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24 Heures au Bénin

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Webzine, Quotidien Béninois indépendant, d'analyses et d'information en ligne
Updated: 5 hours 44 min ago

FAWE-BENIN engagée dans la lutte contre la corruption en milieu scolaire

Fri, 11/02/2018 - 02:18

L'organisation FAWE-BENIN ne cesse de mener des actions pour lutter contre la corruption en milieu scolaire. Soutenue financièrement par OSIWA, FAWE-BÉNIN a en cours d'exécution plusieurs projets notamment celui relatif à la prévention et de lutte contre la corruption en milieu scolaire pour une éducation de qualité dans les communes d'Abomey-Calavi et de Tori-Bossito.

Ce projet phare de l'organisation a pour objectif selon la présidente Ida Tokpo Medali, de « contribuer à une prise de conscience des acteurs de l'école (professeurs, les administratifs, élèves notamment filles) sur la corruption en milieu scolaire et son incidence sur le développement du pays ».
L'organisation toujours dans sa mission a fait un plaidoyer à l'endroit du ministre des Enseignements Secondaire, Technique et de la Formation Professionnelle, Mahougnon Kakpo afin que le sous-secteur soit doté d'un arrêté réprimant les actes de corruption.
Une requête qui a obtenu une réponse favorable à travers la signature dudit arrêté par le ministre Mahougnon Kakpo, le 27 décembre 2017.
Pour la présidente de FAWE-BENIN, « C'est un texte juridique qui vient à coup sûr assainir l'école, prôner la bonne gouvernance, l'intégrité et l'éthique, faire prendre conscience à chaque acteur du secteur et assurer une éducation de qualité aux apprenants et aux apprenantes ».
Dans le but de vulgariser cet arrêté, l'organisation a en édité une plaquette, dont le lancement officiel a été fait le jeudi 25 octobre 2018, à la salle de conférence dudit ministère.
« Je voudrais adresser, avec déférence, toute ma reconnaissance au Ministre des Enseignements Secondaire, Technique et de la Formation Professionnelle qui a bien voulu signer cet arrêté. Ce geste exprime son engagement à lutter effectivement contre la corruption dans le sous-secteur dont il a la charge », a déclaré la présidente de FAWE BENIN.
« Je formule le souhait que cet arrêté soit effectivement appliqué afin qu'à terme, nous ayons les lycées et collèges sans corruption », a conclu Ida Tokpo Medali .

A propos de FAWE-BENIN

FAWE-BENIN est une organisation dirigée uniquement par des femmes. Elle dispose essentiellement d'un Bureau National et d'un Secrétariat Permanent. Le Bureau National est composé d'une équipe de 09 membres, toutes bénévoles, dynamiques et rompues à la tâche ; qui assurent la mise en œuvre du plan stratégique de l'organisation à travers le Secrétariat Permanent. Il veille également à la mobilisation des ressources financières et développe des partenariats stratégiques en vue de produire de concrets résultats en matière de la promotion de l'éducation des filles et des femmes au Bénin.
Le parrainage d'une fille démunie et laborieuse nécessite 50.000 FCFA par an.
Les responsables de FAWE-BENIN ont été reçus en audience chez le ministre des Enseignements Secondaire, Technique et de la Formation Professionnelle, Mahougnon Kakpo.

Akpédjé AYOSSO (Stag.)

Categories: Afrique

Adam Dendé Affo sort la grande machine politique à Bantè

Fri, 11/02/2018 - 02:01

La commune de Bantè accueille ce week-end un géant meeting organisé par le réseau Irédé porté par Adam Dendé Affo. Une occasion pour appeler les populations ltcha à soutenir les actions du chef de l'État.
C'est parti pour une nouvelle sortie. Ce samedi 03 octobre 2018, c'est Bantè qui accueille triomphalement le réseau Irédé. A travers un géant meeting, Adam Dendé Affo drainera désormais cette localité à la cause du chef de l'État.
Encore une fois, le réseau Irédé démontre sa force sur le terrain.
Au cours du meeting de ce week-end, les responsables du mouvement Irédé et leur leader feront connaître aux populations leur positionnement dans l'un des blocs de la majorité présidentielle. Adam Dendé Affo et ses partisans expliqueront de vive voix dans cette localité, le motif de leur soutien sans ambages au chef de l'État.
C'est une occasion propice qui permettra une fois de plus au réseau Irédé de drainer d'autres citoyens une cause noble. Celle portée par le chef de l'État, qui permet de redonner un nouveau souffle au pays.

G. A.

Categories: Afrique

FDD de Benoît Dègla adhère à la Dynamique Républicaine

Fri, 11/02/2018 - 01:51

L'honorable Benoît Dègla et les militants du parti FDD (Force pour la Démocratie et le Développement), au cours de leur conseil national tenu, ce jeudi 1er novembre 2018, à l'hôtel Rive des Collines ont adhéré au bloc de la Dynamique Républicaine.
La cérémonie a connu la présence de plusieurs autorités et cadres politiques notamment du directeur général du FNPEEJ, M. Paulin Akponna, celui du FAC, Gilbert Déou-Malé, du maire de Ouessè, de Glazoué, du représentant du bloc Dynamique Républicaine, Eugène Dossoumou et des élus locaux.
Dans le cadre de la mise en œuvre de la réforme du système partisan au Bénin, le parti FDD du député Benoît Dègla a officialisé son adhésion au bloc de la Dynamique Républicaine.
« L'heure n'est plus à la division mais à l'union autour des questions d'intérêt général pour le bien-être de la dixième circonscription en particulier et du Bénin en général », a affirmé le président de la FDD, Benoît Dègla.
En tant que membre fondateur de la Dynamique Républicaine, il a rassuré ses militants sur les avantages de cette adhésion du parti à ce bloc.
Le porte-parole des élus locaux, le CA d'Aklampa a réaffirmé leur soutien au parti.
Le directeur général du Fonds des Arts et de la Culture a mis l'accent sur la paix et l'union. Gilbert Déou-Malé a insisté sur l'accompagnement des actions du Chef de l'Etat, Patrice Talon pour un succès épatant au terme des élections législatives.
Le directeur général du FNPEEJ, Paulin Akponna, et le maire de la commune de Ouessè n'ont pas manqué d'exprimer leur joie pour la mobilisation des fils de la commune.
Akpédjé AYOSSO (Stag.)

Categories: Afrique

L'Institut Cerco va fermer ses portes au Bénin

Thu, 11/01/2018 - 18:51

L'institut Cerco Bénin n'a toujours pas fini son chemin de croix avec les autorités béninoises. Contraint de fermer ses portes faute d'homologation, le promoteur décide d'offrir l'hébergement à tous les étudiants désireux de poursuivre leurs études à l'étranger sur les campus Cerco.

