Belkecir Mohamed
Répondant au vœu d’une jeunesse livrée à l’oisiveté et en quête de moyens pour meubler le temps qu’elle passe dans des bourgades démunies d’équipements, les autorités locales ont doté cette fin de semaine les villages de Khalouia et de M’Naouer relevant de la daïra d’El Bordj de deux stades de proximité engazonnés. Une enveloppe financière de 700 millions de centimes a été réservée à chacune des deux infrastructures sportives.Une fois inaugurées, ces dernières ont fait l’objet d’une passation de consignes pour être gérées par une association de quartier qui se chargera de l’entretien et de l’exploitation de ces aires de jeux pour faire participer le maximum de jeunes.
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A. Mallem
Des commerçants de la ville de Didouche-Mourad tenant des magasins de vente d’articles de téléphonie mobile et leurs accessoires nous ont contactés hier pour nous signaler ce qu’ils ont appelé «un phénomène d’arnaque» sur les spécifications techniques de certains appareils de téléphonie mobile commercialisés sous le label d’une société nationale qui, en fait, ne fait que le montage.Les pièces sont importées d’Asie. «Ces spécifications sont complètement fausses et trompeuses», nous a déclaré M.B., l’un des commerçants en décrivant les modèles de la marque incriminée qu’ils ont reçus récemment.
Ainsi, selon notre interlocuteur, sur le modèle «Nextip +» de cette marque il est indiqué que l’appareil comporte 32 Go de mémoire. «Mais lorsque le client ouvre la
mémoire intégrée du téléphone, il constate à ses dépens qu’il n’y a que 24 Go ! Il en est de même pour le modèle «Next i» de la même marque dont la fiche indique qu’il comporte 32 Go de mémoire mais il n’en possède en réalité que 24. «Pourtant, nous signalent nos interlocuteurs, les modèles en question, d’après une autre indication qu’ils comportent sur l’appareil, indiquent également qu’ils sont passés par l’agence de contrôle, l’agence de régulation des postes et télécommunications (l’ARPT) en l’occurrence, et que celle-ci aurait donc donné son aval pour la commercialisation du produit selon les spécifications techniques indiquées, qui sont, comme on vient de le dire, totalement fausses».
L’un d’eux affirmera ensuite que les commerçants à travers le territoire national qui ont reçu de grosses quantités de ce produit, s’en sont plaints à la société qui fait l’assemblage.
«Ce matin même, ajoute notre interlocuteur, je viens de protester auprès du directeur général de la société en question et il m’a répondu que sa société ne peut rien faire, car ces spécifications techniques viennent du fournisseur chinois lui-même qui fabrique les pièces.
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A.El Abci
L’Office de promotion et de gestion immobilière (OPGI) lancera, incessamment, en coopération avec la direction du logement, des travaux d’étanchéité au niveau des caves pour l’évacuation des eaux usées, des vides sanitaires et « peut-être de réhabilitation d’ascenseurs ». Le chef du service patrimoine de l’Office, Hichem Yahiouche, déplore que les équipes d’intervention rencontrent nombre d’entraves sur le terrain, à l’instar du problème que représentent les extensions réalisées par les propriétaires des locaux commerciaux, entre autres, dit-il. Et de poursuivre que l’Office a adressé des mises en demeure aux commerçants concernés qui seront suivies éventuellement de poursuites judiciaires, en considération que ces extensions bouchent les regards qui sont devant lesdits locaux. Surtout lorsque ces extensions sont faites avec des dalles de sol et d’autres aménagements du même genre.Alors que les locataires aussi bien que les commerçants, qui occupent les rez-de-chaussée, sont également responsables, particulièrement des parties communes. Et de noter que ces reproches ne concernent pas tout le monde, mais une minorité qui fait fi de la réglementation en la matière, et qui nous causent d’énormes difficultés dans l’exécution des travaux. Par ailleurs et abordant la question du paiement des loyers par les locataires, il fait savoir que seule une minorité est à jour, alors qu’il est évident que l’importance des interventions de l’Office, concernant les caves, les vides sanitaires, les ascenseurs etc., est fonction dans une large mesure des sommes d’argent perçues au titre des loyers.
Malheureusement, le recouvrement des loyers reste très faible, d’où certainement la nécessité d’intensifier les campagnes de sensibilisation menées jusque-là, et qui ont, malheureusement, montré leur limite, dit-il.
«Mais, nous intervenons selon nos moyens et nous ferons beaucoup plus, dit-il, si les locataires veillent à être à jour vis-à-vis de l’Office, mais c’est peut-être, là aussi, à nous de sensibiliser et de communiquer plus et mieux avec ces derniers».
