Imperturbable. Le chef de l'Etat reste le seul chef d'Etat que le Bénin n'a jamais connu. Depuis 1060, le Bénin cherchait la marque d'homme exemplaire et rigoureux. Au lendemain de la conférence nationale, le Bénin, de part ses choix successifs, laisse toujours des insatisfactions. A la recherche d'un chef d'Etat rigoureux, ambitieux et convaincu de ses projets pour le Bénin, 2016 en a révélé un de particulier. Patrice Talon, l'espoir d'une nation presque éplorée. De part ses réflexions, son engagement et sa fermeté, l'homme passe aux yeux des béninois comme un responsable unique en son genre. Qui l'aurait cru. Même si l'on doute encore de sa franchise par moment, certains faits parlent d'eux-mêmes. Calme, rigoureux et actif, Patrice Talon marque les cœurs. Même si certains le reçoivent négativement, d'autres se réjouissent au regard des actes indispensables pour le développement du Bénin qu'il pose. Bien qu'impopulaire, l'homme ne se mêle pas aux critiques, il passe toujours inaperçu. Les mauvaises langues ne l'incitent pas à se laisser distraire. Pour lui, ce sont les réformes ou rien. Les réformes avant tout. Il s'y met petit à petit. Malgré les bruits de moteurs, les projets sortent comme une tortue de l'eau. Ses différentes sorties bien calculées portent sur des chantiers qui lui tiennent à cœur. A chacune de ses sorties, des actes positifs. Dans son style particulier, il imprime la marque du changement aux populations qui doivent du coup, intégrer les bonnes manières. Pour une fois dans l'histoire du Bénin, un président fait drainer tous les politiques à ses côtés. Patrice Talon n'est nullement contredit par sa famille politique comme l'on a eu à voir dans le passé. L'homme reste unique en son genre. Ses qualités font de lui, un vrai animal politique. Aujourd'hui, tous les secteurs producteurs de richesses sont stimulés, les ministres comme les directeurs sectoriels suivent la dynamique du changement impulsée par le chef de l'Etat. Même ceux qu'on a vu hier à la tâche sans résultats jouent aujourd'hui la carte de la bonne gestion. Comme pour dire que c'est la tête qui conduit le corps. Les manières de fonctionner changent radicalement, laissant place à l'obligation de résultat. Le seul chef d'Etat dont seul le nom fait trembler les superpuissants d'hier.
Lancés par le Ministre de l'énergie, Dona Jean Claude Houssou, les travaux de la revue 2017 du secteur de l'énergie se sont déroulés le vendredi 16 novembre 2018, à Bénin Royal Hôtel de Cotonou. A l'issue des travaux auxquels le coordonnateur du MCA 2, les partenaires techniques et les acteurs privés du secteur ont pris part, plusieurs recommandations ont été formulées.
La revue 2017 du secteur de l'énergie s'est articulée autour du thème : « Amélioration du cadre institutionnel, législatif et réglementaire et participation des privés dans le secteur ». L'objectif global de cette revue est de faire le point de la mise en œuvre des recommandations de la revue de l'année 2017. Quatre principaux points ont meublé les débats. Il s'agit de l'évaluation de la revue 2017, de l'état des lieux du secteur, l'analyse de l'état des lieux et la formulation des recommandations.
« Sur 7 actions qui ont été retenues au titre des recommandations, 5 actions ont été exécutées. Soit un taux de réalisation de 71%. En ce qui concerne l'état des lieux, il a permis de faire une description complète du secteur grâce aux données quantitatives et qualitatives. Les performances et contre-performances du secteur ont été analysées et des solutions sont proposées pour l'amélioration du secteur », a résumé le Vice-président de l'Autorité de régulation de l'électricité (ARE), M. Kana Boco à l'issue des travaux.
Parmi les recommandations formulées, on peut retenir qu'il a été souhaité que les structures sous tutelle du ministère soient dotées de moyens matériels conformément aux normes internationales, rendre effectif le mécanisme de payement de l'administration à la Sbee, apurer les dettes de la Sbee vis-à-vis de la CEB et mettre en place le mécanisme qui permettra à l'ARE de parvenir à son autonomie financière.
D'autres recommandations ont été formulées pour permettre aux agences décentralisées du secteur de l'énergie de parvenir à leur autonomie financière notamment le CONTROLEC et l'ABERME.
Par ailleurs, Une enquête de satisfaction des consommateurs pour apprécier l'efficacité des actions mise en œuvre a été proposée.
Pour le coordonnateur national MCA-Bénin II, Gabriel Dégbégni, Les PTF ont noté avec satisfaction la bonne préparation de cette revue ainsi que l'amélioration de la qualité des différentes présentations. « La qualité des questions qui ont été posées témoignent de l'intérêt des acteurs y compris les PTF par rapport aux questions de l'évolution des activités du secteur. », a-t-il indiqué.