C'est dans un message aux parents que le promoteur de l'Institut Cerco s'engage à délocaliser ses étudiants dans la sous-région. Regrettant le sort réservé à son institut, Alain Capo-Chichi confie : " Nous sommes victime à mon sens d'un règlement de compte et j'espère que le Seigneur va nous aider et que les recours que nous faisons actuellement aboutiront''. Il estime que " c'est une situation de conflits personnels qui n'ont rien à voir avec l'administration, les agréments et homologations". Dans son adresse aux parents des apprenants, il explique que la situation que vit son institut datait de peu de temps. " Il y a quelques mois, en tant que Président de l'Association des Établissements privés et expert Lmd, j'avais donné mon avis technique sur les examens nationaux en expliquant que techniquement ceci ne règlerait pas les problèmes évoqués qui ont motivé la décision de leur organisation", affirme-t-il. Cette situation a selon le promoteur de l'Institut Cerco, créé un conflit entre les autorités en charge de l'enseignement supérieur notamment la direction des écoles privés d'enseignement supérieur (Depes) et lui avec des menaces, dit-il. Alors que le dossier d'agrément fut lancé avec les pièces à fournir, " le Depes ne m'a pas adressé de lettre d'information alors que 6 mois plus tôt, tous mes collègues fondateurs avaient reçu ce guide de dépôt", regrette le promoteur de Cerco. Malgré cette situation, Alain Capo-Chichi avoue que " Ne voulant plus m'opposer à une réforme du ministère bien qu'en raison de ce que nous avons des diplômes homologués par le Cames, nous avons passé le cap d'un agrément ( Art 73 et 74 du décret 2008), j'ai décidé d'utiliser les 15 jours restants pour déposer malgré tout les 13 pièces, comptant sur la bonne foi des uns et des autres".
Bien que selon lui, toutes les pièces demandées ont été déposées, le Depes délivre une attestation défavorable pour signature non originale. Cette situation qui était une surprise pour celui-ci, ne l'a pas découragée.
" Etant absent du territoire national et en mission en Chine, j'ai signé le document avec ma signature manuscrite scannée mais il a estimé que ma signature n'était pas originale et cela constituait un motif de rejet", déplore le promoteur de Cerco.
Pour régler la situation et ne pas tomber sous le coup de la loi, Alain Capo Chichi explique la démarche menée. " J'ai fait envoyer par avion un colis DHL avec la signature manuscrite originale et nous avons pu déposer le dossier mais il n'a plus corrigé ladite attestation alors que nous avions reussi à déposer dans le délai officiel", a-t-il expliqué. Ceci n'a toujours pas favorisé les choses puisque le Depes est resté campé dans sa position. Toutes les portes tapées pour avoir gain de cause ont donc été vaines.
" Si notre recours n'était pas favorable et que nous sommes contraints de fermer en pleine année universitaire, nous prendrons les dispositions pour ceux d'entre vous qui souhaiteront poursuivre leurs études sur les autres campus de Cerco à l'étranger. Je m'engage à vous offrir gratuitement l'hébergement pour l'année universitaire afin de vous permettre d'achever vos études", annonce-t-il aux parents.
Alain Capo-Chichi ajoute qu'il n'y aura pas non plus de " frais de scolarité supplémentaire". Si la situation perdure, l'Institut Cerco Bénin va fermer ses portes dans les prochains jours.

G.A.

Categories: Afrique

L'Institut Cerco va fermer ses portes au Bénin

Thu, 11/01/2018 - 18:19

L'institut Cerco Bénin n'a toujours pas fini son chemin de croix avec les autorités béninoises. Contraint de fermer ses portes faute d'homologation, le promoteur décide d'offrir l'hébergement à tous les étudiants désireux de poursuivre leurs études à l'étranger sur les campus Cerco.
C'est dans un message aux parents que le promoteur de l'Institut Cerco s'engage à délocaliser ses étudiants dans la sous-région. Regrettant le sort réservé à son institut, Alain Capo-Chichi confie : " Nous sommes victime à mon sens d'un règlement de compte et j'espère que le Seigneur va nous aider et que les recours que nous faisons actuellement aboutiront''. Il estime que " c'est une situation de conflits personnels qui n'ont rien à voir avec l'administration, les agréments et homologations". Dans son adresse aux parents des apprenants, il explique que la situation que vit son institut datait de peu de temps. " Il y a quelques mois, en tant que Président de l'Association des Établissements privés et expert Lmd, j'avais donné mon avis technique sur les examens nationaux en expliquant que techniquement ceci ne règlerait pas les problèmes évoqués qui ont motivé la décision de leur organisation", affirme-t-il. Cette situation a selon le promoteur de l'Institut Cerco, créé un conflit entre les autorités en charge de l'enseignement supérieur notamment la direction des écoles privés d'enseignement supérieur (Depes) et lui avec des menaces, dit-il. Alors que le dossier d'agrément fut lancé avec les pièces à fournir, " le Depes ne m'a pas adressé de lettre d'information alors que 6 mois plus tôt, tous mes collègues fondateurs avaient reçu ce guide de dépôt", regrette le promoteur de Cerco. Malgré cette situation, Alain Capo-Chichi avoue que " Ne voulant plus m'opposer à une réforme du ministère bien qu'en raison de ce que nous avons des diplômes homologués par le Cames, nous avons passé le cap d'un agrément ( Art 73 et 74 du décret 2008), j'ai décidé d'utiliser les 15 jours restants pour déposer malgré tout les 13 pièces, comptant sur la bonne foi des uns et des autres".
Bien que selon lui, toutes les pièces demandées ont été déposées, le Depes délivre une attestation défavorable pour signature non originale. Cette situation qui était une surprise pour celui-ci, ne l'a pas découragée.
" Etant absent du territoire national et en mission en Chine, j'ai signé le document avec ma signature manuscrite scannée mais il a estimé que ma signature n'était pas originale et cela constituait un motif de rejet", déplore le promoteur de Cerco.
Pour régler la situation et ne pas tomber sous le coup de la loi, Alain Capo Chichi explique la démarche menée. " J'ai fait envoyer par avion un colis DHL avec la signature manuscrite originale et nous avons pu déposer le dossier mais il n'a plus corrigé ladite attestation alors que nous avions reussi à déposer dans le délai officiel", a-t-il expliqué. Ceci n'a toujours pas favorisé les choses puisque le Depes est resté campé dans sa position. Toutes les portes tapées pour avoir gain de cause ont donc été vaines.
" Si notre recours n'était pas favorable et que nous sommes contraints de fermer en pleine année universitaire, nous prendrons les dispositions pour ceux d'entre vous qui souhaiteront poursuivre leurs études sur les autres campus de Cerco à l'étranger. Je m'engage à vous offrir gratuitement l'hébergement pour l'année universitaire afin de vous permettre d'achever vos études", annonce-t-il aux parents.
Alain Capo-Chichi ajoute qu'il n'y aura pas non plus de " frais de scolarité supplémentaire". Si la situation perdure, l'Institut Cerco Bénin va fermer ses portes dans les prochains jours.

G.A.

Categories: Afrique

La nécessité d'améliorer la résilience des villes

Thu, 11/01/2018 - 14:57

La Journée Mondiale des Villes a été célébrée, ce mercredi 30 octobre 2018. La cérémonie a été présidée par la Directrice de Cabinet du Ministre du Cadre de Vie et du Développement Durable, représentant le Ministre, Jeanne Acacha Akoha.
« Bâtir des villes durables et résilientes : Quel dessein, quels enjeux et quelle gouvernance ? ». C'est le thème qui a été retenu pour la célébration de cette journée dédiée à la ville. Loin d'être une journée de plus, cette célébration tire tout son sens dans les objectifs visés. Selon la directrice de cabinet, l'objectif visée à travers l'instauration de cette journée est de promouvoir l'intérêt de la communauté internationale pour l'urbanisation au niveau mondial. Elle souligne qu'il est question en réalité de progresser la coopération entre les pays et les villes, puis relever ensuite les défis de l'urbanisation et contribuer au développement urbain durable.
La Représentante du ministre du cadre de vie indique que cette année, c'est un appel à tous à repenser autrement la façon dont les villes peuvent devenir de meilleurs endroits pour se protéger.
Ainsi cela pourra favoriser l'amélioration de la vie des populations car « plus de la moitié de nos populations vivent dans les zones urbaines et ce nombre augmente de jour en jour ».
Ce constat permettra de prendre conscience de l'importance des villes résilientes. La directrice a appelé tous les participants à ladite journée d'échanger leurs expériences, afin d'aboutir à des solutions simples mais concrètes pour améliorer la résilience des villes béninoises.
G.A.

