De sources proches de la cellule de communication du Groupement de gendarmerie de Blida, nous avons appris que quatre personnes, des repris de justice dont l’âge varie entre 23 et 29 ans, ont été arrêtées par les éléments de la brigade territoriale de gendarmerie de Benchaâbane, à 15 kilomètres au nord de Blida, pour les griefs de tentative de meurtre sur un jeune homme de 31 ans. Agissant sur information, les gendarmes se sont déplacés à Benkhlil, lieu où ce dernier gisait encore dans une mare de sang après avoir été grièvement blessé à l’arme blanche. En effet, la victime avait fait l’objet de plusieurs coups de couteau.
Toutefois, les auteurs de cette agression ne tarderont pas à être arrêtés avec en leur possession un fusil à harpon, une lance et plusieurs couteaux. Présentés devant le juge, ils ont été écroués à la prison de Boufarik.
M. B.
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Les deux adolescents âgés respectivement de 15 et 16 ans demeurant dans la localité de Sidi Hamou dans la commune de Rouina à l’ouest de Aïn Defla, viennent allonger la liste déja longue des noyés dans ce genre de bassins, liste qui compte maintenant 11 victimes qui ont trouvé la mort à la fleur de l’âge, principalement pendant la période estivale durant les périodes caniculaires.
Ce double drame a eu lieu lundi vers 13h30, a indiqué le capitaine Hamdi Kamal, le chargé de communication de la Direction de la Protection civile de Aïn Defla. Dès que l’information est tombée, une équipe de plongeurs a été dépêchée sur le lieu du drame et a pu repêcher les corps des deux noyés à 3 m de profondeur.
Ils ont été transférés à l’hôpital Makour-Hamou de Aïn Defla où ils ont été déposés à la morgue. La brigade locale de la gendarmerie a ouvert une enquête aux fins de déterminer les circonstances précises qui ont prévalu à ce double drame qui vient endeuiller deux familles.
Selon nos informations, la mare en question, d’une profondeur de 3 m, se situe sur la rive nord du Chélif, non loin d’un groupe d’habitations et relève d’une sablière privée.
Karim O.
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Quand on pense à Kalashnikov, on ne pense pas à un rival de Tesla sur le marché de la voiture électrique… Mais ça pourrait changer.
Kalashnikov, le fabricant du plus célèbre fusil d’assaut du monde, a décidé de diversifier ses activités… En se lançant dans la voiture électrique ! Le look de la CV-1 est très rétro, et pour cause : la voiture n’est qu’un laboratoire roulant sur base de IZh 21252 Kombi, une ancienne compacte de l’ère soviétique.
300 chevaux et 350 km d’autonomie
Et Kalashnikov va en avoir besoin de ce laboratoire roulant : l’entreprise ambitionne tout simplement de concurrencer Tesla ! La CV-1 embarquerait donc un pack de batteries de 90 kWh pour une autonomie annoncée de 350 km.
Côté performances, Kalashnikov prévoit 300 chevaux et un 0 à 100 km/h abattu en 6 secondes.
Nous serions tentés de moquer la CV-1 pour son look de Lada tunée, avec ses vitres fumées, sa finition douteuse et ses grosses roues, mais cela pourrait s’avérer risqué quand on se rappelle l’occupation principale de Kalashnikov…
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La «micro-machine» électrique Microlino vient de passer les tests d’homologation obligatoires pour circuler en Europe. Sa mise en production est maintenant imminente. Cette petite voiture électrique a été dévoilée pour la première fois au Salon de Genève en 2016 où la société suisse responsable de sa conception avait annoncé son intention de lancer la production d’ici à la fin de cette année (2018). On apprend aujourd’hui qu’un pas supplémentaire vers la commercialisation de cette réinterprétation moderne et électrique de la BMW Isetta des années 1950 vient d’être réalisé. La société Micro Mobility Systems, à la base du projet, vient, en effet, d’annoncer que la Microlino avait passé avec succès tous les tests d’homologation obligatoires pour évoluer, dans la catégorie des quadricycles lourds, au sein de l’Union européenne. Sa mise en production devrait donc débuter prochainement et son prix avoisinerait les 12 000 euros en Europe.
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Pour l’instant, les initiateurs du mouvement qui regroupe des partis politiques et des personnalités nationales se battent pour obtenir une salle susceptible d’accueillir ses adhérents qui se chiffrent actuellement à un millier de personnes.
Après avoir organisé des conférences de presse, des rencontres et plus récemment encore un sit-in à Alger, le mouvement Mouwatana compte organiser une conférence nationale qui réunira ses adhérents. La rencontre aura lieu le 6 octobre prochain à Alger et aura comme première mission de dégager des structures du mouvement. Mouwatana aura donc un bureau, une sorte de conseil national et des dirigeants bien précis. Après avoir évolué sans structures depuis sa création, le mouvement Mouwatana compte se doter d’organes qui en feront une véritable organisation. Pour l’instant, les initiateurs du mouvement qui regroupe des partis politiques et des personnalités nationales se battent pour obtenir une salle susceptible d’accueillir ses adhérents qui se chiffrent actuellement à un millier de personnes.
Et au-delà des convictions de chacun, les adhérents doivent “se conformer à la charte de citoyenneté” rendue publique en juillet dernier, assure-t-on du côté de Mouwatana. Avant de parvenir à cette rencontre, Mouwatana va se déployer dans certaines wilayas pour “des rencontres citoyennes” afin d’expliquer la démarche de s’opposer au
5e mandat. “Nous n’allons pas organiser des marches, mais des rencontres avec les citoyens”, précise Soufiane Djilali, président de Jil Jadid, un des initiateurs du mouvement. Une première “rencontre citoyenne” aura ainsi lieu le 8 septembre prochain à Constantine. D’autres suivront. Mais pour l’heure, en dehors de la manifestation organisée le
12 août dernier, aucune action n’est prévue dans la capitale. Si l’objectif principal du mouvement Mouwatana est de s’opposer au 5e mandat qui se prépare actuellement pour Abdelaziz Bouteflika, Soufiane Djilali estime que l’organisation ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Les promoteurs de l’initiative veulent aller au-delà de 2019. Après avoir organisé plusieurs communications, le mouvement Mouwatana a tenté, le 12 août dernier, de sortir dans la rue. Des figures du mouvement, à savoir Zoubida Assoul, Soufiane Djilali et l’avocat Salah Dabouz, ont été interpellés par la police avant d’être relâchés dans la même journée. L’action n’a pas été grandiose, mais elle a permis de rappeler une évidence : il est impossible de manifester librement à Alger.
