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ALGER – Une exposition d’art pictural, inscrite dans le mouvement contemporain, de l’artiste italien Claudio Burei, qui explore dans ses œuvres des supports et des techniques atypiques en plus du digital painting, a été inaugurée jeudi à Alger.
Intitulée « Rien de personnel », cette exposition organisée par l’Institut culturel italien d’Alger, se tient à l’espace d’art « Les ateliers sauvage » dans le cadre de la 15e édition de la manifestation « La journée du contemporain » organisée dans plusieurs villes du monde par l’Association des musée d’art contemporain italiens.
Dans une première collection, l’artiste explore des technique comme les incisions, les griffure et la peinture pour réaliser des portraits du symbole de la révolution cubaine Ernesto Guevara et de l’ancien chef d’Etat chinois Mao Zedong sur des support en carton ondulés où la peinture ne sert qu’à définir les contours de ces visages, faits d’incisions, et où l’absence de matière remplace le trait.
Avec cette même technique l’artiste peintre expose également les œuvres « Discovery » qui évoque l’art rupestre sur un fond de nuances de bleu, et la collection « Once Upon Time » montrant le rapport entre les enfants et leurs animaux de compagnie dans une conception assez naïve.
Claudio Burei offre également aux visiteurs la possibilité de découvrir la collection « Ogle », qui s’inscrit dans un héritage culturel de Pop’Art italien, et où il explore le digital painting en déconstruisant l’image du géant d’Internet Google dans des œuvres comme « 1,2,3,… » arborant le drapeau algérien, « Usogle » dédiée aux USA ou encore « Bangala » célébrant l’alphabet et la langue Bengali.
Autre œuvre proposée à l’exposition « Rien de personnel », « Distance » inscrite dans l’art abstrait avec une conception contemporaine exploitant une infinité de nuances de vert avec une technique mixte d’email sur carton appuyant sur les craquelures de l’émaillage comme un trait de crayon libre.
L’exposition « Rien de personnel » est ouverte aux visiteurs jusqu’au 15 décembre à l’espace d’art « Les ateliers sauvages ».
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ALGER – Le Centre national du registre de commerce (CNRC) a lancé une campagne pour encourager les commerçants à se doter d’un registre électronique au lieu du registre classique, en vigueur.
Dans une vidéo de vulgarisation, réalisée dans les trois langues : arabe, tamazight et française, dont l’APS détient une copie, le CNRC explique la procédure d’obtention du registre de commerce électronique, qui s’inscrit dans le cadre de la modernisation du secteur.
Le modèle de l’extrait du registre de commerce délivré sous format électronique a été fixé par un décret exécutif n 18-112 publié au Journal officiel n 21.
A cet effet, le texte précise « qu’il est inséré sur les extraits du registre de commerce des commerçants, personnes physiques ou morales, un code électronique, dénommé registre de commerce électronique (RCE) », ajoutant que le code électronique « RCE » est un « symbole graphique comportant des données et des informations cryptées se rapportant au commerçant ».
Ainsi, note le décret exécutif, le RCE, est imprimé sur les extraits du registre de commerce, selon des caractéristiques précises, à savoir : face recto, à droite de la partie supérieure de l’extrait du registre de commerce, en noir sur fond blanc, entouré d’un cadre noir.
La lecture du code électronique RCE, est selon ce texte législatif, effectuée par tout périphérique doté d’un dispositif de capture d’images, au moyen d’une application téléchargeable gratuitement sur le portail électronique du Centre national du registre de commerce (CNRC), alors que la mise à jour des informations contenues dans le code RCE est régulièrement effectuée par les services du CNRC.
Par ailleurs, il est souligné que toute détérioration du code RCE rend l’extrait du registre du commerce caduc. Dans ce cas, le titulaire du registre de commerce est tenu de demander un duplicata de l’extrait du registre de commerce, doté du code électronique RCE.
Dans ce sillage, les commerçants ne détenant pas l’extrait du registre de commerce, doté du code électronique RCE, sont appelés à demander la modification de leurs extraits de registre de commerce, auprès des antennes du CNRC territorialement compétentes pour l’obtention de ce code.