Categories: Afrique

Le préfet échange avec la population sur les actions du gouvernement

Thu, 11/01/2018 - 11:56

Le préfet de l'Atlantique Jean-Claude Codjia a rencontré, ce mercredi 31 octobre 2018, la population ainsi que les élus locaux et communaux de la commune d' Allada. La séance s'est déroulée dans la maison des jeunes.
Il s'agit d'une rencontre dite d'assistance conseil aux communes de son ressort.
La gestion du pays sous le gouvernement de la Rupture, les nombreuses avancées, les projets d'intérêt national et les nombreuses atouts pour la commune ont été au menu de la rencontre.
Le préfet a parcouru avec ses administrés, presque tous les domaines. Il a été questions de la gouvernance, des réformes dans le secteur de la santé, de l'éducation, de la sécurité et la lutte contre la cybercriminalité. L'autorité départementale a expliqué à la population la situation du secteur énergétique et les grands projets en cours dans le domaine, la fourniture d'eau potable avec l'extension du réseau de distribution et la construction de la station de pompage.
Jean Claude Codjia a fait cas de l'insertion professionnelle des handicapés et celle de la jeunesse, qui font partie des préoccupations importantes du gouvernement. La question de l'assainissement du cadre de vie et la réalisation d'infrastructures routières n'ont pas été occultées.
Les problèmes relatifs au lotissement et celui de la gestion des carrières de sable qui se posent dans certaines communes ont été abordés.
Les grands projets contenus dans le programme d'actions du gouvernement notamment dans les domaines de l'agriculture, du tourisme, du sport ont été abordés avec les retombées pour le département de l'Atlantique. Le Centre Hospitalier d' Allada, la construction de la cité administrative et des logements sociaux et l'implantation du centre de formation des agents de l'administration locale ont été soulevés par certains qui veulent avoir l'assurance que la commune d'Allada n'est pas abandonnée.
Cette rencontre du préfet avec la population a permis non seulement d'exposer les problèmes des communes mais aussi des actions menées et les projets futurs du gouvernement pour le département. Comme une rencontre de vérité, la population a eu des échanges de convivialité qui rassurent de la bonne marche de la Rupture.
Le préfet a fait à la populations le compte rendu fidèle des nombreuses actions du gouvernement et prioritairement celles concernant la commune d'Allada.
" Il me plaît de réitérer le soutien franc sans ambages ni conditions de tout le conseil communal au gouvernement du président Talon", a déclaré le maire de la commune d'Allada, Michel Acléhinto.
Les différentes préoccupations de la population ont pu trouver des réponses bien rassurantes.

G.A.

Categories: Afrique

Le partenariat public-privé pour le Complexe Mall-Galerie commerciale piscine olympique

Thu, 11/01/2018 - 00:41

Les membres du gouvernement réunis en Conseil des ministres, ce mercredi 31 octobre 2018, ont opté pour le recours au partenariat public-privé pour le financement, la construction et l'exploitation d'un complexe Mall-Galerie commerciale Piscine olympique au stade général Mathieu Kérékou de Cotonou.
Selon le relevé du Conseil des ministres, la rénovation de l'espace olympique et du palais des sports, est devenu une nécessité. Le gouvernement en a pris la mesure et prévoit de faire démarrer les travaux à la fin du premier trimestre de l'année 2019.
Pour renforcer la disponibilité dans le pays d'infrastructures aux normes requises, en vue d'accueillir les compétitions internationales, la piscine olympique sera également reconstruite. En plus de la réhabilitation et de la construction de ces infrastructures sportives, un complexe Mall-Galerie commerciale sera implanté dans l'emprise du stade. Ce complexe à but lucratif est destiné à recevoir le commerce noble de textiles, bijoux, cosmétiques et accessoires actuellement au marché Dantokpa. L'objectif étant de promouvoir ces activités haut de gamme en offrant aux commerçantes qui s'y adonnent et à leur clientèle, un meilleur cadre pour leurs transactions.
Pour la mise en œuvre de ces deux projets, le conseil a autorisé le recours au partenariat public-privé et instruit les ministres concernés, de procéder à la sélection des partenaires privés intéressés.
F. A. A.

Categories: Afrique

Ni Adam, ni Eve à la création de l'univers

Thu, 11/01/2018 - 00:13

L'histoire de la création du monde varie d'une société à une autre. En la matière, le mythe de la création du monde en Yoruba, rendu public par l'anthropologue Claude Assaba, nous enseigne que Ni Adam, ni Eve n'étaient à l'origine de l'univers. Une lecture attentive du récit permet de comprendre la vie sociale en milieu Yoruba, en l'occurrence la lutte pour le pouvoir, les conflits entre les aînés et les plus jeunes, ainsi que les sources profondes des conflits domaniaux entre populations. Les mythes ne permettent-ils pas de comprendre le fonctionnement des sociétés ? Tout porte à le croire.

La création de la terre dans la tradition d'Ile-Ife

Selon les yoruba d'Ile-Ife, au commencement n'existaient ni les hommes, ni la terre, ni tout ce qui la peuple. Il n'y avait que l'eau et le ciel. Tout était fluide, c'était le chaos. L'eau, la grande eau, c'est-à-dire la mer, avait son ‘'propriétaire'', Olokun (Olo = propriétaire, responsable, Okun = mer). Le ciel avait également le sien, Olorun (Olo ou Olu = propriétaire, Orun = ciel). Ainsi étaient réglées les choses jusqu'au jour où Olodumare (Être Suprême) décida de créer de la terre ferme sur l'espace occupé par les eaux. Il fit part de ses intentions à son fils aîné Oricala ou Obatala. Il lui demanda alors d'aller en bas créer la terre.
Pour la réalisation de ce projet, il lui remit avant son départ un sac, le ‘'sac de la création'' contenant une coquille d'escargot à l'intérieur de laquelle il y avait une matière noirâtre. Dans le sac il y avait aussi une poule ou un pigeon à cinq doigts. Il lui dit : « Descends et fabrique de la terre sur Okun ». Obatala se mit alors en route, appuyé sur sa canne d'étain, (opa osoro) ou canne des cérémonies. Sûr des privilèges que lui confère son droit d'aînesse et du pouvoir qui venait de lui être octroyé, il négligea d'accomplir, contrairement à ses autres frères, certaines obligations et de suivre certaines règles de conduite qui fondent leur communauté.

