Est-ce une plaisanterie ou une réalité? Selon le site Observalgérie, le ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville, Abdelwahid Temmar, a annoncé qu’une nouvelle formule de logement sera introduite au profit des demandeurs de logements sociaux, et ce pour satisfaire davantage la demande. Ainsi, les citoyens demandeurs de logements sociaux pourront bénéficier d’appartements de type F2, F3, F4 ou F5 selon plusieurs paramètres parmi lesquels le nombre de personnes qui sont à la charge du demandeur, a expliqué le ministre. Temmar a également indiqué que l’introduction de cette mesure – pour les demandeurs de logements sociaux – a également pour but de réduire le trop grand nombre de demandes sur les autres formules de logement proposées par l’État.
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L’université des Frères Mentouri de Constantine occupe la première place dans le classement australien UniRank pour l’année 2018, talonnée par l’université Kasdi Merbah de Ouargla, deuxième, et l’université Abou Bakr Belkaïd de Tlemcen, troisième. Ces trois établissements sont, selon le classement repris par TSA, les universités algériennes les plus présentes et les mieux réputées sur le Web. Les universités de Biskra, Béjaïa et Bab Ezzouar (Usthb) occupent respectivement les quatrième, cinquième et sixième places dans ce classement qui est uniquement basé sur la réputation Web des universités. Le classement utilise des données puisées dans des outils d’analyse de trafic sur le Web et ne prend pas en compte les performances académiques comme le nombre d’articles scientifiques publiés par l’université ou le nombre de références renvoyant à l’université trouvés dans des articles scientifiques, précise l’auteur de l’article.
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La cellule de vigilance au ministère de la Santé se réunira à la mi-août pour s’atteler à la recherche de solution à la crise de médicaments qui ne cesse de prendre de l’ampleur, sachant que pas moins de 150 médicaments indispensables pour les maladies de cœur, le rhumatisme, et des antibiotiques sont introuvables en pharmacie.
Ainsi, la cellule devrait signer des autorisations urgentes pour l’importation des médicaments destinés aux maladies chroniques.
En effet, le porte-parole du Syndicat national algérien des pharmaciens d’officine (SNAPO) a annoncé la tenue d’une rencontre à la mi-août qui réunira outre les pharmaciens, les responsables du ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière en vue de chercher une issue à la crise des médicaments.
Le porte-parole du SNAPO a déclaré lundi à Echorouk qu’en dépit des interventions du ministre de la Santé, en donnant des instructions afin de solutionner la crise, celle-ci n’a cessé de prendre de l’ampleur, dont l’on recense la pénurie de 130 ou de 150 médicaments.
Ce qui nécessite, à ses yeux, d’agir vite, dont les pharmaciens privés interpellent la tutelle d’intervenir et de décider d’augmenter la production locale en médicaments, qui ne parvient visiblement pas à satisfaire les besoins du marché ainsi que pour signer les licences d’importation d’urgence.
Pour notre interlocuteur, il s’agit des médicaments administrés aux malades chroniques, dont celles du cœur, la tension, le rhumatisme, les antibiotiques, les anti-inflammatoires…, ajoutant que seul le médicament prescrit aux patients souffrant de diabète est disponible actuellement dans les rayons des pharmacies, dont l’insuline.
Interrogé sur une possibilité de la révision à la hausse des prix des médicaments, il a affirmé qu’il n’était pas envisageable, ajoutant que cette pénurie était provoquée par les programmes d’importation.
Selon lui, la solution est tributaire de l’adoption de nouvelles licences d’importation des médicaments.
Le représentant du SNAPO a fait savoir par ailleurs que l’Algérie compte 80 usines de fabrication de médicaments, soulignant que 100 autres usines seront inaugurées progressivement à compter de 2019, ce qui permettra de réduire de manière significative la facture d’importation des médicaments.
Force est de souligner que les Algériens sont les plus gros consommateurs de médicaments.
