Jacques Paradis n'est plus Directeur général de la Société béninoise d'énergie électrique (SBEE). La décision a été prise par le Conseil d'Administration en sa séance du vendredi 22 octobre 2021. Le Directeur administratif et financier Francis Perani est désigné pour assurer l'intérim du DG sortant pour une période d'un mois, précise la décision signée par le Président du Conseil d'Administration (PCA) Moïse Achille Houssou.
Selon la décision du Conseil d'Administration, M. Perani a été désigné DG par intérim pour ''nécessités de service''.
C'est le 11 septembre 2019 que le Conseil des ministres a décidé de confier le gestion déléguée de la SBEE à la société canadienne Manitoba Hydro International Ltd. Par cette décision, le gouvernement de Patrice Talon entend consolider les réformes en cours à la SBEE pour assurer durablement la bonne gestion de la société afin que celle-ci puisse offrir de meilleurs services aux consommateurs.
La passation de service entre Jacques Paradis et son prédécesseur, Laurent Tossou, a eu lieu mardi 05 novembre 2019.
« Ce que nous voulons, c'est de faire en sorte que les clients, après notre départ, soient satisfaits. Tout au long de notre mandat de quatre ans, nous allons faire énormément d'efforts pour la satisfaction des clients. (...)››, avait promis Paradis après sa prise de service.
L'accès aux locaux et aux services de la Préfecture d'Abomey est conditionné à la présentation d'une preuve de vaccination contre la Covid-19 ou d'un test PCR datant de moins de 48 heures.
Le préfet du département du Zou a indiqué dans une note en date du lundi 25 octobre 2021 que « conformément à la décision du Conseil des Ministres, en sa séance du 20 octobre 2021, l'accès à la Préfecture d'Abomey à tout usager de ses services est conditionné à la présentation du pass vaccinal ou du résultat PCR datant de moins de 48 heures ».
Le préfet a instruit également les chefs services et autres responsables de la préfecture à prendre des dispositions pour le respect de la décision. « J'attache une importance particulière au respect strict des instructions contenues dans la présente note par tout chef de service et autres acteurs en poste à la Préfecture d'Abomey », martèle Firmin A. Kouton.
M. M.
Opération de libération de la zone Sud de la Route des pêches à Cotonou jusqu'à Ouidah. Les travaux ont été lancés dans la matinée de ce lundi 25 octobre 2021 par le préfet du Littoral Alain Orounla et son collègue de l'Atlantique Jean-Claude Codjia en présence des maires de Ouidah, d'Abomey-Calavi et des élus locaux.
Le gouvernement béninois a démarré les travaux de libération de la zone Sud de la Route des pêches à Cotonou jusqu'à Ouidah. C'est dans le cadre de la mise en œuvre du projet d'aménagement et de développement touristique de la zone Sud de la Route des pêches. Cette opération intervient après la remise d'un chèque de 3 millions FCFA et un titre de propriété d'une parcelle à Avlékété, aux pêcheurs impactés par le projet la semaine dernière.
Les bulldozers sont en action depuis la matinée de ce lundi. Habitations, hangars et paillotes sont entièrement détruits. « Après le site de Fiyégnon qui a été libéré et nettoyé sans heurt, le grand chantier de Xwlacodji en cours d'achèvement, il apparaît nécessaire et utile d'entamer et de finaliser la libération du Littoral », a déclaré le préfet du Littoral. A en croire Alain Orounla, les travaux de libération vont se poursuivre jusqu'à Ouidah pour que « la plage du Littoral soit totalement libérée et apprêtée pour les aménagements futurs, c'est-à-dire les travaux de valorisation et d'embellissement ».
Avant le passage des bulldozers, certains habitants ont commencé par détruire eux-mêmes leurs habitations.
Les maquis et restaurants épargnés
Pour cette opération, seuls les habitats précaires des pêcheurs sont détruits. Les maquis et restaurants sont épargnés. « Ce sont les instructions fermes du chef de l'Etat, on laisse ceux qui ont des activités économiques notamment de restauration sur la côte en attendant que la deuxième phase soit conduite par la société Sogea Satom, identifiée pour les aménagements », a confié l'autorité communale.
