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Protection civile : vers une loi accordant la qualité de police judiciaire

Thu, 11/29/2018 - 22:52
S.N


Une proposition de loi en vertu de laquelle les officiers de la protection civile chargés de la prévention pouvant agir en qualité d’agents de la police judiciaire lors de la constatation d’infractions aux règles de la sécurité a été formulée, a affirmé ce mercredi à M’sila le sous-directeur des statistiques et de l’information à la Direction générale de la protection civile.


Cette loi dont le projet se trouve actuellement au niveau de l’Assemblée populaire nationale permettra aux officiers de la protection civile d’intervenir et de dresser des contraventions à l’encontre des établissements accueillant le public qui enfreignent les mesures de sécurité au niveau de leurs sièges, a indiqué le colonel Achour Farouk en marge de l’ouverture d’un stage de deux jours de formation des officiers de l’information et de la communication des directions de la protection civile de 11 wilayas du pays.


L’octroi de la qualité d’agent de la police judiciaire à ces officiers permettra « un gain important de temps dans la mise en œuvre des mesures de prévention », a déclaré ce responsable, rappelant qu’actuellement ces officiers se contentent de faire des observations à soumettre à d’autres instances ayant la qualité de police judiciaire.


Ce stage s’inscrit dans le cadre de la formation continue des officiers de l’information et de la communication pour le développement des performances de communication avec les partenaires locaux et représentants des divers médias de la presse écrite, audiovisuelle et électronique, est-il indiqué.


Il s’agit aussi d’améliorer la communication interne et avec l’environnement pour donner davantage d’efficacité aux actions de sensibilisation et de prévention des risques majeurs, accidents domestiques et accidents de la route par une utilisation optimale du réseau d’information local, ont souligné les organisateurs.


Il est également question de mettre en place des mécanismes d’écoute et de collecte, de mieux connaître les caractéristiques des crises et les modes de gestion, a encore souligné le colonel Achour qui a annoncé la tenue « prochaine » de deux



rencontres similaires à El Tarf pour les wilayas de l’Est et à Saïda pour les wilayas de l’Ouest.

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Pisciculture : belles perspectives à l’horizon 2025

Thu, 11/29/2018 - 22:40
Aziza Mehdid


La filière de la pisciculture commence à émerger à pas sûrs en Algérie et les prémices d’un avenir prometteur en la matière sont déjà là. C’est ce qui ressort de la déclaration du directeur de l’aquaculture au niveau de la DGPA, Oussaïd Mustapha, qui est intervenu ce mercredi à Alger, lors d’un atelier dédié au programme d’appui financé par l’UE pour le développement de la production d’alevins de poissons d’eau douce.


M. Oussaïd a affirmé qu’il est projeté d’atteindre en 2025 une quantité de 100 000 tonnes de poisson d’eau douce, en plus de la production halieutique marine qui est de l’ordre de 120 000 tonnes/an. Cette dernière est limitée, estime-t-il, ce qui nécessite de développer la pisciculture en vue d’assurer la portion alimentaire minimale en poisson de chaque individu. Il a précisé dans ce sens que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) recommande à chaque personne une ration de 6,2 kg/an, alors que l’Algérien n’en consomme annuellement que 4 kilogrammes.


Pour ce qui est des possibilités d’investissement dans cette filière, le directeur de l’aquaculture a fait remarquer que le gouvernement encourage les investisseurs intéressés par ce domaine en leur offrant des avantages liés au financement des projets entrepris. Le volet assurance est inclus dans les actions incitatives de l’Etat en cas de préjudice causé par les catastrophes naturelles, ajoute l’intervenant. Les investisseurs sont invités à ce titre à assurer leurs biens pour qu’ils puissent bénéficier des indemnisations, explique-t-il. Concernant le programme d’appui dit « Diveco 2 », financé par l’Union européenne (UE), il a fait savoir qu’il consiste en deux phases. La première s’étend de 2015 à 2018. Elle a été financée à hauteur de 7 millions d’euros, en attendant de poursuivre la deuxième partie allant de 2019 à 2021, dont le volume de financement est de 7,5 millions d’euros. Pour ce qui est des objectifs de ce programme d’appui touchant le secteur de la pêche, il vise à contribuer au développement des activités des écloseries continentales en Algérie, en particulier les initiatives existantes gérées par les investisseurs privés ainsi que les écloseries mobiles étatiques. Il est aussi attendu d’améliorer le rendement de ces espaces de production d’alevins dans le souci d’augmenter la production nationale halieutique.


Par ailleurs, l’expert du programme Diveco 2, Khaled Belhasnet, a indiqué qu’un diagnostic établi a priori a permis de constater que la plupart des écloseries sont loin de répondre aux normes, à l’exception de quelques unes. Selon lui, le nombre de 14 écloseries ne correspond pas à celui des fermes aquacoles que compte le pays. Différentes contraintes ont été identifiées avant d’entamer les actions du programme Diveco2, ajoute-t-il, citant la construction et la conception anarchiques des écloseries. Il a été relevé également le manque de technicité chez des aquaculteurs, aggravé par l’insuffisance de l’aliment de bonne qualité destiné à l’approvisionnement de ces bassins.


Nonobstant, il recommande la spécialisation dans la reproduction des espèces en fonction des régions, accompagnée de sessions régulières de formation à l’endroit des acteurs de cette activité si importante.


Le programme en question consiste en deux formations pratiques qui ont été organisées au niveau de deux fermes, visant la maîtrise des techniques de production économique et rentable des alevins. La première à Relizane au sein d’une ferme privée au profit des cadres gestionnaires des écloseries. Quant à la seconde, elle a été programmée à la station d’aquaculture expérimentale du CNRDPA dans la wilaya de Ouargla.

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Categories: Afrique

Les concessionnaires et leurs partenaires privés appelés à adapter leurs investissements à la règle 34%/66%

Thu, 11/29/2018 - 22:33

ALGER – Le ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Abdelkader Bouazghi, a appelé jeudi les agriculteurs titulaires des contrats de concession et leurs partenaires privés, à adapter leurs contrats de partenariat conclus en matière d’exploitation de terres agricoles avant 2019, à la règle 34%/66% régissant l’investissement dans le secteur.

Lors d’une séance plénière du Conseil de la nation, consacrée aux questions orales, présidée par Saadani Mohamed Saïd, vice-président du conseil, en présence de membres du Gouvernement, le ministre a affirmé que les agriculteurs concessionnaires et leurs partenaires privés ayant conclu des contrats de partenariat avant la promulgation de l’ordonnance N 01/9 du 22 janvier 2009 relative à la loi de finances complémentaire 2009, étaient tenus de respecter les dispositions de l’article 62 qui fixe un taux de 34% pour le concessionnaire et 66% pour l’investisseur privé.

