ALGER – Des spécialistes en pneumologie ont insisté, jeudi à Alger, sur la nécessité d’une « prise en charge totale » du traitement des patients atteints de la maladie brancho-pneumopathies chroniques obstructives (BPCO), dont la prévalence est de 4,9% pour l’ensemble de la population.
Lors d’une conférence organisée par l’Association algérienne de solidarité aux malades respiratoires à l’occasion de la célébration de la journée mondiale de la BPCO, le 21 novembre de chaque année, les spécialistes ont relevé les difficultés que traversent les patients pour la procuration du matériel adéquat et ce, à cause de « la non prise en charge à 100% de leurs maladies, notamment par la Caisse nationale des assurances sociales (CNAS), et dont leur nombre est de 9,8% à l’échelle nationale ».
Selon le professeur en Pneumologie, Soumeya Taright, cette maladie, caractérisée par une obstruction des bronches et une destruction du tissu pulmonaire, appelée aussi « emphysème » et souvent méconnue des médecins et ignorée du grand public, touche notamment la population âgée de plus de 40 ans, ayant un long passé tabagique, ainsi que tout sujet exposé à un facteur de risque (professionnel ou autre) et les patients présentant une « symptomalogie évocatrice ».
Pour elle, les personnes atteintes de la BPCO ont un énorme déficit respiratoire, un retentissement sur hématose et un handicap respiratoire, d’où l’importance de mettre à la disposition de ce type de malades « le matériel nécessaire qui est excessivement cher à procurer à titre individuel », a-t-elle précisé.
Dans le même sens, le professeur en pneumologie, A. Ketfi, a expliqué que le tabagisme intervient en premier lieu et demeure le « principal facteur de risque », mettant également en garde les jeunes sur le danger du « narguilé » qui gagne de plus en plus la population urbaine.
« Le tabagisme majore cette prévalence qui atteint 31,5% chez les fumeurs, 14,6% chez les ex-fumeurs et 2,5% chez les non-fumeurs », a-t-il fait remarquer.
De son côté, le responsable de la médico-technique de la société « hôpital à domicile » (HAD), Sahnoune Mohamed Yacine, a expliqué que les malades « sont loin de pouvoir s’acheter, voire louer le matériel comme la ventilation non invasive (VNI) et le concentrateur d’oxygène ».
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PARIS – Une « super-terre » a été découverte en orbite autour d’une étoile « voisine » du système solaire, selon une étude publiée dans la revue Nature qui précise qu’il s’agit d’un monde « froid et obscur », inhospitalier pour la vie telle que nous la connaissons.
Cette petite dernière, baptisée Etoile b de Barnard, a été débusquée dans la constellation d’Ophiucus, autour de l’étoile de Barnard distante de quelque 6 années lumière de la Terre (une année lumière équivaut à 9.460 milliards de km).
« C’est vraiment notre voisine et nous aimons, d’une façon générale, rencontrer nos voisins », a déclaré Ignasi Ribas, de l’Institut d’études spatiales de Catalogne et l’Institut espagnol des Sciences de l’Espace (ICE-CSIC), coauteur de l’étude.
Une proximité qui laisse l’espoir de l’étudier prochainement avec l’arrivée de nouveaux instruments d’observation plus performant.
Détectée grâce aux spectrographes HARPS et UVES, des chasseurs de planètes de l’Observatoire européen austral (ESO) installé au Chili, elle orbite autour de son étoile en 233 jours.
Selon les chercheurs, l’étoile b de Barnard a une masse similaire à 3,2 fois celle de la Terre et prend donc le titre de « super-terre » (comme toutes les exoplanètes ayant une masse comprise entre 1 et 10 fois celle de la Terre).
Pour les astronomes il s’agit d’un « monde froid et obscur »: la super-terre n’est que faiblement éclairée par son étoile, une naine rouge probablement deux fois plus vieille que le Soleil.
Même si elle est proche de son étoile (0,4 fois la distance qui sépare la Terre du Soleil), elle ne recevrait que 2% de l’énergie que la Terre reçoit du Soleil. Sa température de surface ne dépasserait pas les -170 C, ce qui exclut d’y trouver de l’eau à l’état liquide et donc la vie telle que nous la connaissons.
Les chercheurs sont parvenus à débusquer ce nouveau monde en utilisant « plus de 20 ans de données » et sept instruments d’observation pour détecter les variations de vitesse de l’étoile, indicateur de la présence d’une exoplanète.
En orbitant autour de son étoile hôte, une planète exerce une attraction gravitationnelle qui se traduit par l’oscillation de l’étoile.
Etoile b de Barnard représente l’exoplanète connue la plus proche de nous après Proxima b, dont l’annonce de la découverte avait fait grand bruit en août 2016. Cette exoplanète avait été débusquée en orbite autour de l’étoile Proxima du Centaure, éloignée de 4,2 années-lumière.
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Par Nadia BENAKLI
Le président de la commission des finances et du budget a avancé qu’une nouvelle disposition portant sur la consécration de 1% du montant de la vente des pneus au fonds de l’environnement a été introduite dans le rapport complémentaire du PLF 2019.