Lors de la deuxième phase poursuit-il, la stratégie d'occupation du Littoral qui est définie par le gouvernement sera mise à exécution.
L'opération de libération se déroule sans incident et sans résistance avec l'appui des agents de la police républicaine. « Les populations ont compris et adhéré parce qu'il y a eu un préalable qui a été fait. Un gros effort a été consenti par le gouvernement qui a décaissé un peu plus de 2 milliards de FCFA à ce jour pour accompagner ceux qui ont été obligés de changer de place », a ajouté le préfet Alain Orounla.
Le préfet de l'Atlantique Jean-Claude Codjia souhaite que l'opération se déroule dans le calme jusqu'à la fin. « Les populations de façon générale ont adhéré et ce que nous souhaitions ; c'est que nous puissions poursuivre et achever cette opération en toute quiétude », a-t-il affirmé. Jean-Claude Codjia a félicité les populations riveraines pour leur adhésion au projet.
Le gouvernement béninois a inscrit dans ses actions, un vaste programme de développement touristique. Le but est de positionner le Bénin comme l'une des destinations touristiques phares de l'Afrique. Les travaux d'aménagement de la zone Sud de la Route des pêches à Cotonou jusqu'à la Porte du Non-Retour à Ouidah prennent en compte la plantation de cocotiers, la construction d'une station balnéaire, l'installation de lieux de séjour et de détente haut standing le long de la côte.
Akpédjé A. Ayosso
Quelques images
Opération de libération de la zone Sud de la Route des pêches à Cotonou jusqu'à Ouidah. Les travaux ont été lancés dans la matinée de ce lundi 25 octobre 2021 par le préfet du Littoral Alain Orounla et son collègue de l'Atlantique Jean-Claude Codjia en présence des maires de Ouidah, d'Abomey-Calavi et des élus locaux.
Le gouvernement béninois a démarré les travaux de libération de la zone Sud de la Route des pêches à Cotonou jusqu'à Ouidah. C'est dans le cadre de la mise en œuvre du projet d'aménagement et de développement touristique de la zone Sud de la Route des pêches. Cette opération intervient après la remise d'un chèque de 3 millions FCFA et un titre de propriété d'une parcelle à Avlékété, aux pêcheurs impactés par le projet la semaine dernière.
Les bulldozers sont en action depuis la matinée de ce lundi. Habitations, hangars et paillotes sont entièrement détruits. « Après le site de Fiyégnon qui a été libéré et nettoyé sans heurt, le grand chantier de Xwlacodji en cours d'achèvement, il apparaît nécessaire et utile d'entamer et de finaliser la libération du Littoral », a déclaré le préfet du Littoral. A en croire Alain Orounla, les travaux de libération vont se poursuivre jusqu'à Ouidah pour que « la plage du Littoral soit totalement libérée et apprêtée pour les aménagements futurs, c'est-à-dire les travaux de valorisation et d'embellissement ».
Avant le passage des bulldozers, certains habitants ont commencé par détruire eux-mêmes leurs habitations.
Les maquis et restaurants épargnés
Pour cette opération, seuls les habitats précaires des pêcheurs sont détruits. Les maquis et restaurants sont épargnés. « Ce sont les instructions fermes du chef de l'Etat, on laisse ceux qui ont des activités économiques notamment de restauration sur la côte en attendant que la deuxième phase soit conduite par la société Sogea Satom, identifiée pour les aménagements », a confié l'autorité communale.
Lors de la deuxième phase poursuit-il, la stratégie d'occupation du Littoral qui est définie par le gouvernement sera mise à exécution.
