Algérie 360

ALGER- Le Mawlid Ennabaoui Echarif sera célébré mardi 12 rabie Al-awal 1440 de l’hégire correspondant au 20 novembre 2018, a annoncé jeudi le ministère des Affaires religieuses et des Wakfs dans un communiqué.

Le ministère précise que le mois de rabie Al-awal débutera vendredi 9 novembre 2018.

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A. Mallem

Hier matin vers 8h, c’est par centaines (les représentants des associations parlent de plus de 700) que les exclus du logement social, venus de plusieurs cités de la daïra d’El-Khroub, de Massinissa, de Aïn Nahass, d’Ali Mendjeli et bien entendu du chef-lieu de la daïra, se sont rassemblés devant la daïra d’El-Khroub, au niveau de la double voie conduisant à Batna et Guelma, pour couper à toute circulation cette voie rapide et exiger la présence du wali pour lui faire part directement de leurs problèmes.

Mais le wali a délégué à sa place le chef de la daïra de Constantine, M. Antri Azzedine, étant donné qu’El-Khroub est sans chef de daïra parce que le titulaire du poste a été touché par le dernier mouvement de changement et de mutations. Aussi, selon le représentant des associations de la société civile, M. Ali Benmohamed, que nous avons contacté hier, c’est vers 11h 30 «que la route a été libérée grâce aux efforts qu’il avait déployés lui-même auprès des protestataires. Et ce bien avant l’arrivée sur les lieux du chef de la daïra de Constantine, délégué par le wali», nous a-t-il assuré au sortir de la réunion tenue avec ce chef de daïra, le secrétaire général de la daïra d’El-Khroub, le président de l’APC d’El-Khroub et les membres de la commission formée par les organisations de la société civile et présidée par notre interlocuteur.

Et ce dernier de nous affirmer que le chef de la daïra était venu porteur du message du wali dont le contenu portait sur des assurances de prise en charge des revendications des protestataires. Ainsi, selon M. Benmohamed, le chef de la daïra a inscrit chaque réclamation sur un registre et son auteur sera convoqué individuellement au niveau de la daïra, a-t-il assuré. «D‘après les réclamations émises par les contestataires, il y a beaucoup de magouilles au niveau des dossiers de logement, même de ceux qui ont été déposés à la fin du siècle passé, commence à expliquer le représentant de la société civile. Et à ce propos, ajoute-t-il, le wali, dans son message, a indiqué qu’il y a un quota de 6.500 logements qui a été réceptionné dernièrement et dont une partie a été distribuée. Et dans ce quota, 4.000 logements vont l’être au courant du mois prochain. Le wali a promis qu’il y aura un traitement égal de tous les candidats et que celui qui ouvre droit à un logement sera servi sans faute. Bref, une commission a été constituée dont font partie les représentants de la société civile, que je préside personnellement, et c’est cette commission qui sera l’interface avec l’administration pour examiner et régler tous les problèmes existants», a expliqué M. Ali Benmohamed.

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A. Mallem

Fortement indisposés par les odeurs dégagées par des égouts qui ont éclaté dans le quartier et dont les eaux putrides envahissent leurs appartements, les magasins ouverts au rez-de-chaussée des bâtiments, etc., et ce à chaque tombée de pluie, des résidents de la cité Zaabar Abdellah dans le centre de la ville de Zighoud Youcef, dénoncent cette situation anormale qui dure encore depuis la tombée des dernières pluies sur la ville, il y a une quinzaine de jours, disent-ils. « Dernièrement, nous ont expliqué nos interlocuteurs, les services techniques de la Seaco sont venus, ont creusé à l’endroit où les égouts ont éclaté, puis ils sont repartis brusquement en laissant la fosse ouverte. Les services de la mairie sont intervenus également avec un rétrochargeur. Mais rien n’y fait, les conduites n’ont pas été réparées. Heureusement que depuis cette intervention inachevée il n’y a pas eu de pluie, sinon, on aurait subi les mêmes avanies qu’avant. Le chantier est là sous nos yeux depuis déjà une semaine et la fosse est ouverte. Se peut-il que la chose soit si difficile à réparer que les uns et les autres ont abandonné les travaux en s’en allant ? » se sont demandés ces citoyens. Selon M. Younès-Chaouch Kamel, le président de l’APC de Zighoud Youcef que nous avons interrogé, hier, le problème a été pris en charge au début par l’APC et aussi par la Seaco qui a entrepris des travaux de curage. « Quant aux services de la mairie, ils ont établi des fiches techniques du projet qu’ils ont remis à la direction de l’hydraulique pour prendre la relève». Interrogé hier lui aussi, M. Mezghiche, directeur adjoint des ressources en eau de la wilaya de Constantine, a expliqué que les agents techniques de sa direction ont inspecté les lieux et ils ont également établi des fiches techniques qui ont été valorisées et adressées à la wilaya pour délivrance du budget de réalisation de nouvelles conduites. « Ce sont des travaux qui s’étendent sur 250 mètres seulement et qui vont coûter un million de dinars. Nous n’attendons que l’aval du wali pour lancer les travaux et nous pensons que cela ne va pas tarder », nous a-t-il affirmé.

