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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
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Bouira: La mouche de l’olive ravage les vergers

Thu, 11/08/2018 - 09:47

Farid Haddouche

Une journée d’information et de sensibilisation contre la mouche de l’olive a été organisée ce lundi par la chambre d’agriculture et l’institut national de la protection des végétaux (INPV) de Draa Ben Khedda.

Dans le cadre de la lutte préventive contre la mouche de l’olive qui ravage le fruit. Selon le secrétaire général de la chambre d’agriculture, «cette journée de prévention est dédiée aux oléiculteurs de la wilaya de Bouira, afin de sensibiliser sur les méthodes de lutte préventives contre la mouche d’olive». Si l’ampleur des dégâts de cet insecte ravageur du fruit de l’olivier n’est pas si destructrice des vergers oléicoles dans la wilaya de Bouira, mais dans la région Est sa présence est signalée. Il été quand même rapporté que dans la localité d’El Esnam des oléiculteurs possédant des oliveraies endurent la nuisance de cet insecte qui détruit et compromet leurs récoltes. Un technicien de l’INPV effectuera une démonstration devant les oléiculteurs sur les mesures prophylactiques à prendre, et sur comment effectuer les travaux des sols et l’irrigation au moment favorable.

Ensuite, il s’étalera sur les procédés que doivent suivre les oléiculteurs pour éliminer la mouche d’olive. Dans ce sens, il leur a été suggéré d’appliquer une méthode traditionnelle qui consiste à mettre en place des pièges tels que le piège à glu, ou le piège attractif alimentaire. La méthode chimique qui consiste en le traitement par les insecticides des bandes d’oliviers, a été également prônée par les techniciens parce que jugée très efficace. Il faut faire connaître que les conditions climatiques qui sévissent en cette période alternant le chaud et le froid, favorisent le développement de la mouche de l’olive et sa grande activité. Cependant, ces opérations recommandées contribuent dans la lutte contre cet insecte qui ravage l’olive, en lui causant ainsi des dégâts, et des pertes très substantielles.

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El Affroun: Incendie dans une maison, un père et son fils atteints de brûlures

Thu, 11/08/2018 - 09:43

T. M.

L’unité de la protection civile d’El Affront a dépêché ses éléments avant-hier mardi à 18 heures 15 pour porter secours à un père et à son fils atteints de brûlures après que le feu a pris en leur domicile suite à une fuite de gaz butane.

Le père, âgé de 46 ans, a subi des brûlures du deuxième degré au niveau du visage alors que son fils, âgé de 10 ans, a été brûlé au deuxième degré lui aussi au niveau du dos et des jambes. Les deux victimes ont été secourues puis évacuées vers le CHU Frantz Fanon par les agents de la protection civile.

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Consommation: Les prix des fruits et légumes s’envolent

Thu, 11/08/2018 - 09:40

Tahar Mansour

Il a fallu quelques jours de pluie ininterrompue pour que les prix des fruits et légumes s’envolent et atteignent les cimes, surtout les produits hors saison. Ainsi, la pomme de terre, de qualité moyenne, est vendue entre 55 et 75 DA, l’oignon en début de pourrissement coûte entre 25 et 40 DA et la tomate, pas si rouge que cela, vaut entre 120 et 180 DA le kilo. L’ail atteint 250 DA pour une qualité plutôt mauvaise alors que la carotte, la betterave et le navet sont vendus entre 70 et 100 DA le kilo, contre 180 à 220 DA pour la courgette. C’est presque le même prix, soit 150 à 200 DA pour le poivron au moment où le chou-fleur est vendu entre 130 et 150 DA le kilo. La salade est aussi très chère entre 150 et 180 DA le kilo, les haricots rouges à écosser sont entre 200 et 250 DA, les haricots verts à 200 DA le kilo en moyenne.

Pour les fruits, le raisin a été pourri par les dernières pluies et coûte entre 200 DA presque immangeable, et 350 DA pour une meilleure qualité, les pommes sont vendues entre 100 DA pour les toutes petites qu’on ne donnerait pas à un animal et 400 DA pour les meilleures, alors que les poires valent entre 150 et 300 DA, toujours selon la qualité et les lieux. La grenade est vendue à partir de 150 DA le kilo et atteint parfois les 250 DA, le melon, en fin de parcours coûte 120 DA le kilo et la mandarine encore verte vaut entre 120 et 180 DA le kilo. Les dattes, en pleine saison, sont cédées entre 250 DA pour la plus basse qualité et 600 DA pour les plus belles. Il y a aussi les olives pour lesquelles nous sommes en pleine cueillette et qui sont proposées entre 120 et 200 DA selon la qualité et le calibre. La vente d’olives non préparées est un phénomène nouveau apparu depuis que les ménages préfèrent les acheter ainsi pour les préparer chez eux, revenant un peu vers ce que faisaient leurs parents, ou pour les emmener dans les huileries qui les triturent pour en extraire une huile plus pure et plus sûre que celle que nous trouvons sur le marché à des prix plutôt élevés, entre 700 et 850 DA le litre.

Quant aux viandes blanches, elles ne veulent plus descendre de leur perchoir et coûtent entre 260 et 300 DA pour le poulet plein (de 340 à 380 le kilo de poulet vidé), la dinde est à 400 DA le kilo de tout-venant et de 650 à 800 DA le kilo d’escalope, le foie et le cœur ayant dépassé la barre des 1100 DA depuis longtemps. La viande rouge va de 950 DA pour celle du veau avec os à 1400 DA pour les steaks et de 1200 à 1600 DA le kilo de mouton.

Les autres produits de large consommation ont aussi connu des augmentations significatives, à l’image du café qui a pris plus de 60 DA par kilo (15 DA le paquet de 250 g), des fromages dont les prix sont trop élevés par rapport à leur qualité, des haricots blancs à 220 DA le kilo et les lentilles entre 160 et 200 DA le kilo.

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Algérie-Maroc: Mohammed VI appelle à un «dialogue direct et franc»

Thu, 11/08/2018 - 09:38

Yazid Alilat

C’est un discours absolument nouveau à l’égard de l’Algérie qu’a prononcé mardi soir le roi du Maroc Mohammed VI, qui a appelé à la normalisation des relations entre les deux pays, proposant dans la foulée la mise en place d’un mécanisme bilatéral devant mettre à plat tous «les différends», tous «les contentieux». Il a expliqué dans son discours à l’occasion du 43ème anniversaire de la «marche verte» qui a donné le feu vert pour l’occupation du Sahara Occidental, que les relations entre Alger et Rabat «échappent à la normalité, créant, de fait, une situation inacceptable». Mohammed VI récuse d’emblée une «tierce partie» chargée de jouer le rôle de médiateur entre les deux pays pour normaliser leurs relations, estimant qu’il n’est «nul besoin qu’une tierce partie joue, entre nous, les intercesseurs ou les médiateurs». Il a même affirmé que depuis son accession au trône, il a appelé «avec sincérité et bonne foi à l’ouverture des frontières entre les deux pays, à la normalisation des relations maroco-algériennes». Dès lors, Mohammed VI déclare «la disposition du Maroc au dialogue direct et franc (avec l’Algérie sœur), afin que soient dépassés les différends conjoncturels et objectifs qui entravent le développement de nos relations.» Et propose, dans la foulée, «la création d’un mécanisme politique conjoint de dialogue et de concertation», estimant que «le niveau de représentation au sein de cette structure, son format, sa nature sont à convenir d’un commun accord.» «En vertu de son mandat, ce mécanisme devra s’engager à examiner toutes les questions bilatérales, avec franchise, objectivité, sincérité et bonne foi, sans conditions ni exceptions, selon un agenda ouvert», ajoute t-il.