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A. Mallem
Une promotion de 128 artisans sortant de l’école de formation de la Chambre des arts et métiers (CAM) de Constantine, a été honorée, hier, et ses lauréats ont reçu leurs diplômes des mains des autorités locales. Cette promotion est formée en grande majorité de femmes qui ont appris les métiers de la couture et de la confiserie traditionnelle et qui viennent d’être honorées au cours d’une cérémonie organisée dans les salons de l’APC de Constantine où elle ont exposé leurs réalisations et aussi pour célébrer la journée nationale de l’artisanat.M. Benarab, le directeur de la CAM, est intervenu pour préciser que cette promotion est la 16éme du nom dans ces branches de la couture et de la confiserie traditionnelle. Après avoir rappelé que la CAM de Constantine compte aujourd’hui plus de 17.000 artisans dans différentes activités, dont plus de 5.000 dans le seul secteur de l’artisanat traditionnel, il a déclaré que cela fait de Constantine un pôle par excellence de l’artisanat traditionnel distingué à travers tout le pays.
«Cela en plus du fait, a-t-il fait remarquer, que chaque année, des promotions de plus de 150 artisans sortent de notre école de formation. Ce qui n’est pas rien quand on sait que beaucoup d’autres wilayas ne réalisent, dans le même temps, que des chiffres dépassant rarement la cinquantaine ». Et M. Gheddab, le président de la CAM, de compléter en disant que cet avantage pris par notre wilaya dans l’artisanat, surtout dans le secteur de la dinanderie, est attesté partout, même au niveau international. La preuve en est, dit-il, cette invitation qui vient de nous être lancée pour participer à la foire du Koweït qui va avoir lieu prochainement, pour représenter l’Algérie dans ce secteur ». Et l’orateur a reconnu que dans ce cadre, l’apport des dispositifs de l’emploi et du secteur de la formation professionnelle dont les représentants étaient présents à la cérémonie, a été remarquable et a permis à la CAM de réaliser ces performances. Et avant de terminer, M. Benarab a rappelé que « samedi, une exposition d’artisanat a été ouverte par la même occasion au centre culturel M’hamed
Lyazid d’El-Khroub et regroupant un certain nombre d’artisans et elle va durer encore une semaine».
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A. Mallem
Intervenant dans un colloque international, organisé à l’université 3′ Salah Boubnider, un docteur en sciences économiques a révélé que les aptitudes techniques au travail des étudiants, notamment ceux issus des filières des sciences économiques, sont très faibles. « Cette évidence nous a été démontrée par l’étude que nous avons faite en suivant les étudiants de cette filière qui ont été recrutés au sein des banques publiques à Constantine. Il s’est avéré, en effet, que ces nouveaux employés ne possédaient pas le minima en matière de bagages techniques pour exercer les professions pour lesquelles ils ont été recrutés. Ce qui a démontré à l’évidence la faiblesse de la formation qu’ils ont reçue à l’université», a déclaré en substance le docteur Mohamed Boucheriba, enseignant à la faculté des sciences économiques de l’université 2′ Abdelhamid Mehri de Ali Mendjeli, dans la communication qu’il a faite hier au colloque international de deux jours, les 11 et 12 novembre, à l’université 3′ Salah Boubnider de Constantine. Le thème retenu pour cette rencontre est « la formation universitaire et l’environnement économique et social : défis et perspectives », sur lequel vont plancher les participants durant les journées des 11 et 12 novembre en cours. La rencontre est pilotée par le Laboratoire de l’architecture, de la ville, des métiers et de la formation.Pour remédier à cette situation « désastreuse », le conférencier a recommandé de revoir complètement les schémas des programmes de formation dans nos universités et dans les établissements de formation supérieure et les mettre en adéquation avec la formation
exigée par le marché du travail. Il a recommandé également une refonte globale des programmes en introduisant les trainings et l’utilisation de la méthode de « simulation » afin de mettre l’étudiant dans des conditions de travail ressemblant à la réalité du poste auquel il est destiné, créer le climat du travail, etc. « Il faut aussi, selon lui, privilégier la qualité à la quantité et veiller à instaurer une coordination entre l’université et les organismes du
travail en mettant toujours en avant les facteurs de qualité et en adoptant une attitude axée sur la connaissance profonde des besoins du client fournisseur de l’emploi ».
