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Afrique

Recette: Soufflé à la noix de coco

Algérie 360 - Mon, 07/30/2018 - 16:33

50 g de noix de coco râpée, 40 g de sucre, 2 œufs, 10 cl de lait, 20 g de farine, 40 g de beurre, 1 sachet de sucre vanillé, 2 cuillères à soupe de sucre glace.
Préchauffez le four à 180°C. Beurrez un moule à soufflé. Faites fondre le reste de beurre, ajoutez la farine. Laissez cuire une minute puis délayez avec le lait. Ajoutez le sucre. Mélangez et retirez du feu. Séparez les blancs d’œuf des jaunes puis ajoutez la noix de coco. Battez les blancs en neige avec une pincée de sel et incorporez-les délicatement. Versez dans le moule à soufflé et enfournez pendant 30 minutes. Saupoudrez de sucre glace avant de servir.

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L’organisation État islamique tentée par l’Afrique de l’Ouest

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 07/30/2018 - 16:33
CENOZO - L’Afrique de l’Ouest doit-elle s’inquiéter d’une résurgence sur son sol des opérations de l’État islamique ? À l’été...
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Sidi-Bel-Abbès: Installation du nouveau procureur général

Algérie 360 - Mon, 07/30/2018 - 16:23

Dans la matinée d’hier, l’inspecteur général, M. Tayeb Benhachem, du ministère de la Justice, a présidé, en présence des magistrats, des autorités locales et de la presse, une cérémonie d’installation du nouveau procureur général près la cour de Sidi-Bel-Abbès, s’agissant en l’occurrence de M. Boucherafa Tayeb, en remplacement de M. Djelloul Lahcen Mohamed. Ce nouveau procureur désigné à la tête de la cour de Sidi-Bel-Abbès a, auparavant, occupé les fonctions de procureur général adjoint au niveau du tribunal de Aïn-Témouchent et bien avant, il était magistrat au niveau du tribunal de Sidi Bel-Abbès.
A. M.

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Relizane: La placette, un espace totalement dégradé

Algérie 360 - Mon, 07/30/2018 - 16:20

Plusieurs habitués de la placette nous ont saisis pour signaler à l’autorité compétente, et particulièrement la chef de l’exécutif, la situation désastreuse dans laquelle baigne l’endroit, appelé affectueusement par eux «la placette».
Rien ne va plus dans cet espace censé accueillir les familles et les enfants du quartier ou de passage pour y respirer un air sain à l’ombre des arbres séculaires.
En parlant d’arbres, certains d’entre eux sont en train de dépérir en attendant que les autres suivent faute de soins et surtout d’arrosage. Les saletés qui jonchent ces endroits sont pour la plupart issues des terrasses de cafés qui cernent la place. Au pied de ces arbres, nous avons vu des cartons de jus, des paquets de cigarettes vides, des mégots à profusion et le marc de café qui y est abandonné en grande quantité.
Il y a lieu de penser, d’ores et déjà, à trouver une solution pour sauver cet espace dont les plates-bandes sont totalement dégarnies, malgré le geste fait par certains habitants du quartier qui ont essayé de planter quelques arbustes décoratifs mais les actes de vandalisme y ont mis fin.
L’histoire du petit rosier planté par un ancien du quartier est toujours présente dans les esprits car à chaque fois qu’un bouton de rose apparaissait, une main indélicate l’arrachait. Entouré d’un grillage et arrosé quotidiennement, il n’a pas échappé à l’indélicatesse des passants. Alors, la solution adoptée a été de repiquer le rosier dans son jardin afin qu’il échappe aux prédateurs. Pourquoi pas alors une grille de protection autour de la place et en interdire l’accès durant le temps requis pour son aménagement ? Les habitants du quartier promettent de la protéger et de veiller à sa propreté.
Cette solution avait été adoptée pour la placette et a donné des résultats appréciables.
A. Rahmane

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Hattab:”Nous sommes meilleurs dans l’organisation que l’Espagne!”

Algérie 360 - Mon, 07/30/2018 - 16:16

Le ministre de la Jeunesse et des Sports, Mohamed Hattab n’a pas pu digérer la pluie de critiques qui s’est abattue sur le comité d’organisation des Jeux africains de la jeunesse (JAJ) qu’a abrités l’Algérie du 18 au 27 juillet dernier, indiquant que l’Algérie a assuré une meilleur organisation que l’Espagne, pays hôte des Jeux méditerranéens qui se sont déroulés en juin dernier.