En outre, ce mécanisme, a-t-il dit, «pourra constituer le cadre pratique d’une coopération, centrée sur les différentes questions bilatérales, notamment celle qui a trait à la valorisation des opportunités et des potentiels de développement que recèle la région du Maghreb.» Et «son rôle sera aussi de contribuer au renforcement de la concertation et de la coordination bilatérales pour permettre de relever efficacement les défis régionaux et internationaux, notamment ceux qui sont liés à la lutte anti-terroriste et à la problématique migratoire.» Le roi du Maroc ne perd pas de vue les questions de l’heure qui préoccupent la communauté internationale et compte ainsi mettre en place ce mécanisme pour notamment renforcer la coopération en matière de lutte antiterroriste et contre l’immigration clandestine. Selon un haut responsable marocain cité par l’AFP, le mécanisme évoqué par Mohammed VI «permettrait de discuter sans tabou de toutes les questions bilatérales en suspens et de mettre tous les griefs sur la table: la drogue, la contrebande, la question du Sahara occidental, les faits historiques non clarifiés, les conventions non respectées.» Comme ce mécanisme «permettrait d’identifier les projets de coopération bilatérale dans des domaines clefs comme la sécurité, et de coordonner les actions sur les questions plus globales comme la migration et le terrorisme», ajoute la même source. «On espère que l’Algérie répondra positivement pour déjouer les pronostics, qui nous décrivent comme une région condamnée à la division», a insisté le haut responsable gouvernemental en soulignant que «d’autres pays ont pu surmonter les difficultés en tablant sur le dialogue et en pariant sur un avenir commun». En outre, «le Maroc est ouvert à d’éventuelles propositions et initiatives émanant de l’Algérie pour désamorcer le blocage dans lequel se trouvent les relations entre les deux pays voisins frères», ajoute le souverain marocain qui a précisé que «nous ne ménagerons aucun effort, au Maroc, pour asseoir nos relations bilatérales sur de solides bases de confiance, de solidarité et de bon voisinage.»

Le discours à la nation du souverain marocain contraste fortement avec le ton adopté ces dernières années par Rabat vis-à-vis de l’Algérie. Au mois de mai dernier, le chef de la diplomatie marocaine, Nacer Bourita, n’a pas hésité à provoquer une crise diplomatique avec l’Algérie en l’accusant de fermer les yeux sur un supposé approvisionnement en armes sur son sol au Front Polisario par l’Iran, via le Hezbollah libanais. Il y a quelques jours, le même ministre marocain s’est rendu à Nouakchott, en Mauritanie, à l’issue de la première foire commerciale algérienne qui a été couronnée de succès.

Le renforcement des relations commerciales et économiques entre Alger et Nouakchott n’a pas été, visiblement, apprécié à Rabat qui craint une présence de plus en plus marquée des opérateurs et investisseurs algériens sur le marché mauritanien et, au-delà, vers l’Afrique. «Last but not least», la dernière visite d’une délégation gouvernementale algérienne à Rabat, qui devait en juin 2005 aborder tous les dossiers des relations bilatérales, avait été annulée par le Maroc, qui l’a qualifiée d’ «inopportune». Du reste, les volte-face du Maroc à l’égard de l’Algérie sont connues. Alors, quel crédit accorder à la «énième» «initiative» du roi ?

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En marge de l’inauguration du complexe de Cevital dans les Ardennes: Macron promet un visa moins contraignant pour les Algériens

Thu, 11/08/2018 - 09:36

Moncef Wafi

Et s’il n’était plus aussi laborieux d’avoir un visa d’entrée pour la France? A croire le président français, des instructions ont été données par Paris aux consulats de France en Algérie de faire preuve de «flexibilité» dans l’étude des demandes de visa introduites par les Algériens.

Selon le quotidien El-Bilad, Emmanuel Macron a déclaré avoir instruit « l’ambassade de France à Alger de faciliter l’établissement des visas pour les journalistes, les hommes d’affaires et les écrivains », en marge de l’inauguration du complexe de Charleville-Mézières, du groupe Cevital. « Nous avons demandé à notre ambassade de faire en sorte que les demandes émanant des ressortissants algériens soient étudiées avec plus de pragmatisme qu’avant ». Les explications du locataire de l’Elysée prouvent, si besoin est, que l’attitude française dans la délivrance des visas avait durci, ces derniers mois, poussant les Algériens à se poser de réelles interrogations sur les raisons et les intentions de Paris. Pressions, marchandages, chantages, toutes les lectures ont été exploitées pour comprendre le durcissement des Français dans l’octroi des visas, ce que l’ambassadeur de France en Algérie a tenu à démentir lors d’une interview accordée au Quotidien d’Oran, en juillet dernier. Xavier Driencourt avait précisé qu’il n’existe pas de quotas ou de réduction du nombre de visas en réaction à des restrictions sur les importations « mais qu’il y a des contrôles plus stricts pour des raisons dues au changement du paysage migratoire européen ». Il s’est étonné des affirmations algériennes sur la limitation du nombre des visas, rappelant que son pays en délivre 400 mille par an. Il avait également indiqué que face au changement du paysage migratoire européen, « le président de la République, le ministre de l’Intérieur en France sont, comme leurs homologues européens préoccupés par ce phénomène et par les migrations clandestines; donc, effectivement, ils demandent aux consuls généraux de faire en sorte que les dossiers soient complets, sincères et réguliers. Il n’y a pas de remise en cause de l’immigration, il y a simplement un contrôle plus fin de l’immigration légale et régulière ».

Hier, et sur le site de Charleville-Mézières, Macron a ajouté attendre « une invitation du président Bouteflika pour se rendre à nouveau en Algérie », expliquant qu’il tenait à travers ses instructions, à «maintenir le bon niveau des relations» entre l’Algérie et la France. Des relations qui ont connu des tensions palpables avec ce dossier des visas.