Pas de grands changements dans le projet de loi de finances 2019. La commission parlementaire des finances et du budget a sauvegardé la copie du gouvernement en se contentant de petites retouches. Sur les 21 amendements proposés par les députés des différentes formations politiques, seulement un seul amendement a été retenu. Il s’agit d’un amendement proposé par le député du FLN, Djamel Bouras, qui vise à permettre aux émigrés de cotiser à la Caisse nationale des retraités (CNR). Cette mesure permettra ainsi de renflouer les caisses de la CNR qui accuse un déficit de près de 500 milliards de dinars. «Sur les 21 amendement, 14 ont été annulés, vu qu’ils ne remplissent pas les critères, six autres ont été retirés par leurs initiateurs et un seul a été retenu», a expliqué Toufik Torche, président de la commission des finances. Ce dernier a avancé que la commission a introduit une nouvelle disposition qui porte sur la consécration du montant 1% de la vente des pneus au fonds de l’environnement. Le président de la commission a expliqué que de nombreux amendements ont été rejetés vu leur incidence financière sur le Trésor public. Les députés du Parti des travailleurs ainsi que ceux du front El Moustakbel ont proposé de supprimer l’IRG sur les salaires qui sont moins de 36 000 dinars. Cette proposition n’a pas été retenue compte-tenu de son incidence sur le Trésor. Idem pour l’augmentation du Snmg proposé par le PT.
La commission a sauvegardé les articles introduits dans son rapport préliminaire. Il s’agit entre autres de la suppression de l’article 4 du projet de loi de finances 2019, qui complète l’article 169 du Code des impôts et qui porte sur le plafonnement de la publicité, de l’introduction d’un nouvel article 35 concernant les bénéficiaires des logements de type social, LSP, LPA et Aadl, notamment l’incessibilité des logements deux ans après la publication de l’acte de propriété. Le Parti des travailleurs qui a demandé carrément l’annulation de cet article en insistant sur la préservation de la propriété de l’Etat, a vu son amendement rejeté. «Le nouvel article introduit dans le rapport préliminaire a été maintenu tel qu’il est sans aucun changement», déplore Djeloul Djoudi. Concernant les recommandations, les députés ont demandé à ce que le gouvernement limite le recours au financement non conventionnel.
Par ailleurs et dans un communiqué rendu public hier, le groupe parlementaire du FFS, qui a boycotté les débats sur le projet de loi, n’a pas omis de le commenter. Les députés du FFS ont vivement critiqué le projet en question, lequel ne contient, selon eux, aucune mesure concrète pour lutter contre l’évasion fiscale, la rationalisation des dépenses de l’Etat. «Le projet de loi de finances 2019 a été présenté d’une façon expéditive sans aucun bilan de gestion annuelle du budget de l’Etat et les ajustements budgétaires opérés échappant complètement au contrôle parlementaire», indique le groupe parlementaire dans son communiqué. Ce dernier voit en l’absence de taxe et d’augmentation une politique purement électoraliste. Il accuse le gouvernement de vouloir acheter la paix sociale à la veille de la présidentielle de 2019.
«L’analyse sérieuse du PLF 2019 montre qu’il y a absence de volonté politique pour respecter le principe d’équité sociale, la préservation des acquis sociaux des Algériens et le long chemin qui reste à parcourir pour instaurer un Etat de droit», soutient le FFS. Enfin, le projet de loi de finances 2019 sera adopté aujourd’hui en séance plénière.
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Le ministre des enseignements Maternel et Primaire, Salimane Karimou, dans une correspondance en date de mardi 13 novembre 2018, interdit la vacation dans des collèges aux instituteurs.
« Il m'est revenu de façon persistante que des instituteurs sous vos ordres respectifs, enclins à la cupidité, abandonnent leur classe et leurs écoliers pendant les jours et heures ouvrables pour s'adonner irrésistiblement à la vacation dans des collèges d'enseignement aussi bien publics que privés », a soulevé le ministre des enseignements Maternel et Primaire.
Pour Salimane Karimou, ces instituteurs foulent ainsi au pied le droit à l'instruction et à l'éducation de qualité à cette frange de la communauté scolaire.
« Les auteurs de telles indélicatesses agissant aux antipodes des exigences du métier, se placent résolument dans une posture inconfortable qu'ils perdent encore de vue. (...) de telles attitudes sont donc fortement répréhensibles au regard des dispositions de textes régissant l'administration scolaire », a-t-il précisé.
Le ministre ordonne instamment à chaque directeur départemental, chef de région pédagogique et conseiller pédagogique à prendre ses responsabilités aux fins de décourager à jamais ces pratiques vénales et sans scrupule.
Akpédjé AYOSSO
Quatorze Palestiniens ont été tués par les tirs et frappes israéliens. Les hostilités ont causé la mort d’un officier israélien et d’un autre Palestinien travaillant en Israël, tué par une roquette.
