« Critères d'ouverture des cliniques et cabinets et couverture sanitaire du Bénin ». C'est le thème que les invités de l'émission 90 min au Bénin ont décortiqué, ce dimanche 28 octobre 2018. Les avantages et les inconvénients de la fermeture des structures sanitaires n'ont pas échappé aux invités.
La situation des structures sanitaires préoccupe tous les acteurs de la chaîne. Et la décision de fermeture de celles-ci même si cela enchante bien des gens, certains estiment qu'il faut trouver des solutions rapides pur pallier la crise que cela pourra engendrer.
La fermeture concerne non seulement les cliniques mais aussi les cabinets de soins non autorisés et gardés pour la plupart par des agents parfois non assermentés. Administrateur des hôpitaux à la retraite, Pascal Omialé fait une clarification conceptuelle. « La clinique, c'est une structure sanitaire dans laquelle on a presque tous les spécialités médicales alors que le cabinet est une structure de soins », explique-t-il.
Pour Adrien Hounsa, administrateur et directeur des hôpitaux, directeur général de l'Ong Gase Vie, « dans une clinique, c'est un ensemble de plusieurs spécialistes alors que dans un cabinet, c'est un médecin généraliste qui est présent ». C'est à Francis Dossou, président de l'Ordre national des médecins d'appuyer les deux en soulignant qu' « au niveau du cabinet, on hospitalise pas alors que dans une clinique, il y a l'hospitalisation ». Il va plus loin pour expliquer qu' « On sait qu'un aide soignant n'a aucun droit d'ouvrir quelque chose comme structure de soins ».
Même s'il rappelle qu' « en 2009, on a formé des villageois sur certaines pratiques pour pouvoir tenir des cabinets villageois. Mais là ils ont quelques niveaux d'interventions. Au-delà, il faut référer les patients ».
Pascal Omialé fait comprendre que dans la majorité des cas, ce sont les gens non autorisés qui exercent dans ces cliniques non autorisé.
« La pagaille s'est instaurée depuis quelques années. Il y a du désordre sur le terrain », déplore Adrien Hounsa. Il pense bien qu'il y a des dépassements de compétences et les abus qui se constatent. Pour lui, « En principe pour ouvrir un cabinet, il faut une autorisation ».
En dehors de la mauvaise organisation, il insiste sur ce que « la collectivité participe à la médiocrité des installations ››.
M. Hounsa se dit heureux de la décision du gouvernement qui met de l'ordre dans le secteur. « Nous sommes réconfortés de ce que sans autorisation, il n'y a pas d'ouverture », se réjouit-il.
La nouvelle donne
« Pour un cabinet ou une clinique, c'est un médecin qui doit y officier. Pour les gens qui ont été formés, ils ont le droit d'exercer leur métier et pour le faire, ils déposent les dossiers d'autorisation. A partir du moment où le dossier est transféré à la direction nationale des médecins, il faut compter quatre mois pour ouvrir, si l'autorisation n'est pas donnée », explique Francis Dossou. Néanmoins, il ajoute que « avec le gouvernement actuel, tout a été suspendu pour le moment. Tous ceux qui ont déposé leur dossier après décembre 2016 n'ont pas eu l'autorisation jusqu'à présent ». Ce qui n'est pas du goût du président de l'ordre. « Ça fait que celui qui a son diplôme depuis ce moment et qui a les moyens pour exercer son métier est bloqué », déplore-t-il. Pour Adrien Hounsa, c'est vrai mais « C'est un phénomène malheureux, la création des structures sanitaires en désordre ». Il se dit heureux que cela n'existe plus depuis juillet. M. Hounsa se dit néanmoins choquer par certains faits dans les structures sanitaires qui d'ailleurs l'interpellent. « A un moment donné, je me suis dit que quelqu'un qui est à même de soigner ne peut pas être un problème pour les malades. Ceux qui devraient agir sont complices et coupables. C'est là le danger. L'avantage financière qui est dedans, c'est ça qui fait que les gens ne veulent pas laisser », dénonce-t-il. Francis Dossou explique que « Les médecins qui sont installés depuis 2016 sans autorisation sont ceux qui ont déposé les dossiers sans avoir un retour ». Il souligne qu'en réalité « l'ordre devrait être associé mais dans les faits non. Mais le ministre a fait l'effort de créer un cadre de