Mais il a déploré que les dépenses de fonctionnement par rapport aux dépenses en capitale sont très faibles et ne permettent pas d'assurer un bon fonctionnement du secteur face aux défis que sont le marché régional, le développement des énergies renouvelables, la promotion des producteurs indépendantes etc ...
Il a rassuré que « (…) les PTF tous ensembles ont renouvelés leur engagement à accompagner le gouvernement dans la mise en œuvre des actions prévues aux Programme d'action du gouvernement et sont disposés à répondre au tant que faire se peut, selon leur procédure et disponibilité, aux exigences pour une véritable promotion du secteur et la durabilité des actions qui sont menées ».
« Du rapport de synthèse finale qui vient d'être présenté, il ressort que les préoccupations des différents vecteurs du secteur ont reçu un écho favorable. Même s'il y a des difficultés persistances que j'ai notées. Cela n'empêche que je me réjouisse des résultats éloquents auxquels vous êtes parvenus aux termes de vos travaux. Aussi, je suis convaincu que l'ensemble des acteurs que nous constituons, disposons des tableaux de bord pour réussir pleinement la mise en œuvre donc du programme du développement du secteur », a expliqué le Ministre de l'énergie avant de clôturer les travaux.
Il a souligné que le défi qui attend les autorités dans ce secteur est plus qu'énorme et au regard de la présentation l'espoir est permis pour le développement harmonieux du secteur.
Marcel HOUETO
Les Scorpions de la Gambie ont ralenti l'élan de qualification des Ecureuils du Bénin en les dominant cet après-midi, à banjul, par un score inattendu de 3 buts contre 1.
Ils ont pourtant commencé par faire forte sensation cet après-midi à Banjul dans un stade quasi vide. Dans une confrontation qui ne s'annonçait pas facile pour les poulains du technicien français Michel Dussuyer, Khaled Adenon et ses coéquipiers ont surpris les Scorpions en ouvrant le score dès la 35ème minute sur une reprise de tête de Steve Mounié.
Surpris, les scorpions se montrent plus offensifs mais il ne parviendront pas avant la fin de la première période à trouver le chemin des filets.
A la reprise, les locaux se montrent plus réalistes. Très engagés et déterminés, ils finnissent par égaliser à la 70 ème minute grâce à Lamin Jallow. A un but partout, les Ecureuils devaient se ressaisir. Mais physiquement et techniquement, ils n'étaient pas à la hauteur de leurs adversaires. Les poulains de Michel Dussuyer n'arrivent pas à tenir tête à leurs adversaires. L'absence du capitaine Stéphane Sessegnon est bien remarquable.
Les scorpions en multipliant les velléités offensives parviennent à trouver la faille défensive des Ecureuils. Ils reprennent d'abord l'avantage en inscrivant un second but grâce à Jobé à la 78 ème minute. Les rares actions offensives de la sélection béninoise n'inquiètent guère les gambiens qui se sentent plus en confiance. Dans le temps additionnel (90+4), Lamine Jallow profite d'une nouvelle relâchement de la défense béninoise pour marquer le 3ème but gambien. A 3 buts à 1, la Gambie revient de loin dans un groupe où ses chances de qualifications sont presque nulles.
En attendant les résultats de la rencontre Togo-Algérie le Bénin conserve sa 2ème place du groupe D derrière l'Algérie. Quelque soit le résultat du match Togo-Algérie, le Bénin a encore des chances de qualification pour la CAN 2019. Mais cela passe forcement par une victoire contre le Togo en mars 2019 à Cotonou
Marcel HOUETO
Les Écureuils du Bénin ont été battus ce soir par le score de 3 buts contre 1, dans le cadre des éliminatoires de la CAN Cameroun 2019.
Ils étaient à Banjul, ce samedi 17 novembre, pour le match retour contre la Gambie. Les poulains de Michel Dussuyer n'ont pu réussir à sortir la tête du jeu.
En l'absence de Stéphane Sessegnon, capitaine emblématique de l'équipe nationale, les Ecureuils ont su tenir le coup durant les 45 premières minutes. Malgré la légère domination gambienne, Steve Mounié a pu sur un centre de Séidou Barazé trouver la faille de la défense gambienne par une reprise de la tête. Inscrivant ainsi le premier but de la partie. Les deux équipes n'ont pu améliorer le score jusqu'à la fin de la première partie du jeu.
La deuxième partie du match a été profitable pour aux Scorpions de la Gambie qui ont cherché les failles défensives des Béninois pour prendre leur revanche.
Les efforts des Écureuils n'ont pu rien donner. Le score est donc resté en faveur des Gambiens qui ont troué trois fois en vingt minutes le fond des filets béninois.
Avec un score de 3 buts contre 1, les Scorpions remportent le match sur les Écureuils.
G.A.
Le ministre de l'énergie, Dona Jean-Claude Houssou, en présence des autorités communales et préfectorales du département du Plateau, a officiellement procédé à la mise en service de la ligne 161 KV qui relie Onigbolo à la ville de Parakou dans le nord, ce vendredi 16 novembre 2018.