Le mythe rapporte qu'il refusa, avant d'entreprendre son voyage pour aller créer la terre, de faire certains sacrifices et offrandes à Ecu, Elegba, qui, entre autres fonctions, a celle de garder la porte entre l'‘'au-delà'' et le monde.
Ecu ne tarda pas à lui faire payer son arrogance. A peine franchi le seuil de l'au-delà, qu'il lui fit éprouver, une soif intense. Oricala fut ainsi amené à étancher sa soif avec le liquide qui avait jailli d'un palmier à huile dont il avait percé l'écorce à l'aide de sa canne. Ce liquide était du vin de palme. Il avait tellement soif qu'il en but exagérément. Il sombra dans un état d'ivresse qui lui fit oublier, sur l'heure, la mission qu'il avait à accomplir.

Le mythe relate par la suite que les autres fils d'Olodumare, les autres Orica peuplant le ‘'ciel'', prirent le miroir qui permet de voir au-delà des frontières de leur espace. Ils aperçurent alors Grand Orica, Obatala, totalement endormi. Ils se rendirent compte qu'il ne pourrait plus, à cette allure, réaliser ce dont Olodumare l'avait chargé.
Odudua, frère cadet d'Oricala et en même temps son plus grand rival, entreprit alors de descendre jusqu'à lui et parvint à lui subtiliser le sac de la création. Il retourna alors auprès d'Olodumare, le lui montra, lui rapportant dans quel état était tombé Oricala. Comme il l'espérait, Olodumare lui demanda d'aller réaliser à la place d'Oricala, l'œuvre de la création. Odudua descendit donc, sur l'ordre d'Olodumre. Mais avant son départ, il prit soin, contrairement à Obatala, de faire les sacrifices et offrandes à Ecu. Cette disposition préalable lui permit d'atteindre son objectif. Il sorti du sac la coquille contenant la matière noirâtre (la terre meuble), la déposa sur la surface des eaux. A l'endroit précis où il répandit la terre, il posa la poule à cinq doigts, qui se mit aussitôt à l'éparpiller dans toutes les directions. La terre ferme fut ainsi créée. Le monde fut créé.

Ile-Ife, le Centre du Monde

Le mythe poursuit : après que prit forme la terre ferme, que la poule repoussa les eaux, Odudua retourna auprès d'Olodumare pour lui rendre compte de sa mission. Olodumare envoya le caméléon pour aller constater l'état de l'œuvre accomplie. Le caméléon revint et dit : « l'espace créé est grand, vaste. » Olodumare, rassuré, entreprit de peupler le nouvel espace qu'il appela Ife, qui signifie à la fois amour et volonté. Cette première ville était une île (ilaodo ;
ila : faire séparer, Odo : cours d'eau).
Sur cette île, erraient les premiers hommes, qui ne savaient pas ce qu'ils devaient faire. Après un temps assez long, Olodumare quitta son domaine et s'installa au milieu de l'île. Avec lui vinrent les orica, ses fils. Olodumare dit : « Ecu, assieds-toi derrière moi. Ogu, mets-toi à ma droite. Obatala, assieds-toi à ma gauche. Vous, les autres orica, mettez-vous autour de moi''. Olodumare appela les hommes et leurs ‘'chefs'' et leur dit : « vous voyez ce qui se passe ici… Maintenant, faites bien attention. La ville s'appellera désormais Ife. La colline sur laquelle je suis assis portera trois palmiers. Mieux que partout ailleurs, les babalawo (père du secret, devins) pourront ici connaître les ‘'odu'' (signes géomantiques). Seize dieux sont venus avec moi. Ils auront des enfants et ils habiteront autour de vous. Ainsi, Ife sera abondamment peuplée.
Toi, Odudua, tu resteras et règneras à la tête de tout le groupe. Tu seras l'Oni d'Ife (propriétaire d'Ife) et tu enseigneras aux différents Alafin (propriétaire des palais) la volonté des orica. C'est à toi que revient la charge seconde, celle d'organiser la vie socio-politique des hommes. Je te fais Roi. Je me retire des affaires sociales, mais je laisse à tes côtés, pour te prodiguer des conseils et te donner la lumière des connaissances, Orunmila. Consulte-le pour toutes les affaires ».
Olodumare se retira alors dans son ‘'univers'', laissant la charge à Odudua de diriger les affaires sociales et humaines. Orunmila lui, devra apporter aux hommes les enseignements qu'il leur faut, servant ainsi d'intermédiaire entre le monde invisible des dieux et le monde sensible des hommes.

Pouvoir et secret initiatique

Le mythe ci-dessus explique en lui même la vie socio-politique en milieu Yoruba. La lutte pour le pouvoir. Le conflit entre les aînés et les cadets ainsi que les éléments de gestion des crises sociales y sont contenus
Dans l'esprit du mythe de la création de la terre en milieu Yoruba, on constate que divination (Fâ Orunmila) et le pouvoir sont indissociables. La connaissance du Fâ constitue non seulement un pouvoir mais aussi un élément important et nécessaire du pouvoir politique.
Pour pouvoir gouverner, il faut être en mesure de donner une explication à tout ce qui survient dans la vie de l'homme. Tout pouvoir est précédé d'un minimum de connaissances et d'un savoir fondamental : saisir les lois et principes fondamentaux de l'univers et être en mesure de les manipuler.
Dans cette structuration du pouvoir dans nos sociétés, on comprend alors le rôle des Babalawo ( prêtre Fâ) grand détenteur du savoir à l'instar des conseillers dans les Présidences .

Mythe de la création dans la tradition d'Oyo

Dans la variante du mythe de la création chez les Oyo, les séquences présentent Oranniyan comme le premier responsable à qui revint la création de la terre.
« Au commencement de la terre n'existait pas. En haut, était le ciel ; en bas était l'eau et aucun être n'animait le ciel, n'animait l'eau. Or, le Tout-Puissant Olodumare, le Maître et le Père de toutes choses, créa d'abord sept princes couronnés. Il créa ensuite sept sacs dans lesquels il y avait des cauris, des perles, des étoffes et autres richesses. Il créa une poule et vingt et une barres de fer. Il créa aussi une étoffe noire, un paquet volumineux dont on ne voyait pas la nature. Il créa enfin une très longue chaîne de fer à laquelle il attacha les trésors et les sept princes. Puis il laissa tomber le tout du haut du ciel.
A la limite du vide, il n'y avait que de l'eau. Olodumare, du haut de sa demeure divine, lança une noix de palme qui tomba dans l'eau. Aussitôt, un gigantesque palmier s'éleva jusqu'aux princes, leur offrant l'abri vaste et sûr de ses branches.
Les princes s'y réfugièrent et s'y installèrent avec leurs bagages. Ils étaient tous princes couronnés et, par conséquent, voulaient tous commander ; ils résolurent de se séparer. Les noms de ces sept princes étaient : Olowu qui devint roi des Egba, Onicabe qui devint roi de Cabe, Orangun qui devint roi d'Ila, Oni qui devint roi d'Ife, Ajero qui devint roi d'Ijero, Alaketu qui devint roi de Ketu, et le dernier créé, le plus jeune, Oraniyan qui devint roi d'Oyo. Avant de se séparer pour suivre leur destinée, les princes décidèrent de se partager la somme des trésors et des provisions que le Tout-Puissant leur avait donnés. Les six plus âgés prirent les cauris, les perles, les étoffes et tout ce qu'ils jugèrent précieux ou bon à manger. Ils laissèrent au plus jeunele paquet d'étoffe noire, les vingt et une barres de fer et la poule.