concertation où l'ordre est présent. Il y a aussi le ministère de l'intérieur et le ministère de la décentralisation ». Il dit ne pas être d'avis « quand les forces de police viennent dans votre clinique alors que la loi autorise qu'ils peuvent ouvrir après 4 mois ». Pour ce qui est de la volonté du gouvernement à trouver une solution pour le problème, Pascal Omialé informe que « D'une manière générale, l'Etat a fait l'effort et on a 546 structures sanitaires ». Même si cela semble dans les faits insuffisant, il fait remarquer qu' « On a une couverture en infrastructure mais le problème est le manque de personnel. Dans certaines localités, l'infirmière est là 365 jours sur 365 ». Pour lui, « le secteur public seul n'arrive pas à couvrir les besoins. Il faut les structures privées pour accompagner. Ce qu'il faut faire est de rendre les mesures plus accessibles ». Adrien Hounsa affirme que « La pyramide sanitaire doit être évaluée. Dans certaines zones, le système marche mais pas dans d'autres. Un malade qui doit quitter Akpakpa pour aller à Calavi par exemple, la pyramide sanitaire voudra qu'en quittant le village, vous allez à l'arrondissement et c'est après cela qu'il faut aller au niveau communal. Normalement, aucun malade ne doit aller au CNHU sans passer par le centre de l'arrondissement ni communal ». Francis Dossou met en exergue le mal qui pourra s'infesté. Pour lui, « Si on ferme pour fermer, ça ne règle pas le problème ».
Giscard AMOUSSOU
Invité dans l'émission ‘'90 mn pour convaincre'' de la radio nationale, ce dimanche 28 octobre 2018, Francis Dossou, président du Conseil national de l'Ordre des médecins du Bénin a salué l'engagement du gouvernement du Nouveau Départ aux fins d'assainir le secteur de la santé, d'améliorer la disponibilité permanente des agents et la qualité des services offerts aux populations dans les formations sanitaires. Selon Francis Dossou, plusieurs gouvernements ont échoué sur le plan sanitaire, mais Patrice Talon depuis son accession à la magistrature suprême, a essayé de réorganiser véritablement le secteur à travers des décisions salutaires. « Il y a du désordre dans le secteur. Certains médecins exercent parfaitement le métier ; par contre, il en existe qui ne le font pas bien », a-t-il regretté.
Abordant la question du contrôle des cabinets de soins qui a démarré le 1er septembre dernier sur l'ensemble du territoire national dans le cadre de l'exercice en clientèle privée des professions médicales, Dr Dossou estime qu'il s'agit d'une mission qui a déjà fermé assez de ‘'mouroirs''. Pour accomplir ces missions, un comité a été mis sur place par l'Etat au niveau central pour coordonner les activités. Ce comité, explique le président de l'Ordre des médecins, est composé de représentants du ministère de la santé, du ministère de la décentralisation, du ministère de l'intérieur ainsi que des représentants de l'Ordre des médecins. Une configuration qui permet de mener à bien les missions.
Francis Dossou exhorte le gouvernement à recruter des agents de santé. Selon lui, le nombre des agents existants ne permet pas de couvrir véritablement toutes les formations sanitaires. Une situation qui pourrait entraver la volonté du gouvernement d'améliorer les soins de santé et de renforcer la disponibilité des agents dans les établissements hospitaliers.
F. A. A.
Quatre personnes ont été tuées et plusieurs autres enlevées dont des policiers dans la nuit de dimanche à lundi dans une attaque armée contre la région d’al-Fokaha relevant de la municipalité d’al-Jufra, dans le centre de la Libye.
Dans un communiqué publié lundi sur sa page Facebook officielle, repris par l’agence de presse Anadolu, le conseil municipal d’al-Jufra a indiqué « qu’un groupe terroriste a attaqué le poste de police d’al-Fokaha et a enlevé plusieurs policiers ».
« Des voitures armées appartenant au groupe terroriste autoproclamé Etat islamique (EI/Daech), ont attaqué la région d’al-Fokaha, dont le nombre est estimé à 25 véhicules. Elles ont aussitôt quitté la région après avoir terrorisé les habitants et mis le feu dans certaines maisons. Plusieurs jeunes ont été enlevés, et quatre personnes ont été tuées », a ajouté la même source.