Le décret exécutif, précisant que les extraits du registre de commerce non revêtus du code électronique, demeurent valides durant une période d’une (1) année, à compter de la publication de ce décret exécutif au Journal officiel.
Pour rappel, l’Algérie compte plus de 1,95 million d’opérateurs économiques inscrits au registre de commerce, recensés jusqu’à fin 2017.
Sur l’ensemble de ces opérateurs économiques, 1,77 million d’opérateurs exercent sous le statut de personnes physiques (91%), alors que près de 184.000 autres possèdent le statut de personnes morales (entreprises).
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ALGER – Le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du Territoire, Noureddine Bedoui a affirmé, jeudi à Alger, que le projet de loi sur les collectivités territoriales « a connu un progrès et se trouve actuellement au niveau du Secrétariat général du gouvernement (SGG) en attendant de le soumettre prochainement au Conseil du gouvernement, puis au Conseil des ministres ».
S’exprimant lors d’une conférence de presse au terme de la réunion gouvernement-walis, M. Bedoui a indiqué que « le projet de loi sur les collectivités territoriales soumis au SGG, a connu un progrès et sera présenté prochainement au conseil du gouvernement, puis au conseil des ministres et au Parlement en cas d’approbation ».
Il a mis en exergue également que « les élus locaux ont une responsabilité énorme dans la concrétisation de la nouvelle vision » contenue dans ce projet de loi.
Le ministre a estimé que le message du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, aux participants à cette conférence se veut une « feuille de route pour promouvoir le développement local », soulignant le souci du gouvernement à concrétiser le contenu du message du Président Bouteflika et ses orientations au service du citoyen en vue d’améliorer ses conditions de vie ».
Après avoir précisé que la « création des wilayas déléguées » ne signifie pas un nouveau découpage administratif », M. Bedoui a fait savoir que « l’expérience sur le terrain a imposé le travail dans un cadre qui fait des wilayas déléguées des wilayas autonomes », ajoutant que le « renforcement des prérogatives des walis délégués, sur décision du Chef de l’Etat, a pour objectif de servir les intérêts des citoyens en insufflant une dynamique de développement soutenue à ces wilayas ».
La prise de décisions décentralisées vise à alléger et à accélérer les mesures pour répondre aux préoccupations des citoyens », a-t-il soutenu.
Répondant à une question sur le phénomène de l’immigration clandestine, M. Bedoui a affirmé, par ailleurs, que « l’Algérie était une pays de principes et de valeurs et qui respectait les droits de l’homme. Aucun pays n’est en mesure de lui apprendre la manière de gérer ce phénomène », a-t-il dit, ajoutant que l’Algérie « œuvrait en coordination avec les pays limitrophes et les instances internationales ».
Soulignant que « l’Algérie faisait face à des phénomènes inexpliqués en raison de l’exploitation de femmes et d’enfants des migrants clandestins », le ministre a affirmé que « l’Algérie avait le droit de préserver la sécurité, la stabilité et la quiétude de sa population ».
Les travaux de la réunion gouvernement-walis ont été sanctionnés précédemment par l’adoption d’une série de recommandations visant à renforcer le rôle des collectivités locales dans le processus du développement du pays.
Des experts et des spécialistes ont débattu, au niveau de cinq ateliers de travail, des thèmes relatifs à la gestion des collectivités locales en vue de parvenir à la concrétisation du développement local générateur de richesse et facteur de la croissance économique nationale à travers l’adoption de la démarche de décentralisation.
Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika a appelé les walis, dans un message adressé aux participants à cette rencontre, à adopter un nouveau mode de gouvernance « basé sur l’initiative, l’anticipation, la gestion par objectif et l’approche par résultats », exhortant les collectivités locales à s’acquitter « pleinement » de leur rôle dans le développement national.
Dans ce sens, M. Bedoui a fait savoir qu' »il sera procédé au renforcement du développement local par des programmes spéciaux de rattrapage décidés par le président de la République au profit des régions du Sud et des Hauts Plateaux », annonçant, à ce propos, « la finalisation des études relatives à ces programmes avec la contribution de tous les secteurs ». « Lesdits programmes seront mis en œuvre à partir de l’année 2019 selon un programme de réalisation défini ce qui permettra de remédier aux dysfonctionnements », a-t-il indiqué.