Par ailleurs, le président français a visité les anciens locaux de PSA à Charleville-Mézières où le groupe Cévital va implanter ses trois usines de fabrication de membranes et de stations de production d’eau ultra pure, de dessalement de l’eau de mer et de traitement des eaux usées, utilisant la nouvelle technologie développée par EvCon, filiale de Cevital. A cette occasion, Macron a rencontré le P-dg du groupe, Issad Rebrab, et le projet ardennais, qui doit voir le jour d’ici 2019, s’étend sur 62.200 m² alors que 1.000 emplois sont attendus. Macron a promis l’appui de la France, « soit en rentrant au capital de la société, soit en accordant des financements ».

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Blida: Un jeune tente de s’immoler par le feu

Thu, 11/08/2018 - 09:32

Tahar Mansour

  Un jeune homme âgé de 27 ans a tenté, avant-hier mardi aux environs de 17 heures, de s’immoler par le feu au niveau de la cité 520 logements Sidi Aïssa (Guerrouaou), en s’aspergeant d’essence et en y mettant le feu. Les sapeurs-pompiers de l’unité d’Ouled Yaïch ont porté secours au malheureux, qui a été brûlé au deuxième degré sur l’ensemble du corps, et l’ont évacué vers le CHU Frantz Fanon où il a été pris en charge.

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Ambassadeur de la RASD en Algérie : Le discours de Mohamed VI est « contradictoire »

Wed, 11/07/2018 - 23:42

L’ambassadeur de la République arabe sahraouie démocratique (RASD) en Algérie, Abdelkader Taleb Omar a affirmé, mercredi à Alger, que le régime marocain tend à « saper » les efforts visant le règlement du conflit au Sahara Occidental.

Selon l’ambassadeur sahraoui le Front Polisario « s’attendait à ce que le régime marocain se rende à l’évidence et se conforme à la légalité internationale…mais malheureusement, il persiste dans son obstination et son escalade et ne montre aucune volonté de mettre fin à son occupation ».

Estimant que le discours du Souverain marocain « dénote d’une grande supercherie visant l’opinion publique internationale », le diplomate sahraoui relève des contradictions, notamment lorsque « le Roi Mohamed VI souligne l’engagement de Rabat à soutenir les efforts du SG de l’ONU et son émissaire personnel, Horts Kohler et fixe, en contrepartie, des conditions et des références, non reconnues, comme préalable au règlement du conflit, en allusion à ‘l’hypothèse de l’autonomie’. Pour M. Talab Omar, tout processus de règlement doit reposer sur le droit du peuple sahraoui à l’autodétermination.

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Issad Rebrab : « On continuera d’investir, de créer de la richesse et de l’emploi en Algérie »

Wed, 11/07/2018 - 23:21

Dans une déclaration faite à Ennahar TV, Issad Rebrab a évoqué, lors de l’inauguration de ses projets à Charleville-Mézières, au Nord-est de la France, les raisons pour lesquelles il continuera d’investir, de créer de la richesse et de l’emploi en Algérie. « Nous n’avons jamais arrêté d’investir en Algérie, parce que l’Algérie est un grand pays et puis, en tant que patriote, c’est de mon devoir de créer de l’emploi et de la richesse pour notre pays. On n’a pas de patrie de rechange. », a-t-il affirmé.

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Rallye « Challenge Sahari international » : Abandon de Rivera en moto, le Allahoum/Tognarini toujours en leader en auto

Wed, 11/07/2018 - 22:39

La cinquième étape du Rallye « Challenge Sahari international » a signé la fin de l’aventure pour le leader de la catégorie « Moto », l’espagnol Victot Rivera.

La 5e étape du Rallye « Challenge Sahari international », s’est disputée mardi entre Timimoun et El-Ménéa sur une distance de 344 km, un parcours formé de dunes tantôt petites et tantôt grandes, avec parfois des passages sablonneux plus ou moins rapides. Une étape longue, variée et assez ardue, digne des étapes historiques du Paris-Dakar qui se sont déroulé sur ce même terrain.

Les pilotes de tête, quoique très rapides, ont été contraints de gérer leur effort et préserver leur avance au général. Malheureusement, à moins de trois kilomètres du départ, Victor Rivera est tombé, probablement à cause d’une pierre. Il a été immédiatement secouru et, même s’il a seulement souffert d’une belle echymose au bassin, il a préféré abandonner et rentrer à Barcelone pour se soigner en prévision de sa fin de saison. Un abandon qui fait l’affaire de l’italien RUOSO Alessandro.

En catégorie auto, le duo Fodil Allahom (Algérie) et Tognarini (Italie) maintient le bon rythme et rets scotché à la première place.

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Essai à venir : Cupra Ateca 300 chevaux

Wed, 11/07/2018 - 22:38

Nous sommes sur les routes de Barcelone pour découvrir le premier modèle de la désormais marque à part entière, Cupra et son Ateca de 300 chevaux et 400Nm de couple.

Certes, ce n’est pas un modèle 100% Cupra puisque c’est une version sur-vitaminée du modèle Seat Ateca, mais prendre le risque de commencer avec un SUV pour lancer une nouvelle marque donne des idées sur les intentions de Cupra.

Le Cupra Ateca, tout en gardant l’allure générale de celui de Seat, s’offre un look bien à lui avec à l’avant une grille supérieure dotée d’alvéoles intérieures, avec le nouveau logo Cupra apposé au centre. Les lettres Cupra apparaissent en aluminium mat sur la grille inférieure, juste au-dessus du pare-choc au design exclusif. L’avant sculpté du Cupra Ateca est renforcé par les feux LED distinctifs. On retrouve également les détails en noir brillant à l’extérieur de la Cupra Ateca : les rails de toit, les rétroviseurs extérieurs, le cadre des fenêtres, les moulures latérales, les roues, la grille avant, les diffuseurs avant et arrière ainsi que les becquets qui encadrent la lunette arrière. Certaines fonctionnalités soulignent la personnalité de la voiture, comme par exemple l’éclairage de bienvenue qui projette le nom et le logo au sol. Les étriers de freins noirs puissants, le pare-choc arrière sportif, le logo Cupra cuivré sur le coffre, les quatre pots d’échappement au bord du diffuseur arrière et les roues diamantées exclusives de 19 pouces en alliage ornées du logo de la marque sportive complètent son approche sportive et dynamique mais sans trop en jeter pour rester sobre tout en étant sportif. Cupra le fait bien savoir d’ailleurs, elle qui déclare vouloir proposer une vision plus contemporaine de la sportivité, celle qui veut que cela soit inutile de miser sur le luxe pour se sentir unique. Enfin, six couleurs de carrosserie sont disponibles : Bleu Energy, Rouge Velvet, Argent Reflex, Gris Rodium, Noir Magique, Blanc Nevada.

Reste à savoir ce que nous offrira comme sensations et sentiments ce Cupra Ateca une fois à bord. On y reviendra avec un essai détaillé.