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A. Mallem

  L’université 3 Salah Boubnider de Constantine et l’Institut national algérien de la propriété industrielle (INAPI) ont signé, hier, une convention de partenariat en vertu de laquelle un Centre d’appui à la technologie et à l’innovation (CATI) sera créé à l’université au niveau de la faculté Génie des procédés. Selon M. Bouras, recteur de l’université 3 Salah Boubnider, ce centre vise à développer le potentiel créatif des chercheurs dans le domaine universitaire, industriel, commercial et autre et aussi permettre aux innovateurs d’avoir un accès aux prestations des offres faites par le secteur économique. «C’est un espace d’appui, de soutien aux créateurs pour protéger leurs produits issus de la recherche en même temps qu’il les aidera dans la formation. Les innovateurs sont, bien entendu, les chercheurs engagés au niveau de l’université qui vont travailler en collaboration avec les entreprises économiques de la région pour les aider à résoudre tout problème technique ou dans le domaine industriel auquel elles se trouvent confrontées. Les entreprises vont nous soumettre leurs problèmes et nos chercheurs vont faire de la recherche justement pour trouver des solutions à ces problèmes en innovant», a expliqué le recteur. Et dans ce cadre, continue notre interlocuteur, l’INAPI joue un rôle de protecteur juridique de l’innovation, l’invention ou la création, en garantissant la propriété industrielle du créateur et ses droits d’auteur, en assurant leur inscription et leur publication, donnant également son appui pour l’information juridique. L’INAPI intervient également pour donner l’information technique en matière de brevet. La convention entrera en vigueur dès sa signature car l’université 3 Salah Boubnider a déjà préparé le terrain en mettant en place deux équipes de recherche composées, chacune, de trois à quatre chercheurs. «Ce nombre restreint de chercheurs ne constitue qu’un début car il est entendu que le nombre des équipes et de leur composante iront en augmentant», a précisé M. Bouras.

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A.El Abci

Les prix du poulet et des fruits et légumes continuent de flamber. En effet, le poulet était proposé hier aux marchés du centre-ville, Boumezzou et Bettou, entre 350 et 380 dinars le kg contre 280 à 300 dinars, il y a moins d’une semaine. C’est à peu près le même phénomène de hausse sensible qu’a connue la pomme de terre qui a grimpé subitement à 75 et 80 dinars, voire 90 dinars dans certains marchés de la périphérie. Flambée des prix que les commerçants ont justifiée par une offre insuffisante, pour ce qui concerne le tubercule en question et ce, malgré les quantités déstockées et mises sur le marché. A telle enseigne, font-ils remarquer, que les marchés de gros sont beaucoup moins achalandés qu’auparavant et bien évidemment, les prix s’en ressentent. L’explication des prix du poulet, viande par excellence des familles au revenu modeste, qui ont pris l’ascenseur, les vendeurs des carreaux qui en proposent les imputent également à sa relative rareté à cause principalement du prix des poussins qui ont été multipliés par deux fois et plus. Il en va de même du prix de l’escalope dont les prix affichés sont compris entre 620 et 720 dinars le kg.

Quoi qu’il en soit, rares sont les pères et mères de familles qui, après avoir visité les carreaux et s’être enquis des prix, ont fini par en acheter. La majorité d’entre eux repartaient en maugréant et exprimant, ainsi, leur peu d’adhésion aux explications invoquées par les commerçants. L’envolée des prix a touché aussi la plupart des légumes et également des fruits, à l’instar des haricots verts cédés entre 180 et 220 dinars le kg, les courgettes dont les prix se situent à peu près dans la même fourchette de 180 et 250 dinars le kg. Les tomates, les carottes et la salade ne sont pas en reste puisqu’elles sont montées respectivement à 140 et 160 dinars, 100 et 140 dinars, et 140 et 160 dinars pour le dernier légume. Pour ce qui est des prix des fruits de saison comme les poires, les pommes et les grenades, ils se négocient entre 200 et 300 dinars le kg. A indiquer que la sardine a repris les hauteurs avec 450 dinars le kg, après avoir vu son prix chuter à seulement 250 dinars, il y a moins de trois semaines. Les viandes rouges continuent à être intouchables avec des prix de 1.000 dinars pour la merguez, 1.600 pour l’agneau et 1.300 pour le bœuf.