Pour le ministre de l'énergie, la mise en service de cette ligne vient révolutionner les habitudes dans l'alimentation du nord-Bénin en énergie électrique. Pour alimenter le nord du Bénin avec l'énergie qui venait du Nigéria, rappelle Dona Jean-Claude Houssou, il fallait d'abord aller au Togo en rentrant par le sud, passer d'abord par le nord-Togo avant de rentrer dans le nord-Bénin nord. Mais tout ceci est désormais du passé car, avec la nouvelle ligne, plus besoin d'emprunter ce chemin, s'est-réjoui Dona Jean-Claude Houssou.
Le directeur des opérations de la Banque mondiale pour le Bénin, Pierre Laporte a réaffirmé à cette occasion, la volonté de l'institution financière à accompagner le gouvernement du Nouveau Départ dans sa politique de lutte contre la pauvreté. « L'énergie permet de booster l'économie, et qui parle d'une bonne santé de l'économie d'un pays, parle du développement », a-t-il souligné.
Très heureuses de la mise en service de l'ouvrage, les autorités communales et préfectorales du Plateau ont exprimé leur reconnaissance au président Patrice Talon. Selon ces autorités, le gouvernement par cet acte, vient de donner un coup de pouce au développement des localités concernées et par ricochet, au développement du Bénin. « Le développement industriel d'un pays passe par la disponibilité permanente de l'énergie électrique en qualité et en quantité », ont-elles souligné.
La réalisation de cette infrastructure électrique a reçu le soutien financier de la Banque mondiale.
F. Aubin AHEHEHINNOU
Démarré le 14 Novembre 2018, l'atelier national de formation sur la norme internationale ISO 45001 version 2018, a connu son épilogue vendredi dernier à Cotonou. Présidée par le Directeur de Cabinet du ministère de l'Industrie et du Commerce, la cérémonie de clôture a été l'occasion pour les participants de recevoir leurs attestations.
Axée sur le système de management de la santé et de la sécurité au travail, cette formation organisée sous la direction du ministère de l'Industrie et du Commerce avec le financement de l'Union Européenne, entre dans le cadre du programme système qualité de l'Afrique de l'Ouest. Il s'agit d'un appui à la mise en œuvre de la politique qualité de la Cedeao.
« Cette formation apportera l'assurance d'une vision pragmatique de l'ISO 45001 version 2018, de sa compréhension et de son application », a expliqué le Directeur de Cabinet du Ministre de l'industrie et du commerce.
Ce qui témoigne de l'importance de cet atelier de renforcement de capacités. Philéas Yvon Martial Patinvoh confirme que « La certification revêt pour le Bénin un caractère hautement prioritaire dans la mesure où elle constitue un gage pour l'accès facile de nos produits aux marchés régionaux et internationaux ».
Le représentant du ministre espère que cette formation soit une référence qui permettra aux bénéficiaires d'aider les organismes à procurer des lieux de travail sûrs et sains, d'éviter les traumatismes et pathologies liés au travail et d'améliorer en continu les performances en santé sécurité au travail.
Anicet Babatoundé Aniambossou, de l'Agence Nationale de Normalisation de la Métrologie et du Contrôle de Qualité affirme qu'il s'agit d'une opportunité pour le Bénin. Soulignant que cet atelier permettra au pays d'accéder à cette nouvelle norme qui a été diffusée seulement en Mars 2018, il se réjouit que « C'est la toute première formation au niveau de l'Afrique de l'Ouest ».
« Suite à ces trois jours de formation et après l'évaluation, je peux dire que le niveau est acceptable. Au lieu de faire une formation seulement sur les exigences, nous sommes allés plus loin pour donner les outils nécessaires aux participants de pouvoir démarrer l'implémentation de cette nouvelle norme dans cette structure qui garantit désormais la santé et la sécurité des travailleurs dans les entreprises », a souligné l'Expert en management Qualité et Organisations.
Le représentant de l'Union Européenne, fait comprendre que cette formation entre dans le cadre de la ‘'politique nationale qualité'' financée par l'UE. Représentante des récipiendaires, Salimath Raïmi Dendé, de la société ‘'Jehovah Nissi Petrolum SA'', dira que « Désormais, nous sommes mieux outillés pour implémenter la norme 45001 version 2018 systèmes de management de la santé de la sécurité au travail. Nous tenons à vous remercier pour cette formation et nous espérons que ça ne sera pas la dernière, en la matière ». Elle invite « les structures et organisations qui n'ont pas pu participé à cette formation de bien vouloir se rapprocher de l'ANM pour prendre le prochain rendez-vous ».
Giscard A
8 jours, 29 représentations avec 12 spectacles d'attraction, 6 grandes villes. Tel est le pactole qu'offre l'équipe dirigée par Eric-Hector Hounkpè. Le Fitheb 2018 qui marque sa 14ème édition n'est plus un doute, c'est une réalité.