« Le président Bouteflika a tranché de manière définitive la question de l’exploitation des terres agricoles, la limitant exclusivement à la concession qui doit se faire conformément aux lois et réglementations en vigueur ».

Par conséquent, les signataires des contrats conclus avant l’adoption de la règle 34%/66%, ont le choix de se conformer à la nouvelle règle ou de maintenir la règle, objet du partenariat d’avant 2009″.

Le concept de partenariat n’est pas défini dans cette loi comme « un loyer » ou « une concession », mais en tant que contrat auquel le partenaire contribue avec une partie des moyens de production pour améliorer, voire optimiser les capacités productives d’une exploitation.

Le concessionnaire est tenu de participer effectivement à hauteur de 34%, à travers l’action qu’il entreprend au sein de l’exploitation, au titre du partenariat qui doit être conclu en vertu d’un acte officiel dressé auprès d’un notaire et publié avec le respect du taux de participation fixés en vertu de l’article 62.

Concernant les partenariats conclus en dehors du cadre de cette loi, tels certains partenariats 1%/99% entre le concessionnaire  et l’investisseur, le ministre a affirmé que l’Etat n’en assumait pas les conséquences, d’autant que le concessionnaire gardait tout ses droit.

Cette procédure s’oppose au texte de loi de 2009, a précisé M. Bouazgui, ajoutant que le partenaire ne jouissait pas de protection juridique dans ce cas vu que le concessionnaire maintient tous ses droits notamment l’indemnisation en cas d’exploitation du terrain par l’Etat pour la réalisation de projets publics, outre le maintien de ces droits par les héritiers en cas du décès du bénéficiaire du concessionnaire ».

Afin de garantir une protection juridique aux personnes désirant conclure un partenariat avec les concessionnaires, le secteur avait élaboré la circulaire interministérielle n 1809 du 5 décembre 2017, portant mise en œuvre du droit de concession pour l’exploitation des terres agricoles relevant des domaines de l’Etat, visant à expliquer certaines dispositions de la loi n 10/03  fixant les modalités et conditions d’exploitation des terres agricoles du domaine privé de l’Etat.

Parmi ces dispositions, le respect du principe de partenariat et du taux de participation fixé à 34%/66% en vertu de l’article 21 de la loi 10/03, garantissant la participation du concessionnaire dans l’activité agricole de l’investisseur.

Le propriétaire de l’exploitation agricole a le droit, selon cet article, « d’établir un contrat de partenariat en vertu d’un contrat authentique et publié avec des personnes physiques de nationalité algérienne ou des personnes morales soumises au droit algérien, l’ensemble des actionnaires doivent être de nationalité algérienne ».

Répondant à une question sur la concrétisation des objectifs des assises nationales de l’agriculture et la stratégie adoptée par le secteur, le ministre a affirmé que 86 recommandations avaient été soumises durant les ateliers organisés dans le cadre de ces assises, dont la mise en œuvre était confiée à 5 groupes de travail sous la supervision des ministres.

Par ailleurs, M. Bouazghi est revenu sur l’augmentation qu’ont connue les viandes blanches durant la saison estivale de 2018, mettant en exergue que cette situation était due à l’augmentation de la demande de ces produits en cette période de l’année.

De plus, un nombre important d’éleveurs cessent cette activité notamment en cette période caractérisée par la hausse des températures, a affirmé M. Bouazghi indiquant que les autorités avaient pris une série de mesures, en tête desquelles l’exonération de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) sur les opérations de vente de l’orge et du maïs aux éleveurs.

S’agissant de l’irrigation des terres agricoles en utilisant des eaux usées, le premier responsable du secteur de l’Agriculture a rassuré que son département avait adressé des instructions rigoureuses pour effectuer des visites d’inspection et de contrôle inopinées au niveau des exploitations agricoles.

Plus précis, il a expliqué que « ce sont les autorités locales qui chapeautent actuellement les commissions de wilayas et les instances concernées, en collaboration avec les directions de l’Agriculture, des Ressources en eau, de l’Environnement et de la Sécurité au niveau local ».

En réponse à une question sur la production locale des semences, le ministre a fait savoir que le taux de semence produit en Algérie était disponible et satisfaisait les besoins nationaux. A ce propos, il a fait état d’un programme national mis en vigueur pour renforcer la production des semences et des plantes afin d’atteindre l’autosuffisance nationale.

Sur un autre registre, le ministre a précisé que le secteur de l’Agriculture en Algérie utilisait très peu de pesticides, par rapport à d’autres pays.

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Accord UE-Maroc: des organisations mobilisées contre tout accord incluant le Sahara occidental

Thu, 11/29/2018 - 22:31

CHAHID EL HAFEDH – Quelques 100 organisations de la société civile sahraouie se sont adressées au Parlement Européen (PE), à la Commission Européenne de la pêche ainsi qu’aux Etats membres de l’Union Européenne (UE), pour éviter la signature de tout accord d’association commercial avec le Maroc, pouvant porter atteinte aux droits fondamentaux du peuple sahraoui.

Cette requête, signée et adoptée par près de 100 organisations des droits de l’Homme, représentant les territoires occupés, les camps des réfugiés sahraouis et la diaspora, a été rendue public, jeudi, par l’Observatoire des ressources naturelles du Sahara occidental (WSRW).

Les collectifs de la société civile sahraouie ont demandé au PE, à la Commission Européenne de la pêche et aux états membres de l’UE de « respecter le droit du peuple sahraoui, avant la signature de tout accord d’association entre l’UE et le Maroc, incluant dans ses clauses les eaux territoriales du Sahara occidental occupé par le Maroc ».

Les ministres de la pêche de l’UE devraient voter, au cours des prochaines semaines, un accord d’association entre l’UE et le Maroc incluant les eaux territoriales du Sahara Occidental.

Prenant habituellement plus de temps pour évaluer les accords économiques, le PE veut procéder à la ratification de ces documents, en février prochain, un délai qui ne permet pas aux commissions d’évaluer la proposition ou de la soumettre à débat, selon les observateurs.

Les autorités sahraouies veillent à protéger leurs ressources de toute exploitation illégale, à travers le déploiement de leur diplomatie pour mobiliser davantage de soutien à l’autodétermination du peuple sahraoui et lui permettre de tirer profit de ses ressources.

