Das DIW Berlin sucht zum nächstmöglichen Zeitpunkt in der Abteilung Finanzen eine*n
Vergabe- und Vertragsreferent*in (w/m/div)
(Vollzeit mit 39 Stunden pro Woche, Teilzeit ist möglich)
Die Abteilung Finanzen ist zuständig für die Verwaltung des Haushalts inkl. Rechnungswesen, Steuerangelegenheiten, Beschaffung und Reisekosten.
Le 16 septembre 2023, le Burkina Faso, le Mali et le Niger, trois États dirigés par des régimes militaires issus de coups d’État, ont décidé de former l’Alliance des États du Sahel (AES). Cette nouvelle organisation régionale a vu le jour dans le sillage de l’intensification de la crise interne au sein de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) en 2023, dont le point culminant a été atteint le 28 janvier 2024 avec l’annonce, par les trois États membres de l’AES, de leur retrait de cette organisation régionale fondée en 1975. Dans un contexte sociopolitique où le rôle et les fonctions de l’État ainsi que la portée et les modalités d’exercice des pouvoirs publics se trouvent de plus en plus contestés, de nouvelles formes d’organisation politique et sociale se développent, également sous l’influence de l’évolution actuelle de la situation géopolitique dans un ordre mondial en mutation. Dans le même temps, les États et les sociétés, mais aussi les processus d’intégration régionale en cours, font face à de nouveaux enjeux majeurs. Au sein de la communauté des États de la CEDEAO, les notions traditionnelles d’État et de société, les valeurs et les structures se heurtent aux tendances croissantes en faveur d’une nouvelle conception de l’État et de la souveraineté. La région Afrique de l’Ouest/Sahel voit émerger de nouveaux processus d’édification de la nation et de l’État (Nation Building et State Building), portés par des efforts visant à renouveler la cohésion sociale et à intégrer le plus pleinement possible les « Forces Vives de la Nation » auxquelles les dirigeants de ces États se réfèrent de plus en plus. Ces évolutions nécessitent un ajustement de la politique étrangère et de développement allemande et européenne. À l’heure actuelle, les conditions politiques et sociales et les attentes des partenaires de l’espace Afrique de l’Ouest/Sahel connaissent de profonds bouleversements qu’il convient de concilier avec le contenu et les intérêts de la politique étrangère de l’Allemagne, fondée sur des valeurs, et dans le droit fil du principe d’un partenariat « d’égal à égal ». L’appréciation des développements à venir et l’intégration des dynamiques qui les sous-tendent nécessitent de tenir compte des différents processus d’intégration qui se déploient de façon parallèle dans cette région et s’avèrent particulièrement diversifiés. Dans une perspective comparative, le présent article propose un aperçu des différentes organisations régionales de l’espace Afrique de l’Ouest/Sahel. Leur potentiel respectif est analysé en termes de perspectives de développement et de durabilité. Outre la relation critique entre la CEDEAO et l’AES, l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), l’Autorité de Développement Intégré des États du Liptako-Gourma (ALG) et le groupe des États du G5 Sahel en cours de dissolution sont considérés. Pour poursuivre le partenariat entre l’Allemagne – et l’Europe – et les États d’Afrique de l’Ouest et du Sahel –, il est impératif de maintenir le dialogue politique avec l’ensemble des partenaires selon une approche pragmatique. Les pays de cette région sont très importants pour le développement futur de l’Europe. Et seule une coopération dans les domaines de l’économie et du développement, fondée sur une communication empreinte de respect mutuel, peut permettre de contenir l’influence croissante de puissances politiques telles que la Russie et l’Iran. Des puissances dont les idées, les intérêts et les valeurs s’écartent du modèle fondé sur la démocratie et sur l’État de droit d’inspiration occidentale-atlantique.