L'opération de libération se déroule sans incident et sans résistance avec l'appui des agents de la police républicaine. « Les populations ont compris et adhéré parce qu'il y a eu un préalable qui a été fait. Un gros effort a été consenti par le gouvernement qui a décaissé un peu plus de 2 milliards de FCFA à ce jour pour accompagner ceux qui ont été obligés de changer de place », a ajouté le préfet Alain Orounla.
Le préfet de l'Atlantique Jean-Claude Codjia souhaite que l'opération se déroule dans le calme jusqu'à la fin. « Les populations de façon générale ont adhéré et ce que nous souhaitions ; c'est que nous puissions poursuivre et achever cette opération en toute quiétude », a-t-il affirmé. Jean-Claude Codjia a félicité les populations riveraines pour leur adhésion au projet.
Le gouvernement béninois a inscrit dans ses actions, un vaste programme de développement touristique. Le but est de positionner le Bénin comme l'une des destinations touristiques phares de l'Afrique. Les travaux d'aménagement de la zone Sud de la Route des pêches à Cotonou jusqu'à la Porte du Non-Retour à Ouidah prennent en compte la plantation de cocotiers, la construction d'une station balnéaire, l'installation de lieux de séjour et de détente haut standing le long de la côte.
Akpédjé A. Ayosso
Quelques images
Alain Orounla, préfet du Littoral, a mené une opération inopinée dans la nuit du samedi 23 au dimanche 24 octobre 2021 dans les discothèques et structures assimilées à Jonquet, un quartier du cinquième arrondissement de Cotonou.
Les promoteurs ou tenants des discothèques et structures assimilées continuent d'ouvrir malgré la décision portant fermeture prise en Conseil des ministres le 1er septembre dernier en raison de la propagation de la Covid-19. C'est le constat fait par le préfet du Littoral dans la nuit du samedi 23 au dimanche 24 octobre 2021 au quartier Jonquet connu pour ses nombreuses discothèques animées.
Le préfet Orounla était accompagné du Directeur départemental de la police républicaine et d'un cortège de policiers.
La délégation a sillonné sous la pluie le Bar Sowéto, le club VIP Xavier palais des jeunes, D'spot, Casper Lounge, Story, Wabi, Venix, P-House, et autres. Les discothèques violent non seulement la décision portant fermeture mais aussi les mesures de prévention contre la Covid-19 et l'hygiène. Elles étaient noires de monde, les occupants sans masque de protection Covid-19 pour la plupart et disposés au mépris de la distanciation sociale exigée en ces temps de pandémie.
Le préfet a ordonné la fermeture des lieux.
Une procédure de convocation est ouverte à l'encontre des promoteurs des discothèques en infraction, selon la cellule de communication du préfet du Littoral.
Des instructions ont été données à chaque commissariat de l'arrondissement de ressort des discothèques et structures assimilées mises en cause aux fins d'engager la procédure judiciaire, précise la même source.
M. M.
Dans le cadre de ses activités, la société ETISALAT BÉNIN lance le présent avis à manifestation d'intérêt en vue de la constitution d'une liste d'Agences de Communication pour la mise en œuvre de son plan de communication.
Lire l'intégralité de l'appel
L'audience de l'ex ministre Alexandre Hountondji et de Joseph Tamégnon, ancien Dg de la Société de Gestion des Marchés Autonome (Sogema) s'est ouverte ce lundi 25 octobre 2021 à la Cour de Répression des Infractions Economiques et du Terrorisme (Criet).
La Criet a renvoyé le dossier des mis en cause dans l'affaire de « terrorisme et atteinte à la sûreté de l'Etat béninois » lors de la présidentielle du 11 avril 2021 devant sa commission d'instruction. Le juge en charge du dossier s'est déclaré ‘'incompétent''. Les faits reprochés à l'ex ministre Alexandre Hountondji et à Joseph Tamégnon, ancien Dg de la Sogema sont de ‘'nature criminelle'', selon le juge qui a décidé de renvoyer le dossier en instruction, lors de l'audience de ce lundi 25 octobre 2021.
A l'audience du 9 août dernier, les mis en cause ont demandé une liberté provisoire. Leur demande a été rejetée par le juge au cours de l'audience de ce lundi.
