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(B2) Manfred Weber, l’eurodéputé allemand CSU, président du groupe politique du PPE au Parlement européen, vient d’annoncer sa candidature à la tête de liste du PPE, et, s’il l’emporte, à la tête de la Commission européenne. Une candidature sérieuse, soutenue par Berlin, et qui ne semble pas susciter d’opposant sérieux (1).
Manfred WEBER présentant sa candidature à la tête du PPE pour les élections européennes (crédit : Parlement européen)
Une candidature à forte logique interne…
La CDU-CSU est le principal parti du groupe du parti populaire européen. Il n’y a pas eu de candidat allemand à la Commission européenne depuis plusieurs dizaines d’années. L’homme, peu connu du grand public, a réussi (jusqu’ici) à conserver une unité malgré les divisions entre les partisans d’une Europe politique, les partisans d’une intégration plus profonde sur tous les pans économiques sociaux et extérieurs, et les partisans d’une Europe classique, grand marché avant tout. Il vient du côté ‘conservateur’ du parti, traduisant l’évolution du groupe vers la droite. Cette candidature n’en représente pas moins — si elle est approuvée — une sévère baisse d’ambition pour la Commission européenne.
… mais quelques questions se posent
Weber a-t-il tenu rôle de premier plan ?
Ce n’est pas un critère officiel de nomination. Mais c’est l’un des premiers critères ‘non écrits’ pour prétendre au poste. Il faut faire partie du ‘club des chefs’. Depuis Jacques Delors, tous les présidents de la Commission ont tenu un rôle de premier plan dans leurs pays : de Jacques Santer, le Luxembourgeois, à Jean-Claude Juncker, son compatriote, en passant par l’Italien Romano Prodi ou le Portugais José-Manuel Barroso, tous ont été premiers ministres dans leur pays avant de passer à Bruxelles. Logique : les chefs d’État et de gouvernement veulent propulser à l’exécutif européen un des leurs, un de ceux qui a une histoire gouvernementale, ce qui lui éviterait de ‘partir tout seul’. Ayant été élu, et ayant gouverné, il sait faire la part entre ce qui est la trajectoire politique et la nécessité de concilier les points de vue. En théorie, il assure d’avoir une certaine assise populaire. Accessoirement, cela permet aussi au président de la Commission d’être un homme de coups de fils — « Jean-Claude Juncker passe son temps au téléphone », assure-t-on au Berlaymont. Le président de la Commission est en effet un ‘honnest broker‘ (un courtier honnête) chargé de faire fonctionner dans une certaine harmonie des États membres qui ont des politiques différentes. C’est un harmonisateur politique, soit pour préparer les législations à proposer, soit pour déminer certains conflits. Manfred Weber n’a même pas été ministre de premier plan (affaires étrangères ou économie et finances) comme l’était Jacques Delors. On est, là, dans une régression très notable. Ce qui ne préjuge pas de la qualité politique de l’homme. Le pouvoir peut être souvent un révélateur de personnalités.
Est-ce un personnage politique reconnu ?
C’est un deuxième critère ‘non écrit’ au poste. Il faut avoir une certaine renommée qui transcende les frontières. Un nom qui veuille dire ‘quelque chose’ pas seulement dans sa région ou son pays, mais au-delà. Or, même si Weber peut rassembler toute la famille politique, voire au-delà du côté des Libéraux, il n’a pas la même aura qu’avait (avant leur nomination) un Jean-Claude Juncker ou un Romano Prodi. Ceux-ci n’étaient pas seulement un représentant de leur parti, ils visaient au-delà. Un président de la Commission est avant tout un rassembleur qui, même s’il a des idées politiques très ancrées, doit représenter au-delà.
Le PPE a-t-il un droit inéluctable à avoir la tête de la Commission ?
