L’économie algérienne vient d’entrer dans une nouvelle ère bancaire avec l’autorisation d’établir des banques numériques. Une première en Algérie, qui promet une transformation majeure. Les […]
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L'hôtel La Casa Cielo à Cotonou, a accueilli le jeudi 28 novembre 2024, la première session du comité de pilotage du programme DURAGIRE (Durabilité des Actions de Gestion Intégrée des Ressources en Eau) dans le Delta de l'Ouémé. La session a réuni les membres du comité de pilotage de DURAGIRE (mis en place par arrêté n°248/MEEM/DC/SGM/DG Eau/SA du 14 octobre 2024), des acteurs majeurs du secteur de l'eau et des partenaires techniques et financiers.
Améliorer la résilience des communautés de la basse et moyenne vallée de l'Ouémé face aux risques liés à l'eau, causés par les effets des précipitations saisonnières et aggravés par les impacts du changement climatique. C'est l'objectif du programme DURAGIRE financé par l'Ambassade du Royaume des Pays-Bas au Bénin et mis en œuvre par le consortium SNV, VNGi et ANCB (Association nationale des communes du Bénin) etc. Au cours de cette première session du COPIL, les membres du comité de pilotage se sont réunis pour faire le bilan des progrès réalisés au cours de la première année d'exécution du programme, de discuter des défis rencontrés et de valider le plan de travail annuel de 2025.
Démarré en janvier, le programme vise à assurer la durabilité des résultats engrangés dans le cadre de la mise en œuvre du programme OmiDelta notamment ceux relatifs aux actions GIRE (Gestion Intégrée des Ressources en Eau) pour renforcer la résilience des populations de la Basse et Moyenne vallée de l'Ouémé. Selon le Directeur national de SNV, Organisation Néerlandaise de Développement, Stéphane Tuina, le programme DURAGIRE se distingue par son approche inclusive et sa collaboration avec des partenaires diversifiés (agences nationales, autorités locales, comités locaux de l'eau, partenaires techniques et financiers et populations). « SNV en tant que chef de file coordonne les efforts et veille à ce que les résultats du programme répondent pleinement aux attentes. (…) Nous avons déjà enregistré des avancées importantes au cours de cette première année de mise en œuvre », a déclaré Stéphane TUINA.
Le représentant de l'Ambassade des Pays-Bas, Aimé SEDEGAN a réaffirmé l'engagement du Royaume des Pays-Bas à accompagner le Bénin pour une gestion durable de ses ressources en eau à travers le programme DURAGIRE. « Nous sommes tous invités à nous impliquer davantage et donner le meilleur de nous-mêmes pour la résilience de ces communautés à la base », a-t-il ajouté.
Faire de DURAGIRE un programme exemplaire
Dans son discours d'ouverture, le président du comité de pilotage, Anassi DAMBARO a présenté DURAGIRE comme un programme innovant. « DURAGIRE n'est pas simplement une continuation des acquis du programme OmiDelta. Il se veut un modèle, une vision prospective. En considérant les résultats obtenus et en renforçant les capacités locales, nous visons à ancrer la gestion intégrée des ressources en eau dans les pratiques et les politiques locales tout en garantissant la résilience des communautés face aux risques liés à l'eau », a affirmé Anassi DAMBARO. Le programme DURAGIRE repose sur quatre trajectoires stratégiques à savoir : le renforcement des capacités et des cadres réglementaires ; l'engagement accru des acteurs locaux ; la durabilité multidimensionnelle des actions GIRE et l'intégration d'un système d'alerte précoce. Ces leviers, souligne-t-il, traduisent notre ambition commune dans la gestion intégrée des ressources en eau.
Il a salué les actions du consortium SNV, VNG International et ANCB, les partenaires de mise en œuvre, l'Ambassade du royaume des Pays-Bas ainsi que l'engagement des membres du comité de pilotage. « Ensemble, nous devons garantir que DURAGIRE demeure un programme exemplaire en matière de gouvernance, de durabilité et d'impact », a-t-il déclaré. Au cours de la session, la cheffe de projet DURAGIRE-Delta Ouémé, Lise FLORIN a rappelé l'organisation et le fonctionnement du comité de pilotage.