Le 16 septembre 2023, le Burkina Faso, le Mali et le Niger, trois États dirigés par des régimes militaires issus de coups d’État, ont décidé de former l’Alliance des États du Sahel (AES). Cette nouvelle organisation régionale a vu le jour dans le sillage de l’intensification de la crise interne au sein de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) en 2023, dont le point culminant a été atteint le 28 janvier 2024 avec l’annonce, par les trois États membres de l’AES, de leur retrait de cette organisation régionale fondée en 1975. Dans un contexte sociopolitique où le rôle et les fonctions de l’État ainsi que la portée et les modalités d’exercice des pouvoirs publics se trouvent de plus en plus contestés, de nouvelles formes d’organisation politique et sociale se développent, également sous l’influence de l’évolution actuelle de la situation géopolitique dans un ordre mondial en mutation. Dans le même temps, les États et les sociétés, mais aussi les processus d’intégration régionale en cours, font face à de nouveaux enjeux majeurs. Au sein de la communauté des États de la CEDEAO, les notions traditionnelles d’État et de société, les valeurs et les structures se heurtent aux tendances croissantes en faveur d’une nouvelle conception de l’État et de la souveraineté. La région Afrique de l’Ouest/Sahel voit émerger de nouveaux processus d’édification de la nation et de l’État (Nation Building et State Building), portés par des efforts visant à renouveler la cohésion sociale et à intégrer le plus pleinement possible les « Forces Vives de la Nation » auxquelles les dirigeants de ces États se réfèrent de plus en plus. Ces évolutions nécessitent un ajustement de la politique étrangère et de développement allemande et européenne. À l’heure actuelle, les conditions politiques et sociales et les attentes des partenaires de l’espace Afrique de l’Ouest/Sahel connaissent de profonds bouleversements qu’il convient de concilier avec le contenu et les intérêts de la politique étrangère de l’Allemagne, fondée sur des valeurs, et dans le droit fil du principe d’un partenariat « d’égal à égal ». L’appréciation des développements à venir et l’intégration des dynamiques qui les sous-tendent nécessitent de tenir compte des différents processus d’intégration qui se déploient de façon parallèle dans cette région et s’avèrent particulièrement diversifiés. Dans une perspective comparative, le présent article propose un aperçu des différentes organisations régionales de l’espace Afrique de l’Ouest/Sahel. Leur potentiel respectif est analysé en termes de perspectives de développement et de durabilité. Outre la relation critique entre la CEDEAO et l’AES, l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), l’Autorité de Développement Intégré des États du Liptako-Gourma (ALG) et le groupe des États du G5 Sahel en cours de dissolution sont considérés. Pour poursuivre le partenariat entre l’Allemagne – et l’Europe – et les États d’Afrique de l’Ouest et du Sahel –, il est impératif de maintenir le dialogue politique avec l’ensemble des partenaires selon une approche pragmatique. Les pays de cette région sont très importants pour le développement futur de l’Europe. Et seule une coopération dans les domaines de l’économie et du développement, fondée sur une communication empreinte de respect mutuel, peut permettre de contenir l’influence croissante de puissances politiques telles que la Russie et l’Iran. Des puissances dont les idées, les intérêts et les valeurs s’écartent du modèle fondé sur la démocratie et sur l’État de droit d’inspiration occidentale-atlantique.
Le 16 septembre 2023, le Burkina Faso, le Mali et le Niger, trois États dirigés par des régimes militaires issus de coups d’État, ont décidé de former l’Alliance des États du Sahel (AES). Cette nouvelle organisation régionale a vu le jour dans le sillage de l’intensification de la crise interne au sein de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) en 2023, dont le point culminant a été atteint le 28 janvier 2024 avec l’annonce, par les trois États membres de l’AES, de leur retrait de cette organisation régionale fondée en 1975. Dans un contexte sociopolitique où le rôle et les fonctions de l’État ainsi que la portée et les modalités d’exercice des pouvoirs publics se trouvent de plus en plus contestés, de nouvelles formes d’organisation politique et sociale se développent, également sous l’influence de l’évolution actuelle de la situation géopolitique dans un ordre mondial en mutation. Dans le même temps, les États et les sociétés, mais aussi les processus d’intégration régionale en cours, font face à de nouveaux enjeux majeurs. Au sein de la communauté des États de la CEDEAO, les notions traditionnelles d’État et de société, les valeurs et les structures se heurtent aux tendances croissantes en faveur d’une nouvelle conception de l’État et de la souveraineté. La région Afrique de l’Ouest/Sahel voit émerger de nouveaux processus