Le cessez-le-feu tient, au moins provisoirement, entre Israël et les groupes palestiniens de Ghaza après la plus sévère confrontation depuis la guerre de 2014, mais il sème la discorde dans la coalition fragilisée du Premier ministre Benjamin Netanyahu. Le ministre israélien de la Défense Avigdor Lieberman a annoncé hier sa démission au lendemain de l’accord. Ultraradical, il a dénoncé le cessez-le-feu comme une «capitulation devant le terrorisme». «L’Etat achète le calme à court terme au prix de graves dommages à long terme pour la sécurité nationale», a-t-il dit Entre-temps, les écoliers du sud d’Israël et de la bande de Ghaza ont repris la classe hier, trois jours après le début d’une escalade qui a vu les groupes armés palestiniens tirer des centaines de roquettes et d’obus de mortier sur Israël, et l’armée israélienne bombarder des dizaines de positions dans l’enclave. Quatorze Palestiniens ont été tués par les tirs et frappes israéliens. Les hostilités ont causé la mort d’un officier israélien et d’un autre Palestinien travaillant en Israël, tué par une roquette.
Plus qu’à aucun autre moment depuis 2014, elles ont rapproché les protagonistes d’une quatrième guerre en une décennie dans le territoire sous blocus coincé entre Israël, l’Egypte et la Méditerranée, avant l’annonce mardi après-midi d’un cessez-le-feu sur intercession égyptienne. L’aviation israélienne et les roquettes palestiniennes se sont en conséquence tues mardi après-midi. Et la vie a repris son cours dans la bande de Ghaza éprouvée par les guerres, la pauvreté, les pénuries et le chômage.
Du côté israélien, toutes les restrictions ont été levées aux activités dans les localités périphériques de Ghaza, où les tirs de roquettes avaient précipité les résidents aux abris. Les trains devaient recommencer à circuler. Le mouvement islamiste Hamas, qui dirige la bande de Ghaza, et les autres groupes palestiniens ont indiqué qu’ils respecteraient le cessez-le-feu «aussi longtemps que l’ennemi sioniste le respectera». Le Hamas et ses alliés ont véhiculé un message de succès. Après l’annonce, des milliers de Ghazaouis ont participé à des manifestations de joie pour proclamer la «victoire sur Israël».
Un contraste frappant avec la situation de l’autre côté de la frontière. Nombre d’Israéliens de la «périphérie» ont exprimé dans la rue et sur les réseaux sociaux leur ressentiment contre un gouvernement qui devrait frapper plus fort les groupes palestiniens. Et les divisions causées par la stratégie à adopter face au Hamas ont éclaté au grand jour. Malgré des mois de tensions persistantes le long de la frontière, le Premier ministre israélien a fait le choix du cessez-le-feu plutôt que de l’escalade militaire, faute d’options, s’accordent les commentateurs.
M. Netanyahu préfèrerait contenir le Hamas plutôt que de tenter de l’éliminer, inquiet soit du vide que laisserait le mouvement islamiste, soit de l’impossibilité pour Israël d’assumer la sécurité d’un territoire d’où il s’est retiré en 2005. Lors d’une réunion du cabinet de sécurité, forum restreint chargé des questions les plus sensibles autour du Premier ministre, les responsables de l’armée et de tous les services de sécurité ont plaidé pour le cessez-le-feu, a rapporté la presse, et M. Netanyahu les a suivis, sans soumettre la question à un vote.
Depuis des mois, des élections anticipées avant l’échéance prévue de novembre 2019 sont dans l’air, favorisant les surenchères.
Le Conseil de sécurité de l’ONU, quant à lui, s’est réuni à huis clos mardi pour discuter de Ghaza, mais s’est séparé sur un constat d’échec, ont indiqué des diplomates. Ghaza et ses alentours sont en proie depuis fin mars aux tensions qui ont culminé à de nombreuses reprises dans des flambées de violences jusqu’alors retombées au bout de quelques heures.
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Le ministre du travail et de la fonction publique, Adidjatou Mathys a ouvert, ce mercredi 14 novembre 2018, à Cotonou, une réunion des experts des Etats membres de l'Observatoire des fonctions publiques africaines (Ofpa). « Les fonctions publiques africaines en marche vers la modernisation », c'est le thème autour duquel les experts échangeront jusqu'au 16 novembre prochain.
Les travaux de ces assises s'inscrivent dans le cadre de l'organisation de la 11e session de la Conférence des ministres en charge de la fonction publique de l'institution.
Selon Adidjatou Mathys, cette réunion se tient dans un contexte particulier, marqué par quatre années d'apathie de l'organisation. Une situation qui risquait, si rien n'est fait, d'avoir définitivement raison de l'initiative de Cotonou, qui a porté l'Ofpa sur les fonts baptismaux en novembre 2011, a-t-elle rappelé.
En dehors des documents de travail de l'année 2018 et ceux relatifs aux prévisions de l'année 2019, il sera élaboré durant les travaux, à titre de régulation, des rapports d'activités et financiers du secrétariat exécutif de 2014 à 2017.