Selon le Conseiller en planification, suivi et évaluation, Charlemagne BIO, le programme DURAGIRE renforce les acquis du programme OmiDelta à savoir entre autres le curage des canaux, les retenues d'eau, les passerelles et le reboisement. ; la mise en place de structures de préfiguration aux Comités locaux d'Eau ; la construction de balises d'alerte d'inondation couplées à une application mobile ; la mise en place de plateformes locales de réduction de risques et catastrophes et d'adaptation au changement climatique etc. La durée du programme DURAGIRE financé à hauteur de 11 millions d'euros est de 36 mois, soit 3 ans (2024-2026). La session du comité de pilotage a été aussi l'occasion pour les membres, de valider le Plan de Travail Annuel Budgétisé (PTAB) 2025 et de formuler des recommandations pour aligner les actions futures sur les priorités nationales et les besoins des populations locales.
Akpédjé Ayosso
Dans les coulisses des studios hollywoodiens, un nouveau nom fait sensation : Anzor Alem. Ce jeune cinéaste congolais, armé de son talent et de sa détermination, bouscule les codes et redéfinit les contours du cinéma africain. Mais derrière cette ascension fulgurante se cachent des défis colossaux et une lutte acharnée pour se faire une place dans un marché dominé par les géants américains.
Les défis du cinéma africain
Visibilité limitée : Le cinéma africain peine à se faire une place dans les salles obscures occidentales, où les productions hollywoodiennes font la loi. Les festivals de cinéma sont certes des vitrines importantes, mais ils ne suffisent pas à assurer une diffusion à grande échelle.
Financement difficile :
Les budgets des productions africaines sont souvent limités, ce qui restreint les moyens techniques et humains. Il est difficile de rivaliser avec les superproductions hollywoodiennes en termes de qualité visuelle et d'effets spéciaux.
Distribution complexe :
La distribution des films africains est un véritable casse-tête. Les circuits de distribution traditionnels sont souvent fermés aux productions indépendantes, et les plateformes de streaming, bien qu'elles offrent de nouvelles opportunités, ne sont pas toujours accessibles dans tous les pays africains.
Stéréotypes et clichés :
Le cinéma africain est souvent réduit à quelques clichés : la pauvreté, les conflits, la nature sauvage. Il est difficile de sortir de cette image et de présenter une vision plus nuancée et moderne de l'Afrique.
Anzor Alem, un acteur du changement
Anzor Alem, conscient de ces défis, s'efforce de contribuer au développement du cinéma africain. En créant sa propre production, il cherche à donner une chance à de nouveaux talents et à promouvoir une diversité de récits. Il collabore également avec des cinéastes internationaux pour faciliter la diffusion de ses films à l'étranger.
Son succès est une source d'inspiration pour toute une génération de cinéastes africains, qui voient en lui un modèle à suivre. En s'appuyant sur les nouvelles technologies et en tissant des réseaux internationaux, il ouvre de nouvelles perspectives pour le cinéma africain.
L'avenir du cinéma africain
Malgré les défis, l'avenir du cinéma africain est prometteur. Les nouvelles générations de cinéastes sont de plus en plus créatives et audacieuses. Elles utilisent les réseaux sociaux pour promouvoir leurs œuvres et trouvent de nouvelles formes de financement grâce au crowdfunding.
Pour que le cinéma africain puisse pleinement s'exprimer, il est nécessaire de :
Soutenir la production locale :
Les gouvernements africains doivent investir dans le cinéma et créer des infrastructures adaptées.
Développer les réseaux de distribution :
Il faut faciliter la diffusion des films africains à l'échelle internationale, en créant des plateformes dédiées et en renforçant les partenariats avec les distributeurs étrangers.
Lutter contre les stéréotypes : Les cinéastes africains doivent continuer à créer des œuvres originales et complexes, qui bousculent les idées reçues sur le continent. Anzor Alem et ses pairs ouvrent la voie à un cinéma africain plus fort, plus diversifié et plus visible sur la scène internationale.
Les travaux de construction du pôle commercial du stade GMK et de la restructuration du Palais des sports évoluent à grands pas.