Même si le parti populaire européen (PPE) pourrait rester le premier du Parlement européen en 2019, son avance ne serait pas aussi triomphante qu’aujourd’hui où il compose, avec près de 220 sièges, 30% de l’hémicycle. De plus, en 2019, le partage des tâches à deux partis — dans un axe PPE – S&D, dans la plus pure tradition de la ‘Große Koalition‘ à l’allemande —, aura vécu. La majorité gouvernementale européenne ne pourra venir, en 2019, que d’un nouveau regroupement : soit une majorité de progrès, en associant les libéraux et démocrates (renforcés ou refondés au besoin avec l’appui des ‘En Marche‘ européens), voire un autre groupe — les Verts par exemple —, soit une ligne de droite PPE – Conservateurs + Libéraux par exemple (2). Le PPE pourra difficilement revendiquer d’occuper trois des quatre principales fonctions européennes (présidence du Conseil européen, de la Commission européenne, du Parlement européen) (3), comme c’est le cas aujourd’hui.
Le système des Spitzenkandidat est-il viable ?
Le principe de donner automatiquement au leader du parti arrivé en tête de la campagne la tête de la Commission européenne est contesté. D’un point de vue politique, on peut considérer que c’est un point qui ne figure à aucun moment dans la philosophie européenne de l’existence de la Commission. Il n’est pas inscrit dans les traités non plus ; il n’est pas interdit, mais pas autorisé non plus ni même déductible implicitement. D’un point de vue philosophique, on peut considérer que c’est un gage de démocratie ou, au contraire, la victoire des superstructures sur la démocratie. Mais surtout, concrètement, plusieurs dirigeants européens (qui sont ceux qui ont voix au chapitre pour la nomination du président de la Commission) contestent ce procédé : du Français Emmanuel Macron au Hongrois Viktor Orban en passant par l’Italien Giuseppe Conte. Bref, le principe des Spitzenkandidat peut être conservé comme tête de liste et prétendant au poste de président du Parlement européen — ce qui a une logique à la fois politique et démocratique — mais pas pour la tête de la liste de la Commission.
Conclusion : un candidat d’attente ou une manière de tuer les Spitzenkandidat ?
Avec cette candidature, Berlin n’est-il pas en train de ‘tuer’ discrètement le principe des Spitzenkandidat (qui ne recueille pas la sympathie de Angela Merkel), en proposant un candidat qui ne remplit pas certains des critères, non écrits mais respectés jusque là ? Dans cette hypothèse, Manfred Weber serait apte à présider le parlement (4). Mais un autre candidat devrait se profiler pour la tête de la Commission européenne. Ou ne prépare-t-il pas une nouvelle coalition, orientée plus à droite, avec les conservateurs, en logique avec la tendance observée dans plusieurs États membres (Autriche, notamment) ? Le problème sera ensuite de recueillir l’approbation des Chefs d’État et de gouvernement (5).
(Nicolas Gros-Verheyde)
(1) La candidature du Français Michel Barnier, même si elle pourrait être souhaitable, ne semble plus autant d’actualité.
(2) Cette coalition logique au plan économique serait délicate à constituer au niveau idéologique. Entre des libéraux pro-intégration et des conservateurs anti-intégration, l’équation s’avèrera difficile.
(3) Le poste de vice-président de la Commission / Haut représentant de l’UE étant dévolu aux sociaux-démocrates.
(4) Sur une partie du mandat de cinq ans, en cas de coalition.
(5) Le Conseil européen peut décider de la proposition du président de la Commission à la majorité qualifiée de ses membres.
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I asked for more information on the activity of the mission and Iooked for an interview with the EULEX Kosovo mission. Several e-mails signed by no one have arrived : conversation with no-names, unable to understand my request and my questions.
People who treat us as idiots who do not know the sites of the European Union (www.eeas.europa.eu and www.europa.eu). Poison pens who do not dare to sign a letter, people who do not dare to take responsibility. Which simply "did not feel like" transferring questions to the right people. Answers from an EU mission`s information service with visible evidence of not wanting to help. I have never encountered such a situation concerning an EU, UN (etc.) mission or operation...
(I have not had any other choice because unfortunately there is no more e-mail address on the site.)
We strongly doubt the importance of these information services funded by European citizens. They would be obliged to answer us.