Le Conseil a appelé « les forces de l’armée à les pourchasser et les neutraliser », qualifiant la situation de « critique et tragique » à la suite de cette attaque.
Début décembre 2016, Daech avait perdu le contrôle de la ville de Syrte, qu’elle avait occupée le 28 mai 2015. Le contrôle total de la ville avait été repris par les forces d’al-Bounyan al-Marsous formées par le Conseil présidentiel libyen, par la suite.
Après la défaite de Daech à Syrte, Benghazi, Derna, al-Nawfaliya (est), et Sabratha (ouest), l’organisation terroriste « est réapparue » à travers des attaques visant des centres de sécurité dans le centre de la Libye, ainsi que des sièges du gouvernement, notamment la Commission électorale et la National Oil Corporation à Tripoli.
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Appelant à « changer le destin du Brésil », le candidat d’extrême droite, Jair Bolsonaro, a été élu, dimanche, président, avec 55,15% des voix, contre 44,85% pour son adversaire de gauche, Fernando Haddad.
« Nous ne pouvons plus continuer à flirter avec le socialisme, le communisme, le populisme de gauche », a déclaré ce chantre de la dictature militaire (1964-1985) dans son premier discours.
Dès l’annonce des premiers résultats partiels, des dizaines de milliers de ses partisans se sont rassemblés devant son domicile pour célébrer la victoire de cet ex-capitaine de l’armée qui deviendra chef de l’Etat, en janvier, pour quatre ans.
Dans son premier discours après l’annonce des résultats, Fernando Haddad n’a pas félicité le vainqueur demandant toutefois que ses « 45 millions d’électeurs soient respectés ».
« Les droits civiques, politiques, du travail et sociaux sont en jeu maintenant », a-t-il dit. « Nous avons la responsabilité de représenter une opposition qui place les intérêts de la Nation au-dessus de tout ».
Dans un pays miné par une violence record, le marasme économique, une corruption endémique et une crise de confiance aiguë vis-à-vis de la classe politique, Jair Bolsonaro aura réussi à s’imposer comme l’homme à poigne dont le Brésil aurait besoin.
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Le président du club Anglais de Leicester city, le Thaïlandais Vichai Srivaddhanaprabha, est décédé, ainsi que quatre autres personnes, dans l’accident d’hélicoptère qui s’est produit, samedi, aux abords du King Power stadium.
Dans un communiqué publié sur son site internet, son club a confirmé « avec le plus profond regret et le coeur brisé » que Vichai Srivaddhanaprabha, faisait partie de ceux qui ont tragiquement perdu leurs vies, samedi soir, lorsqu’un hélicoptère le transportant lui et quatre autres personnes s’est écrasé à l’extérieur du King Power Stadium.
« Aucune des cinq personnes à bord n’a survécu », signale encore le club de cette ville du centre de l’Angleterre.
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Khaled Boumediene
Le ministre des Ressources en eau, Hocine Necib, a exhorté, hier à Tlemcen, les responsables de son secteur à recourir à la télégestion des réseaux de raccordement aux systèmes de dessalement, pour une optimisation de la gestion des ressources, le contrôle en permanence des installations, et la réduction des coûts d’interventions et déplacements et ce, à l’occasion de la mise en service de la station de pompage de Sidi Hfif, dans la commune de Terny, pour le refoulement des eaux de dessalement aux chefs-lieux des cinq communes (y compris leurs agglomérations) : Terny, Ain Ghorabba, Béni-Bahdel, Azail et Béni-Snous. Il a ajouté que, d’ici 2020, toutes les communes du pays seront intégrées à l’Algérienne des eaux pour soulager les APC de la gestion de l’AEP. Accompagné du wali de Tlemcen, Benyaiche Ali, et des cadres de son secteur, le ministre des Ressources en eau, a entamé son périple, par l’Institut panafricain des Sciences de l’eau, des Energies renouvelables et des Changements climatiques à l’Université de Chetouane où des explications lui ont été présentées, sur cet établissement, créé en octobre 2014, par la Commission de l’Union africaine, afin de former des experts et cadres de direction, produire et diffuser