A. El Abci
Le FLN veut se présenter en rangs serrés aux sénatoriales du 29 décembre 2018. Et pour ce faire, il va organiser des primaires, mardi prochain, à la Mouhafadha-centre, pour départager les cinq candidats en lice pour l’unique siège réservé à la wilaya. Selon un responsable à la Mouhafadha-centre de Constantine que nous avons rencontré, hier, le FLN présentera, ainsi, cinq candidats, dont une femme, pour ces élections au sein du parti afin de désigner l’heureux élu, qui le représentera aux sénatoriales nationales, du mois prochain. Pour ce qui concerne les candidats aux primaires, il s’agit, dit-il, de Ahmed Kherchi, responsable de la 2ème Mouhafadha, à savoir celle d’El Khroub, de Mourad Kherrab, président de la Commission de la formation professionnelle à l’APW. Mais également de Fatiha Chayeb, élue de l’APC de Didouche Mourad, de Rabah Djaâfer, président de l’APC de Benihmidène et de Nadir Amireche président de l’actuelle APW. Notre interlocuteur de rappeler que l’unique siège revenant à la wilaya est détenu, actuellement, par Lamine Cherièt, un élu, en fin de mandat. Ce qui constitue une raison de plus pour le gagner et le garder pour la même formation politique. « C’est pourquoi, ajoute-t-il, une réunion s’est tenue hier, à la Mouhafadha, qui a regroupé les candidats en course pour les primaires, les deux mouhafedh de Constantine et nombre d’autres militants autour du seul mot d’ordre de solidarité. Solidarité entre les candidats, sans pour autant faire fi de la nécessaire et naturelle compétition entre eux, et surtout l’engagement à soutenir, sans faille, celui parmi eux, qui sortira de l’urne. Car, dit-il, le parti a toutes les chances de son côté pour obtenir le siège qui sera mis en jeu le 29 décembre 2018 et seule une défection dans les rangs des nos élus pourra en décider autrement ». En effet, le FLN qui possède 124 élus locaux, dont 105 dans les 12 APC et 19 dans l’APW et comme les sénatoriales nationales concerneront les seuls grands électeurs, à savoir les membres de ces 2 assemblées locales, il escompte les remporter, haut la main, conclut notre vis-à-vis.The post Sénatoriales: Les primaires au FLN mardi prochain appeared first on .
A. Mallem
«Nous sommes des semeurs d’espoir », a déclaré hier le docteur Chachou Mohamed, membre du bureau politique du parti de Tajamou’ Amal Al-Jazaïr (TAJ), en ouvrant la réunion des militants, adhérents et sympathisants du parti qui étaient venus assister au premier congrès de wilaya de Constantine, prémices à la tenue du premier congrès national constitutif de cette formation politique qui a été créée il y a six ans, par Amar Ghoul. L’orateur a commencé par expliquer devant l’assistance, réunie dans un restaurant privé de la ville des ponts, la signification de chaque lettre constituant le sigle du parti. « TAJ est un parti rassembleur, commence-t-il, un espace qui ouvre ses portes pour accueillir tous les éléments positifs de la société qui désirent exercer leur droit à la citoyenneté. Nous leur disons bienvenue. Notre parti n’a d’autre idéologie que celle découlant des principes du premier novembre 1954. Il n’a pas de projet de société car cette question a été tranchée dans l’appel du 1er Novembre par des hommes qui ont écrit ce projet par leur sang. Et c’est pourquoi, TAJ s’est prononcé contre toute espèce d’exclusion.De sorte que tout Algérien positif puisse prétendre faire partie de TAJ ». Expliquant le sens du mot « positif », l’orateur a dit qu’il y en a ceux qui sont indifférents, pratiquant un individualisme à outrance, ce sont des gens négatifs. Et il y en a d’autres qui ont conscience de leur appartenance à un peuple, qui pensent qu’ils sont responsables devant ce peuple. « Ils se sont engagés alors à structurer leur action dans le mouvement social ou dans le mouvement politique pour servir ce peuple. Et ces derniers sont positifs et ils sont les bienvenus à TAJ ». Situant ensuite la place de TAJ dans l’échiquier politique national, le Dr Chachou a expliqué qu’il fait partie du quatuor des formations politiques qui soutiennent le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, à savoir le FLN, le RND, le MPA et TAJ. Et il terminera en lançant un appel aux militants les invitant à nourrir la culture de l’espoir et combattre celle qui consiste à semer le désespoir dans les esprits des gens, des jeunes générations surtout pour les pousser à fuir leur pays. Et il les a mis en garde contre « cette culture qui est une culture de la mort visant à détruire les Etats et les peuples ».
