La 12e édition du Global Mobile Broadband Forum (MBBF) de Huawei a démarré ce jeudi 14 octobre à Dubaï. L'événement est organisé chaque année par le Groupe, en collaboration avec ses partenaires industriels GSMA et SAMENA Telecommunications Council.
Introduite par un discours de Ken Hu, Président tournant de Huawei, la dernière édition du MBBF a rassemblé opérateurs, chefs d'entreprises et autres partenaires issus des écosystèmes de la tech pour envisager ensemble la maximisation du potentiel de la 5G, et par là même l'avenir de l'industrie mobile.
Au cœur de cette prise de parole, le développement de la 5G et les opportunités que le déploiement de cette technologie initie. Selon Ken Hu, « Les progrès ont été beaucoup plus rapides que prévu, notamment en ce qui concerne la base d'abonnés, la couverture réseau et le nombre de terminaux 5G sur le marché, partout dans le monde ».
Les chiffres sont en effet éloquents : il existe actuellement 176 réseaux 5G commerciaux dans le monde, qui desservent plus de 500 millions d'abonnés.
En ce qui concerne le grand public, les vitesses de téléchargement moyennes atteintes grâce à la 5G sont environ 10 fois supérieures à celles permises par la 4G.
Du côté des entreprises, il existe déjà 10 000 projets dédiés aux applications B2B de la 5G (5GtoB) dans le monde entier.
Enfin, des projets d'application de la 5G dans des secteurs tels que la fabrication, l'exploitation minière et les ports sont en cours de reproduction à grande échelle.
Cependant, malgré ce déploiement exponentiel, la 5G gagnerait à être renforcée. Le premier levier de ce renforcement repose sur les réseaux mobiles, qui doivent offrir des vitesses de téléchargement supérieures à 4,6 Gbit/s avec une latence ne dépassant pas 10 millisecondes pour assurer le plein développement de cette technologie. De même, pour favoriser une adoption plus large de la 5G dans les industries, il est important de développer des normes de télécommunication spécifiques, adaptées à chaque contexte. Enfin, l'industrie mobile dans son ensemble se doit d'œuvrer à sa propre durabilité, en misant sur une réduction significative de son impact écologique.
« En raison de l'accélération de la transformation numérique occasionnée par la pandémie de la Covid-19, le cloud et l'intelligence artificielle sont devenus incontournables dans toutes les organisations, et toutes les économies. Alors que le monde commence à se remettre de la crise, nous devons saisir les opportunités qu'offrent ces technologies nouvelles, tout en les adaptant aux défis de notre temps, et notamment aux objectifs de neutralité carbone et de réduction d'empreinte écologique. », a conclu Ken Hu.
À propos de Huawei
Fondée en 1987, Huawei est l'un des principaux fournisseurs mondiaux d'infrastructures de technologies de l'information et des communications (TIC) et d'appareils intelligents. Nous comptons plus de 197 000 employés, et nous sommes présents dans plus de 170 pays et régions, au service de plus de trois milliards de personnes dans le monde.
Notre vision et notre mission consistent à apporter le numérique à chaque personne, foyer et organisation pour un monde intelligent et entièrement connecté. À cette fin, nous allons favoriser la connectivité omniprésente et promouvoir l'égalité d'accès aux réseaux ; apporter le cloud et l'intelligence artificielle aux quatre coins du monde pour fournir une puissance informatique supérieure là où vous en avez besoin, quand vous en avez besoin ; construire des plateformes numériques pour aider toutes les industries et organisations à devenir plus agiles, efficaces et dynamiques ; redéfinir l'expérience utilisateur avec l'IA, en la rendant plus personnalisée pour les individus dans tous les aspects de leur vie, qu'ils soient à la maison, au bureau ou en déplacement.
Mort par noyade d'un bouvier mercredi 14 octobre 2021 à Gbégourou, arrondissement de la commune de N'dali, département du Borgou.
Le bouvier peulh est décédé mercredi dans un cours d'eau. Selon les informations, il traversait le cours d'eau tout en gardant la queue de l'une de ses bêtes. Par imprudence, il a été emporté par le courant de l'eau. Son corps sans vie n'a pas été encore retrouvé.
A.A.A
Le Directeur général de l'Organisation du Monde Islamique pour l'Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO), Dr Salim AlMalik a reçu, mercredi 13 octobre 2021 au siège de l'Organisation à Rabat, Sylver Aboubakar Minko Mi-Nseme, ambassadeur de la République gabonaise auprès du Royaume du Maroc. Les deux responsables ont discuté des résultats de la visite officielle effectuée par Dr AlMalik et sa délégation accompagnante au Gabon du 4 au 7 octobre 2021, ainsi que des derniers développements concernant la coopération dans les programmes et activités convenus et examinés avec les hauts responsables du pays.
A cette rencontre, le Directeur général de l'ICESCO a exprimé ses remerciements et sa gratitude au gouvernement gabonais pour l'accueil chaleureux lors de sa visite officielle qui a connu des rencontres fructueuses avec la cheffe du gouvernement et nombre de ministres. Elle a été couronnée par un entretien avec S.E. le Président Ali Bongo au palais présidentiel à Libreville.
Dr Salim AlMalik a également souligné que les programmes et activités communes examinés lors de cette visite seront mis en œuvre dans les plus brefs délais. A l'en croire, une délégation composée d'experts du Secteur de la Culture effectuera dans quelques jours une visite au Gabon pour organiser un atelier de formation, au profit des spécialistes du patrimoine, à l'élaboration des dossiers d'inscription des sites historiques et éléments culturels sur les listes du patrimoine. Une délégation du Centre de la langue arabe pour les non arabophones se rendra aussi au Gabon pour convenir des étapes de création d'un centre régional d'enseignement de la langue arabe dans ce pays.