Le Bénin est depuis ce vendredi la destination de plusieurs acteurs du théâtre de la sous-région.
Les fans de l'art théatral vivent déjà l'événement. Consacré au « Théâtre et Engagement Civique et Social pour un Développement Durable au Bénin, en Afrique et dans le Monde », le Fitheb 2018 marque un nouveau tournant dans la promotion du théâtre africain notamment béninois. Loin d'être un festival de plus, la 14ème édition sera un réel porte-étendard du théâtre béninois qui se veut un théâtre moderne et exportable. Eric-Hector Hounkpè entend marquer à travers ce festival son passage à la tête du Fitheb. Même si tout semble rester en secret jusqu'au grand jour, la trempe des personnalités et la qualité promise des prestations, révéleront les talents de l'artiste comédien béninois. Même si le directeur du Fitheb semble être convaincu que « La particularité est que de plus en plus le théâtre n'est plus perçu uniquement comme un art mais davantage comme instrument de communication », le théâtre béninois doit davantage se révéler au monde. Si les acteurs sont connus individuellement, leurs œuvres sont loin de battre le record promotionnel. L'édition 2018 de Fitheb se veut donc, le cadre de la mise sur orbite des prestations des comédiens béninois.
C'est aussi le lieu de faire découvrir aux populations, les grands talents de théâtre international qui honoreront le rendez-vous de Eric-Hector Hounkpè.
Le comédien pense faire du théâtre béninois, un théâtre de développement. Erick-Hector Hounkpè, met ainsi en exergue le rôle primordial du théâtre, celle d'une profession qui nourrit son homme car pour lui, les artistes doivent à travers leur art, sortir de la précarité sociale puisque dans un passé récent, il était clairement dit que cet art ne nourrit pas son homme.
C'est donc parti pour le théâtre béninois qui plus que jamais marquera les esprits au cours de cette 14ème édition portant les griffes d'un grand artiste nommé Éric-Hector Hounkpè. Plus de doute puisque le programme reste spécial vu la diversité de son caractère.
Le virage est rassurant et les porteurs des idées savent les défendre aisément.
Un théâtre, un festival, une révélation, la marque déposée et le bateau accoste avec les innovations.
La 14ème édition, c'est aussi cela. Il faut savoir donc le conter. C'est simplement une marque déposée à Iso 2018.
Giscard AMOUSSOU
La ville de Parakou va abriter du 1er au 27 décembre 2018, la 2ème édition de sa Foire Internationale. Pour cette édition plusieurs innovations sont notées dont la mise à disposition d'une connexion internet wifi par la ministre de l'économie numérique et de la communication, Aurélie Adam Soulé Zoumarou, pour couvrir tout le périmètre de l'événement.
Après la réussite de la première édition en 2017, les initiateurs de la Foire Internationale de Parakou (FIP) entendent organiser un événement de taille cette année. La nouvelle innovation est celle de l'intégration des technologies.
La ministre de l'économie numérique et de la communication, Aurélie Adam Soulé Zoumarou, met à la disposition du FIP 2018 une connexion internet Wifi qui va couvrir tout le périmètre de l'événement. Ce qui va faciliter aux différents acteurs la communication, les échange et aussi les ventes à travers les TIC.
Aussi, cette démarche permettra-t-elle de faire connaître le festival au-delà des frontières béninoises et de participer à distance à l'évènement.
Aurélie Adam Soule Zoumarou témoigne ainsi de sa volonté à faire développer le Bénin à travers les TIC en mettant la connexion internet à la disposition des populations même celles des régions lointaines.
Akpédjé AYOSSO
Le Conseil d'administration du Port autonome de Cotonou (PAC) s'est réuni en session le 15 novembre 2018. Il a approuvé d'importants documents dont le projet de budget 2019 et le plan d'investissements de l'entreprise.
Le communiqué de presse rendu public par le directeur du Port autonome de Cotonou, à l'issue de la session, indique que le budget du port exercice 2019 est évalué à 48 milliards de francs CFA, et le plan d'investissements fixé à 300 milliards de FCFA.
Le plan d'investissements vise le repositionnement et la modernisation du port de Cotonou. Il permet d'avoir une vue sur l'orientation des actions stratégiques qu'entendent menés les dirigeants conformément à la vision du gouvernement.
Le directeur général du Port autonome de Cotonou, Joris Thys, remercie le chef de l'État pour son soutien, ainsi que la disponibilité sans faille du ministre des transports.
Avec l'adoption de ces instruments, le Port autonome de Cotonou entre dans la dynamique de la modernisation.
G.A.
Le Contre Amiral, Patrick Jean Baptiste Aho est désormais aux commandes des Forces armées béninoises.
La cérémonie officielle de passation de charge s'est déroulée, vendredi 16 novembre 2018, à l'État-major Général des Forces armées béninoises. Elle a connu la présence du ministre chargé de la défense nationale, Fortunet Nouatin ainsi que des hauts gradés de l'armée béninoise.