Intervenant lors d’une conférence de presse donnée dimanche au Centre international de conférences (CIC) Abdellatif Rahal, le ministre de la Jeunesse et des Sports a estimé qu’il ne fallait surtout pas s’arrêter sur de petits détails pour ternir l’image de l’Algérie, estimant que ce qui était arrivé à l’un des membres de la délégation tunisienne était un acte isolé.

Pour le ministre, il serait tout à fait naturel de relever quelques insuffisances lors de chaque manifestation, soutenant que l’Algérie avait réussi dans l’organisation de la 3e édition des JAJ et serait démarquée de certains pays en matière d’organisation, dont l’Espagne. “Nous avons participé aux Jeux méditerranéens à Tarragone et notre délégation s’est égarée à cause d’un problème d’organisation.  D’ailleurs, plusieurs délégations s’en sont également plaintes”, a-t-il dit.

Et Hattab d’enchaîner:”Cette édition est synonyme du succès et les insuffisances n’ont pas pris le dessus sur les résultats obtenus comme le témoignent des délégations en dehors de l’Algérie…Nous avons réussi à organiser ces Jeux et les critiques étaient simplement injustes”.

Par ailleurs, l’interlocuteur n’a pas manqué de piquer les fédérations qui n’ont obtenu aucune médaille, affirmant que son département a mobilisé tous les moyens pour une meilleure préparation des athlètes. “A l’avenir, décrocher une médaille sera obligatoire d’autant plus que nous offrons tout ce dont les athlètes et les fédérations ont besoin”, a-t-il insisté.

Bilal Ouahab / Traduit par: Moussa. K.

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Convention des Nations Unies et de l’Union Africaine contre la corruption: Les ratifier, pour quoi faire ?

Algérie 360 - Mon, 07/30/2018 - 16:13

L’Office des Nations unies contre le crime et la drogue (UNODC), dont le siège est à Vienne, a piloté, de 2001 à 2003, le processus de rédaction de la Convention des Nations unies contre la corruption, Uncac, selon l’acronyme anglais. Le 15 décembre 2000, sous l’égide des Nations unies, 124 pays sur les 148 représentés ont signé une convention contre la criminalité transnationale organisée.

L’Uncac, adoptée en 2003, est entrée en vigueur en décembre 2005 — trois mois  après le dépôt de la 30e ratification —, l’Algérie l’ayant ratifiée en 2004.
Ce texte vise à lutter plus efficacement contre les mafias en renforçant la coopération entre les États et en harmonisant leur législation. Parmi les engagements contenus dans le document, on note : «incriminer la participation à un groupe criminel organisé, le blanchiment d’argent, la corruption et l’entrave au bon fonctionnement de la justice».
Ces quarante dernières années, les Nations unies ont adopté de nombreuses résolutions et recommandations contre la corruption. Il faut rappeler la résolution 3514 de l’Assemblée générale, en date du 15 décembre 1975, dans laquelle l’Assemblée condamnait, entre autres, toutes les pratiques de corruption, y compris les actes de corruption commis par des sociétés transnationales.  Au sein du Conseil économique et social des Nations unies, dont le siège est aussi à Vienne, en Autriche, il existe une «commission pour la prévention du crime et pour la justice pénale» qui traite notamment des questions de corruption et de crime organisé.
En 2001, les Nations unies devaient réunir les représentants de ses États membres et des partenaires internationaux pour adopter une nouvelle convention contre la corruption. Le 2e Forum mondial sur la lutte contre la corruption, qui a eu lieu à La Haye du 28 au 31 mai 2001, aux Pays-Bas, devait contribuer à la préparation de l’initiative des Nations unies. On y a abordé les questions d’intégrité et de bonne gouvernance, l’application des lois, les douanes, la corruption, la transition et le développement, et enfin le gouvernement et le monde des affaires. Après des travaux préparatoires et près de deux années de négociations formelles à Vienne, échelonnées sur sept sessions, la cérémonie de signature de la Convention des Nations unies contre la corruption a eu lieu à Mérida, au Mexique, du 9 au 11 décembre 2003.