Il a ajouté que le Président Bouteflika et le gouvernement accordaient un intérêt majeur aux zones frontalières traduis par la mise en place de plans d’action spéciaux pour leur développement et la création de nouveaux postes de travail à travers le financement par la Caisse de solidarité et de garantie des collectivités locales de nombreux programmes communaux relevant de 12 wilayas frontalières d’une enveloppe financière de 4.4 milliards DA outre des plans communaux de développement (PCD) ».
Pour leur part, les ministres participant à la rencontre Gouvernement-walis ont salué l’option de la gestion décentralisée qui sera concrétisée une fois la loi sur les Collectivités locales amendée, affirmant leur disponibilité à concrétiser ce modèle de gestion.
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ALGER – Des détachements de l’Armée Nationale Populaire ont arrêté, jeudi à Bordj Badji Mokhtar et In Guezzam, 54 orpailleurs et saisi du matériel de détection de métaux, indique vendredi un communiqué du ministère de la Défense Nationale.
« Dans le cadre de la sécurisation des frontières et de la lutte contre la contrebande et la criminalité organisée, des détachements de l’Armée Nationale Populaire ont arrêté, le 29 Novembre 2018 à Bordj Badji Mokhtar et In Guezzam/6eRM, cinquante-quatre (54) orpailleurs et saisi deux (02) véhicules tout-terrain, des outils de détonation, deux (02) paires de jumelles, (21) groupes électrogènes, (20) marteaux piqueurs et un détecteur de métaux », précise le communiqué.
Par ailleurs, des Garde-côtes ont mis en échec, à Oran et Aïn Témouchent /2eRM, des tentatives d’émigration clandestine de (94) personnes à bord d’embarcations de construction artisanale, tandis que des Garde-frontières ont déjoué, à Souk-Ahras, Tébessa et El-Tarf /5eRM, des tentatives de contrebande d’une importante quantité de carburant s’élevant à (9.212) litres, ajoute la même source.
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L’appel à témoin, lancé en septembre dernier par le site 1000autres.org, pour connaître les Algériens victimes de la torture par l’armée français durant la guerre de libération, a enregistré 87 identifications, dont 77 disparitions, a-t-on appris vendredi des initiateurs, rapporte l’APS.
« En deux mois, bien que le site s’adresse en français à une population très majoritairement non-francophone et à des groupes d’âge n’ayant pas toujours un accès aisé à internet, 87 identifications ont été réalisées, dont 77 disparitions définitives après arrestation, les autres personnes identifiées ayant survécu à leur arrestation et à la torture », ont indiqué les historiens Malika Rahal et Fabrice Riceputi dans leur blog.
Dans ce premier bilan, depuis le lancement de ce site par l’Association Maurice-Audin et Histoirecoloniale.net au lendemain de la déclaration du président Emmanuel Macron sur la responsabilité de l’armée française dans la torture, l’assassinat et la disparition de Maurice Audin, les deux historiens indiquent que rares sont les signalements de cas d’enlèvement et de torture sans disparition, soulignant que les nombreuses identifications d’un père ou d’un grand-père disparu s’accompagnent bien de témoignages « forts », parfois « très précis » et assortis de photographies et d’autres documents.
« On réalise, en lisant les témoignages, combien la méthode de l’enlèvement, de la torture et de l’assassinat a atteint son but : diffuser l’effroi par capillarité dans l’entourage familial et, au-delà, dans le quartier et dans la ville », ont affirmé Malika Rahal et Fabrice Riceputi.
Ils expliquent que les témoignages montrent une frustration « explicite », parfois « mêlée d’amertume et de ressentiment », de ne pas voir l’histoire tragique du disparu et de sa famille connue et reconnue à l’égal de certaines autres.
Pour les deux historiens, les réactions diverses recueillies les mettent en contact avec un grand nombre de témoins dont beaucoup n’ont jamais été interrogés, pour constituer par le croisement des sources, un savoir scientifique sur cette « grande répression ».