Les six partirent à la découverte dans les branches du palmier. Lorsque Oraniyan fut seul, il eut désir de voir ce qui se trouvait dans le paquet d'étoffe noir. Il l'ouvrit et y vit un tas de matière noirâtre qu'il ne connaissait pas. Il secoua l'étoffe : la matière noire tomba sur l'eau, ne s'y perdit point et
devint un monticule. La poule s'envola pour aller s'y poser. Elle se mit alors
à gratter cette matière noire qui s'éparpilla au loin sous son effort. Et le
monticule s'élargit et prit la place de l'eau. Et voilà comment naquit la
Terre.

Oraniyan se hâta de descendre sur le domaine ainsi produit par la matière noire et il prit possession de la Terre. Les six autres princes descendirent à leur tour du palmier et ils voulurent la prendre à Oraniyan comme ils lui avaient déjà pris dans le palmier sa part de cauris, sa part de perles, sa part d'étoffes et sa part de nourriture. Mais Oraniyan avait des armes. Ses vingt et une barres de fer s'étaient transformées en lances, en javelots, en haches et de la main droite, il brandissait une longue épée. Il leur dit : ‘'Cette Terre est à moi seul. Là-haut, lorsque
vous m'avez volé, vous ne m'avez laissé que cette terre et ce fer. La terre a
grandi, mais le fer aussi a grandi, il me servira pour la défendre. Je vais
vous tuer tous. Les six princes crièrent grâce. Ils rampèrent aux pieds
d'Oraniyan en le suppliant. Ils le prièrent de leur céder une partie de la
terre, pour qu'ils puissent y vivre, qu'ils puissent y demeurer princes.

Oraniyan leur fit grâce de la vie et leur donna de la terre. Il exigea seulement cette condition : ces princes et leurs descendants demeureraient toujours ses inférieurs à lui et à ses descendants ; chaque année, ils devraient venir rendre hommage et payer le tribut dans la ville capitale, afin de montrer et de rappeler qu'ils avaient
reçu par grâce et la vie et leur part de terre. Voilà comment Oraniyan devint
roi d'Oyo et souverain de tous le pays yoruba, c'est-à-dire de toute la terre ».

L'expansion politique

Prélude à la destinée militaire, les 21 barres de fer renvoient à la nécessité de la création de nouvelles entités politiques, disons à la conquête d'autres espaces.

La terre, la richesse et le pouvoir

Le développement de ces entités politiques dépend des possibilités économiques. Le signe visuel de cette richesse des royaumes yoruba est la couronne des princes dite Ade ilke, couronne de perles. Il reste cependant que la véritable richesse est la terre.
Oraniyan, devenu propriétaire de la terre, verra venir à lui un nombre de richesses : cauris, perles, étoffes, etc… Cette création de la terre par Oraniyan renvoie aux rapports entre les gens de pouvoir et les gens de la terre, justifiant à des moments donnés l'assimilation des gens de la terre, à l'exercice du pouvoir puisque l'exercice effectif du pouvoir passe pour un réel contrôle de la terre.

En réalité, la lecture de ce mythe situe dans une perspective évolutive du pouvoir yoruba. Elle en révèle la dimension ‘'concrète''.

Oraniyan marque une rupture dans la conception du pouvoir, il lui donne son caractère guerrier. Bien que le pouvoir publique des yoruba se soit consolidé et développé à partir d'Oyo, il n'en demeure pas moins que cette ville entretient des rapports, frisant même la dépendance vis-à-vis d'Ile-Ife. En effet, Ife revendique la prépondérance sur Oyo. C'est à Ife que l'on conserve jalousement le sable d'Oraniyan que les rois d'Oyo doivent tenir en main le jour de leur intronisation. Et on peut voir encore aujourd'hui à Ile-Ife un grand monolithe, l'Opa d'Oraniyan, son bâton de commandement à la guerre avec une grande dalle de pierre, acaOraniyan, le bouclier d'Oraniyan.

Au nombre des variantes du mythe de la cosmogonie, il faut signaler celle qui a cours dans le monde Idaaca. Les thèmes restent les mêmes, seul un des trois responsables cosmiques est remplacé par une autre figure du panthéon religieux global. Ainsi, à Idaaca, au lieu que ce soit Odudua ou Oraniyan qu'on rende responsable de l'œuvre de la création de la terre, on fait jouer ce rôle par la déesse Nana Bukuu. Ce qui n'est pas sans signification.

A Ile-Ife, Oyo (Nigéria) ou au Bénin

chez les Idaaca, Obatala ou Oricanla et Orunmila (Ifa) sont constamment cités.
La présence de ces deux figures peut s'expliquer pour le premier, par le fait
qu'ayant échoué dans l'entreprise de la création de la terre, Olodumare le
chargea de modeler les corps humains ; ce qui signifie en clair que, la
terre ayant été créée, c'est à Oricanla qu'incombe son peuplement ; pour
le deuxième, par le fait qu'il se présente comme le dispensateur de savoir, de
connaissances.

Les variantes prennent du ses dès qu'il s'agit de reconnaître et de légitimer la dimension socio-politique de la terre. Mais il ne faut pas perdre de vue les évidentes influences qu'impose l'histoire concrète des peuples. L'important ici, est de montrer les termes dans lesquels s'expriment les stratégies d'appropriation de l'espace que ce soit à travers les mythes ou à travers d'autres formes telles que les légendes.

Légende

Aux Mamahun, représentant la population aborigène de Igbo-Idaaca19 vinrent s'ajouter les Ijehun. Les premiers, selon les sources orales, prétendent sortir du flanc de la colline Oke Agbonu à Muja. Quant aux Ijehun, ils se disent d'origine yoruba et plus précisément d'Oyo au Nigéria. Le pays demeure alors sous l'autorité d'un chef, le Chef des Ijehun. Mais ceux-ci seront bientôt supplantés par des vagues Egba, arrivés dans le pays, bien après les Ijehun. Avec les Agba, le pays s'organise
et se structure en royaume avec à sa tête, un Oba, un Roi. La tradition orale
veut qu'un roi Egba, dont on ne garde plus le souvenir, laisse à sa mort, trois
fils de sa première femme et un fils (le plus jeune) de la seconde. A l'aîné de
la première femme, il destine le trône. Mais le plus jeune les devins. Les
signes d'Ifa qui devraient consacrer l'aîné en confirmant son droit de
succession au trône furent truqués.

Categories: Afrique

Un plan de sortie de crise pour les Coopératives d'aménagement rural

Wed, 10/31/2018 - 23:36

Réunis en conseil des ministres ce mercredi 31 octobre 2018, le gouvernement s'est doté d'un plan de sortie de crise des Coopératives d'aménagement rural. Selon le point présenté en Conseil des ministres, depuis 2004, une crise institutionnelle s'est installée au sein des coopératives d'aménagement rural, empêchant le renouvellement des instances dirigeantes. Elles ont été transformées en des foyers de tensions entraînant des violences, qui ont occasionné la mort de plusieurs coopérateurs.
Selon le Conseil des ministres, le manque de transparence dans la gestion en est la cause principale. Celle-ci a compromis l'atteinte des objectifs de ces coopératives censées être de véritables unités de production agricole et industrielle. En vue de mettre fin à cette longue crise et relancer les activités des 36 coopératives, le gouvernement a mis en place une commission interministérielle d'appui au processus de reprise de leurs activités.
Ainsi, les échanges ont eu lieu avec les coopérateurs et ont permis d'aboutir à un plan de sortie de crise.
Il s'agit notamment de constituer des comités paritaires chargés de conduire le processus d'actualisation des registres de coopérateurs et d'encadrement de gestion courante des Car, en tenant compte des antagonismes en présence. D'autres actions seront également accomplies pour aboutir, à terme, à la tenue des assemblées générales électives.
F. A. A.