Dans ce sens, une délégation sahraouie avait entrepris, ce mois-ci, une série de rencontres avec les membres du PE et l’Intergroupe parlementaire de paix au Sahara Occidental, autour du dossier des ressources naturelles du Sahara Occidental, afin de sensibiliser les représentants des peuples européens au « danger » de toute tentative visant à faire fi de la charte internationale et des décisions de la Cour de justice européenne (CJUE) de 2016 et 2017.

La délégation sahraouie a relevé les tentatives de la Commission européenne d’outrepasser la légalité internationale et la justice européenne qui avaient auparavant souligné que le Maroc et le Sahara Occidental étaient deux pays distincts et que tout accord entre l’Union européenne (UE) et le Maroc qui inclut le Sahara Occidental ou ses ressources était un accord nul, attentant au principe du droit du peuple sahraoui à l’autodétermination.

Par ailleurs, des députés du PE avaient appelé à mettre en place un étiquetage permettant d’indiquer la provenance des produits importés au marché communautaire européen, notamment ceux provenant du Sahara occidental occupé.

Pour sa part, la chef de la diplomatie européenne Federica Moghreni a affirmé que la commission européenne allait se conformer à la décision de la CJUE du 27 février 2017, soulignant que les décisions de cette instance étaient astreignantes, aussi bien pour les institutions de l’UE que pour les Etats membres.

Ces réactions interviennent suite aux tentatives répétées de la commission européenne d’outrepasser la décision de la CJUE dans l’intention de gagner un peu plus de temps, en attendant de poursuivre le pillage des biens du peuple sahraoui avec la complicité du Maroc, et ce en persistant à renouveler les accords de pêche UE-Maroc incluant les eaux territoriales du Sahara Occidental occupé.

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AG élective de l’ACNOA: l’Algérien Berraf nouveau président

Thu, 11/29/2018 - 22:24

TOKYO – L’Algérien Mustapha Berraf a été élu président de l’Association des comités nationaux olympiques d’Afrique (ACNOA), jeudi à Tokyo lors de l’assemblée générale extraordinaire et élective de l’instance.

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2 éléments de soutien aux groupes terroristes arrêtés à Bordj Badji Mokhtar

Thu, 11/29/2018 - 15:40

Deux (02) éléments de soutien aux groupes terroristes ont été arrêtés mercredi à Bordj Badji Mokhtar, par un détachement de l’Armée nationale populaire (ANP), indique jeudi le ministère de la Défense nationale (MDN) sur sa page facebook.

« Dans le cadre de la lutte antiterroriste et grâce à l’exploitation de renseignements, un détachement combiné de l’Armée nationale populaire a arrêté, le 28 novembre 2018 à Bordj Badji Mokhtar (6e Région militaire), deux (2) éléments de soutien aux groupes terroristes », précise la même source.

Par ailleurs et dans le cadre de la lutte contre la contrebande et la criminalité organisée, un détachement de l’Armée nationale populaire « a intercepté, à Tamanrasset (6e RM), sept (7) orpailleurs et saisi un véhicule tout-terrain, cinq (5) motocycles, six (6) groupes électrogènes, six (6) marteaux piqueurs et quatre (4) détecteurs de métaux ». Un autre détachement « a saisi, à Ghardaïa (4e RM), (1.950) paquets de cigarettes ».

D’autre part, des Garde-côtes « ont déjoué une tentative d’émigration clandestine de douze (12) personnes à bord d’une embarcation de construction artisanale à Oran (2e RM), alors que sept (7) immigrants clandestins de différentes nationalités ont été interceptés à Laghouat (4e RM) ».

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Près de sept mois après les élections législatives: Le Liban toujours sans gouvernement

Thu, 11/29/2018 - 15:10

Saad Hariri, le Premier ministre désigné, ne parvient toujours pas à former son gouvernement. Et pourtant, il s’était fixé au début du mois d’octobre un délai de 10 jours pour rendre publique la liste de sa composante. Il semblerait, selon les médias libanais, qu’une tension entre sunnites et chiites prenne forme et accentue les difficultés de Saad Hariri à atteindre son objectif. Des attaques sont menées frontalement contre le Premier ministre désigné, à l’instar de celle lancée par l’ancien ministre prosyrien Wi’am Wahhab.

Selon le quotidien libanais L’Orient-le-jour, qui rapporte l’information, citant une source anonyme du courant du “8-Mars” cette attaque n’est pas fortuite et a pour but de faire avorter les efforts visant à débloquer la situation, notamment l’initiative menée le chef du Courant patriotique libre, Gebran Bassil. On apprend également que le Premier ministre désigné aurait mis au point une mouture, qui serait entre les mains du président de la République, et n’attend plus que les noms des ministres du Hezbollah. Mais le parti de Cheikh Nasrallah refuserait toujours de communiquer à ce sujet tant que le nœud sunnite n’est pas réglé.

Pendant ce temps, Saad Hariri refuse de revoir sa formule de composition du gouvernement, car estimant que les six députés sunnites, qui ne forment pas un groupe parlementaire homogène, sont déjà représentés au gouvernement à travers les blocs auxquels ils ont pris part au lendemain des législatives. Devant cette situation de blocage, les médias libanais ont rapporté que le leader des Forces libanaises (FL), Samir Geagea, a appelé le président de la République, Michel Aoun, et le Premier ministre désigné, Saad Hariri, pour leur demander de convaincre le mouvement chiite Hezbollah de communiquer les noms des ministres qu’il a choisis.

Merzak T. 

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Cotisations de sécurité sociale, postes vacants et dépenses fiscales: La Cour des comptes pointe plusieurs insuffisances

Thu, 11/29/2018 - 15:06

Au ministère du Travail, les investigations effectuées ont permis de constater que les cotisations calculées par la Cnas sont inférieures à celles payées par le ministère.

On ne peut pas dire que l’État montre l’exemple. Dans son rapport d’appréciation sur l’avant-projet de loi portant règlement budgétaire de l’exercice 2016, la Cour des comptes relève des manques aux obligations de déclaration et de paiement des cotisations de sécurité sociale de certains ministères. Contrairement aux dispositions de la loi n°83-14 du 2 juillet 1983 relative aux obligations des assujettis, modifiée et complétée, “les ministères de la Communication et des Moudjahidine n’ont pas, procédé à la souscription d’une déclaration annuelle des salaires et des salariés”, souligne la Cour des comptes.   “L’examen des situations relatives aux cotisations de sécurité sociale au titre de l’année 2016 élaborées par la Cnas, les déclaration des ministères de la Santé, du Travail, de la Communication et des Moudjahidine ainsi que la Trésorerie centrale d’Algérie, a mis en en évidence l’existence d’écarts substantiels et des incohérences entre les chiffres présentés”,  constate, également, le rapport.

