24 Heures au Bénin

Une messe a été dite le samedi 27 juillet 2019 à l'intention de feu Marcel Alain de Souza à l'église St Sulpice de Paris au 6ème. Des béninois résidents en France ont marqué de leur présence cette messe qui a été dite pour le repos de l'âme de l'ancien ministre du développement et de la prospective. Dans leur rang, on pouvait compter l'ex maire de la ville de Cotonou, Léhady Soglo et son épouse, l'ancien député Valentin Djènontin, l'ancienne ministre de l'agriculture Fatoumata Amadou Djibril, l'homme d'affaires Sébastien Ajavon et plusieurs autres personnalités.
Rappelons que l'ancien Ministre du développement Marcel de Souza est décédé le 17 juillet dernier des suites d'une crise cardiaque dans sa 66ème année dans la capitale française.
Selon le programme des obsèques, il sera inhumé le 03 août prochain au cimetière de Ouidah sa ville d'origine.

F. A. A.
Les images de quelques personnalités présentes à l'église St Sulpice de Paris

Intronisé en janvier dernier, le roi Kêfa Sagbadjou Glèlè a été officiellement installé ce samedi 27 juillet 2019. La céémonie riche en couleurs a eu pour cadre, l'esplanade du musée historique d'Abomey.

Selon le président du comité d'organisation, Blaise Ahanhanzoglèlè, à travers l'investiture du nouveau roi de Danhomey, c'est plus de 400 ans d'histoire de l'humanité, singulièrement celle des hommes et des femmes de Danhomey qui est revisitée, restaurée et valorisée. « C'est la renaissance d'un patrimoine royal religieux, tangible et intangible », a-t-il précisé. Se référant à l'ambition du gouvernement de promouvoir la culture béninoise, le maire de la cité historique d'Abomey, a souligné que « c'est une œuvre gigantesque digne d'un bâtisseur passionné, convaincu que le Bénin ne saurait perdre sa place dans le concert des nations sans la mise en avant de ce qui le distingue, c'est-à-dire sa culture et son patrimoine ».

Bénin : Kêfa Sagbadjou Glèlè nouveau roi d'Abomey https://t.co/k7TTgJ2Zwg pic.twitter.com/6kkUsJIeAD

— RFI (@RFI) January 14, 2019

Satisfait du déroulement de la cérémonie, le ministre de la défense, Alain Nouwatin, représentant le chef de l'Etat dit avoir assisté à quelque chose de grandiose empreinte de solennité et qui montre la richesse culturelle des ‘'danhomènous'. Le président Patrice Talon, informe le ministre, a suivi de près du début jusqu'à la fin, toutes les étapes de la préparation de la cérémonie d'installation. Le Programme d'actions du gouvernement (Pag), renseigne-t-il, a la culture comme épine dorsale mérite d'être révélée. « Même les danses cultuelles, on va les débarrasser de leur aspect cultuel pour en faire une animation culturelle », a confié Alain Nouwation. Pour lui, cette économie durable est intarissable, pour laquelle on ne peut pas assister à l'investiture d'un roi qui passe de façon anodine.

F. A. A.

L'international béninois, Jodel DOSSOU vient de signer un contrat de 02 ans avec le club Hartberg de première division en Autriche.
Durant les deux prochaines années, le milieu de terrain béninois aura à défendre les couleurs du club Hartberg de première division pour la Bundesliga.
F. A. A.

Des individus non encore identifiés ont opéré un braquage ce samedi 27 juillet 2019, dans le département des Collines. Ils ont réussi à déposséder des passagers de la somme de 4 millions de francs CFA à Ekpa, une localité de Kilibo, dans la commune de Ouessè.
Ce braquage fait suite à un autre déjoué dans la matinée dans la région septentrionale du pays.
La police républicaine a ouvert une enquête.