L'ambassadeur gabonais s'est félicité de la visite de Dr AlMalik à Libreville, qui marquera, à son sens, un nouveau départ de coopération entre le Gabon et l'ICESCO. Aussi a-t-il souligné que cette visite a suscité un grand intérêt de la part des responsables, qui se sont déclarés disposés à collaborer de manière constructive avec l'Organisation dans nombre de domaines.
À l'issue de cet entretien, les deux parties ont souligné l'importance d'une communication constante entre l'ICESCO et les parties compétentes gabonaises, pour pouvoir identifier les priorités et les besoins du pays, et concevoir les programmes et activités appropriés afin d'atteindre les objectifs escomptés de ce partenariat.
Sa Majesté le Roi du Maroc a nommé sur proposition du Chef du Gouvernement un nouveau ministre de la santé.
Un communiqué du Cabinet Royal en date du 14 octobre 2021 précise que M. Khalid Aït Taleb occupe désormais le poste de ministre de la Santé et de la Protection sociale, en remplacement de Mme Nabila Rmili.
“Conformément aux dispositions de l'article 47 de la Constitution, et sur proposition du Chef du Gouvernement, Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L'assiste, a bien voulu nommer M. Khalid Aït Taleb en tant que ministre de la Santé et de la Protection sociale, en remplacement de Madame Nabila Rmili.'', informe un communiqué du Cabinet Royal en date du 14 octobre 2021.
Cette nomination intervient conformément aux dispositions constitutionnelles, et après la soumission à la Haute Appréciation Royale de la proposition du Chef du Gouvernement, visant à mettre fin aux fonctions gouvernementales de Mme Rmili, qui a sollicité de se consacrer pleinement à ses fonctions de Présidente du Conseil de la ville de Casablanca. Et ce, après qu'elle se soit rendu compte de la charge du travail de cette mission représentative, et du suivi continu des affaires de ses habitants et des chantiers ouverts dans cette grande métropole, ce qui était de nature à impacter les multiples engagements et le suivi quotidien que nécessite le secteur de la santé, surtout en cette période de pandémie., précise la même source.
M. Aït Taleb a été promu à ce poste ''afin de poursuivre les chantiers ouverts et les défis urgents du Secteur de la santé, dont en premier chef la poursuite de la gestion du volet sanitaire de la pandémie du Covid 19 et le bon déroulement de la Campagne nationale de vaccination”.
L'atelier Indigo célèbre le "Mois du consommons local", édition 2021, avec les artisans de Ouidah et les journalistes. Un déjeuner de presse et une exposition des artisans ont été les moments forts de la célébration, jeudi 14 octobre 2021 à Ouidah.
Le "Mois du consommer local" est célébré dans les huit pays de l'Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA). Les artisans de la commune de Ouidah ne sont pas restés en marge de la deuxième édition du "Mois du consommons local'', lancée au Bénin le 1er octobre dernier. Sous l'initiative de l'Atelier Couleur Indigo en collaboration avec le Collectif des Artisans de Ouidah, un déjeuner de presse suivi d'une exposition d'œuvres ont marqué, jeudi dernier, les célébrations à Ouidah. Occasion pour les journalistes de découvrir les méthodes de travail, les produits locaux et les avantages qu'on tire en achetant des produits locaux. « Quand un acheteur décide de passer à l'acte d'achat, c'est vrai il donne une certaine somme. Mais dans cette somme, il achète quoi, juste un produit ou toute une histoire ou un concept ? », s'est interrogé Nadia Adanlé, directrice de Atelier Couleur Indigo, face à la cherté des coûts mise en avant par les consommateurs de produits locaux.
« Ne regardons pas la valeur vénale qu'il y a derrière nos achats, regardons la valeur patriotique, historique et culturelle et c'est tellement important », a indiqué la promotrice de l'Atelier Couleur Indigo, qui n'a pas manqué de préciser que le consommateur de produits locaux est rassuré quant à l'origine des produits. « (...) C'est de la santé que je me donne, c'est de l'emploi que je donne à des frères et soeurs, c'est de la précarité que je réduis dans mon pays », a martelé Nadia Adanlé.
Concernant la certification, elle estime que c'est un paramètre cerné uniquement par une frange de la population et qui risque de plomber la production locale. Il suffit que le produit soit bon et accessible pour s'imposer et être vendu.
Pour Luc Achille Quenum, président du Collectif des Artisans de Ouidah, « sans l'artisanat, rien ne peut prospérer dans un pays ». Il n'a pas manqué de remercier le gouvernement pour avoir initié le ”Mois du consommons local".
L'exposition a permis de découvrir les produits fabriqués par les artisans ainsi que leur processus de réalisation. Poterie, jarres, tableaux pour la décoration, tapis, couvre-verre, et autres produits réalisés avec des coupons de tissu par des personnes en situation de handicap, des pagnes, sacs et autres tenues en tissu, ont été exposés.
La machine en inox pour moudre les céréales rapidement et débarrassées des dépôts de métal, les portes vitrées et renforcées au métal pour plus de sécurité, la chaîne de production du "Elu vo".
A propos de Couleur Indigo
L'entreprise Couleur Indigo existe au Bénin depuis 2007. Elle a été créée parallèlement au Burkina Faso en 2011. Couleur Indigo s'est installée dans la commune de Ouidah depuis 2020 et œuvre pour la valorisation de l'artisanat local avec comme produit phare le tissu patrimonial qu'est le tissu indigo. Les activités de l'entreprise Couleur Indigo sont axées sur trois piliers. « Premièrement, le prêt-à-porter. Deuxièmement, le recyclage des déchets textiles par des personnes vivant avec un handicap et troisièmement la production et la commercialisation de tissu "Elu" », a indiqué la directrice de Couleur Indigo.
La poterie, la calebasse, le raphia sont les autres matériaux utilisés à Couleur Indigo.