De même, des projets de programmes de travail et de budget au titre des années 2018 et 2019 ainsi que les propositions de relecture de certains passages des référentiels officiels de l'Ofpa seront élaborés. A cet effet, Adidjatou Mathys a rappelé aux experts que la pertinence des analyses et la qualité des conclusions et suggestions issues de leurs travaux constitueront des atouts appréciables pour la qualité des décisions qui seront prises par la Conférence des ministres prévue les 17 et 18 novembre prochain.
F. A. A.
Par Walid AÏT SAÏD
Les vacances d’automne qui ont débuté, hier, ainsi que les préparatifs des vacances de fin d’année viennent dessiner la nouvelle «cartographie» du tourisme «Made in Bladi». Une surprise vient bousculer la star de cette période qu’est le Sud. Il s’agit de la Kabylie. Voyagez avec nous!
Le tourisme se lèvera par le Sud? «Oui, mais seulement…!», répondent les voyagistes et les passionnés de la destination Algérie. Après le Salon international du tourisme et des voyages 2018 (Sitev) qui s’est achevé récemment à Alger, Rachid Cheloufi, le commissaire de l’événement a estimé que l’avenir de la destination Algérie était son Sahara. La réalité du terrain vient confirmer en partie cette affirmation! Les vacances d’automne qui ont débuté, hier, ainsi que les préparatifs des vacances de fin d’année viennent dessiner la nouvelle «cartographie» du tourisme «Made in Bladi».
Une surprise vient bousculer la star de cette période qu’est le Sud. Il s’agit de la Kabylie. Depuis un petit moment déjà, cette destination qui se limitait aux régions côtières prise d’assaut en été, est devenue tendance notamment chez les jeunes.
«Depuis quelque temps déjà, on organise presque chaque week-end des sorties dans des villages de Kabylie, notamment à Tikjda ou Tiferdoud», nous confie Camelia Dameche, directrice de l’agence Cerf Travel à Rouiba. D’ailleurs, cette jeune demoiselle a prévu une sortie du genre pour célébrer le début des vacances d’automne. Elle a donné un nom simple, mais très évocateur à ce programme touristique: une journée d’oxygénation sur les hauteurs du Djurdjura. «Je vais sortir des sentiers battus pour faire découvrir un trésor caché à mes clients. Il s’agit du village de Timaghras dans la commune de Aït Boumahdi, dans la wilaya de Tizi Ouzou. C’est le village d’où je suis originaire qui dispose d’atouts touristiques indéniables que je ferai découvrir aux voyageurs», a-t-elle fait savoir en donnant l’exemple des belles rivières et les magnifiques chutes d’eau. «Je laisse le reste à découvrir de soi-même», poursuit-elle en nous donnant l’eau à la bouche!
La mode du bivouac et la magie de «Racont’Art»…
Camelia ou plutôt Cami comme aiment l’appeler ses clients qui sont devenus ses amis, n’est pas la seule à proposer la conquête du Djurdjura! Tikjda qui est devenue la «Mecque» des amoureux du camping est déjà prise d’assaut par des jeunes qui ne pouvaient imaginer un jour pouvoir bivouaquer en Algérie.
«Avec des amis on a pris un petit congé pour profiter des premières chutes de neige mais aussi d’un long week-end du 1er novembre qui s’annonce des plus ensoleillés», nous fait savoir Sami et son groupe «mixte» qui ont installé leur campement au niveau de ce qui est appelé le «Chalet du Kef». «La sécurité et la gentillesse des gens du Djurdjura qui nous accueillent à bras ouverts ont fait que ces merveilleuses montagnes sont devenues très prisées par les amoureux de la nature et amateurs de bivouac», a-t-il révélé, en insistant sur le respect de la nature et des habitants locaux. Le respect de la nature et des gens c’est la seule condition que le groupe de passionnés «The Wolves Adventure» exige pour participer à son big bivouac qui est prévu le week-end du 16 novembre au niveau d’Aswel, toujours à Tikjda. «Un événement gratuit qui se paye par la bonne ambiance la fraternité et le respect de la nature», précisent les organisateurs. Au programme de cet événement qui en est à sa 3e édition, des randonnées, des ateliers de secourisme, escalades, alpinisme, spéologie, cyclisme; photographie… «Bref, on passe une nuit dans un seul endroit dans le but de l’échange, le partage et la sensibilisation», ont résumé les organisateurs qui promettent une édition encore plus belle que les précédentes.
Cette nouvelle tendance du bivouac a fait que les agences et les groupes de jeunes spécialisés dans l’organisation de sortie surfent sur cette mode. Diverses agences et groupes proposent ces sorties monnayant des sommes presque symboliques. «Cela va de 2000 à 5000 dinars, le week-end repas et équipements compris», indique un jeune qui a l’habitude de participer à ce type d’activités. Mais pourquoi cet amour pour les montagnes du Djurdjura? «La beauté de ces montagnes joue certes un rôle des plus prépondérants, mais c’est le festival Racont’Art » et le concours du village le plus propre qui ont fait sortir cette région de l’ombre», précise ce même jeune. «L’ambiance bon enfant qui y règne a fait que tout le monde veut voir de ses propres yeux ce qu’ils ont vu à la télé et sur les réseaux sociaux et qu’ils n’arrivent toujours pas à croire que c’est en Algérie…», ajoute ce jeune qui s’est donné comme objectif de visiter tous les villages de cette région.
