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European Council President António Costa will chair the Informal EU leaders' retreat in Palais d’Egmont, Brussels. Upon arrival he emphasized the need for an open discussion among EU leaders on European defense, stressing that Europe must take greater responsibility for its own security and that member states share a common interest in increased cooperation at the EU level.

Die Grippe hat die Schweiz fest im Griff. Lohnt sich eine Impfung jetzt noch? Vier Fragen und Antworten zur aktuellen Welle.

LG Electronics (LG) a levé le voile sur sa nouvelle gamme QNED evo 2025, une révolution technologique intégrant une gamme de couleurs étendue, une expérience […]

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Die pikanten und privaten Enthüllungen im Dschungelcamp reissen nicht ab. An Tag elf spricht Campbewohner Jörg Dahlmann über seine Krebserkrankungen – und warum er beim Sex nicht mehr scharf schiesst.

In Zusammenarbeit mit MySports präsentiert dir Blick die Highlights der Partie HC Lugano – ZSC Lions (2:1 n.V.).

Stan Wawrinka kassiert im dritten Match der Saison die dritte Niederlage.

The rebels say they will not seize any further territory but will protect their positions.

Der 66-fache Schweizer Handball-Nationalspieler Max Gerbl beendet seine Karriere.

Nachdem der junge Walliser Fussballer Jakov Jelkic am Samstag in Alicante als vermisst gemeldet wurde, erreicht am Montag die traurige Nachricht die Angehörigen. Jakov ist tot.

Les relations entre la France et l’Algérie connaissent un nouvel épisode de tensions, alimenté cette fois par les déclarations de Marine Le Pen. Invitée sur […]

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Das hypermobile Ehlers-Danlos-Syndrom ist eine genetische Erkrankung, die zu vielseitigen Beschwerden und chronischen Schmerzen führt. Meist dauert die Diagnosestellung sehr lange. Die Erfolgsautorin Rebecca Yarros nutzt nun ihre Plattform, um EDS eine Stimme zu geben.

Ein Buch steht in der Schweiz gleichzeitig auf Platz 1 und 2 der Bestsellerliste und stellt auch sonst Rekorde auf. Fünf Fragen und Antworten zum Titel der Stunde «Onyx Storm».

The Deal is part of the Labour government’s 'reset' approach to the EU – just a few years after London left the bloc.

Ziegenzüchter Kai Bolliger (49) der wegen der Evakuierung in Brienz GR seinen Stall aufgeben musste und dringend einen leeren Stall für seine Ziegen suchte, kann aufatmen: Dank viel Solidarität der Blick-Community fand er einen Ziegenstall.

Von falschen Spendenaufrufen bis hin zu vorgetäuschten Erkrankungen: Einige Influencerinnen schrecken vor nichts zurück, um Profit zu machen. Blick zeigt die krassesten Fälle von Betrug in der Social-Media-Welt.

Plus de 9000 nouvelles recrues ont été enregistrées entre 2019 et 2024 au sein des Forces Armées Béninoises. C'est ce qu'à annoncé le ministre délégué auprès du président de la République chargé de la défense nationale, Fortunet Alain Nouatin au cours de l'émission bilan "PAG 2021-2026 Reddition de comptes".

« De 2019 à aujourd'hui, nous sommes à 9700 nouvelles recrues bien formées et nous projetons atteindre le chiffre 13000 avant le premier trimestre 2026 », a annoncé le ministre délégué auprès du président de la République chargé de la défense nationale, Fortunet Alain Nouatin. À l'en croire, les recrutements ont été faits suivant un plan afin d'augmenter l'effectif des Forces Armées béninoises.

Ces recrutements, poursuit-il, participent également à diminuer le taux de chômage au sein des jeunes d'une part et d'autre part à apporter du sang nouveau. Les nouvelles recrues, souligne-t-il, ont reçu une formation adaptée à la nouvelle menace. « On ne les prend pas pour les envoyer au front sans une préparation spécifique », a-t-il précisé.

Selon le ministre, tous les recrutements sont faits dans la transparence. Les candidats sont soumis à différentes phases du recrutement. « On fait tout pour éviter le contact du postulant avec la hiérarchie militaire », rassure Fortunet Alain Nouatin. Il y a la phase de dépôt de candidature qui se fait en ligne, le traitement des candidatures en salle clause, la phase de l'épreuve physique et celle écrite. « Il n'y a plus de concours frauduleux, il y a plus de rigueur », a-t-il ajouté.