Il y a trois jours, le mouvement Mouwatana s’est, une nouvelle fois, distingué par un communiqué virulent contre la gestion, par les autorités, de la crise du choléra. “Les Algériens, qui observent leurs dirigeants et leurs familles se soigner dans les grands hôpitaux occidentaux et qui ne lésinent sur aucun moyen pour se maintenir en bonne santé, savent maintenant que leur bien-être, leur santé et leur avenir ne peuvent venir de cette caste qui s’est formée en un système prédateur”, note le document. Fondé en juin dernier, le mouvement Mouwatana est composé de certains chefs de parti, à l’image de Soufiane Djilali, Zoubida Assoul et Ali Benouari. Le mouvement a été rejoint par des personnalités, à l’image de l’ancien Premier ministre Ahmed Benbitour ou l’avocat Salah Dabouz. L’ancienne figure du mouvement Barakat, Amira Bouraoui, fait également partie des animateurs du mouvement qui s’est doté d’une charte.
Ali Boukhlef
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Pour marquer sa rentrée politique, le FFS va organiser son université d’été, le week-end prochain. L’activité, prévue vendredi à Souk El-Tenine, dans la wilaya de Béjaïa, s’articulera autour de la mobilisation citoyenne. Selon le programme concocté par la direction du parti, l’université d’été sera marquée par des interventions et des conférences qui auront pour thèmes “Mobilisation citoyenne et reconstruction du consensus national”, et une autre sur “L’école de formation Ali Mecili”. Ces conférences seront animées par des cadres du parti, apprend-on auprès du chargé de communication du parti. La formation politique n’aura donc pas recours aux intervenants extérieurs. En plus des communications, les militants du FFS travailleront dans des ateliers. Les militants seront scindés en pools qui auront pour thèmes “Le rôle du militant dans la société, le parti et les institutions élues”, “Atouts et inconvénients des réseaux sociaux pour la communication politique”, ou encore “Engagement et éthique en politique”.
Des ateliers de formation seront également tenus par les militants du FFS. Il s’agira d’évoquer “le jeune et les luttes démocratiques : université, mouvement associatif, mouvement syndical” et “création d’une association : procédures, organisation et financement”. Moment phare de cette activité, l’intervention des dirigeants du parti. Ainsi, en plus du premier secrétaire national, Mohamed Hadj-Djilani, qui va inaugurer les travaux, les membres de l’instance présidentielle, essentiellement Ali Laskri, vont avoir le privilège de clôturer l’université d’été. En plus de l’actualité politique nationale, les responsables vont probablement aborder les dissensions internes que connaît le FFS. Cette université d’été intervient dans un contexte de crise interne que vit le parti politique fondé par Hocine Aït Ahmed en 1963. Des cadres du parti sont écartés de la décision.
C’est le cas des députés Chafaâ Bouaïche et des Bahloul, un temps proches du leader historique disparu en décembre 2015.
Ali B.
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“Ici, on oublie toutes nos tracasseries, on décompresse et on se prépare convenablement afin d’aborder chacun, sous les meilleurs auspices, une nouvelle saison de labeur une fois les vacances terminées”, témoignent des visiteurs.
Située dans la commune d’Oued Goussine entre les deux villes côtière de Ténès et de Béni Haoua (chef-lieu de daïra), la petite et charmante localité de Boucheghal est surtout connue pour être l’une des plus belles et des plus des attirantes de par la splendeur de ses plages et de son riche patrimoine naturel qui fascinent continuellement ses visiteurs. Pour le président de l’APC d’Oued Goussine, Abdelkader Hassani, la localité de Boucheghal a toujours été le point de chute des estivants qui y arrivent de l’ensemble du territoire national et même de l’étranger. “Contrairement à la période hivernale, l’animation est grandiose durant chaque été compte tenu du nombre impressionnant de vacanciers qui viennent à Boucheghal pour profiter de la tranquillité, du repos, du calme, de la fraîcheur et de la mer. Ici, on oublie toutes nos tracasseries, on décompresse et on se prépare convenablement afin d’aborder chacun, sous les meilleurs auspices, une nouvelle saison de labeur une fois les vacances terminées”, dira Abdelkader Hassani au bord de la plage centrale de Boucheghal.
Selon lui toujours, la ville de Boucheghal a abrité depuis le début de l’actuelle saison estivale qui tire à sa fin, de nombreux évènements culturels, de loisirs et autres qui ont permis aux estivants présents de savourer agréablement, encore plus, leur séjour dans cette localité. “La localité a accueilli durant plusieurs jours une importante campagne de sensibilisation contre les accidents de la route organisée par le groupement de la Gendarmerie nationale de Chlef intitulée ‘Ensemble pour un été sans accident de la route’. Ont participé à cette campagne de nombreux estivants en plus de l’ensemble des jeunes du centre de vacances de la wilaya qui se trouve à quelques mètres seulement de la principale plage. Des soirées artistiques, des tournois sportifs et des rencontres éducatives ont également eu lieu dans le même centre de vacances durant les toutes trois sessions dont la dernière vient tout juste de s’achever”, ajoute Abdelkader Hassani qui était accompagné du chef de daïra de Béni Haoua à laquelle est rattachée la commune d’Oued Goussine, Mohamed Hebri. Celui-ci a également fait savoir, de son côté, que “toutes les dispositions sécuritaires et organisationnelles qui permettent à nos hôtes vacanciers de passer chez nous un agréable séjour ont été prises bien avant le lancement de la saison estivale et à travers tout le littoral de la daïra”. Néanmoins, le même responsable reconnaît que la région manque malheureusement de quelques voies de communication “et dont la réalisation s’avère plus qu’indispensable afin de recevoir plus de vacanciers même durant la période hivernale car notre région dispose également d’un riche patrimoine forestier et sites historiques et archéologiques qui méritent d’être visités et découverts”.