À titre d’exemple, au ministère du Travail, les investigations effectuées ont permis de constater que les cotisations calculées par la Cnas sont inférieures à celles payées par le ministère. L’écart est estimé à 1 214 539,53 dinars. La Cour des comptes indique, par ailleurs, que le montant des créances détenues par la Cnas à l’encontre des ministères du Travail, de la Santé, de la Solidarité nationale, de la Communication, de la Culture, de la Jeunesse et des sports et des Moudjahidine, relatives aux cotisations de sécurité sociale au 31 décembre 2015 est estimé à plus de 338 millions de dinars.

378 551 postes vacants recensés en 2016
378 551 postes vacants ont été recensés par la Cour des comptes, dans son rapport contre 371  386 postes en 2015 et 360 452 en 2014. Le nombre de poste vacants le plus important est localisé au niveau du ministère de l’Éducation nationale avec 65 866 postes (9,09%), le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique avec 19 291 postes vacants (9,30%) et le ministère de la Formation et de l’Enseignement professionnels avec 10 453 postes vacants (15,58%). Au niveau du ministère de la Santé, le nombre des postes vacants est évalué à 4 358. Par catégories professionnelles, les corps spécifiques représentent 26%, suivis des corps communs avec un taux de 5% et des postes supérieurs avec 4%. “L’importance des postes vacants s’explique, d’une part, par le gel du recrutement décidé dans le cadre de la Fonction publique, et d’autre part, par la non promulgation des textes fixant l’organisation de certains organismes publics”, indique le rapport.

Absence de mécanismes de prévision des dépenses fiscales
Les dépenses fiscales accordées en 2016 s’élèvent à 886,325 milliards de dinars indique la Cour des comptes. Les dépenses fiscales sont des avantages fiscaux accordés par l’État en vue d’encourager les activités des régions, des entreprises ou des catégories sociales, en renonçant volontairement à une partie de ses revenus fiscaux. 390,304 milliards de dinars concernent les exonérations fiscales liées aux régimes d’incitation à l’investissement (Andi) et à l’emploi (Ansej, Cnac et Angem). La Cour des comptes signale que “l’administration fiscale se contente de recenser ces exonération sans déterminer les dépenses fiscales associées aux régimes dérogatoires, et ce, en raison des retards qu’elle accuse dans la mise en œuvre d’un système d’information complet et intégré comportant les différents avantages octroyés”.

Le coût des dépenses fiscales accordées par l’administration des Douanes, en 2016, a atteint 496,021 milliards de dinars. Le rapport précise que le total des exonérations fiscales, selon les informations transmises à la Cour des comptes par la Direction générale des Impôts (DGI) et la direction des grandes entreprises, diffère du montant figurant dans le rapport de présentation de l’avant-projet de loi de règlement budgétaire pour l’exercice 2016, émanant du ministère des Finances. La Cour des comptes évoque un écart de 499,632 milliards de dinars.  Le rapport pointe, entre autres, l’absence de mécanismes de prévision des dépenses fiscales et de leur impact. Pour la Cour des comptes, “les dépenses fiscales comportent des risques élevés, liés principalement à l’absence de suivi des avantages accordés par les services de l’administration fiscale, en particulier, le manque de respect des promoteurs des projets d’investissement de leurs engagements durant la période d’exonération”.

Meziane Rabhi

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Prise en charge tardive du cancer du poumon: Les pneumologues tirent la sonnette d’alarme

Thu, 11/29/2018 - 15:04

Les délais tardifs de pose du diagnostic en Algérie aggravent l’état du cancéreux et compromettent l’effet de la thérapie prescrite, y compris les plus innovantes.

Au-delà de la situation épidémiologique qui renseigne sur les impacts du cancer bronchopulmonaire (CBP) en Algérie, de gros efforts doivent être encore déployés pour améliorer le dépistage. L’examen radiologique et cytologique du CBP reste la clé indispensable pour l’aboutissement de toute stratégie thérapeutique. La problématique des délais pour la pose du diagnostic de cette infection foudroyante, dont les symptômes ne sont pas visibles aux tous premiers mois de l’infection, semble sérieusement inquiéter et les pneumologues et les oncologues.

C’est le Pr Taghit-Mahi Samia, chef de service de pneumologie au CHU de Mustapha-Pacha, qui a planté le décor, en intervenant, hier, sur les causes et les retombées fatales de dépistage tardif du carcinome pulmonaire, à l’occasion d’une journée d’information tenue à l’hôtel El-Aurassi. Organisée par l’association Nour-Doha, la rencontre d’hier a été mise à profit pour analyser les facteurs sursoyant le diagnostic. Dans son exposé, présenté dans un langage simple et alerte à la fois, la pneumologue a relevé que les délais de diagnostics de ce cancer sont vraiment longs, ce qui réduit le taux de survie des personnes atteintes, même si elles répondent bien durant les premiers temps au traitement anticancéreux.
Sans détours, elle avouera que le parcours du souffrant du CBP est malheureusement semé d’embûches. Pour elle, la responsabilité de cette situation désolante, mais évitable, incombe aussi bien au malade qu’au médecin qui tarde à diagnostiquer ce mal bronchique qui se propage d’une manière fulgurante dans le reste des parties du corps en donnant des métastases.
Autrement dit, la majorité des souffrants de cette pathologie arrive à l’hôpital, au stade final, et le traitement préconisé n’aura ainsi aucun effet. Malgré les signes cliniques d’appel les plus fréquents qui sont la toux ou le crachat de sang ou encore la perte de poids, le sujet malade reste impavide à ce mal ravageur. Cependant, le médecin traîne, pour sa part, pour diagnostiquer la cellule tumorale au niveau du thorax. La qualité des examens complémentaires (imagerie et anatomie pathologique liés au diagnostic) a été pointée du doigt par la conférencière. “La formation du praticien est pour quelque chose dans l’errance du souffrant”, nuancera-t-elle. “Nous devrons, à cet effet, redoubler d’efforts pour capter la pathologie dans les meilleurs délais, ce qui va augmenter le taux de survie.” Pour étayer son argumentaire, elle indiquera que les délais tardifs de prise en charge de diagnostic en Algérie aggravent l’état du cancéreux et compromettent même la thérapie prescrite même la plus innovante.