Imène Kimouche / Traduit par: Moussa. K.
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Le ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Abdelkader Bouazghi,a indiqué que son département n’est pas dans la mesure d’intervenir sur les prix des moutons en raison du rôle limité des pouvoirs publics qui se limite à offrir des points de vente et assurer un encadrement sur le plan sanitaire.
«Nous ne pouvons pas maitriser les prix des moutons, du fait qu’ils sont dictés par la règle de l’offre et de la demande. Mon département se charge seulement de l’encadrement au niveau des abattoirs et points de vente et des normes sanitaires »,a-t-il ajouté ,lors d’une conférence de presse tenue en marge d’une visite de projets de son secteur à Alger.
S’agissant de la fièvre aphteuse, le premier responsable du secteur de l’Agriculture a fait savoir, que dans le but de mettre fin à cette épidémie, qu’une vaccination systématique sera effectuée pour l’ensemble du cheptel, ajoutant qu’un total de 178 vaches ont été contaminées dans cinq wilayas.
M.Bouazghi a notamment mis en garde contre les agressions répétées contre les terres agricoles : « nous avons reçus des instructions strictes de la part du Président de la République de ne pas toucher les terres agricoles fertiles dans toutes les régions du pays. « Nous allons travailler afin d’assainir le foncier agricole, conformément à la loi en vigueur. En effet, les terres fertiles, non exploitées, seront récupérées et redistribuées à ceux qui vont les travailler », a-t-il ajouté.
Saïd Batoul / version française: Rachel Hamdi
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Le ministère de la Défense Nationale, vient d’annoncer la mise d’hors d’état de nuire du quatrième terroriste, et ce dans le cadre de l’opération de ratissage effectuée dans la wilaya de Skikda.
«Dans le cadre de la lutte antiterroriste et suite à l’opération de recherche et de ratissage dans la localité de Bissy, commune d’Azzaba, wilaya de Skikda, un détachement de l’Armée Nationale Populaire a abattu, le 30 juillet 2018, un quatrième terroriste et récupéré un pistolet mitrailleur de type Kalachnikov et une quantité de munition »,affirme le communiqué du MDN.
Ainsi, le bilan de cette opération qui est toujours en cours, s’élève à la neutralisation de quatre terroristes et la récupération de trois pistolets mitrailleurs de type Kalachnikov, un fusil semi-automatique de type Simonov et une quantité de munitions.
Rachel Hamdi
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Désabusé ou bien mal informé, le citoyen Algérien, lorsque qu’il constaté qu’il a été floué par un commerçant, a très souvent tendance à abandonner au lieu d’en appeler aux services de police ou aux tribunaux.
Afin de les inciter à réagir lorsque ces droits sont foulés aux pieds par des marchands indélicats, des associations de consommateurs ont pris sur elles de prêter main forte aux personnes en butte à des dépassements, jusqu’à ce justice leur soit rendue.
Dans un reportage consacré à ce sujet, la chaine 3 de la Radio Algérienne a pris attache, mardi, avec le président de l’association Amal pour en savoir plus sur cette heureuse initiative.
M. Hassan Menouar explique qu’une fois qu’un litige a porté à sa connaissance, la responsabilité de son association consiste à tenter de le solutionner en le signalant immédiatement à la direction ou bien au ministère du Commerce et le cas échéant à assister le plaignant auprès des tribunaux en qualité de parti civile.
Un citoyen déclare avoir ignoré, à ce jour, cette initiative ajoutant qu’on est généralement « arnaqué », il est bien difficile d’obtenir réparation. Un second dit sa satisfaction de voir les intérêts du consommateur enfin pris en compte et protégé, « ce qui, souligne-t-il, était rarement le cas par le passé ».