Le site 1000autres.org a été lancé pour contribuer à faire connaître la vérité sur le sort des nombreuses victimes de disparitions forcées durant la guerre de libération nationale.
Soutenu par L’Humanité, Mediapart, Politis, Témoignage chrétien et El Watan, et des associations Mrap, LDH, Acca, Sortir du colonialisme, 1000autres.org compte également à rendre justice à ces victimes et à mieux faire connaître un pan d’histoire « trop longtemps occulté ».
Intitulé « Enlevés, détenus clandestinement, torturés et parfois assassinés par l’armée française, Alger 1957 – des Maurice Audin par milliers », il publie plus de mille notices individuelles sur des personnes enlevées et séquestrées à Alger en 1957, dont les proches ont cherché à avoir des nouvelles et dont certaines ne sont jamais réapparues.
APS
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PARIS – Un nouvel ouvrage « Algérie, les écrivains de la décennie noire » tente d’apporter une autre lecture littéraire et sociologique sur les années 1990 où l’Algérie était confrontée à la barbarie terroriste qui n’a épargné aucune frange de la société et encore moins les intellectuels.
L’auteur de cet ouvrage (2018, CNRS Editions, 344 pages) Tristan Leperlier, chercheur au Centre européen de sociologie et de science politique (EHESS) essaie de faire comprendre, à travers son étude, la guerre des écrivains algériens dans les années 1990 en mettant la lumière sur leur place dans les sociétés algérienne et française.
S’adressant à des lecteurs curieux qui veulent découvrir une littérature algérienne « proche et lointaine de langue française ou arabe ».
Tristan Leperlier, normalien et docteur en sociologie et littérature, dont sa thèse de doctorat soutenue en 2015 avait pour thème « Une guerre des langues ?: le champ littéraire algérien pendant la +décennie noire+ (1988-2003) : crise politique et consécrations transnationales », estime que face à une telle tragédie, le poète et journaliste, se référant à Tahar Djaout, « réveille le sens héroïque de la littérature ».
En analysant cette période douloureuse vécue par les Algériens, l’auteur ambitionne de comprendre « ce que le politique fait à la littérature et ce que fait la littérature au politique », tout en soulignant que l’écrivain algérien est « l’objet de luttes permanentes » entre les acteurs du champ littéraire qui est multilingue et transnational.
Son étude, très riche en références bibliographiques, s’appuie sur des méthodes littéraires et sociologiques formant ainsi un corpus littéraire élargi qui a été constitué à partir de la littérature critique et des entretiens avec plus de 70 écrivains.
L’auteur montre que les engagements littéraires et politiques des écrivains algériens pendant la « décennie noire » sont liés à leurs positions dans leur champ littéraire qui a une « triple caractéristique » : bilingue, transnational et politisé.
A cet effet, les premiers chapitres de l’étude, qui s’ébranle des événements du 5 octobre 1988, rendent compte des prises de position politique des écrivains et montrent que les violences de cette période illustrent une « véritable crise » pour le champ littéraire.
C’est ainsi que cette analyse poussée, ayant une base documentaire solide, tente de « montrer la nécessité, pour comprendre les prises de position des écrivains algériens dans la +décennie noire+, de les restituer dans leur champ d’exercice, un champ littéraire surpolitisé, bilingue et transnational ».
Pour le sociologue, qui fait également un travail de critique littéraire, la tragédie nationale n’a pas « révolutionné » le champ littéraire, « mais en a modifié les contours ».
Pour mettre en valeur la diversité du champ littéraire algérien, Tristan Leperlier revient sur les romans des écrivains qui ont marqué l’Algérie d’avant et d’après l’indépendance comme Mohammed Dib, Assia Djebar, Maïssa Bey, Rachid Boudjedra, Rachid Mimouni et Yasmina Khadra pour ne citer que ceux-là.
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L’Algérie a enregistré plus de 12.000 cas de VIH/SIDA depuis l’apparition de la maladie dans le pays en 1985 jusqu’au 30 septembre 2018, a révélé vendredi à Alger une responsable du ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière.