« On a commencé les travaux depuis août 2022. Actuellement, nous sommes à un taux d'exécution de 68 % et les travaux évoluent normalement », a déclaré Issiakou Badarou, Chef de mission de contrôle. La construction du Pôle Commercial et de Restructuration du Stade Général Mathieu KEREROU (GMK) est l'un des projets majeurs du Programme d'Actions du gouvernement Talon. C'est un vaste espace commercial d'environ 35 000 m² en construction en zone urbaine à Kouhounou dans la ville de Cotonou. Il comporte un parking d'environ 3.000 places pour voitures et motos, un parc urbain, des locaux techniques, des espaces administratifs, environs 1.000 étals, 300 boutiques et 70 restaurants. Les halles sont divisées en quatre quartiers où seront exposées des produits de maroquinerie, de bijouterie, de cosmétique et le textile.
Two OSCE-supported surveys on the role of youth organisations in Ukraine in times of war were presented at the Youth Work Forum "United by the Light", held from 28 November to 1 December 2024 in Kyiv. The event, organized in partnership with the OSCE Support Programme for Ukraine, gathered around 300 youth representatives from across the country to discuss current challenges and exchange best practices.
The first survey, conducted by the Sociological Group “Rating” involved 2,000 respondents aged 16–35, from across Ukraine and provided data on the role of youth centres the opportunities they offer, their availability and relevance to the needs and expectations of young people. It also highlighted current challenges and gaps. The second survey, run by the same organization based on 50 in-depth interviews with representatives of youth centres, provided in-depth analyses of available youth infrastructure, institutional capacity and prospects for development. The surveys contributed to discussions on how the resources strained by the war can be used more effectively to expand opportunities for youth participation in developing their communities, civic activism, and volunteering.
“Currently, we are working with our partners to develop the draft targeted social programme “Youth of Ukraine” for 2026-2030. So, the OSCE-supported surveys are definitely valuable, as we would like to make this policy more adapted to actual needs,” said Andrii Chesnokov, Deputy Minister of Youth and Sports of Ukraine.
“We are guided by the principle “nothing about youth without youth”. You hear a number of important ideas and recommendations on what can be done better for the youth of Ukraine, and it is important that you speak up and say on whether the policies developed and proposed reflect your actual needs. And we expect, that once these recommendations are implemented, they improve your lives,” said Pierre Baussand, the Chief of Operations of the OSCE Support Programme for Ukraine.
Earlier this year the OSCE Support Programme for Ukraine helped to develop “Recommendations for the Operation of Youth Centres and Spaces during the War and Post-conflict Recovery Period”. The recommendations highlight the urgent need for the youth policy to focus on resilience, including the psychological health and well-being of young people, and address the needs of young veterans and families who have experienced losses. More than 160 representatives from youth centres and youth spaces across all regions of Ukraine contributed to the formulation of these recommendations during a series of 8 regional roundtables in spring and summer this year.
Lors de la 10e journée du championnat professionnel qui s'est jouée ce week-end, Ayéma FC est allé créér la surprise sur la pelouse de Coton FC. Le club champion du Bénin lors de la saison 2023-2024 s'est incliné sur une différence d'un but. Le score de la partie était de 1-2 au coup de sifflet final samedi dernier. De son côté, Loto Popo s'est contenté d'un nul face à Dadjè FC.
Tous les résultats de la 10e journée :
ABEILLES FC (0-0) BUFFLES FC
DYNAMO P (0-0) BOA FC
HODIO FC (0-0) RÉAL SPORT
LOTO-POPO (2-2) DADJÈ FC
ASPAC (2-0) JSO
ASVO (3-0) AS COTONOU
COTON FC (1-2) AYEMA FC
JAK (2-1) AZIZA FC
USS KRAKÉ (0-0) SITATUNGA FC
BANI GANSÉ (0-0) AS TONNERRE
BÉKÉ FC (0-1) DYNAMO D'ABOMEY
CAVALIERS FC (2-0) DYNAMIQUE FC
DAMISSA FC (2-0) TAKUNNIN FC
ESPOIR SAVALOU (1-2) PANTHÈRES FC
ADJIDJA (2-0) AVRANKOU OMN
DRAGONS FC (1-1) JSP
REQUINS FC (1-1) ÉTOILES FILANTES
SOBEMAP FC (1-1) AS POLICE
J.S
5.231 candidats dont 11 en situation de handicap ont composé dans 8 centres de composition au plan national samedi 30 novembre 2024. C'est dans le cadre du concours de recrutement de deux cent vingt-cinq (225) agents contractuels de droit public de l'État au profit du Ministère de l'Agriculture de l'Élevage et de la Pêche.