L’alibi de la protection de la souveraineté
La lecture de cette convention a été  source d’espoir comme de déception. Du côté de l’espoir peuvent être mises en avant l’étendue et la diversité des sujets traités. Tout ce qui touche de près ou de loin à la corruption semble avoir été abordé tant au niveau des mesures préventives que des incriminations, des questions relatives à la confiscation et à la saisie, à la coopération internationale, à la restitution des fonds détournés…  Nettement plus décevantes sont les précautions de vocabulaire qui semblent retirer toute force contraignante à cette convention : «d’une manière compatible avec les principes fondamentaux de son système juridique», «selon qu’il convient», «peut adopter», «dans toute la mesure possible dans le cadre de son système juridique interné»… Si l’on ajoute à cela les dispositions qui apparaissent dès l’article 4 sur la protection de la souveraineté, l’inquiétude gagne. Cet article rappelle avec vigueur les principes de l’égalité souveraine, de l’intégrité territoriale et de la non-intervention dans les affaires intérieures d’autres Etats. Aussi serait-il facile de se laisser convaincre que cette convention n’est qu’un instrument illusoire. N’oublions pas toutefois que ce texte, sur lequel un grand nombre d’Etats se sont mis d’accord, est le signe que la corruption est enfin perçue, au plus haut niveau international, comme un mal contre lequel il faut lutter. Plus encore, les négociations serrées auxquelles cette convention a donné lieu sont la preuve que les Etats considèrent que la signature d’une telle convention pourrait un jour leur être opposée, tant par leur population que par d’autres Etats ou par des institutions internationales.

Crise au sein du Comité consultatif africain
La plus grande évolution sur le continent africain a été l’adoption au mois de juillet 2003 — lors du Sommet des chefs d’Etat de l’Union africaine à Maputo, au Mozambique ­—­­ de la Convention de l’Union africaine sur la prévention et la lutte contre la corruption et les infractions assimilées.
L’entrée en vigueur de cette dernière requiert 15 ratifications.  L’Algérie est le 15e pays africain à avoir ratifié cette convention (juillet 2006) : elle est entrée en vigueur en août 2006.
La convention entend renforcer l’arsenal juridique de la lutte contre la corruption en établissant la liste de tous les délits qui devraient être sanctionnés par la législation nationale, en matière de corruption, et en présentant des mesures permettant de les détecter et de les instruire.  La convention délimite également la juridiction des États-parties, définit l’assistance juridique mutuelle en matière de lutte contre la corruption et infractions assimilées, encourage l’éducation et la sensibilisation du public sur les effets néfastes de la corruption et offre un cadre pour le contrôle et la supervision de son application. Une faiblesse de cet instrument est   qu’elle laisse à chaque signataire l’option de renoncer à certaines des dispositions, voire à l’ensemble de celles-ci.
Concernant le mécanisme de suivi — défini par l’article 22 —, la CUA a prévu la création d’un «comité consultatif sur la corruption et les infractions assimilées» au sein de l’Union africaine.  Composé de 11 experts, ce comité a pour fonction principale de «promouvoir et d’encourager l’adoption et l’application de mesures de lutte contre la corruption», en établissant notamment «des partenariats avec la Commission africaine des droits de l’homme et des peuples, la société civile africaine, les organisations gouvernementales et non gouvernementales, afin de faciliter le dialogue sur la lutte contre la corruption et les infractions assimilées». Mais ce «comité consultatif» n’a pas brillé par son efficacité depuis sa création : plus grave, il y a quelques semaines, un de ses membres les plus éminents a démissionné avec fracas, confirmant  publiquement la paralysie de cette structure… C’est dire que l’adoption et la ratification de ces conventions n’est pas une fin en soi, surtout quand la volonté politique à les traduire en actes concrets est inexistante.