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Peugeot Algérie : L’agent Bakalem signe un partenarait avec Al Salam Bank

Wed, 11/07/2018 - 22:38

L’agent Peugeot Bakalem de Bordj El Kiffan, annonce la signature d’un partenariat avec Al Salam Bank ce qui permettra aux clients de profiter du crédit à la consommation.

Suite à ce partenariat, la Peugeot 208 TechVision va rejoindre l’offre « Taysir » d’Al Salam Bank, une formule de crédit conforme aux préceptes de la Shari’a.

Pour rappel, la Peugeot 208 Techvision est animée par le 1.6 HDi 92ch BVM5 et ce au prix de 2.699.000 TTC et embarque l’ABS, le Régulateur et Limiteur de vitesse, 4 airbags, l’ESP, l’aide au freinage d’urgence, le Hill Assit, l’écran tactile 7″ Bluetooth/USB , Climatisation à régulation BI-ZONES, Radar arrière et caméra de recul, Toit panoramique, feux de jour DRL à LED, Feux arrière Griffes 3D LEDS, jantes en alliage 16’’ TITANE, Alarme, Allumage automatique des feux, Rétroviseurs rabattables électriquement, Vitres Sur-teintées, Volant croûte de cuir, accoudoir central, Essuie glace automatique, Détecteur de sous gonflage, Coques de rétroviseurs chrome brillant ….

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Produits pyrotechniques : plus de 62 millions unités de pétards saisis

Wed, 11/07/2018 - 22:35

Plus de 62 millions de pétards et autres unités de produits pyrotechniques ont été saisis durant les quatre derniers mois à travers le territoire national a révélé mercredi Hakim Badjoudj, resposable à la direction générale des Douanes algérienne devant la Commission des Finances de l’APN à l’occasion des autitions autour du PLF 2019.
Une campagne de sensibilisation sur les dangers des produits pyrotechniques lancée

Par ailleurs, une campagne nationale de sensibilisation quant aux dangers de ces produits sur la santé des enfants a été lancée ce mercredi par le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, impliquant d’autres secteurs et ciblant notamment les parents, a annoncé un responsable du ministère.

Placée sous le slogan « Des dinars en fumée et des vies en danger », cette campagne, qui prendra fin le 18 novembre, est dictée par la célébration de la fête du Mawlid Ennabaoui, le 20 novembre, durant laquelle l’utilisation de ces produits prohibés atteint son paroxysme, avec son lot d’accidents corporels, aux conséquences parfois graves et irréversibles, voire mortelles, précise à l’APS le Chargé de Prévention contre les accidents domestiques au ministère, Dr Rédha Hadj Mati.

La démarche consiste notamment à informer, via tous les supports médiatiques et autres portes ouvertes et conférences, le grand public, en premier lieu les parents, sur ce qui représente « un réel problème de santé publique », ajoute-t-il, faisant savoir que les Imams et les « Mourchidates » ont été mis à contribution pour consacrer leurs prêches religieux à cette question.

Tout en soulignant que ce sont les pétards qui viennent en pole position, le spécialiste fait remarquer la panoplie « de plus en plus dangereuse » mise sur le marché, ces dernières années, et dont  « l’appellation populaire même donne des frissons ».

Pour autant, avertit-il, même les pétards de « petite taille » peuvent entraîner des brûlures et des mutilations, dont les cicatrices sont « à vie et que la chirurgie ne peut qu’améliorer ». D’où, relève-t-il, l’impératif pour les parents « qui achètent eux-mêmes » ces produits, d’être sensibilisés sur cette question.

A titre illustratif, Dr Hadj Mati fait savoir qu’en 2015, la Clinique centrale des brûlés Pierre et Claudine Chaulet (Alger) a reçu, durant la célébration de cette fête religieuse, 30 urgences, en majorité des enfants de moins de 15 ans, présentant des brûlures entre le 1er et le 2é degrés, avec fractures et plaies, essentiellement au niveau des mains et du visage.

Pour y exercer, par ailleurs, en tant que chirurgien, le spécialiste fait, néanmoins, observer que le nombre des blessés a chuté comparativement à l’année précédente durant laquelle les pétards avaient causé 52 blessés dont 41 enfants de moins de 15 ans.

Le représentant du ministère de la Santé tient, en outre, à souligner que le défi consistant à mettre fin, ou tout au moins à réduire, la dangerosité de ce phénomène incombe également aux autres acteurs concernés, à savoir les ministères de l’Intérieur et des Collectivités locales, de l’Education nationale, du Commerce, des Finances (Douanes), la Protection civile, etc.

Ceci, argumente-t-il, d’autant plus que l’utilisation de ces produits ne se limite plus au Mawlid Ennabaoui mais est observée, depuis quelques années, lors de la célébration des différentes circonstances festives, en sus de leur prévalence dans les stades lors des matchs de football notamment.

Ce pourquoi, un Comité d’organisation multisectoriel composé de membres issus de ces institutions est mis en place pour piloter et mener cette campagne, qui cible, par ailleurs, les professionnels de la Santé pour leur rappeler « les bonnes pratiques » à adopter lorsqu’ils sont confrontés aux cas de brûlures ou d’amputations, conséquemment à la manipulation des produits pyrotechniques.

Outre cette action nationale, le ministère de la Santé a lancé, le 20 octobre dernier, une campagne au niveau local, à travers une note adressée aux 48 Directeurs de la Santé et de la Population (DSP) leur enjoignant de lancer diverses manifestations de sensibilisation sur les risques encourus par l’utilisation des pétards et autres produits pyrotechniques.

« La société algérienne est la seule, dans le monde arabo-musulman à fêter le Mawlid Ennabaoui de cette manière et nous ignorons l’explication de ce phénomène « , conclut Dr Hadj Mati, rappelant que depuis 1963, l’Algérie avait pourtant mis en place un dispositif législatif prévoyant « des sanctions contre la commercialisation et l’usage » des produits pyrotechniques.

Les précisions de Hakim Badjoudj à l’APN responsable à la direction générale des Douanes algériennes

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Oum El Bouaghi : plus de 3500 logements publics locatifs seront distribués en 2019

Wed, 11/07/2018 - 22:34

Un quota de 3557 logements de type public locatif (LPL) sera distribué dans la wilaya d’Oum El Bouaghi au cours du premier trimestre 2019, a-t-on appris,  mercredi auprès de l’Office de promotion et de gestion immobilière (OPGI).

Le directeur local de l’OPGI, M. Chaouki Hebita a indiqué à l’APS que le chantier de réalisation de ce nombre « important » de logements de type LPL à travers la wilaya d’Oum El Boughi a été parachevé et qu’il ne reste pour le moment que « quelques travaux liés à l’aménagement extérieurs dans certains quartiers d’habitations ».