des connaissances nécessaires et combler les lacunes du paysage universitaire africain. M. Necib s’est réjoui du rôle que joue ce partenaire indispensable au développement durable de l’Afrique, à l’heure de relever les défis mondiaux tels que l’adaptation aux changements climatiques et l’approvisionnement durable en eau et en énergie, en Afrique. Il a, de ce fait, montré sa satisfaction pour la qualité de l’enseignement supérieur de haut niveau que propose cet institut qui offre des formations de troisième cycle conformes aux normes internationales et mène des études de Recherche appliquée dans les domaines de l’énergie, de l’eau et du changement climatique.M. Necib s’est rendu, ensuite, dans la commune de Kasdir (wilaya de Naâma) où il a donné le coup d’envoi du lancement, dans les réservoirs principaux (4×5000 m³) de Chott El Gharbi, de l’alimentation en eau des communes d’El Gor, Sebdou et El-Aricha, situées au sud de la wilaya. Louant l’impact bénéfique sur les populations des 16 communes de Naâma, Sidi Bel Abbes et Tlemcen, de ce grand projet de transfert des eaux, doté de 60 forages, 690 km de conduites d’adduction, 25 réservoirs, 11 stations de pompage, 60 stations de forage et 01 centre de télégestion. La capacité d’eaux produite par ce projet est de 20.000 m³/jour.
Le ministre a annoncé qu’une étude portant sur l’exploitation des eaux de Chott El Gharbi, dans l’irrigation des terres agricoles, dans les wilayas de Naâma (3.000 ha), Sidi Bel- Abbès (1.500 ha) et Tlemcen (1.500 ha) a été lancée récemment, Le ministre a pris connaissance du contexte hydrogéologique et pédologique du site et s’est enquis des installations de ce périmètre irrigué, et des possibilités de son extension1. Le ministre devait clôturer sa visite à Hennaya pour s’enquérir des travaux du programme d’urgence de la station de traitement de Sekkak, et procéder à la pose de la 1re pierre du projet d’irrigation de 6.000 ha de Tafna-Isser.
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A. Mallem
Pour le président de l’AB Merouana, Midoune Ramdane, tous les problèmes de son équipe sont imputables au président de l’APC. «Pouvez-vous imaginer ce qu’il nous a donnés comme subvention ? », a-t-il déclaré vendredi dernier au stade Benabdelmalek de Constantine après le match MOC-ABM de la 8ème journée du championnat de division nationale amateurs du groupe Est. «Une subvention de 200 millions de centimes pour toute la saison. Et il n’a pas cherché à connaître si cela suffit ou non !». Et de poursuivre en disant à l’adresse du premier magistrat de la ville de Merouana, «il faut que l’on sache que l’ABM a un président. Et c’est moi. Aussi, je le dis et je le répète, le P/APC se moque carrément du club. Il ne veut pas admettre que nous possédons une équipe dirigée par un président, que nous avons des joueurs. Et c’est le comportement du maire envers l’ABM qui fait que celle-ci se trouve lanterne rouge du groupe. Sinon, si elle était bien prise en charge, l’ABM jouerait les premiers rôles», a déclaré avec dépit le président de ce club des Aurès qui a apparemment de la peine à suivre le rythme du championnat en raison du retard de la préparation de la saison. Pourtant, l’entraîneur Bouaraara Abdelhakim pense qu’à ce stade de la compétition, l’ABM a trouvé ses marques. La défaite devant le MOC s’explique par l’absence de pas moins de 5 titulaires, entre blessés et suspendus. Aussi, il nous a déclaré à la fin du match que si la partie a été d’un niveau quelconque, «l’ABM a bien joué sur le plan tactique. Ce sont les prestations individuelles qui nous ont fait défaut. Et même en jouant à dix, nous aurions pu sortir vainqueurs. Malheureusement, nos joueurs n’ont pas osé», a estimé l’entraineur. Et il a noté que ses joueurs ont raté deux occasions à cause du manque de réalisme, et ce tout en évoluant à dix après l’expulsion de leur capitaine à la fin de la première période. «Mais cet échec va nous servir de leçon et nous permettra de réviser nos plans pour être au top dans les prochaines rencontres», a-t-il dit en conclusion.The post AB Merouana: Une subvention insuffisante appeared first on .