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A.Ouélaa
Ironisant un peu sur cette fameuse vanne d’eau douce aux relents d’un miracle pour les deux grandes communes de l’ouest de la wilaya d’El-Tarf, Dréan et Besbès, où les habitants continuent d’acheter l’eau douce auprès des camions-citernes à raison de 03 DA le litre. L’eau douce ne coule pas encore dans les robinets.Pourtant cette fameuse vanne, point de départ du dédoublement de la conduite qui s’étend sur 23 km, à partir de la station de traitement de Bougous jusqu’à H’Nichet dans la commune de Boutheldja, a été inaugurée à deux reprises le 05 juillet passé et ce 1er novembre.
Supposée acheminer l’eau douce vers Besbès et Dréan à partir de la station de traitement des Salines, non loin de l’aéroport Rabah Bitat d’Annaba, rien n’a encore changé et l’eau saumâtre est toujours là.
Selon la directrice de l’ADE, les essais se poursuivent encore et l’écueil majeur c’est la réparation des fuites dans cette conduite qui aura coûté presque 300 milliards de cts. Cette conduite va renforcer les besoins en eau de la wilaya de Annaba. Les habitants des communes concernées se demandent s’il faut encore attendre une autre fête nationale, le 11 décembre par exemple, pour inaugurer encore une fois cette vanne.
Dans cette histoire, l’acquis c’est la conduite qui va acheminer l’eau douce, depuis les Salines jusqu’à Dréan, en passant par Besbès.
Pour une répartition équitable de cette eau douce qui profitait beaucoup plus à Besbès avec l’ancienne conduite, la directrice de l’ADE a bien admis à la retraite le chef de centre ADE de Besbès et adressé une sévère mise en garde contre ceux qui travaillent à la station de traitement des Salines, qui auraient par le passé détourné le quota d’eau de Dréan et Besbès vers Annaba.
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Ali Chabana
A l’orée de la saison hivernale, les écoles rurales auront-elles l’occasion tant espérée de dire adieu au poêle de mazout ? De toute manière, le directeur de l’éducation avait indiqué que le raccordement aux citernes de gaz avait débuté et que 126 établissements éducatifs du primaire sont concernés.Déjà 37 écoles sont dans la phase de l’installation interne de branchement au réseau. Les agents de NAFTAL ont visité les écoles avant de donner leur aval de mise en service d’alimentation en gaz. De son côté, le wali, Attallah Moulati, dit accorder une importance à tout ce qui concerne l’éducation. Il estime à 1 milliard de dinars le besoin de la wilaya pour que les écoles puissent atteindre un niveau acceptable en matière de dotation et encadrement en ressources humaines.
Pour sa part, le DAS a annoncé que ses services suivent de près les procédures administratives avant le démarrage de la rénovation et réparation de certains établissements scolaires. Une enveloppe financière de 50 millions de dinars a été allouée à ces opérations.
Si le programme d’équipement et de réhabilitation des écoles semble sur la bonne voie, qu’en est-il de la gestion administrative, pédagogique et financière de ces établissements ? Car l’un ne va guère sans l’autre, si vraiment on pense à optimiser les conditions de scolarisation des élèves.
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Khaled Boumediene
Les participants aux 5èmes journées de l’Association de Médecine interne universitaire de la wilaya de Tlemcen (Amiwit), sur le diabète et les maladies vasculaires, organisées, hier, à la faculté des Sciences de la nature et de la vie et Sciences de la terre et de l’univers (Rocade Imama), ont cerné et mis, en avant, pas moins de cinq axes prioritaires de santé publique et de recherche universitaire, portant sur l’ importance du typage précis du diabète au diagnostic, l’anti- agrégation plaquettaire, la chirurgie bariatrique, la chirurgie vasculaire et l’AVC.Mais, les ressources et compétences locales peuvent-elles faire face à la prévalence du diabète qui est en augmentation rapide ? Pourquoi les stratégies thérapeutiques disponibles n’arrivent-elles pas à arrêter la progression de la maladie ni prévenir le développement des complications chroniques du diabète ? Une explication de cet échec est que le diagnostic du diabète est basé, uniquement, sur la mesure de la glycémie, alors que la maladie est très hétérogène sur le plan présentation initiale et progression. L’aspirine à faible dose pour la prévention cardiovasculaire est-elle nécessaire, en cas de maladies cardiovasculaires connues (IDM, AVC ) ? La dose de 100 mg, par jour, est-elle suffisante pour les patients ? La chirurgie bariatrique dite aussi métabolique est-elle recommandée chez les adultes diabétiques très obèses ? Pour faire bénéficier les patients diabétiques de cette possibilité thérapeutique importante, l’équipe de chirurgie «A» du Pr Chakib Abi Ayad, assisté par le Pr Abidou Bedjaoui projettent de développer cette option. Un dépistage ciblé, un traitement médical optimisé et un geste chirurgical bien indiqué à temps, permettront-ils d’éviter un grand nombre d’amputations des membres inférieurs? Quelle place pour l’imagerie et quelle prise en charge pour l’AVC hémorragique ? C’est à certaines de ces questions et à beaucoup d’autres qu’ont répondu, sous des formes diverses, les différents intervenants. Ainsi, Pr. A. Lounici a mis en relief l’importance du typage précis du diabète au diagnostic. «Le but est de réaliser un typage précis de tous les nouveaux cas de diabète déclarés dans la wilaya de Tlemcen, avec un quadrillage par les praticiens du service de médecine interne du CHU Tlemcen, en collaboration avec les établissements publics de santé (EPSP et EPH) et le service de biochimie représenté par Dr Klouche Yacine et Dr Brixi.
