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Cet article Carnet (12.09.2018). Confidentiels (COPS, Sommet, Credendino). Défense (Pologne-division mécanisée, France-budget). Diplomatie (Libye-ONU, Cisjordanie-Parlement, UE-USA-Mogherini, Russie-manifestations, Egypte-peine de mort). Sécurité (Agence-texte, Combattants étrangers-Le Drian). Pouvoirs (SpitzenKandidat-Commission, Sargentini) est apparu en premier sur Bruxelles2.
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The Vostok 2018 (or Orient-2018) military exercise, between 11-17 September, will mobilize for four days no less than 300 000 soldiers (virtually all forces of Central and Western Russian military districts of Russia), 36 000 armored vehicles and more than a thousand aircraft (planes, helicopters and drones).
The Chinese and Mongolian armed forces will be invited. There will be an air of Zapad-81 (in 1981 with 100.000 soldiers, a hard message to the West and to the revolted Poland), but more imposing in a way.
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(B2) « Plus d’une centaine de personnes seraient mortes après un naufrage au large des côtes de la Libye il y a une semaine » révèle l’ONG Médecins sans frontières sur son fil twitter.
Entre Malte, Italie et Libye
L’évènement se serait produit le 1er septembre, « dans les eaux entre la Libye et l’Italie et Malte » confirme Flavio Di Giacomo le porte-parole de l’OIM, l’Organisation internationale des migrations. « Selon les autorités libyennes, au moins 25 personnes ont été portées disparues (+ 2 personnes sauvées), mais il est possible qu’il y ait plus de victimes. »
Quelques survivants pris en charge à Khoms
La nouvelle n’est révélée que maintenant. Ce n’est que lorsque les équipes médicales de MSF ont pris en charge (au niveau de l’assistance médicale) un groupe de 276 personnes, dont des survivants du naufrage, que la nouvelle a pu être connue.
Plus aucun bateau d’ONG disponible
Pour l’ONG SOS, il n’y actuellement « aucun bateau d’ONG » en ce moment dans la zone de Méditerranée centrale. « Moins de moyens de sauvetage et pas de témoins » signifie plus de naufrages. Car les migrants continuent de « fuir l’enfer libyen », à n’importe quel prix.
L’Europe ne devrait pas nous laisser mourir
« Je ne serais pas allé en mer s’il n’y avait pas eu de guerre à Tripoli » raconte un survivant du récent naufrage à MSF. « J’ai vécu en Libye pendant dix ans et je travaillais à Tajoura. » « Même si l’Europe ne voulait pas nous accorder l’asile, ils ne devraient pas nous laisser mourir en mer » dit-il.
“I would not have gone to sea if there were not a war in #Tripoli. I have lived in #Libya for 10 years and I was working in Tajoura. Even if Europe didn’t want to give us asylum, they should not leave us dying at sea” – a survivor of the recent shipwreck pic.twitter.com/IboIGQNJJX
— MSF Sea (@MSF_Sea) September 11, 2018
(NGV)
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(B2 exclusif) Les Britanniques ne seront plus qu’une ‘force associée’, une force d’appoint, à l’opération maritime anti-trafics de l’UE en Méditerranée (EUNAVFOR Med / Sophia). Ce qui équivaut à un simili retrait de l’opération
Le HMS Echo qui a participé à l’opération Sophia est désormais le navire amiral de l’opération de l’OTAN Sea Guardian (crédit : marine britannique)
Que signifie être associé ?
Les Britanniques continueront de fournir des moyens maritimes au cas par cas à l’opération Sophia. Mais ceux-ci n’opéreront plus dans le cadre de l’opération Sophia dans la chaîne de commandement européenne. Ils interviendront sur une décision prise par le commandement britannique, et pour les missions qu’ils auront choisies, en réponse le cas échéant à une demande de Rome (1). Depuis l’été, ainsi, il n’y a plus de navire arborant le White Ensign (le pavillon de la Croix de Saint-Georges) dans l’opération. Ce qui constitue un changement singulier (2). Les Britanniques ont contribué depuis le début, et ceci de façon régulière, avec un navire et des moyens de renseignement et d’information, à l’opération (lire : Face à la tragédie en Méditerranée, le Royaume-Uni répond « présent »).
Pourquoi cette décision ?
Les Britanniques ont fait connaître leur décision aux responsables européens, qu’ils ont rapidement mise en œuvre. Une mesure qui tient à l’arrivée prochaine du Brexit (mars 2019 normalement), mais aussi et surtout au changement de position de Rome sur le port de débarquement. La décision du gouvernement d’abandonner son obligation d’accueillir, comme port de débarquement, les migrants et réfugiés récupérés en mer, lors d’opérations de secours (SOLAS) par les navires, a été perçue comme un signal d’alerte. Pour Londres, hors de question de se retrouver avec des personnes à bord, qui ne pourraient être débarquées immédiatement dans un port proche.
Le Royaume-Uni reste très présent en Méditerranée
Les navires britanniques continueront de patrouiller dans la zone méditerranéenne, où ils disposent de deux bases (à Gibraltar et à Chypre) et de participer aux opérations … de l’OTAN. Ainsi le navire hydrographique HMS Echo (H-87), qui a participé à l’opération Sophia, est devenu ainsi le navire amiral de l’opération de l’OTAN Sea Guardian.
(Nicolas Gros-Verheyde)
(1) Un peu comme le fait la France dans l’océan indien en contribuant au coup par coup à l’opération anti-piraterie de l’UE (EUNAVFOR Atalanta).
(2) Londres n’est pas le seul à avoir sa décision. Pour diverses raisons, deux autres pays habitués des opérations maritimes — Pays-Bas et Belgique — ont déjà décidé de ne plus fournir de moyens pour 2018 et 2019.
Les navires et avions de la force maritime de l’UE en Méditerranée (EUNAVFOR Med) dans le cadre de l’opération Sophia (source : EUNAVFOR Med, 10 septembre 2018)
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