Le Général Laurent Amoussou a officiellement passé le témoin à son successeur Patrick Jean-Baptiste Aho.
Le nouveau Chef d'État-major Général a pour mission de conduire les destinées de l'armée béninoise.
Akpédjé AYOSSO
Dans le cadre de la 14ème édition biennale du Fitheb, plusieurs spectacles sont prévus pour ce samedi 17 novembre 2018, dans les villes du Bénin. L'agenda de ces spectacles se présente comme suit :
• Lokossa
Maison du peuple : « Mon père est un Comique »
• Abomey
Lycée Houffon : « 7 Milliards de voisins »
• Parakou
Institut Français : « Chemins de fer-Haïti »
• Natitingou
Espace TV5 : « La honte du prétexte ou une leçon de calcul ».
La 14ème édition du Festival international de théâtre du Bénin se déroule du 16 au 24 novembre 2018, dans 06 grandes villes à travers 75 représentations.
Akpédjé AYOSSO
Les Écureuils du Bénin à Banjul dans le cadre du match Bénin-Gambie ont fait ce vendredi 16 novembre 2018, la traditionnelle séance de reconnaissance de la pelouse.
Les 21 joueurs Écureuils convoqués par le sélectionneur Michel Dussuyer se sont entraînés dans l'après-midi de ce vendredi, veille du match entre le Bénin et la Gambie. Ils ont ainsi fait la reconnaissance de la pelouse du stade de l'indépendance de Bakau.
Le joueur Marcellin Koukpo, blessé mercredi dernier, au cours de l'entraînement à Cotonou, a repris du service. Quant à Olivier Verdon, il a retrouvé sa forme.
Au terme de la séance, Jordan Adéoti, Michael Poté et Michel Dussuyer ont promis tout donné, ce samedi 17 novembre, pour un bon résultat devant les Scorpions de la Gambie.
Akpédjé AYOSSO
L'association « Libre Afrique Bénin » organise un concours d'essai intitulé « Ecrire la liberté » pour rendre hommage à l'ancien Directeur de publication du journal “La Croix du Bénin“, André Quenum. Ce concours a été officiellement lancé samedi 10 novembre 2018, au Centre Paul VI à Cotonou, quatre ans après le rappelle à Dieu du père Quenum.
« Ecrire la liberté ». C'est l'intitulé du concours lancé par l'association " Libre Afrique Bénin", destiné aux étudiants, jeunes professionnels, acteurs de la société civile âgés de 35 ans au plus. Ils devront écrire un essai de mille (1000) mots maximum en français sur un thème relatif à l'actualité portant sur la défense des idées de la liberté (droits individuels, libertés politique et économique, démocratie, société civile, entrepreneuriat, valeurs libérales, etc.) pour répondre à une problématique liée à la liberté.
Cette première édition en hommage à un professionnel de la plume, un modèle dont l'engagement pour le triomphe de la vérité force l'admiration, le Père André Quenum.
Ce concours ayant reçu le soutien de la Fondation Atlas et Audace Institut Afrique, entre dans le cadre de l'animation et la promotion de la plateforme " www.libreafrique.org". Il s'agit d'une plateforme de libre expression et utile à toute personne voulant contribuer au développement de l'Afrique à travers des idées, des analyses et des propositions.
Le président de « Libre Afrique Bénin », Eugène Aballo, souligne qu'à travers ce concours, il est question de stimuler et d'encourager les jeunes à des réflexions nouvelles et audacieuses. Son organisation a déjà eu selon lui à mener des activités en faveur de la promotion des droits humains, des libertés individuelles, la liberté économique et la paix en Afrique.
Le séminaire d'été, « La liberté : antidote à l'extrémisme violent », la caravane de la liberté sont entre autres des acquis de « L'Afrique libre Bénin ».
Actuel directeur de publication du journal « La Croix du Bénin », le père Serge Bidouzo, n'a pas manqué de dire sa joie pour cette initiative. Selon lui, le feu Père André Quenum a été un exemple et un modèle.
Le premier Prix “André Quenum est constitué d'un trophée et chèque de 300 000 FCFA, le deuxième Prix “Frédéric Bastiat“ : 200 000 FCFA et le troisième Prix “Libre Afrique Bénin“ : 100 000 FCFA.
Précisons qu'à l'issue de ce concours, il y aura au total 20 nominés. Ces derniers qui seront faits ambassadeurs de la liberté bénéficieront d'une formation
Tout dossier de candidature comportant une présentation biographique, un curriculum vitae, une copie de la carte d'identité et les coordonnées du candidat doit être envoyé par email à contact@libreafrique.org et libreafrique.benin@gmail.com, au plus tard le 30 novembre 2018.
Les lauréats seront connus le 05 décembre prochain et recevront leurs prix le 10 décembre 2018 au cours d'une soirée de gala.
Les journalistes professionnels ne doivent pas y participer.
Giscard A.