Office central de répression de la corruption
Le gouvernement veut le réformer

Selon une dépêche de l’APS (Algérie presse service), le ministre de la Justice, gardes des Sceaux, a annoncé, jeudi 19 juillet 2018, à Tipasa, la formation d’un groupe de travail restreint début septembre prochain qui se chargera de la «réforme» de l’Office central de répression de la corruption (OCRC), et ce, dans le but de «consolider davantage les mécanismes à même de contribuer à la lutte contre ce phénomène». «Il est devenu impératif de réactiver les mécanismes de prévention qui est de la responsabilité de tous les secteurs et de la société de façon générale et qui est considérée comme l’un des moyens efficaces de lutte contre la criminalité», a-t-il ajouté. Créé par une ordonnance du chef de l’Etat le 26 août 2010, l’OCRC a pour mission d’effectuer des recherches et des enquêtes en matière d’infractions de corruption. Les infractions en matière de corruption  prévues par la  loi du 20 février 2006 relative à la prévention et à la lutte contre la corruption relèvent de la compétence des juridictions à compétence étendue conformément aux dispositions du code de procédure pénale. Les officiers de police judiciaire relevant de l’OCRC exercent leurs missions conformément aux dispositions du code de procédure pénale et de la loi du 20 février 2006.

Installé 3 ans après sa création
Leur compétence territoriale s’étend sur tout le territoire national en matière d’infractions de corruption et des infractions qui leur sont connexes.
Il a fallu attendre trois longues années pour que l’OCRC soit installé, en 2013, alors que son directeur général — Abdelmamek Sayeh— avait été nommé en… 2011. Placé à ses débuts sous la tutelle du ministère des Finances, il sera «récupéré» en 2014 par le ministère de la justice.
Un décret présidentiel signé le 8 décembre 2011 précisera que l’OCRC peut recourir à l’auto-saisine en exploitant les informations rapportées par la presse ou par d’autres sources, comme il peut être saisi par l’Inspection générale des finances, la Cellule de traitement du renseignement financier, les commissions nationales des marchés, les services de police ou encore par de simples citoyens.
En avril 2016, un nouveau directeur général, Mohamed Mokhtar Rahmani,  est nommé à la tête de l’OCRC. Ce dernier dispose de l’autonomie d’action et de gestion (décret présidentiel du 23 juillet 2014) ; son directeur général établit le rapport annuel d’activités de l’Office qu’il adresse au ministre de la Justice.
Deux arrêtés interministériels fixent le nombre d’officiers et d’agents de la police judiciaire relevant des ministères de la Défense nationale et de l’Intérieur (10 pour chacun des deux ministères) mis à la disposition de l’OCRC, arrêtés signés le 10 avril 2012.
Djilali Hadjadj

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Canicule: Ruée vers les villes du littoral tlemcénien

Algérie 360 - Mon, 07/30/2018 - 16:13

C’est un phénomène nouveau, beaucoup de familles originaires du Grand Sud (Adrar, Tamanrasset, Béchar) cherchent à fuir la grande canicule, en trouvant refuge au nord, où la température est plus clémente. Ces familles ne viennent pas spécialement pour la fraîcheur des plages au bord de la mer, mais elles cherchent à louer des appartements dans les villes de l’Ouest pour toute la durée de l’été.
Ces familles ont pris l’habitude de venir à Aïn-Témouchent ou à Tlemcen, dès les premières chaleurs, passer leurs vacances, parfois chez des proches, qui à leur tour sont pris en charge lors des vacances d’hiver dans le Sud algérien. Ce genre d’échange existe depuis longtemps, mais il a tendance à s’intensifier ces dernières années et tout le monde trouve son compte.
M. Zenasni

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Aïn-Témouchent: Les parasols envahissent la plage de Terga

Algérie 360 - Mon, 07/30/2018 - 16:12

La plage de Terga est la destination la plus prisée par les citoyens de la wilaya de Aïn-Témouchent et même par ceux venant des wilayas avoisinantes. Cependant, cette plage, outre le fait de payer le parking à 100 dinars au lieu de 50 dinars annoncé pompeusement avant l’ouverture de la saison estivale, il n’y a pas un lieu où les estivants peuvent poser leurs propres parasols, tant des parasols de ceux qui gèrent les espaces existants envahissent toute la longueur de la plage ; le simple estivant est sommé de payer le prix du parasol et des chaises qui occupent tout l’espace. Heureusement que cette situation n’est pas générale à travers les plages de la wilaya, puisque à 10 minutes de cette plage de Terga, on peut aller à la plage de Chatt el-Hilal, connue péjorativement par Oued el-Hallouf (la rivière du sanglier). Là, l’estivant trouvera toutes les commodités nécessaires pour passer un séjour agréable, les parkings sont gratuits, les parasols et les chaises sont à la disposition des estivants qui le désirent, le sable doré attirera des centaines, voire des milliers de personnes à cette belle plage dont la sécurité est assurée pour tout le monde.

