Le procès de Pierre Urbain Dangnivo, démarré mardi, a repris ce mercredi 22 août 2018 à la Cour d'Appel de Cotonou. Sur une trentaine de témoins attendus, seuls 12 ont répondu devant la barre. Au nombre des témoins attendus, figure le 2ème vice-président de l'Assemblée nationale, Robert Gbian, l'ancien ministre de la justice, Grégoire Akofodji, le syndicaliste Laurent Mètongnon et le témoin clé de la défense Evouna Antangana dit ‘'Priso''.
Déplorant l'absence des témoins, Me Nicolin Assogba, un des avocats de la partie civile a demandé si le Parquet général a fait toutes les diligences pour les faire comparaître. De même, Me Théophile Zinflou, après avoir déploré l'absence du témoin clé ‘'Priso'' a demandé au Parquet de faire toutes les diligences pour que ce dernier comparaisse.
Réagissant à la demande de la partie civile et de celle de la défense, Me Emmanuel Opita, avocat général, a promis faire en sorte que le syndicaliste Laurent Mètongnon comparaisse.
Evoquant l'absence de ‘'Priso'', Me Zinflou estime qu'il suffira d'interroger le colonel Dégbé pour connaître sa position. Interrogé par la Cour, ce dernier dit avoir vu Evouna Antangana, il y a plus de 6 mois. Une déclaration qui n'a pas convaincu l'avocat qui a demandé à la Cour de lui en donner acte. Me Magloire Yansunu, un autre avocat de la défense pense pour sa part qu'on peut mettre la main sur ‘'Priso'' en interrogeant le Colonel Koumasségbo.
Abordant les résultats du légiste, il a fait remarquer que des prélèvements n'ont pas été faits sur les accusés pour vérifier la présence ou non de leurs empreintes sur le corps exhumé à Womey. Se prononçant sur le rapport du légiste, Me Olga Anassidé, avocat de la partie civile s'est offusquée du fait que le légiste dans son rapport, ait ‘'procédé par des postulats ‘' plutôt que sur de bases scientifiques solides.
Après ces différentes observations de la défense et de la partie civile, le procès a été momentanément suspendu.
F. A. A.
La Coopération entre la Mairie de Porto-Novo et l'ambassade de la Chine près le Bénin a porté ses fruits. Les efforts du maire de la ville de Porto-Novo, Emmanuel Zossou à rechercher des partenaires pour soutenir les actions de développement ont abouti. Grâce au partenariat entre la mairie de Porto-Novo et l'ambassade de la Chine près le Bénin, l‘école primaire publique de Ouando 2 (EPP), située dans le 5 ème arrondissement de la ville capitale bénéficie d'un projet de construction de 6 salles de classe, 02 bureaux et une 01 salle d'informatique avec l'appui de la fondation Adrien Houngbédji pour le numérique.
Dans cette école surnommée l'école de Boni Yayi pour avoir bénéficié d'un module de classes en matériaux précaires, s'activent une cinquantaine d'ouvriers. La présence du drapeau rouge et des gros engins sur le site justifie la réalisation des travaux par une équipe chinoise. Le Chef du 5ème arrondissement de Porto-Nono a confirmé le démarrage des travaux de construction de six classes, de deux bureaux et d'une salle d'informatique. « C'est un projet financé par l'ambassade de la Chine près le Bénin grâce au management du maire Emmanuel Zossou », a-t-il souligné.
A l'issue des quatre mois de travaux, l‘école primaire publique de Ouando 2 (EPP) présentera un autre aspect. Ces différentes initiatives ont été saluées par le président de l'Association des parents d'élèves de l'EPP de Ouando 2, Honoré Aklegbe. Pour lui, c'est au cours de ce mandat du conseil municipal que l'EPP de Ouando 2 a été. Pour faciliter la tâche aux ouvriers, le chef du 5e arrondissement de Porto-Novo Hypolite Akpata est allé sur le site le mercredi 15 août 2018, pour encourager les ouvriers.
Il faut préciser que la Fondation Adrien Houngbédji n'est pas resté en marge de l'initiative. La construction de la salle informatique qui fera de cette la première école numérique Porto-Novo est à mettre à l'actif de la Fondation Adrien Houngbédji.
De sources dignes de foi, La construction de l'école numérique de Porto-Novo est une initiative personnelle du président Adrien Houngbédji, à travers sa Fondation Adrien Houngbédji pour le Numérique et la Jeunesse (FAHNJ).
L'EPP de Ouando 2 bénéficiera à la fin des travaux de 6 salle de classes, 2 bureaux, une salle informatique et des aires de jeux pour le divertissement.
Marcel HOUETO
Portée sur les fonts baptismaux, il y a quelques années, l'Association Bénin Diasp'Active continue d'apporter sa contribution au développement du Bénin. Et dans ses ambitions d'œuvrer pour un mieux-être des populations, elle a initié trois (03) projets majeurs qui viennent de recevoir l'adhésion de l'ambassadeur et de la consule honoraire en France.