Bencherki Otsmane
Poursuivant son programme de visite et d’inspection à travers les régions de la wilaya, le wali accompagné des directeurs techniques s’est rendu hier dans la daïra de Taougrit.Cette daïra est composée de deux communes : Taougrit et Dahra et de ses plusieurs hameaux éparpillés sur le massif montagneux du Dahra. Elle compte 51.376 habitants (dernier recensement de 2008).
Au menu de cette quatrième sortie depuis son installation à la tête de la wilaya, il y a un mois jour pour jour, de nombreux projets relevant des secteurs de l’habitat, de l’éducation, de la formation, de la santé, des travaux publics ou celui de la jeunesse et des sports.
Le wali a visité également le site où des travaux sont en cours pour la réalisation d’une sûreté urbaine. Il a insisté auprès des responsables de relancer les travaux pour les projets qui étaient gelés jusqu’à ce jour faute de moyens financiers et surtout d’accélérer la cadence des travaux.
A noter que les citoyens ont mis à profit la visite du wali dans leur daïra pour lui exposer leurs préoccupations quant à leurs conditions de vie.
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B.O.
Trois mois se sont écoulés depuis la découverte sur la plage d’un paisible village côtier du corps d’une personne complètement calcinée. Après d’intenses investigations, les gendarmes ont pu identifier puis arrêter l’auteur de ce crime abominable. Selon le chargé de la communication de la gendarmerie de Chlef, «l’enquête diligentée par les services de gendarmerie et grâce à l’analyse de l’ADN a permis d’identifier la victime, un habitant, marié, âgé de 51 ans, répondant aux initiales B.M. et résidant à Guelta».Quant aux deux jerrycans contenant de l’essence retrouvés près de la victime, les empreintes digitales trouvés ont permis d’identifier le présumé meurtrier. Il s’agit d’un jeune homme âgé de 24 ans, habitant le même patelin que la victime. Interpellé par les gendarmes, l’auteur présumé ne tarde pas à passer aux aveux. Selon la gendarmerie, «le présumé coupable avait proposé à la victime une promenade au bord de la mer au cours de laquelle, profitant d’un instant d’inattention, il l’assomma à l’aide d’une grosse pierre puis l’arrosa d’essence pour enfin mettre le feu». Présentés samedi dernier devant le procureur près le tribunal de Ténès, le mis en cause et une femme ont été écroués pour homicide volontaire avec préméditation pour le premier et non dénonciation de crime pour la deuxième.
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El-Houari Dilmi
Une magnifique pouliche pur-sang arabe a été vendue vendredi pour la modique somme de 106 millions de centimes lors d’une vente aux enchères publiques au haras national de Chaouchaoua (jumenterie) de Tiaret.Du nom de «Dhikra» et issue d’une lignée de pur-sang arabe, la pouliche à la belle robe marron et à la très belle allure a été vendue à un chanceux et heureux propriétaire originaire de Barika, dans la wilaya de Batna. Sur vingt (20) chevaux pur-sang arabes mâles et femelles proposés à la vente, onze ont été vendus dans une fourchette de prix oscillant entre 40 et 60 millions de centimes, la palme revenant à la somptueuse «Dhikra», vendue à 106 millions de centimes. Fabrique génétique et fleuron national équin, la jumenterie de Tiaret est la plus grande en Afrique. Pépinière par excellence du pur-sang arabe et arabe barbe, la jumenterie de Tiaret a été créé par le ministère de la Guerre français en 1877, avant d’être classée patrimoine culturel national en 1999.
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E. H. D.
Selon la gendarmerie nationale, trois fusils de chasse, 149 cartouches pleines et de la poudre noire ont été saisis le week-end dernier à M’ghila, à une trentaine de kilomètres au nord-ouest de Tiaret. Une personne a été arrêtée dans le cadre de cette affaire. Une enquête est en cours, selon la même source. Par ailleurs, une jeune femme a été arrêtée jeudi dernier en possession de 50 comprimés psychotropes, selon la même source. En effet, agissant sur information, les gendarmes ont arrêté une jeune femme qui écoulait des comprimés psychotropes en pleine ville de Tiaret. Déférée devant le tribunal local, elle a été placée sous mandat de dépôt.The post Tiaret: Trois fusils de chasse saisis appeared first on .