M. Hebita a, par ailleurs, ajouté que ce quota de logements a été affecté aux 29 communes de la wilaya dont 805 unités pour la commune d’Aïn M’lila, 670 logements  pour Aïn   El Beïda et près de 400 autres pour la commune d’Aïn Kercha.

A ce même propos, il a rappelé que plus 3000 LPL ont été distribués dans la wilaya d’Oum El Bouaghi entre 2017 et 2018.

Il est à noter que selon le directeur local du logement, M. Fodil Benyounes que pas moins de 350 logements de type promotionnel aidé (LPA)  et 500 autres de type location-vente seront distribués dans la wilaya d’Oum El Bouaghi « d’ici le premier trimestre 2019 au plus tard ».

Cette même période donnera lieu également à la distribution de 2500 lotissements de terrains dans le cadre du programme des Hauts-plateaux et des wilayas du sud ainsi que 130 aides financières à l’habitat rural, a-t-il ajouté.

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Yousfi à Tokyo où il a pris part à un séminaire économique algéro-japonais

Wed, 11/07/2018 - 22:33

Le ministre de l’Industrie et des Mines, M. Youcef Yousfi, a pris part, mercredi à Tokyo, en compagnie de hauts responsables nippons, à un séminaire économique algéro-japonais, indique un communiqué du ministère.

En marge de cette rencontre, qui a enregistré la participation d’une centaine d’entreprises japonaises et d’une trentaine d’opérateurs algériens, le ministre s’est entretenu avec M. Kenji Yamada, vice-ministre parlementaire auprès du ministre japonais des affaires étrangères et M. Hirofumi Takinami, vice-ministre auprès du ministre japonais de l’économie, du commerce et de l’industrie.

Les entretiens avec ces deux responsables ont porté sur la coopération bilatérale dans les domaines de l’industrie et des mines, selon la même source.

Le Ministre s’est, également, entretenu avec M. Hirano Katsumi, vice-président de l’Agence japonaise du commerce extérieur, avec qui il a abordé le rôle que pourrait jouer cette organisation dans la sensibilisation et l’accompagnement des entreprises japonaises désirant investir en Algérie.

M. Yousfi a, d’autre part, accordé des audiences à des responsables des constructeurs automobiles japonais Suzuki et Nissan. APS

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Pétrole : Moscou et Ryadh ont commencé à discuter de réduire la production, en 2019

Wed, 11/07/2018 - 22:32

La Russie et l’Arabie saoudite ont entamé des discussions sur une réduction de leur production l’année prochaine, à la suite des fortes baisses des prix du pétrole du mois dernier, selon un rapport de l’agence de presse russe TASS.

La Russie et l’Arabie saoudite ont déjà apporté plusieurs modifications à leurs plans de production cette année en raison de l’évolution des perspectives de production et de consommation.

En juin, la Russie et l’Arabie saoudite avaient commencé à augmenter leur production, la croissance rapide de la consommation et la perte de production du Venezuela réduisant les stocks plus rapidement que prévu et faisant monter les prix.

En août et septembre, la Russie et l’Arabie saoudite ont ressenti de nouvelles pressions pour accroître leur production, les négociants en pétrole étant inquiets de la perte des exportations iraniennes en raison des sanctions imposées par les Etats-Unis et de la flambée des prix.

Depuis lors, les signes d’une nouvelle hausse de la production de schiste américain, les inquiétudes concernant la croissance de la consommation et les dérogations aux sanctions imposées aux exportations iraniennes ont entraîné une forte baisse des prix et incité à repenser encore une fois.

Les principales sources d’incertitude pour la Russie et l’Arabie saoudite proviennent de la situation de l’économie mondiale et de la consommation de pétrole et de la production issue des champs de schiste américains.

Au cours des dernières semaines, les économistes et les investisseurs sont devenus de plus en plus pessimistes quant aux perspectives de croissance mondiale et, par extension, à la consommation de pétrole en 2019, entraînant une chute brutale des cours des actions et du pétrole.

Alors que la consommation de pétrole menace de décevoir à la baisse, la production des gisements de schiste aux Etats-Unis est surprenante à la hausse, renforçant le défi de la gestion du marché pour l’OPEP.

La production américaine de schiste a augmenté beaucoup plus rapidement que prévu cette année, avec une production supérieure de 2 millions de barils par jour en août par rapport au même mois de l’année précédente.

L’Agence américaine d’information sur l’énergie (EIA) prévoit désormais que la production de bruts et de condensats atteindra en moyenne 10,90 millions de bpj en 2018, contre seulement 9,95 millions de barils par jour il y a 12 mois.

L’agence a relevé ses prévisions concernant la production moyenne de pétrole brut et de condensats à 12,06 millions de bpj en 2019, contre 10,85 millions de bpj en janvier.

Ces énormes révisions à la hausse de la production de schiste aux Etats-Unis, conjuguées à une perspective de croissance mondiale dégradée, ont laissé les membres de l’OPEP moins d’autre choix que de revoir leurs plans de production.

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Libye : l’émissaire onusien appelle à « l’unification » des organes de l’Etat libyen

Wed, 11/07/2018 - 22:31

L’émissaire spécial de l’ONU en Libye, Ghassan Salamé, a appelé, mercredi, à partir de Tunis, les Libyens à oeuvrer en faveur de l’unification des institutions de l’Etat du pays afin de résoudre la crise actuelle, soulignant que « seuls les Libyens décideront de leur destin politique », ont rapporté des médias locaux.

S’exprimant en marge d’une réunion avec le ministre tunisien des Affaires étrangères, Khemais Jhinaoui, à Tunis, M. Salamé a exhorté les Libyens à oeuvrer en faveur de l’unification des institutions de l’Etat afin de surmonter la crise actuelle, précisant que « les Libyens eux-mêmes devaient aider à décider du destin politique du pays », ont indiqué des médias tunisiens.

L’envoyé des Nations unies a indiqué qu’il compte soumettre jeudi un rapport au Conseil de sécurité des Nations Unies portant sur les résultats des récents efforts de l’ONU pour résoudre la crise qui dure depuis des années en Libye, ont ajouté les mêmes sources.

La Mission d’appui des Nations unies en Libye a annoncé en septembre dernier que les différentes parties à la crise libyenne avaient convenu d’un plan appelant au retrait de tous les groupes armés de la capitale Tripoli.

Lors de sa réunion avec le ministre tunisien des Affaires étrangères, M. Salamé et M. Jhinaoui ont exprimé l’espoir que la conférence internationale de Palerme sur le conflit libyenne prévue les 12 et 13 novembre serait « un pas en avant vers la recherche d’une solution pacifique à la crise en cours dans le pays », a précisé un communiqué du ministère tunisien des Affaires étrangères, cité par la presse.

Le chef de la diplomatie tunisienne a souligné également que « la stabilité en Libye revêt une importance majeure pour la Tunisie ».