L'engagement de l'Association Bénin Diasp'Active d'assister les personnes vulnérables et les sans-voix s'enracine davantage. Décidée à apporter sa pierre à la construction de l'édifice national, elle vient d'initier trois projets majeurs qui ont été présentés aux chefs de la diplomatie béninoise en France. Il s'agit notamment de la consule Inès Kérékou et de l'ambassadeur Auguste Alavo. Face aux deux autorités, Abdel Aziz Adjakpé et sa suite ont séduit par la pertinence de leurs projets. Le premier vise à doter les prisons de bibliothèques modernes. Cette initiative est guidée par la conviction selon laquelle la bibliothèque doit être le seul espace culturel permanent autour duquel peuvent s'organiser les autres activités culturelles et artistiques dans un établissement pénitentiaire.
A en croire le président de l'Ong Bénin Diasp'Active, la bibliothèque de prison a pour objectif d'offrir à chaque personne détenue les mêmes services que ceux d'une bibliothèque de lecture publique, tout en les intégrant au mieux à la politique éducative et d'insertion des personnes placées sous-main de justice de l'établissement. La mise en œuvre du projet nécessitera l'implication d'acteurs internes et externes à l'établissement pénitentiaire. Il s'agit, primo, du détenu bibliothécaire qui doit être formé et accompagné par des professionnels de la lecture publique. Secundo, l'administration pénitentiaire sera sollicitée pour l'établissement d'une convention entre le service pénitentiaire et l'Association pour définir des actions couvrant le personnel détaché qui prendra en charge, entre autres, la formation du détenu bibliothécaire. Outre ceux-là, les surveillants de détenus placés en isolement, les acteurs culturels nationaux ou locaux, les bénévoles et les Ong intervenant au profit de cette cible sont pris en compte par le projet.
Le second projet s'intéresse à la prise en charge des personnes handicapées mentales au Bénin. L'objectif spécifique est de contribuer à rendre la dignité à ces patients, en l'occurrence ceux du Centre psychiatrique de Jacquot, afin qu'ils soient traités avec plus de solidarité pour leur réinsertion dans la société. Cela, par la mise à disposition de biens vestimentaires et de médicaments aux personnes affectées, le renforcement des capacités techniques d'intervention du Centre. De plus, l'Association Bénin Diasp'Active projette des actions de sensibilisation par la diffusion des messages de santé mentale pour renforcer les capacités des malades et de leurs parents dans le but de prévenir d'éventuelles rechutes.
Quid de la capitale ?
Un autre projet de l'Ong Diasp'Active est la mobilisation de fonds de la diaspora pour le développement de la ville de Porto-Novo. Quatre cibles prioritaires sont retenues. Il s'agit des jeunes avec un taux de chômage élevé, des femmes discriminées dans l'accès aux opportunités et menacées par la santé, du secteur privé dont diverses opportunités sont encore inexploitées, de la diaspora dont les expertises et les compétences ne sont pas toujours organisées pour répondre au défi du développement.
Selon Abdel Aziz Adjakpé, il est tant de redonner à la capitale du Bénin ses attributs. « Il n'y a que nous, enfants et amis de Porto-Novo qui pouvons la transformer afin de faire de ce rêve une réalité : Porto-Novo en 2024 est une capitale attrayante avec un développement socio-économique, culturel et touristique durable dans un environnement sain où règne l'union, la paix, la sécurité soutenue par une bonne gouvernance », souligne-t-il.
En effet, aujourd'hui la cité des Aïnonvi ne présente pas un visage digne d'une capitale. Manque d'infrastructures sociocommunautaires, dégradation du patrimoine historique de la ville, dégradation des voies, dégradation du pont, existence de zones humides non valorisées, manque d'aires de jeu et de loisirs, tous les paramètres sont réunis pour l'inscrire sur le registre des villes secondaires du pays. Avec le Fonds de la Diaspora, l'Ong Diasp'Active entend mobiliser des ressources en vue de financer les projets de développement de la ville, de participer au financement des projets portés par la municipalité, de financer les très petites entreprises, de mettre à disposition de la ville les compétences de la diaspora, etc...
Nelson Avadamey (Coll)
Après la prière qui rappelle l'obéissance à Dieu d'Abraham qui voulut sacrifier son unique fils au Seigneur, les fidèles musulmans d'Akpakpa réunis, ce mardi 21 août 2018, à la place Idji de la Sobetex, ont sacrifié à la tradition en immolant un mouton conformément aux prescriptions divines.
A cette occasion, l'Imam Aboubacar Sari Abdoul a invité les fidèles à renaître de nouveau dans la foi. « La viande que nous égorgeons-là, le Tout-puissant ne veut pas ni sa peau, ni la viande ni le sang. Le Tout-puissant a demandé seulement la crainte. Il faut avoir la crainte de Dieu », a-t-il lancé à toute la communauté.