Alexandre Hountondji, ex ministre de Yayi et Joseph Tamégnon, ex Dg de la Sogema sont des membres du Groupe national de contact (GNC), un mouvement de l'opposition radicale. Ils ont été arrêtés à la suite des manifestations violentes survenues lors de la présidentielle du 11 avril 2021.
M. M.
Dénis L. Bohoussou n'est plus Directeur Général de l'Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle (OAPI). La ministre de l'Industrie et du Commerce du Bénin, Mme Alimatou Shadiya Assouman en sa qualité de Présidente du Conseil d'Administration (PCA) de l'OAPI, a procédé à la suspension du DG de l'Organisation panafricaine.
Le Dg de l'Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle (OAPI), l'Ivoirien Dénis Loukou Bohoussou, est suspendu de ses fonctions par la ministre du commerce et de l'industrie du Bénin et Présidente du Conseil d'Administration (PCA) de l'OAPI, Alimatou Shadiya Assouman dans une note en date du 15 octobre 2021. Il est reproché au DG son refus de « faire exécuter la décision d'auditer la gestion de l'organisation ». Selon la note, « l'audit était demandé en vue de clarifier les soupçons de mal gouvernance et de malversations mettant directement en péril les intérêts de l'organisation ».
La PCA a ordonné le 4 septembre dernier au DG Dénis Loukou Bohoussou de passer un appel d'offres pour le recrutement d'un cabinet d'audit international chargé d'enquêter sur la gestion de l'OAPI. Ce que le DG n'aurait pas fait. Un motif que conteste Dénis Loukou Bohoussou qui déplore le fait de n'avoir pas reçu la notification officielle de sa suspension. « Je ne me suis jamais opposé à l'audit de ma gestion de l'organisation. Bien au contraire, après avoir reçu en septembre 2021 le Projet d'appel à manifestation d'intérêt international relatif au recrutement d'un cabinet d'audit international, j'ai formulé des manquements dans l'optique de le parfaire et d'en tirer le meilleur parti pour l'Organisation. (…) Sur le fond, et dans un souci de transparence, j'ai proposé d'étendre l'audit à une période plus large qui prendra en compte l'année 2017 qui correspond à ma prise de fonction jusqu'à 2020. Ce qui permettra d'auditer toute ma gestion, depuis le début de mon mandat. Toutes ces observations ont été adressées par courrier à la PCA dans des correspondances dont la dernière datant du 05 octobre 2021, et dont nous avons les accusés de réception. En lieu et place de l'intégration des amendements que nous jugeons pertinents pour la crédibilité de l'audit, nous avons constaté sa publication en l'état initial, en violation des procédures en vigueur », se défend Dénis Loukou Bohoussou.
Le DG suspendu appelle à l'organisation d'une session extraordinaire du Conseil d'Administration de l'OAPI.
Dans un communiqué publié le 18 octobre, l'OAPI informe les différents publics que tous les services de l'Organisation restent ouverts et fonctionnent normalement. « Tout est mis en œuvre pour continuer à délivrer des services conformes aux attentes des usagers tout en garantissant une gouvernance de qualité », a rassuré l'institution.
L'Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle (OAPI) est créée en mars 1977 et regroupe dix-sept Etats africains. C'est un organisme intergouvernemental chargé de protéger de manière uniforme les droits de propriété dont le siège se trouve à Yaoundé (Cameroun).
M. M.
Les conseillers démissionnaires du parti Forces Cauris pour un Bénin Emergent (FCBE) de Copargo ont posé, dimanche 24 octobre 2021, leurs valises au Bloc Républicain (BR)
La cérémonie d'adhésion des conseillers communaux FCBE au BR s'est tenue à la maison des jeunes de Copargo, dimanche 24 octobre.