Des plages et des grottes insolites
À Boucheghal, il existe des plages insolites et qui ne sont visibles que lorsque nous prenons le large. Uniques, fascinantes et retirées, ces plages gardent toujours leur aspect sauvage et exotique. Pour y arriver, il faut indéniablement prendre le large et virer vers l’est au moyen de petites barques à partir de la plage centrale. Bien sûr, ces plages sont cachées sous de grandes falaises qui longent la RN11 entre Alger et Oran en passant par le littoral. “Elles sont nombreuses, d’une beauté et d’un charme qui étonnent chaque visiteur”, nous diront d’emblée et avec fierté les sapeurs-pompiers qui nous faisaient visiter les lieux au moyen de leur zodiac de service. Certaines de ces mêmes plages, propres et dont l’eau claire est d’une limpidité extrême, offrent à leurs visiteurs d’étonnantes surprises. “Comme vous le voyez, chacune de ces plages se trouve juste à proximité de grottes dont la fraîcheur conservée le long de l’année, attire de plus en plus des familles qui y séjournent durant toute la période estivale pour fuir la suffocante chaleur de l’extérieur. Regardez comme cette eau est claire. Nous pouvons facilement voir n’importe quel objet se trouvant au fond de la mer. L’endroit ne reçoit que peu de monde, c’est pourquoi il garde toujours sa propreté et son état naturel puisqu’il est peu fréquenté. C’est aussi un lieu où certaines espèces animales y trouvent refuge à l’exemple de ces oiseaux rares que vous voyez. Vous n’avez pas remarqué aussi que l’odeur que nous sentons actuellement ici diffère de celle que nous respirons ailleurs ? L’endroit est également surveillé et de près par les éléments de la Gendarmerie nationale qui nous accompagnent dans nos sorties en mer dès que possible. Même les propriétaires de barques qui font la navette entre la plage centrale de Boucheghal et ces endroits pour y ramener des familles, sont tous recensés chez nous”, racontent encore les mêmes sapeurs-pompiers.
“Il y trois ans, l’ambassadeur de Croatie est passé par là”
Alors qu’ils nous faisaient découvrir des lieux magiques qui nous font rêver de par leur exceptionnelle fascination et aussi de par leur beauté qui ne cessaient de nous séduire le long de cette visite que nous voulions qu’elle dure longtemps, nos interlocuteurs n’arrêtaient pas de nous combler d’intéressantes informations concernant ce site tant attirant. Ils nous ont également fait savoir qu’outre des familles, des vacanciers et même des scientifiques et chercheurs universitaires qui viennent fréquemment ici des quatre coins du pays et même d’ailleurs, une visite a attiré leur attention et ils n’arrivent toujours pas l’oublier. Il s’agit selon eux de celle effectuée, il y a quelques années de cela par son excellence l’ambassadeur de Croatie. “Une fois arrivé sur les lieux, ce diplomate était ébahi de par ce qu’il découvrait certainement pour la première fois. Devant chacune de ces plages et de ces grottes, il n’arrêtait de contempler avec une certaine émotion l’ensemble des lieux. Il avait même dit qu’il n’avait jamais vu une telle beauté naturelle auparavant. Il voulait visiter toutes les grottes et c’est ce qu’il avait obtenu tout en demandant auprès de ceux qui l’accompagnaient (des Algériens bien sûr) de prendre sérieusement soin de ce riche patrimoine que compte l’Algérie. Il avait même lancé en fin de sa tournée qu’il comptait revenir un jour car, selon lui, cela lui tenait à cœur”, se souviennent nos sapeurs-pompiers qui se dirigeaient vers l’un des grands rochers que compte le site.
Le rocher en question, d’une hauteur de 12 mètres environ, est situé non loin de l’une des plages et de ses grottes. Du haut de celui-ci (le rocher), un groupe de jeunes, une dizaine d’estivants, nous saluaient tout en nous demandant aussi de nous rapprocher d’eux. Chose faite, ils nous lancent qu’ils étaient en train d’effectuer les derniers plongeons de cet été à Boucheghal. Alors que les plongeons se succèdent, ceux qui attendent leur tour se confient à nous. “Nous sommes un groupes d’étudiants. Nous habitons Hydra à Alger et cela fait des années que nous sommes devenus fous amoureux de cette charmante petite ville, de ses adorables sites et de ses plages. Tout le monde nous connaît ici. Nous sommes fidèles à cette localité et à ses habitants qui sont adorables, accueillants et hospitaliers. Nous attendons avec impatience notre retour vers ces lieux qui nous ont marqué à vie. Notre pays est beau et nos vacances, nous les passons ici. Même pendant la période hivernale, nous n’oublions jamais cet endroit puisque nous y effectuons périodiquement des parties de pêche et de chasse. La région est tellement riche en patrimoine (touristique, historique, faune et flore entre autres) qu’il le faut préserver et ne jamais l’abandonner”, lancent ces jeunes en savourant leurs derniers plongeons de cet été qui a été marqué, à Boucheghal, par l’affluence de nombreuses de familles qui ont également brillé par leur présence durant les veillées nocturnes au bord de la mer, dans les crèmeries, dans les salles de spectacles ou encore dans d’autres endroits à l’air libre. Tout le monde nous a fixé rendez-vous à Boucheghal l’été prochain.
A. C.
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Une “waâda” a été organisée pour fêter la concrétisation de nombreux projets, notamment l’embellissement du village, la réfection des fontaines, des ruelles et la réalisation d’espaces verts, mais aussi le nettoyage du cimetière et des placettes dédiées aux chouhada ainsi que la construction d’une belle mosquée.
Le village d’Aït Saïd (commune de Bouzeguène, à une soixantaine de kilomètres à l’est de Tizi Ouzou) a organisé, le week-end passé, une “waâda” pour fêter la concrétisation de nombreux projets dans le village, notamment l’embellissement du village, la réfection des fontaines, des ruelles du village et la réalisation d’espaces verts, mais aussi le nettoyage du cimetière et des placettes dédiées aux chouhada du village ainsi que la construction d’une belle mosquée.