« Nous avons enregistré depuis 1985 au 30 septembre 2018 un chiffre cumulé de 12.083 cas de VIH/SIDA, avec une moyenne de 700 à 800 cas annuellement », a précisé dans une déclaration à l’APS, la sous-directrice des maladies prévalantes et de l’alerte sanitaire au ministère de la Santé, Dr Samia Hammadi, en marge d’une journée de sensibilisation « Yed fel Yed » (main dans la main), organisée par la Chaîne III de la Radio nationale, à la veille de la journée mondiale de lutte contre le SIDA.
Elle a ajouté que 1.880 des personnes sur les 12.083 concernaient des cas de SIDA (les autres sont séropositives), expliquant que ce chiffre (1.880) représente des personnes qui se sont faites dépister tardivement.
La maladie est autant répandue chez les hommes que les femmes, même si elle est légèrement élevée chez l’homme, alors qu’auparavant elle touchait trois hommes contre une femme, a fait savoir Dr Hammadi, relevant que la catégorie la plus touchée est les jeunes âgés de 20-35 ans.
Pour Dr Hammadi, ces actions de sensibilisation en faveur de la jeunesse notamment « est très importante pour permettre de découvrir les moyens de prévention contre cette maladie », ajoutant que le dépistage est assuré gratuitement à travers les 15 centres de prise en charge de l’infection au VIH/SIDA.
« Le médicament est gratuit et dès que le séropositif est détecté, il est pris en charge », a-t-elle fait savoir.
Adel Zeddam, représentant du Programme commun des Nations Unies sur le VIH/SIDA en Algérie (ONUSIDA), a constaté « une mobilisation et un engagement extraordinaires » pour lutter contre cette maladie, relevant des avancées « considérables dans la couverture du traitement ».
« Le chemin est encore très long. Il faut axer sur le volet préventif et le dépistage pour lutter efficacement contre cette maladie », a-t-il dit.
Pour sa part, Djamel Senhadri de la chaine III, initiatrice de cet évènement « Yed fe Yed », a indiqué que la mobilisation des jeunes pour participer à ces campagnes de sensibilisation s’accroît considérablement pour lutter contre la maladie du SIDA à travers la territoire national.
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Une analyse scientifique a révélé qu’une photographie de Vincent van Gogh à l’âge de 13 ans est en réalité un portrait de son frère Théo qui avait 15 ans, a indiqué jeudi Van Gogh Museum.
« Cette découverte est le résultat de nouvelles recherches approfondies conjointement menées – une première dans l’histoire – par le musée Van Gogh et Yves Vasseur (commissaire général de Mons 2015, capitale européenne de la culture), et ensuite confirmées par une enquête de police scientifique.
Willem van Gogh (conseiller auprès du musée Van Gogh et arrière-petit-fils de Théo van Gogh) », a expliqué un communiqué du musée parvenu à l’APS, soulignant que Vincent van Gogh n’était pas amateur de portraits photographiques.
La photographie en question a été pour la première fois rendue publique lors de l’exposition organisée en 1957 par Mark Edo Tralbaut (1902-1976), chercheur belge spécialiste de Van Gogh, qui avait reconnu Vincent dans le visage du garçon de 13 ans.
Depuis, la photo a fait le tour du monde et illustré de nombreuses biographies.
« La question de savoir si la photographie pouvait représenter quelqu’un d’autre n’avait jamais été posée. Les ressemblances physionomiques entre le garçon sur la photo et le portrait de Vincent à 19 ans n’incitant pas à revoir ce jugement », a déclaré Teio Meedendorp, chercheur en chef au Van Gogh Museum.
Ce n’est en 2014 qu’au cours de l’émission « Fotostudio De Jong » de la chaîne néerlandaise VPRO, que les deux portraits ont été utilisés comme données comparatives pour l’identification d’une troisième photographie, puis comparés au moyen d’une technologie expérimentale.
Cette étude comparative a constaté que le garçon âgé de 13 ans et le jeune homme de 19 ans pouvaient très bien représenter deux individus différents. Ce qui a conduit le musée Van Gogh à entreprendre une première série de recherches.