They have webpage whose links do not work anymore. (I can imagine the thousands of euros that were paid for this.) But they do not stop creating advertising for themselves, in the name of genderism, book about the biography of the female mission`s members and the other things really very, very important. (In this case, no problem with urls.) Unbelievable.
My books and university textbooks about CSDP and EU missions are used by several universities all over Europe in Africa and elsewhere in education. In our next book on the Balkans this case will be mentioned.
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Dear Mr. Türke,
As already mentioned on 2 and 9 August 2018, we do not have the resources to meet each request for information.
Having explained the above, we hereby inform you that we will not respond to any further inquiries on this matter.
Yours sincerely,
Office of Chief of Staff
EULEX Kosovo
From: Dr. TÜRKE András István [mailto:(...)]
Sent: Wednesday, September 5, 2018 10:33
To: EULEX Kosovo Information
Subject: request for additional informations II.
Dear Office of the Chief of Staff,
Please forward my e-mail towards competent persons, who are able to answer to my questions, like Ms. Alexandra Papadopoulou or Mr. Bernd Thran.
Thanks a lot.
Best regards:
Andras Istvan Türke
director
—
Europa Varietas Institute
www.europavarietas.org
Le 2 août 2018 à 10:13:23, EULEX Kosovo Information (eulexkosovoinformation@eulex-kosovo.eu) a écrit:
Dear Mr Türke,
Thank you for your email and interest in EULEX Kosovo.
Unfortunately, we do not currently have the resources to meet each request for information. While we regret not being able to accommodate your request for information, we would kindly direct you to the EULEX website (www.eulex-kosovo.eu) which contains information about the Mission, its work, press releases, EU in Kosovo, EU External Action, CSDP, and other relevant data. We would also kindly direct you to the websites of EEAS and EU, www.eeas.europa.eu and www.europa.eu respectively for more information.
Yours sincerely,
Office of the Chief of Staff
EULEX Kosovo
From: Dr. TÜRKE András István [mailto:(...)]
Sent: Thursday, 19 July 2018 10:18
To: EULEX Kosovo Information
Subject: request for additional informations
Madam / Sir,
I am director of the independent Swiss based Europa Varietas Institute.
I am writing a book about EU diplomacy and mission in the Western Balkans (1991-2018) and I request for some additional informations about the activity of EULEX Kosovo.
I read a lot of very critical books about EULEX activity during the period 2008-2013, the mission was accused to being biased towards former UCK members.
I would like to know how far the mission has been changed since them.
What are the on-site experiences, the most important challenges to overcome?
What are the lessons learned compared to other EULEX missions?
I would like to have information that is beyond the official EU texts.
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I need some lists
- about prosecutors investigated 400 war crimes
- about the 150 drafted laws
- about EULEX HoMs with period of activity
Other interesting documents are welcome.
I need also these documents but impossible to download, there are a lot of bugs on your site :
http://www.eulex-kosovo.eu/docs/justice/judgments/criminal-proceedings/D...
http://www.eulex-kosovo.eu/docs/justice/judgments/criminal-proceedings/D...
(+ other and older verdicts)
Thanks a lot.
Best regards:
Andras Istvan Türke
director
—
Europa Varietas Institute
www.europavarietas.org
Cet article Entretiens européens de la défense (5) : Lancer vite des projets, solides (P. Delsaux, A. Fort, J.-Y. Martin) est apparu en premier sur Bruxelles2.
Cet article Arrêter l’opération Sophia serait une erreur (S. Angelides, Chypre) est apparu en premier sur Bruxelles2.
Je publie dans le prochain numéro de Politique Etrangère (3/18) paraissant lundi un article sur "Le nucléaire militaire français dans un nouveau contexte stratégique".
La population et les dirigeants français sont fermement attachés à la dissuasion nucléaire, même si des voix dissonantes se font occasionnellement entendre. Le contexte stratégique est toutefois en train d’évoluer et pourrait affecter la posture stratégique française. Entre les rodomontades de Vladimir Poutine, l’imprévisibilité de Donald Trump, et les difficultés propres à l’Europe – notamment le Brexit ou l'apparition d'un débat nucléaire en Allemagne – les incertitudes sont aujourd’hui nombreuses et laissent ouvert le champ des possibles.