Une circoncision collective a été par ailleurs organisée au profit des enfants de familles nécessiteuses. Le comité du village, d’une part, et les villageoises, d’autre part, n’ont lésiné sur aucun moyen pour transformer radicalement leur village.
Ce fut un travail de longue haleine qui a duré plusieurs mois, et un tel défi fut bien réussi par les villageois et par la communauté émigrée qui n’ont pas hésité à mettre la main à la poche. C’est bien connu que les villages de Kabylie se sont tous rabattus, aujourd’hui, sur le système d’autogestion, car les subventions des pouvoirs publics font défaut de plus en plus, et les APC, qui ne disposent pas suffisamment de finances pour aider les villages, font de leur mieux pour assister matériellement les comités citoyens.
Cette “waâda” populaire, qui est une coutume héritée des ancêtres, se voulait un moyen de réconcilier les villageois avec leur histoire très fortement liée aux traditions anciennes, entre autres l’appel au pardon, à la cohésion sociale et à la fraternité villageoise. Et à l’occasion, trois bœufs ont été sacrifiés pour réussir cette grande offrande populaire, et un couscous géant préparé par les femmes a été offert aux villageois et aux nombreux visiteurs venus des quatre coins de la Kabylie profonde et même de wilayas limitrophes. La fête a profité à tous les citoyens du village qui ont veillé à sa bonne organisation, et de nombreux invités, notamment des personnalités politiques et religieuses, des vedettes de la chanson et du sport, ont été au rendez-vous dès les premières heures de la matinée, alors que cette journée mémorable a été agrémentée par de beaux chants anciens et patriotiques déclamés par les vieilles femmes du village tout au long de la cérémonie.
“Ces rendez-vous festifs nous manquent, ils doivent être organisés régulièrement pour le bien du village”, nous dira une vieille femme du village. Cette fête villageoise s’est achevée par un gala artistique fait de concert de musique et de danse, organisé dans la soirée pour combler d’aise tous les présents et rendre aussi un bel hommage aux nombreux lauréats des examens de fin d’année.
KAMEL NATH OUKACI
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Ecrit par LDJ. Sarah
Le massacre de Raïs, a eu lieu le 29 Août 1997 dans la banlieue de Sidi Moussa, à 25 km au sud d’Alger, causant des centaines de morts.
Des hordes du GIA ont attaqué le village transformant les mariages en carnages, et les circoncisions en infanticides. La boucherie de ce jeudi noir a engendré plus de 300 morts, la plupart des victimes étaient des femmes et des enfants.
Le général retraité, ancien chef de la première région militaire durant les années 90 Abderazak Maiza, rapporte au journal « Le soir d’Algérie » au sujet du massacre de Raïs : « Ce qui s’est passé à Raïs. Tous les morts qu’il y a eu sont des membres de familles de groupes terroristes. A l’époque, le chef terroriste Djebaïli avait distribué de l’argent à toutes ces personnes qui ont investi notamment dans le transport, les fameux minibus qui apparaissaient un peu partout. Après sa mort, Zouabri a nommé le fameux «Japonais» et lui a demandé de récupérer l’argent qui avait été prêté aux familles. Ces dernières ont refusé, une expédition punitive avait été menée ».
Le général à la retraite a, par ailleurs, affirmé que « si le terrorisme a été vaincu, l’idéologie intégriste, elle, est toujours présente ».
Vingt et un ans après l’Algérie demeure en deuil, face à ce terrible massacre.
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Le Parti des travailleurs (PT) a été victime d’une attaque électronique. Cette attaque a visé la page officielle sur Facebook du parti. Ladite page n’est autre qu’un montage concocté par ceux qui voulaient torpiller le PT avec des déclarations et des communiqués sur des questions politiques, économiques et sociales et où le parti de Louisa Hanoune a l’habitude de se prononcer quand la conjoncture s’impose d’elle-même. Selon certaines sources proches du parti, la page qui était estampillée du sceau du Parti des travailleurs n’était qu’un «canular» qui s’est hissé au rang d’une page officielle reflétant les orientations et les directives officielles du PT.
Dans ce sens, le PT a annoncé qu’une page officielle vient d’être installée sur les réseaux sociaux, Facebook en l’occurrence.
La nouvelle page est caractérisée par la présence de la photo de profil de la chef du PT, Louisa Hanoune en l’occurrence. C’est une manière de mettre un terme à cette attaque électronique et sauvegarder le parti des déroutes de ce genre qui engagent les positions du PT.
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Par Ikram GHIOUA
Le général de corps d’armée ne manquera pas de saluer les résultats obtenus dans le domaine de la lutte antiterroriste au niveau de la 6e Région militaire.
Le général de corps d’armée et vice-ministre de la Défense nationale, Ahmed Gaïd Salah, a procédé hier à l’installation officielle du nouveau commandant de la 6e Région militaire. A l’issue de l’approbation du procès-verbal de la passation de pouvoirs, le général de corps d’armée a tenu une rencontre avec le commandement et les cadres de la Région, où il a prononcé une allocution.
Dans son intervention, le vice-ministre de la Défense nationale rappellera à l’assistance que la mission reste de «défendre, amplement et en permanence, l’Algérie avec toutes ses frontières nationales et de renforcer les fondements de sa sécurité et sa stabilité». Ceci prévient l’hôte de Tamanrasset «exige de persévérer à l’édification d’une armée puissante et moderne qui jouit toujours d’une disponibilité opérationnelle de haut niveau». Une armée, ajoute le chef d’état-major de l’ANP, «éclairée par une vision clairvoyante dont les objectifs sont bien définis. Une armée qui tient compte de tous les défis qu’elle doit prévoir et surmonter».
