciter chez les clients et une éventuelle menace sur leur épargne.
Pour rappel, notre groupe annonçait le 10 août 2023 la signature d'un accord en vue de la cession totale des actions d'ECP, de BIO, de PROPARCO et de DEG dans Oragroup au Groupe VISTA Bank. Les discussions entre actionnaires pour finaliser cette transaction n'ont aucun rapport avec notre mission première d'apporter à nos clients un service bancaire de qualité, de leur permettre de réaliser leurs projets dans les meilleures conditions et de les accompagner avec éthique, responsabilité et transparence.
Cette mission, nous en faisons aussi un devoir et nous assurons au quotidien de la mener à bien, avec nos équipes commerciales qui continuent de prouver notre forte capacité de mobilisation de ressources avec une croissance de nos dépôts de 12% entre septembre 2022 et septembre 2023.
Nous invitons tous les organes de presse à vérifier l'exactitude des informations qu'ils diffusent, à faire preuve de discernement et d'éviter les amalgames et raccourcis tendancieux et totalement infondés.
Nous remercions nos clients pour la confiance sans cesse renouvelée et les assurons de notre parfait engagement à toujours mériter leur confiance.
À propos du Groupe Orabank
Le groupe Orabank est présent dans 12 pays d'Afrique de l'Ouest et du Centre (Bénin, Burkina Faso, Côte d'Ivoire, Gabon, Guinée, Guinée Bissau, Mali, Mauritanie, Niger, Sénégal, Tchad et Togo) et dans quatre zones monétaires (UEMOA, CEMAC, Guinée et Mauritanie). Avec plus de 170 agences et points de ventes, une société de gestion et d'intermédiation (SGI) et plus de 2 500 collaborateurs, le groupe Orabank offre à près de 700 000 clients (grandes entreprises multinationales, régionales et locales, institutionnels, PME, professionnels, TPE et particuliers) une large gamme de produits et services bancaires et financiers selon des principes de proximité et de réactivité.
En visant l'inclusion financière par le déploiement de solutions innovantes, le groupe Orabank se concentre aussi sur des segments de la population à revenus modestes. Cet engagement se traduit par sa politique RSE, partie intégrante de sa stratégie et priorité de ses organes de direction, axée sur la transition énergétique, la gestion des risques environnementaux et sociaux, le bien-être du public et de ses collaborateurs.
C'est avec une grande surprise que nous avons pris connaissance de plusieurs articles de la presse en ligne béninoise le mardi 21 novembre, faisant un lien inadéquat entre un supposé désaccord entre VISTA et ECP, actionnaire majoritaire du groupe Orabank et l'inquiétude que cela devrait susciter chez les clients et une éventuelle menace sur leur épargne.
Pour rappel, notre groupe annonçait le 10 août 2023 la signature d'un accord en vue de la cession totale des actions d'ECP, de BIO, de PROPARCO et de DEG dans Oragroup au Groupe VISTA Bank. Les discussions entre actionnaires pour finaliser cette transaction n'ont aucun rapport avec notre mission première d'apporter à nos clients un service bancaire de qualité, de leur permettre de réaliser leurs projets dans les meilleures conditions et de les accompagner avec éthique, responsabilité et transparence.
Cette mission, nous en faisons aussi un devoir et nous assurons au quotidien de la mener à bien, avec nos équipes commerciales qui continuent de prouver notre forte capacité de mobilisation de ressources avec une croissance de nos dépôts de 12% entre septembre 2022 et septembre 2023.
Nous invitons tous les organes de presse à vérifier l'exactitude des informations qu'ils diffusent, à faire preuve de discernement et d'éviter les amalgames et raccourcis tendancieux et totalement infondés.
Nous remercions nos clients pour la confiance sans cesse renouvelée et les assurons de notre parfait engagement à toujours mériter leur confiance.
À propos du Groupe Orabank
Le groupe Orabank est présent dans 12 pays d'Afrique de l'Ouest et du Centre (Bénin, Burkina Faso, Côte d'Ivoire, Gabon, Guinée, Guinée Bissau, Mali, Mauritanie, Niger, Sénégal, Tchad et Togo) et dans quatre zones monétaires (UEMOA, CEMAC, Guinée et Mauritanie). Avec plus de 170 agences et points de ventes, une société de gestion et d'intermédiation (SGI) et plus de 2 500 collaborateurs, le groupe Orabank offre à près de 700 000 clients (grandes entreprises multinationales, régionales et locales, institutionnels, PME, professionnels, TPE et particuliers) une large gamme de produits et services bancaires et financiers selon des principes de proximité et de réactivité.
En visant l'inclusion financière par le déploiement de solutions innovantes, le groupe Orabank se concentre aussi sur des segments de la population à revenus modestes. Cet engagement se traduit par sa politique RSE, partie intégrante de sa stratégie et priorité de ses organes de direction, axée sur la transition énergétique, la gestion des risques environnementaux et sociaux, le bien-être du public et de ses collaborateurs.
Olushegun Adjadi Bakari, ministre des Affaires étrangères a présenté, mercredi 22 novembre 2023, les projets inscrits au budget 2024 de son département ministériel, à la Commission budgétaire de l'Assemblée nationale.