F. A. A.

Plusieurs dizaines d'opérateurs économiques des pays africains et asiatiques négocient depuis vendredi à Cotonou des contrats de partenariat en vue des échanges commerciaux dans leurs pays respectifs, a constaté Xinhua sur place.
Du côté africain, il s'agit notamment des opérateurs économiques venus du Bénin, du Togo, du Sénégal, du Burkina Faso, du Ghana, du Niger et du Maroc ; et du côté asiatique, il y a des opérateurs venus de l'Inde, de l'Iran, du Pakistan et de la Chine.
"Cette rencontre B to B programmé dans le cadre de la 12ème édition de la Foire de l'Indépendance du Bénin, nous permet de nouer des contacts de partenariats avec nos homologues venus des pays d'Asie en vue de promouvoir nos échanges commerciaux", a confié à Xinhua, Mahamadou Dieng, un opérateur économique sénégalais, spécialisé dans le commerce des matériaux de construction.
Interrogé par Xinhua, le directeur de l'Agence de Promotion des Investissements et des Exportations, Laurent Gangbes, a estimé que cette foire de l'Indépendance du Bénin, participe à la promotion des exportations et des investissements.
D'après lui, cette foire s'inscrit dans la droite ligne des objectifs du gouvernement béninois de faire des activités commerciales un moteur d'accélération de la croissance économique et de création de richesse et d'emplois, de la dynamisation des échanges commerciaux, du renforcement de l'intégration commerciale régionale et internationale, du développement de l'esprit d'entreprise et du renforcement de la compétitivité des entreprises béninoises sur le marché international.

http://french.xinhuanet.com/afrique/2019-07/27/c_138261468.htm

L'ancien maire de la commune d'Abomey-Calavi, Patrice Houssou-Guèdè est désormais membre du parti Bloc Républicain de la mouvance présidentielle. Il l'a officiellement marqué ce samedi 27 juillet 2019 à travers une déclaration.
« Nous appartenons désormais au Bloc Républicain et comptons y rester pour toujours », a déclaré le président de Pur (Parti pour l'union républicaine).
Selon lui, cette adhésion n'est pas un fait nouveau. « Le Bloc Républicain, c'est la maison de Pur », a-t-il déclaré avant de souligner que ce parti était un ouvrier de première heure à l'avènement du Bloc Républicain. Alors que les militantes et militants Pur s'apprêtaient à aller au congrès constitutif du Bloc Républicain à Parakou, rappelle Patrice Houssou-Guèdè, ils ont dû se retirer pour des raisons de conflits de leadership pour laisser libre cours à l'arrivée d'un parti qui en fin de compte, a pris ses liberté. Le Pur, rassure-t-il, n'a jamais quitté de cœur le Bloc Républicain.
Le retour dans la famille des Républicains, selon l'ancien maire d'Abomey-Calavi, est la conclusion d'une réflexion qui s'est poursuivie après le rendez-vous manqué de Parakou. Profitant de l'occasion, il a réaffirmé son appartenance à la mouvance du président Patrice Talon depuis les dernières élections présidentielles. « Nous étions déjà là depuis le second tour de l'élection présidentielle de 2016 à travers la coalition de la Rupture », a rappelé l'ex colonel des douanes.

F. A. A.

Le nouveau bureau du Conseil national du patronat de la presse et de l'audiovisuel (Cnpa-Bénin) est élu au terme de l'Assemblée générale ordinaire qui a eu lieu ce samedi 27 juillet 2019 à Kandi. Evariste Hodonou, promoteur du journal Tribune de la capitale est élu président du CNPA-Bénin pour un mandat de 03 ans.
Ils sont 19 patrons de presse au sein de ce nouveau bureau du Cnpa-Bénin dont Saturnin Hounkpè, 1er vice-président, Rodrigue Azinnongbé 2eme vice-président et Fortuné Assogba réélu au poste de Secrétaire général.
Les autres membres sont entre autres Maliki Lalèyè, Sébastien Guidi, Euloge Okanbawa, Fataou Amoussa et Evelyne Quenum.
L'Assemblée générale qui vient de se tenir connaît l'opposition de certains membres du Conseil qui exigent un audit de la gestion du bureau sortant.

A.A.A

Deux camions gros porteurs sont entrés en collision samedi 27 juillet 2019 à hauteur de Dan dans la commune de Bohicon. Selon les témoins, aucune perte en vie humaine n'a été enregistrée, mais les dégâts matériels sont importants.
Du fait de cet accident, la voie Bohicon-Dan, selon les mêmes témoins, a été bloquée à la circulation pendant plusieurs heures.