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A. E. A.

  Les éléments de la brigade mobile de la police judiciaire de Sidi Mabrouk ont présenté devant le parquet local trois individus âgés entre 23 et 63 ans, dont une fille, impliqués dans une affaire de détention et de transport de psychotropes dans le but de les écouler, de vente de médicaments sans autorisation et de faux et usage de faux d’ordonnances. Les faits de l’affaire remontent, selon un communiqué de la cellule des relations publiques de la sûreté de wilaya, au moment de l’arrestation d’un véhicule de marque Volkswagen «Polo», avec à son bord trois individus, au niveau du barrage dressé par les éléments du service de la sécurité publique de la sûreté près de l’université centrale. Après une fouille dudit véhicule, une importante quantité de médicaments de divers genres a été trouvée cachée à l’intérieur d’un sac en plastique jeté sur les sièges arrière, en plus d’une somme d’argent dans les poches de l’un d’eux. Le véhicule ainsi que ses occupants ont alors été conduits au poste de la brigade de police judiciaire de Sidi Mabrouk et ce, pour complément d’enquête. Les perquisitions opérées dans les domiciles des mis en cause ont permis la saisie d’une autre quantité de psychotropes, des flacons d’un liquide anesthésiant en sus d’une ordonnance, dont l’expertise a montré qu’elle était falsifiée. L’opération a permis la saisie de 404 comprimés psychotropes, 11 flacons de médicaments destinés à l’anesthésie, 270 comprimés de médicaments, 152 comprimés de traitement anti-douleur, une ordonnance falsifiée et une somme d’argent de près de 5 millions de centimes. Les trois suspects ont été présentés devant le magistrat instructeur près le tribunal de Constantine et écroués.

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Ali Chabana

Cinquante-quatre familles habitant le bidonville «El Dhalma» à Ouenza, au nord de Tébessa, viennent d’être relogées dans de nouvelles habitations. L’opération de recasement a été conduite par les services de l’APC, ceux de la daïra, ainsi que par les éléments de la police, en mobilisant les moyens de transport et de sécurité nécessaires. Notons que l’opération de relogement est intervenue quelques jours seulement après celle où 80 autres familles du même bidonville avaient été recasées. Une campagne qui touchera à sa clôture 1.014 logements réservés pour l’éradication des constructions anarchiques et illicites. Déjà en 2016, 430 familles avaient bénéficié de logements neufs, offrant plus de commodités.

Les services de la wilaya de Tébessa ont recensé 25 mille habitations précaires dont 7 mille dans un état de délabrement avancé. Près de 52 mille demandes de logements sont enregistrés au niveau des collectivités locales. Si dans la formule de l’habitat rural, Tébessa est citée en exemple dans l’exécution du programme, connaissant une avancée notable, dans d’autres formules de logements, le retard accusé fait que la demande augmente et la réception fait du surplace.

Les souscripteurs espèrent que le bouchon saute et que les logements seront attribués à leurs bénéficiaires dans un proche avenir, c’est le cas du millier de logements, sis à la nouvelle ville de Dokane, à la périphérie du chef-lieu.

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M. Zeggai

  On vient d’apprendre que cinq membres des six composant le bureau exécutif de la LFP ont décidé, avant-hier, à l’issue d’une réunion tenue à El-Eulma, de geler leurs activités en guise de contestation « aux décisions unilatérales » prises par le président Abdelkrim Medouar. « Il ne s’agit pas d’une démission collective, nous sommes toujours en poste. Nous contestons la manière de gérer prônée par Medouar, qui ne nous implique pas dans ses décisions, ce qui est inadmissible. Nous allons saisir, prochainement, le président de la FAF pour trouver une solution à ce problème », a-t-on affirmé lors de cette réunion tenue à El-Eulma. « Il ne s’agit pas d’un complot contre Medouar ou un retrait de confiance, mais il fallait bouger un peu les choses, d’autant que nous ne cautionnons pas sa politique de gestion. Il devait restructurer la LFP, mais il ne l’a pas fait. Il n’existe ni un secrétaire général, ni un vice-président. Nous sommes disposés à travailler de nouveau avec Medouar à une seule condition : faire preuve de bonne foi et nous impliquer, davantage, dans les décisions ».