Mariage et musique électro au Sahara!
La Kabylie est donc en train de bousculer la destination du Sud. Mais de là à dire qu’elle va l’effacer, c’est un pas que les professionnels du voyage refusent de franchir. «Non, il ne faudra seulement pas la négliger et ne penser qu’à la promotion du Sahara», soutiennent les voyagistes qui rappellent que notre désert dispose de paysages uniques dans le monde. A cette beauté qui n’est plus à présenter, on doit désormais y ajouter des activités qui sortent de l’ordinaire et qui font du Sud un produit encore plus magique.
Il y a bien évidemment les fêtes traditionnelles telles que le Mawlid Ennabaoui Echarif et Achoura à Timimoun. Néanmoins, «Moov Events» et «Jil Voyages», agences de communication événementielle et de tourisme, viennent de frapper un énorme coup! elles vont organiser du 1er au 3 novembre à Taghit (wilaya de Béchar) le premier «électric bivouac festival». Comme l’indique son nom, c’est un festival de musique électro mêlée à de la musique traditionnelle de la région du Sud. Une dizaine de DJs seront de la partie et feront vibrer Taghit de leurs sonorités électro-gnawa et tech-diwan, comme DJ Tarik, Astro Deepak, Twelve et Mino Safy, ou encore, pour la première fois en Algérie la DJette Paloma Colombe, pour les plus notables. Ce qui se mêlera aux traditions locales. Surtout qu’il intervient en plein «moussem» (fin de la récolte des dattes), qui est accompagné chaque année de grandes festivités.
Un coup de maître qui fera parler de lui à l’international, notamment auprès des amateurs de ce genre de musique qui sont très à l’écoute de ce type de festival. Un beau coup de «com» qui nous rappelle celui qu’a fait l’an dernier un jeune couple franco-algérien en célébrant ses noces en plein…désert! Les images de cette cérémonie unique en son genre ont fait le tour du monde après avoir été partagées sur les réseaux sociaux. Elles ont fait des émules, puisque même des étrangers ont fait part de leurs voeux de se dire oui au milieu des dunes de notre magnifique Sahara. «Les réseaux sociaux sont en train de faire ce que notre diplomatie n’a pas réussi à faire: promouvoir la destination Algérie», avoue Nacera Moumene, directrice de l’agence de tourisme «Voyage du Coeur». Nacera assure que cela a permis de «booster» les demandes, particulièrement pour le Sud algérien. D’ailleurs, cette année son agence a décidé d’organiser un voyage par mois vers une ville du Sud (Timimoun, Djanet et Taghit en tête d’affiche, Ndlr). «Cela avant de mettre les bouchées doubles en fin d’année du fait que la demande se fait déjà bien ressentir», a-t-elle soutenu avant de conclure que le réveillon s’annonce plus que jamais: «Made in bladi»…
Une agence propose de vivre le déclenchement de la révolution dans les Aurès
1er Novembre: là où tout a commencé…
Les nouvelles agences de voyages innovent! Elles sont sorties du «Hadj et la Omra» pour faire la promotion de la destination Algérie en proposant des produits des plus originaux. C’est le cas de «Tiq-Taq Travel and Event» qui organise le long week-end du 1er Novembre, là où tout a commencé! C’est-à-dire en plein milieu des Aurès où a été tirée la première balle synonyme du déclenchement de notre révolution nationale. Il sera bien évidemment question de visiter les sites d’où ont été tirées les premières balles. Mais pas seulement! Il est prévu une virée aux ruines de Timgad, le tombeau d’Imadghassen, les balcons du Ghoufi et le site de M’chounèche. Le tout à 8000 DA en pension complète. Une belle expérience qui permet de plonger en plein coeur de notre histoire.
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L’ex-secrétaire général du FLN Ould Abbès a confirmé à TSA, qu’il avait passé la main pour raisons de santé: « Ne parlez pas de politique. Maintenant, il y a ma santé et ma vie qui sont en jeu. J’ai été transféré au service des urgences de l’hôpital de Ain Naâdja où j’ai été merveilleusement pris en charge. Je suis sorti hier soir. On m’a demandé de me reposer pendant plusieurs semaines, je me repose », informe Ould Abbès, qui est actuellement en congé maladie.
La gestion des affaires courantes a été confiée à une direction collégiale, dirigée par le président de l’APN, Mouad Bouchareb.
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GENEVE – Le Groupe de Genève des ONG de soutien à la Protection et la Promotion des Droits de l’Homme au Sahara Occidental (GSPPDHSO) a appelé, mercredi, à la nécessité d’inclure un mécanisme de surveillance des droits de l’homme dans le cadre des missions de la MINURSO, en vue de mettre en place et l’application de mesures indépendantes et crédibles, à même d’assurer le respect des droits de l’Homme, dans les territoires occupés ou dans les camps de réfugiés sahraouis.