Cet article Carnet (10.09.2018). COPS (Agenda). Libye (agenda). OTAN (contribution US). Cisjordanie (Khan al-Ahmar). Madagascar (élections). Donetsk (élections). Européennes (PPE). est apparu en premier sur Bruxelles2.
Cet article F-35 : surcoûts et lacunes techniques est apparu en premier sur Bruxelles2.
Cet article Entretiens européens de la Défense (4) : Un si long chemin parcouru (F. Grossetête) est apparu en premier sur Bruxelles2.
Cet article Un nouveau régime de sanctions contre les auteurs d’armes chimiques toujours à l’étude est apparu en premier sur Bruxelles2.
(B2) Alors que la rentrée va se faire sous l’angle de la défense — que ce soit au niveau européen avec les propositions de Emmanuel Macron et le discours de l’état de l’Union de Jean-Claude Juncker — et avant les universités d’été de la défense, nous publions une série de papiers issus des Premiers Entretiens de la défense européenne à la Sorbonne que nous avons organisé en juin avec nos amis universitaires et chercheurs.
Une panoplie d’acteurs industriels, de chercheurs et d’acteurs institutionnels, réunis autour d’un sujet majeur : dans quelle direction s’oriente l’Europe de la défense, en particulier l’industrie européenne de défense qui a fait l’objet de toutes les attentions des politiques ces derniers mois.
Créer une base industrielle et technique de défense européenne (BITDE) suppose une autonomie industrielle, sans pays tiers précise Carole Ferrand, de la direction général de l’armement. Oui, mais elle doit être composée de champions forts à l’export, et pas seulement sur le marché européen, qui est trop petit pour avoir exister et innover, complète Olivier Martin, MBDA. Les Européens bénéficieront du Fonds européen de défense et d’une BITDE parce qu’ils leur offriront une autonomie stratégique et assurera leur sécurité, pense Stéphane Abrial, directeur Groupe international et relations institutionnelles chez SAFRAN.
Les acteurs institutionnels, eux, s’accordent sur un point en particulier : c’est à l’industrie de faire un pas en avant et lancer des projets rapidement, au moyen du Fonds européen de défense, comme l’ont martelé Pierre Delsaux, directeur général adjoint, et Anne Fort, chef d’unité adjoint, à la DG GROW à la Commission européenne ainsi que Jean-Youri Martin, directeur adjoint de l’Agence européenne de défense.
Quel chemin parcouru a précisé Françoise Grossetête, eurodéputée, qui nous a fait part de son expérience de rapporteure du programme de développement industriel de défense, détaillant les circonstances, finalement favorables, qui a amené une majorité assez large, plutôt inédite quand on parle d’intégration européenne, des conservateurs aux sociaux-démocrates, pour approuver ce nouveau programme.
Enfin nous avons pu avoir un portrait sans concession de la future coopération structurée permanente (PESCO) par F. Mauro ou de la situation des budgets européens de défense avec F. Coulomb
(NGV avec Aurélie Pugnet, st.)
Les seconds entretiens de la défense européenne auront lieu au printemps 2019, juste avant les élections européennes. Nous vous tiendrons informés sur ce site, comme sur celui des Entretiens
Cet article Les premiers entretiens de l’Europe de la défense à Panthéon Sorbonne est apparu en premier sur Bruxelles2.
« J'ai demandé au secrétaire d'État [Michael] Pompeo d'étudier de près la terre sud-africaine et les confiscations de fermes et les expropriations et la grande ampleur des meurtres de fermiers. » Le tweet, le 23 août dernier, du président Donald Trump sur la question des terres en Afrique du Sud, mal écrit, a été mal pris par Pretoria. « L'Afrique du Sud rejette totalement cette perception étroite qui ne cherche qu'à diviser notre nation et nous rappelle notre passé colonial », a tweeté le gouvernement (...)
- Mots d'Afrique / Afrique du Sud, Économie, Histoire, Inégalités, Agriculture, ApartheidCet article Entretiens européens de la Défense (3) : Bien définir les modalités du Fonds (S. Abrial, Safran) est apparu en premier sur Bruxelles2.