Herrada Arras, membre du bureau de la LFP, a accusé Abdelkrim Medouar, président de la LFP, qui a déclaré assumer la responsabilité de décisions qu’il a prises, sans consulter le bureau de la ligue. « A chaque fois qu’on lui demande des explications, il nous répond que cela vient « d’en haut » ou que c’est fait dans l’intérêt du Football national », a-t-il affirmé. Aussi, Farouk Belguidoum, membre élu du bureau exécutif de la LFP aurait, selon une source crédible, déposé sa démission en raison de la gestion, tout à fait personnelle, du président de la LFP Abdelkrim Medouar qui a, selon lui, « marginalisé les membres de son bureau ». Ainsi donc, les relations sont, sérieusement, tendues entre Medouar et ses proches collaborateurs ainsi que plusieurs dirigeants de clubs et ce, depuis l’entame de la saison.

L’actuel président de la LFP fait face à une vague de critiques et contestations. En somme, depuis son élection, Medouar a montré son incapacité à diriger la structure de la Ligue par ses décisions incohérentes. Résultat: Il paye cash sa gestion anarchique après s’être mis dans une situation embarrassante. Abdelkrim Medouar qui, en reportant la 12ème journée, a mis tout le monde contre lui, notamment après le report, sans raison valable, du match USMA-JSK qui a failli prendre une autre tournure et sortir le match de son cadre sportif. Certes, peut-être que Medouar a été obligé d’exécuter certains ordres, pour justement dissimuler ses insuffisances, mais cela n’explique pas toute cette mascarade. Un responsable élu ne devrait, en aucun, se soumettre à ce genre de pression, quitte à démissionner, car la confiance des membres de l’AG vaut plus que ça. Abdelkrim Medouar a commis l’erreur de négliger la structuration de la Ligue, ce qui lui aurait évité les tracasseries. De nombreux observateurs estiment que la LFP gère la compétition avec une structure inexistante. Pourtant, il avait bien promis un changement radical et un mode de gestion moderne. Mais la réalité est tout autre, la LFP fonctionne, depuis longtemps, sans organigramme digne de ce nom. Il est inadmissible et illogique qu’une structure d’une telle importance fonctionne sans un personnel qualifié. Nombreux sont ceux qui se sont demandé pourquoi Medouar a-t-il temporisé à désigner un secrétaire général et un vice-président, considérés comme les chevilles ouvrières d’une structure de football. En tout cas, la situation risque de s’envenimer davantage, d’autant plus que, selon nos informations, une campagne est en train de se préparer pour destituer l’actuel président de la LFP de son poste. Le travail de coulisses, entre certains présidents de clubs et les membres du bureau d la LFP, a déjà commencé. Chez nous, si on persiste à négliger les critères et les valeurs, on ne sera jamais être ce que nous voulons faire et aucun progrès ne sera possible. C’est la triste réalité.

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A. Ouélaa

  Objet de plusieurs plaintes émanant de paisibles citoyens, victimes d’agressions ces deux dernières semaines, les éléments de la sûreté de daïra d’El Kala sont parvenus, au terme d’une enquête minutieuse à arrêter deux jeunes, originaires de la vile d’El Kala sur lesquels plusieurs portables volés de force à leurs victimes et une somme importante d’argent a été aussi trouvée. Les deux mis en cause commettaient leur larcin du côté du Front de mer, après avoir repéré leur victime qu’ils menaçaient avec des armes blanches et une bombe lacrymogène et lui subtilisaient tous ce qui a de la valeur à leurs yeux.