Au terme d’une conférence de presse organisée par le GSPPHSO, au Club de la presse de Genève, sous le thème » Vers la fin du conflit au Sahara Occidental ? », les organisations de défense des droits de l’Homme ont appelé le Secrétaire général (SG) de l’ONU » à dépêcher une mission technique par le Bureau du Haut-commissaire des Droits de l’homme, dans région du Sahara Occidental et dans les camps de réfugiés », a indiqué, mercredi, l’Agence de presse sahraouie (SPS).
Les mêmes organisations de défense des droits de l’homme ont également appelé à « la mise en œuvre du programme de coopération et au renforcement des capacités* avec le Front Polisario, conformément aux recommandations du Conseil économique et social de l’organisation, concernant le soutien aux pays et territoires non-autonomes, en vue de consolider et de hisser le niveau de coopération, avec les mécanismes des droits de l’Homme qui relèvent de l’Onu », indique-t-on de même source.
Les mêmes organisations ont rappelé dans leur message, la série des résolutions onusiennes afférentes à la question du Sahara Occidental, dont la résolution 2018/2440 adoptée par le Conseil de sécurité, laquelle met l’accent sur « la nécessité pour les deux parties de retourner à la table des négociations directes, en vue de parvenir à une solution pacifique d’un commun accord, à même d’assurer au peuple sahraoui son droit à l’autodétermination, conformément aux principes et buts de l’ONU ».
Elles ont exhorté, dans ce cadre, l’Assemblée générale et l’Espagne en sa qualité de puissance administrante pour « l’organisation d’un référendum libre d’autodétermination au profit des Sahraouis dans les meilleurs délais, conformément à la résolution 2220 de l’AG de l’ONU ».
Par ailleurs, les organisations ont dénoncé le dernier discours du Roi du Maroc, Mohammed VI, prononcé le 6 novembre à l’occasion de l’anniversaire de l’invasion marocaine illégale du Sahara occidental, qualifiant ce discours « d’agressif » et qui reflète l’absence de la volonté politique chez le Maroc et la bonne foi à laquelle le Conseil de sécurité et le secrétaire général de l’ONU avaient appelé.
Composé de plus de 170 organisations et commissions nationales et internationales des droits de l’Homme.
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Me Bastien Salami et Dine Bouraïma, président du Consortium Touristes par millions étaient au cabinet du président de la Cour constitutionnelle, mercredi 14 novembre 2018. Les deux délégations sont allées s'entretenir avec le Joseph Djogbénou sur différents sujets d'intérêt national.
Partager avec le président de la Cour constitutionnelle leur joie pour son élection à la tête de l'institution et discuter sur quelques sujets d'intérêt national, c'est le but de la rencontre entre Me Bastien Salami était accompagné du premier adjoint au maire de Saketé, de l'iman central, des dignitaires et des cadres de cette ville.
A la sortie de l'audience Me Salami a confié à la presse que ce déplacement a été juste une visite de courtoisie au président. Il a précisé qu'ils allés féliciter le président de la Cour pour son élection à la tête de l'institution. Ils en ont profité pour encourager toute l'équipe que dirige Me Djogbénou pour son effort à préserver les acquis démocratiques.
Quant à la délégation du Consortium Touristes par millions, conduite par Dine Bouraïma, elle est allée informer le président de la Cour sur les difficultés rencontrées dans le secteur touristique par les acteurs. Les membres de la délégation ont fait part de leur préoccupation sur la pérennisation des réformes engagées par le gouvernement notamment celle relative à l'exemption de visa pour les africains dans le but de la facilitation de leur entrée au Bénin.
Les échanges entre le président de la Cour constitutionnelle, et ses hôtes ont été enrichissants.
G.A.
BLIDA – Le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs , Mohamed Aissa, a insisté, mercredi à Blida, sur l’impératif de s’orienter dans le futur vers une réécriture « simple, claire et non épique » de la « Sira Nabawiya » (Conduite du prophète) afin de la faire mieux connaître de par le monde.
Dans son intervention, au cours du lancement des festivités officielles de célébration du Mawlid ennabaoui echarif (naissance du prophète QSSSL), M. Aissa a lancé un appel aux chercheurs universitaires et académiciens du domaine en vue de « réécrire, dans une nouvelle version, la Sira Nabawiya en lui conférant une dimension humaine et éducative ».
L’objectif étant, a-t-il expliqué, « d’informer et d’éclairer la génération à venir et le monde en général, sur la conduite et les vertus du Sceau des prophètes(QSSSL), notamment sur les plans hygiène, bon voisinage et vivre ensemble en paix, sans distinction entre religions ».
Le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs a par, la même, réitéré son appel aux imams des mosquées de se placer au « dessus du débat qui leur est imposé » au sujet de « la conformité ou non de la célébration du Mawlid Ennabaoui », considérant « qu’il s’agit d’un fait en relation avec l’amour du Messager d’Allah », a-t-il ajouté.