A ce propos, plusieurs participants que nous avons contactés, hier, ont pensé que cette communication a mis le doigt sur des réalités qu’on ne peut nier et qu’elle vient de donner le ton de celles qui vont suivre durant ces deux journées de travail consacrées au thème
retenu par le colloque.
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A.Z.
Le pire a été évité sur l’autoroute Est / Ouest, zone de Djebel El Ouahch, suite au dérapage suivi du renversement d’un camion-citerne transportant du carburant. L’accident a eu lieu dans la soirée du samedi, à 21 heures 10 minutes, indique un communiqué de la Protection civile, qui signale que les sapeurs-pompiers du centre avancé Boumaâza Abdelmadjid ont été dépêchés sur le lieu de l’accident, où ils ont constaté le renversement du camion-citerne et le déversement dans la nature de près de 30 000 litres de mazout. Le carburant ne s’est pas déversé sur la chaussée, évitant ainsi des glissades dangereuses aux autres véhicules en circulation dans la nuit, souligne le communiqué en question. Car, le camion-citerne a dérapé du côté de la forêt et il s’est renversé hors de la route, déversant le contenu de mazout dans la nature. On signale que l’accident n’a, fort heureusement, fait aucune victime.The post Un camion-citerne se renverse: Près de 30.000 litres de mazout déversés dans la nature appeared first on .
La Société des eaux et de l’assainissement d’Alger (SEAAL) informe aujourd’hui dans un communiqué, que l’alimentation en eau potable sera suspendue à l’ouest d’Alger, le 13 novembre 2018 de 8 h 000 à 16 h 00.
Ces perturbations sont dues au lancement des travaux de nettoyage d’un ouvrage principal de distribution au niveau de la commune d’Oueld Fayet, informe SEAAL dans son communiqué.
La suspension touchera les communes suivantes : Oueld Fayet (en totalité), Cheraga ( Bouchaoui ) et enfin Souidania (en partie), précise SEAAL.
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Ali Chabana
Que dire encore des communes frontalières, dans la wilaya de Tébessa. Elles sont 10, du nord au sud, Ouenza, El Meridj, Aïn Zerga, El Kouif, El Houijbet, Elma Labiod, Oum Ali, Saf Saf Ouesra, Bir El Ater et Negrine. L’Etat accorde un intérêt particulier à cette région, tant sa situation socio-économique préoccupe, associée à une position géographique et sécuritaire qui doit être préservée, au point de lui consacrer un programme économique et social spécial, au profit de la population locale. Le lourd déficit en matière d’infrastructures de base, réseau routier, AEP, structures sanitaires, base industrielle, entre autres. Conséquence, l’attrait des investissements demeure embryonnaire, associé au retard dans les quelques projets inscrits et visibles, un chômage endémique, effet gangrenant de la contrebande responsable de la migration interne vers d’autres localités à la recherche de travail. Ainsi la dernière sortie sur le terrain du wali accompagné de plusieurs cadres gestionnaires entre dans ce cadre, inspection et relance des projets, d’Oum Ali à El Houibet, en passant par Elma Labiod et Saf Saf Ouesra, certains secteurs ont été passés en revue, habitat, projet de réalisation de 80 logements sociaux locatifs, projet d’une minoterie à Saf Saf Ouesra, au titre de l’investissement privé, inspection du projet d’une station-service à Bouchebka et d’une polyclinique, réhabilitation du chemin de wilaya 2, reliant Oum Ali à Bouchebka sur 21,5 kilomètres. Quant à la commune d’Elma Labiod, seront réalisés 40 logements promotionnels aidés. A Berzguene, la localité rurale a bénéficié d’une salle de soins, ainsi que l’inauguration du tronçon routier de 17,5 kilomètres. De toute manière, les grandes disparités constatées entre les communes, concernant les dotations et équipements font réagir les autorités de la wilaya en premier le wali lui-même, et sa présence sur le terrain ne fait que renforcer cette volonté de rattraper les retards enregistrés et accrocher ces communes déshéritées au wagon d’un développement local à deux vitesses, c’est le moins qu’on puisse dire. D’autres communes attendent leur tour, pour pouvoir sortir la tête de l’eau, Ferkane, Ogla Malha, Grigueur ou encore Stah Guentis, Mazraâ. Sans un équilibre dans la dynamique de la relance d’un développement durable intégré, les stigmates apparents de la pauvreté et du besoin resteront à jamais comme un signe d’incapacité dans la prise en charge des citoyens.The post Tébessa: Le paquet sur les communes frontalières appeared first on .