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A. Boudrouma

  Le désormais ex-chef de cabinet de la wilaya de Skikda, M. Abdenour Aït Ramdane, devra être installé dans ses nouvelles fonctions de directeur de l’administration locale de la wilaya de Batna (DAL) à compter de la semaine prochaine. Cette promotion, intervenue dernièrement dans le cadre des nouvelles nominations décrétées par le président de la République, certains de ses collaborateurs ont tenu à reconnaître qu’elle a été amplement méritée au vu des efforts personnels qu’il a consentis durant son court passage d’une année à la tête du cabinet de la wilaya de Skikda. Une wilaya importante caractérisée par la complexité et la difficulté de certains problèmes liés au développement. Ce cadre dévoué, un énarque, a toujours marqué sa présence par une touche particulière et un doigté dans le règlement des conflits. Son apport a été déterminant dans le traitement des nombreux dossiers qui lui sont confiés par son chef hiérarchique direct, représenté par la personne du wali de Skikda, M. Hadjeri Derfouf, dont il a réussi à gagner l’estime et la confiance. Des collègues ont tenu à lui exprimer leur reconnaissance pour avoir été un responsable doté d’un esprit d’équité sans pareil.

Ils ont estimé à ce titre que son départ va certes créer un vide qu’il sera difficile de combler mais lui souhaitent malgré tout plein succès dans ses nouvelles fonctions.

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M. Z.

  Finalement, nos prévisions à la veille de cette treizième journée se sont avérées exactes. Le WAT a détrôné l’ASO grâce au MCEE qui aura réussi la meilleure affaire en s’accaparant de la troisième place après avoir infligé à l’ex-leader sa première défaite de la saison.

Zaoui Samir, le coach chélifien, a évoqué l’arbitrage pour justifier cet échec qui risque de coûter à son club le titre honorifique de champion d’automne puisqu’il devra se rendre à Tlemcen pour croiser le fer avec le WAT pour le compte de la dernière journée de la phase aller. Pour sa part, le Widad de Tlemcen a confirmé ses prétentions en signant une victoire nette et sans bavures face à l’ABS grâce à sa force de caractère, les deux buts victorieux ont été inscrits dans le temps additionnel par Bencherifa et Messaoudi, alors que le score était d’un but partout. Il y a lieu également de noter la belle opération de l’ES Mostaganem qui, à la faveur de sa victoire sur l’USMB, est revenue à trois longueurs seulement du troisième, le MCEE. En revanche, la belle série de onze matches sans défaite de l’USB a pris fin avant-hier à Relizane où le RCR est parvenu à redonner espoir à ses inconditionnels pour revenir dans la course à l’accession.

Ce ne sera pas une tâche aisée du moment que les Relizanais ont un derby très difficile à négocier face à l’ASO lors du prochain round. En bas du tableau, si l’USMH a attendu la treizième journée pour enregistrer sa première victoire, la situation par contre s’est compliquée davantage pour l’USMB, qui se dirige droit vers le purgatoire. Nul doute que ce succès, venu à point nommé, permettra aux Harrachis de reprendre confiance pour la suite de la compétition. Pour sa part, l’ASMO se trouve dans de beaux draps après avoir atteint son cinquième match sans victoire. Le nul concédé face au RCK risque de lui être préjudiciable avant son déplacement chez l’ABS et la réception de l’USB d’autant plus que Djebbour Zakaria, en démissionnant de son poste, a mis dans l’embarras la direction à la veille de deux importants rendez-vous.

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Belkecir Mohamed

Un conclave des opérateurs économiques des trois zones industrielles de Sig, Mascara et Mohammadia a été organisé au palais des congrès de la wilaya par l’unité de gestion des zones industrielles relevant du groupe des industries locales «Divindus ZI SPA». Cette rencontre s’inscrit dans le cadre des nouvelles prérogatives de ce groupe dont le PDG a parlé de l’amélioration de la gestion.

Ce volet vise les espaces communs et les divers réseaux, la protection des zones, la mise en place des unités et acquisition des équipements, l’option pour des zoning par activité, l’animation des services, la contractualisation des relations pour les prestations, le plan de circulation et de sécurité et création de cellules dans les zones.

Voilà pour les perspectives, mais sur le terrain la réalité est tout autre. Des divergences ont été relevées lors des débats. Les investisseurs se plaignent de l’indifférences des gestionnaires et dénoncent le problème de voirie, d’AEP, de gaz, d’électricité, de sécurité, d’accès, les demandes de paiement répétées, l’implantation des centrales à béton mitoyennes aux unités d’agro-alimentaire, le blocage du permis de construire avec l’acte de propriété. Dans le lot de réclamations aussi, des pseudos investisseurs qui sont intervenus uniquement pour l’obtention du terrain afin de le revendre ou de construire une résidence.