E. H.D.
Nouvellement créé en mars dernier, l’établissement public à caractère industriel et commercial, l’EPIC «Tiaret-Nadhafa», dédié à la gestion des déchets ménagers, l’aménagement d’espaces verts et l’entretien de l’éclairage public a atteint sa vitesse de croisière et se voit confier de nouvelles missions. En effet, l’EPIC « Tiaret-Nadhafa » qui a repris les activités jusque-là assurées par la commune, s’est vu doter d’une enveloppe financière de 95 milliards de centimes pour étendre ses activités et acquérir de nouveaux équipements, des camions bennes à ordures notamment. «Tiaret-Nadhafa » qui emploie près de 400 travailleurs et dont le siège est situé à Karman, dans la proche banlieue de Tiaret en attendant la construction d’un nouveau siège, assure un service en continu (H24), notamment en matière de ramassage des déchets ménagers dans une ville divisée en 25 secteurs. Plus de 380 tonnes de déchets sont ramassées chaque jour, en attendant l’extension des activités de l’EPIC «Tiaret-Nadhafa » à d’autres communes comme Rahouia et Sougueur.The post Tiaret: 95 milliards de centimes pour «Tiaret-Nadhafa» appeared first on .
A.E.A.
Les travaux de réhabilitation des trottoirs du pont de Bab El Kantara, qui donne accès à la rue Larbi Ben Mhidi et au centre-ville, semblent s’éterniser mettantà bout de nerf et même en colère, les habitants des quartiers de la rive droite du Rhumel.
En effet et cela concerne surtout les piétons de Bab El Kantara et de toute sa zone, habitués à emprunter le pont en question, outrés par la situation dans laquelle se trouvent les trottoirs, qui une fois décapés en entier sont laissés en l’état et ce, depuis près de trois semaines, maintenant, disent-il. Et de poursuivre qu’en plus les restes des carreaux de l’opération de décapage y sont toujours, juste rassemblés par endroits, pendant que les lieux n’ont pas été nettoyés des gravas et autres caillasses, si bien qu’une nuée de poussière s’élève au moindre souffle de vent. Situation qui a pour effet de gêner et indisposer les passants. Mais également toutes les personnes âgées qui éprouvent beaucoup de gêne pour se déplacer, malgré qu’elles soient munies de cannes qui ne se révèlent pas d’un grand secours, en l’occasion. Ainsi et selon l’une d’elles qui nous a interpellé, hier, disant : « figurez-vous que pour réussir à traverser tout le pont, je ne peux m’en sortir que par la marche sur la bordure des trottoirs, j’utilise l’une pour l’aller et l’autre pour le retour ». Elle indiquera encore « je le fais non seulement pour mon équilibre mais aussi pour épargner à mes chaussures une détérioration précoce, car cela use les souliers que de marcher sur de la pierraille », dit-il.
En tout cas, tous les piétons, mais également les automobilistes, tiennent à dénoncer cette situation pour les indispositions que cela leur procure, même si par ailleurs, ils ne sont pas contre la réhabilitation des trottoirs, bien au contraire. Ils trouvent que c’est là une bonne décision de l’APC, initiatrice des travaux et ne manquent pas de s’en féliciter. Malheureusement, notent-ils, ce qui les met en rogne a trait au temps que les travaux prennent et au rythme lent, et parfois très lent, auquel ils sont menés. Nos interlocuteurs se posant de grands points d’interrogation, sur cette nonchalance dans l’exécution des projets vise l’amélioration urbaine et par là même celle du cadre de vie. Nous avons voulu avoir des explications auprès du directeur des réalisations de l’APC de Constantine, mais en vain. Même résultat pour la cellule de communication.
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Farid Haddouche
L’Union nationale des agronomes (UNA) représentée par le bureau de la wilaya de Bouira, en collaboration avec le secteur de la formation professionnelle, a organisé ce samedi une journée technique sur «la protection des végétaux et son intérêt pour la production agricole».Plusieurs communications ont été données par des techniciens et ingénieurs appartenant à la station régionale de la protection des végétaux (SRPV) de Draa Ben Khedda, à la direction des services agricoles (DSA), à la société Bayer, et à l’institut national spécialisé dans l’enseignement et la formation professionnels de Lakhdaria (INSFP).