Ce qui permettra d’identifier les 2 formes sévères chez nos patients, qui doivent bénéficier, le plus précocement, d’un traitement intensif. Nous disposons de preuves scientifiques formelles suggérant que le traitement précoce est capital pour la prévention des complications car les cibles tissulaires semblent mémoriser, des décennies plus tard, le mauvais contrôle métabolique. C’est le concept nommé mémoire métabolique». Pr. A Lounici a, en outre, indiqué que pour répondre à la question de l’anti-agrégation plaquettaire, son service a mis en place un projet de recherche collaboratif dirigé par deux conférenciers à savoir : Dr Mohamed Hadi Bestaoui et Pr Katia Taouli chef de service d’hémobiologie. L’autre aspect, non moins important, abordé par les conférenciers est la chirurgie bariatrique recommandée chez les adultes diabétiques très obèses qui permet de réduire considérablement les comorbidités associées, et parfois obtenir une réversibilité des complications micro-vasculaires du diabète et le besoin en médicaments.
Par ailleurs, un autre axe que le service de médecine interne du CHU est la chirurgie vasculaire par un travail collaboratif regroupant Dr Mohammed El Amine Ghembaza, chef d’unité HAD, dédié au pied diabétique et les chirurgiens vasculaires le Pr Bouayed (Oran) et Dr Zakaria Boughrara (Sidi Bel-Abbès). Un dépistage ciblé, un traitement médical optimisé et un geste chirurgical bien indiqué à temps, permettront d’éviter un grand nombre d’amputations des membres inférieurs.
De son côté, le Pr. Si Mohammed Abderrahmane et le Pr. Si Saber Mohammed du service de neurochirurgie, ont fait une mise au point sur l’imagerie et la prise en charge de l’AVC hémorragique. A noter, que pour encourager la production scientifique, l’AMIWIT a attribué le Prix du meilleur praticien résident de l’année 2018, au Dr. Beghdadi Farah (Résidente 3ème année) pour ses communications orales internationales. Un hommage posthume a été également rendu au défunt recteur de l’Université de Tlemcen, Djaafour Mustapha, décédé le 24 octobre 2018.
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Le ‘'Bloc Républicain'' s'est agrandi avec l'entrée du Rassemblement pour l'unité nationale et la démocratie (Rund). Les militants et militantes du parti l'ont fait savoir à l'occasion du Conseil national tenu, ce samedi 10 novembre 2018, à Cotonou. « Unité, Probité et Action », c'est la devise qui sous-tend désormais les actions du Rund aux côtés du chef de l'Etat Patrice Talon.
Selon le porte-parole du parti, Louis Fidégnon, ce choix ne relève pas du hasard. Pour lui, c'est fort des actes grandissants que pose le président de la République dans le cadre du Pag (Programme d'actions du gouvernement) que les militants et militantes du Rund réunis sur toute l'étendue du territoire national, ont décidé solennellement de l'accompagner en soutenant la réforme du système partisan à travers leur adhésion au ‘'Bloc Républicain''. Une adhésion qui vise selon Louis Fidégnon, à garantir au peuple béninois, un environnement sociopolitique sain et durable.
Le représentant du ‘'Bloc Républicain'' présent au conseil, Assan Séïbou a rappelé que pendant plus de 24 ans, le Rund a contribué au combat politique du pays et a influencé à des moments donnés, l'histoire politique du Bénin. « Vous avez été des acteurs, vous avez été des témoins et aujourd'hui, vous vous mettez en posture de bâtisseurs du nouveau », a-t-il témoigné.
Les militantes et militants au cours des travaux du conseil, ont rendu hommage à Idrissou Ibrahima, fondateur du parti.
F. A. A.
Le Bénin se révèle de plus en plus au monde. Outre les réformes entreprises au Bénin, le chef de l'Etat Patrice Talon ne rate aucune opportunité pour vendre l'image du pays devant les grands investisseurs étrangers. Le dernier coup de maître est celui devant les investisseurs norvégiens.