F. A. A.

(Par Roger Gbégnonvi)

​Un vieillard sec. Sans âge. Nonagénaire peut-être. Encore bon pied bon œil à cause de son régime alimentaire spartiate. Prévoyants, ses enfants et petits-enfants l'ont amené à recevoir le baptême catholique après trois mois de catéchisme personnalisé et accéléré. Ainsi, à l'heure ultime, ils goûteront au plaisir de la modernité de la messe corps-présent pour l'aïeul. Celui-ci, à qui l'on avait dû forcer la main, avait néanmoins obtenu des siens un délai de réflexion avant d'accéder à l'Eucharistie. Il ne fut donc pas surpris lorsque, sept mois plus tard, son petit-neveu, prêtre, vint le relancer. La tête du jeune homme émergeait d'une onde de robe longue à la blancheur interminable. Le vieil homme le fit assoir et lui parla.
​Malgré ce que tu es devenu, tu connais notre bon sens ici : nous donnons à manger aux mânes et aux vaudous, nous ne les mangeons pas. Votre façon de communier avec les esprits supérieurs me semble sorcière. Je ne m'y engage pas. Et je ne perds rien à ne pas m'y engager, car c'est toi-même qui m'as assuré que, avec le baptême, je suis outillé pour voir le dieu de tes maîtres après ma mort. Je suis curieux de le rencontrer, mais j'appréhende le tête-à-tête. Je t'explique pourquoi. J'étais jeune, beau et vigoureux quand tes maîtres sont venus ici m'arracher à tout ce à quoi je tenais et m'ont déporté chez eux. Ils tuaient, et moi, je devais tuer à leurs côtés. Ils tuaient et se tuaient comme je ne peux pas te raconter. J'étais dahoméen, mais ils me disaient sénégalais. C'est leur habitude : pour vous ignorer et vous effacer, ils vous réduisent à ce que vous n'êtes pas. Un jour, ils m'ont découvert sous un tas de cadavres dans un long fossé appelé tranchée. Je respirais encore, et ils m'ont ordonné de continuer à tuer. Alors j'ai joué les fous. Ils ont eu peur et m'ont enfermé dans un asile. Un autre jour, ils ont décidé d'arrêter de tuer, m'ont sorti de l'asile et m'ont renvoyé chez moi.
​Ce que je veux dire avec mon histoire, c'est ceci : le dieu de tes maîtres n'est pas un bon dieu. Ses mangeurs n'aiment pas l'homme, ils tuent l'homme en vrac, en ayant enseveli leur dieu dans leur ventre. Car je te le révèle : pendant que là-bas nous tuions l'homme en abondance, tes maîtres n'arrêtaient pas de manger leur dieu. Le cuisinier n'était pas en robe longue comme toi, on l'appelait ‘‘aumônier''. Et l'aumônier leur concoctait la chose, et ils mangeaient leur dieu, et l'aumônier, en plus de le manger avec eux, le buvait aussi à leur santé. Etrange. Etrange. Et ce que je veux ajouter, c'est ceci : moi, tout ce que je mange encore est pour améliorer, s'il se peut, ma vieille santé. Or, de manger et de boire leur dieu sans arrêt n'a point bonifié l'esprit de tes maîtres. Ils tuent toujours l'homme pêle-mêle, tu le sais. Tu sais aussi que, des années après cette vaste tuerie difficile à raconter, fatigués de se reposer, ils ont recommencé à tuer. Et ils sont revenus ici harponner des jeunes gens pour les conduire à l'abattoir. J'avais deux fils aptes, mais à cause de ma folie dissuasive en son temps et à cause de tel-père-tel-fils, ils n'ont pas déporté mes deux fils. Ils ont été prudents.
​Je ne sais rien du dieu musulman. Mais quand on m'empêche de dormir parce qu'on l'adore dans des entonnoirs hurlants et très haut perchés, je sais qu'on en veut à l'homme et que ce dieu là aussi n'est pas un bon dieu. Et si, grâce à la télé que tu m'as offerte, je vois le vent se lever, la mer se lever avec lui, pour émietter les hommes et leurs œuvres, je sais qu'il n'y a pas de bon dieu. Ici, nos zigzags de survie réunis ne font pas un dieu, et c'est bien ainsi. Revenons à tes maîtres : leur dieu n'est pas un bon dieu. Je ne te le dis pas pour que tu les quittes. Tu as voiture jolie, lunettes fines, pommettes lices. J'apprécie. Tu mourras moins maigre que moi. Mais sois bon envers les dieux, n'en mange aucun. Impute-leur, si tu veux, les horreurs du monde, mais à aucun d'eux n'impute la création du monde, car aucun dieu n'est le porteur des péchés du monde. S'Il existe, il ne faut ni accabler ni manger Dieu.