La waâda de Sidi Saïd : une opportunité pour des réconciliations
La fête traditionnelle annuelle de Moulay Tayeb a pris fin hier au quartier populaire et populeux de Sidi Saïd, une fête qui a duré 3 jours complets et qui a drainé la grande foule des quatre coins de la wilaya et même d’autres wilayas environnantes.
De nombreuses troupes folkloriques venant de plusieurs wilayas du pays dont celles du Sud algérien ont pris part à cette manifestation culturelle qui est considérée comme un lieu de rencontre et de réconciliation pour les gens qui avaient des différends par le passé.Le dernier jour de cette waâda, des défilés des troupes folkloriques ont eu lieu à la place du 9-Décembre-1960 au centre-ville de Aïn-Témouchent .
Le vice-président de l’association de Sidi Saïd M. Belkadi Mohamed dira à propos de cette fête que cette manifestation culturelle est organisée chaque année,elle est accompagnée par la danse de Touat et sous les salves de baroud, il ajoutera que c’est une opportunité de rassembler tout le monde pour prier et réciter le Coran ainsi que pour réunir les gens qui étaient en conflit en vue de les réconcilier. Rendez-vous est pris pour l’année prochaine.
S. B.

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Mostaganem: Un baigneur gravement blessé par un jet-ski

Algérie 360 - Mon, 07/30/2018 - 16:08

Un baigneur âgé de 25 ans a été, avant-hier vers 16h45 mn, violemment percuté par un jet-ski dans une zone interdite à la baignade, tout près de la plage de Sokhra à l’est du chef-lieu de wilaya.
La victime qui souffre d’une grave blessure à la tête a été évacuée à l’hôpital de Sidi Lakhdar où elle est gardée en observation. Le pilote de l’engin a été localisé et appréhendé par les gendarmes.
Ce énième accident de la mer rappelle une fois de plus la nécessité et l’urgence de l’installation de balises délimitant la zone de navigation de ces engins.
Abder Bensadok

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El-Bayadh: Un cadavre retiré du fond d’un puits

Algérie 360 - Mon, 07/30/2018 - 16:08

Les éléments de la Protection civile de la wilaya d’El-Bayadh ont retiré, dans la journée de samedi dernier, le corps sans vie d’un jeune homme du fond d’un puits d’irrigation, sis dans une exploitation agricole dans la commune de Sidi-Slimane.
La victime a été transférée à la morgue de l’hôpital d’El-Bayadh; cependant une enquête a été aussitôt ouverte par la Gendarmerie nationale pour déterminer les circonstances exactes de cette disparition tragique, a-t-on appris.
B. Henine

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Le ministre espagnol de l’intérieur en Mauritanie : priorité à l’immigration clandestine

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 07/30/2018 - 15:51
Sahara Medias - Le ministre espagnol de l’intérieur Fernando Grande-Marlaska est arrivé lundi à Nouakchott, dans la cadre d’une visite de...
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Secousse tellurique de magnitude de 3,4 degrés sur l’échelle de Richter à Boumerdes

Algérie 360 - Mon, 07/30/2018 - 15:35

ALGER- Une secousse tellurique d’une magnitude de 3,4 degrés sur l’échelle de Richter a été enregistrée lundi à 10h32 dans la wilaya de Boumerdes, indique le Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (CRAAG) dans un communiqué.

L’épicentre de cette secousse a été localisé à 8 Km au nord-ouest de Zemmouri (sur mer) dans la même wilaya, précise la même source.

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Les député poursuivis se reconnaissent déjà coupables

24 Heures au Bénin - Mon, 07/30/2018 - 15:30

La levée d'immunité des députés à l'Assemblée nationale a provoqué depuis quelques jours, une série de réactions dans le rang des militants des Forces cauris pour un Bénin émergent (Fcbe) et d'autres partis de l'opposition. Pour ces formations politiques, la levée d'immunité des députés relève d'une chasse aux sorcières, alors que ces mêmes personnes disent porter le flambeau de la défense des valeurs démocratiques et de la lutte contre la corruption. Véritable paradoxe.