Prenant en considération ces doléances, le même responsable a promis que 2019 sera l’année des changements, de l’assainissement et de la redynamisation de toutes les zones industrielles dans un cadre organisé, «pourvu qu’il y ait une adhésion massive du collectif des opérateurs». L’assistance aurait souhaité voir le wali venir symboliquement pour une prise de contact avec les investisseurs de sa wilaya.

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Après octobre rose et la sensibilisation contre le cancer du sein, le mois de novembre est le mois de la lutte contre le cancer de la prostate. Algérie 360 s’intéressera au sujet, et proposera un ensemble d’articles autour de cette thématique.

Le movembre, ou movember est un événement annuel est un événement annuel organisé par la fondation Movember Foundation Charity. Chaque mois de novembre, les hommes du monde sont invités à se laisser pousser la moustache dans le but de sensibiliser l’opinion publique et de lever des fonds pour la recherche dans les maladies masculines telles que le cancer de la prostate. Le nom vient de la contraction de « mo », abréviation de moustache en anglais australien, et de « November » (novembre). Depuis 2003, cette fondation australienne relève le pari de « changer le visage de la santé au masculin ». 

Qu’est ce que le cancer de la prostate?

Le cancer de la prostate prend naissance dans les cellules de la prostate. Une tumeur cancéreuse (maligne) est un amas de cellules cancéreuses qui peut envahir et détruire les tissus qui l’entourent. Elle peut aussi se propager (métastases) à d’autres parties du corps. Le cancer de la prostate est le cancer le plus répandu chez les hommes au Canada. Beaucoup d’hommes âgés sont atteints de cette maladie sans le savoir. Ce type de cancer croît habituellement lentement et il peut souvent être enlevé complètement ou traité avec succès après avoir été diagnostiqué. Il est fréquent que les hommes âgés atteints d’un cancer de la prostate décèdent d’autres causes.

Le dépistage individuel est recommandé dès l’âge de 55 ans et jusqu’à 75 ans.

L’objectif commun à toutes ces actions de communication est de sensibiliser l’opinion publique et de lever des fonds pour la recherche dans les maladies masculines telles que le cancer de la prostate.

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Khaled Boumediene

Dans le cadre du projet «Nahda 13 Tlemcen handicap» lancé en 2017 par l’institut méditerranéen de formation et recherche en travail social (IMF), visant l’amélioration de la prise en charge des personnes en situation de handicap et la mise en place d’un centre de ressources et de compétences pluri-acteurs sur les problématiques liées au handicap, une rencontre-bilan a regroupé le 3 novembre les experts de l’IMF et les partenaires et responsables d’associations des handicapés de la wilaya.

Dans la salle de l’association des handicapés «Dar El Ihsane» de Tlemcen, les participants (Benamar Dahou, Mohamed Tourabi, Mohamed Ouahiani, Youssef Gaouar, Ahmed Tahraoui, Assia Bouhadjar, Setti Boudlal, Amina Khedir, et Ahmed Tahri) ont écouté la lecture d’un rapport sur l’historique du projet «Nahda 13 Tlemcen handicap» (soutenu par l’ambassade de France à Alger), les enjeux soulevés lors de la première phase visant le renforcement des capacités d’intervention des acteurs locaux dans le champ du handicap dans la wilaya de Tlemcen, ainsi que sur les activités, les objectifs et les résultats initiaux de la première phase du projet.

Après la présentation du rapport financier final du projet par les experts de l’IMF, Antoine Passavant et Muriel Lion, un tour de table a été ensuite organisé pour débattre des attentes des partenaires, avant de suivre la première rédaction de la seconde phase de ce projet visant à accompagner le développement du réseau Nahda. Selon Antoine Passavant, les objectifs spécifiques de la phase 1 du projet visent le développement des compétences et la qualification des organisations de la société civile et plus particulièrement l’amélioration de l’expertise métier des membres du réseau Nahda, la mise en réseau des acteurs locaux autour de la question du handicap par l’appui à la structuration et à la visibilité du réseau Nahda, la mutualisation des ressources et la mise à disposition des compétences spécifiques via des dispositifs de formation et d’échanges entre pairs sur la thématique du handicap. Plusieurs activités ont été menées lors de cette première phase.