L'affaire PSD (Parti social-démocrate) n'a pas fini de faire parler d'elle. Après la décision rendue jeudi par la Cour d'Appel de Cotonou qui infirme celle en première instance, condamnant le camp Amoussou, c'est le ministre de l'intérieur et de la sécurité publique Sacca Lafia qui forme opposition à l'arrêt avec assignation.
Le ministre Sacca Lafia est contre le verdict de la Chambre civile moderne de la Cour d'Appel de Cotonou dans le procès qui oppose Emmanuel Golou à l'aile de Bruno Amoussou.
L'arrêt n°66/CM/2019 du 25 juillet 2019, rendu par la Cour contre l'aile Amoussou n'est pas du goût du ministre Lafia. Ce dernier signale que cet arrêt lui pose des soucis puisque selon lui, la Cour a statué par défaut.
Le requérant agissant es-qualité du ministère de l'intérieur forme opposition dudit arrêt pour les torts et les griefs que cela lui cause.
Il demande alors d'ordonner le sursis de l'exécution dudit arrêt et sa rétractation en toutes ses dispositions. Selon l'huissier commis, le camp Golou est convoqué devant la Cour le 8 août prochain.
G.A.

Le ministre de la décentralisation, Alassane Séïdou à travers une correspondance en date du 22 juillet dernier, a informé le préfet du département de l'Ouémé qu'il lui est revenu nombre d'irrégularités dans le processus de l'élection du nouveau maire de la commune d'Adjohoun. Cette élection selon le ministre, ne s'est pas déroulée dans les formes rappelées dans son message radio N°540 du 13 juin 2019.
En conséquence, il l'invite à constater par lui-même ces irrégularités par le retrait de son arrêté constatant l'élection dudit maire et à veiller personnellement à la reprise de cette élection conformément aux textes en vigueur.
F. A. A.

Une messe a été dite ce samedi 27 juillet 2019 à l'intention de feu Marcel Alain de Souza à l'église St Sulpice de Paris au 6ème. Des béninois résidents en France ont marqué de leur présence cette messe qui a été dite pour le repos de l'âme de l'ancien ministre du développement et de la prospective. Dans leur rang, on pouvait compter l'ex maire de la ville de Cotonou, Léhady Soglo et son épouse, l'ancien député Valentin Djènontin, l'homme d'affaires Sébastien Ajavon, Médard Koudébi et plusieurs d'autres.
Marcel de Souza est décédé il y a quelques jours dans la capitale française à la suite d'un arrêt cardiaque.
Selon le programme des obsèques, il sera inhumé le 03 août prochain.
F. A. A.

La chaîne privée de télévision TVC Bénin vient de décider d'arrêter ses émissions. C'est la nouvelle annoncée ce vendredi 26 juillet sur les réseaux sociaux à travers un communiqué non daté de la Direction générale. ''En raison de difficultés économiques et financières persistantes, nous avons le regret de vous annoncer la suspension de nos émissions pour une durée indéterminée, et ce, à compter du lundi 29 juillet 2019 à 00 heure'', précise le communiqué. ''Toute l'équipe de TVC Bénin vous remercie de l'avoir accompagnée durant ces merveilleux moments de télévision'', ajoute le message.
TVC BENIN est une chaîne généraliste béninoise créée depuis le 04 Avril 2004.