Après l'instruction du procureur de la République contre le déversement des ordures sur les voies publiques, cinq individus ont été placés sous mandat de dépôt, jeudi dernier.
Le Procureur de la République près du Tribunal de première instance de première classe de Cotonou, après avoir mis en garde ceux qui se rendraient coupables de faits de pollution vient de passer à la phase répressive. Suite à leur interpellation et les auditions, les inculpés ont été mis sous mandat de dépôt. Deux individus sont accusés d'avoir déversé les vidanges de fosses septiques dans des caniveaux et les trois autres auraient déposé des ordures ménagères dans des domaines publics.
Une douzaine de personnes sera bientôt présentée au procureur Elonm Mario Mètonou pour pollution de l'environnement.
La lutte contre la dégradation de l'environnement a ainsi pris une bonne place dans les actions justice. Cette volonté affichée qui entre dans sa phase active permettra de préserver l'environnement et obliger chaque ménage à avoir les bons réflexes et en s'abonnant aux structutes de collecte des ordures et de gestion des déchets solides.
G.A.
Dans le cadre de la 14ème édition biennale du Fitheb, plusieurs spectacles sont prévus pour ce vendredi 16 novembre 2018. Il s'agit des spectacles :
« Touch My Body, Don't Touch My Body », à 20 heures à l'espace Ouadada de Porto-Novo
« Je suis Charlotte », du Cameroun à 16 heures à la salle de Ftheb à Cotonou
« 7 Milliards de voisins », du Bénin à 16 heures à l'EITB de Cotonou
« La Tragédie du Roi Césaire », du Bénin à 20 heures à Artistik Africa, Cotonou
« Mon père est un Comique », du Bénin à 20 heures au Palais du roi Ghezo à Abomey
« Palabres de Cordonnier », du Togo à 20 heures à l'institut Français de Parakou
« Qui es-tu, toi qui m'entraînes ? », conte musical de la Côte d'Ivoire, à 20 heures à l'Espace TV5 de Natitingou
« Yékou, Le Conte Chez nous », du Bénin à 20 heures au Ciné Bopessi à Natitingou.
La 14ème édition du Festival international de théâtre du Bénin se déroule du 16 au 24 novembre 2018, dans 06 grandes villes à travers 75 représentations.
Akpédjé AYOSSO
Le directeur du Fitheb Erick-Hector Hounkpè a lancé la 14ème édition biennale du festival à Cotonou, ce vendredi 16 novembre 2018, par une table ronde axée sur le thème : « Théâtre et Engagement Civique et Social pour un Développement Durable au Bénin, en Afrique et dans le Monde ». Le premier panel de cette table ronde qui s'est tenu à la salle du Fitheb a été animé par Carole Lokossou et Ousmane Alédji. Elle a connu la présence des acteurs du théâtre, des journalistes de l'UEMOA, des directeurs des institutions ainsi que des élèves du Lycée Coulibaly.
Co-présidé par l'inspecteur Apollinaire Agbazahou et Pr Jean-Claude Hounmènou, le premier panel de cette table ronde porte sur : « Théâtre et Engagement Civique et Social pour un Développement Durable au Bénin ».
Après une installation poétique, le directeur de Fitheb, Erick-Hector Hounkpè a procédé au lancement de la table ronde.
Dans son allocution, il a relevé l'importance de la tenue de cet échange entre les professionnels du métier. Selon lui, ce thème a été choisi dans un contexte où ces deux dernières années au Bénin, en Afrique et dans le monde, les genres théâtraux se sont développés. En plus du théâtre classique ou celui majestueux, les petites formes de théâtre s'y sont ajoutées.
Théâtre, un instrument de communication
« La particularité est que de plus en plus le théâtre n'est plus perçu uniquement comme un art mais davantage comme instrument de communication », a-t-il précisé.
Le directeur du Fitheb a cité en exemple le théâtre dit de développement, de forum, d'intervention sociale pour un changement de comportements, populaires, et le docu-théâtre ou théâtre documentaire voire le théâtre radiophonique. Il a également énuméré le théâtre de sensibilisation qui est observé de plus en plus au Bénin et en Côte d'Ivoire.
Avec ces formes de théâtre explique-t-il, les artistes sortent de la précarité sociale car dans un passé récent, il était clairement dit que cet art ne nourrit pas son homme.
A travers cette 14ème édition du Fitheb, souligne Erick-Hector Hounkpè, il est primordial d'échanger autour de cette question fondamentale car si le théâtre est une profession, il doit nourrir son homme.
Théâtre, engagement civique et social
« L'engagement civique, c'est toute forme de prise de parole qui amène à parler d'un fait de société, des problèmes dans le but d'aider la nation à les résoudre », a affirmé Carole Lokossou. Selon elle, l'engagement civique et social vont de pair puisque ce sont les humains qui animent le théâtre.
Le développement durable prend en compte l'humain et l'environnement dans lequel il évolue, et est axé sur chaque communauté, localité, pays continent avant d'être planétaire.