d’édification de la nation et de l’État (Nation Building et State Building), portés par des efforts visant à renouveler la cohésion sociale et à intégrer le plus pleinement possible les « Forces Vives de la Nation » auxquelles les dirigeants de ces États se réfèrent de plus en plus. Ces évolutions nécessitent un ajustement de la politique étrangère et de développement allemande et européenne. À l’heure actuelle, les conditions politiques et sociales et les attentes des partenaires de l’espace Afrique de l’Ouest/Sahel connaissent de profonds bouleversements qu’il convient de concilier avec le contenu et les intérêts de la politique étrangère de l’Allemagne, fondée sur des valeurs, et dans le droit fil du principe d’un partenariat « d’égal à égal ». L’appréciation des développements à venir et l’intégration des dynamiques qui les sous-tendent nécessitent de tenir compte des différents processus d’intégration qui se déploient de façon parallèle dans cette région et s’avèrent particulièrement diversifiés. Dans une perspective comparative, le présent article propose un aperçu des différentes organisations régionales de l’espace Afrique de l’Ouest/Sahel. Leur potentiel respectif est analysé en termes de perspectives de développement et de durabilité. Outre la relation critique entre la CEDEAO et l’AES, l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), l’Autorité de Développement Intégré des États du Liptako-Gourma (ALG) et le groupe des États du G5 Sahel en cours de dissolution sont considérés. Pour poursuivre le partenariat entre l’Allemagne – et l’Europe – et les États d’Afrique de l’Ouest et du Sahel –, il est impératif de maintenir le dialogue politique avec l’ensemble des partenaires selon une approche pragmatique. Les pays de cette région sont très importants pour le développement futur de l’Europe. Et seule une coopération dans les domaines de l’économie et du développement, fondée sur une communication empreinte de respect mutuel, peut permettre de contenir l’influence croissante de puissances politiques telles que la Russie et l’Iran. Des puissances dont les idées, les intérêts et les valeurs s’écartent du modèle fondé sur la démocratie et sur l’État de droit d’inspiration occidentale-atlantique.
On March 25th, IPI hosted a Global Leaders Series event featuring H.E. Lars Løkke Rasmussen, Minister for Foreign Affairs of Denmark who will present the priorities of Denmark’s candidature for a non-permanent seat on the UN Security Council in 2025-2026.
Minister Rasmussen currently serves as Minister for Foreign Affairs of Denmark. Prior to this appointment, he served as Prime Minister of Denmark between April 2009 – October 2011 and then again between June 2015 – June 2019. Minister Rasmussen also served as Denmark’s Minister for Finance (2007–2009) and Minister for the Interior and Health (2001–2007). He began his parliamentary career as Vice-chairman of the Liberal Party in 1998, becoming Chairman of the Liberal Party in 2009, and has been aa Member of the Folketing for The Moderates in Zealand greater constituency since 2022, Member of the Folketing for Outside the parliamentary groups in Zealand greater constituency (2021–2022), and Member of the Folketing for The Liberal Party (1994–2020). He holds a Master of Laws from the University of Copenhagen.
Dr. Adam Lupel, Vice President and COO of IPI, provided opening remarks.
Bonn, 25. März 2024. Kriege in Palästina, in der Ukraine, im Sudan und weiteren Regionen; Klimakipppunkte, die schon überschritten wurden, sowie globale Pandemien. Wir befinden uns in einer Polykrise. Immer mehr Krisen treten gleichzeitig auf und verstärken sich gegenseitig.
Gleichzeitig hat die Digitalisierung die Entstehung und Verbreitung von Informationen und Wissen revolutioniert. Fake News gehen in wenigen Sekunden um die Welt und können Leben kosten. Desinformationen schwächen die Demokratie und den sozialen Zusammenhalt. Vor diesem Hintergrund ist es dringend notwendig, evidenzbasiertes Wissen besser zu kommunizieren. Hier kommt der Wissenschaftskommunikation eine zentrale Aufgabe zu.
Überforderung auf allen Ebenen
Die Neurowissenschaftlerin und Mitgründerin von Perspective Daily Maren Urner beobachtet eine „Überforderung auf allen Ebenen.“ Fake News und die moderne digitale Kommunikation führe bei Rezipient*innen zu einer Überlastung. Die Tatsache, dass negative Inhalte mehr Aufmerksamkeit erhalten und mehr Klicks generieren, führt zu einer Überrepräsentation von schlechten Nachrichten in den Medien. Die Folgen: in Anbetracht der Vielzahl der dargestellten Probleme gewinnen Medienrezipient*innen den Eindruck einer ausweglosen Situation. Es besteht die Gefahr der Verstetigung einer gefühlten Hilflosigkeit, die einhergeht mit einem aktiven Abwenden von Berichterstattungen. Um die ökologische Transformation und eine nachhaltige Zukunft zu erzielen, braucht es aber das Gegenteil: Aktivität und Engagement statt Passivität und Desinteresse.