La ministre des affaires sociales et de la micro finance, Adam Bintou Chabi Taro, représentant le gouvernement, a dit des prières à l'endroit du peuple béninois. « La prière que je formule pour le peuple béninois, c'est que Dieu nous épargne de tout ce qui est mauvais », a demandé le ministre.
Se référant aux pays qui connaissent les catastrophes naturelles, elle a émis le vœu que Dieu épargne le Bénin et l'en éloigne. Confiant que sans la santé rien ne peut se faire, Adam Bintou Chabi Taro a prié Dieu pour qu'Il accorde la santé aux Béninois et exauce les vœux.
F. A. A.
Après quelques heures d'audience, Hubert Arsène Dadjo, président de la Cour d'Appel de Cotonou, a décidé de la suspension du procès de Dangnivo repris ce mardi 21 août 2018, jour de la Tabaski.
A l'ouverture de l'audience ce jour, Me Théodore Zinsou et Magloire Gnansounou, tous deux avocats de la défense ont voulu savoir si les ordonnances antérieures ont été approfondies. A cet effet, l'avocat général, Emmanuel Opita a rassuré que les prélèvements ont été faits sur des membres de la famille au prix de l'Etat.
La famille fortement représentée ce matin au tribunal, n'a plus confiance en personne selon le représentant du ministère public. Elle veut aussi faire ses propres textes d'ADN et aurait rencontré, il y a quelques semaines, le procureur général près la Cour d'Appel de Cotonou. Selon Me Olga Anassidé qui assure sa défense, « en entendant le nom ‘'Dangnivo'', l'expert légiste se serait désisté prétextant voulant préserver sa petite vie ». L'enveloppe contenant les résultats du texte d'ADN diligenté aux frais de l'Etat sous pli fermé, a été ouverte ce matin aussi bien devant la Cour que le ministère public et les avocats.
Pour l'heure, les résultats ne sont pas encore divulgués. Me Nicolin Assogba également avocat de la partie civile a annoncé au cours du procès qu'il renonce provisoirement à ses expressions « d'inconstitutionnalité » soulevées il y a quelques mois pour ne pas retarder inutilement la procédure.
Après la composition du jury définitif, l'audience a été suspendue pour reprendre ce mercredi 22 août 2018.
Codjo Cossi Alofa et Donatien Amoussou, tous deux accusés d'assassinat et complicité d'assassinat étaient présents dans la salle habillés en tenue locale communément appelée ‘'Bohoumba''.
Hubert Arsène Dadjo avait à ses côtés Christophe Atinmakan et Victor Kpatindé comme accesseurs.
Le rendez-vous est donc pris pour ce mercredi 22 août 2018 pour que le peuple en sache sur la disparition mystérieuse de ce cadre du ministère des finances depuis août 2010.
F. Aubin AHEHEHINNOU
Chers amis,
En cette heureuse occasion de l'Eïd El Kebir, je renouvelle à chacun mes meilleurs voeux. Rendons grâce à Allah qui nous accorde la grâce de cette célébration dans la paix, la joie et la bonne santé.
La Tabaski, l'une des plus importantes fêtes du calendrier musulman marque la célébration de la foi et de la soumission à Allah le Tout Puissant. C'est aussi l'occasion d'exprimer notre solidarité et notre générosité envers nos amis et surtout envers les personnes les plus nécessiteuses.
Bonne fête à tous !
Abdoulaye BIO TCHANE
L'Aïd El Fitr ou fête de la Tabaski, occasion pour les fidèles musulmans d'offrir le sacrifice du mouton à Dieu, rime depuis quelques années avec la morosité économique. Contrairement aux anciennes habitudes caractérisées par l'immolation de gros cabris dont les prix oscillent entre 500 000, 800 000 voire parfois 1 million de francs CFA, nombreux sont les fidèles musulmans qui s'en tiennent de nos jours au symbole du sacrifice. « Avec un petit mouton, le sacrifice est fait. Allah ne nous demande pas l'impossible », disent-ils.
A un mois de la rentrée scolaire, période marquée par des dépenses liées notamment à l'achat des fournitures scolaires, à la scolarité des enfants et à leur habillement, les choix des moutons de la Tabaski cette année pour la plupart, sont portés vers de petits ruminants dont la valeur varie entre 30 000 et 50 000 francs CFA.
Un petit tour dans les marchés de vente de moutons suffit pour s'en rendre compte.
A Djeffa dans la commune de Sèmè-Podji, les vendeurs aussi bien que les acheteurs se plaignent. Les premiers se plaignent de la baisse de leurs chiffres d'affaires tandis que d'autres crient à la morosité économique. Selon certains vendeurs de moutons, contrairement aux années antérieurs où ils pouvaient faire des chiffres d'affaires allant de 5 à 10 millions de francs, cette année ils varient entre 2 et 3 millions de francs CFA.