Ali Chabana
Dépourvue d’un hôpital, la daïra d’El Ogla, située à 85 kilomètres au sud-ouest de la wilaya de Tébessa, à la limite administrative de la wilaya de Khenchela, est dans l’attente d’une solution. Les habitants de cette région semi rurale sont donc contraints de se déplacer jusqu’à Cheria, voire le chef-lieu, pour pouvoir bénéficier de soins. Et pourtant, le projet d’un établissement hospitalier existe, lancé en 2010 celui-ci piétine, un hôpital de 60 lits dont la construction reste en suspens, que les habitants des communes de Bejen, Stah Guentis et Mazraâ voudront voir le jour, dans l’espoir de mettre un terme à leurs souffrances. Quand il s’agit de consulter un toubib, on doit parcourir des dizaines de kilomètres. Sa réception est chaque fois renvoyée en raison d’arrêts répétitifs des travaux.Les patients eux, toujours, continuent d’attendre, d’autant que les quatre salles de soins fonctionnelles n’arrivent plus à répondre à la demande. A cause de l’éloignement des structures sanitaires (maternité), les accouchements se font dans certains cas, à domicile, avec tous les risques qui pourront en découler. Selon une source au fait du sujet, l’hôpital serait finalement mis en service dans le courant de l’année 2019. Le projet aura coûté quelque 300 millions de dinars. L’autre problématique à résoudre est le déficit en praticiens spécialisés, quand on sait que la population de la wilaya de Tébessa est pourvue d’un médecin spécialiste pour 30.000 habitants ! Et seulement un médecin généraliste pour 6.000 habitants. Une autre question : quand sera livré l’établissement hospitalier M’henna Benjedda, le plus ancien de la wilaya, après des travaux de réhabilitation et d’équipement évalués à 230 millions de dinars, qui n’en finissent pas ?
Cette structure sera d’un grand soulagement pour beaucoup de malades, qui sont dans l’obligation d’effectuer le déplacement jusqu’à l’EPH Boulaâres Bouguerra à Bekkaria, à 15 kilomètres du chef-lieu. Si la wilaya de Tébessa s’est vue doter de plusieurs structures de santé ces dernières années grâce à des programmes de renforcement dont une unité d’oncologie, ainsi que la réactivation des polycliniques et, bientôt, d’un hôpital régional de psychiatrie (120 lits), les disparités entre les communes font que certaines de ces structures se trouvent débordées, parfois au détriment de la qualité des prestations offertes aux citoyens.
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En vue de comprendre ce que pensent les citoyens de la gestion du gouvernement, une enquête d'opinion a été lancée à travers le site du journal 24Heures au Bénin. Cette enquête gérée par un serveur sécurisé a permis à plus de 4000 fidèles lecteurs d'apprécier à juste valeur, la pertinence des actions du chef de l'État.
Le sondage vise à appréhender la perception des populations sur la gestion du chef de l'État. A la question de savoir " Comment appréciez-vous la gouvernance de Talon ?", on note que près de 36 % des votants apprécient très bien les réformes mises en œuvre par le chef de l'État depuis 2016.
Pour 27 %, la gouvernance est bonne tandis que pour 25%, elle est mauvaise.
Le taux le plus faible de cette enquête (12,25 %) a été celui des sans opinion.
Ces statistiques montrent que malgré tous les cris de détresse, la majorité des citoyens porte toujours Patrice Talon dans son cœur. On déduit de ces résultats que plus de 62 % restent favorables aux actions du chef de l'Etat.
Malgré les critiques et les grincements de dents des opposants au pouvoir en place, la majorité des béninois continue d'être sidérée par la gouvernance Talon. Même si de ce lot de votants, 25 % n'apprécient pas cette gouvernance, il faut tout de même remarquer que chacun apprécie selon sa vision. Ceux-ci ont peut-être des arguments pour étayer leur vote. Sur le nombre total de votants, certains n'ont pu donner leur appréciation. C'est une occasion pour le gouvernement de redoubler d'effort dans ses actions afin que ceux-ci soient davantage convaincus.
Le moins qu'on puisse dire sur ce sondage qui continue toujours sur la plateforme de 24 Heures au Bénin (www.24haubenin.info), c'est que les populations se sentent concernées par les réformes engagées par le gouvernement depuis 2016. Ce qui s'explique davantage à travers leur vote.
Il faut rappeler que le sondage est sécurisé de sorte à empêcher le vote multiples à partir d'un même terminal. Ce qui témoigne de la qualité de ce sondage d'opinion sur la gouvernance actuelle.