« Lorsqu'on parle du théâtre, engagement civique et social pour un développement durable, ça signifie que c'est forcément ce théâtre qui en étant universel s'inscrit dans la spécificité de l'endroit où il est pratiqué », a-t-elle déclaré.
Plus spécifiquement, poursuit Carole Lokossou, c'est ce théâtre qu'on retrouve à la radio, à la télévision, à l'ouverture des forums, des colloques et qui, est fait par rapport aux problématiques béninoises que cela soit dans le domaine de la santé, environnement, politique et autres.
Elle a cité en exemple l'Ensemble Artistique et Culturel des Etudiants du Bénin (Eace) qui fut la première institution à aller vers ses formes de théâtre d'engagement civique. A cette période de la révolution, explique-t-elle des groupes de femmes et d'hommes se sont levés pour dénoncer, poser les problèmes de la République. Un genre que presque tout le peuple a apprécié.
« Aujourd'hui que nous sommes en démocratie c'est plus facile d'en parler », s'est-elle réjouie. Carole Lokossou a aussi soulevé la problématique de la mobilisation du public.
Pour elle, il faut que le public vienne au théâtre puisque sans celui-ci on ne peut parler de théâtre. Elle suggére comme solution la forte médiation, la sensibilisation dans les classes et la formation du public à la base. « Mon rêve aujourd'hui, c'est que le public vienne voir notre théâtre », a-t-elle souhaité.
‹‹Tout spectacle n'est pas théâtre...››
Quant au metteur en scène Ousmane Alédji, il a caricaturé l'engagement civique comme le contraire de l'indifférence. Selon lui, les acteurs du théâtre tels que : l'écrivain, le metteur en scène, le décorateur et autres, ont chacun un niveau d'engagement civique qui se transpose dans leur travail.
Le théâtre quand il est fait suivant ses règles est transversal. Il a fait part du texte de Césaire qui depuis les années 63 continue de transmettre une leçon.
« L'art c'est le lieu par excellence de la subtilité, ce n'est pas de l'hypocrisie. La manière de dire les choses, c'est ça qui fait la création. Il faut que nos créations nous ressemblent », a-t-il martelé.
Le panéliste a fait la nuance selon laquelle « Tout spectacle n'est pas théâtre mais tout ‘'théâtre'' est spectacle », ceci étant, il faut que le public sache mériter le théâtre.
La table ronde s'est poursuivie sur le même thème mais axée sur l'Afrique et le monde.
Elle prend fin ce samedi 17 novembre 2018, avec les animateurs comme Eric Adja et Florent Couao-Zotti.
La 14ème édition biennale du Fitheb à Cotonou, c'est à travers 29 représentations avec 12 spectacles d'attraction.
Akpédjé AYOSSO
Conformément aux dispositions de la loi N°90-019 du 27 juillet 1990 fixant les fêtes légales en République du Bénin, la journée de mardi 20 novembre 2018 est déclarée fériée, chômée et payée sur toute l'étendue du territoire national. C'est l'essentiel du communiqué radio télévisé du ministre du travail et de la fonction publique en date de ce vendredi 16 novembre 2018 et signé du directeur de cabinet, Dieudonné C. Assogba,.
F. A. A.
Il se tient depuis jeudi et ce pendant deux jours, un colloque sur l'art culinaire traditionnel du Bénin à Grand-Popo.
Organisé par le festival « Zâ » et l'agence Africa Ict, ce colloque rassemble plusieurs acteurs de la gastronomie béninoise.
Valoriser l'art culinaire béninois et promouvoir à travers ceci les richesses touristiques dont regorge le Bénin. C'est la vision du Gloria Kuessi Govor, promotrice du Festival « Zâ » à travers cette rencontre pour la promotion de la gastronomie béninoise. Selon elle, il s'agit d'un réel plaisir d'apporter sa touche pour la promotion de l'art culinaire béninois. C'est aussi important avoue-t-elle de participer d'une certaine manière à la vision du gouvernement visant à révéler la destination Bénin à travers la culture et le tourisme.
Ainsi, du 15 au 16 novembre 2018, la commune de Grand-Popo devient le siège des réflexions de consultants du secteur du patrimoine, du tourisme et des arts culinaires. Il s'agira pour ces acteurs au cours de leur rencontre de valoriser l'offre culinaire béninoise notamment les secrets que cache le maïs.
A travers le thème « L'art culinaire comme outil de développement durable et touristique : le maïs et son importance au Bénin », les acteurs vont axer leurs réflexions sur la synergie d'actions pour l'atteinte de l'Odd 2 relatif à la lutte contre la faim.
La touche particulière prônée à travers ce colloque met en valeur les différentes formes d'usage du maïs, l'une des céréales cultivées un peu partout sur le territoire national.
Il s'agit d'une plateforme de rencontre, d'échanges fructueux et de partage d'expériences qui vient d'être installée en vue de projeter une forte lumière dans les zones d'ombre de l'art culinaire notamment le maïs.