Les propos de Lamine Arouna, vendeur de mouton, sont illustratifs. « Aujourd'hui, je n'ai même pas encore trouvé un million de francs. Les clients n'achètent pas comme avant. Quand ils arrivent, c'est seulement un petit mouton qu'ils achètent et quand on leur dit le prix, ils trouvent que c'est cher ».
Pour les acheteurs, les obligations familiales obligent à rationaliser les dépenses. « La rentrée, c'est pour bientôt. Là encore, il y des dépenses à faire, il n'y a pas d'argent dans le pays, donc, nous devons faire les choses un peu un peu », a confié Razak Djawal.
On note ainsi qu'en raison de certaines obligations, le sacrifice à Dieu peut prendre un coup.
F. A. A.
Le tribunal de première instance de première classe d'Abomey-Calavi a statué lundi 20 août 2018 sur le sort de l'ex-chef d'arrondissement de Godomey, Germain Cadja-Dodo poursuivi pour abus de fonction et détournement de fonds publics.
48 mois de prison et une amende pour l'ex chef d'arrondissement de Godomey. C'est la décision du juge ayant en charge le dossier. Placé sous mandat de dépôt par le procureur de la République près le tribunal de première instance d'Abomey-Calavi, l'ancien chef d'arrondissement de Godomey continue son séjour à la prison civile d'Abomey-Calavi. Il s'agit du verdict relatif au dossier de collecte illégale de fonds, et détournement de deniers publics dans lequel, sont impliqués l'ancien CA et plusieurs de ses collaborateurs.
Le Juge des libertés Nouatin, a donc décidé de renvoyer Germain Cadja Dodo et ses coacusés en prison. Il repart terminer sa peine derrière les barreaux. Il est condamné à 48 mois de prison dont 42 avec sursis et 6 fermes assortie d'une amende de 4 millions de francs CFA. Quant à Chantal Houenha, présidente de la commission des affaires sociales, elle écope de 36 mois d'emprisonnement dont 3 fermes et 33 avec sursis et une amende de 3 millions de francs CFA.
Le président de la commission relation avec la société civile, Franck Hessouh lui, s'en va pour 12 mois d'emprisonnement avec sursis et une amende de 1 million de francs CFA.
Pour ce qui concerne Nicole Mariano, Bernadin Sovèssi, chef quartier de Cococtomey Tokpa et Adrien Malè, Chef quartier de Womey centre, le juge a décidé de les mettre sous convocation. Néanmoins, chacun d'eux est condamné à 3 mois d'emprisonnement avec sursis et 50 000 FCFA d'amende pour recèle.
Aussi sont condamnés à 12 mois d'emprisonnement dont 6 avec sursis pour abus de confiance et une amende de 1 million de francs chacun des 6 membres des associations de Zemidjans et leurs pairs.
G.A.
Le dossier Dangnivo n'a pas été reporté malgré la Tabaski. Les juges vont siéger ce mardi 21 août 2018, malgré la célébration de la fête de l'Aïd El Fitr (Tabaski). Le président de la Cour d'Appel de Cotonou, Hubert Arsène Dadjo, a pris une ordonnance à cet effet.
Après deux ans de suspension, l'affaire Dangnivo va reprendre ce mardi à la Cour d'appel de Cotonou. Les sieurs Codjo Alofa et Donatien Amoussou, tous inculpés après la découverte du corps de Pierre Urbain Dangnivo exhumé à Womey, seront à nouveau devant les juges.
Pour ce dossier, ce cadre du ministère des finances du nom de Pierre Urbain Dangnivo a disparu depuis août 2010 et nul n'a retrouvé ses traces jusqu'à ce jour.
F. A. A.
Les dignitaires des religions endogènes de la cité historique de Ouidah disposent désormais d'un cadre de concertation. Il s'agit d'un creuset qui a pour objectif de fédérer les énergies pour promouvoir le Fâ au Bénin.
Selon le secrétaire général de la fédération des Boconon, Babalao et Oloho de Ouidah, Pascal Tchodè, la mise en place de ce creuset va insuffler une nouvelle dynamique à cette science africaine qu'est le Fâ. Malgré les recherches pour démontrer la profondeur de l'identité culturelle de l'Afrique, nos cultures sont encore foulées au pied, s'est-il désolé. Fier de la mise en place de cette fédération, Pascal Tchodè a précisé qu'un grand pas vient d'être fait sur la route qui mène au mariage des civilisations. Il dit être confiant que l'Afrique et le Bénin n'y seront pas les mains vides.
A cette occasion, le premier adjoint au maire de Ouidah, Bruno Adjovi, a exprimé sa satisfaction de voir des dignitaires de cultes vodoun se mettre ensemble. « Nous sommes heureux de vous voir ensemble dans un creuset qui puisse permettre de vous faire connaître, de vous imposer, de traduire nos valeurs endogènes partout où besoin sera », a indiqué le premier adjoint au maire.