Pour le moment, la gouvernance actuelle continue de rassurer bien des béninois qui estiment que la gestion du président Patrice Talon est salutaire.
Paul Tonon
M. Benboua
En conférence de presse hier à la salle des conférences du stade du 5-Juillet (Alger) en compagnie des membres de la LFP, le président de la ligue de football professionnel, Abdelkrim Medouar a tenu à faire le point sur tout ce qui a été dit ces derniers temps sur la programmation, la commission de discipline, les clubs et sa gestion de la LFP depuis son élection, il y a quatre mois. Plus que jamais contesté par les présidents des clubs qui l’avaient pourtant eux-mêmes élu, Medouar a joué la carte de l’apaisement, non sans se montrer parfois très fragilisé. D’aucuns s’attendaient d’ailleurs à ce que l’ancien président de l’ASO finisse par rendre le tablier, mais il l’a confirmé haut et fort : «J’y suis, j’y reste. Je ne partirai pas pour faire plaisir à certaines personnes. J’assume entièrement mes responsabilités, car j’ai commis des erreurs, certes, mais ce ne sont pas des erreurs graves. Il faut savoir que rien n’était facile depuis mon arrivée». Ceux qui s’attendent à ce que Medouar craque vont déchanter, mais cela été prévisible, surtout après la dernière réunion avec le président de la FAF, Kheireddine Zetchi, et les membres ayant gelé leurs activités à cause des «décisions unilatérales» de leur président. C’est d’ailleurs grâce à la FAF que Medouar a été réconforté. Cependant, les spécialistes n’écartent pas l’idée de voir le président de la LFP effectivement craquer prochainement. Ils croient même que ses jours à la tête de l’instance chargée de la gestion des deux championnats professionnels en Algérie sont comptés. C’est qu’à l’intérieur même de la LFP les choses ne fonctionnent pas comme prévu. Medouar a justement profité de l’occasion pour tirer à boulets rouges sur les fonctionnaires de la Ligue. «Il y a une fuite au sein de la LFP» a accusé Medouar. Il a affirmé qu’il y avait «deux ou trois personnes qui ont pris une mauvaise habitude, celle de sortir des informations confidentielles, et cela ne date pas d’aujourd’hui», a-t-il poursuivi, faisant allusion au mail échangé entre la FAF et la LFP publié dans la presse. Pour ce qui est de la programmation, Medouar s’est félicité d’avoir établi un calendrier adapté avant les incidents du match CABBA-MCA, qui ont tout chamboulé par la suite. «On ne fait pas d’omelette sans casser des œufs», s’est défendu le conférencier en évoquant la programmation. Enfin, abordant la polémique du match entre l’USMA et la JSK, l’ancien président de l’ASO s’est dit déçu par les déclarations de Mellal : «Je n’accepterai jamais qu’on porte atteinte à ma vie privée. Je prends un café avec qui je veux et là ou je veux», s’est offusqué le patron de la LFP, affirmant que c’est la commission de discipline qui prendra les décisions qui s’imposent envers le président de la JSK. Il est aussi revenu sur sa présence en compagnie de la sélection algérienne de football au Bénin. «Je suis un ancien président de club et président de la Ligue, j’ai le droit d’y être», a-t-il affirmé, alors que la Ligue ne dispose toujours pas d’un vice-président, ni d’un secrétaire général, comme prévu dans le règlement. Quoi qu’il en soit, les amoureux de la balle ronde attendent au tournant la LFP sur d’autres sujets qui sont la conséquence directe d’un laisser-aller flagrant, notamment sur la gestion et la prise des décisions.The post LFP – Conférence de presse de Medouar Abdelkrim: «J’y suis, j’y reste » appeared first on .