30% du personnel employé sont des personnes en situation de handicap.
M.M.
L'EXPOSITION EN IMAGES
L'atelier Indigo célèbre le "Mois du consommons local", édition 2021, avec les artisans de Ouidah et les journalistes. Un déjeuner de presse et une exposition des artisans ont été les moments forts de la célébration, jeudi 14 octobre 2021 à Ouidah.
Le "Mois du consommer local" est célébré dans les huit pays de l'Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA). Les artisans de la commune de Ouidah ne sont pas restés en marge de la deuxième édition du "Mois du consommons local'', lancée au Bénin le 1er octobre dernier. Sous l'initiative de l'Atelier Couleur Indigo en collaboration avec le Collectif des Artisans de Ouidah, un déjeuner de presse suivi d'une exposition d'œuvres ont marqué, jeudi dernier, les célébrations à Ouidah. Occasion pour les journalistes de découvrir les méthodes de travail, les produits locaux et les avantages qu'on tire en achetant des produits locaux. « Quand un acheteur décide de passer à l'acte d'achat, c'est vrai il donne une certaine somme. Mais dans cette somme, il achète quoi, juste un produit ou toute une histoire ou un concept ? », s'est interrogé Nadia Adanlé, directrice de Atelier Couleur Indigo, face à la cherté des coûts mise en avant par les consommateurs de produits locaux.
« Ne regardons pas la valeur vénale qu'il y a derrière nos achats, regardons la valeur patriotique, historique et culturelle et c'est tellement important », a indiqué la promotrice de l'Atelier Couleur Indigo, qui n'a pas manqué de préciser que le consommateur de produits locaux est rassuré quant à l'origine des produits. « (...) C'est de la santé que je me donne, c'est de l'emploi que je donne à des frères et soeurs, c'est de la précarité que je réduis dans mon pays », a martelé Nadia Adanlé.
Concernant la certification, elle estime que c'est un paramètre cerné uniquement par une frange de la population et qui risque de plomber la production locale. Il suffit que le produit soit bon et accessible pour s'imposer et être vendu.
Pour Luc Achille Quenum, président du Collectif des Artisans de Ouidah, « sans l'artisanat, rien ne peut prospérer dans un pays ». Il n'a pas manqué de remercier le gouvernement pour avoir initié le ”Mois du consommons local".
L'exposition a permis de découvrir les produits fabriqués par les artisans ainsi que leur processus de réalisation. Poterie, jarres, tableaux pour la décoration, tapis, couvre-verre, et autres produits réalisés avec des coupons de tissu par des personnes en situation de handicap, des pagnes, sacs et autres tenues en tissu, ont été exposés.
La machine en inox pour moudre les céréales rapidement et débarrassées des dépôts de métal, les portes vitrées et renforcées au métal pour plus de sécurité, la chaîne de production du "Elu vo".
A propos de Couleur Indigo
L'entreprise Couleur Indigo existe au Bénin depuis 2007. Elle a été créée parallèlement au Burkina Faso en 2011. Couleur Indigo s'est installée dans la commune de Ouidah depuis 2020 et œuvre pour la valorisation de l'artisanat local avec comme produit phare le tissu patrimonial qu'est le tissu indigo. Les activités de l'entreprise Couleur Indigo sont axées sur trois piliers. « Premièrement, le prêt-à-porter. Deuxièmement, le recyclage des déchets textiles par des personnes vivant avec un handicap et troisièmement la production et la commercialisation de tissu "Elu" », a indiqué la directrice de Couleur Indigo.
La poterie, la calebasse, le raphia sont les autres matériaux utilisés à Couleur Indigo.
30% du personnel employé sont des personnes en situation de handicap.
M.M.
L'EXPOSITION EN IMAGES
Les députés de la huitième législature ont adopté, jeudi 14 octobre 2021, le Projet de loi portant protection du patrimoine culturel en République du Bénin, introduit par le Gouvernement.
En prélude à la restitution des 26 œuvres d'art au Bénin par la France, la loi N⁰ 2021-09 portant protection du patrimoine culturel en République du Bénin a été adoptée à l'Assemblée nationale, jeudi 14 octobre 2021. C'est en présence du ministre de la culture Jean-Michel Abimbola. Occasion pour le ministre de répondre aux questions sur la nouvelle loi.
Le Bénin attend plus 26 œuvres. Un programme de formation et un programme d'accompagnement de la chaîne de valeur sur la gestion des œuvres sont prévus dans le cadre d'un partenariat entre la France et le Bénin. Grâce à la mise en place d' investissements importants des infrastructures seront disponibles dès novembre 2021 pour la conservation des œuvres, selon les explications du ministre de la culture Jean-Michel Abimbola.
Pour les députés, le vote de la loi portant protection du patrimoine culturel en République du Bénin vient à point nommé car il permet au Bénin de disposer d'un arsenal juridique de protection des biens culturels.
M. M.
Les éléments de la police républicaine ont arrêté, jeudi 14 octobre 2021, deux individus dans un ghetto à Ouèdo, commune d'Abomey-Calavi.
Descente inopinée des éléments de la police dans un ghetto. Les éléments du commissariat de Ouèdo ont arrêté lors de cette opération deux individus pour détention et commercialisation de chanvre indien. Ils seront transférés à l'Office Central de Répression de la Cybercriminalité.
A.A.A
L'année universitaire 2021-2022 débute lundi 18 octobre 2021. Le calendrier universitaire 2021-2022 des universités publiques et établissements privés d'enseignement supérieur a été rendu public à travers une note de service du ministre Éléonore Yayi Ladékan en date du 14 octobre 2021.