Yves Vasseur qui a, lui aussi, mis en doute récemment l’identité du garçon portraituré a indiqué qu’après de nombreuses recherches personnelles, il a décidé avec le musée Van Gogh « d’unir (les) efforts pour résoudre une fois pour toutes cette +crise d’identité+ ».
C’est grâce à une analyse forensique (méthode d’analyse fondées sur les sciences afin de servir au travail d’investigation de manière large) qu’il a été établi que le garçon portraituré représentait bien Théo van Gogh à l’âge de 15 ans, et non pas Vincent.
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Selon l’ex-ministre de l’énergie Chakib Khelil, la politique du gouvernement 49/51, limite la part de l’ investisseur étranger à un capital qui ne dépasse pas les 49%, « Je ne peux pas être d’accord avec une règle, quelqu’elle soit, décidée par un bureaucrate dans son bureau», précise M. Khelil. « Certains disent » que plusieurs investisseurs étrangers « ne sont pas du tout gênés par cette règle. Ils sont même présents ici en Algérie, Oui, mais combien sont-elles, les entreprises étrangères, à ne pas être venues ! », a-t-il ajouté.
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Un conseil communal junior vient d'être installé à Dangbo. Avec à sa tête Marjolaine Lokossou, élue par ses pairs, le conseil a été installé par le maire de la commune, Mathias Kouwanou, ce mercredi 28 Novembre 2018. La cérémonie s'est déroulée dans la salle de délibération de la mairie en présence des conseillers, des responsables d'établissements scolaires et d'ONG spécialisées dans les questions de l'enfance.
Composé de 15 membres, ce Conseil-Enfant issu des meilleurs élèves de la commune est une représentativité de tous les arrondissements de la commune. La sélection est conduite par des structures autonomes et parallèles à la mairie.
Le maire de la commune de Dangbo se dit heureux de cette initiative qui encourage l'excellence dans la commune. Confiant que la commune a besoin des cadres de demain, Mathias Kouwanou souligne que la participation des enfants à la vie de la cité est d'une importance capitale. Ce conseil junior est à même de renseigner davantage l'administration communale sur les difficultés qu'ils vivent et ceux de leurs milieux de vie afin d'y pencher pour des solutions adéquates. Il se dit rassuré puisque pour lui, les enfants sont au centre des grandes politiques du développement.
Le maire des enfants, Marjolaine Lokossou heureuse de sa couronne n'a pas tardé pour exposer les problèmes et les enjeux des enfants. Selon elle, beaucoup d'enfants sont déscolarisés à cause de la précarité, des travaux champêtres, le mariage forcé et le phénomène vidomègon. Elle assure de sa disponibilité avec son conseil communal junior à travailler en complicité avec le conseil communal de Dangbo et toutes les autres structures pour l'épanouissement des enfants. Marjolaine Lokossou invite ses pairs à travailler pour mériter leur réussite.
G.A.
Composition du conseil des enfantsMaire : Lokossou Marjolaine
Premier Adjoint : Hounkonnou Frédélice ( Collège Notre Dame de Lourdes)
Deuxième Adjoint : Nounagnon Darius ( Ceg Kodonou)
CA Dangbo : Kinsinou Martinien (Ceg 1 Dangbo)
CA Késsounou : Dossou Daho Louis ( Ceg Kodonou)
CA Hozin : Biokou Basile ( Collège Saint Hilaire)
CA DEKIN : Oké Marcelline ( Ceg Dêkin)
CA Zounguê : Govoéyi Florentine ( Ceg Zounguê)
CA Gbéko : Cyril Kouakinnou : ( Ceg Gbéko)
Les autres membres du Conseil-Enfant de Dangbo
1) Totin Juste : ( Ceg Zounta)
2) Hounsinou Jean Calvin : ( Ceg Djigbé)
3) Ahognon Ignace : ( Ceg Houédomey)
4) Djossou Théophile : ( Ceg Gbéko)
5) Ahognon Charles : ( Ceg Houédomey)
6) Zogbé Nathanaël ( Ceg Dêkin)