A.A.A

Une délégation de l'Union Progressiste Le Renouveau s'est rendue, lundi 3 février 2025, au domicile de l'ex-président de l'Assemblée nationale, Adrien Houngbédji.

Des membres et personnalités de l'Union progressiste le Renouveau (UP-R) ont été reçus par Adrien Houngbédji, président de l'ex-PRD. La délégation est composée du président du parti Joseph Djogbénou, de Louis Vlavonou, président de l'Assemblée nationale et des députés du parti. Cette visite a été l'occasion pour les membres de l'UP le Renouveau de présenter les vœux de l'année 2025 à Adrien Houngbédji.

Lors de la traditionnelle cérémonie d'échanges de vœux du nouvel an, samedi 1er février 2025 avec ses compagnons politiques du Parti du Renouveau Démocratique (PRD) désormais fusionné avec l'Union Progressiste le Renouveau (UP-R), Adrien Houngbédji s'est prononcé sur la situation politique actuelle du Bénin. « Nous devons restés toujours rassemblés pour construire ensemble le pays. Donc, ma conviction forte, c'est que les prisonniers politiques, il faut les sortir. Ma conviction forte, c'est que ceux qui sont en exil, il faut qu'il revienne », a-t-il affirmé.

Adrien Houngbédji a appelé au dialogue. « J'en appelle de mes vœux à ce que nous nous retrouvions sous l'arbre à palabre, que nous mettions tout sur table, que nous discutions de ce qui nous oppose les uns aux autres, que nous trouvions les solutions qui permettent à tous les enfants du Bénin de rester ensemble pour construire le Bénin », a ajouté l'ex-président de l'Assemblée nationale. Le président Dr Boni Yayi s'est également rendu chez Adrien Houngbédji dimanche 2 février 2025.

A.A.A

Ab Donnerstag gilts für die Schweizer Speedfahrerinnen an der Weltmeisterschaft ernst. Dann fahren sie um die ersten Medaillen. Vorab sprechen sie auf einer Pressekonferenz über die anstehenden Rennen.

Wer erreicht als erster Schweizer den 1000-Spiele-Meilenstein in der NHL? Roman Josi oder Nino Niederreiter? Blick traf den Stürmer, der sich mit den Winnipeg Jets auf einem Höhenflug befindet, nach dem Spiel in Montréal.

Credit: Juan Barreto/AFP via Getty Images

By Inés M. Pousadela
MONTEVIDEO, Uruguay, Feb 3 2025 (IPS)

Venezuela stands at a critical juncture as Nicolás Maduro begins a controversial third term as president. His 10 January inauguration, following a post-election period marked by widespread protests against election fraud and heightened repression, represents a significant setback for democratic aspirations in a country devastated by years of economic collapse and political oppression. Maduro’s confirmation at the helm is the latest chapter in a decades-long process that has transformed Venezuela from a beacon of leftist democratic aspirations into a full-blown authoritarian regime, where the last shred of legitimacy – popular election – has now vanished.

The implications of Venezuela’s crisis extend far beyond its borders, triggering the largest refugee exodus in the Americas and creating significant challenges for neighbouring countries. Almost eight million Venezuelans live abroad, with projections suggesting another two or three million might leave in the coming years.

This crisis comes at a moment when, unlike in the past, two key factors potentially leading to a democratic transition are present: unprecedented opposition unity capable of sustaining a protest movement and growing international support, with progressive Latin American governments increasingly distancing themselves from Maduro. However, Maduro’s willingness to use violent repression and his ability to maintain military loyalty suggest a difficult path ahead for democratic restoration.

Election fraud and post-election repression

The 2024 presidential election initially sparked hopes for democratic change. These hopes were crushed when Maduro declared himself the winner despite clear evidence that opposition candidate Edmundo González Urrutia had secured a significant victory.

The election campaign unfolded against a backdrop of intensifying civic space restrictions and was far from free and fair. The government disqualified popular opposition leader María Corina Machado and blocked her proposed replacement, forcing the opposition to field González Urrutia. Additional irregularities included systematic persecution of opposition leaders, abuse of public resources, media manipulation and voter suppression tactics, particularly targeting the estimated four million Venezuelan voters abroad.