L’on peut citer : la co-construction du dispositif de formation «Mobiliser-Former-Echanger», le stage de formation continue du responsable pédagogique de «Dar Ihsane» de 4 semaines à Marseille, la mise en œuvre de 4 modules de formation « mobiliser-former-échanger» à Tlemcen et ateliers «enjeux stratégiques», la production collective du guide d’accompagnement à la professionnalisation « Mobiliser-former-échanger», la mise en place d’un diagnostic partagé sur les réseaux et les partenariats dans le champ du handicap à Tlemcen, la cartographie des ressources et compétences locales, l’organisation et mise en œuvre du forum associatif sur le handicap à Tlemcen, la mise en place d’une étude de terrain en ingénierie sociale, le stage de formation des étudiants « Action sociale et développement», la gouvernance, le suivi-évaluation du projet et la communication du projet. Selon, le responsable du centre «Dar Ihsane», Dahou Benamar, un premier contact a été établi en 2016 à Marseille entre six associations (IMF, GISPA et SERENA du côté français, UHMT, UDM et Dar El Ihsane du côté algérien) pour le développement d’un projet de coopération internationale.

La première action a porté sur la formation des personnels des associations puis est venue l’idée de créer un réseau d’associations sous l’appellation «Nahda 13 Tlemcen handicap». L’IMF est allé ensuite à la rencontre de l’association «Dar El Ihsane» afin de développer des échanges pour la mobilité internationale des étudiants handicapés. Dans le même sillage, le président de l’union des handicapés de Tlemcen, Tourabi Mohamed, nous a révélé, lors d’une brève entrevue, qu’une charte de réseau d’associations du handicap sera signée le 3 décembre prochain, à l’occasion de la journée internationale des personnes handicapées par les responsables des associations UHM, UDM, Dar Ihsane, autisme, Amel des aveugles, Nour El Ain des aveugles et le challenge club d’étudiants handicapés de l’université de Tlemcen.

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Bencherki Otsmane

  Le problème de transport se pose avec acuité pour les élèves fréquentant le nouveau lycée «Bensalhi» situé à la sortie ouest de la ville de Ténès. Pour rappel, ce nouvel établissement du secondaire a été construit en remplacement d’une ancienne école datant de l’ère coloniale située en plein centre-ville et qui faisait office de lycée. Cependant, si les lycéens apprécient d’étudier dans le nouveau lycée, ils sont confrontés à un problème de taille à savoir celui du transport.

Des élèves que rencontrés à mi-chemin entre Ténès ou Oued-Gseb (lieu où est implanté le lycée) «déplorent le manque de transport entre la ville et leur établissement». Les lycéens font remarquer que faute de repas à midi ils consacrent plus de temps sur la route que dans les classes. D’autres élèves s’insurgent devant le mutisme des autorités locales qui tardent à y remédier. Il faut souligner que cette situation se répercute sur les études des élèves car ils arrivent souvent en retard d’une part et oblige d’autre part leurs parents à venir les raccompagner lorsqu’ils sortent des classes à 17h30 où il fait déjà nuit. Un parent d’élève nous a confié : «nous craignons notamment pour nos filles qui doivent faire un parcours à pied dans une totale obscurité». Face à cette défaillance qui pénalise grandement les élèves, ces derniers réclament un transport, au moins aux heures de rentrée et de sortie des classes.

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Mahi Ahmed

  La situation de l’ancienne gare routière a été mise en évidence lors de la présentation du secteur du transport à la dernière session de l’APW de Relizane.

Le rapport présenté par la commission compétente a souligné la nécessité de la réhabilitation et la rénovation de cette structure et la mettre de nouveau en activité. Les usagers des 28 communes situées sur la partie-est de la wilaya éprouvent d’énormes difficultés pour rejoindre la nouvelle gare routière sise à la commune de Bendaoud, 3 kilomètres à l’ouest de Relizane. Cette infrastructure très spacieuse n’attire pas beaucoup de voyageurs comme cela a été prévu lors de son aménagement qui a coûté des milliards de centimes.

Les voyageurs devant effectuer de longs trajets préfèrent se rendre à El Matmar, 10 kilomètres à l’ouest du chef-lieu de la wilaya où les transporteurs desservant les grandes lignes vers l’Est, le grand Sud et le Sud -Ouest notamment en nocturne s’alignent aux alentours des nombreux restaurants de cette localité. Les rendez-vous sont pris par téléphone pour réserver les places vers les différentes destinations.

Autre point relevé, l’absence de la remise des tickets aux passagers. Ce ticket représentant une sorte d’assurance n’est pas attribué par les receveurs particulièrement dans le transport urbain de la ville de Relizane et aussi dans les bus desservant les communes de Yellel et El Matmar à partir de la gare de Bendaoud. L’absence d’un contrôle rigoureux a encouragé cette pratique illégale.