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11 nominations dans 02 ministères

Wed, 10/31/2018 - 22:56

En Conseil des ministres, ce mercredi 31 octobre 2018, le gouvernement a, entre autres, procédé, sur proposition des Ministres à 11 nominations dans 02 ministères. Ces nominations se présentent comme suit :

 Au ministère de la Justice et de la Législation

• A la Chancellerie
Directrice de Cabinet : Madame Aleyya GOUDA BACO
Directeur adjoint de Cabinet : Monsieur Karel COFFI DOGUE
Secrétaire général adjoint du ministère : Monsieur Clément DASSI
Directrice des Relations avec les Institutions et de la Promotion des Dynamiques sociales : Madame Annabelle DOSSAVI-MESSY
Conseiller technique chargé du suivi des recours : Monsieur Emmanuel OPITA
Conseiller technique au suivi des processus et politiques législatifs : Monsieur Firmin OUINSOU
Directeur général de l'Ecole de Formation des Professions judiciaires : Monsieur Eric Codjo MONTCHO AGBASSA

Au ministère de l'Eau et des Mines

Directeur général des Mines : Monsieur Basile ADJO KANON
Directeur de l'Informatique et du Pré archivage : Monsieur Gbètondji Hermann AFFEDJOU
Directeur de la Programmation et de la Prospective : Monsieur Charaf Dine GADO
Conseiller technique juridique : Madame D. Samirath BIO NINGUI

Akpédjé AYOSSO (Stag.)

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Le Compte rendu du Conseil des Ministres du 31 Octobre 2018

Wed, 10/31/2018 - 20:56

Le conseil des ministres a tenu sa réunion hebdomadaire ce mercredi 31 Octobre 2018 sous la précédente du Chef de l'Etat. Votre journal publie ici le compte rendu des travaux .
Veuillez cliquer sur le lien ci-après pour lire
https://sgg.gouv.bj/cm/2018-10-31/download

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Dona Jean-Claude Houssou a clôturé les travaux ce mardi

Wed, 10/31/2018 - 18:14

Le ministre de l'énergie, Dona Jean-Claude Houssou a clôturé, ce mardi 30 octobre 2018, le séminaire sur le système d'information énergétique. Les travaux de ces assises ont permis d'identifier les faiblesses au niveau des données existantes afin d'apporter les corrections fiables et les actualiser régulièrement pour une bonne performance.
Durant les travaux, les participants se sont également penchés sur les questions de sécurité du site d'information et de sauvegarde des données assorties de recommandations pour la relance du système d'information.
Suivant les explications du président du séminaire, Justin Agbo, l'une des recommandations consiste à régler le problème de sécurisation du site du système d'information énergétique (Sie-Uemoa) par les moyens déjà présents pour prévenir les attaques cybercriminelles. Il a émis le vœu que des moyens appropriés soient mis en place pour la sauvegarde desdites données. Justin Agbo suggère qu'un système de gestion évolutif des indicateurs soit mis en place pour assurer aux équipes nationales Sie-Uemoa, le transfert de compétence et de maîtrise des procédures. S'adressant au ministère de l'énergie, il a souhaité que le cabinet assure une mobilisation des ressources financières pour l'actualisation de ces données au niveau des secteurs de consommation d'énergie.
Dans la mesure du possible et malgré les contraintes budgétaires, poursuit-il, certaines priorités sont tout de même accordées au système Sie-Bénin en lui allouant une ligne budgétaire pour faciliter les activités de collecte de données. Il a précisé que des activités régulières de collecte de données sont organisées sur les installations photovoltaïques, étant donné que des particuliers s'y installent parfois sans que les services indiqués soient informés.
Face à toutes ces recommandations, le directeur des études de la direction générale de l'Energie (Dge), Michel Yabi, a pris l'engagement que les recommandations seront mises en application pour éviter au Bénin des situations de délestage comme par le passé, du fait de l'indisponibilité de données.
Le ministre de l'énergie, Dona Jean-Claude Houssou a reconnu la nécessité pour le Bénin d'avoir un système d'information énergétique performant pour éviter des navigations à vue dans la mise en œuvre des projets et programmes. Selon lui, le Sie doit être un outil puissant pour une bonne prise de décision dans la mise en œuvre efficiente des programmes. Il n'est pas question, selon le ministre de l'énergie, de faire preuve de légèreté aujourd'hui avec l'ambitieuse vision du chef de l'Etat pour le secteur de l'énergie.

F. A. A.

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L'Upep de Toboula adhère au bloc Progressiste samedi prochain

Wed, 10/31/2018 - 17:43

Le Conseil d'orientation politique de l'Union pour l'émergence de l'élite politique (Upep) du préfet Modeste Toboula, organise le samedi 03 novembre prochain, à Bénin Royal Hôtel de Cotonou, un congrès extraordinaire. A cette occasion, les militantes et militants de l'Upep vont officiellement déclarer leur appartenance au Bloc Progressiste en création.
Cette activité de l'Upep s'inscrit dans le cadre de la réforme du système partisan à laquelle le chef de l'Etat Patrice Talon a convié toute la classe politique béninoise.

F. Aubin AHEHEHINNOU

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L'ONAUB organise le salon de l'architecture et de l'innovation

Wed, 10/31/2018 - 15:44

L'Ordre National des Architectes et Urbanistes du Bénin (ONAUB) va célébrer du mardi 11 décembre au vendredi 14 décembre 2018, ses 35 années d'existence à travers le salon de l'architecture et de l'innovation. Les activités de ce salon et les objectifs de l'ONAUB, ont été présentés, ce mercredi 31 octobre 2018, par le président de l'Ordre M. Narcisse Justin SOGLO, au cours d'une conférence de presse, au siège de l'institution à Agblangandan (Sèmè-Podji). La séance a aussi connu la présence des partenaires de l'ONAUB et plusieurs autres invités.

Dénommé « ARCHI' INNOV BENIN », ce salon de l'architecture et de l'innovation, qui est à sa toute première édition marquera les 35 années d'existence de l'Ordre National des Architectes et Urbanistes du Bénin (ONAUB). Il va se tenir au siège de l'institution du mardi 11 décembre au vendredi 14 décembre 2018. L'ONAUB entend faire de ce salon le lieu le plus prestigieux et le plus attrayant en accord avec les exposants.
Selon le président de l'ONAUB, M. Narcisse Justin SOGLO, ce salon « va permettre à ce que, nous puissions faire un peu plus de relâche sur notre métier d'architecture. Il ne faudrait pas que les gens fassent toujours de mythe sur la profession de l'architecture. (...) c'est une profession qui est d'une utilité publique où nous sommes à la disposition de nos populations ».
Ce salon qui va accueillir une cinquantaine d'exposants sur le site du siège de l'ONAUB, sera une occasion pour les participants de bénéficier de consultations gratuites, en matière d'architecture et d'urbanisme.
« Nous aurons également nos accompagnants, c'est-à dire les différents ingénieurs, des bureaux d'études. Nous aurons des géomètres, sans qui, nous n'aurons pas des vraies données au niveau de plans, les levées topographiques que nous exploitons pour pouvoir faire nos conceptions », a-t-il expliqué. Pendant les 04 jours de ce salon, plusieurs activités sont prévues telles que : les conférences de débats, le vernissage, le jeu concours de la construction du palais d'exposition de l'ONAUB et la soirée de gala.
« Nous devons chercher les innovations nouvelles que nous allons mettre à la disposition de nos populations pour qu'on puisse savoir que désormais nous avons la possibilité de construire autrement, d'avoir des matériaux autres que ce que nous avons habituellement », a affirmé Narcisse SOGLO.
Ce salon s'organisera chaque deux ans, puisqu'il est question d'innovation, a précisé le président de l'ONAUB.
« Deux années permettent effectivement de faire des recherches et de pouvoir apporter de solutions nouvelles à nos populations », a-t-il ajouté.