Aux termes des assises marquées par plusieurs étapes dont celle de la consultation du Fâ, Pierre, Fandjito Boconon a été élu président de la fraternité des Boconon, Babalao et Oloho de Ouidah et de ses environs. Ce regroupement intervient quelques jours après que les dignitaires des religions endogènes du Bénin se sont dotés d'une charte et d'un code de déontologie. Des actions qui rassurent de l'assainissement du milieu des religions endogènes pour le bonheur des populations.
F. A. A.
L'Union nationale démocrate (Und), c'est le nouveau regroupement politique qui a vu jour à Ouidah ce samedi 18 août 2018. Composé de plus de 20 partis et mouvements politiques, ce regroupement se fixe comme objectif de mettre en place une nouvelle stratégie pour d'une part, gagner les prochaines élections législatives et d'autre part, soutenir le chef de l'Etat à réussir son Pag (Programme d'actions du gouvernement).
Selon le président du comité d'organisation, plus besoin de voir une rivalité entre les générations. Pour Ulrich Gbaguidi, la jeunesse béninoise doit pouvoir lire entre les lignes pour faire le meilleur choix. Le choix de substituer et d'aller en rang serré, a-t-il insisté avant préciser que la jeunesse béninoise a décidé de prendre en mains son destin. « Désormais, l'Und va résonner comme la voix de la jeunesse avide de bien-être. Elle se fera le point de ralliement de la jeunesse consciente. L'Und, c'est la marche d'une jeunesse enthousiaste », a lancé le président du comité d'organisation.
Le président de l'Und, Augustin Vidégla a estimé qu'aucun citoyen ne doit rester en marge de la construction des partis politiques dans un Etat démocratique. Selon lui, les Béninois doivent bâtir des partis politiques de vision pour le développement de la nation. A cet effet, les forces politiques réunis au sein de l'Und, ont d'abord pris l'option d'une coalition forte pour apprendre à travailler ensemble d'une part, et fédérer les énergies, les stratégies, les compétences pour faire de la construction d'une formation politique forte, moderne et efficace concourant au bien-être des vaillantes populations d'autre part.
Cette première sortie de l'Und a été marquée par la présence de plusieurs personnalités et de têtes couronnées venues témoigner de leurs soutiens au regroupement politique.
F. A. A.
Dans le cadre de l'enquête sur le braquage survenu à Porto-Novo la semaine écoulée, le directeur général de la police républicaine, Nazaire Hounnonkpè, a promis une récompense inoubliable à l'informateur qui aiderait la police à identifier les auteurs de ce drame. Dans un message adressé à la presse, il a affirmé que la direction générale s'engage à mettre les ressources à la disposition de ces informateurs-là.
Invitant les populations à la collaboration, le directeur général de la police républicaine a souligné que la rétention d'information criminelle ne pourra vraiment pas aider à sortir de l'auberge. « Toutes les fois que vous avez des informations, n'hésitez pas ; et tout citoyen qui a des informations crédibles sur les auteurs, coauteurs, complices ou commanditaires de ce drame qui a été perpétré à Ouando, que ces personnes se rapprochent des services de sécurité », a lancé le directeur général de la police républicaine.
S'adressant aux opérateurs économiques, il a informé que toutes les unités sont disponibles à les accompagner dans le cadre des transactions. « Si vous voulez vous déplacer ou aller faire des opérations qui nécessitent un accompagnement sécuritaire particulier, n'hésitez pas à nous solliciter », a exhorté Nazaire Hounnonkpè. Selon lui, les criminels sont à l'affût et ils observent à chaque instant, les failles et les comportements négligeants que chaque citoyen pourrait afficher, et qui éventuellement permettrait l'occurrence de phénomène criminel.
Le général Hounnonkpè a assuré de l'engagement des éléments de la police républicaine à procurer quoi qu'il en coûte, la paix et la sécurité aux concitoyens, même si c'est au prix de leurs vies.
Cette sortie fait suite à une séance de travail entre le haut commandement de la police et les responsables départementaux Ouémé-Plateau en charge de la sécurité.
F. A. A.
A la découverte du pays et les potentialités touristiques dont il regorge. C'est cette option qu'a choisi le chef de l'État cette année pour découvrir lui-même les merveilles du pays à partir de l'Atacora.
« Nous avons au Bénin, un pays magnifique avec un paysage exceptionnel, si on sait l'apprécier ». C'est la déclaration faite par le chef de l'État, surpris en train de pêcher dans un petit cours d'eau (Kounne) dans le département de l'Atacora. Profitant de ses vacances, le Président Patrice Talon comme un bon touriste entend explorer les merveilles du Bénin. Il passe donc son séjour dans l'Atacora à la découverte des potentialités inexploitées. Comme un touriste, Patrice Talon a aussi prévu de visiter le parc de la Pendjari et faire un peu de safari. « (…) j'irai sauter du haut des chutes d'eau de l'Atacora avant de retourner à Parakou pour aller boire du Tchoukoutou au marché Kilombo », a confié le Président de la République.