Les délais de consultation dépassent les 93,5 jours en Algérie, sans compter la longue période des examens complémentaires nécessaires. Alors qu’ailleurs dans les pays avancés, la période de confirmation du diagnostic ne dépasse pas en moyenne les 9 semaines, soit entre la première imagerie pathologique et le premier traitement. Après ce long exposé, le Pr Taghit-Mahi insistera sur la prévention du cancer bronchopulmonaire. Elle lancera, à cet effet, un appel pour “dénormaliser” le tabagisme au sein de la société. Des actions de sensibilisation devront être, dira-t-elle, menées pour casser l’image positive du fumeur. Dans le même registre, le Dr Bourekoua abordera les facteurs de risque du cancer bronchopulmonaire, en rappelant qu’en dehors du tabac, d’autres causes sont à l’origine de cette maladie : “L’exposition professionnelle et environnementale.” Les effets de la fumée de la chicha ou du cannabis sont aussi néfastes que cette de la cigarette. “La chicha est plus nocive que la cigarette”, alerterale  le Dr Bourekoua.

Hanafi H.

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Question: Fumer fait-il maigrir ?

Thu, 11/29/2018 - 14:57

Eh oui, la cigarette brûle des calories ! Un paquet de cigarettes équivaut à 250 kcal, soit l’équivalent en énergie dépensée d’une demi-heure de marche ou de 20 minutes de natation.

Par ailleurs, le tabac augmente le métabolisme de base d’une personne et favorise la mobilisation de ses réserves adipeuses. En plus de son effet déstressant et anxiolytique, la nicotine est un excellent coupe-faim. Elle augmente le taux de sucre dans le sang, ce qui réduit l’appétit. Mais elle entraîne également une perte progressive de l’odorat et du goût… Pas étonnant donc que l’on mange moins.

En contrepartie, les fumeurs ont le teint et les cheveux ternes, les dents jaunes, des problèmes de peau, une bouche pâteuse… Sans parler des risques de cancer. La minceur sans le glamour en vaut-elle la peine ?

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Recette: Pain frit à l’indienne et sauce piquante

Thu, 11/29/2018 - 14:54

1 baguette de pain coupée en tranches de 1 cm
Pour la pâte : 1/2 c. à c. d’ail écrasé, 4 c. à s. de poudre de pois chiches,
30 cl d’eau, 1 c. à c. de sel
Pour la sauce piquante : 1 grosse tomate bien mûre, 1 gros piment vert, 7 branches de coriandre fraîche, 5 branches de menthe fraîche, 1/2 petit oignon, 1/2 gousse d’ail, 1 c. à c. de sel

Mélangez tous les ingrédients pour la pâte et laissez-la reposer 10 min. Trempez les tranches de pain dans cette pâte et dorez-les à la poêle à feu moyen. Mixez au robot tous les ingrédients pour la sauce piquante. Servez les pains dorés avec. Un délice, spécialité indienne. A consommer sans modération !

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Palais de la culture d’Alger: Riche programme aux Journées culturelles japonaises

Thu, 11/29/2018 - 14:53

Des Journées culturelles japonaises sont prévues  du 29 novembre au 1er décembre 2018 au Palais de la culture Moufdi-Zakaria d’Alger.
Au programme de cette importante manifestation  figurent des ateliers de dessin manga, d’origami et de calligraphie.  une démonstration de gastronomie japonaise ainsi qu’une démonstration de port de kimono figurent également au programme de ces journées.
Ainsi,  une manga-ka (dessinatrice de manga), Mme Yoshimi Katahira, et une spécialiste d’habillage en kimono, Mlle Ryoko Hayashi, présenteront  leur métiers au public algérien.
La mangaka japonaise Yoshimi Katahira est née à Tokyo. Sa passion pour le manga date de  l’adolescence. Elle travaille d’abord et durant plusieurs années comme assistante dans des studios de manga au Japon.  elle se lance ensuite  en tant que freelance, dessinant des sujets de genres fort divers pour de multiples magazines et revues.
Elle décida ensuite d’entamer des études de français et de vivre en France. Elle anime aujourd’hui  des  ateliers pour les jeunes qui souhaitent apprendre l’art du dessin du manga, organise des expositions et participe aussi aux événements en rapport avec le  manga dans différents  pays.
Ryoko Hayashi est née elle aussi à Tokyo en 1991. Elle a vécu dans plusieurs pays aux différentes  cultures, dont l’Indonésie, les Etats-Unis, le Canada et l’Inde pour diverses activités culturelles et un stage. Ces expériences lui ont donné la motivation de travailler en tant que «passerelle culturelle» entre le Japon et le monde. En 2014, elle a commencé à travailler à Itochu Corporation en suivant parallèlement  des cours d’apprentissage à l’école du kimono.
En 2018, elle quitte ce travail  pour se concentrer sur les activités qui font connaître la culture et la technique traditionnelle du Japon dans le monde ainsi que sur l’organisation de  différents évènements culturels à l’étranger et des visites touristiques à Tokyo.
Le programme des Journées culturelles japonaises à Alger comporte des concours de cosplay, de discours de la langue japonaise, ainsi que du dessin manga qui seront organisés par l’ambassade du Japon.
Kader B.

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Clôture des journées nationales du film court-métrage: Pour que Bouira retrouve son lustre d’antan de ville des arts et de culture