Das Konzept des konstruktiven Journalismus
Wissenschaftskommunikation bildet ab, was die Wissenschaft erarbeitet und bringt es in den gesellschaftlichen Diskurs. Die Idee des konstruktiven Journalismus ist es, neben der Frage nach dem Problem immer auch die Frage: „Wie geht es weiter?“ zu stellen. Das Bonn Institute beschreibt konstruktiven Journalismus mit Hilfe dreier Elemente: einem ausgeprägten Lösungsfokus; einem Perspektivenreichtum, was Diversität und strukturelle Aspekte miteinbezieht und einem konstruktiven Dialog, in dem Journalist*innen auch als Moderator*innen für Austausch und Verständigung eintreten.
Wissenschaftskommunikation muss stetig weiterentwickelt werden
In Anbetracht der großen Herausforderungen kommt Wissenschaftskommunikation eine zentrale Bedeutung zu. Der konstruktive Journalismus kann hier wichtige Impulse geben. Schon bei der Erstellung von Kommunikationskonzepten können konstruktive Ansätze mit einbezogen werden. Vereinfachung ist in der Wissenschaftskommunikation unerlässlich, aber die Kommunikation von Komplexität ebenso. Sorgfältig kuratierte wissenschaftsbasierte Tools und Portale (z. B. Kurzgesagt – In a Nutshell, Scholars Strategy Network, The Conversation) machen vor, wie es geht. Grundsätzlich sollten mehr Ressourcen in kreative Ansätze der Gestaltung wie Podcasts, Infografiken, Animationen und Erklär-Videos investiert werden. Nur so bekommt evidenzbasierter wissenschaftlicher Content im unerbittlichen Wettbewerb um Aufmerksamkeit auf den Social Media Plattformen eine Chance. KI-basierte Tools werden wichtige Unterstützung leisten. KI-Anwendungen können lange Texte schnell und unkompliziert in Social Media tauglichen Snack-Content verwandeln, Inhalte in viele Sprachen übersetzen sowie Texte als Audio ausspielen und anbieten.
Konstruktive Dialogräume öffnen
Wissenschaftskommunikation kann Dialogräume für den Austausch von Lösungsansätzen erschließen, konstruktive Debatten initiieren und über das Bereitstellen von evidenzbasierten Forschungsergebnissen mit gesellschaftlichen Gruppen und Stakeholdern ins Gespräch kommen. Und das nicht nur darüber, wie nachhaltige und gerechte Zukünfte aussehen können, sondern auch darüber, was jetzt schon gut funktioniert. Eine Wissenschaftskommunikation, die sich am Vorbild des konstruktiven Journalismus auf den Weg macht und in Zeiten der Polykrise zielgruppenorientiert auch auf den großen Plattformen kommuniziert, leistet einen notwendigen Beitrag für sozialen Zusammenhalt, die Sicherung unserer Demokratie und das Erreichen der Agenda 2030.
Diese Kolumne und eine Video-Reihe mit „Synergetic Stories zu Nachhaltigkeit und Digitalisierung in der Amazonas Region“, die sich am Leitbild des konstruktiven Journalismus orientiert, sind im Rahmen des EU Horizon2020-Projekts „PRODIGEES – Promoting Research on Digitalisation in Emerging Powers and Europe Towards Sustainable Development“ (873119-PRODIGEESH2020-MSCA-RISE-2019), ko-finanziert von der Europäischen Union, entstanden. Link zur Videoreihe.
Bonn, 25. März 2024. Kriege in Palästina, in der Ukraine, im Sudan und weiteren Regionen; Klimakipppunkte, die schon überschritten wurden, sowie globale Pandemien. Wir befinden uns in einer Polykrise. Immer mehr Krisen treten gleichzeitig auf und verstärken sich gegenseitig.
Gleichzeitig hat die Digitalisierung die Entstehung und Verbreitung von Informationen und Wissen revolutioniert. Fake News gehen in wenigen Sekunden um die Welt und können Leben kosten. Desinformationen schwächen die Demokratie und den sozialen Zusammenhalt. Vor diesem Hintergrund ist es dringend notwendig, evidenzbasiertes Wissen besser zu kommunizieren. Hier kommt der Wissenschaftskommunikation eine zentrale Aufgabe zu.