Le chef de l'État à travers cet acte vient de prouver au peuple béninois qu'on peut rester au Bénin et faire le tourisme puisque des richesses énormes y sont cachées.
La visite touristique entamée pas le chef de l'État au cours de ses vacances témoigne réellement de sa volonté à réhabiliter les potentialités dont dispose le Bénin en matière touristique.
Le chef de l'État donc montre le chemin non seulement aux touristes étrangers mais aussi aux nationaux qui doivent apprendre à valoriser le potentiel touristique du pays.
Les citoyens béninois sont donc appelés à travers cet acte à valoriser la culture, les richesses et l'identité du pays. Le pas que vient de franchir le chef de l'État restera sans doute gravé dans la mémoire des populations de ces localités.
Une bonne leçon aux ministres, députés et aux autorités locales. Seule cette détermination pourra aider à accompagner le chef de l'État à véritablement révéler le Bénin à travers ses projets touristiques.
G.A.
Des bourses d'études en Chine viennent encore d'être accordées aux Béninois. Ils sont 38 bénéficiaires qui voyagent cette année pour poursuivre leurs études dans le pays de Xi Jinping. C'est le fruit de la coopération entre le Bénin et la Chine.
Ils sont 38 jeunes boursiers à reçevoir leur lettre d'admission et leur billet d'avion, ce vendredi 17 août 2018, dans les mains de l'Ambassadeur de la République populaire de Chine près le Bénin, au cours d'une cérémonie officielle organisée à l'Ambassade de Chine à Cotonou. L'octroi de ces bourses, selon l'Ambassadeur Peng Jing Tao, est le fruit de la coopération entre la Chine et le Bénin. Une coopération très dynamique entre les deux Etats.
Cette année, les filières prises en compte par la Chine sont relatives à des domaines bien spécifiques contributeurs de développement dont le génie civil, la médecine, la physique, la chimie, le transport, le droit, l'aéronautique, la littérature, le tourisme, le commerce international, les relations internationales et l'agronomie.
Ces spécialités concernent les étudiants tant en licence, en master qu'en doctorat.
Sur les trente 38 formations, il y a 17 licences, 20 masters et 01 doctorat.
Le diplomate chinois conseille aux boursiers de bien se comporter durant leur séjour en Chine. Il souhaite qu'ils fassent preuve de dynamisme et travaillent pour honorer leur pays.
Selon lui, les boursiers doivent œuvrer pour contribuer au développement de leur pays d'origine. « Il ne faut jamais oublier que vous êtes Béninois. Vous devez retourner construire votre patrie. Votre pays, votre nation et votre peuple ont besoin de vous. », leur a-t-il rappelé.
Le porte-parole des boursiers, Oumou Hounkponou, a rassuré le représentant du gouvernement chinois de leur engagement à faire preuve de sagesse et à donner le meilleur d'eux mêmes pour constituer une vraie pépinière de cadres engagés pour le développement du Bénin. Au nom de ses camarades, elle a promis qu'ils vont revenir au pays avec leurs parchemins afin de pérenniser comme l'ont fait leurs prédécesseurs ce partenariat entre les deux États pour participer au développement du pays.
G.A
Le chef de l'État, Patrice Talon donne déjà du grain à moudre au peuple béninois. Ses actions parlent déjà d'elles-mêmes. Ce qui convaint les populations dans diverses localités à réitérer leur engagement pour l'accompagner dans sa mission de développement du Bénin.
Le repas semble être cuit. Les Béninois sont convaincus de plus en plus de la volonté du chef de l'État à changer leur vie et transformer le pays.
Ainsi, chacun affûte ses armes pour défendre les actions du chef de l'État. C'est ce qui explique les différentes manifestations politiques tous les week-ends dans le pays. Sur les réseaux sociaux comme dans les médias, les soutiens se multiplient de plus en plus en faveur du chef de l'État et de ses réformes. Ici, le message est clair. Il faut soutenir ce qui est bien pour le pays.
Depuis plusieurs années où le pays souffrait d'une politique ambitieuse de développement, c'est la présente mandature qui a commencé par redonner espoir aux citoyens depuis le 6 avril 2016 avec l'homme de la Rupture.
Patrice Talon sidère déjà les coeurs endurcis. Après deux années d'incertitude, les Béninois sont désormais confiants en la réalité des actions de Patrice Talon. Tout est bien cuit et les chantiers poussent, la main d'oeuvre devient abondante. La belle preuve que Patrice Talon respecte déjà son engagement. Du Nord au Sud et de l'Est à l'Ouest du pays, les populations sont déjà convaincues des réalités du Bénin révélé. Encore quelques mois et le pays sera l'un des pôles d'attraction touristique. Cela se dessine déjà avec la réalisation des infrastructures routières comme touristiques.