« La base a opéré le choix d'adhérer à la formation politique Bloc Républicain », a indiqué, Bernard Matchi , Coordonnateur FCBE à Copargo. Selon la déclaration d'adhésion, les coordinations des FCBE ainsi que les démembrements au niveau des arrondissements et villages associés aux militants ne se retrouvent plus dans les choix opérés par les élus communaux FCBE.
Le représentant du secrétaire général du Bloc Républicain, Abdoulaye Bio Tchané a pris acte de l'adhésion des nouveaux membres.
« Par cette décision, vous avez pris un acte courageux. Vous avez pris une décision sage et responsable parce que vous pouviez faire autrement (...). Vous êtes venus au bercail. Par cet acte, vous permettez, vous donnez la chance au Bloc Républicain d'être le parti majoritaire à la base dans la commune de Copargo », a ajouté le représentant qui a assuré les nouveaux membres de leur intégration au sein des militants BR de Copargo.
M. M.
Une dame sera jugée le 17 novembre 2021 au tribunal de Cotonou pour détention de faux billets.
Selon Frissons Radio, la mise en cause a été arrêtée à l'aéroport de Cotonou. En provenance d'un pays de l'Afrique centrale, elle transportait environ 600.000 FCFA de faux billets. Son procès est prévu pour le 17 novembre prochain au tribunal de Cotonou. Elle sera jugée pour détention de faux billets de banque.
A.A.A
Une cinquantaine de prostituées ont été interpellées dans la nuit du samedi 23 au dimanche 24 octobre 2021 à Cotonou.
Des filles de joie arrêtées à Cotonou. Selon les informations de Frissons Radio, l'opération a été déclenchée par le préfet du Littoral Alain Orounla. Elle a permis d'arrêter 35 filles de joie à Joncquet dans le 5e arrondissement et une dizaine dans le 11e arrondissement et d'autres quartiers de Cotonou. Elles seront présentées lundi 25 octobre au procureur de la République près le tribunal de première instance de première classe de Cotonou pour atteinte aux bonnes mœurs.
A.A.A
Dans le cadre de l'enquête, les employés de 58 pays ont été invités à évaluer les employeurs multinationaux sur des aspects tels que l'image de marque, l'empreinte économique, le développement des talents, l'égalité des sexes et la responsabilité sociétale.
Le Groupe MTN, à l'issue de l'enquête, est fier d'annoncer qu'il est reconnu comme la première entreprise africaine à faire son entrée dans la liste récemment publiée des meilleurs employeurs mondiaux de Forbes pour 2021.
La liste complète comprend 750 entreprises. Le classement de cette année représentent une amélioration significative dans différents domaines pour MTN. Globalement, nous sommes passés de la position 419 l'année dernière à la 132e place en 2021. Nous avons également gagné neuf places dans le classement mondial de l'industrie des télécoms, pour atteindre la deuxième place.
"Cette reconnaissance intervient à un moment où notre secteur est à l'avant-garde des changements qui se produisent dans le monde. L'année où nous avons lancé notre nouvelle stratégie Ambition 2025 et notre programme EVP « Live Inspired ». Nous sommes ravis que cette reconnaissance, comme beaucoup d'autres que nous avons reçues, serve à réaffirmer et à inspirer les gens autour de nos ambitions.", déclare Ralph Mupita, président et directeur général du groupe MTN.
"Nous sommes heureux de recevoir cette forte reconnaissance mondiale par Forbes, car les gens ont trouvé difficile d'être physiquement ensemble, nous avons dû intensifier nos efforts en tant qu'industrie pour les connecter entre eux, connecter les entreprises avec leurs employés et leurs clients, et bien sûr, permettre la fourniture de nouveaux services essentiels aux communautés. Pour y parvenir, nous nous sommes appuyés sur notre personnel, sur ses compétences, sur son sens de l'innovation et sur son esprit d'initiative qui continue de briller aux côtés de notre marque", souligne Paul Norman, directeur des ressources humaines du Groupe.
Par le biais de notre Programme « Live Inspired », nous visons à doter nos employés de compétences futures, à créer un lieu de travail diversifié et inclusif et à contribuer à un environnement durable.