M. Jhinaoui a fait part, à cette occasion, de sa satisfaction quant aux efforts faits par M. Salamé pour concrétiser le récent accord de cessez-le-feu à Tripoli, affirmant que « la Tunisie appuie fortement ces efforts onusiens pour raviver l’économie libyenne et parvenir à une résolution politique globale en harmonie avec la feuille de route des Nations Unies ».

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Arrêt de la station de dessalement d’El Hamma (Alger): l’alimentation en eau potable assurée

Wed, 11/07/2018 - 22:31

La Société des eaux et de l’assainissement d’Alger (SEAAL) a pris des « mesures préventives » pour garantir l’approvisionnement continu de la population en raison de l’arrêt de la station de dessalement d’El Hamma, du 4 au 8 novembre pour entretien périodique, a fait savoir le directeur d’exploitation de l’eau, Slimane Bounouh.

La station de dessalement d’El Hamma assure, au quotidien, 200 000 m3 d’eau potable, soit le cinquième (1/5) des besoins de la capitale.

L’approvisionnement quotidien des 57 communes de la capitale en eau potable est estimé à 1,2 million m3.

Dans une déclaration à la presse au terme d’une visite de terrain à la station de dessalement d’El Hamma, M. Bounouh a indiqué que des perturbations dans la distribution d’eau potable ont été enregistrées à l’est et au centre de la wilaya d’Alger du 4 au 8 novembre, en raison des travaux d’entretien périodique.

Pour remédier à ce manque durant 4 jours, Seaal a recouru à d’autres sources pour assurer l’approvisionnement en eau potable, a-t-il déclaré précisant qu’il s’agit du barrage de Taksebt à Tizi Ouzou (200.000 M3 /jour), de sept puits remis en service à El Hamiz (7000 M3/ jour) et de la station de Fouka (500 M3/jour).

Seaal a fait le choix, durant ces jours, d’assuré un approvisionnement en eau potable aux habitants de la capitale entre 6h00 et 20h00 avec des coupures durant la nuit pour permettre le remplissage des réservoirs, a-t-il indiqué.

Les travaux de maintenance et d’entretien périodique de la station de dessalement d’El Hamma seront achevés jeudi à 9h00 du matin, ce qui permettra une reprise de l’approvisionnement en eau potable 24h/24h, a précisé M. Bounouh.

Le chef du centre d’appels Seaal de Bir Mourad Raïs, Bilal Boussidi a fait état de l’organisation d’une campagne de sensibilisation au profit des clients de la Seaal sur l’arrêt périodique de la station de dessalement d’El Hamma pour des travaux de maintenance, indiquant que les appels des citoyens ont porté essentiellement sur le taux d’avancement des travaux vu qu’ils étaient informés au préalable de ces perturbations.

Du dimanche au mercredi, le centre d’appels de Bir Mourad Raïs a reçu entre 1500 et 1800 appels avec un pic de 2000 appels mercredi.

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L’interview de l’astrophysicien Tahar Amari à l’APS

Wed, 11/07/2018 - 22:28

Question 1- Enfant de la banlieue parisienne, dont les origines sont algériennes, comment êtes-vous arrivés à devenir astrophysicien de renommée mondiale ?

Réponse :  Pourquoi l’astrophysique ? C’est vrai que cela aurait pu être aussi la recherche médicale, ou les lois qui gouvernent  l’Univers.

C’est précisément, tout d’abord, à mon père Mohand-Said venu des montagnes de petite Kabylie, que je dois cette impulsion initiale. En effet, il me disait de lever la tête et que tout avait une explication, et qu’à toute maladie, il existait un remède qu’il fallait chercher…. Sans savoir lire, il était déjà scientifique, car la science se définit par cet état d’esprit, savoir qu’il existe des lois qui gouvernent le monde et les chercher. Voilà ce qui m’a profondément marqué. Le reste n’est que chemin pour y arriver, et il en existe des milliers de façon. Le moteur était là.

J’ai donc été formé en physique théorique à Paris, puis voulu faire de la recherche sur les lois de l’Univers, mais … c’est le Soleil qui m’a pris le premier et je ne l’ai jamais quitté !

Je n’ai pas choisi d’être de renommée mondiale, car cela n’est pas un but, tout au moins, ce n’était pas le mien.  J’ai pratiqué le handball à haut niveau et là, c’est vrai, que c’est un objectif pour beaucoup de sportifs en général. Mais pour la science, je souhaiterais juste  comprendre, éprouver la joie de découvrir. Pour reprendre l’analogie sportive, je voulais juste avoir plaisir à « jouer » !

2- Ce n’était pas évident pour quelqu’un né à Bobigny, fils d’un cantonnier, de réussir son intégration en France et parvenir à atteindre la sphère scientifique ?

 

Il faut être juste. A Bobigny, là où j’ai été élevé, comme partout en Seine Saint-Denis où je suis né, et souvent décriée, bien que mes parents, immigrés avant ma naissance, n’avaient jamais ni connu ni passé 5 minutes sur aucun banc d’école qui permettait à tous de réussir. La difficulté venait du milieu social, de la culture, de la langue, du niveau de vie très bas. Mais, à l’école, à part de rares cas, tout était possible.

Les institutrices et instituteurs, que j’ai eu la chance de rencontrer, étaient pour la plupart juste et aidant, à l’écoute, ne faisant pas de distinction.

La ville apportait des aides pour contrecarrer les problèmes financiers.

C’était donc dur, oui, comme conditions avec 11 enfants à la maison, mais je pouvais rêver, la tête dans les étoiles, suivant les cours ainsi jusqu’au doctorat !

Lire aussi: Les chercheurs algériens sont « talentueux » mais ont besoin de moyens 

3– Pensez-vous qu’être d’une autre origine en France est un handicap pour la réussite ? Quelles sont, selon vous, les clés de la réussite ?

Mon père était cantonnier, oui, mais il valorisait la connaissance, et cela était très porteur.  L’origine n’était pas vraiment un problème, et pourtant la guerre d’Algérie, n’était pas vraiment lointaine dans mon enfance. On rencontrait quelques préjugés, mais à l’école, quand je méritais des bonnes notes, je les avais.

Je pense que l’école, qui était de très bon niveau dans mon enfance, et qui a pas mal changé depuis, ne doit pas être l’unique source pour réussir.

Le sport est une formation de l’esprit par la pratique et les valeurs qu’il inculque, mais aussi  les entraîneurs qui ont un réel rôle d’éducateur qu’on oublie souvent, et les discussions extérieures aussi. Dans mon cas, avec mon ami de toujours Arab Larabi nous dévorions les ouvrages des philosophes et des hommes de sciences.

4- Votre récente découverte porte sur les tempêtes solaires et leur impact sur la Terre. Pouvez-vous nous expliquer plus ?