Le projet Asphaltage qui fait déjà la fierté des populations de certaines localités dont Parakou, Porto-Novo, Cotonou, constitue autant d'arguments que développent les partis en refondation pour soutenir le chef de l'État et sensibiliser les populations encore sceptiques.
La révolution dans le secteur de l'eau vient soulager les populations.
De nombreux partis politiques et mêmes ceux prédestinés à l'opposition commencent déjà par s'allier au chef de l'État, qui de plus en plus les séduit par son talent et son management.
La lutte contre la corruption jamais réussie devient une réalité qu'applaudissent les populations dans diverses contrées.
La preuve que des choses se font conformément aux promesses et dans la droite ligne de la feuille de route du Programme d'actions du gouvernement.
Aujourd'hui, les Béninois sont rassurés que le Bénin sous Patrice Talon renaît de ses cendres. Il est l'un des rares présidents depuis le Renouveau démocratique, qui travaillent suivant un programme avec des indicateurs précis.
Ce qui témoigne de ce que le développement du pays s'écrit déjà avec Patrice Talon.
G.A.
Un nouveau né de sexe féminin a été abandonné, ce samedi 19 août 2018, devant le portail de l'église Assemblée de Dieu au quartier Banikanni, à Parakou.
Agé d'environ 15 jours, une lettre déposée auprès dudit bébé renseigne sur son identité. Le bébé prénommé Tossou X. J. S. Ornéllia serait né le 07 août 2018 à 22 h 15 min.
Le forfait a été commis au moment où il y avait coupure d'électricité dans le quartier.
En attendant qu'un centre lui soit trouvé, le bébé a été transporté au service de pédiatrie du CHD de Parakou.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)
Le Chef de l'arrondissement (Ca) d'Agamè dans la commune de Lokossa et son secrétaire ne sont plus libres de leurs mouvements. Ils ont été interpellés ce vendredi 17 août 2018 par la police républicaine et placés en garde à vue au commissariat de Lokossa. De sources concordantes, ils sont accusés de recel et de complicité.
Un individu interpellé pour vol aurait cité le nom du chef d'arrondissement comme son principal receleur.
Les mêmes sources précisent que les deux hommes seront présentés au procureur de la République près le tribunal de première instance de deuxième classe de Lokossa le lundi 20 août prochain.
F. A. A.
Choisi à l'issu d'un conseil des ministres en juin 2016, la commune de Pobè abrite depuis environ deux ans le chef-lieu du département du Plateau. Un choix qui pour certains, parait étrange voir incroyable, mais reste la concrétisation d'un rêve de plusieurs décennies sur les plans politique et administratif pour d'autres.
Discuté minutieusement par le passé entre d'autres communes de la région, le titre de chef-lieu du département du Plateau accordé à Pobè, contribue progressivement à son essor où cette commune espère de beau jour devant elle.
« La commune d'Adja-Ouèrè faisait partie des communes candidates qui ambitionnaient abriter le chef-lieu du département du Plateau par le passé et le discutait aussi fortement. C'est heureux pour Pobè », indique, le maire de la commune d'Adja – Ouèrè, Abiboulaye Nonvidé Kolawolé Adissa avant de louer et saluer le courage du président Patrice Talon.
Depuis les années 99 - 2000 si j'ai une bonne mémoire précise-t-il, cette histoire des départements était annoncée. « Ni le président Kérékou, ni le président Yayi n'a eu le courage de fixer et de faire fonctionner réellement ces nouveaux chefs-lieux de département ou préfectures. Le président Talon l'a fait et rendu effectivement opérationnel les six nouveaux départements, il est simplement à féliciter », a poursuivi le maire d'Adja - Ouèrè.
Abondant dans le même sens, le maire de la commune de Kétou Jean-Pierre Babatoundé affirme que le Président Talon est un homme rigoureux qui à travers ses réformes, transforme à petit coup le pays. « Il est venu, il a dit qu'il veut transformer le Bénin. Il a fixé les chefs-lieux de département, nommé les préfets et rendu opérationnel les préfectures. Cet acte est très courageux et honore le Bénin. On ne peut que lui tirer chapeau puisque les présidents, Soglo, Kérékou et Yayi n'ont pas pu le faire. Talon ne fait que tenir parole pour le changement, la transformation du pays qu'il a prôné avant son accession au pouvoir », a-t-il fait remarquer exprimant son admiration au président de la République.
Lorsque la nouvelle nous est tombée on était plus que heureux on l'avait accueilli avec enthousiasme et une joie énorme par ce que Pobè depuis des lustres, rêvait d'être érigé en chef-lieu du département, rappelle Paul Fakorédé Odjo, maire de la commune de Pobè.