Despite these challenges, the opposition demonstrated unprecedented unity and organisation. Through its Plan 600K initiative, it mobilised around 600,000 volunteers to monitor polling stations, collect the tallies produced by voting machines and independently calculate results. Their parallel count revealed that González won around 67 per cent of votes compared to Maduro’s 29 per cent, figures supported by independent exit polls. However, the National Electoral Council stopped publishing results after counting 40 per cent of votes, eventually declaring an implausible Maduro victory without providing any supporting data.

Fraud sparked widespread unrest, with 915 spontaneous protests erupting across Venezuelan cities in the two days following the election. The regime’s response was swift and severe. It labelled protests a ‘fascist outbreak’ and charged many protesters with terrorism and incitement to hatred. Security forces used deadly force, resulting in at least 25 deaths, while pro-government paramilitaries engaged in intimidation and violence.

The crackdown extended beyond protesters to target opposition and civil society leaders. Several prominent figures were forced into hiding or exile, while others faced arbitrary detention. Repression intensified in the lead-up to Maduro’s inauguration, with 75 new political detentions in the first 11 days of January alone.

Inauguration day

Maduro’s inauguration reflected both the regime’s isolation and its increasingly authoritarian character. Only two presidents – from Cuba and Nicaragua – attended the ceremony, while other governments sent lower-level representatives. The swearing-in ceremony took place 90 minutes earlier than scheduled, out of fear that the opposition’s president-elect, in exile in Spain, could somehow materialise its declared intention to enter Venezuela and hold a parallel counter-inauguration.

The government implemented extraordinary security measures to make sure this wouldn’t happen, closing land borders with Brazil and Colombia, shutting down Venezuelan airspace and deploying an unprecedented number of security forces throughout Caracas. The militarisation extended to the closure of opposition-controlled neighbourhoods and the pre-emptive detention of dozens of opposition figures.

Maduro’s inaugural address and subsequent appearances were particularly confrontational. He announced plans for constitutional changes to further consolidate power and declared the beginning of a new phase of governance based on a strong alliance between civilian authorities, military forces, the police and the intelligence apparatus. He openly discussed Venezuela’s readiness to take up arms against intervention alongside Cuba and Nicaragua, framing political opposition as a threat to national sovereignty.

International responses and regional implications

In the Americas, only Bolivia, Cuba, Honduras and Nicaragua recognise Maduro as the legitimately elected president, with only an additional handful worldwide, including China, Iran and Russia, maintaining their support.

The USA responded to Maduro’s inauguration by increasing the reward it offers for information leading to Maduro’s arrest to US$25 million, while also targeting his inner circle with new sanctions. The European Union also imposed new sanctions. The G7’s foreign ministers and the High Representative of the European Union issued a joint statement condemning Maduro’s ‘lack of democratic legitimacy’ and the ongoing repression of civil society and the political opposition.

Most significantly, the positions of Latin American states appear to be slowly shifting, with some left-wing leaders, notably those of Brazil and Colombia, not automatically siding with the Maduro regime for the first time. However, Colombia’s pragmatic approach reveals the complexities faced by Venezuela’s neighbours: while not accepting the official election results at face value, Colombia has stopped short of condemnation and has been careful to maintain its diplomatic relations, citing the need to manage border issues and the refugee situation.

Prospects for democratic change

The path to democratic transition faces significant obstacles, with military support remaining crucial to Maduro’s hold on power. The regime has secured military loyalty through a combination of institutional integration, coercion and economic privilege, with high-ranking military officers reaping generous rewards. The regime has found additional layers of protection in security structures including the National Bolivarian Guard, special police units and pro-government militias, and the Bolivarian National Intelligence Service, strongly backed by G2, Cuba’s secret service.

But the authoritarian regime has vulnerabilities. Growing international isolation, combined with continued economic deterioration, may eventually strain the system of patronage that maintains elite loyalty, including among the military. The opposition’s commitment to peaceful resistance, while seemingly ineffective in the short term, continues to earn it moral authority and international support.

While the combination of peaceful resistance, international pressure and potential internal divisions within the regime may eventually create conditions for change, the immediate future suggests a continuing struggle between an entrenched authoritarian system and a resilient democratic movement. The outcome will have profound implications for Venezuela and for all of Latin America.

Inés M. Pousadela is CIVICUS Senior Research Specialist, co-director and writer for CIVICUS Lens and co-author of the State of Civil Society Report.

For interviews or more information, please contact research@civicus.org.

 

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