Comme à chaque fois, le général de corps d’armée ne manquera pas de saluer les résultats obtenus dans le domaine de la lutte antiterroriste au niveau de la 6e Région militaire, où deux autres terroristes viennent de déposer les armes soulignant que «le nombre important des terroristes mis hors d’état de nuire en peu de temps fait montre de l’efficacité de la stratégie adoptée pour l’éradication totale de ce fléau dangereux et dévastateur». Louant ces bilans probants, il atteste «dans ce contexte, il n’y a pas l’ombre d’un doute que la mission de la lutte contre le terrorisme résiduel constitue une mission permanente dont la fin ne sera atteinte qu’après l’éradication du dernier terroriste de notre pays».
Des propos affirmatifs qui renseignent sur la détermination du Haut commandement de l’ANP à en finir avec cette entreprise de crime. Le vice-ministre de la Défense nationale avertit «que tout le monde sache que les enfants de l’Armée nationale populaire, digne héritière de l’Armée de Libération nationale autant qu’ils s’honorent de l’accomplissement des nobles missions qui leur sont confiées, autant qu’ils prêtent serment devant Allah et devant la patrie d’oeuvrer, sans répit, à contrecarrer toute éventuelle menace quelle que soit la nature, et à demeurer le rempart fort pour que l’Algérie soit toujours et à jamais». Il insiste encore: «Je répète, toujours et à jamais, souveraine et sécurisée dans toutes ses frontières.»
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Par Hocine NEFFAH
Selon certaines informations émanant de certains cadres du conseil national, l’université d’été aurait pu prendre «une allure d’un précongrès pour aborder les vraies questions en suspens au sein du parti qui traverse une situation très critique sur le plan de la gestion organique et aussi par rapport à ses prises de position».
Le Front des forces socialistes (FFS), organisera son université d’été, au centre de vacances «Anissa Tour», dans la commune Souk El Tenine, à Béjaïa du 30 août au 1er septembre 2018. selon les organisateurs de cette université d’été, le thème central portera sur le slogan «la jeunesse avant-garde des luttes démocratiques et de la protection de l’Etat social». L’université d’été du FFS sera ponctuée par des conférences qui revêtent un aspect de formation et de pédagogie pour les séminaristes qui seront présents pour la circonstance. Il sera question des thèmes qui dissèqueront les problématiques qui ont trait à la citoyenneté, le consensus national et les voies et moyens pour que ces dynamiques puissent se rencontrer dans le sillage d’une mobilisation globale.
L’université d’été du FFS aura aussi à élucider les questions organiques et leur fonctionnement en abondant dans le sens de la définition du «rôle du militant dans la société, le parti et les institutions élues». Selon nos sources, les organisateurs du l’université d’été vont s’atteler à approfondir la problématique des réseaux sociaux en termes d’atouts et inconvénients pour la communication politique, voire même partisane.
Les panélistes qui animeront les débats et les conférences dans le cadre de l’université d’été du FFS vont travailler dans de multiples ateliers avec la perspective de peaufiner des synthèses comme c’est le cas pour l’atelier «techniques de communication», «le jeune et les luttes démocratiques: université, mouvement associatif, mouvement syndical». En bref, il y a six ateliers qui vont aborder de multiples thèmes en rapport avec la situation politique, économique et sociale du pays. Durant cette université d’été le FFS consacrera un thème éminemment politique et propre au parcours du parti et ses prises de position qui portera sur «Historique des propositions et des positions du FFS depuis sa création», a-t-on appris de sources sûres. Selon certaines informations émanant de certains cadres du conseil national, l’université d’été aurait pu prendre «une allure d’un précongrès pour aborder les vraies questions en suspens au sein du parti qui traverse une situation très critique sur le plan de la gestion organique et aussi par rapport à ses prises de position sur ce qui se passe sur la scène politique nationale et le manque de visibilité en ce qui concerne les objectifs que doit surseoir le parti par rapport aux véritables enjeux en sa qualité de parti d’opposition», assurent nos sources. Le congrès extraordinaire qui s’est déroulé le mois de mai de l’année en cours a été beaucoup plus une halte pour maintenir une situation qui reste amorphe à l’intérieur du vieux parti d’opposition dans le pays. Cette donne qui a présidé aux destinées du FFS qui était plongé dans une crise statutaire des plus aiguës durant le long de son parcours n’a pas réglé l’essentiel de la crise en son sein, bien au contraire elle s’est fait exprimer avec acuité après avoir mis en place une instance présidentielle qui a vu le retour de celui qui a provoqué l’implosion de ladite instance par sa démission en suscitant par la même un vide organique et aussi une défaillance claire et nette quant au rôle fantoche qu’assure l’instance présidentielle après cette démission en cascade. Le FFS est en phase de connaître une période des plus critiques dans son parcours en sa qualité de parti d’opposition, surtout après la disparition de celui qui était considéré comme une figure de proue en son sein, à savoir l’inénarrable Hocine Ait Ahmed. Le 6ème congrès qui est appelé à être tenu le premier trimestre de l’année 2019 se présente comme un moment crucial dans la vie du parti de Dda l’Ho dans la mesure où les luttes de clans et les tiraillements font nourrir la discorde et la division entre les frères ennemis au sein du FFS.
C’est cette situation d’imbroglio politique au sein de la structure du parti qui peine à dégager une vie à l’intérieur même de cette formation qui n’arrive pas à avoir des éléments en son sein pour qu’ils puissent jouer le rôle prépondérant qu’assurait le chef charismatique de son vivant, le regretté Ait Ahmed. Ce vide a été remplacé par une espèce de structure collégiale qui n’était pas en mesure d’absorber les déséquilibres qui caractérisaient la situation interne et organique du parti. Un nombre important de cadres du FFS se posent des questions quant au vrai rôle qui sied au parti censé être un instrument d’opposition et non pas «un moyen dans l’objectif de négocier des strapontins et de la rente politique», affirment nos sources.
La problématique est vue comme une espèce de crise structurelle qui va tôt ou tard précipiter le FFS dans une spirale organique qui risque d’hypothéquer son avenir et son existence.
L’université du FFS se veut comme une occasion pour aborder les questions de la jeunesse alors que «l’appareil est miné par des divisions et des luttes de clans profondes. C’est une manière de fuir les véritables problèmes qui taraudent les structures du parti et ses positions à la fois», précisent nos sources.