Thu, 11/29/2018 - 14:50

«La ville de Bouira sera à jamais reconnaissante à Mme Cherbi Saliha pour avoir enfin réussi à ressusciter un festival qui était un jour lancé avant d’être mis aux calendes grecques durant les années 1990, à cause du terrorisme qui avait frappé le pays en général et la wilaya de Bouira en particulier.»
L’auteur de cet hommage n’est autre que le fondateur justement du premier festival du court-métrage qui a eu lieu à Bouira en 1990, Rachid Larbi. Une année plus tard, une deuxième édition a été organisée à Tikjda, mais, malheureusement, pour cause des événements tragiques qu’a connus le pays avec le terrorisme qui l’avait menacé jusqu’à ses fondements, en ayant justement pour cible tout ce qui était créatif, en visant entre autres, les artistes, le festival fut jeté aux oubliettes.
Aussi, c’est tout naturellement que la directrice de la Maison de la culture Ali-Zamoum avait pensé à dédier ces journées du film de court-métrage à ce digne enfant de la wilaya de Bouira.
Tout au long de ces trois jours, une exposition montrant le parcours de cet artiste hors pair, cet universitaire, grand commis de l’Etat pour avoir exercé comme chef de daïra pendant plusieurs décennies, avant de prendre sa retraite bien méritée en 2015. Du haut de ses 61 ans, Rachid Larbi, qui a été honoré comme il se doit durant ces journées, n’a qu’une seule obsession : voir le festival du film court-métrage perpétué à Bouira pour devenir, pourquoi pas, un festival international.
D’ailleurs, lors d’une discussion à bâtons rompus, Rachid, toujours souriant et jovial, nous fera un long voyage à travers le temps pour nous replonger dans la ville de Bouira des années 1970. A l’époque déjà, alors qu’il était encore collégien, il se rappellera ses premiers pas faits dans le monde de l’art ; lui qui a vécu et grandi à la rue de France mais, surtout, le boulevard Mouzai-Abdelkader ; aujourd’hui pratiquement réduit à néant et où subsiste juste l’hôtel Toumi. A l’époque, se rappelle-t-il, le boulevard avait, à lui seul, quatre institutions culturelles : les SMA, la JFLN, les Arts lyriques et l’auberge de jeunes.
Durant ces années d’or de la culture tant à Bouira que dans le pays, le jeune Rachid Larbi avait la chance de côtoyer durant sa scolarité beaucoup de personnalités tout aussi géniales parmi les artistes algériens, comme feu Ali Matouk, chef d’orchestre d’une troupe chaâbie à Bouira, les Snow Boys qu’étaient les frères Bouchia de la ville de Bouira en compagnie d’Aït Oumghar Mouloud, qui ont fondé une troupe moderne à Bouira, mais aussi, plus tard, Rachid a été affecté durant son service national, en 1983, à l’école militaire de musique. Mais auparavant et grâce à ces contacts permanents avec les professeurs allemands et russes qui enseignaient à Bouira, au CFPA de la ferme école, mais également au lycée Mira, Rachid Larbi a pu faire éclore son génie dans le théâtre en créant des pièces théâtrales telles que «Chikh Bouferka» qui appelle à l’éveil contre le charlatanisme ou encore «L’émigré» pour dénoncer les attitudes des émigrés de retour dans leur pays.
Poursuivant son amour pour l’art et la culture, et après sa sortie de l’université avec une licence en sciences politiques et des sciences appliquées en 1982, et après la période du service national, il travaillera comme conseiller au cabinet du wali avant d’être promu chef de daïra dans plusieurs wilayas du pays.
Pour son expérience dans le cinéma amateur, c’est en 1986 qu’il réussira son premier court-métrage L’huilerie, un documentaire qui retrace les étapes à suivre pour avoir de l’huile d’olive ; une sorte d’hommage à l’huile de Kabylie et les huileries traditionnelles. D’ailleurs, ce court-métrage raflera plusieurs médailles et distinctions, avec une médaille de bronze au festival d’Aïn Defla en 1987, un deuxième prix au festival d’El-Harrach en 1988, un troisième prix toujours à El-Harrach en 1989 et un prix d’encouragement à Tiaret dans la même année.
Entre-temps, il réalisera également en 1988 un autre court-métrage intitulé Thamaghra Ouaejmi (la fête avec un bœuf comme bête à sacrifier) signe d’abondance de la viande ; un court-métrage qui relate une tradition des fêtes de mariage en Kabylie. Ensuite, un troisième court-métrage La poudre pour attirer l’attention sur les dangers de l’utilisation abusive de la poudre à canon durant les fêtes, et qui a créé beaucoup de dégâts dans les fêtes avec parfois des drames …
Rachid entamera plusieurs autres courts-métrages mais sans jamais les achever pour cause de problèmes liés à la situation du pays qui prévalait à l’époque des années 1990. Il participera, cependant, à la réalisation du premier film d’expression amazighe, aux côtés du réalisateur Achour Kassas à Ighil Imoula intitulé Le vendeur de la neige. Pour revenir aux journées du film court-métrage, et d’après les jeunes présents issus de 14 wilayas du pays, la réussite consiste justement en l’existence d’un tel espace de débats et de critiques objectives entre les jeunes talents venus de divers wilayas du pays pour, d’abord, échanger leurs idées, mais également pouvoir présenter leurs travaux et les évaluer devant des spécialistes qui sont présents comme Houria Khadir, scénariste, Belkacem Chihaoua, réalisateur cinématographique, et Mohamed Yargui, producteur ; des spécialistes qui ont animé, durant ces journées, des ateliers très bénéfiques pour ces jeunes mais également pour le public qui était, certes, peu nombreux mais très attentif.

Et  justement, après trois jours de projection des 22 courts-métrage mis en compétition, le jury a choisi deux films courts-métrages qui sont sortis du lot en gagnant le premier prix à ex æquo  : le premier film court-métrage de 25 minutes et 35 secondes est l’œuvre de Laâmad Ghedjati de Guelma intitulé Laânatoun bayna adhdhalal (Malédiction dans un monde de lâcheté) qui parle de la Palestine ; et le deuxième film court-métrage de 29 minutes est l’œuvre de Mustapha Cherbal de Sétif, intitulé Rissala (Message). A la fin, tout le monde a souhaité que ces journées du film court-métrage de Bouira, nouveau look, soient maintenues et transformées en festival national du film court-métrage, afin que Bouira, qui était appelée dans les années 1970 la ville des arts et culture, retrouve son lustre d’antan.
Y. Y.

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Recette: Sauce au fromage

Thu, 11/29/2018 - 14:48

150 g de fromage râpé, 50 g de beurre, 50 g de farine, 550 ml de lait, sel et poivre 

Faire fondre le beurre dans une casserole, ajouter la farine peu à peu en mélangeant et laisser cuire 1 min environ sans cesser de remuer, jusqu’à obtention d’un mélange mousseux.

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L’Assemblée nationale améliore la prise en charge santé des chibanis

Thu, 11/29/2018 - 14:44

La mesure votée concerne 330 000 pensionnés, dont 240 000 résident au Maghreb, principalement en Algérie, au Maroc et en Tunisie.

L’Assemblée nationale a voté mercredi 28 novembre une extension de la prise en charge des frais de santé des chibanis, ces immigrés du Maghreb qui ont travaillé en France pendant des dizaines d’années avant, pour certains, de retourner dans leur pays. Cet amendement gouvernemental s’inscrit dans le cadre du projet de budget de la Sécurité sociale qui a été adopté en seconde lecture dans la soirée par l’Assemblée nationale par 39 voix contre 24.

Le texte, porté par la ministre de la santé, Agnès Buzyn, va maintenant retourner au Sénat en nouvelle lecture jeudi, avant sa lecture définitive programmée à l’Assemblée lundi 3 décembre. Le rapporteur du texte, Olivier Véran (La République en marche, LRM), a salué dans l’Hémicycle le vote de l’amendement chibanis comme « une avancée extrêmement importante ».