De même, les décisions rendues par des institutions de la République dans la droite ligne des textes qui régissent le fonctionnement de la nation sont perçues à leurs yeux comme, ‘'une honte''. L'opposition qualifie également la justice en quelle elle dit faire confiance, comme une justice aux ordres. Des réactions qui témoignent de ce que l'opposition béninoise fait du dilatoire, intoxique l'opinion publique à travers l'arme de la victimisation et trompe le peuple.
Conformément aux textes en vigueur, un député ne peut pas être poursuivi, si son immunité parlementaire n'est pas levée. Mais après les enquêtes et procès devant les tribunaux, si la culpabilité du député n'est pas établie, il retourne au parlement et recouvre son immunité. C'est seulement au cas où les faits reprochés au député sont confirmés, et que sa culpabilité est établie par le juge, que celui-ci au lieu de retourner peut être mis sous mandat de dépôt.
Si pour aller laver son honneur devant les juges et couper court à tout soupçon, il y a tant d'agitations, on se pose alors la question de savoir si les inculpés se reconnaissent déjà coupables. Loin de manipuler l'opinion publique, les réactions de l'opposition confirment davantage les accusations émises contre elle surtout quand on sait comment ceux-ci ont géré le pays pendant les dix dernières années.
Contrairement à tout ce que l'on peut penser, il s'agit aujourd'hui pour le pouvoir en place, d'assainir les finances publiques, d'identifier les auteurs des scandales financiers qui ont coûté des milliards de francs CFA à l'Etat et appliquer les sanctions adéquates aux personnes impliquées.
Le parlement ne doit plus constituer un refuge pour les fossoyeurs des finances publiques. Où qu'ils se trouvent, ces pilleurs des ressources publiques doivent être dénichés pour répondre de leurs forfaits. Il s'agit d'un mode de gouvernance résolument engagé dans la lutte contre la corruption, un ‘'fléau'' qui nuit gravement aux finances publiques et hypothèque le développement du pays.
F. A. A.

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Mauritanie : Un agent du RAVEL, kidnappé

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 07/30/2018 - 15:10
Alakhbar - Un agent du Recensement Administratifs à Vocation Electorale (RAVEL) a été enlevé dimanche vers 22h, à Chwabil dans le Hod...
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La Mauritanie satisfaite des conditions de partage des revenus qui seront tirés de l’exploitation du champ gazier Grand Tortue/Ahmeyim

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 07/30/2018 - 14:30
Energies-média - L’accord conclu avec les sociétés BP et Kosmos Energy est l’un des meilleurs du genre dans le monde, a soutenu le ministre...
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La Justice réclame la levée de l'immunité de Simplice Dossou et Garba Yaya

24 Heures au Bénin - Mon, 07/30/2018 - 14:00

Les députés sont de nouveau sollicités pour aider la justice dans la recherche de la vérité. Une nouvelle demande de levée de l'immunité de deux députés a été adressée par le procureur de la République au président de l'Assemblée nationale. Il s'agit de Simplice Dossou et Garba Yaya.
L'étau se resserre désormais contre les députés. Après le feuilleton Djènontin et consorts, c'est le tour de Simplice Dossou et Garba Yaya. Une fois de plus, le procureur invite les députés à statuer sur la levée de l'immunité de ces deux députés sur qui pèsent des soupçons divers. A Simplice Dossou, il serait reproché le détournement des primes de patrouilles des policiers d'un montant de 350 millions de francs CFA débloqués par le gouvernent de Yayi alors qu'il était ministre de l'intérieur. L'affaire avait créé en son temps quelques bruits de bottes apaisés par les supérieurs hiérarchiques de la police. Quant à Garba Yaya, il s'agit de l'organisation frauduleux des concours au profit du ministère de l'économie et des finances en août 2012. Alors qu'il était directeur de recrutement des agents de l'État, les dudits concours qui ont fait couler beaucoup d'encre et de salive ont dû être annulés avec toutes les conséquences causées à l'État et aux citoyens.
L'aboutissement de ces deux dossiers instruits par le procureur de la République permettront à la justice de faire la lumière sur ce qui leur est reproché.
Alors que le parlement est dans la dynamique d'aider le gouvernement dans son combat contre la corruption et l'immunité, il est clair que la demande de levée de l'immunité de ces deux députés obtiendra un écho favorable à l'hémicycle.
Un nouvel test de plus.pour ces derniers.
Ces demandes de levée d'immunité des députés soupçonnés d'être impliqués dans des affaires montre que Patrice Talon a décidé de faire de la lutte contre la corruption et l'impunité, une référence de son quinquennat. Et cette lutte a besoin de l'accompagnement de tous. Comme l'a dit quelqu'un, l'Assemblée nationale ne doit plus être perçue comme le refuge des délinquants financiers.
Giscard AMOUSSOU