Cette découverte avec mon équipe  concerne les éruptions solaires, les mécanismes à leur origine et leur prédiction. Il s’agit de la seconde découverte sur le sujet en moins de 4 ans, les deux ayant fait la Une/couverture du magazine Nature. Une troisième entre les deux également dans Nature concerne le problème de la température de l’atmosphère beaucoup plus chaude, étrangement que la surface du soleil.

Revenons aux éruptions solaires. Les éruptions solaires peuvent envoyer du rayonnement, des particules et une énorme bulle de matière (qu’on appelle plasma) voyageant du soleil à la Terre.

L’ensemble de ces produits de l’éruption peut avoir des impacts importants sur de nombreux secteurs de notre activité économique, des satellites, lanceurs (comme Ariane, etc…), réseaux de distribution d’électricité, GPS, communications maritimes et aériennes, organismes vivants…

Tout cela couterait énormément dans le cas d’une éruption importante comme celle qui a manqué la terre en 2012 et les compagnies d’assurance le savent.

Il devient donc important de prédire une météo spatiale, et comme tout cela vient du soleil avant d’arriver sur terre. Mes recherches sont sur l’origine de ces éruptions, tant au plan fondamental de leurs mécanismes de déclenchement que celui appliqué de leur prédiction.

Ce que nous avons découvert cette année c’est que les éruptions étaient produites par une corde magnétique enfermée dans une cage magnétique et que c’est le combat entre cette corde magnétique et la cage magnétique qui allait dire quelle type d’éruption allait se produire et son énergie maximale.

Pour arriver à cela, nous avons suivi les derniers jours de la grossesse d’une éruption très importante survenue en octobre 2014, provenant d’une région énorme du soleil, pour laquelle les médias s’inquiétaient sur la Terre qui allait être dans le noir quelques mois plus tard.

Nous avons mis au point une méthode mathématique unique pour pratiquer une sorte d’échographie magnétique unique, en utilisant les données du satellite Solar Dynamics Observatory de la NASA, pour savoir quelle était la nature du « bébé » magnétique responsable de l’éruption. Et là, nous avons découvert une corde enfermée dans une cage, toutes deux magnétiques.

Nous avons découvert que la nature de l’éruption et son énergie libérée était contrôlé par le rapport de force entre la corde et la cage et que dans le cas de ce type d’éruption c’est la cage qui l’emportait et aucune bulle de matière n’était éjectée, seule du rayonnement ayant causé des troubles de communications en 2014. Alors que dans l’autre type d’éruptions  comme celui que nous avions découvert en 2014 et qui avait aussi fait la couverture de Nature, c’est la corde qui l’emportait et propulsait une éjection de masse qui devenait un gigantesque nuage magnétique voyageant vers la terre et générant un orage géomagnétique.

5- Vous avez participé récemment au lancement, par l’ambassade d’Algérie en France, du Cercle Saint-Augustin, un cadre de réflexion entre la diaspora algérienne en France pour explorer les possibilités de jeter des passerelles avec l’Algérie. Comment comptez-vous participer à ce cercle de réflexion et quelles sont vos attentes ?

Ce cercle est une excellente initiative. Il n’est pas construit verticalement mais horizontalement, et son but est de permettre la création active d’un réseau d’expertises et d’expériences permettant de favoriser les interactions fructueuses avec les institutions, jeunes et moins jeunes chercheurs, universitaires ou non en Algérie.

Les attentes sont différentes. Certains collègues ont étudié en Algérie et connaissent bien le système éducatif et de recherche et ont parfois connu des difficultés à construire le pont avec l’Algérie. N’ayant pas été élevé et éduqué en Algérie, j’ai un regard neuf et naïf peut-être. Je suis donc optimiste dans ce sens. Nous sommes souvent isolés et ignorons les expériences des autres collègues et le Cercle peut permettre de coordonner de tels efforts, et de favoriser et aider à construire de telle relations.

6- On parle beaucoup, ces temps-ci, de la diaspora algérienne vivant à l’étranger et de ses capacités à donner un plus aux efforts de recherche et de développement déployés en Algérie. Concrètement, quel apport pourrait donner cette diaspora à l’Algérie, un pays qui a toujours besoin des enfants ?

 

C’est d’abord le pays d’origine qui possède une dynamique et celle-ci est ensuite suivie par une réponse de la « communauté » (je n’aime pas le mot diaspora, ou même communauté) à l’étranger. C’est donc avant tout la formation dans le pays qui est le secteur primordial, une formation adaptée aux besoins économiques.

Ce travail peut et doit aussi être fait en parallèle avec les autorités françaises sur place en Algérie, car des accords de coopération sont établis entre les deux pays et peuvent aussi contribuer à la mise en place d’action. Souvent, comme c’est mon cas, il s’agit de citoyens nés et formés en France.

7- Comment évaluez-vous le niveau de la recherche en Algérie, les moyens mis à sa disposition et quelles sont, d’après vous, les priorités pour arriver à concilier le monde de la recherche au développement économique ?

Les chercheurs Algériens sont talentueux, pas moins que ceux de n’importe quel autre pays. J’en rencontre dans des conférences internationales de haut niveau. Mais le niveau qu’ils arrivent à rejoindre peut être disparate en raison des moyens nécessaires pour mener cette recherche qui sont aussi différents suivant les disciplines.

Un chercheur vit par son lien avec l’International, car la recherche est internationale avant tout. Il faut penser ainsi, car la recherche concerne l’humanité toute entière et est acceptée par elle.  Sinon, l’enfermement est une sorte de mort incompatible. C’est un mécanisme à double flux. Il faut envoyer à l’étranger et accueillir des chercheurs étrangers dans les laboratoires algériens. C’est ce qui est fait dans les pays en pointe de la recherche.

D’où je suis ici, loin du système algérien, je dirais que cela me parait  plus difficile dans le domaine expérimental que celui de la théorie pure où le manque de moyens peut tout de même permettre de progresser. Les expériences nécessitent des moyens importants qui, seuls, peuvent permettre de se hisser à un niveau et ainsi faire que les jeunes chercheurs algériens aient une valeur à l’étranger où ils pourront séjourner et les laboratoires algériens, réciproquement, pourraient être attractifs.

Contrairement à ce que certains pensent, investir dans la science et la recherche c’est gagner dans le développement économique et éducatif, de manière naturelle. C’est investir pour l’avenir des adultes au jeunes. La science ne s’arrête pas qu’aux scientifiques. Elle inonde et nourrit l’éducation et la société. La recherche sert à former les politiques, les  décideurs, les entrepreneurs qui ne deviendrons pas tous des chercheurs. Ils pensent au-delà de l’utilisation immédiate, et cela paie, pour le durable. Le monde politique y gagne aussi.

Il faut accroître les investissements dans la recherche et, plus généralement, c’est science et l’éducation qui seront utiles pour le futur.

Dans des pays comme le Japon, Singapour ou l’Allemagne, le développement va de pair avec la recherche. Le budget de la recherche et l’éducation doit être plus élevé, c’est un investissement pour l’avenir qui payera.