Selon le calendrier, l'année universitaire 2021-2022 débute lundi 18 octobre et prend fin le vendredi 22 juillet 2022. La rentrée solennelle académique aura lieu mardi 26 octobre 2021. La validation des inscriptions des étudiants est ouverte dans les universités publiques du Bénin à partir du lundi 18 octobre 2021 et prend fin lundi 31 janvier 2022. L'année universitaire 2021-2022 est subdivisée en deux semestres. Le premier semestre débute lundi 18 octobre 2021 et prend fin vendredi 4 mars 2022. Le second semestre débute lundi 07 mars 2022 et prend fin vendredi 22 juillet 2022.
Déus Deronneth est un intellectuel confirmé qui a une solide formation pluridisciplinaire dans les Sciences politiques. C'est un homme de sciences qui a fait ses preuves à travers son riche parcours professionnel au cours duquel il a acquis une solide expérience. Une expérience qu'il met au service du Parlement de son pays Haïti où il siège depuis quelques mois. C'est un homme de sciences doublé d'homme politique qui a son Haïti natal chevillé au corps que votre journal a rencontré. Dans une discussion à coeur ouvert, Déus Deronneth a abordé plusieurs sujets. Le député rappelle qu'il est au service de son peuple et de sa République .
Lisez plutôt
Bonjour Mr . Vous voudrez bien vous présenter
Mon nom , c'est Déus Deronneth . Je suis Doctorant en Sciences économique. Je suis détenteur d'un Master en Administration et Gestion/Evaluation des collectivités territoriales et une Maitrise en Entreprise et marché. J'ai aussi un Diplôme d'Etude supérieure spécialisée en fiscalité. Un diplôme décroché à l'Ecole nationale d'administration financière (ENAF) et un Diplôme en Stratégie de développement national. Tout ceci après une Licence en économie. Je suis Député de Marigot de la 50ème législature ; Directeur général de l'Institut de gestion, de gouvernance et des études politiques (IGGEP) ; Ancien directeur départemental des impôts du sud-est ; directeur administratif de « le cabinet conseil et service » ; consultant en gouvernance et management stratégique. Enseignant à l'université et actuellement doyen de la faculté d'administration et sciences économiques à l'université publique de bas Artibonite de saint Marc (UPBAS)
En tant qu'élu du peuple, qu'est-ce qu'on peut retenir des projets de loi que vous avez déjà eu à conduire au sein du parlement de votre pays pour l'épanouissement de vos mandants ?
Pendant mes 36 mois à la Chambre des députés, j'ai travaillé sur plusieurs propositions et projets de loi notamment : La loi cadre sur la décentralisation ( une proposition de l'ancien sénateur et président provisoire Jocelerme Privert) ; le projet de loi sur la fonction publique territoriale ; le projet de loi sur la Carte d'identification nationale unique. Aussi j'ai eu l'opportunité de déposer trois (3) propositions de loi dont : la loi sur le stage obligatoire des étudiants des universités et écoles professionnelles ; la loi sur le bureau de la légalisation des pièces ; la loi sur la protection sociale universelle et obligatoire (dite pension et assurance pour tous).
Que pensez-vous de la politique en en général en Haïti ?
En Haïti, la politique est une forme de déformation de la science politique qui évoque la bonne gestion de la cité dans l'intérêt de la nation. Je pense clairement qu'il faut revoir la politique en Haïti que dans son organisation et dans son fonctionnement. Car, les pratiques politiques actuelles d'Haïti n'engendrent que le désespoir, la misère, le sous-développement et la corruption.
Que pensez-vous de la corruption en Haïti ?
En Haïti, la corruption « on dirait légale », est devenue un cancer qui ronge la société. La jeunesse est en fuite, les gangs se multiplient, la populations est abandonnée à elle-même, les dirigeants détournent les deniers publics en toute quiétude. La corruption est considérée comme le modèle de développement d'Haïti adopté par les dirigeants sans visions et sans compétences. Ils partagent entre eux la gestion des institutions publiques. Ainsi, il n y a aucune institution au service d'Haïti et du peuple haïtien. Pas de répartition équitable des richesses, nos taxes et Impôts sont subtilisés pour l'enrichissement personnel et celui des petits groupes. Voilà pourquoi je crois qu'il faut une autre classe politique qui puisse s'aligner avec le monde dans le combat contre l'impunité et la corruption en vue d'établir le bien-être collectif.
Quelles sont vos ambitions pour le parlement de votre pays ?
Aujourd'hui mes ambitions c'est de voir, le parlement haïtien, comme une institution capable d'accomplir ses rôles essentiels pour l'épanouissement de la démocratie. Voir que les futurs élus sont des hommes formés et compétents maitrisant la fonction parlementaire et soucieux du bien-être de la population haïtienne dans son ensemble. Je ne me vois pas comme parlementaire, je me vois comme cadre et coach pour ceux qui veulent travailler au bien-être de ma République.
Aspirez-vous y revenir pour un nouveau mandat ?
Je fais une carrière politique je suis au service de mon peuple et de la République.
Vos projets à court, moyen et long terme
À court terme je veux construire un réseau de jeunes et de vrais patriotes haïtiens dans le monde pour constituer un noyau pensant pour le développement d'Haïti. A moyen terme, je souhaite élargir la formation de mon institut (IGGEP) en ce qui concerne, « l'Etat et sa gouvernance » aux jeunes leaders de la république. A long terme je souhaite participer et voir le bien-être de mon peuple comme une réalité, voir des relations plus importantes entre Haïti et l'Afrique, voir Haïti comme la nouvelle destination mondiale pour son histoire et sa culture.
Les propos racistes de Trump à l'endroit des Haïtiens, qu'est-ce que vous en pensez en tant que représentant des Haïtiens ?
Je crois que Trump a un problème, il souffre d'un manque d'humanité grave. Aussi, il porte au fond de lui les cicatrices d'Haïti pour avoir fini avec l'exploitation abusive d'homme par homme et lutter au prix du sang pour établir la liberté, l'égalité et le respect des droits humains. Enfin, aujourd'hui, il cherche des personnes pour parler de lui, mais il ne mérite pas toute cette attention.