Le Syndicat national des enseignements publics primaire et maternel (Synaprim) a lancé ce vendredi 26 juillet 2019, un appel à tous les enseignants du primaire et de la maternelle, à sauver les emplois et l'école béninoise en détresse.
Pour ce syndicat, l'évaluation diagnostique décidée par le gouvernement est un plan de licenciement de plus de 18.000 enseignants.
Tout en condamnant ce projet de licenciement, il invite les enseignants à se mobiliser sur toute l'étendue du territoire national pour dire non à cette évaluation.
Le Synaprim invite les enseignants et tous les militants à s'activer dans toutes les manifestations qui s'organisent déjà (réunions, Ag, sit-in, marches, plans pratiques etc) en vue de la réussite du boycott de l'évaluation.
Le Synaprim n'entend pas accepter qu'après plus de 12 ans d'exercice de fonction au service de l'Etat béninois et de son école, qu'on remercie les enseignants en monnaie de singe à travers un soit disant licenciement massif. « Nous rappelons (...) que nous sommes pétris d'expérience avec nos diplômes académiques et professionnels (Bepc, Bac, Ceap, Cap) », souligne le communiqué signé par Frédéric Prodjinoto, secrétaire exécutif national du Synaprim.
Le syndicat invite les enseignants à ''soutenir la résistance et à dénoncer toutes sortes d'intimidations (...)".
L'évaluation diagnostique a été décidée par le gouvernement de la Rupture en vue d'assainir le personnel enseignant dans le cadre de la réforme du système éducatif.

F. A. A.

Les populations de Pèrèrè et environs vivent depuis quelques temps dans la crainte. Dans cette commune située au nord du Bénin, les scènes de braquages, de vols et de meurtres deviennent très fréquentes. Le dernier a eu lieu dans l'arrondissement de Sontou mercredi 24 juillet où des individus non encore identifiés ont enlevé un éleveur exigeant à sa famille la somme de 30 millions FCFA avant sa libération.

Face aux scènes d'insécurité qui surviennent dans la commune de Pèrèrè, les habitants vivent dans la psychose. Selon Christopher Ryan Smith, un américain d'origine devenu Béninois et demeurant à Pèrèrè-Gourou, « il y a quelque chose de particulier qui s'est déclenché tout récemment dans la zone de Pèrèrè/Biro » et environs.
Se confiant à la radio Deeman, il signale qu'en un temps record, des scènes de braquages et de vols se sont multipliées. Christopher Ryan Smith cite « des motos volées dans des maisons à Pèrèrè-Gourou. Des bœufs volés dans la nuit à Pèrèrè-Gourou et à Soubado. Sans compter des braquages à répétition entre Sonsonré et un braque à Ouararou ».
Il mentionne également un « braquage entre Pèrèrè-Gourou et Chein mercredi 24 juillet vers 20h » et « le meurtre, par un bandit, du frère du CA Biro dans ses champs à quelques mètres de la maison familiale il y a quelques mois ».
Faisant aussi part du récent kidnapping avec demande de rançon vers Sontou, il rappelle aussi « l'assassinat d'un vieux de Pèrèrè-Gourou dans ses champs à quelques mètres du centre du village l'année passée ».
« Notre zone n'a jamais connu ce genre de problèmes. Le désordre a surgi tout d'un coup », déclare-t-il.
Habitant à Pèrèrè-Gourou depuis plusieurs décennies, Christopher Ryan Smith se désole du fait que les populations ne peuvent plus effecteur leur déplacement en toute sécurité et même dormir en famille dans la tranquillité.
A.A.A

Lors d'un point de presse animé ce vendredi 26 juillet 2019, le procureur de la République près le tribunal de première instance de première classe de Parakou, Nourou Dine Bakary a informé les professionnels des médias de l'ouverture dès le lundi 29 juillet prochain, de la première session criminelle de l'année 2019.
Au total, 20 dossiers sont inscrits au rôle de cette session. Il s'agit de 3 dossiers d'assassinat, trois de tentative d'assassinat, de coups mortels, 3 de viol dont 2 sur mineur, 1 d'incendie volontaire, 2 de violation de sépulture et de trafic d'ossements humains, 1 de tentative de meurtre et enfin 1 d'association de malfaiteurs.

F. A. A.

Le ministre de l'énergie, Dona Jean-Claude Houssou a présidé ce jeudi 25 juillet 2019, les travaux de l'atelier de validation du plan stratégique 2020-2024 du ministère de l'énergie. Le document adopté par les cadres du ministère vise à assurer une transition énergétique pour le développement économique et social durable du Bénin.