Plus de 5000 candidats ont planché pour le concours de recrutement de deux cent vingt-cinq (225) agents contractuels de droit public de l'État au profit du Ministère de l'Agriculture de l'Elevage et de la Pêche. Les épreuves ont été lancées par la ministre du Travail et de la Fonction Publique, Adidjatou Mathys, et son collègue de l'Agriculture, de l'Élevage et de la Pêche au CEG Sainte Rita de Cotonou.
Selon Gaston Cossi Dossouhoui, « ce recrutement vient pour combler un vide sur le terrain ». « Il faut reconnaître que le secteur a bénéficié du sang nouveau il y a plus de 6 ans et aujourd'hui nous avons besoin d'agents techniques pour faire l'accompagnement des producteurs et pour aider aussi à jouer le rôle régalien de contrôle de la qualité de ce que nous sommes en train de faire et des chantiers que nous conduisons », a-t-il confié. Je suis heureux, poursuit-il, de constater que même si ça ne va pas combler le vide nous avons cette chance de regagner un peu tous les corps de métiers. Ce concours permettra de recruter des Ingénieurs du Développement Rural, des Vétérinaires Inspecteurs, des Ingénieurs de la statistique, des Administrateurs, des Analystes programmateurs et d'autres profils. A en croire le ministre de l'agriculture, de l'Élevage et de la Pêche, ces profils seront redéployés dans les secteurs clés pour faire le contrôle, l'appui-conseil, pour donner de la chance à nos projets, programmes, d'être déployés sur le terrain ».
5.231 candidats prennent part à ce concours dont 22% de femmes. Des personnes en situation de handicap au nombre de 11 se sont aussi inscrites pour ce concours. « C'est la nouveauté que les recrutements apportent. Faire une discrimination positive vis-à-vis de ces personnes qui vivent avec un handicap. Ils ne sont pas des gens sans connaissance et aujourd'hui, selon les profils qui vont sortir de ce dispositif, nous allons les déployer à des postes stratégiques qui vont leur permettre de s'épanouir et de prouver que les personnes avec un handicap sont aussi de la société », a ajouté le ministre Gaston Dossouhoui. Selon la ministre Adidjatou Mathys, « avec ce recrutement, le MAEP va pouvoir faire un peu plus en matière de production de la consommation locale ».
A.A.A
Démarrée vendredi dernier, la 8e édition du festival National du Sport Féminin est déjà à son terme du côté de Dogbo dans le Couffo. Hier dimanche, les grands gagnants ont été honoré en présence de nombreuses personnalités, dont le Directeur de Cabinet du Ministre des Sports, Crépin OKOUOLOU, son adjoint Thierry AKPA, l'honorable Natacha KPOCHAN, et le Directeur du Sport et de la Formation Sportive, Okry Christophe NONVIGNON.
Durant trois jours, la 8e édition a marqué une étape importante dans la promotion du sport féminin au Bénin consolidant ainsi l'engagement du Ministère des Sports et du gouvernement pour l'égalité et l'inclusion dans le sport. Voici les résultats définitifs au terme des finales disputées dans la soirée de ce dimanche 1er décembre 2024.
Athlétisme
100 m
1er : Ruth AGBADO (12.4, Zou)
2e : Ikimath ISSAKOU (12.4, Littoral)
3e : Blandine OYEKOU (13.1, Plateau)
400 m
1er : Pitchega NOUATI (59.92, Atacora)
2e : Ramziath AMADOU (1.01.3, Borgou)
3e : Anita OSEI (1.03.00, Alibori)
Lancer de poids
1er : Gozaine AKE (9m45, Ouémé)
2e : Jéovanie TONAHIN (8m90, Couffo)
3e : Bienvenue GUITCHAN (8m80, Littoral)
Saut en longueur
1er : Fidélia HOUEHO (4m95, Mono)
2e : Blandine OYEKOU (4m71, Plateau)
3e : Jeannelle HOUNVENOU (4m66, Borgou)
Lutte
– 50 kg
1er : Dramane MOUMOUNI (Donga)
2e : Corine AKODEDASSA (Atlantique)
3e : Alice KORA (Ouémé)
+50 kg
1er : Sakinatou OROU N'GOBI (Borgou)
2e : Félicité TRINNOU (Mono)
3e : Augustine YARIGO (Atacora)
Volleyball
1er : Mono
2e : Zou
3e : Couffo
J.S