La question du service national universel a suscité quelques débats et beaucoup d'incertitudes. Il reste que la volonté du président de la République a conduit à sa mise en place prochaine, d'autant que son principe devrait être inscrit dans la Constitution, selon le projet de révision en cours d'examen au Parlement (voir ici).
Il durerait un mois et concernerait toute une classe d'âge, garçons et filles, soit environ 800.000 jeunes âgés de 16 ans. Mais on ne sait pas trop ce qu'il y aura dans ce mois. Il me semble qu'une initiation à la cybersécurité serait un bon élément du programme avec des avantages multiples : développons.
En effet, il y a beaucoup d'incertitudes concernant le contenu de ce mois. On parle du BAFA (attention, pas GAFA), d'instruction civique et d'initiation aux premiers secours. Cela paraît un peu maigre.
Or, une initiation aux gestes et pratiques de la cybersécurité constituerait une formidable initiative. D'abord parce que la population française est très mal éduquée à l'hygiène numérique ; ensuite parce que les jeunes que l'on vise sont depuis leur plus tendre enfance imprégnés de culture digitale (on parle bien de "génération digitale") : ils n'en connaissent que les usages et avantages, mais personne ne leur parle des dangers et des risques.
Enfin, une telle initiative donnerait une couche incontestablement moderne à ce service national qui sinon aurait du mal à se distinguer de l'association patriotique mélangée à de l'apprentissage aux premiers secours : très bien, fort utile mais un peu compassé.
Avoir un module de deux à cinq jours d'initiation à la cybersécurité rendrait incontestablement la nation plus résiliente. Au fond, il y aurait un côté "défense" dans ce service sans que pour autant cela pèse sur les militaires, qui ont bien d'autres missions à accomplir. Enfin, l'image projetée à l'international serait remarquable et nul doute que nous serions rapidement imités : cela entrerait parfaitement dans la stratégie numérique exposée par le PR dans son discours de la Sorbonne.
Accessoirement, les jeunes deviendraient rapidement des prescripteurs auprès de leur entourage qui considère la cybersécurité avec "distance". La diffusion d'une culture cyber serait facilitée.
Ajoutons enfin que pour mettre en place cet enseignement, il faudrait développer un corps d'instructeurs qui pourraient rapidement devenir des professionnels travaillant au profit des PME, qui constituent aujourd’hui le maillon faible de notre dispositif. Or, les PME ne peuvent pas se payer des RSSI à plein temps. En revanche, prendre appui sur un réseau de professionnels indépendants et proches de ces entreprises (or, comme le SNU sera réparti sur tout le territoire, il faudra des instructeurs répartis également partout) devrait permettre là encore d'améliorer les choses.
Dernière cerise sur le gâteau : le développement de cette cohorte de professionnels permettrait d'alimenter les besoins des armées (mais à terme des grandes administrations nationales ou territoriales) en réservistes cyber, y compris opérationnels. Cela renforcerait les armées et donc la défense de la Nation, ce qui est normalement l'intérêt d'un Service national. La boucle serait bouclée...
Autrement dit, un module Cybersécurité au sien du SNU pourrait déclencher un cycle extrêmement vertueux et utile qui légitimerait encore plus ce SNU, encore aujourd'hui controversé.
O. Kempf
Cet article Carnet (07.09.2018). Ingérence électorale (projet). Allemagne (budget). Espagne (livraison d’armes). Dassault-Safran (litige). Irak (violences). Syrie (appel). Afghanistan (attentats). Malaisie (homosexualité). Qatar (migrants). ETIAS (règlement). Commission politique. People (Bienkowska) est apparu en premier sur Bruxelles2.
Cet article Entretiens européens de la Défense (2) : Des champions européens, à l’export aussi (O. Martin, MBDA) est apparu en premier sur Bruxelles2.
Cet article EUBAM Libya doit-elle descendre vers le Sud ou… fermer ses portes ? Les trois options du SEAE est apparu en premier sur Bruxelles2.