Überforderung auf allen Ebenen
Die Neurowissenschaftlerin und Mitgründerin von Perspective Daily Maren Urner beobachtet eine „Überforderung auf allen Ebenen.“ Fake News und die moderne digitale Kommunikation führe bei Rezipient*innen zu einer Überlastung. Die Tatsache, dass negative Inhalte mehr Aufmerksamkeit erhalten und mehr Klicks generieren, führt zu einer Überrepräsentation von schlechten Nachrichten in den Medien. Die Folgen: in Anbetracht der Vielzahl der dargestellten Probleme gewinnen Medienrezipient*innen den Eindruck einer ausweglosen Situation. Es besteht die Gefahr der Verstetigung einer gefühlten Hilflosigkeit, die einhergeht mit einem aktiven Abwenden von Berichterstattungen. Um die ökologische Transformation und eine nachhaltige Zukunft zu erzielen, braucht es aber das Gegenteil: Aktivität und Engagement statt Passivität und Desinteresse.
Das Konzept des konstruktiven Journalismus
Wissenschaftskommunikation bildet ab, was die Wissenschaft erarbeitet und bringt es in den gesellschaftlichen Diskurs. Die Idee des konstruktiven Journalismus ist es, neben der Frage nach dem Problem immer auch die Frage: „Wie geht es weiter?“ zu stellen. Das Bonn Institute beschreibt konstruktiven Journalismus mit Hilfe dreier Elemente: einem ausgeprägten Lösungsfokus; einem Perspektivenreichtum, was Diversität und strukturelle Aspekte miteinbezieht und einem konstruktiven Dialog, in dem Journalist*innen auch als Moderator*innen für Austausch und Verständigung eintreten.
Wissenschaftskommunikation muss stetig weiterentwickelt werden
In Anbetracht der großen Herausforderungen kommt Wissenschaftskommunikation eine zentrale Bedeutung zu. Der konstruktive Journalismus kann hier wichtige Impulse geben. Schon bei der Erstellung von Kommunikationskonzepten können konstruktive Ansätze mit einbezogen werden. Vereinfachung ist in der Wissenschaftskommunikation unerlässlich, aber die Kommunikation von Komplexität ebenso. Sorgfältig kuratierte wissenschaftsbasierte Tools und Portale (z. B. Kurzgesagt – In a Nutshell, Scholars Strategy Network, The Conversation) machen vor, wie es geht. Grundsätzlich sollten mehr Ressourcen in kreative Ansätze der Gestaltung wie Podcasts, Infografiken, Animationen und Erklär-Videos investiert werden. Nur so bekommt evidenzbasierter wissenschaftlicher Content im unerbittlichen Wettbewerb um Aufmerksamkeit auf den Social Media Plattformen eine Chance. KI-basierte Tools werden wichtige Unterstützung leisten. KI-Anwendungen können lange Texte schnell und unkompliziert in Social Media tauglichen Snack-Content verwandeln, Inhalte in viele Sprachen übersetzen sowie Texte als Audio ausspielen und anbieten.
Konstruktive Dialogräume öffnen
Wissenschaftskommunikation kann Dialogräume für den Austausch von Lösungsansätzen erschließen, konstruktive Debatten initiieren und über das Bereitstellen von evidenzbasierten Forschungsergebnissen mit gesellschaftlichen Gruppen und Stakeholdern ins Gespräch kommen. Und das nicht nur darüber, wie nachhaltige und gerechte Zukünfte aussehen können, sondern auch darüber, was jetzt schon gut funktioniert. Eine Wissenschaftskommunikation, die sich am Vorbild des konstruktiven Journalismus auf den Weg macht und in Zeiten der Polykrise zielgruppenorientiert auch auf den großen Plattformen kommuniziert, leistet einen notwendigen Beitrag für sozialen Zusammenhalt, die Sicherung unserer Demokratie und das Erreichen der Agenda 2030.
Diese Kolumne und eine Video-Reihe mit „Synergetic Stories zu Nachhaltigkeit und Digitalisierung in der Amazonas Region“, die sich am Leitbild des konstruktiven Journalismus orientiert, sind im Rahmen des EU Horizon2020-Projekts „PRODIGEES – Promoting Research on Digitalisation in Emerging Powers and Europe Towards Sustainable Development“ (873119-PRODIGEESH2020-MSCA-RISE-2019), ko-finanziert von der Europäischen Union, entstanden. Link zur Videoreihe.