Un mot à l'endroit des Haïtiens
Je veux dire à mes frères et sœurs haïtiens de cesser la fuite d'Haïti, nous allons construire une autre Haïti sans corruption et sans l'insécurité. Je veux dire à la jeunesse de mon pays qu'elle constitue l'espoir de notre devenir meilleur. Demain est à nous, saisissons aujourd'hui.
Votre mot de fin
Merci pour cette opportunité que vous m'avez offerte, je vous serai reconnaissant.
Je veux souligner pour les battant d'Haïti que nous pouvons construire un autre Haïti digne d'être la 1ere République noire.
A. T.
Le béninois Gregory Da Silva, vient d'inscrire son nom dans le Guinness World Records pour avoir porté 735 œufs sur un seul chapeau.
Dans une vidéo qui a été partagée sur la page Instagram du Guinness World Records, on peut voir l'homme sur une scène qui porte en équilibre les centaines d'œufs sur son chapeau.
« Le plus grand nombre d'œufs portés sur un seul chapeau, 735 par Gregory Da Silva », a écrit Guinness World Records en légende.
View this post on InstagramUne publication partagée par Guinness World Records (@guinnessworldrecords)
Né au Bénin, en 1979, Gregory Da Silva a été formé à l'informatique à l'université, mais a ensuite fondé une troupe de théâtre au Bénin appelée « Voice of Spirit » ou « Voix de l'Esprit », qui a joué à des fins politiques ainsi que théâtre comique et poétique à la Bibliothèque nationale du Bénin. Après avoir reçu une invitation à se produire au Festival MASA - Marché des arts du spectacle africains - en Côte d'Ivoire en 2003, où il a représenté son pays, le Bénin, pendant une semaine avant de s'envoler pour l'Afrique du Sud. Il a vendu ses créations au V&A Waterfront et a commencé à orner les rues de Cape Town avec sa forme d'art unique.
Le Directeur général de la société BENIN CONTROL, Gwendal Euzen, était sur l'émission le Club de L'Economiste ce jeudi 14 octobre 2021. Au cours de l'entretien avec les journalistes sur cette plateforme d'échanges et de communication, le DG a exposé les nombreuses réformes opérées au Port autonome de Cotonou (PAC), et les avantages du Programme de vérification des importations que pilote la société qu'il dirige.
BENIN CONTROL est une société qui a pour mission de faciliter les formalités d'enlèvement des marchandises importées au cordon douanier ; de lutter contre la fraude douanière et l'insécurité ; d'améliorer les recettes douanières ; et de renforcer les capacités techniques de la douane, et le transfert des compétences. Pour atteindre ses objectifs, la société selon le directeur général a mis en place plusieurs services dont celui d'évaluation et de classification des marchandises. Ce service selon Gwendal Euzen, vise à mettre tous les importateurs sur un même pied d'égalité (faire en sorte que la marchandise déclarée soit conforme au contenu du conteneur).
La société BENIN CONTROL selon le directeur assiste la douane en mettant en place la « valeur transactionnelle » (le prix payé ou à payer et reconnu par l'organisation mondiale des douanes, et auquel tous les pays de la planète ont adhéré).
« Les marchandises sont classifiées selon les codes de la CEDEAO et le niveau de taxation des marchandises est exactement le même dans toute la communauté économique », a-t-il rassuré. Gwendal Euzen a par ailleurs évoqué les services de scanning de conteneurs ; le service de ciblage, et le service de suivi électronique des marchandises de transit au Bénin. Ce service permet d'éviter les déversements frauduleux et favorise le suivi des véhicules jusqu'à la frontière de destination.
Le système de certification des poids des marchandises débarquées en vrac au port de Cotonou permet à la société de s'assurer que « toutes quantités déclarées sont bien déclarées » ; un logiciel est également mis en place pour suivre les marchandises en entrepôt, et de gérer la comptabilité. Tous ces services présentent d'énormes avantages pour le Port autonome de Cotonou.
Les avantages des services de BENIN CONTROL pour le PAC
Selon le directeur général, les avantages de la société sont multiples et à différents niveaux. Le premier souligne-t-il est pour les usagers. A l'en croire, le scanner offre en temps réel, une image du contenu. Et s'il diffère de ce qui est déclaré, le conteneur est mis dans le circuit de contrôle. Contrairement au passé, « le temps moyen d'un conteneur sur le scanner de l'entrée à la sortie est de 14 mn s'il n'y a aucun reproche », a confié le DG de BENIN CONTROL.
L'autre avantage selon lui, est le système de géolocalisation en temps réel qui permet de s'assurer que les marchandises de transit au Bénin vers les pays de l'hinterland sont bien convoyées. Pour ces marchandises, on met une balise GPS qui rapporte en temps réel leurs « comportements sur le corridor » (arrêt, changement d'itinéraire, tentative d'enlèvement de la balise, etc).
Selon Gwendal Euzen, de concert avec la douane, les zones où les camions peuvent s'arrêter sont définies, et les différentes alertes sont suivies par une cellule composée des agents de BENIN CONTROL de la douane béninoise. Cette cellule rassure-t-il, fonctionne 24h/24 ; et les agents appellent l'usager et le service d'intervention rapide de la douane de la zone concernée.
Bilan de la période 2020-2021
Se prononçant sur le bilan de la période 2020-2021, le directeur général de BENIN CONTROL a rappelé la fermeture des frontières nigérianes, la crise de Covid-19, et le coût du Naira « extrêmement faible ». Pour lui, « une monnaie faible aide à la consommation locale et à l'exportation mais ralentit fortement l'importation ».