« Les cheveux blancs »

« Ceux qu’on appelle “les cheveux blancs” sont venus en France dans les années 1960-1970. Ils ont effectué des métiers pour lesquelles la France avait besoin d’eux et, après toute une vie de labeur, ont exprimé le souhait de pouvoir rentrer chez eux », a-t-il rappelé. Mais « ils étaient jusqu’ici traités distinctement de tous les autres, ce qui n’était pas normal », a souligné l’élu, citant l’obligation qui leur était faite de résider sur le territoire français pour bénéficier de la couverture santé.

L’amendement adopté vise « à étendre la prise en charge des frais de santé des pensionnés résidant à l’étranger et ayant travaillé plus de quinze ans en France lorsqu’ils sont soignés lors de leur séjour temporaire en France »« Dans ce cas, la France prendra en charge unilatéralement les soins de ces personnes », a expliqué la secrétaire d’Etat auprès de la ministre des solidarités et de la santé, Christelle Dubos. « Cet amendement permet également de rétablir la prise en charge des enfants mineurs de ces pensionnés », a-t-elle précisé.

Quelque 750 000 personnes titulaires d’une pension vieillesse française et pouvant justifier de quinze ans de cotisations résident aujourd’hui en dehors de la France. Parmi eux, 420 000, installés dans l’Union européenne, sont déjà couverts. La mesure votée concerne les 330 000 pensionnés restants, dont 240 000 résident au Maghreb, principalement en Algérie, au Maroc et en Tunisie, a précisé Mme Dubos.

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Campagne de sensibilisation pour lutter contre les dangers du monoxyde de carbone

Thu, 11/29/2018 - 14:30

Chaque année, au cours de la période de chauffe en gaz naturel ou en gaz butane, des centaines de personnes dans tout le territoire du pays sont victimes d’une intoxication liée au monoxyde de carbone.
Les services de la protection civile de la wilaya de Mostaganem ont commencé à mener une campagne d’information et de sensibilisation qui consiste à faire adopter les bons gestes et à informer sur les règles de sécurité concernant le fonctionnement des appareils de chauffage et des chauffe-bains et qui concerne un grand nombre de communes dont particulièrement celles rurales où des habitations viennent d’être raccordées au gaz naturel. Invisible, inodore et insipide, le monoxyde de carbone est un gaz indétectable pour l’être humain. Ce gaz peut être émis par un appareil endommagé, mal entretenu ou par une mauvaise ventilation.
La prévention sur les dangers au monoxyde carbone revient au sein des familles qui doivent par conséquent faire preuve d’une bonne vigilance pour éviter le pire.
L’inhalation de monoxyde de carbone est la principale cause d’empoisonnement. Le bilan établi par le service prévention relevant de la direction de la protection civile de wilaya au cours de la saison hivernale 2017-2018 relève plusieurs cas d’asphyxie qui ont causé plusieurs victimes sauvées in-extrémis d’une mort certaine et d’autres ont succombé à ce gaz mortel. L’objectif de cette campagne de sensibilisation, c’est de faire connaître les dangers du monoxyde de carbone afin d’améliorer la protection de tout un chacun contre ce gaz toxique.
A. B.

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Violence contre la femme à Jijel: 106 cas recensés en dix mois

Thu, 11/29/2018 - 14:23

L’officier Laouir Ikram de la police judiciaire de la Sûreté de wilaya de Jijel a affirmé que le service a enregistré 106 cas de violence contre la femme dans la wilaya de Jijel, durant les dix premiers mois de l’année en cours tandis que l’année écoulée on a enregistré 158 cas.
Mlle Laouir Ikram a souligné lors de la journée d’étude organisée par la direction de l’action sociale sur la violence contre les femmes au centre culturel islamique Ahmed-Hemani de Jijel que sur les 158 cas de l’année en cours , le principal acteur de cette violence est le fiancé, ajoutant que cette violence a plusieurs aspects dont entre autres la violence verbale et physique, harcèlement sexuel.Elle a révélé, par ailleurs, que de nombreux victimes refusent de voir le médecin légiste pour délivrer un certificat médical en raison de la pudeur, la nature conservatrice de la société, surtout que l’auteur de cette violence est un proche. Pour sa part, la psychologue Fatima Merimeche est revenue longuement sur la problématique, la violence conjugale contre la femme qui, de plus en plus, prend de l’ampleur ces dernières années .La conférencière a abordé cette question dans notre société d’essence patriarcale où parler de la violence contre la femme est un tabou.
Elle a ensuite tracé le profil des hommes auteurs de cette violence contre la femme qui constitue souvent une proie pour ces séducteurs qui ont l’obsession d’exercer ce pouvoir d’agresseur dans un milieu social truffé de non-dits.
Bouhali Mohammed Cheri

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M’sila: Un regroupement régional des chargés de la communication des pompiers

Thu, 11/29/2018 - 14:20

La direction générale de la protection civile (DGPC) organise une session de formation au profit des officiers chargés de l’information des wilayas du centre et centre-est du pays du 28 au 29 novembre 2018 au niveau de la direction de la protection civile de la wilaya de M’sila.

Onze wilayas ont pris part à cette session, les wilayas participantes sont : M’sila, Alger, Boumerdès, Médéa, BBA, Sétif, Biskra, Ouargla, Béjaïa, Tizi Ouzou, Djelfa, qui rentre dans le cadre du développement et de la modernisation du secteur de la protection civile, particulièrement dans le domaine des ressources humaines, selon le communiqué remis aux différents représentants des organes médiatiques activant dans la wilaya,afin de renforcer les capacités des officiers à la gestion de l’information préventive, opérationnelle, ainsi que le management des crises à travers les différents médias, en particulier dans le domaine de l’utilisation des médias sociaux.

Cette session de formation permettra aux participants d’acquérir un savoir-faire mais également des capacités et des compétences pour être aptes à élaborer des plans de communication et mettre en place les actions permettant d’atteindre les objectifs fixés,de choisir et mettre en œuvre les bons outils et actions de communication, établir des relations de confiance avec les différents partenaires en vue de favoriser une image positive de l’institution, de préparer et conduire une démarche de communication préventive et opérationnelle ,mettre en place des dispositifs d’écoute et d’appréhender la nature et les principales caractéristiques des situations de crise pour y faire face.
Cette rencontre est la première organisée par la DGPC qui prépare deux autres, une pour les wilayas de l’Est et une pour les wilayas de l’Ouest, selon le colonel M.