Bonn, 25. März 2024. Kriege in Palästina, in der Ukraine, im Sudan und weiteren Regionen; Klimakipppunkte, die schon überschritten wurden, sowie globale Pandemien. Wir befinden uns in einer Polykrise. Immer mehr Krisen treten gleichzeitig auf und verstärken sich gegenseitig.
Gleichzeitig hat die Digitalisierung die Entstehung und Verbreitung von Informationen und Wissen revolutioniert. Fake News gehen in wenigen Sekunden um die Welt und können Leben kosten. Desinformationen schwächen die Demokratie und den sozialen Zusammenhalt. Vor diesem Hintergrund ist es dringend notwendig, evidenzbasiertes Wissen besser zu kommunizieren. Hier kommt der Wissenschaftskommunikation eine zentrale Aufgabe zu.
Überforderung auf allen Ebenen
Die Neurowissenschaftlerin und Mitgründerin von Perspective Daily Maren Urner beobachtet eine „Überforderung auf allen Ebenen.“ Fake News und die moderne digitale Kommunikation führe bei Rezipient*innen zu einer Überlastung. Die Tatsache, dass negative Inhalte mehr Aufmerksamkeit erhalten und mehr Klicks generieren, führt zu einer Überrepräsentation von schlechten Nachrichten in den Medien. Die Folgen: in Anbetracht der Vielzahl der dargestellten Probleme gewinnen Medienrezipient*innen den Eindruck einer ausweglosen Situation. Es besteht die Gefahr der Verstetigung einer gefühlten Hilflosigkeit, die einhergeht mit einem aktiven Abwenden von Berichterstattungen. Um die ökologische Transformation und eine nachhaltige Zukunft zu erzielen, braucht es aber das Gegenteil: Aktivität und Engagement statt Passivität und Desinteresse.
Das Konzept des konstruktiven Journalismus
Wissenschaftskommunikation bildet ab, was die Wissenschaft erarbeitet und bringt es in den gesellschaftlichen Diskurs. Die Idee des konstruktiven Journalismus ist es, neben der Frage nach dem Problem immer auch die Frage: „Wie geht es weiter?“ zu stellen. Das Bonn Institute beschreibt konstruktiven Journalismus mit Hilfe dreier Elemente: einem ausgeprägten Lösungsfokus; einem Perspektivenreichtum, was Diversität und strukturelle Aspekte miteinbezieht und einem konstruktiven Dialog, in dem Journalist*innen auch als Moderator*innen für Austausch und Verständigung eintreten.
Wissenschaftskommunikation muss stetig weiterentwickelt werden
In Anbetracht der großen Herausforderungen kommt Wissenschaftskommunikation eine zentrale Bedeutung zu. Der konstruktive Journalismus kann hier wichtige Impulse geben. Schon bei der Erstellung von Kommunikationskonzepten können konstruktive Ansätze mit einbezogen werden. Vereinfachung ist in der Wissenschaftskommunikation unerlässlich, aber die Kommunikation von Komplexität ebenso. Sorgfältig kuratierte wissenschaftsbasierte Tools und Portale (z. B. Kurzgesagt – In a Nutshell, Scholars Strategy Network, The Conversation) machen vor, wie es geht. Grundsätzlich sollten mehr Ressourcen in kreative Ansätze der Gestaltung wie Podcasts, Infografiken, Animationen und Erklär-Videos investiert werden. Nur so bekommt evidenzbasierter wissenschaftlicher Content im unerbittlichen Wettbewerb um Aufmerksamkeit auf den Social Media Plattformen eine Chance. KI-basierte Tools werden wichtige Unterstützung leisten. KI-Anwendungen können lange Texte schnell und unkompliziert in Social Media tauglichen Snack-Content verwandeln, Inhalte in viele Sprachen übersetzen sowie Texte als Audio ausspielen und anbieten.