Les crédits alloués au Ministère des affaires étrangères au titre de l'exercice 2024 s'élèvent à 16 milliards de FCFA. Les projets phares inscrits au titre du Budget sont : la mise en place de la plate-forme e-diaspora pour la délivrance de documents officiels aux Béninois de la diaspora ; la modernisation et la digitalisation de l'administration diplomatique. « (…) Il y aura de grands projets de réfection et de remise en état de nos différentes missions diplomatiques parce qu'elles représentent le Bénin et projettent l'image du Bénin », a indiqué Olushegun Adjadi Bakari, ministre des affaires étrangères, mercredi 22 novembre 2023, lors de son passage devant la Commission budgétaire de l'Assemblée nationale.
Le budget, gestion 2024 du Ministère des affaires étrangères a connu une baisse de 4% comparativement à 2023. Une baisse qui s'explique, selon le ministre, par la réduction des charges. Les effectifs sont en baisse en raison de départ à la retraite et l'achèvement de projets à fort investissements dont la construction de la résidence du ministre des affaires étrangères. Olushegun Adjadi Bakari a donné des explications aux députés sur des questions liées à la carte diplomatique et la politique du gouvernement face à la menace sécuritaire dans la sous-région.
M. M.
Un instituteur du village Sokou dans la commune d'Ifangni est dans de beaux draps après avoir couché avec la femme d'un soudeur.
Une affaire d'adultère dans le village Sokou, commune d'Ifangni. Un instituteur de ce village est accusé, selon ‘'Libre Express'' d'avoir couché avec la femme d'un soudeur. C'est la femme même qui a avoué son acte d'adultère à son mari. Vendeuse ambulante, elle s'est fait draguer par l'instituteur. La femme et l'instituteur se sont rendus le 17 et 19 novembre dans une maison de tolérance. L'information s'est vite propagée dans le village et la population a pris d'assaut l'école de l'instituteur. Le Chef du village de Sokou a été obligé d'appeler les éléments de la police républicaine. L'instituteur a été conduit au commissariat.
A.A.A
L'univers des médias au Bénin s'élargit avec l'arrivée prochaine de la télévision de l'Eglise catholique. La Haute Autorité de l'Audiovisuel et de la Communication (HAAC) a délivré un agrément à la Conférence Episcopale du Bénin (CEB) pour l'ouverture d'une télévision. L'annonce a été faite par les évêques lors de leur première session ordinaire de l'année pastorale 2023-2024 tenue du 19 au 22 novembre 2023.
« Les démarches en vue de l'acquisition d'une télévision catholique au Bénin ont connu une avancée significative avec l'obtention de l'agrément. Les Evêques du Bénin remercient la Haute autorité de l'audiovisuel et de la communication (Haac), pour ce grand pas franchi », ont indiqué les évêques du Bénin à l'issue de leur première session ordinaire de l'année pastorale 2023-2024 tenue du 19 au 22 novembre 2023 à Djougou.
La Conférence Episcopale du Bénin (CEB) entend compter sur la contribution spirituelle et financière des fidèles du Bénin pour que le processus d'ouverture de la télévision catholique aboutisse.
M. M.
Les candidats au concours de recrutement de 1100 élèves agents de Police municipale ont jusqu'au 1er décembre 2023 pour déposer leurs dossiers. Le ministère de l'intérieur et de la sécurité publique à travers un communiqué en date du mercredi 22 novembre 2023 a informé le public.
La clôture de dépôt des candidatures pour le concours de recrutement de 1100 élèves agents de Police municipale initialement prévue pour ce mercredi 22 novembre 2023 est prorogée. Les candidats ont encore jusqu'à la date du vendredi 1er décembre 2023 pour déposer leurs dossiers. C'est l'essentiel à retenir d'un communiqué du ministre de l'intérieur et de la sécurité publique en date de ce mercredi 22 novembre 2023.
Ce recrutement est lancé pour renforcer les effectifs dans les communes de Cotonou, Abomey-Calavi, Porto-Novo, Ouidah, Parakou, Djougou et Sèmè-Kpodji.
À l'occasion du 30ème anniversaire de l'Association des Bourses Africaines (ASEA) célébré à Nairobi ce jeudi 23 novembre 2023, la BRVM a réalisé un Live Trade avec la Bourse de Nairobi en présence du Président de la République du Kenya, H.E. Hon. William Samoei Ruto, PhD, C.G.H., Commander-In-Chief of the Kenya Defence Forces.
L'opération a été conduite du côté de la BRVM par la Société de Gestion et d'Intermédiation, FGI du Sénégal et du côté de la Bourse de Nairobi, par Dyer and Blair Investment Bank. Elle a porté sur 2000 actions de la société kenyane de télécommunication, Safaricom.
L'opération a été réalisée à travers la plateforme AELP (African Exchanges Linkage Project) lancée à Abidjan le 7 décembre 2022.
Un grand bravo aux équipes des sociétés d'intermédiation et des bourses impliquées. La BRVM et la Bourse de Nairobi sont respectivement la 5ème et la 6ème bourse sur le continent de par leurs capitalisations