Cette céréale selon le directeur du Fonds des arts et de la culture (Fac), est chargée de récits éloquents sur son importance et constitue une vecteur de communication très puissant, surtout quand on a recours aux réalités des couvents.
« Nous qui sommes ici, nous n'avons pas choisi de consommer le maïs. Nous nous sommes découvert de consommer le maïs. Il s'est imposé à nous », expliqué Gilbert Déou Malè. Selon lui, « en dehors de sa capacité de nous nourrir, le maïs nous permet de retracer notre histoire ».
Il se dit prêt à soutenir les initiatives du genre qui font de la culture le pilier du tourisme qui est la vision que prône le gouvernement.
Se réjouissant de ces assises qui se tiennent dans sa commune, le maire de Grand Popo salue l'initiative et les acteurs qui ont su mettre l'accent sur le maïs. Anani Hlondji salue l'initiative qui non seulement permettra de connaître les différentes formes de préparation du maïs mais aussi offrira à certains le moment de vivre les richesses de la commune de Grand-popo.
Le colloque s'est tenu grâce à l'organisatrice du festival « Zâ » et l'agence Africa Ict.
G.A.
La répression des motos non immatriculées reprend le 1er décembre prochain selon le moratoire accordé aux motocyclistes par le ministre de l'intérieur et de la sécurité publique. A quelques jours de cette date, le directeur général de l'Agence nationale des transports terrestres (Anatt), Thomas Agbéva, lors d'une conférence de presse dans la matinée de ce vendredi 16 novembre 2018, a porté à la connaissance du public que plus de 500 000 motos manquent encore à l'appel. « Si nous faisons une statistique cumulée de ce que nous sommes venus retrouver au 31 décembre 2015, et ce qui est fait de 2016 jusqu'à la date d'aujourd'hui, nous sommes à 507 315 dossiers d'immatriculation », a-t-il informé. Ce qui laisse supposer selon Thomas Agbéva que, par rapport à la valeur cible de 1 million, on est aujourd'hui à 50,7%. Pour lui, ce taux d'exécution est encore loin du compte.
Au sujet des motos qui ne disposent d'aucune pièce d'identification, le directeur général de l'Anatt renseigne que ces motos peuvent désormais être aussi immatriculées moyennant entre autres, une fiche de déclaration de perte des documents liés aux motos.
Outre le certificat de perte, les propriétaires de ces motos doivent également prendre au niveau des commissariats, l'acte de témoignage qui doit aller avec au moins deux témoins.
Par rapport aux motocyclistes ayant régulièrement rempli les formalités et dont les plaques ne sont pas encore disponibles, Thomas Agbéva indique qu'il leur suffira de présenter la quittance de demande d'immatriculation à l'occasion des contrôles. Les autorités en charge de l'établissement des plaques d'immatriculation, rassure-t-il, sont à pied d'œuvre pour leur livraison à bonne date.
F. Aubin AHEHEHINNOU
Le président de la Commission électorale nationale autonome (Cena), Emmanuel Tiando, à la tête d'une délégation s'est rendu au siège du Conseil d'orientation et de supervision de la Liste électorale permanente informatisée (Cos-Lépi) dans la matinée de ce vendredi 16 novembre 2018. L'objectif de cette visite est de s'enquérir de l'évolution du processus d'actualisation du fichier électoral.
Par rapport aux rôles des deux institutions dans l'organisation des élections, Emmanuel Tiando, a souligné que le Cos-Lépi et la Cena sont les deux mamelles dont un enfant a besoin pour sa croissance.
Pour lui, les missions des deux institutions sont complémentaires et donc, doivent travailler ensemble.
Le président du Cos-Lépi, Janvier Yahouédéou, a remercié son hôte pour cette visite qui, selon lui, n'est que l'accomplissement d'une promesse. Faisant le point des activités au président de la Cena, il a informé que tous les documents de la dernière opération d'affichage de la liste sont revenus à l'Agence nationale de traitement (Ant), qui est le bras technique du Cos-Lépi.
Les travaux à l'étape actuelle, sont consacrés au dépouillement et de mise à jour de la base de données, a ajouté le président du Cos-Lépi.
La prochaine étape prévue pour le début du mois de décembre prochain, poursuit-il, sera consacrée aux empreintes et photos à prendre sur le terrain chez les nouveaux inscrits dans le fichier électoral ainsi que les oubliés.
Suivra enfin les phases de dédoublonnage et d'impression des cartes d'électeur. Janvier Yahouédéou a évoqué un problème majeur qui bloque les activités au niveau du Cos-Lépi. Il s'agit des coupures intempestives de courant. Mais la liste rassure-t-il, sera remise à temps.
Convaincu du point fait par le président du Cos-Lépi, Emmanuel Tiando a déclaré que les deux structures mèneront une démarche collective auprès du gouvernement pour résoudre les différents problèmes.
F. Aubin AHEHEHINNOU