Les réalisations de l'ONAUB

Les architectes et béninois ont réalisé plusieurs œuvres au Bénin. Parmi ces ouvrages on peut citer des sièges d'institutions de l'Etat tels que : Palais de la Présidence de la République ; Cour suprême, complexe administratif du Ministère des finances, Caisse National de sécurité sociale. Aussi, l'ONAUB a-t-il procédé à la réalisation des équipements collectifs : établissements d'enseignement, hôpitaux et autres centres de santé, marchés, stades sans oublier des immeubles privés.
Pour le président de l'ONAUB, les urbanistes ont également apporté leur savoir-faire dans l'élaboration des documents d'urbanisme et plus particulièrement dans la conduite des opérations de lotissement. « C'est aux urbanistes que l'on doit l'avènement du Registre Foncier Urbain (RFU), qui s'est affirmé comme un véritable outil de la fiscalité foncière et immobilière au service de l'amélioration des capacités financières de nos villes principales et secondaires », renseigne-t-il. C'est aussi grâce aux urbanistes poursuit Narcisse SOGLO, que l'on commence à prendre en compte l'espace dans la planification du développement de notre pays.
Cependant, il a déploré le fait que les architectes sont rarement consultés lors des choix relatifs à la localisation et aux caractéristiques des grands équipements publics.
Certains maîtres d'ouvrage violent allégrement les textes de la République qui encadrent la maîtrise d'œuvre en ce qui concerne la construction, la rénovation et la réhabilitation de bâtiments, a aussi déploré le président de l'ONAUB. « Face à ces comportements, nous saisissons les voies de recours appropriées », a-t-il déclaré.
Pour M. SOGLO, les architectes et les urbanistes devront poursuivre pendant longtemps encore leur mission de pionnier et ce, avec abnégation et patriotisme.
Il n'a pas manqué de remercier le ministre du Cadre de Vie et du Développement Durable, José Didier TONATO pour son ouverture face aux préoccupations de l'institution.
Le président de l'ONAUB a également remercié les partenaires de l'institution. Il s'agit entre autres de LA ROCHE, CIMENT LE BOUCLIER, SIAB et SCIL PEINTURES.

Encadré
A propos de l'ONAUB

L'ONAUB a été créé le 1er novembre 1983, par décret 83-388 et regroupe les personnes habilitées à exercer la profession d'Architecte et Urbaniste au Bénin. Il a la personnalité morale et l'autonomie financière et est placé sous la tutelle du Ministère du Cadre de Vie et du Développement Durable. Selon le président Narcisse Justin SOGLO, la corporation compte 166 Architectes et Urbanistes. « Nous avons 07 membres en fin de stage qui vont prêter serment au cours de la célébration des 35 ans de la création de l'Ordre », annonce-t-il.
La mission de l'Ordre est de défendre les intérêts de ses membres et de veiller à l'épanouissement professionnel de chacun d'eux dans le cadre de la contribution collective des Architectes et Urbanistes à l'édification nationale.
Le Conseil National de l'Ordre des Architectes est composé de cinq (05) membres élus en Assemblée Générale par les Architectes inscrits au tableau de l'Ordre. Il est élu pour deux (02) ans et ses membres peuvent cumuler deux mandats consécutifs.
L'Ordre National des Architectes et Urbanistes du Bénin (ONAUB) est affilé à plusieurs organisations, régionales, sous régionales et internationales à savoir : l'Union Internationale des Architectes (UIA), l'Union des Architectes d'Afrique (UAA), la Fédération des Architectes Francophones d'Afrique (FAFA), la Conférence des Ordres des Architectes de l'UEMOA (COA-UEMOA).
L'Ordre des Architectes et des Urbanistes du Bénin (ONAUB) a décroché le siège de la Fédération des Architectes Francophones d'Afrique (FAFA), lors de l'Assemblée générale, qui s'est tenue en septembre 2018, à Abidjan, en Côte d'Ivoire. Le siège de cette institution est désormais transféré de Tunis (Tunisie) à La Maison des Bâtisseurs, à Agblagandan (commune de Sèmè-Podji), au Bénin.
Narcisse Justin SOGLO est élu à la tête de la Commission « Ethique et exercice professionnel », non seulement au niveau de la Région ouest, mais également au niveau des cinq régions qui constituent l'UAA/AUA. Il siège pour un mandat de trois (03) ans, au niveau du Conseil de l'Union en qualité de Conseiller.
Le Président du Conseil National de l'Ordre des Architectes et des Urbanistes du Bénin (ONAUB), Narcisse Justin SOGLO assumait les obligations de Délégué régional au sein de l'UAA. Un poste qu'il a obtenu en Juin dernier, à l'Ile Maurice, lors du 12ème Congrès de l'Union des Architectes d'Afrique (UAA/AUA).
Au cours de la même rencontre, le Secrétaire à l'Information, à la Formation et aux Affaires Culturelles de l'ONAUB Noukpo Jean-Paul HOUNDEFFO a été élu à la présidence du Comité dédié à la Communication.
L'Architecte Narcisse Justin SOGLO a présidé la Conférence des Ordres des Architectes de l'UEMOA, avant d'être élu au niveau de l'UAA (Union des Architectes d'Afrique).

Akpédjé AYOSSO (Stag.)

Categories: Afrique

Abiola officialise son adhésion à la ‘'Dynamique Républicaine'' samedi prochain

Wed, 10/31/2018 - 15:40

Le Mouvement espoir du Bénin (MesB) du professeur François Abiola, sera en congrès extraordinaire, le samedi 03 novembre prochain, à Sakété. L'objectif de cette assemblée est d'officialiser la fusion du MesB au bloc de la ‘'Dynamique Républicaine'' dans le cadre de la réforme du système partisan. Plusieurs formations et mouvements politiques ayant déjà déclaré leur adhésion audit bloc de même que des personnalités, apprend-on, sont attendues à ce congrès que les populations de Sakété attendent avec ferveur.
F. A. A.

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« DIS-MOI QUI EST LA PLUS BELLE », on se refait une beauté !

Wed, 10/31/2018 - 15:35

L'agence panafricaine JAWUNTAA remet ça ! Après une première saison époustouflante, l'émission de télé-réalité qui a bouleversé les téléspectateurs béninois en 2017 est de retour. Secrets de coulisse, casting, dates et horaires de diffusion, retrouvez toutes les informations concernant la nouvelle saison de votre émission « DIS-MOI QUI EST LA PLUS BELLE ».