« Nous n’avons nullement besoin de Fetwa pour célébrer l’amour du prophète et sa naissance à travers le rappel de ses vertus et qualités », a observé le ministre, soutenant que l’amour des Algériens pour leur prophète est « des plus grands », et qu’ils sont parmi les « plus prolifiques en matière d’ouvrage concernant sa vie », a-t-il relevé.
Estimant, dans ce contexte, que « ceux qui veulent nous empêcher de célébrer cette fête religieuse, veulent vider le cœur de nos enfants de l’amour du prophète qui est ancré en eux ».
Mohamed Aissa a annoncé, à l’occasion, la célébration attendue de cette fête au niveau de l’ensemble des wilayas, à travers des concours de poèmes, de chants religieux, de récitation du Coran et du Hadith.
Dans le cadre de ces festivités, le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs est attendu, demain jeudi à Tipasa, avant de se rendre vendredi à Tebessa où il procédera, au nom du Président de la République, à l’inauguration de la mosquée Larbi Tebessi.
Un hommage est également programmé au profit de 114 imams, morts assassinés dans l’exercice de leur devoir, durant la décennie noire, et dont deux membres des familles de chacun d’eux bénéficieront d’une Omra, durant le mois de Ramadhan prochain.
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La Conférence européenne de soutien et de solidarité avec le peuple sahraoui (Eucoco 2018), prévue pour sa 43ème édition vendredi et samedi dans la capitale espagnole, Madrid, sera l’occasion pour les participants de rappeler la responsabilité de l’Espagne dans l’occupation marocaine du Sahara occidental et dénoncer l’échec des Nations Unies, de l’Union européenne et de la communauté internationale dans la résolution du conflit.
« Pour l’indépendance du Sahara Occidental. La responsabilité de l’Espagne et de l’Europe dans la solution », sera le slogan de cette conférence, qui coïncide, cette année, avec le 43ème anniversaire de la signature de la Déclaration de Madrid (14 novembre 1975), qui avait ouvert la voie à l’invasion marocaine des territoires sahraouis.
A cette occasion, les participants rappelleront à l’Espagne sa responsabilité concernant les violations commises par le Maroc depuis plus de 40 ans dans les territoires sahraouis, et demanderont également au gouvernement espagnol et à l’Europe d' »assumer leur responsabilité vis-à-vis du peuple sahraoui ».
« Il est nécessaire que la célébration de cette Eucoco à Madrid soit une occasion pour assumer notre responsabilité comme pays, dénoncer l’échec des Nations unies, de l’Union européenne et de la communauté internationale en général, qui appuient à de nombreuses occasions l’occupation marocaine du Sahara Occidental », indiquent les organisateurs dans un communiqué publié sur le site de l’Eucoco.
« Notre responsabilité persiste dans l’actuelle situation et conformément au droit international. Nous ne pouvons pas oublier que cet accord est nul et non avenu, car il n’est pas légal de céder la souveraineté d’un territoire à décoloniser », ajoute le même texte.
Les assises de Madrid interviennent , rappelle-t-on, au lendemain du vote à l’ONU de la résolution 2440, renouvelant pour six mois le mandat de la Mission de l’ONU pour l’organisation du référendum au Sahara occidental (Minurso) mais aussi en prélude des prochains pourparlers à Genève entre le Front Polisario et le Maroc.
Les travaux de la conférence se tiendront en ateliers, principalement autour de quatre thèmes: « la situation politique », « les droits de l’homme », les ressources naturelles » et l’ »appui au développement de l’Etat sahraoui ».
L’évènement, notent les organisateurs, sera marqué principalement par la forte participation de l’Afrique et de l’Amérique Latine, du fait du rôle « toujours plus important » joué par ces continents dans la recherche d’une solution définitive au conflit, mais aussi du fait de « leur engagement pour la justice, le droit et la légalité internationaux », précisent-ils.
Madrid pour exiger l’application des sentences de la CJUE
Par ailleurs, les intervenants auront, également, à aborder plusieurs thèmes notamment celui de « l’exploitation illégale des ressources du Sahara occidental par l’occupant marocain et des violations juridiques ».
En effet, la Cour de justice de l’Union Européenne (CJUE) avait statué en décembre 2016, qu’aucun accord de commerce ou d’association avec le Maroc ne pouvait être appliqué au Sahara occidental sans le consentement clair du peuple sahraoui, représenté par le Front Polisario, tenant compte du fait que le territoire sahraoui a un statut « distinct » et « séparé » du Maroc.
Dans ce contexte, la conférence doit être mise à profit pour exiger l’application des sentences de la CJUE, concernant l’exploitation des ressources naturelles du Sahara Occidental, par tous les pays de l’Union Européenne, et les inviter à participer « activement à la recherche d’une solution juste et définitive ».
Les récentes sentences du Tribunal de Justice de l’UE ont établi que le Maroc et le Sahara occidental sont des « territoires distincts et séparés, et que donc, l’accord de pêche proposé à la signature n’est pas applicable au Sahara occidental ni à ses eaux territoriales ».