A travers ce plan, le ministère de l'Energie entend se procurer les orientations stratégiques et œuvrer ensemble avec les acteurs pour leur aboutissement.
Le directeur de la programmation et de la prospective, Herman Zimé a rappelé au début des travaux que l'élaboration du plan a été faite dans une approche inclusive. Les travaux de l'atelier de validation selon lui, constitue une étape décisive dans la mesure où après la validation, c'est le processus devant conduire à son adoption par le Conseil des ministres qui reste.
Pour le ministre Dona Jean-Claude Houssou, le plan stratégique validé est un document qui fait état du diagnostic du secteur, des défis à relever et des résultats attendus. Le plan stratégique doit être en position d'étape, a-t-il souligné. Au-delà du document qui n'est qu'un support, le ministre de l'énergie estime qu'il faut avoir une trace dans la mise en œuvre. « Le plan stratégique doit être perçu comme un outil important à mettre en œuvre pour ne plus naviguer à vue », a-t-il insisté.
Pour Dona Jean-Claude Houssou, la validation du plan, est une action devant permettre au ministère d'assurer la crédibilité des projets à défendre auprès des partenaires techniques et financiers.
F. A. A.

Dans la nuit de mercredi 24 juillet 2019, des individus non identifiés ont enlevé un bouvier dans l'arrondissement de Sontouun dans la commune de Pèrèrè.
Selon les témoignages, ils ont surpris la victime dans son sommeil et lui ont réclamé de l'argent. Ne pouvant pas leur en donner, ils ont alors réclamé sa moto, mais celle-ci était dans un état dégradé. Mécontents, ils l'ont roué de coups et l'ont emporté avec eux.
Les ravisseurs, apprend-on, auraient contacté les proches de leur otage pour exiger la somme de 30 millions FCFA avant de la libérer.

F. A. A.

Les Forces cauris pour un Bénin émergent (FCBE) ne sont pas prêtes à refaire les formalités administratives relatives à l'existence légale de leur parti.
Ils l'ont fait savoir ce jeudi 25 juillet 2019 à travers une correspondance adressée au ministre de l'intérieur.
Cette attitude des responsables du parti ''cauris'' va à l'encontre des recommandations du ministre de l'intérieur pour la régularisation des formations politiques qui ne sont pas en règle par rapport à la nouvelle charte des partis.
Sacca Lafia avait été instruit aux fins de régler la situation au terme de la rencontre entre le chef de l'Etat et les partis politiques non en règle.
A la suite des échanges, la semaine dernière, entre le ministre et les responsables des partis confrontés à des difficultés liées à leur existence légale, celui-ci leur avait recommandé l'organisation d'un nouveau congrès constitutif. Sacca Lafia leur a également recommandé d'éviter de positionner dans les instances dirigeantes, les personnes qui ont des démêlés avec la justice.
Des recommandations que les FCBE jugent illégales et n'entendent pas suivre.

F. A. A.

Le ministre des infrastructures et des transports, Alassane Seidou, a visité jeudi 25 juillet les chantiers d'aménagement et de bitumage des routes de la ceinture du plateau d'Abomey. Il s'agit de Mougnon-Bohicon ; Abomey- Mougnon ; Mougnon-Djidja ; Bohicon-Cana ; Abomey-Agbangninzoun et les routes Toffo-Lalo ; Lalo- Abomey.
Le constat fait sur le terrain montre que les travaux évoluent normalement malgré quelques difficultés administratives. Le ministre s'engage à trouver avec ses collaborateurs une solution aux obstacles pour que l'exécution des travaux ne subit plus aucun ralentissement.
Le taux d'exécution physique des travaux est de 20% avec un taux de consommation de délai de 45%.
Le Directeur général des infrastructures a reconnu que certaines difficultés particulières sont liées à l'administration du ministère de tutelle, en sa qualité de maître d'œuvre.
L'exécution financière du projet est de 40%. Ce qui correspondant à l'avance de démarrage. Alassane Séidou a rappelé combien le projet revêt un caractère intégrateur en couvrant 3 départements et 7 communes du pays.
Il souligne l'importance de ces chantiers pour le chef de l'État, Patrice Talon et son gouvernement.
Le ministre était accompagné de son collègue de la défense nationale, Alain Fortuné Nouatin, des préfets de l'Atlantique, du Zou et des Collines, ainsi que des responsables du ministère en charge des infrastructures.
G. A.
Quelques Images