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Le projet de la Suzuki made in bladi est en phase de concrétisation. La marque japonaise sera certainement présente sur nos routes dans un assez proche avenir. Sa première apparition devant le public algérien aura lieu au Salon de l’automobile de Tlemcen. L’assembleur de la Suzuki, Tahkout Motor Compagny, compte présenter les deux premiers modèles de la marque assemblée en Algérie, dans l’usine de TMC à Saïda. Ce seront les Suzuki Alto et Boleno qui feront leur entrée en premier sur le marché national. Assemblées localement, elles devraient être commercialisées la semaine prochaine.
Le seul hic à l’opération Suzuki de TMC reste celui des prix, dont on ne connaît encore rien du tout. Le patron de TMC a promis de faire mieux que la concurrence. On attendra pour voir.
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La somme de 212400 d’Euros a été retrouvée dans la valise d’un passager, à l’aéroport d’Alger. Ce dernier avait pour destination Istanbul en Turquie.
Les agents de la douane suspectent le passager qui a été par la suite soumis à une fouille approfondie.
L’affaire reste à suivre.
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Une conséquence de la grève des enseignants
Les résultats du Certificat d'études primaires (Cep) proclamés ce lundi 30 juillet 2018, affichent une légère régression du taux de réussite par rapport à l'année dernière. Selon le point fait par le directeur des examens et concours des enseignements maternel et primaire (Dec/Memp), Victor Adohinzin, le taux de réussite cette année est de 64,44% contre 65,15% l'année dernière. Une baisse qui trouve ses sources dans la grève des enseignants et la baisse du niveau des écoliers en français et en mathématiques, a souligné Victor Adohinzin, lors de la proclamation des résultats. Il a souhaité que les syndicalistes recherchent une autre forme de revendication syndicale plutôt que d'aller en grève de façon systématique, ce qui pénalise les enfants.
Selon ces résultats, aucun département n'a pu réunir 50% en mathématiques. Dans le rang des candidats admis, seuls 30,63 % ont atteint les seuils de compétence. Ce qui dénote du faible niveau des écoliers dans cette matière et pose un sérieux problème de l'enseignement des mathématiques, relève le Dec/Memp. Ce faible niveau des écoliers est aussi observé en français, notamment en lecture où les notes ne sont pas bonnes. Selon Victor Adohinzin, « la corrélation est vite établie. Puisqu'il faut d'abord comprendre le français avant de réussir les mathématiques ». Pour lui, ces insuffisances viennent donner une fois encore raison au gouvernement, qui a décidé d'évaluer les enseignants afin de déceler leurs points faibles et renforcer leurs capacités. « Le renforcement des capacités est indispensable dans la mesure où si celui qui enseigne ne maîtrise pas ce qu'il enseigne, on ne peut qu'avoir des résultats catastrophiques », a insisté le Dec/Memp.
Le directeur des examens et concours des enseignements maternel et primaire annonce que la session des malades démarre le 06 août dans les chefs-lieux des douze départements.
F. A. A.
Le président de la République sera, ce soir à 21 heures sur les écrans de la télévision nationale. Patrice Talon tentera de redonner espoir au peuple.
Le chef de l'Etat sera face au peuple ce jour dans un face à face avec les journalistes. Cet oral permettra au chef de l'Etat de répondre aux questions des journalistes de la presse nationale sur les nombreuses questions encore floues dans les méninges des populations. Entre autres, la proposition d'amendement de la constitution, le niveau d'exécution du Programme d'actions du gouvernement (Pag), l'assainissement des finances publiques à travers la lutte contre la corruption, la levée de l'immunité des députés à l'Assemblée nationale, la fourniture d'eau et d'électricité.
A la veille de la célébration de la fête de l'indépendance, Patrice Talon, offrira l'occasion au peuple d'entendre de sa bouche les différents chantiers en cours et ceux en instance de démarrage. Il s'agit d'un moment idéal pour apaiser les uns et les autres, sur les difficultés que traverse le pays et surtout la question de la lutte contre la corruption et ses corollaires.