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Par Mohamed TOUATI
Les cours de l’or noir affichaient plus de 77 dollars hier à Londres, en cours d’échanges, leur plus haut niveau depuis près de deux mois.
Un faisceau de lumière dans cette grisaille qui a rythmé cette saison estivale qui touche à sa fin. Cela met un peu de baume au coeur.
Un peu de beurre dans les épinards. Quelques dollars de plus qui ne sont pas de refus, pour une trésorerie laminée depuis la dégringolade des prix du pétrole qui a débuté voilà un peu plus de quatre années maintenant, vers la mi-juin 2014.
Une saignée qui a été stoppée grâce à la décision de l’Opep et de ses 11 alliés hors organisation, de réduire leur production de 1,8 million de barils par jour.
Une décision qui a été appliquée le premier janvier 2017 et qui court jusqu’à la fin de l’année 2018. Elle est le fruit d’une offensive diplomatique sans précédent, lancée par l’Algérie et initiée par le chef de l’Etat, Abdelaziz Bouteflika, pour sensibiliser les pays producteurs (Opep et non-Opep) à la dégringolade des prix du pétrole. Une botte secrète préparée de longue date qui s’est frayé un passage. Presque par effraction.
Cette initiative a eu pour acteur de premier plan le Venezuela. Plus que n’importe quel autre pays producteur, il aura souffert de la chute des cours de l’or noir au point de se retrouver au bord d’une guerre civile. Elle a connu son couronnement le 28 septembre à Alger lors d’un sommet de l’Opep qui a débouché sur un accord qualifié d’«historique» qui a servi de socle à l’accord qui a débouché sur la réduction de l’offre des pays Opep-hors Opep de 1,8 million de barils par jour. Sa mise en oeuvre et surtout son application stricte au-delà même de l’objectif assigné a sans coup férir servi de rampe de lancement à la résurgence des cours de l’or noir.
«L’Opep et ses alliés ont encore réduit en juillet leur production de pétrole au-delà des objectifs de leur accord d’encadrement du marché en vigueur depuis le début 2017, mais moins que les mois précédents», ont déclaré le 27 août des sources proches du comité de suivi de cet accord.
Le taux de conformité avec l’accord a été de 109% le mois dernier, contre 120% en juin et 147% en mai. Ce qui revient à dire que la cible (des 1,8 million de b/j, Ndlr) a été légèrement dépassé même si certains membres ont pompé davantage qu’avant. Après quelques signes qui prédisaient que les deux gros producteurs mondiaux la Russie et surtout l’Arabie saoudite, membres de cet accord, allaient faire faux bond, tout semble être rentré dans l’ordre.
Le Royaume wahhabite avait été sollicité par le président américain pour augmenter sa production pour compenser celle de l’Iran dont les exportations sont visées par des sanctions de Washington, conséquence de sa sortie de l’accord sur le nucléaire iranien. Une éventualité restée lettre morte pour le moment. Et le baril va hisser les voiles.
Les vents lui sont favorables. Après avoir aligné cinq séances consécutives de hausse la semaine dernière, les cours de l’or noir continuent sur leur lancée.
Les facteurs qui y contribuent sont nombreux. Il y a bien sûr la perspective du retour des sanctions américaines qui visent les exportations iraniennes de pétrole au mois de novembre.
La baisse, annoncée vendredi dernier, du nombre de puits en activité aux Etats-Unis et le recul, dévoilé il y a tout juste une semaine, des réserves américaines de brut et le déclin de la devise américaine après l’accord commercial conclu entre les Etats-Unis et le Mexique.
Les cours «ont bénéficié d’un dollar plus faible et des espoirs que les Etats-Unis et la Chine parviennent à résoudre bientôt leur conflit commercial», ont indiqué les analystes du second groupe bancaire allemand, Commerzbank.
«Le récent attrait pour le dollar comme valeur refuge s’est atténué après la nouvelle positive d’un accord commercial entre les Etats-Unis et le Mexique», ont ajouté les analystes de Phillip Futures. Cela a suffi pour que le baril se sente pousser des ailes.
Hier vers 15 heures 10 à Alger il affichait 76,80 dollars à Londres, soit une hausse de 30 cents par rapport à la veille. La barre des 80 dollars n’est plus très loin…
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Par Mohamed TOUATI
Après la capitale péruvienne, Lima, le patron de Sonatrach se rendra en Bolivie pour assister au 1er Forum international sur le gaz, la pétrochimie et les combustibles verts.
L’Algérie met les bouchées doubles sur l’énergie. Normal. C’est sur ce secteur que repose l’économie nationale qui tire l’essentiel de ses revenus en devises grâce à ses exportations de pétrole et de gaz. L’Algérie qui veut sa place au soleil, au sein du gotha international de ce secteur a commencé par dépoussiérer sa loi sur les hydrocarbures pour élargir son champ d’action et le mettre en valeur. Il a donc fallu commencer par tordre le cou à cette sempiternelle bureaucratie qui concourt à décourager le plus audacieux des investisseurs.
«La tendance a été inversée, ce ne sont plus les entreprises qui se bousculent pour l’investissement à l’international», avait fait remarquer le ministre de l’Energie Mustapha Guitouni lors de sa visite aux Etats-Unis au mois de juin dernier. Il faut donc aller les chercher! «Il faut se mettre au diapason et épouser cette dynamique», soulignera-t-il sachant que l’Algérie n’est pas le seul pays producteur d’hydrocarbures à avoir revu sa loi. C’est donc avec cet argument de choc qu’a été annoncée la visite du patron de la compagnie nationale des hydrocarbures au Pérou.
«Le P-DG de Sonatrach, Abdelmoumen Ould Kaddour, entame mardi à Lima (Pérou) une visite de travail pour discuter de partenariat et d’investissements avec de hauts responsables du secteur énergétique péruvien», a indiqué hier un communiqué de Sonatrach.
Une série de rencontres sont programmées dans son agenda. Arrivé lundi à Lima, il devrait rencontrer le ministre de l’Energie péruvien, Francisco Ismodes Mezzano, et le vice-ministre en charge des hydrocarbures, Eduardo Alfredo Guevara Dodds.