Selon Gwendal Euzen, ce fut une période « extrêmement difficile », mais elle a été traversée « de manière extrêmement positive et extrêmement rassurante ». Tous les secteurs d'activité ont été impactés mais les réformes au Bénin ont permis de ne pas chuter alors que beaucoup de pays en Afrique comme ailleurs « sont par terre ». « Le Bénin a eu une économie saine et forte », résultat des nombreuses réformes, a-t-il félicité avant de souligner que le pays qui a trouvé « la bonne voie pour être beaucoup moins dépendant de ses causes exogènes et de leurs impacts ».
Au niveau de BENIN CONTROL, l'essentiel selon Gwendal Euzen est de dématérialiser les procédures. Etant donné que les procédures sont dématérialisées, les interactions sont limitées entre les personnes. Ce qui a permis à la société d'être « très peu » impactée par la crise de Covid-19. Le but des réformes rappelle-t-il, étant de limiter les échanges. Ainsi, plusieurs services sont délivrés en même temps avec les mêmes indicateurs de performances et les mêmes résultats, a soutenu le directeur général.
F. A. A.
Un nouveau « Focus Report », produit par Oxford Business Group (OBG) en partenariat avec l'Africa Data Centers Association (ADCA), met en évidence les opportunités pour les investisseurs d'aider à établir un écosystème des TIC qui sera essentiel pour conduire la transformation économique du continent.
Intitulée « Data Centers in Africa-Focus Report », la publication explore le besoin urgent de déployer davantage d'installations offrant ces services dans un contexte de demande croissante des acteurs de l'industrie opérant dans l'économie de plus en plus numérisée de la région et d'importants déficits de capacité. Le rapport peut être consulté et téléchargé sur : https://oxfordbusinessgroup.com/blog/bernardo-bruzzone/focus-reports/focus-report/comment-lafrique-se-positionne-t-elle-en-tant-que-destination-pour-les-data-centres.
La concurrence pour les investissements devant être féroce à l'ère post-pandémique, l'étude analyse les atouts de l'Afrique, notamment sa population jeune, en croissance rapide et connectée à Internet. Ce dernier évoque que puisque la plupart des Africains accèdent à Internet via des appareils mobiles, le continent pourrait bien être en mesure de contourner certaines des étapes traditionnelles du développement industriel dans son adoption des nouvelles technologies.
Les abonnés trouveront également une couverture approfondie des avantages que la mise en œuvre de la zone de libre-échange continentale africaine devrait apporter en réduisant la bureaucratie pour les investisseurs qui envisagent des opportunités intra-régionales dans les TIC.
Le rapport recense les points clés qui suscitent déjà l'intérêt des opérateurs de centres de données (DC), notant le rôle qu'ils devraient jouer dans l'expansion du marché et en aidant les économies cibles à combler l'écart avec l'Afrique du Sud, le leader continental.
La publication met en lumière plusieurs marchés individuels, tout en suivant les mesures prises par un certain nombre de gouvernements africains pour élaborer des programmes politiques axés sur le numérique dans des mesures qui devraient pousser la croissance et créer des emplois.
Le rapport comprend une contribution d'Ayotunde Coker, président de l'Association des centres de données africains (ADCA) et PDG de Rack Center, dans laquelle il explique pourquoi le moment est venu pour l'industrie des DC de se développer à travers le continent.
« La région a démontré sa capacité à innover et à dépasser technologiquement les marchés matures : cela s'est produit avec la téléphonie, et cela se produit avec la technologie financière et avec d'innombrables autres innovations technologiques », a-t-il déclaré. « Une population nombreuse et jeune, combinée à une pénétration croissante du réseau, élargit l'accès à la téléphonie à haut débit. La téléphonie mobile restera le point d'accès dominant à Internet à travers l'Afrique, où les consommateurs continuent à acheter des produits et à consommer du contenu principalement via des téléphones mobiles. En conséquence, nous constatons des bases solides qui favorisent l'Afrique comme destination pour les centres de données. »
Karine Loehman, directrice générale d'OBG pour l'Afrique, a déclaré qu'avec la pandémie du Covid-19 ayant accéléré la numérisation, des efforts étaient en cours pour attirer les investissements nécessaires pour libérer tout le potentiel numérique du continent, considérant des priorités les domaines tels que le renforcement des compétences en TIC et le déploiement d'infrastructures.
« La technologie numérique devrait jouer un rôle multiforme dans la direction du développement économique de l'Afrique, en contribuant à améliorer sa compétitivité, à faciliter la refonte des services publics et à renforcer la sécurité alimentaire », a-t-elle affirmé. Les recherches confirment que les investisseurs donnent déjà à l'économie numérique de l'Afrique une injection des capitaux nécessaires, malgré l'environnement quelque peu difficile. « L'accès Internet haut débit étant considéré comme un catalyseur clé de l'économie numérique et faisant toujours défaut dans une grande partie de l'Afrique, nous nous attendons à ce que la demande de services DC s'accélère à moyen terme », a ajouté Karine Loehman.
Le rapport « Data Centers in Africa-Focus Report » représente une collaboration avec l'ADCA. Il comprend des études de cas approfondies et comprend les points de vues de représentants d'acteurs clés de l'industrie, à savoir : Starline ; the African Infrastructure Investment Managers ; ONIX Data Centre ; PCCW Global ; ST Digital ; Teraco ; Databridge ; MainOne ; N+One ; Uptime Institute ; Workonline Communications ; Galaxy Backbone ; Raxio Group ; Rack Centre ; CBRE ; and IxAfrica.
L'étude sur l'industrie des DC en Afrique fait partie d'une série de rapports sur mesure qu'OBG produit actuellement avec ses partenaires, ainsi que d'autres outils de recherche très pertinents, y compris une gamme d'articles et d'entretiens sur les perspectives de croissance et de reprise spécifiques à chaque pays.