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Les dockers poursuivent leur grève et accusent le Gouvernement de manquement à ses engagements

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 07/30/2018 - 13:51
Alakhbar – Les dockers grévistes du Port Autonome de Nouakchott dit Port de l’Amitié ont organisé lundi 30 juillet courant une marche à...
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Trarza : Plaidoyer pour la réalisation de projets pilotes de cultures fouragères dans les réserves pastorales

CRIDEM (Mauritanie) - Mon, 07/30/2018 - 13:12
APESS/Trarza - En 2017, la Mauritanie, notamment dans les six Moughataa du Trarza, a connu une sécheresse qui a décimé au moins 20% de notre...
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Investissements touristiques dans la wilaya de Béjaia : Le ministre du Tourisme appelle à la levée des blocages

Algérie 360 - Mon, 07/30/2018 - 13:05

Sur les lieux, le premier responsable du secteur a donné une instruction pour faciliter les procédures administratives aux investisseurs dans le secteur du tourisme.

En visite de travail et d’inspection, hier, dans la wilaya de Béjaïa, le ministre du Tourisme et de l’Artisanat, Abdelkader Benmessaoud, a appelé les autorités locales “à lever tous les obstacles et les blocages” qui freinent le lancement de pas moins de 56 projets prévus dans le secteur du tourisme à travers le territoire de la wilaya.
Selon M. Benmessaoud, Béjaïa dispose de ressources humaines, d’un savoir-faire et d’un riche passé historique.
Des atouts qu’il faut conjuguer pour faire du tourisme la locomotive du développement dans la wilaya. Et c’est dans ce sens qu’il a plaidé pour l’investissement dans les stations thermales, sources de revenus non négligeables pour les communes, tout en rappelant, au passage, que le pays compte quelque 282 stations thermales fonctionnelles. À Amizour, où il a effectué sa première halte, le ministre du Tourisme a inspecté le projet de réalisation d’un hôtel privé initié par Moussa Garet dont le taux d’avancement est de 55%.  Lancé en 2015 après la levée de quelques contraintes bancaires, ce projet prévoit la réalisation d’un établissement hôtelier de 578 lits et 63 chambres. D’un coût de quelque 1,3 milliard de dinars, sa réception est prévue pour l’année prochaine. Sur les lieux, le ministre Benmessaoud a donné une instruction pour faciliter les procédures administratives aux investisseurs dans le secteur du tourisme. La tournée du ministre s’est poursuivie à Melbou où il a inspecté les travaux de réalisation de la résidence touristique le Remora appartenant à Mouloud Ouazene. D’une capacité d’accueil de 374 lits, la structure hôtelière, dont l’ouverture est prévue pour l’année prochaine, a coûté 850 millions de dinars et générera quelque 250 postes d’emploi, indique-t-on. Après l’inauguration de l’hôtel Tababort d’une capacité d’accueil de 90 lits à Souk El-Tenine, le ministre du Tourisme s’est rendu à Aokas où il a visité la nouvelle plage autorisée à la baignade, Achrit.
Lors de sa virée dans cette station balnéaire, le ministre a été accueilli par des citoyens qui l’ont interpellé sur la menace qui pèse sur la bande boisée d’Aokas, où sont prévues plusieurs structures hôtelières dans le cadre du Calpiref. Ces derniers ont saisi l’occasion de cette visite pour réclamer l’annulation pure et simple des projets initiés par le très controversé ex-wali Ahmed Hamou Touhami, dans le cadre du Calpiref. Ensuite, la délégation officielle s’est dirigée vers la commune limitrophe de Tichy, où elle a inauguré la résidence touristique Mersel-Hocine de 104 lits et effectué une visite du projet en cours de réalisation de l’hôtel El-Moudayna de Mourad Djermani, d’une capacité d’accueil de 154 lits.  Dans la même ville, M. Benmessaoud a eu droit à la présentation du projet de modernisation de l’hôtel Les Hammadites appartenant à l’Entreprise de gestion touristique de l’Est (EGTE). La visite du ministre s’est clôturée dans la ville de Béjaïa par la visite d’une exposition et une inspection des projets de réalisation de trois structures hôtelières. Il s’agit de l’hôtel Le Belvédère de 125 lits, de l’hôtel Azemour, au lieudit Les Oliviers, d’une capacité d’accueil de 200 lits et enfin celui de Yougarithene Palace, sis à la Brise de mer, d’une capacité de 252 lits.