Le patron de Sonatrach aura également des entretiens avec les responsables de l’agence péruvienne chargée de la régulation de l’amont pétrolier ainsi qu’avec James Atkins Lerggios, président du conseil d’administration de PetroPeru, la compagnie pétrolière nationale du Pérou. Quel est l’objectif de son déplacement? Abdelmoumen Ould Kaddour va mettre à profit son déplacement au Pérou pour discuter des projets gaziers développés par Sonatrach dans ce pays et devrait s’entretenir à cet effet avec les actionnaires de TgP, société péruvienne détenue par un consortium de multinationales, composé d’Enagas, Sonatrach et du Fonds de pensions canadien Cppib, indique une dépêche de l’APS datée d’hier.
Une séance de travail a été programmée avec le personnel de son groupe au siège de SonatrachPeru, en marge de cette visite. De quoi sera-t-il question? Il est prévu de passer en revue le projet pétro-gazier, Camisea, dans lequel le groupe algérien est associé et faire un point de situation sur le projet de transport de gaz TgP et sur les perspectives de développement concernant ces deux importants projets, ajoute la même source. Après la capitale péruvienne, Lima, le patron de Sonatrach, Ould Kaddour, se rendra en Bolivie pour assister demain au 1er Forum international sur le gaz, la pétrochimie et les combustibles verts. Il participera à un panel sur l’exploration et l’exploitation des hydrocarbures. Un rendez-vous qui réunira les dirigeants de Gazprom, Alexey Miller, de Total, Patrick Pouyanné et de Repsol, Antonio Brufau. Du beau monde en perspective.
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Par Yazid Alilat
Les projections du projet de loi de finances (PLF) pour 2019 maintiennent globalement les grandes tendances économiques du pays observées pour 2018 jusqu’à 2021, selon des données fuitées du document examinées dimanche en conseil de gouvernement. Selon le texte «brut » de ce projet de loi, le calcul de base de la loi de finances 2019 sera fait à partir d’un prix du baril de pétrole brut à 50 dollars et une parité dinar-dollar de 118 dinars algériens pour un dollars US. Le projet de loin qui prévoit un taux de croissance économique de 2,6% pour 2019, 3,4% en 2020 et 3,2% en 2021, maintient un taux d’inflation de 4,5%, le même taux que celui de 2018 et 3,9% en 2020 et 3,5% en 2021. Le projet de loi prévoit, concernant les exportations d’hydrocarbures, une recette globale de 33,2 milliards de dollars en 2019, en baisse de 1% par rapport à la clôture de l’année en cours. Les projections pour 2020 et 2021 font ressortir une légère hausse de ces exportations, qui s’établiront à 34,5 milliards de dollars en 2020 et 35,2 milliards de dollars en 2021. Le cours actuel du brut sur les marchés est de plus de 75 dollars/baril. Pour autant, le poste importations de ce PLF 2019 restera encore pour les trois prochaines années en hausse, et constitue un des principaux facteurs explicatifs du déficit commercial. Le gouvernement Ouyahia prévoit que les importations en 2019 s’établiront à 44 milliards de dollars, avec une légère contraction en 2020 à 42,9 md de dollars et 41,8 md de dollars en 2021. Le déficit de la balance commerciale devrait s’établir en 2019 à 10,4 md de dollars, 8,2 md de dollars en 2020 et à 6,4 md de dollars en 2021. Les soldes globaux de la balance des paiements escomptés par le gouvernement entre 2019 et 2021 sont respectivement de -17,2 md de dollars en 2019, -14,2 md en 2020 et -14 md en 2021. Dans ses attendus, le texte du PLF 2019 indique que le budget de l’Etat pour la période considérée «s’inscrit dans la continuité de la démarche qui consiste à maîtriser la dépense publique en vue d’une soutenabilité budgétaire permettant de réduire les tensions sur la trésorerie de l’État». Les recettes budgétaires prévues pour 2019 sont de 6.507,9 md de dinars, en hausse de +0,2% (6.496,58 md de dinars prévus en clôture de 2018), et les dépenses s’établiraient à 8.502,2 md de dinars, en baisse de 1,5% par rapport à 2018 (8.628 md de DA), soit un déficit budgétaire de 9,2% par rapport au PIB.Par ailleurs, le PLF 2019 prévoit une hausse de 7,5% des dépenses de fonctionnement, et une baisse des dépenses d’équipement de -6,1% pour les autorisations de programmes qui baisseront à 2.601,7 milliards de dinars et -12,2% pour les crédits de paiements, qui se situeraient à 3.547,7 milliards de dinars contre 4.043,3 milliards pour 2018. Quant aux crédits de paiement destinés à l’investissement, ils sont de 1.486,3 md de dinars, et devraient se concentrer à hauteur de 71% dans trois secteurs : le soutien à l’habitat, l’agriculture et l’hydraulique ainsi que les infrastructures économiques et administratives.
L’autre volet de ce projet de loi de finances pour 2019 est le chapitre des transferts sociaux, en hausse de 0,7% par rapport à 2018. Les transferts sociaux budgétisés prévus pour 2019 sont de 1.772,5 milliards de dinars, en hausse de 8,2% du PIB et de 12,5 md par rapport aux prévisions de la loi de finances 2018. Ainsi, le soutien aux familles s’élève à 445,3 md de dinars, dont 208,4 md de dinars pour le système de subvention des prix des produits de base (céréales, lait, sucre et huile alimentaire). A elles seules, les subventions de ces produits représentent 11,8% de l’ensemble des transferts sociaux. Pour l’éducation, le montant de ces transferts sociaux est de 112,7 md de dinars, tandis que le soutien pour l’habitat serait de 353,3 md de dinars, une baisse de 10,8% par rapport aux crédits alloués en 2018. Quant à la subvention de soutien au secteur de la santé en 2019, elle s’élèverait à 336,9 md de dinars, en hausse de 2% par rapport à 2018. Par ailleurs, l’Etat sera également présent dans le soutien aux différentes caisses sociales, dont celle de la retraite, qui sera soutenue par le Fonds de Réserves de Retraites en 2019 avec une contribution de 83,3 md de dinars contre 85 md de DA en 2018, en baisse cependant de près de 2 md de dinars. Cependant, le différentiel des pensions de retraite pour les moudjahidine, des petites pensions et des pensions d’invalidité bénéficie d’une dotation budgétaire globale de 53,3 md de dinars en 2019, également en recul de 5,2 milliards (-8,8%) par rapport à 2018. Quant à la dotation au profit du fonds de compensation des frais de transport pour le sud, elle est de 2,1 md de dinars en 2019, en baisse de 3,1 md de dinars par rapport à 2018 (5,3 md de DA). Sur un autre registre, le soutien aux produits alimentaires sera en hausse, avec un budget destiné à la stabilisation des prix du sucre et de l’huile, qui passe de un milliard de DA 2018 à 2,5 md de DA en 2019, pour prévenir «d’éventuelles fluctuations des cours sur le marché». Pour l’eau de dessalement, le budget prévu au titre de la compensation reste le même que celui de 2018 à 44 md de DA, tandis que le budget proposé pour les pensions et allocations à verser aux handicapés à 100% s’établit à 11,8 md de dinars, soit également le même niveau qu’en 2018.