À propos d'Oxford Business Group
Oxford Business Group (OBG) est un cabinet d'intelligence économique et de conseil présent dans plus de 30 pays couvrant l'Asie, l'Afrique, le Moyen-Orient et les Amériques. La firme est reconnue mondialement comme une source fiable d'information stratégique sur les marchés ayant démontré un taux de croissance parmi les plus rapides au monde, appelés The Yellow Slice, en référence aux couleurs corporative d'OBG.
À travers sa gamme de produits – veille économique : Economic News & Views, sondages : OBG CEO Surveys ; événements et conférences ; interviews exclusives en format vidéo : Global Platform, publications annuelles : The Report – et sa division conseil : Advisory, OBG développe des analyses exhaustives et précises de l'évolution macroéconomique et sectorielle afin d'aiguiller les décisions commerciales et d'investissement.
OBG diffuse ses produits d'intelligence économique via différentes plateformes, incluant ses abonnés directs, ainsi que ceux de Dow Jones Factiva, Bloomberg Professional Services, Eikon de Refinitiv (anciennement Thomson Reuters), et plusieurs autres.
Nommés en Conseil des ministres, mercredi 13 octobre 2021, les nouveaux recteurs, vice-recteurs et chefs d'entités des quatre universités publiques du Bénin seront installés vendredi 15 octobre 2021.
Les nouveaux recteurs des universités publiques prendront officiellement fonction ce vendredi 15 octobre 2021. Selon plusieurs sources, les cérémonies de passation de service auront lieu dans les quatre universités (Université d'Abomey-Calavi, Université de Parakou, Université nationale d'agriculture et Université nationale des sciences, technologie, ingénierie et mathématiques) à partir de 10 heures.
Les nouveaux recteurs ont été nommés à la suite de l'appel à candidatures lancé par les universités publiques et les rapports de travaux de pré-sélection, de sélection et d'entretien avec les différents candidats préqualifiés aux hautes fonctions universitaires de direction.
A.A.A
Les opérations de lotissement ou de remembrement ont été suspendues dans toutes les communes du département de l'Ouémé. Ainsi en a décidé le préfet.
Par un arrêté en date du 14 octobre 2021, le préfet de l'Ouémé, Marie-Reine Akpotrossou, invite les autorités communales « à bien vouloir suspendre toutes opérations de lotissement ou de remembrement dans toutes les communes en attendant la finalisation des travaux du Comité Technique Départemental mis en place à cet effet ».
Le gouvernement a mis en place des Comités techniques en charge du lotissement.
M. M.
A l'occasion de la célébration de la fête de Maouloud et conformément aux dispositions de la loi n˚90-019 du 27 juillet 1990 fixant les fêtes légales en République du Bénin, la journée du lundi 18 octobre 2021 est déclarée fériée, chômée et payée sur toute l'étendue du territoire national.
Le Bénin est élu membre du Conseil des Droits de l'Homme des Nations-Unies pour la période 2022-2024
189 voix pour sur 192 votants et 01 abstention. Ainsi se présente le score obtenu par le Bénin à l'élection, jeudi 14 octobre 2021, de membre du Conseil des Droits de l'Homme à l'Organisation des Nations-Unies (ONU).
Le mandat couvre la période de 2022 à 2024.
La candidature du Bénin a été présentée lors de la 76ème session ordinaire de l'Assemblée générale des Nations-Unies tenue par visioconférence à New-York le 24 septembre dernier. L'annonce a été faite par la Vice-présidente Mariama Chabi Talata qui représentait le chef de l'Etat Patrice Talon.
Le Conseil des droits de l'Homme (CDH) est chargé de promouvoir et de défendre les droits de l'Homme dans le monde.
Le Conseil est composé de 47 États Membres élus directement au scrutin secret, à la majorité des membres de l'Assemblée générale des Nations-Unies.
M. M.
Par décret N˚ 2021-468 du 22 septembre 2021, le Chef de l'Etat Patrice Talon a promu onze (11) officiers supérieurs de la Police républicaine au titre de l'année 2021. Selon l'article 2 du décret « les promotions accordées donnent droit à une augmentation de traitement dans les conditions définies par les textes en vigueur ».
Officiers de la Police républicaine promus aux grades supérieurs au titre de l'année 2021
Pour compter du 1er janvier 2021
Grade de commissaire divisionnaire de police
Commissaire principal de police Noukoussi Chabi Théodore
Pour compter du 1er avril 2021
Grade de de contrôleur général de police
Commissaire divisionnaire de police Kodo K. Emmanuel
Grade de commissaire divisionnaire de police
Commissaire principal de police Hounkpè François
Pour compter du 1er juillet 2021
Grade de contrôleur général de police
Commissaire divisionnaire de police Bossou Claude
Commissaire divisionnaire de police Abalo Max-Noel Folly
Grade de commissaire divisionnaire de police
Commissaire principal de police Dagnonhoueton Anasthase Wilfried
Commissaire principal de police Aloukou Martin Agonman
Pour compter du 1er octobre 2021
Grade de contrôleur général de police
Commissaire divisionnaire de police Gaffan N.Y Innocent
Commissaire divisionnaire de police Allowanou Kokou Brice
Grade de commissaire divisionnaire de police
Commissaire principal de police Togbede André
Médécin-Commissaire principal de police Latame Joseph Guy
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Au cours de ces dernières années, le nombre d'Exchanges (place de marchés des cryptomonnaies) s'est considérablement accru. Cette pluralité peut créer de l'embarras au moment de choisir la plateforme la plus adaptée à ses besoins.
Le choix du bon Exchange dépend de plusieurs facteurs tels que la détention ou non d'une license, les monnaies numériques qui sont négociées, les modes de paiement proposés et bien d'autres.