M. Z.
L’avant-dernier tour régional de la Coupe d’Algérie de la Ligue régionale de l’Ouest a été marqué par quelques surprises de taille. On remarquera que certains clubs ne donnent plus aucune importance à « Dame Coupe », mais oublient qu’ils ont un prestige à défendre. C’est le cas du décevant RC Relizane (Ligue 2) qui a été éliminé au stade Zabana par le CRB Sfisef, sociétaire de l’Inter-régions Ouest. L’autre surprise a été l’œuvre de la JS Bedrabine (Régionale 2), auteur d’un bel exploit face au CR Témouchent, l’un des postulants à l’accession en DNA. Cette sortie prématurée en Coupe d’Algérie confirme l’incapacité du CRT à confirmer son renouveau. De son côté, le CRB Ben Badis a vu son aventure prendre fin sans honneur face au FCB Abdelmalek Ramdane (Régionale), dont le mérite est d’avoir joué sans complexe. En revanche, l’US Remchi, lanterne rouge de la DNA Ouest, s’est refait une santé après avoir sorti l’IRB El-Kerma alors que ce dernier l’avait atomisé par 5 à 1 en championnat il y a une dizaine de jours. L’OM Arzew, leader de la DNA Ouest, où plusieurs titulaires ont été laissés au repos en prévision du choc face à la JSMT, s’est incliné face à l’ASB Maghnia. Les autres résultats ont été conformes à la logique, même si certaines équipes ont éprouvé quelques difficultés pour composter leur billet. C’est le cas du SCMO qui a dû son salut à son attaquant Amer Yahia, auteur du but victorieux face à l’ES Sénia. L’Espérance de Mostaganem s’est qualifiée difficilement devant son voisin de l’IRB Fornaka. En revanche, le WAT et le CRB Hennaya sont parvenus à faire respecter la hiérarchie après avoir crucifié respectivement la JS Emir Abdelkader et le MC Ali Boussidi. L’ASMO s’est qualifiée sans forcer et sera opposée au SCMO lors du prochain tour, au même titre que le RCB Oued-Rhiou qui a atomisé la JS Bendaoud. Toujours dans le lot des surprises, à noter l’élimination de l’US Biskra, favori à l’accession en Ligue 1 devant le CRB Kaïs lors de l’avant-dernier tour régional de la Ligue de Batna. Ils sont deux sociétaires de l’antichambre de l’élite qui ont été écartés de l’épreuve populaire.The post LRF Oran – Coupe d’Algérie: Le RCR, l’OMA et le CRT au tapis ! appeared first on .
Sur initiative de la League de la Jeunesse de l'Union Progressiste (LJUP), les populations des communes de l'Atacora ont exprimé leur adhésion à la vision et aux ambitions de développement du chef de l'Etat Patrice Talon. Elles l'ont fait savoir, ce samedi 10 novembre 2018, à l'occasion d'un géant meeting organisé à l'hôtel de ville de Natitingou.
Ce fut l'occasion pour le président de la League de l'Union de la Jeunesse Progressiste de l'Atacora, Jean-Yves Koutonguè de rassurer du soutien des hommes et des femmes de la localité, à accompagner l'œuvre de construction du Bénin révélé. Il n'a pas manqué de témoigner l'honneur pour la ville de Natitingou, chef lieu du département de l'Atacora, d'accueillir cette manifestation de soutien au président de la République.
« Les jeunes de la commune de Natitingou et de ses environs apportent leur soutien indéfectible et sans faille aux actions du chef de l'Etat, Son Excellence Patrice Talon », a martelé Mathieu Kougotia, représentant des jeunes.
Adidjatou Biaou, a pour sa part, confirmé au nom des femmes de Natitingou et environs, leur appartenance à la mouvance présidentielle et aux nobles idéaux défendus par le chef de l'Etat.
La jeunesse progressiste et les populations de l'Atacora et environs ont saisi l'occasion de cette rencontre pour exposer non seulement certaines actions phares du Pag (Programme d'actions du gouvernement) dans le département, mais aussi et surtout, remercier le chef de l'Etat.
Par ce creuset, les jeunes de l'Atacora et les populations de façon générale, entendent batailler fort pour des victoires écrasantes lors des prochaines compétitions électorales.
F. A. A.
Les représentants de clubs spécialisés dans la lutte contre le harcèlement sexuel en milieu scolaire venus de onze départements ont participé à une formation de renforcement de leurs capacités, ce samedi 10 novembre, à Natitingou.
Organisée par le réseau ouest-africain, Wanep-Bénin, cette formation est soutenue par la Giz.
Axée sur les techniques et les outils d'animation en matière d'éducation sexuelle, cette formation a regroupé 32 représentants de 16 clubs scolaires de lutte contre le harcèlement sexuel en milieu scolaire. C'est une occasion propice visant à prévenir les grossesses en milieu scolaire et préparer les séances de sensibilisation des élèves sur la campagne "16 jours d'activisme contre les violences basées sur le genre". Basée sur l'interactivité, cette formation met en exergue les principaux acteurs pour une approche participative et inclusive.
L'un des participants, Bienvenue Kassehin a indiqué que l'atelier permettra de faire régresser ou de mettre fin au harcèlement sexuel en milieu scolaire. Enseignant au Ceg 5 de Bohicon, Patrice Assogba, suggère de regarder les apprenants comme ses propres enfants. Selon lui, c'est l'occasion adéquate pour mieux s'occuper d'eux et les conduire à la réussite.