Vendre l'image du Bénin à l'extérieur. C'est ce à quoi s'atèle chef de l'Etat Patrice Talon depuis quelques mois. Ayant entrepris des réformes salutaires propices à l'investissement, le chef de l'Etat s'investit à faire appel aux grands investisseurs.
Au cours de son dernier voyage en Norvège, Patrice Talon a déclaré devant les investisseurs que « toutes les occasions comme celle-ci sont bonnes pour parler de l'Afrique, pour parler de mon pays le Bénin ». Le chef de l'Etat a battu en brèche toutes les idées préconçues collées à l'Afrique depuis des années. « La problématique qui nous concerne tous est d'abord la mauvaise connaissance de l'Afrique. Les perceptions qui ne sont pas conformes à la réalité de ce continent. Ce qui évidemment freine la découverte de ce continent, freine les investissements, freine la découverte des opportunités de développement des affaires de ceux qui ont la vocation d'investir pour gagner de l'argent », à expliqué le président de la République.
Il a souligné que « L'Afrique en général mais les pays d'Afrique en particulier offrent différemment des opportunités, des environnements, des conditions de découverte et d'investissement. Les pays du Nord ne connaissent pas beaucoup l'Afrique ».
Patrice Talon a fait comprendre aux investisseurs que l'image réelle de l'Afrique réside dans sa richesse et les nombreuses opportunités qu'elle offre à ses partenaires privilégiés que sont les investisseurs.
« Les opportunités sont immenses. Ceux d'entre vous qui oseront lire un peu plus sur le Bénin, venir au Bénin pour un ou deux jours et prendre le risque d'investir, verront combien il est intéressant d'investir au Bénin », a confirmé Patrice Talon.
Cet appel aux investisseurs témoigne de la volonté du chef de l'Etat à faire du Bénin la plaque tournante des investisseurs dans la sous régions ouest africaine.
Les nombreuses réformes engagées dans le secteur des affaires rendent compte de ce qu'il entend faire du Bénin dans les prochaines années.
Loin d'être un quémandeur, le chef de l'Etat a démontré devant les investisseurs norvégiens que le développement des pays africains repose sur les investissements privés. Selon lui, « l'investissement privé génère plus de résultats. C'est pourquoi, il est aujourd'hui nécessaire et indispensable que l'investissement privé soit reconnu comme le véritable moteur de développement des pays africains ».
Il a affirmé haut et fort devant ses hôtes : « J'ai dit au Premier ministre (...) que je n'avais aucune demande à la Norvège, que je ne suis venu demander ni de l'aide au développement ni un accompagnement particulier. Je suis venu demander au gouvernement norvégien un peu d'attention, d'observer le Bénin, de constater combien ce pays est en train de changer à l'instar de certains pays d'Afrique. (...). ». C'est la preuve que la vision partagée par le chef de l'Etat au peuple béninois lui tient à coeur. Celle d'opérer des réformes salutaires pour le décollage effectif du pays. Il n'a pas manqué d'étayer de part son expérience personnelle, la réalité des faits. « Je viens du secteur privé et j'ai vu combien l'effort et parfois même peu d'effort et un peu de sérieux suffisent à partir de zéro pour arriver au sommet très rapidement en Afrique. C'est mon expérience personnelle qui m'a motivé à m'engager en politique et montrer qu'on peut changer nos pays très vite », a-t-il expliqué.
Pour Patrice Talon, « l'opportunité existe » même si « l'environnement et les conditions d'investissement n'accompagnent pas ceux qui veulent investir », aujourd'hui. « Beaucoup de pays africains font des efforts nécessaires pour améliorer cet environnement », a reconnu le président. Il fait référence au Bénin qui depuis quelques années se fait remarquer. « C'est l'exemple du Bénin que j'ai l'honneur de conduire depuis trois ans et dans lequel nous faisons des réformes extraordinaires pour changer cette perception », martèle-t-il. Aussi, confirme-t-il dans son discours devant les investisseurs norvégiens que « les pays d'Afrique de l'Ouest sont des pays magnifiques. Ce sont des pays où il y a une certaine transformation en cours ».
Le président de la République a montré pourquoi, il est indispensable aux investisseurs de faire l'expérience béninois. « Le Bénin est un pays de référence en Afrique de l'ouest. C'est la porte d'entrée des pays de la Cedeao qui constitue l'un des plus grands marchés intégrés d'Afrique avec plus de 300 millions de consommateurs. Les opportunités sont immenses », a-t-il renchéri.
Patrice Talon n'a raté aucune occasion pour révéler le Bénin aux investisseurs norvégiens, qui sont visiblement séduits par son discours.
Giscard AMOUSSOU