Konstruktive Dialogräume öffnen
Wissenschaftskommunikation kann Dialogräume für den Austausch von Lösungsansätzen erschließen, konstruktive Debatten initiieren und über das Bereitstellen von evidenzbasierten Forschungsergebnissen mit gesellschaftlichen Gruppen und Stakeholdern ins Gespräch kommen. Und das nicht nur darüber, wie nachhaltige und gerechte Zukünfte aussehen können, sondern auch darüber, was jetzt schon gut funktioniert. Eine Wissenschaftskommunikation, die sich am Vorbild des konstruktiven Journalismus auf den Weg macht und in Zeiten der Polykrise zielgruppenorientiert auch auf den großen Plattformen kommuniziert, leistet einen notwendigen Beitrag für sozialen Zusammenhalt, die Sicherung unserer Demokratie und das Erreichen der Agenda 2030.
Diese Kolumne und eine Video-Reihe mit „Synergetic Stories zu Nachhaltigkeit und Digitalisierung in der Amazonas Region“, die sich am Leitbild des konstruktiven Journalismus orientiert, sind im Rahmen des EU Horizon2020-Projekts „PRODIGEES – Promoting Research on Digitalisation in Emerging Powers and Europe Towards Sustainable Development“ (873119-PRODIGEESH2020-MSCA-RISE-2019), ko-finanziert von der Europäischen Union, entstanden. Link zur Videoreihe.
La digitalización tiene el potencial de beneficiar al desarrollo sostenible en las dimensiones ecológica, económica y social, de manera paralela. Pero hoy en día, los beneficios derivados de la digitalización tienen un alto precio ambiental. Para garantizar que la crisis ecológica y la transformación digital se unan, se deben reconocer los efectos ambientales de las herramientas digitales y la infraestructura, y priorizar los beneficios ambientales en el avance digital. Los esfuerzos internacionales colaborativos que abarcan sectores y diferentes naciones pueden allanar el camino.
La digitalización tiene el potencial de beneficiar al desarrollo sostenible en las dimensiones ecológica, económica y social, de manera paralela. Pero hoy en día, los beneficios derivados de la digitalización tienen un alto precio ambiental. Para garantizar que la crisis ecológica y la transformación digital se unan, se deben reconocer los efectos ambientales de las herramientas digitales y la infraestructura, y priorizar los beneficios ambientales en el avance digital. Los esfuerzos internacionales colaborativos que abarcan sectores y diferentes naciones pueden allanar el camino.
La digitalización tiene el potencial de beneficiar al desarrollo sostenible en las dimensiones ecológica, económica y social, de manera paralela. Pero hoy en día, los beneficios derivados de la digitalización tienen un alto precio ambiental. Para garantizar que la crisis ecológica y la transformación digital se unan, se deben reconocer los efectos ambientales de las herramientas digitales y la infraestructura, y priorizar los beneficios ambientales en el avance digital. Los esfuerzos internacionales colaborativos que abarcan sectores y diferentes naciones pueden allanar el camino.
Cities can lead the way in tackling climate change through robust climate actions (that is, measures taken to limit climate change or its impacts). However, escalating crises due to pandemics, conflict and climate change pose challenges to ambitious and sustained city climate action. Here we use global data on 793 cities from the Carbon Disclosure Project 2021 platform to assess how the COVID-19 crisis has affected cities’ reported climate commitments and actions and the factors associated with these impacts. We find climate actions persist despite funding shortfalls; yet only 43% of cities have implemented green recovery interventions. Co-benefits of climate action (for example, health outcomes) and early engagement on sustainability issues (for example, via climate networks) are associated with sustained climate action and finance during COVID-19 and green recovery interventions. Cities should strengthen sustainability co-benefits and relationships with coalitions of actors to support durable climate commitments during crises.
Cities can lead the way in tackling climate change through robust climate actions (that is, measures taken to limit climate change or its impacts). However, escalating crises due to pandemics, conflict and climate change pose challenges to ambitious and sustained city climate action. Here we use global data on 793 cities from the Carbon Disclosure Project 2021 platform to assess how the COVID-19 crisis has affected cities’ reported climate commitments and actions and the factors associated with these impacts. We find climate actions persist despite funding shortfalls; yet only 43% of cities have implemented green recovery interventions. Co-benefits of climate action (for example, health outcomes) and early engagement on sustainability issues (for example, via climate networks) are associated with sustained climate action and finance during COVID-19 and green recovery interventions. Cities should strengthen sustainability co-benefits and relationships with coalitions of actors to support durable climate commitments during crises.