L'élève Véronique Djossa demande à ses camarades de contrôler leur habillement et d'avoir des comportements non provocateurs devant les enseignants. Ce qui les mettrait à l'abri du harcèlement.
Cette formation conduite par Wanep-Bénin entend contribuer à la réduction des violences sexuelles et du harcèlement sexuel en milieu scolaire. Cette formation a été assurée par Anne Akuété, assistante technique genre à Wanep-Bénin et Bienvenue Kassehin, chargée de programme Education à la paix et à la non-violence à Wanep-Bénin.
G.A.
Les premières épreuves des examens de Master débutent ce lundi matin. Ils sont au nombre de 833 candidats inscrits à la quête de ce parchemin. C'est la ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Marie Odile Attanasso, qui procède au lancement officiel des compositions.
Le collège d'enseignement Général les Pylônes de Cotonou abrite les compositions pour cette première édition du Master national.
Pour la première vague, les compositions concernent 6 filières : Marketing-Communication-Commerce, Finances-Comptabilité-Audit, Transport et Logistique, Banque-Finance et Assurances, Entrepreneuriat et Gestion des Projets et Management des Ressources humaines.
Les candidats vont plancher pendant deux (02) semaines. Les compositions prennent fin le mardi 27 Novembre 2018. Répartis en 4 groupes, les 833 candidats sont issus de 33 établissements privés d'enseignement supérieur et composent dans 39 différentes filières.
G. A.
Mokhtaria Bensaâd
La célébration du centième anniversaire de la signature de l’Armistice du 11 novembre 1918, marquant la fin des combats de la 1re Guerre mondiale a été l’occasion pour la France de révéler officiellement le chiffre de 175.000 soldats algériens qui ont participé à cette guerre dont 26.000 ont été tués etdisparus. C’est ce qu’a annoncé le Consul général de France à Oran, Christophe Jean, lors de son discours prononcé en hommage au sacrifice des millions de soldats, français et algériens morts, durant ce premier conflit mondial.Le représentant de la diplomatie française a déclaré, hier, au cimetière de Petit Lac, devant les Autorités locales, représentées par le wali et le maire d’Oran, les Anciens combattants, les représentants du mouvement associatif, ainsi que les élus consulaires qu’ «en ce jour du souvenir, la France exprime, tout particulièrement, sa gratitude aux 175.000 soldats algériens qui ont pris une part déterminante à ce premier conflit mondial dont 26.000 tués et disparus n’ont pas retrouvé leur pays natal».
La France a reconnu, également, la contribution économique de l’Algérie, dans ce conflit en révélant tel exprimé par le Consul général dans son discours, «N’oublions pas que la contribution de l’Algérie à l’effort de guerre fut également économique grâce aux céréales, de denrées divers et l’apport au milieu des travailleurs dans les usines des métropoles».
La France a tenu, un siècle après l’Armistice, de rendre hommage à ces Algériens morts durant la Première Guerre mondiale et aussi durant la Seconde guerre. «20 ans plus tard», dira, M. Christophe Jean, « une autre tragédie mondiale, tout aussi dévastatrice entraînera une nouvelle génération de combattants venus d’Algérie.
Ces soldats ont écrit, par leur combat, une page de l’histoire de la France et de l’Algérie qui confère un caractère particulier et indissociable aux relations entre nos deux pays. Aujourd’hui, cette génération du feu s’éteint progressivement. Aussi, rendant hommage à leur mémoire et à leur abnégation». «Il y a cent ans», a ajouté le Consul général de France, « prenait fin ce terrible conflit. Terrible par ses souffrances, terrible par les sacrifices consentis, terrible par les blessures qu’il imprima à l’histoire au 20ème siècle débutant. Ces sacrifices, ces blessures sont l’occasion de rendre hommage en ce jour d’anniversaire de l’Armistice et du Centenaire, à tous les morts pour la France, français algériens, algériens et français». Pour clore son discours, le représentant de la diplomatie française a souligné ; « Je voudrais enfin terminer en rappelant le respect que les Français d’Oran portent à tous ceux qui se sont battus durant cette guerre, tout comme durant la seconde. Certains ont fait, pour cette cause, le sacrifice de leur jeunesse, de leur santé, de leur vie. Ils l’ont fait pour nous assurer un monde meilleur, plus pacifiste. Français et Algériens unis dans le sacrifice… Vive l’amitié franco-algérienne».