Nous citerons Mohamed Badis, ingénieur agronome et directeur commercial de la firme allemande Bayer établie en Algérie, qui a eu à intervenir sur les bonnes pratiques phytosanitaires des produits végétaux.
Ce dernier dira que «améliorer la production est une obligation à la vue de la démographie galopante et du changement des habitudes alimentaires.
Le grand défi étant d’améliorer la production à raison de 60%, si l’on veut vraiment assurer notre autosuffisance, voire indépendance alimentaire».
S’agissant du volet réglementation, Melle Fatima Messaour, inspectrice du service phytosanitaire à la direction des services agricoles (DSA), a parlé des dispositions réglementaires comme le contrôle des traitements des productions végétales qui ne peuvent être effectués qu’en utilisant des produits autorisés sur le marché et homologués par le ministère de l’Agriculture.
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A. Mallem
La première seringue préremplie fabriquée en Algérie a été présentée, hier, au cours d’une conférence de presse animée par le président-directeur général des laboratoires constantinois Nadopharmadic production, M. Bendjabeur Nadir.Elle a pris le nom commercial de Methyl-prednisolone NAD.
C’est un médicament anti-inflammatoire en seringue pré-remplie, accompagnée de deux aiguilles. Fabriqué selon les standards internationaux, le produit traite plusieurs maladies en dermatologie, ORL, rhumatologie, urologie, etc.
Le nouveau produit va être mis sur le marché à partir du 2 novembre 2018. Et il est déjà demandé dans des pays africains et européens comme le Mali, la Mauritanie, le Sénégal, la Pologne et l’Ukraine. « Nous l’avons déjà inscrit pour qu’il soit commercialisé au Mali et au Sénégal et nous n’attendons que les autorisations des organismes compétents de ces pays », a souligné le conférencier.
Pourquoi avoir opté pour la formule pré-remplie ?, ont questionné les journalistes. Et M. Bendjabeur de répondre que c’est à la suite des recommandations de l’organisation mondiale de la santé, OMS, qui insistent sur les dangers présentés par les ampoules en verre.
Car en cassant l’ampoule en verre pour remplir la seringue, des résidus de verre tombent dedans et ils peuvent être injectés dans le sang. Et cela a créé beaucoup de problèmes dans le monde.
Et cette organisation a recommandé donc d’aller vers ce système de seringue pré-remplie.
Revenant au nouveau produit, l’orateur a déclaré que ses laboratoires ont travaillé pendant cinq ans pour arriver à développer ce produit. » Nous pouvons satisfaire le marché algérien qui, selon des statistiques nationales, demande entre 8 et 10 millions de flacons, la même quantité qu’importe l’Algérie, en fabriquant jusqu’à 60.000 unités par jour en mobilisant trois équipes. Et on peut estimer arriver facilement à fabriquer 1 million de flacons par mois.
Invité à donner son appréciation de l’évolution de l’industrie pharmaceutique dans le pays, le conférencier a déclaré sans ambages qu’il y a une nette évolution de la production du médicament en Algérie qu’il faut diversifier en s’orientant résolument vers les biotechnologies, les bio-similaires qui sont à la pointe en Europe. « Pour notre part, a-t-il ajouté, nous investissons tout ce que nous gagnons puisque l’Etat nous fait des facilitations importantes, comme la bonification à taux zéro dans la banque pour le crédit développement, une exonération des droits des douanes, etc. A nous de travailler donc et développer nos produits.
Et nous sommes conscients que c’est le développement qui fait la différence dans la rude concurrence des pays développés. Il faut aussi de la persévérance », a estimé M. Bendjabeur en indiquant qu’au niveau national Constantine est normalement considérée comme le pôle de l’industrie pharmaceutique. « Mais il faut imprimer un développement soutenu de nos produits en innovant, et ce pour ne pas être dépassés par la région Centre du pays où ce créneau se développe à grande allure.
Toutefois, au niveau de la distribution, la région Est occupe quand même la première place ».