Relayé sur de grands médias internationaux, le concours de beauté orchestré de main de maître par l'agence JAWUNTAA, a réussi le pari incroyable de démentir les clichés sur la beauté africaine. Avec l'explosion d'internet, la diffusion des séries télévisées hollywoodiennes et des telenovelas, la femme africaine a tendance à oublier les canons de beauté originels et à s'identifier au modèle de la beauté occidentale. Alors que cette obsession du corps « idéal » corrompt l'opinion populaire de la beauté, l'agence JAWUNTAA est allée puiser dans l'entendement quotidien des africains et des africaines pour proposer un programme télévisé complétement innovant, unique et original. Une innovation qui a été plébiscitée par le public béninois à en croire l'engouement provoqué par la première saison, les audiences du programme atteignant un chiffre record de plus d'un million de téléspectateurs directs !
Annoncée pour le 03 novembre 2018, la saison 2 de l'émission de télé-réalité « DIS-MOI QUI EST LA PLUS BELLE » va donc devoir relever le défi de surpasser une première saison mémorable. Pour Luc VODOUHE, Directeur de JAWUNTAA SA, le pari est gagné et la nouvelle saison promet d'être encore plus époustouflante, plus déjantée, plus surprenante et toujours aussi populaire. C'est la saison de tous les challenges : plus d'épreuves, plus d'épisodes et des épisodes plus longs !
Il faut également compter plus de candidates ! Initialement composée de huit participantes, le casting de la saison 2 a connu un bouleversement inédit. Ce sont désormais douze sublimes jeunes femmes qui vont devoir rivaliser de beauté et de séduction pour éblouir le miroir magique. Bien que différentes, elles représentent chacune des facettes de la beauté africaine qui n'est pas forcément physique, ni totalement morale ou comportementale. La tâche ne leur sera pas mâchée pour autant !
En effet, on nous souffle dans les coulisses que le jury est plus que redoutable. Et si on ignore encore qui, après Jessica, grande gagnante de la saison 1, remportera le miroir d'or, on sait déjà qui siègera dans les fauteuils de jurés. Selon les indiscrétions, les téléspectateurs vont découvrir un nouveau cru prestigieux constitué de Sessi Edi, styliste et chef d'entreprise, de Nadia CHITOU bloggeuse mode et de Frida QUENUM alias Frida VIBES, présentatrice Télé, toutes trois douées d'un sens de la mode et d'une expertise irréfutables ! Comme sur la saison 1, un homme s'invite au cœur de ce jury féminin, en la personne et la qualité de Malick DJODI, directeur de l'Ecole d'esthétique Malick D et esthéticien de renommée internationale !
Si, comme nous, vous croyiez tout savoir sur la beauté africaine, les douze candidates de l'émission de télé-réalité « DIS-MOI QUI EST LA PLUS BELLE » vont bouleverser toutes vos certitudes ! Rendez-vous est donc pris tous les samedis à 21heures, à partir du 03 novembre 2018 sur Canal 3 Bénin et la chaine YouTube JAWUNTAA, pour voir ce que nous réserve ce concours de beauté qui ne ressemble à aucun autre !

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Qui sera la plus belle

Wed, 10/31/2018 - 15:23
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Qui sera la plus belle

Wed, 10/31/2018 - 15:21
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Les députés aguerris pour l'examen et le vote du budget

Wed, 10/31/2018 - 12:47

Un séminaire d'appropriation des éléments d'analyse du projet de loi de finances en question, en vue d'un vote en toute connaissance de cause du document a été organisé à l'intension des députés, ce mardi 30 octobre 2018.
« Présentation et analyse du point d'exécution au 30 juin 2018 du budget de l'Etat gestion 2018 » ; « Document de programmation budgétaire et économique pluriannuelle (Dpbep) 2019-2021 » ; « Cadrage macroéconomique et pertinence des prévisions budgétaires 2019 » et « Présentation et analyse des mesures fiscales contenues dans le projet de loi de finances pour la gestion 2019 ». Tels sont les thématiques abordées au cours de ce séminaire d'appropriation. Organisé, chaque année, par le Projet d'appui au renforcement des capacités et à la modernisation de l'Assemblée nationale (Parcman), un des organes techniques du Parlement, ce séminaire d'appropriation vient en prélude à l'étude du projet de loi de finances pour la gestion 2019. Equilibré en recettes et en dépenses à la somme de 1877,543 milliards FCFA contre 1862,918 milliards FCFA en 2018, soit une hausse de 0,8 %, ce projet comporte diverses mesures fiscales et des exonérations de droits, taxes de douane et TVA.
Une thématique retient l'attention des députés au regard des mesures fiscales y afférentes. L'administrateur des impôts à la retraite et experte en administration fiscale, Christine Eyébiyi a, à travers le thème « Présentation et analyse des mesures fiscales contenues dans le projet de loi de finance pour la gestion 2019 » montré que cette loi des finances repose sur une orientation de la politique économique marquée par la phase active de mise en œuvre du Programme d'actions du gouvernement (Pag). Il marque la consolidation des acquis sociaux et un cadrage macroéconomique caractérisé par l'accélération de la croissance économique (7,6% contre 6,8 % en 2018) et un environnement non inflationniste et une baisse du déficit budgétaire (2,7 % contre 4,7 du Pib en 2018). Elle a mis l'accent sur les mesures fiscales reconduites pour l'année 2019. Tout en relevant l'exonération des droits et taxes de douane et de la TVA, à l'exception du Prélèvement communautaire de solidarité (PCS), elle fait cas du Prélèvement communautaire (PC) et de la taxe statistique sur quatre catégories de biens, à savoir le matériel informatique, les logiciels, les imprimantes, leurs parties et pièces détachées, les véhicules neufs à quatre roues importés ou fabriqués et vendus à l'état neuf et destinés à la mise en place d'une flotte de taxis dans les grandes villes.

Des mesures incitatives

L'exonération de droits et taxes de douane et de la TVA sur les autobus, autocars et minibus de toutes catégories, importés, fabriqués et vendus à l'état neuf et destinés au transport en commun n'a pas été occulté dans ce projet de loi de finances.
Les aéronefs, aérostats et leurs pièces de rechange ainsi que des camions neufs, les récipients pour gaz domestique, les accessoires tels que les brûleurs, tuyaux, raccords, supports marmite, réchauds à gaz sans four et robinets et détendeurs sont aussi visés par ladite loi des finances.
Il est prévu aussi des mesures modificatives en ce qui concerne les dispositions relatives au Code général des impôts, et aux recettes non fiscales contenues dans ce projet du gouvernement.
L'expert a mis l'accent sur l'abrogation des dispositions des lois relatives à la taxe sur les nuitées ; la reprise et la modification des dispositions de la loi de finances pour la gestion 2018 relatives à la contribution, à la recherche et à la promotion agricole de 60 F/kg de produits par l'extension au soja du champ d'application de la contribution à raison de 25 F/kg le relèvement de la contribution de 60 francs à 70 F/kg de noix d'anacarde et la baisse de la contribution de 60 francs à 10 F/kg de toutes les autres matières premières et les produits agricoles non transformés dont la noix de palme et autres, à l'exception des fruits et légumes. Il s'est agit d'un projet qui donne tout le sens au programme d'actions du gouvernement. Les mesures incitatives permettront de booster plusieurs secteurs économiques dans le pays.
G.A.

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