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Farid Haddouche
Des citoyens de la commune d’Ain El Hadjar, située à 7 km, à l’ouest du chef-lieu de wilaya Bouira, ont fermé, hier dimanche, le siège de l’APC. Il s’agit des habitants de la cité appelée communément cité coloniale’ pour avoir été par le passé un ancien cantonnement de l’armée française.Par cette action, les protestataires déclarent afficher leur mécontentement quant à l’absence d’un programme pour la résorption de l’habitat précaire, dans lequel ils devraient figurer pour pouvoir postuler à un logement décent. Ainsi, ils redoutent leur exclusion des dispositions qui régissent la souscription aux logements sociaux, étant donné que leur cas relève d’un recasement dans le cadre du RHP, qui vraisemblablement, risque de cesser pour des raisons, sans doute, financières. Et ce, contrairement aux années précédentes durant lesquelles des milliers de familles ont été recasées dans des logements neufs dans la wilaya de Bouira, à la faveur de ce programme du président de la République qui avait débuté en 2001. Ainsi, ils ont verrouillé les portes du siège de la mairie, demandant à ce que les Autorités locales leur trouvent une solution. Il y a lieu de souligner, qu’il s’agit d’une soixantaine de familles qui demeurent dans cet ancien camp colonial vétuste.
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Le créateur de mode et styliste béninois Charlemagne Andoche Amoussou vient une fois de plus enrichir sa collection. La révélation de la nouvelle collection s'est déroulée, samedi 2 novembre 2018, à Cotonou.
100% made in Bénin. C'est ce à quoi s'attèle le créateur de mode depuis quelques années. Aujourd'hui, les œuvres du styliste sont présentées dans plusieurs pays d'Afrique et du monde. Spécialiste de la promotion du prêt-à-porter africain, le créateur de mode et styliste Charlemagne Andoche Amoussou lance ‹‹ Archo››, une collection « 100% made in Bénin ».
Dans l'optique de conserver sa clientèle et d'en gagner d'autres, sa vision est de « …créer l'industrie textile sur toute sa ligne ».
« Atcho », littéralement se traduit dans certaines langues locales par « Style » ou « Tissu ».
Selon Charlemagne Andoche Amoussou, alias Lolo Andoche, « Nous avons choisi cette dénomination parce que c'est un tissu fait et teinté par nous-même avec l'accompagnement de teinturiers sélectionnés par nous et pour nous ».
Il faut souligner que de la fabrication du tissu au produit fini en passant par la teinture, chacune des étapes a eu lieu au Bénin. « Contrairement au polyester qui pique, le tissu est doux sur la peau », explique le styliste avant de préciser qu'il est entièrement fait dans du tissu 100% coton.
Aussi, souligne-t-il, c'est une collection qui comporte tout type de style pour répondre à toutes les occasions.
Pour les femmes, il y a des jupes, de petits hauts, des tuniques, etc. Les hommes, quant à eux, trouveront leur style et satisfaction dans les chemises avec ou sans col, à manches courtes ou longues, etc.
« Nous avons fait une variété de gamme de produits afin qu'ils soient portés à toutes les occasions. Par exemple, il y a des robes qu'on peut porter pour aller faire de petites courses, pour se rendre au cocktail, pour aller à événement ou se rendre au bureau », souligne Lolo Andoche.
Il indique que la nouvelle collection est accessible à tous, selon le modèle et la gamme du produit.
Lolo ne s'est pas fait prier avant de mettre la main sur du bon. Il s'agit des gammes de produits à savoir les basiques, les classiques et autres.
Pour Lolo Andoche, « Quand vous prenez les produits de notre nouvelle collection, vous verrez que c'est un travail authentique qui a été fait, un travail qui révèle l'art africain et met en valeur le prêt-à-porter africain ».
Giscard A.
Les Boutiques Lolo Andoche
Les produits de cette collection sont disponibles dans les boutiques Lolo Andoche, situées à côté de la pharmacie Adéchina à Sikècodji ; dans la rue en allant à l'Hôpital de la mère et l'enfant lagune (Homel), rue du Fitheb, ex ciné Vog ; sur la route de l'aéroport, non loin de « Air France ».
Il y a également une boutique Lolo Andoche à Porto-Novo, au niveau de l'espace « Ubuntu », en face du collège Notre Dame ; à Grand-Popo, dans l'hôtel « Millenium Popo Beach » et à Lomé, à côté de Fréo Jardin, non loin de la bijouterie "Walidia".
Les articles Lolo Andoche peuvent également être commandés sur le site www.loloandoche.com ou sur la page Facebook de l'entreprise.