8- Les autorités algériennes ont consenti d’énormes efforts dans la massification de l’enseignement supérieur. Pensez-vous que la place, maintenant, est à la nécessaire intégration professionnelle des diplômés (l’employabilité) ?

Encore une fois, Je ne vis pas ni n’ai jamais vécu en Algérie. Cependant, quand on pense à la recherche, on pense à l’enseignement supérieur. Mais il faut penser éducation tout court. La science, qui forme les citoyens et les protège, commence bien plus tôt avec des esprits plus  jeunes, quels qu’ils soient, qui seront des citoyens bien armés pour réfléchir et atteindront l’enseignement supérieur, bien plus tard.

Les chercheurs contribuent à former les professeurs et les instituteurs qui eux forment ensuite les jeunes.

D’autre part, former par l’enseignement supérieur est bien, mais je m’interroge sur le sens d’engagement sans se soucier de l’intégration professionnelle en même temps. Là encore c’est un système à double flux, les deux en même temps et réciproquement. Il faut travailler avec les entreprises et ne pas attendre la fin de formation pour s’intéresser à elles.

Prenons l’exemple du numérique comme le Big Data. La demande est tellement grande que les entreprises manquent de candidats. Les grandes écoles intègrent de telles formations pour répondre à cette demande pour l’avenir.

En Algérie, il faut une synergie, entre la recherche, qui nourrit l’enseignement, et l’industrie locale et internationale. Les Algériens doivent trouver un emploi correspondant aux besoins des entreprises présentes sur le sol ou à l’étranger.

Des formations avec un lien fort avec l’industrie, incluant de nombreux stages doivent être renforcées.  On comprend qu’on rejoint alors la question des moyens.

Prenons par exemple encore l’informatique, nourriture de base de toute formation ou industrie. Former à la théorie informatique c’est bien, mais ce sont les nombreux stages et classes d’apprentissages qui rendent la connaissance utile. Et pour cela, il faut beaucoup de cours pratiques avec des moyens informatiques à la hauteur.

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Prise de toutes les mesures pour palier à l’apparition de cas de rougeole

Wed, 11/07/2018 - 22:27

ALGER – Le ministère de la Santé de la Population et de la Réforme hospitalière, a indiqué mercredi que toutes les mesures ont été prises pour palier à l’apparition de cas sporadiques derougeole.

Indiquant dans un communiqué que « des cas sporadiques de rougeole sont signalés dans certaines wilayas », le ministère de la Santé a rassuré que « toutes les mesures pour palier à l’apparition de ces cas sont prises conformément au dispositif en vigueur dans le plan national de surveillance au cas par cas de rougeole ».

Ces mesures sont traduises à travers, « la notification immédiate de tout cas suspect de rougeole, la prise en charge médicale de tous les cas suspects, l’hospitalisation des cas compliqués, la réalisation de l’enquête épidémiologique autour des cas suspects, la confirmation sérologique des cas suspects, l’organisation d’une campagne de vaccination ciblant l’entourage des cas, ceci quel que soit le statut vaccinal », souligne le ministère.

Ce dernier  rappelle que « la rougeole, bien qu’elle soit une maladie bénigne reste à très haut risque avec de graves complications pouvant entrainer le décès quand elle touche les nourrissons non encore éligibles à la vaccination, les enfants non vaccinés  et les enfants immunodéprimés ».

Relevant que la vaccination est « la meilleure protection contre la rougeole qui est considérée comme la plus contagieuse des maladies infantiles », le ministère de la Santé  » insiste sur la nécessité de vacciner les enfants contre la rougeole conformément au calendrier national de vaccination ».

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Algérie-Espagne: engagement pour une reconnaissance universelle des fortifications historiques d’Oran

Wed, 11/07/2018 - 22:25

ORAN – L’inscription des fortifications historiques d’Oran au patrimoine mondial est au centre d’un projet de travail collaboratif entre l’Algérie et l’Espagne, a annoncé mercredi le Directeur de la Conservation et de la restauration du patrimoine culturel au ministère de la Culture.

« Les deux pays s’engagent à travailler sur la construction du dossier qui permettra, à terme, de reconnaître la valeur universelle exceptionnelle du système de fortifications d’Oran », a précisé Mourad Bouteflika à l’occasion d’un symposium algéro-espagnol sur la réhabilitation du patrimoine.

« L’action envisagée avec nos collègues espagnols consiste à proposer un dossier de protection de ce système de fortifications sur la liste du patrimoine mondial de l’humanité », a-t-il expliqué dans une déclaration à l’APS à l’issue de cette rencontre technique.

Tenu deux jours durant à l’auditorium de l’Université des sciences et de la technologie d’Oran « Mohamed Boudiaf » (USTO-MB), le symposium a réuni plusieurs spécialistes algériens et étrangers, dont des experts auprès de l’Unesco.

La participation espagnole a permis dans ce contexte de mettre en relief l’expérience de ce pays en matière de restauration et de réutilisation des monuments historiques, qui peut, selon nombre d’intervenants, inspirer les interventions futures sur le système de fortifications érigé durant la période d’occupation espagnole à Oran (1509-1792).

Le représentant du ministère de la Culture s’est félicité à cet égard du fait que « la partie espagnole a affirmé sa disponibilité à accompagner la partie algérienne pour améliorer les niveaux de connaissances et d’intervention ».

Il s’agit, a-t-il développé, d’assurer « la qualification des personnels qui seront amenés aussi bien à intervenir sur ces biens culturels mais aussi à les valoriser et à les intégrer dans un usage moderne et renouvelé ».

Le responsable a toutefois souligné que l’objectif immédiat de son département porte d’abord sur l’inscription des fortifications considérées sur la liste du patrimoine national, signalant qu’un dossier en ce sens sera présenté à la Commission nationale des biens culturels avant la fin de l’année en cours.

Il a également salué les efforts considérables des pouvoirs publics à Oran qui ont conduit à l’évacuation des ensembles d’habitats précaires qui entouraient ces fortifications, aujourd’hui « plus visibles » et pouvant être inscrites dans « un projet global de valorisation ».

Le représentant du ministère de la Culture a encore mis l’accent sur l’intérêt de ces actions en soutenant qu’elles cadrent parfaitement avec les ambitions affichées par Oran au sein du bassin méditerranéen.

Les Jeux méditerranéens prévus dans cette ville en 2021 constituent à ce titre « une perspective dynamisante » pour tous les projets d’inscription qui impliquent également « la contribution des universitaires et de la société civile », a-t-il conclu.

Le symposium algéro-espagnol tenu à l’USTO-MB s’était ouvert mardi en présence des autorités locales, de la rectrice de cet établissement, de l’ambassadeur d’Espagne en Algérie, et de la directrice de l’Institut Cervantès d’Oran.

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