L’avocat du Front Polisario, Gilles Devers, avait à chaque fois répété que « désormais, depuis les arrêts de la cour de justice de l’UE, les entreprises européennes activant sur le territoire du Sahara occidental, doivent soit négocier avec le représentant légitime du peuple sahraoui, le Front Polisario, ou cesser les activités et partir ».
Inscrit depuis 1966 sur la liste des territoires non-autonomes, donc éligible à application de la résolution 1514 de l’Assemblée générale de l’ONU portant déclaration sur octroi de l’indépendance aux pays et peuple coloniaux, le Sahara occidental, dernière colonie d’Afrique, est occupé depuis 1975 par le Maroc, soutenu par la France.
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Le Directeur général de la pédagogie au ministère de l’Education nationale, Farid Benramdane, a fait savoir mercredi à Alger que le défis le plus important auquel fait face le secteur de l’éducation à l’horizon 2035 était d’atteindre une école de qualité.
« L’Ecole algérienne qui se basait auparavant sur l’enseignement de quantité tend aujourd’hui atteindre la qualité en formant des élèves jouissant d’un enseignement qualitatif conformément aux normes internationales », a relevé M. Benramdane lors d’une conférence débat organisée par l’Institut national d’études de stratégie globale (INESG) sous le thème « L’école algérienne à l’horizon 2035: situations, enjeux et défis ».
A ce propos, le même responsable, a rappelé que l’étude effectuée par le ministère de l’Education nationale en 2015 en se basant sur les copies d’examens des élèves (langue arabe, langue française et mathématiques) avait permis de recenser 500.000 fautes.
Il a souligné, dans ce sens, l’importance du traitement pédagogique, une approche qui a été adoptée par le ministère de l’Education après avoir constaté ce grand nombre d’erreurs, ajoutant que la correction de ces fautes dès le début aura un « effet positif » sur l’école algérienne.
M. Benramdane a mis en avant, aussi, la nécessité de passer de l’enseignement traditionnel à la diversification des méthodes d’apprentissage en bénéficiant, notamment, des expériences des pays pionniers en la matière à l’image de la Corée du Sud qui a su réformer son système éducatif à travers une seule génération ».
Selon M. Benramdane, ce programme international destiné aux élèves âgés de 15 ans, tend à évaluer leur capacité à résoudre les problèmes rencontrés au quotidien, en utilisant leurs connaissances et savoir-faire acquis dans trois domaines bien déterminés: l’écrit (la lecture), les mathématiques et les sciences, et à exprimer clairement leurs avis à l’égard de ces difficultés.
Concernant la compétition de la moyenne mondiale de mathématiques, l’Algérie « a obtenu 360 points, alors que la moyenne mondiale est de 490 points, contre 376 points pour les sciences pour une moyenne mondiale de 493 points », a-t-il poursuivi, ajoutant « ce qui nous importe à l’heure actuelle ce n’est pas le classement mais plutôt la méthodologie et la manière d’améliorer le niveau d’enseignement en Algérie, conformément aux objectifs nationaux répondant aux constantes nationales ».
Revenant au volume horaire, l’intervenant a rappelé que de 2004 à 2014 les cours se sont étalés sur 22 semaines, alors que la moyenne mondiale varie entre 34 et 36 semaines, expliquant ce fait par « les mouvements de grève enregistrés dans le secteur durant la dernière décennie, soit l’équivalent de deux années de cours perdues ».
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Le MC Alger a écopé de deux matchs à huis dont un avec sursis pour « jet de projectiles et provocation de dégât à l’intérieur du stade » lors de sa rencontre face à l’USM Bel Abès disputée le mardi 13 novembre au stade du 5 juillet pour le compte de la 14ème journée du championnat de Ligue1 Mobilis, a indiqué mercredi la Ligue de football professionnel (LFP).
Selon la même source, le club est astreint aussi à rembourser au gestionnaire du stade les frais de dégradation causés par les supporteurs sur les lieux.
Dix-huit (18) policiers et 22 supporters ont été blessés suite à des violences survenus à la fin de la rencontre qui a opposé ,mardi soir au stade du 5 juillet à Alger, le MCA à l’USMBA (0-1) pour le compte de la 14e journée de la Ligue 1 de football, avait annoncé, mercredi, la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN).
« 42 personnes ont été arrêtées lors de ces incidents, dont 22 pour trouble à l’ordre public et d’autres pour détention d’armes blanches, de drogues et de psychotropes », a indiqué la même source, précisant que 10 véhicules de la sûreté, un véhicule appartenant à un particulier et une ambulance de la protection civile ont été saccagés lors de ces échauffourées.
D’autre part, le joueur du MC Alger Azzi Ayoub a été sanctionné de trois matchs de suspension dont un avec sursis « pour voie de faits » lors de la rencontre de mardi soir.
La même sanction a été infligée au joueur de la JS Kabylie Tizibouali Bilel.
La commission de discipline réunie ce mercredi a un infligé également au gardien de Bordj Bou Arreridj Chaouchi Fawzi un match de suspension ferme supplémentaire pour contestation de décision en plus des trois des trois matches de suspension annoncés à l’occasion de la rencontre CABBA- MCA du 20 octobre dernier.
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