H. KABIR

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Absence de hauts responsables aux obsèques de Bencherif: Les habitants de Djelfa dans la rue

Algérie 360 - Mon, 07/30/2018 - 13:01

Par Moncef Wafi

Djelfa ne décolère toujours pas, sa population continuant de protester contre l’absence de représentants du gouvernement à l’enterrement, mardi dernier, de l’une des figures nationales, le colonel Ahmed Bencherif.

Ainsi, des milliers de personnes ont participé, hier, à une marche populaire, scandant des slogans hostiles au pouvoir. La foule a brandi des banderoles sur lesquelles il était, notamment, inscrit «Bencherif est plus grand que vous». Le cortège, qui a sillonné les rues de Djelfa, a voulu s’émanciper de toute tentative de récupération partisane ou associative rappelant le caractère «populaire» de la marche.

L’absence de hauts responsables de l’Etat aux funérailles d’Ahmed Bencherif, ancien patron de la Gendarmerie nationale, a provoqué la colère des Djelfaouis. L’affront est tel que pour exprimer leur colère face à ce manque de considération qualifié d’«impardonnable», les habitants de la région se mobilisent sur les réseaux sociaux et menacent même de boycotter les élections présidentielles de 2019. Pour les gens de la région, ce qui s’est passé le jour de l’enterrement de Bencherif est synonyme de «mépris» et de «marginalisation» envers la population des Ouled Naïl.

En guise de réparation, ils exigent la présence de hauts responsables à l’occasion du quarantième jour de sa disparition et de lui rendre hommage pour ses exploits et sa participation à l’édification de l’Etat algérien, après l’indépendance. Un communiqué des «notables et libres» de la wilaya, rendu public, samedi dernier, avait considéré l’absence d’officiels à l’enterrement du colonel comme un «affront» et une «hogra».

Pour rappel, deux jours après les obsèques, une délégation ministérielle, conduite par le ministre de l’Intérieur, Nourredine Bedoui, s’était rendue sur la tombe du défunt. La foule, visiblement très remontée contre le gouvernement, avait encerclé la délégation officielle, tout en scandant des slogans hostiles, compliquant les déplacements des ministres, même lors de leur sortie du cimetière. Ahmed Bencherif a été inhumé dans l’après-midi de mardi dernier, après la prière d’El Assar, à Hassi Bahbah, dans la wilaya de Djelfa. Selon sa dernière volonté, il a été enterré aux côtés de son père et de sa mère au cimetière de Ain Maabed. Issu d’une famille de notables de la grande tribu des Ouled Nail, Bencherif a eu droit à des obsèques à la mesure de sa notoriété. Le wali de la wilaya de Djelfa a dû écourter son congé annuel et a été contraint de reprendre du service pour organiser les obsèques du défunt. Ainsi, les autobus du transport universitaire de la wilaya ont été réquisitionnés pour assurer le transport des nombreuses personnes qui se sont déplacées des différentes communes de Djelfa pour assister à l’enterrement. La famille du défunt a également, préparé plus de 4.000 repas pour les personnes venues des différentes régions du pays présenter leurs condoléances à la famille Bencherif. Premier commandant de la Gendarmerie nationale de l’Algérie indépendante, Bencherif est décédé le 21 juillet, à Paris, à l’âge de 91 ans. Ancien colonel de l’ALN, il a été condamné à mort par l’armée coloniale. Après l’indépendance de l’Algérie, il a été ministre de l’Environnement.

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