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A.El Abci
Le chef de la daïra d’El Khroub, Sadek Sebii, qui a supervisé, hier, l’opération de tirage au sort des 1500 logements sociaux destinés aux habitants de cette commune, dont les clés de 480 unités vont être remises à leurs bénéficiaires le 1er novembre prochain, a annoncé que l’opération ne concernera pas 18 d’entre ces derniers, car des recours ont été déposés contre eux.L’opération du tirage au sort s’est déroulée au niveau de la salle omnisports de la cité des 900 logements de la ville d’El Khroub, en présence de responsables de l’Opgi et sous la supervision du chef de daïra. Et celui-ci de préciser, devant l’assistance nombreuse des concernés, que cette mesure d’exclusion des personnes qui ont fait l’objet de recours, n’est pas définitive et ne veut pas dire qu’ils sont retirés de la listes des bénéficiaires, mais ils sont tout juste non concernés par le tirage au sort d’aujourd’hui, jusqu’à ce que la commission de wilaya des recours tranche dans leurs cas. Et de rappeler également que cette commission est présidée par le wali en personne, et que leur situation sera passée au crible des vérifications et d’étude au cas par cas, à l’effet de voir la véracité des recours introduits contre eux.
Toujours selon le chef de daïra, les clés des 480 appartements concernés par le tirage au sort qui a eu lieu hier, seront remises à leurs bénéficiaires à l’occasion des fêtes du 1er novembre, et une autre liste de bénéficiaires sera affichée vers la fin de cette année en cours. Et d’expliquer que les appartements qui seront distribués à l’occasion de l’anniversaire du déclenchement de la Guerre de libération, le seront parce qu’ils sont achevés à 100%, y compris les VRD. Pendant que le reste de l’ensemble du projet des 1500 logements, qui est toujours en travaux de réalisation des aménagements extérieurs de voirie et de réseaux divers (VRD), ne sera prêt et achevé complètement que dans quelques semaines, soit vers la fin de l’année. « Et la liste de ces logements fera alors l’objet d’une annonce de notre part », conclut-il.
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A. Ouélaa
Un tragique accident de la circulation s’est produit samedi après-midi sur la RN 84 A, à hauteur du parc de l’APC de Dréan, en allant vers la commune de Chihani. Selon des témoins oculaires, un camion de distribution d’eau potable est entré en collision avec une Renault Express dont le conducteur, âgé de 50 ans, a rendu l’âme sur le coup. Une enquête a été ouverte par la gendarmerie pour déterminer les circonstances exactes du drame.The post El Tarf: Un mort dans une collision appeared first on .
A. M.
Le faussaire qui utilisait des billets de banque falsifiés pour effectuer de gros achats auprès des commerçants de la nouvelle ville d’Ali Mendjeli, a été arrêté par la police judiciaire de la 3ème sûreté urbaine extérieure de cette localité, a annoncé un communiqué de presse de la sûreté de wilaya de Constantine.Ce document indique que cet individu âgé de 40 ans utilisait des billets de 1000 dinars pour régler les achats qu’il effectuait dans cette ville et c’est l’un de ces achats opéré dans un magasin situé près du grand marché Ritej de Ali Mendjeli qui lui fut fatal, puisque le commerçant à qui il avait acheté des effets vestimentaires d’un montant de 13000 dinars s’est aperçu par la suite que les 13 billets qui lui ont été donnés par l’acheteur pouvaient être faux et il les a montrés à la police aux fins d’expertise scientifique destinée à vérifier leur authenticité.
Et l’expertise a révélé que les dits billets figurant la monnaie nationale étaient effectivement faux. Le commerçant escroqué a porté plainte auprès de la 3ème sûreté urbaine d’Ali Mendjeli et la brigade de police judiciaire de cette unité se lança alors sur la piste du faussaire en déclenchant une enquête et en lançant les recherches et les investigations pour établir l’identité du faussaire et le localiser.
L’action lancée par la police ne tarda pas à donner ses fruits.
Se basant sur les indications fournies par la victime, les éléments de la police judiciaire parvinrent rapidement à établir l’identité de l’auteur de la propagation de la fausse monnaie et localiser son domicile. Et il a été appréhendé dans ce dernier lieu, situé dans un quartier de la ville de Constantine, et conduit au siège de la 3ème sûreté urbaine extérieure de Ali Mendjeli pour complément d’enquête et établissement d’un dossier judiciaire à son encontre. A la fin de cette procédure réglementaire, le prévenu a été finalement déféré devant le parquet de la ville d’El-Khroub et écroué.
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