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M. Delli
Lors d’un point de presse animé avant-hier au siège de la Setram, les responsables du service exploitation ont annoncé le lancement officiel à partir de dimanche prochain de la carte magnétique d’abonnement. Il s’agit d’une nouvelle formule pour mieux contrôler le flux en croissance des usagers de ce mode de transport. Ce nouveau support «carte sans contact» est baptisé «abonnement Tawassol», il sera appelé à remplacer «le coupon classique» utilisé jusqu’à présent par au moins 6.000 abonnés. La nouvelle carte d’abonnement sera disponible dans au moins 5 points de vente établis dans différents lieux de la ville et sur le tracé du tramway.L’usager qui dispose de cette carte est obligé de la valider à chaque accès dans la rame, contrairement à la carte classique qui était présentée aux contrôleurs qui ne vérifiaient que la date de validité. La société d’exploitation du Tram veut aller vers plus de modernité pour mieux faciliter les déplacements des usagers.
L’autre nouveauté dans cette carte d’abonnement, c’est la proposition aux clients d’un versement de 350 dinars pour une utilisation du tram sans limite durant une semaine. On a par ailleurs maintenu l’abonnement mensuel pour 1.000 dinars avec les tarifs préférentiels pour les personnes âgées, les moins de 25 ans, les universitaires et les enfants scolarisés. Donc avec le lancement de cette nouvelle carte d’abonnement, le slogan «Je monte, je valide» sera lancé en parallèle avec une campagne de sensibilisation.
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Parmi les 22 équipes engagées figurent les plus puissantes du continent, en l’occurrence le Nigeria et l’Egypte qui devraient se battre pour le seul ticket conduisant au Mondial en novembre 2019 à Tokyo et qui sera lui-même une épreuve-test pour les Jeux olympiques-2020 de Tokyo.
22 pays dont l’Algérie ont confirmé leur participation au championnat d’Afrique de tennis de table, prévu à Maurice du 3 au 9 septembre et qualificatif à la Coupe du monde par équipes en 2019, a indiqué la Confédération africaine de la discipline (ATTF). Parmi les 22 équipes engagées figurent les plus puissantes du continent, en l’occurrence le Nigeria et l’Egypte qui devraient se battre pour le seul ticket conduisant au Mondial en novembre 2019 à Tokyo et qui sera lui-même une épreuve-test pour les Jeux olympiques-2020 de Tokyo. Outre l’Algérie et le pays organisateur, les nations attendues au rendez-vous mauricien sont: Nigeria, Egypte, Gabon, Angola, Burkina Faso, Congo, Cameroun, Somalie, Rwanda, Seychelles, Madagascar, Togo, Bénin, Côte d’Ivoire, Afrique du Sud, Djibouti, Comores, Libye, Erythrée et RD Congo. Pour le président de l’ATTF, cette participation «massive» confirme le bon développement du tennis de table dans le continent. «Je suis très heureux de voir autant de pays émettre le souhait de participer au championnat d’Afrique de Maurice. Les différentes associations nationales ont confirmé leur présence, espérant qu’il soit réel», a déclaré l’Egyptien Khaled El-Salhy. Interrogé sur le choix de Maurice pour abriter l’évènement africain, le président de l’ATTF est convaincu que ce pays organisera un évènement «à la hauteur des attentes». «Nous avons eu des événements très réussis à Maurice (championnat d’Afrique des seniors en 1998 et 2004 et championnat d’Afrique juniors et cadets en 2015). A partir de cet état, je m’attends à un événement très spécial en tant que l’une des meilleures organisations professionnelles en Afrique», a estimé Khaled El-Salhy. En marge du rendez-vous africain, l’ATTF organisera un atelier médiatique pour les joueurs et les équipes afin de leur permettre de connaître l’importance des médias dans le développement des sports. Comme il sera tenu des réunions du conseil exécutif et du conseil d’administration de l’instance continentale.
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N’ayant pris spart qu’à 6 minutes de jeu depuis l’entame de la saison, Sofiane Feghouli n’a pas eu le droit de participer au festival offensif de Galatasaray, lundi, face à Alanyaspor (6-0). C’est le Germano-turc, Sinan Gümüs (24 ans), remplaçant de l’Algérien l’an dernier, qui joue désormais titulaire en début de cette saison. Auteur d’un but et d’une passe dans ce match, Gümüs cimente un peu plus sa place. Indésirable, le club turc essaye par tous les moyens de trouver une porte pour Feghouli avant la fin du mercato. À en croire les médias turcs, le club de la capitale aurait proposé au joueur algérien de s’engager avec le Dinamo Kiev (Ukraine), Rennes (France) et l’Olympiakos (Grèce). Feghouli devrait, ainsi, changer d’air puisque le coach Fatih Terim ne compte pas tellement sur lui cette saison, s’il (Feghouli) veut gagner du temps de jeu et figurer dans les prochains plans du nouveau sélectionneur national, Djamel Belmadi.
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