G.A.
Laurent Mètongnon et Youssao sont condamnés ce mardi par le Tribunal de Cotonou à 5 ans d'emprisonnement ferme dans l'affaire CNSS/BIBE.
Après de nombreux reports, le verdict vient de tomber. Laurent Mètongnon et ses co-acusés vont retourner en prison pour le apurer leur peine. Le juge vient de les condamner à cinq ans d'emprisonnement ferme assorti d'une amende de un (01) million de francs CFA. Outre cette amende, ils doivent tous payer dix millions FCFA à l'État et 70 millions FCFA à la BIBE. C'est ce qui ressort du verdict final de ce dossier qui traînait au tribunal de Cotonou depuis plus d'un an.
L'ancien président du Conseil d'administration de la CNSS Laurent Mètognon et d'autres personnes sont inculpés pour placement illégal à risque assorti de retrocommissions des fonds de la Caisse et la BIBE. À la barre, les accusations sont réfutées par les inculpés. Après les différentes plaidoiries et les témoignages, la décision du juge est finalement tombée. Sous réserve de l'interjection en appel, on peut dire que l'affaire CNSS/BIBE est close.
G.A.
Les cours pétroliers étaient orientés à la baisse, mardi en Asie, en raison des craintes sur la surabondance de l’offre. Vers 04H15 GMT, le baril de light sweet crude (WTI), référence américaine du brut, pour livraison en septembre, cédait 39 cents à 69,74 dollars dans les échanges électroniques en Asie. Le baril de Brent, référence européenne, pour livraison en septembre, reculait de 46 cents à 74,51 dollars.
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Par K. Assia
L’opération de dépôt légal des comptes sociaux de l’exercice 2017 conformément à la loi 04-08 du 14 août 2004 relative aux conditions d’exercice des activités commerciales, sera clôturée le 31 août.Sur les 4 600 sociétés concernées par cette opération dans les six daïras que sont Bir El Djir, Gdyel, Oued Tlélat, Arzew, Béthioua et Es Sénia et que coiffe la direction du centre national du registre de commerce CNRC d’Oran Est, seulement 1700 sociétés ont déposé leurs comptes sociaux, ce qui représente un taux de 40%, selon un bilan arrêté au 29 juillet, a annoncé, hier, M. Djaâboub Omar directeur du CNRC Oran Est.
Le responsable appelle donc les 2 900 sociétés restantes à déposer leurs comptes sociaux avant le 31 août prochain, faute de quoi elles seront inscrites au fichier national des fraudeurs. Elles seront de ce fait exclues des bénéfices d’avantages fiscaux et douaniers liés à la promotion de l’investissement, du bénéfice des facilitations accordées par les administrations et n’auront plus accès aux marchés publics et au commerce extérieur. Les sociétés contrevenantes risquent en plus des pénalités administratives, des pénalités juridiques. La publication des comptes sociaux permet de recueillir toute l’information commerciale et financière du tissu économique, de structurer les banques de données et de les mettre au service des opérateurs économiques.
Elles sont obligatoires, selon notre interlocuteur, pour toute société commerciale inscrite au registre du commerce conformément à l’article n° 676 du code du commerce. Ces publicités concernent les Sociétés par action (SPA), les Entreprises unipersonnelles à responsabilité limitée (EURL), les Sociétés à responsabilité limitée (SARL), les Sociétés en nom collectif (SNC) et les Sociétés en commandite simple (SCS).
La direction du CNRC a organisé depuis le début de l’année plusieurs campagnes de sensibilisation et d’information au profit des opérateurs économiques et des journées portes ouvertes ont été aussi initiées afin de permettre aux sociétés de se conformer à la réglementation en vigueur.
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Un avenir sombre pour l’emploi et surtout pour leschômeurs. Les enquêtes del’ONS confirment laprécarisation de l’emploi enAlgérie. Cette situation, quidonne froid dans le dos,révèle la réalité de laprécarité de l’emploi qu’offrele marché du travail en Algérie.