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B. O.

  Durant le mois d’octobre, les différents services de la Sûreté de wilaya ont traité 451 affaires ayant trait à divers délits, a-t-on appris de la cellule de communication de cette sûreté. Au chapitre des affaires relatives aux crimes et délits contre les personnes, le bilan fait état de 283 affaires dans lesquelles étaient impliquées 327 personnes. Au volet relatif aux crimes contre les biens, les services de police ont élucidé 65 affaires ayant impliqué 105 personnes. Le même bilan fait ressortir que 48 affaires liées aux stupéfiants et substances psychotropes ont été traitées, mettant en cause 76 personnes.

Au cours de cette période les services de police ont saisi 134 grammes de cannabis et 1 874 comprimés psychotropes. Par ailleurs, 55 affaires ont été traitées dans le chapitre des crimes et délits contre la chose publique dans lesquelles étaient impliquées 102 personnes.

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 El-Houari Dilmi

Une caravane de sensibilisation sur les dangers de monoxyde de carbone sillonne depuis dimanche les établissements éducatifs et les mosquées à travers la wilaya de Tissemsilt, apprend-on du chargé de communication au niveau de la direction de la protection civile. En effet, la campagne concerne plus de 10.000 élèves des différents paliers et une quarantaine de mosquées disséminées à travers le territoire de la wilaya pour sensibiliser contre le danger du monoxyde de carbone, ce tueur silencieux. Organisée par la protection civile en collaboration avec Naftal, Sonelgaz, la direction du Commerce et l’association locale de protection du consommateur, la campagne doit se poursuivre jusqu’au 26 décembre dans une wilaya qui a dénombré six morts lors de l’hiver dernier contre 89 victimes à l’échelle nationale.

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Hadj Mostefaoui

  Mis à mal par les aléas de la nature, intempéries, érosion durant plusieurs siècles, le célèbre ksar de Boussemghoun vient enfin de bénéficier d’une opération dans le cadre de la restauration et de la préservation du patrimoine architectural ancien. Se faufiler dans les méandres de ce vieux ksar, c’est faire un long voyage dans l’histoire tourmentée de cette citadelle, haut lieu du monde cultuel et culturel dans l’histoire de la région, qui a vu passer sous ses toits Sidi Boussemghoun, Ibn Khadoun et Sidi Ahmed Tidjani qui y implanta sa zaouia. Ces ksars portant les stigmates de mains malsaines et de faux collectionneurs d’œuvres d’art, vient enfin de faire l’objet d’une attention particulière du ministère de la Culture. De grands travaux de restauration et de remise à niveau de cet ensemble architectural qui fait incontestablement partie intégrante de l’histoire du pays viennent enfin d’être lancés. De nombreux chercheurs de la région avaient tiré la sonnette d’alarme pour sauver ce haut lieu de la tarika Tidjania et fort heureusement, l’appel a été entendu. Le ministère de la Culture vient de débloquer une enveloppe de 221 millions de DA pour la restauration de l’ensemble des murs, toitures et galeries sérieusement affectées par les éléments de la nature.

Cette entreprise de rénovation a été confiée à un organisme public, en l’occurrence l’Office de gestion des biens culturels. Les autorités locales souhaitent que cet office ne fasse pas cavalier seul, en leur faisant part de l’évolution des travaux engagés en raison du manque de cadres spécialisés dans le domaine du suivi de la restauration du patrimoine culturel.

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Tahar Mansour

  La protection civile de la wilaya de Blida est intervenue dans deux accidents de la circulation survenus avant-hier mardi.

Le premier a eu lieu à Ouled Yaïch quand une moto de marque Vespa a heurté deux piétons qui traversaient la route, leur causant diverses blessures sur tout le corps. Les éléments de l’unité locale ont porté secours aux deux blessés avant de les évacuer vers le CHU Frantz Fanon. Le deuxième a eu lieu sur la RN 8 dans la commune de Sohane, entre cette dernière agglomération et Tablat, quand un véhicule de marque Renault Symbol a dérapé et a terminé sa course dans un ravin d’une profondeur de près de 200 mètres. Les éléments du poste avancé de Sohane se sont fait aider de leurs collègues de l’unité de L’Arba pour intervenir et remonter les trois occupants de la voiture. Une femme, âgée de 54 ans, est décédée sur place alors que les deux autres ont subi diverses blessures et ont été évacués vers la polyclinique de L’Arba pour y recevoir les soins appropriés.

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