Cities can lead the way in tackling climate change through robust climate actions (that is, measures taken to limit climate change or its impacts). However, escalating crises due to pandemics, conflict and climate change pose challenges to ambitious and sustained city climate action. Here we use global data on 793 cities from the Carbon Disclosure Project 2021 platform to assess how the COVID-19 crisis has affected cities’ reported climate commitments and actions and the factors associated with these impacts. We find climate actions persist despite funding shortfalls; yet only 43% of cities have implemented green recovery interventions. Co-benefits of climate action (for example, health outcomes) and early engagement on sustainability issues (for example, via climate networks) are associated with sustained climate action and finance during COVID-19 and green recovery interventions. Cities should strengthen sustainability co-benefits and relationships with coalitions of actors to support durable climate commitments during crises.
Addressing the climate crisis necessitates accelerating transitions towards climate-neutral systems of production and consumption, with electrification emerging as a crucial decarbonisation strategy. The acceleration of such net-zero transitions across multiple systems faces significant resistance and contestation. In this paper, we propose an extended list of challenges unique to the acceleration phase of socio-technical transitions: we introduce 'expansion and contestation', 'justice', and 'international dynamics' as additional challenge types to complement the already acknowledged challenge types of 'whole systems change', 'interaction between multiple systems', 'decline and resistance', 'consumers and social practices', and 'governance'. We apply this extended analytical framework to the electrification of private-passenger vehicles and investigate the unfolding transition to e-mobility with evidence from 35 expert interviews in Germany and California. We uncover over 50 real-world challenges associated with these net-zero transitions at the beginning of the acceleration phase. Most challenges fall within the categories of 'expansion and contestation' and 'governance'. While Germany and California share many real-world challenges, we also find significant variation between both jurisdictions, which we attribute to differences in their automotive incumbency, transition governance approaches, and institutional contexts. We discuss implications for future research, arguing for greater attention to the dual politics of acceleration during net-zero transitions: political conflict not only centres around the decline of old industries and future losses, but also around the expansion of the new system and associated future gains.
Addressing the climate crisis necessitates accelerating transitions towards climate-neutral systems of production and consumption, with electrification emerging as a crucial decarbonisation strategy. The acceleration of such net-zero transitions across multiple systems faces significant resistance and contestation. In this paper, we propose an extended list of challenges unique to the acceleration phase of socio-technical transitions: we introduce 'expansion and contestation', 'justice', and 'international dynamics' as additional challenge types to complement the already acknowledged challenge types of 'whole systems change', 'interaction between multiple systems', 'decline and resistance', 'consumers and social practices', and 'governance'. We apply this extended analytical framework to the electrification of private-passenger vehicles and investigate the unfolding transition to e-mobility with evidence from 35 expert interviews in Germany and California. We uncover over 50 real-world challenges associated with these net-zero transitions at the beginning of the acceleration phase. Most challenges fall within the categories of 'expansion and contestation' and 'governance'. While Germany and California share many real-world challenges, we also find significant variation between both jurisdictions, which we attribute to differences in their automotive incumbency, transition governance approaches, and institutional contexts. We discuss implications for future research, arguing for greater attention to the dual politics of acceleration during net-zero transitions: political conflict not only centres around the decline of old industries and future losses, but also around the expansion of the new system and associated future gains.
Addressing the climate crisis necessitates accelerating transitions towards climate-neutral systems of production and consumption, with electrification emerging as a crucial decarbonisation strategy. The acceleration of such net-zero transitions across multiple systems faces significant resistance and contestation. In this paper, we propose an extended list of challenges unique to the acceleration phase of socio-technical transitions: we introduce 'expansion and contestation', 'justice', and 'international dynamics' as additional challenge types to complement the already acknowledged challenge types of 'whole systems change', 'interaction between multiple systems', 'decline and resistance', 'consumers and social practices', and 'governance'. We apply this extended analytical framework to the electrification of private-passenger vehicles and investigate the unfolding transition to e-mobility with evidence from 35 expert interviews in Germany and California. We uncover over 50 real-world challenges associated with these net-zero transitions at the beginning of the acceleration phase. Most challenges fall within the categories of 'expansion and contestation' and 'governance'. While Germany and California share many real-world challenges, we also find significant variation between both jurisdictions, which we attribute to differences in their automotive incumbency, transition governance approaches, and institutional contexts. We discuss implications for future research, arguing for greater attention to the dual politics of acceleration during net-zero transitions: political conflict not only centres around the decline of old industries and future losses, but also around the expansion of the new system and associated future gains.