La juridiction du marché de cryptomonnaie
Pour être autorisées à exercer les activités de trading en ligne, les bourses cryptographiques doivent obtenir des agréments des Etats. Les pays d'Amérique du Nord, notamment les Etats-Unis et le Canada, ainsi que la majorité des pays d'Europe occidentale autorisent le courtage de monnaies numériques.
Prenez l'exemple de Coinbase, l'un des meilleurs exchanges de trading en ligne de crypto-monnaies. Outre l'Amérique du Nord (Etats-Unis et Canada), Coinbase est autorisée en Amérique du Sud dans des pays comme le Honduras, El Salvador, le Guatemala et le Costa Rica. La Bourse s'est également déployée dans les Caraïbes (République dominicaine, Jamaïque), en Europe, en Asie et en Océanie.
Grâce à son déploiement international dans une centaine de pays, Coinbase est reconnue mondialement comme le plus grand Exchange au monde. C'est aussi le cas de Binance, une bourse de crypto-monnaie basée à Hong Kong qui se positionne en 2e place derrière Coinbase comme le plus grand marché crypto au monde. Elle est présente dans près de 198 pays.
Vous comprenez donc que le bon Exchange de crypto-monnaies est celui qui vous permet de trader depuis n'importe quel point du globe. Vérifiez donc que la bourse que vous choisissez détient un agrément de l'autorité de régulation de votre pays de résidence ce qui lui permet d'exercer en toute légalité.
Les cryptomonnaies disponibles
Le deuxième critère à prendre en compte pour choisir le bon marché de crypto-monnaies est le nombre de devises disponibles. A ce sujet, il existe deux stratégies : celle qui est adaptée aux marchés spécialisés et celle des marchés non spécialisés.
Sur les marchés spécialisés
Certains marchés boursiers se sont spécialisés dans le trading de Bitcoin car c'est la monnaie la plus dynamique. C'est le cas par exemple de itBit ou de Bittrex. Certaines proposent aussi bien le Bitcoin que le Bitcoin Cash ou encore le Bitcoin Gold. Il ne tient alors qu'à vous de développer les meilleures stratégies de trading du bitcoin lorsque vous choisissez ces plateformes.
Arrivant en 2e position des crypto-monnaies les plus dynamiques, l'Ethereum fait également l'objet d'une attention particulière. Par conséquent, il existe des marchés boursiers exclusifs à cette monnaie numérique sur lesquels il est même possible de trader l'Ethereum ou l'Ethereum Classic.
Si vous n'envisagez de trader que l'une ou l'autre de ces monnaies numériques, vous pouvez choisir ce genre de plateformes. Cependant, si votre stratégie de trading implique d'autres devises numériques, vous avez tout intérêt à choisir une plateforme qui propose le maximum de crypto-monnaies.
Sur les marchés non spécialisés
Les marchés non spécialisés sont ceux qui permettent à leurs clients de trader plusieurs devises crypto. Choisissez une plateforme qui propose non seulement les déclinaisons du Bitcoin et de l'Ethereum, mais aussi d'autres cryptomonnaies comme : Dash, Stellar, Zcash, Cardano, Ripple, Verge, Litecoin, QuaZar, NEO, Coindash, EOS, Gifto, Enjincoin, Status, Aelf, Ambrosus, Vive, Iostoken, etc.
Les devises échangées
Contre quelles devises la bourse accepte-t-elle que vous échangiez des crypto-monnaies ? Posez-vous cette question au moment de choisir votre marché de cryptomonnaie. Ne l'oubliez pas ! Pour obtenir vos monnaies numériques, il faut les acquérir avec des devises classiques. Par conséquent, le bon marché de cryptomonnaie est aussi celui qui vous propose le plus grand nombre de devises à échanger, qu'il s'agisse du dollar, de l'euro, du yen, du rouble, du livre, etc.
Les moyens de paiement disponibles
Sur un bon site de trading de monnaie cryptographique, l'achat doit pouvoir se faire grâce à plusieurs modes de dépôt. De même, il faut que les retraits puissent se faire via plusieurs moyens, notamment les cartes bancaires (Visa, MasterCard, American Express, etc.) et le transfert bancaire. A cela, il faut ajouter d'autres moyens de paiement comme PayPal, Skrill, Neteller, etc. Certaines plateformes comme Coinmama acceptent même les cartes de crédit.
Les frais appliqués
La plupart des bourses proposent des frais de transaction proches de zéro. Une plateforme comme Binance par exemple ne prélève que 0,1% à chaque transaction tandis que Robinhood ne prélève rien du tout. De même, il n'est pas difficile de trouver une bourse qui ne prélève pas de frais à l'inscription. Pour payer le moins de frais possible, optez pour la bourse dont les frais sont les plus abordables.
Résumé
Certes, choisir le bon marché de crypto-monnaie implique la prise en compte de nombreux facteurs pertinents. Le but est de choisir l'Exchange 9qui correspond le plus à vos besoins.
Par arrêté en date du mercredi 13 octobre 2021, le ministre de la Justice et de la Législation, Séverin Quenum, a procédé à la nomination des régisseurs de la prison civile d'Akpro-Missérété et des maisons d'arrêt de Cotonou et Abomey-Calavi.
De nouveaux régisseurs à la tête des établissements pénitentiaires d'Akpro-Missérété, de Cotonou et Abomey-Calavi.
Le CPP Pierre H.S Logbo est nommé régisseur de la prison civile d'Akpro-Missérété. Eugène Boulé, CP1 est à la tête de la maison d'arrêt de Cotonou. Le nouveau régisseur de la maison d'arrêt d'Abomey-Calavi est le CP2 Désiré I. Odé. L'ancien régisseur de cet établissement pénitentiaire Sagbo Aladassi a été limogé suite à la découverte des cas de grossesses dans la prison. Son intérim était assuré par le gardien en chef de la prison.
A.A.A