Ce fut un évènement glorieux, renchérit, Charles Bangbola chef de l'Arrondissement de Pobè. Avant tout précise l'élu locale, il faut oser. « Naturellement pour tout acte il faut le courage. Les chefs d'Etat précédents n'ont pas eu ce courage. Ils se sont approchés et pu après se sont retirés. C'est à croire qu'on n'aurait jamais fait ça. Patrice Talon là fait, c'est rentré dans la mémoire collective. Tout le monde est habitué et ça marche très bien », a signifié le chef d'arrondissement de Pobè.
« Tout Pobè était en joie. Nous étions très heureux. Depuis des années on avait des informations vraiment concourantes où il y avait des communes qui discutaient le chef-lieu avec la nôtre. Quand la nouvelle est tombée, ça a été une grande joie et une chance pour la commune. Nous avons commencé par cueillir les avantages qu'il y a au niveau de ce rapprochement de l'administration centrale des administrés. Nous ne faisons que prier pour le président Patrice Talon pour le choix porté sur la commune de Pobè », a ajouté avec un ton satisfaisant, Charles Bangbola, affirmant qu'il transmet l'état d'esprit de la commune.
Aujourd'hui avec la présence de la préfecture à Pobè, lance le maire Paul Fakorédé Odjo, les directions départementales s'installent progressivement, la construction de la cité administrative sera d'ici là une réalité. « Tout a augmenté au niveau de la ville du point de vue fonctionnaires, location de maisons et d'appartements et autres. En bref l'arrivée du chef-lieu du département est un grand impact pour le développement de la commune de Pobè », exclame-t-il.
« Contrairement à ce qui se faisait par le passé, moi j'ai renouvelé il y a quelques jours, ma carte d'identité en 72 heures et sur place », témoigne Charles Bamigbola en déclarant par la même occasion qu'au niveau des directions départementales installées à Pobè, tout se passe également sur place et ce, dans une courte durée.
Comme l'élu local, bon nombre de citoyens du département du Plateau sont revenus sur l'importance du choix porté sur la ville de Pobè pour abriter le chef-lieu du département en approuvant le rapprochement de l'administration des administrés. Ils ont loué également le courage et la détermination du Président Patrice Talon pour le développement de chacune des localités du Bénin.
Paul Tonon
A travers un entretien accordé à la presse, le premier vice-président de l'Union islamique du Bénin (Uib), Ibrahim Ousmane, a informé la communauté musulmane que la fête de la Tabaski aura lieu le mardi 21 août 2018. Depuis le dimanche 12 août 2018, rappelle le premier vice-président de l'Uib, la communauté musulmane a entamé avec l'apparition la veille du croissant lunaire, le mois de ‘'Zouléhidja'', mois de pèlerinage, le dernier mois de l'année lunaire 1439. Ainsi, le lundi 20 août 2018, précise-t-il, sera le 9ème jour du mois de ‘'Zouléhidja'', jour de Arafat. Mais le jour suivant, à savoir le mardi 21 août 2018 sera le jour de la fête de la l'« Aïd El Fitr », jour de la Tabaski.
Invitant les fidèles musulmans à sortir massivement pour l'accomplissement de la grande prière, Ibrahim Ousmane a également informé que les dix premiers jours du mois de ‘'Zouléhidja'' sont des moments propices au cours desquels les bonnes œuvres sont plus aimées et agréées par Allah. Il invite aussi les fidèles musulmans à l'accomplissement de différentes sortes d'adoration qui ont pour effet de procurer la culture de la paix intérieure et par ricochet la paix sociale, gage de tout développement.
F. A. A.
Hormis les résultats de fin d'année, les mouvements de débrayage ont également eu des conséquences sur les dotations en cantines scolaires. Selon le ministre des enseignements maternel et primaire Salimane Karimou, plus de 2000 tonnes de vivres sont restées inutilisées dans les écoles à cause des grèves perlées. Le Ministre a fait le point de la situation sur Télévision nationale, vendredi 17 juillet 2018, au cours d'un débat.
« L'une des conséquences de la grève, c'est qu'il est resté dans les écoles plus de 2000 tonnes de vivres non consommés et qui risquaient d'être avariés », souligne Salimane Karimou, qui a précisé que face à cela, son Ministère a pris la décision de distribuer ces produits alimentaires aux apprenants des écoles concernées.
La bonne nouvelle que Ministre a apporté aux parents d'élèves est que le Gouvernement du Président Talon va doubler les cantines au titre de la rentrée 2018-2019. Selon lui, à partir de la rentrée prochaine, il y aura 1600 écoles qui vont s'ajouter aux 1579 qui bénéficient déjà des cantines. « Là, nous allons atteindre le taux de 51% de couverture au plan national. Ce qui était prévu pour 2021 est ainsi réalisé en 2018 », souligne le Ministre.
Salimane Karimou a rappelé les conclusions de la Table ronde sur les cantines scolaires précédemment organisée, assises au cours de desquelles les partenaires se sont engagés pour accompagner le gouvernement dans l'amélioration des cantines scolaires.
Boniface CAKPO