Farouk Achour, sous-directeur des statistiques et de communication qui voit que cette opportunité profite aux officiers chargés de la communication, des directions de la protection civile des 48 wilayas du pays, pour être formés sur l’utilisation des techniques optimales en leur possession de communication notamment à travers les réseaux sociaux en leur donnant des principes à faire passer le message le plus important en expliquant que la plupart des accidents sont évitables, seulement après une bonne communication en matière de sensibilisation, ajoute ce responsable, tout en améliorant les relations de partenariat avec les médias conclut-il.
A. Laïdi

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Marseille : l’imam Ghoul aurait obtenu ses papiers de façon illégale

Thu, 11/29/2018 - 14:18
Pour obtenir ses papiers français, le vice-président du Conseil régional du culte musulman aurait fourni des documents non-conformes. Il est rentré en Algérie

Ghoul, le vice-président du conseil régional du culte musulman. Ghoul, l’imam et président de la mosquée Tahara, rue de l’Académie (Marseille 1er) ; l’intervenant quotidien sur les ondes de Radio Gazelle, le président de l’association « la Mosquée de Marseille » ; Ghoul encore, qui souvent apparaît en bonne place dans les dîners amicaux, à la table de dignitaires religieux, aux côtés de politiques aussi, dans les inaugurations, les conférences sur la radicalisation… Abderrahmane Ghoul, partout.

Plusieurs sources concordantes nous l’ont confirmé hier : mardi matin, l’imam rentrait d’un voyage en Turquie lorsqu’à Marignane, les services compétents ont entrepris un contrôle poussé de ses papiers d’identité française. Renversante découverte : c’est à partir de documents non conformes qu’il les aurait obtenus. Ses papiers français retirés, Abderrahmane Ghoul aurait alors rejoint le pays dont il est citoyen de fait, l’Algérie.

Dès lors, tout espoir de retour en France ne saura être satisfait qu’à l’issue de la procédure qui incombe à tout citoyen algérien : l’obtention d’un visa… Abderrahmane Ghoul vivait en France depuis les années 90.

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Le HUAWEI P20 Pro élu «Meilleur smartphone de l’année» par l’Association Européenne de l’image et du son (EISA)

Thu, 11/29/2018 - 13:43

Le groupe HUAWEI Consumer Business Group (CBG) a récemment reçu un prix de l’Association Européenne de l’Image et du Son (EISA), groupe regroupant 55 des magazines électroniques grand public les plus respectés dans le monde.

Le HUAWEI P20 Pro a été nommé e «Meilleur smartphone EISA 2018-2019» par l’association en reconnaissance de l’engagement de HUAWEI en matière de qualité, de design et de performances, ainsi que de sa longue expérience en matière d’introduction d’appareils stylés et puissants. C’est la sixième année consécutive que HUAWEI est reconnu par l’EISA.

«Pour nous, la plus importante des récompenses est la fabrication de produits permettant aux consommateurs d’apprécier et d’expérimenter l’intelligence de nos appareils ainsi que la photographie. Le HUAWEI P20 Pro fournit une multitude de fonctions de photographie permettant de capturer et de partager les moments qui comptent le plus pour nos utilisateurs », a déclaré Li Changzhu, vice-président des activités de combinés à HUAWEI Consumer Business Group (CBG).

EISA a sélectionné le HUAWEI P20 Pro comme le meilleur smartphone de l’année en tant que «smartphone le plus avancé, innovant et techniquement supérieur», ainsi que «le compagnon idéal des utilisateurs mobiles, mais aussi un pionnier dans le domaine de la photographie mobile».

La révolutionnaire Leica Triple Camera sur le HUAWEI P20 Pro affiche le nombre total de pixels le plus élevé de tous les appareils photo pour smartphones du marché. En outre, il prend en charge le zoom optique 3x et le zoom hybride 5x, ainsi que des fonctionnalités innovantes, notamment le système de stabilisation d’image AI HUAWEI.

Le design élégant du HUAWEI P20 Pro présente de toutes nouvelles couleurs dégradées. Aussi grâce au micro-processeur doté de l’intelligence artificielle qui permet une expérience douce et rapide.

Les caractéristiques exceptionnelles de l’appareil photo permettent une photographie de qualité supérieure en basse luminosité, ce qui en fait l’un des rares appareils capables de prendre des photos en pose longue réussies sans trépied, grâce à la technologie AI exclusive de HUAWEI. De plus,  sa batterie de 4 000 mAh place le HUAWEI P20 Pro parmi les smartphones les plus intéressants en termes d’autonomie. Le HUAWEI P20 Pro représente «une combinaison gagnante de performances, d’optiques et de design», a noté EISA.

Les membres d’EISA regroupent des experts médias couvrant tout le spectre de l’électronique grand public de 27 pays. Chaque membre contribue à un ou plusieurs des six groupes d’experts de l’EISA, aux connaissances en termes de photographie, des appareils mobiles, chaînes hi-fi, home-cinéma, les téléviseurs grands écrans et l’électronique embarquée. Chaque année, les membres de l’EISA proposent une liste de produits qu’ils considèrent comme des artistes hors pair dans chacun de ces groupes d’experts. Les candidatures sont ensuite présentées à l’AGA de l’EISA, au cours de laquelle les membres mènent une délibération approfondie avant de voter pour le gagnant de chaque catégorie.

Le prix a été remis à HUAWEI lors de la cérémonie de remise des prix EISA lors de l’IFA Berlin le 31 août 2018.

À propos de Huawei Consumer Business Group (CBG) Huawei Consumer Business Group (CBG) est l’un des trois groupes d’activités de Huawei, proposant une gamme de produits comprenant des téléphones portables, des appareils portables, des tablettes et des ordinateurs portables. Les produits et services de Huawei sont disponibles dans plus de 170 pays et sont utilisés par un tiers de la population mondiale, se classant au troisième rang mondial des envois de téléphones mobiles en 2016. La croissance d’une année sur l’autre se reflète dans la montée en puissance de Huawei en tant que marque premium mondialement reconnue. En 2017, Huawei a été désignée numéro 49 parmi les 100 marques les plus précieuses au monde par BrandZ, numéro 88 dans les marques les plus précieuses de Forbes et numéro 40 sur la liste des 500 marques les plus précieuses de Brand Finance. Au classement Fortune 500 de cette année, HUAWEI a grimpé à la 83e place de la 129e place de l’année dernière avec un chiffre d’affaires de 78,51 milliards de dollars, ce qui en fait pour la première fois la première place mondiale. En tant que société technologique de premier plan, Huawei investit une part importante de son chiffre d’affaires annuel dans la recherche et le développement et a créé 16 centres de recherche dans le monde entier. Le Centre de recherche en esthétique Huawei à Paris fait partie de ces installations. Le plus récent centre de R & D de Huawei est le Max Berek Innovation Lab de Wetzler, en Allemagne, où Huawei et Leica étudient conjointement des technologies permettant d’améliorer la qualité de l’appareil photo et des appareils mobiles.

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