Pourtant, la norme nationale, édictée par la loi numéro 90-11 du 21 avril1990 relative aux relations de travail,est pour la permanisation de l’employépar un contrat à durée indéterminée(CDI) sans pour autantinterdire le recoursau contrat à durée déterminée (CDD),mais dans cinq cas bien précis.
Toutefois,en l’absence, voulue ou pas, de l’État, cette norme a complètement été déviéepour faire du CDI un privilège accordé parl’employeur et non un droit à tout employé dont la nature du travail l’exige. C’est dire que lesemplois précaires etsans aucune protection sociale prennentde l’ampleur dans tous les secteurs. Ils’agit d’une situation alarmante qui provoque des dégâts sur l’ordre social. Des dégâts quiaggraventla pauvreté et la précarité sociale. La question qui mérited’être posée est : où sont les partenaires sociaux (syndicats et les inspections detravail) ? Analysant le marché du travailsur le plannational, l’Office national des statistiques (ONS) livre des chiffres crus qui donnentfroid Des fourmis…
Ils sontplus d’un demi-million (660.000 exactement)Algériens à avoir perdu leur emploidurant l’année 2017 et jusqu’au moins d’avril 2018. « Les chômeurs ayant déjàtravaillé par le passésont estimés à 666,000 personnes, formant ainsi 46,5 %de la population en chômage; constituéemajoritairement d’hommes (74,3 %) »note le dernier rapport de l’ONS qui pointe le secteur privé réputé être un grosrecruteur mais aussi un gros producteur dechômeurs. Il y est précisé en effet que70,2 % de ces travailleurs ayant perdu leurjob étaient employés dans le secteur privéà cause de leur statut de non permanent.
On y apprend ainsi que 63 % des personnesconcernées par ces ruptures derelations de travail étaient recrutés sous le régime du contrat àdurée déterminée (CDD) qui permet aux patrons de sedébarrasser de ces collaborateurs à toutmoment. L’ONS souligne en effet que « 63 % ont quitté leur dernier poste d’emploi pour motifs de fin de contrat, de cessation d’activitéou de licenciement et 60% ont perdu leur emploi depuis moinsd’une année ». Plus inquiétant encore, le rapport indique que le taux de rupture desrelations de travail a connu un pic en avril2018 avec pas moins de 1.334.000 personnes licenciées soit une augmentation de…170.000 par rapport àla même période en 2017. Il y est noté également que les femmes constituent 56,4 % decette catégorie de chômeurs ayant perduleurs emplois et les moins de 30 ans ;c’est-à-dire les jeunes, constituent plus de la moitié de cette population (52,1 %).
Etce n’est pas tout. Les moins de 40 ans représentent 76,5%des travailleurs mis à la porte à cause des ces fameux CDD.Cette situation risque de compliquer la tâche des autorités qui assuraient la maîtrisede son sujet à chaque événement, malheureusement l’hémorragie sembleperdurer même avec la planche à billets qui a eu l’effet placebo sur la situationfinancière du pays. En tout cas, plusieurs données contenues dans l’enquête de l’ONS remettent en cause les chiffres officiels sur les dispositifs d’emploi et la création des entreprises.
Idir Ammour
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Par Brahim TAKHEROUBT
La rencontre a duré deux heures et les deux responsables ont abordé tous les aspects de la vie politique, sociale et économique du pays, de même qu’ils ont réaffirmé leur soutien au président Bouteflika l’appelant à se présenter pour un nouveau mandat en 2019.
Les «moqueries», c’est terminé et la parenthèse «MSP» est définitivement fermée. Après avoir fait bloc commun contre l’initiative de Makri et après le niet catégorique signifié par l’institution militaire à ce même Makri, le FLN et le RND reprennent l’initiative du terrain et noient totalement la démarche de ce parti d’obédience islamiste. Ahmed Ouyahia, secrétaire général du RND, a reçu hier, en sa qualité de Premier ministre, le secrétaire général du FLN au Palais du gouvernement. Cette rencontre quinn’a pas été annoncée auparavant contrairement aux autres rendez-vous politiques médiatisés, revêt un caractère très spécial. Elle intervient à un moment où la scène politique connaît un regain de vigueur après plusieurs mois de stagnation.
Selon nos sources, les deux responsables ont abordés, durant deux heures, tous les aspects de la vie politique, sociale et économique du pays. «De même que MM. Ouyahia et Ould Abbès ont tous les deux réaffirmé leur soutien au président l’appelant à se présenter pour un nouveau mandat»
Et voilà la majorité présidentielle requinquée. Elle reconstitue son noyau dur après un temps «d’égarement», histoire d’amuser la galerie ou dérouter l’adversaire politique. Car lorsque la nécessité nationale l’impose, les deux formations politiques, comme une seule entité, se mettent sur le pied de guerre et ne badinent pas avec la discipline. Cela ne peut en être autrement pour deux partis nés et grandi à l’antre du système. Peuvent-ils en effet se passer de cet utérin refuge?
Hier, à la chefferie du gouvernement, le secrétaire général du FLN, Djamel Ould Abbès et son homologue du RND, Ahmed Ouyahia, ont fait le point sur une semaine de «fièvre» politique marquée par la retentissante claque donnée par l’armée au président du Msp Abderezzak Makri. Ce dernier a toujours la joue rouge au point qu’il lui a fallu le secours de madjlis echora qui l’a appuyé dans son entreprise qu’il présente comme «une nouvelle chance qu’il ne faudrait pas rater pour résoudre la crise multidimensionnelle que traverse le pays».
On croit savoir également qu’outre la situation générale du pays à quelques huit mois du rendez-vous présidentiel, les deux chefs de parti de la majorité ont largement débattu des initiatives politiques, notamment celle présentée par le président du MSP, Abderezzak Makri. Les deux partis ont rejeté l’initiative du MSP. Le FLN a émis des réserves durant la première rencontre avec la délégation du MSP avant d’annoncer avant-hier son refus définitif de continuer à discuter sur l’offre de l’ex-Hamas. C’est enfin le parti de Ouyahia qui a tordu le coup à l’initiative de Makri en déclarant avant-hier que sur le plan politique, il n’y a aucune convergence possible entre le RND et le MSP. Ouyahia a cependant concédé à son hôte du jour qu’il y a la possibilité de discuter des question économiques, des transferts sociaux et qu’il conviendrait d’approfondir le débat sur les réformes surtout que «le grand chantier consiste d’abord et avant tout à réformer les mentalités». A cela s’ajoute la complexité d’une situation internationale dangereuse. Au-delà, Ouyahia a été clair, net et précis pour éviter tout amalgame: il ne reconnaît pas l’existence d’une crise politique en Algérie. Soutenir la candidature de l’actuel chef de l’Etat à la présidentielle prochaine est le choix commun à Ahmed Ouyahia et Djamel Ould Abbès. Le FLN souhaite élargir l’appel au président à rempiler pour un autre mandat à d’autres partis, petits ou grands. Dans ce contexte, le secrétaire général du FLN a rencontré avant-hier le président du mouvement El-Binaa, Abdelkader Bengrina, venu vendre son initiative de «consensus national au vieux parti». Ce dernier a avoué sa disposition personnelle à soutenir l’initiative du FLN en attendant qu’une session de son conseil consultatif se tienne pour trancher cette question, une fois que l’intention du président sortant connue. Après cet ex-ministre du Tourisme, le patron du FLN rencontrera le président du parti El-Karama, Mohamed Benhamou, celui de l’ ANR, Belkacem Sahli ainsi que d’autres.
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