Pour consulter la liste complète des meilleurs employeurs du monde de Forbes pour 2021, merci de vous rendre sur le site web de Forbes, à l'adresse : World's Best Employers 2021 (forbes.com)
NB : La liste des meilleurs employeurs du monde de Forbes est déterminée à l'aide d'une enquête menée auprès de 150 000 travailleurs à temps plein et à temps partiel de 58 pays qui travaillent pour des entreprises et des institutions multinationales. Toutes les enquêtes sont anonymes, ce qui permet aux participants de partager ouvertement leurs opinions. Selon Forbes, les participants ont été invités à évaluer leur volonté de recommander leur propre employeur à leurs amis et à leur famille. Ils ont également été invités à évaluer d'autres employeurs dans leurs secteurs respectifs qui se sont distingués de manière positive ou négative. Les participants ont été invités à évaluer les entreprises sur des aspects tels que l'image, l'empreinte économique, le développement des talents, l'égalité des genres et la responsabilité sociétale. Les 750 entreprises qui ont reçu les notes totales les plus élevées ont été retenues pour la liste finale.Deux individus ont blessé un dignitaire de culte des revenants communément appelé ‘'Egun-egun'' et lui ont arraché sa moto au quartier Zongo, dans l'arrondissement de Pahou, commune de Ouidah, vendredi 22 octobre 2021.
Le dignitaire Egun-d'Egun, Gilbert Ahossi, d'une quarantaine d'années, a été intercepté par deux individus armés de coupe-coupe et de fusil de fabrication artisanale à Pahou (commune de Ouidah), vendredi 22 octobre 2021.
Les braqueurs réclament la clé de la motocyclette et le dignitaire s'y oppose.
Les deux individus le blessent et emportent sa moto.
La victime est hospitalisé pour des soins.
Pour l'heure, les deux braqueurs n'ont pas encore été identifiés.
Marc MENSAH
Un individu recherché pour « association de malfaiteurs, cambriolage et recel » a été abattu par la police, vendredi 22 octobre 2021, à Anavié, un quartier de Porto-Novo. Ce dernier s'apprêtait à commettre un autre forfait.
Une équipe de policiers du commissariat du 4ème arrondissement de Porto-Novo a mis en place un dispositif pour interpeller le nommé Soviguidi Daoudou Zannou, un malfrat connu sous le pseudo ‘'Sam'', vendredi 22 octobre 2021, à Anavié, à Porto-Novo.
A la vue du dispositif sécuritaire installé à la hauteur du complexe scolaire d'Anavié, le malfrat présumé descend d'un taxi-moto et dégaine un pistolet de fabrication artisanale.
Le hors-la-loi tire sur les forces de sécurité. Mais la riposte des policiers lui a été fatale. Le malfrat connu sous le nom de gang ‘'Sam'' et Soviguidi Daoudou Zannou à l'état civil a été neutralisé.
Il était recherché pour « association de malfaiteurs, cambriolage et recel ».
Son complice, le sieur Saïd Damala est activement recherché par la police.
Marc MENSAH
Le match retour entre le Bénin et le Burkina comptant pour le premier tour des éliminatoires de la Coupe d'Afrique des Nations (CAN) Féminine, Maroc 2022 a été joué, ce dimanche 24 octobre 2021, au stade Charles de Gaulle de Porto-Novo.
3 buts à 1 en faveur du Burkina-Faso. C'est le score de la rencontre entre l'équipe féminine des Ecureuils du Bénin et les Juments du Burkina Faso dans le cadre du match retour comptant pour le premier tour des éliminatoires de la Coupe d'Afrique des Nations (CAN) Féminine, Maroc 2022.
Le stade Charles de Gaulle de Porto-Novo (Bénin) a servi de cadre à la rencontre dans la soirée du dimanche 24 octobre 2021.
Battues à l'aller par les joueuses burkinabè sur le score de 2 buts à 1, le 20 octobre dernier au stade Robert-Champroux de la Côte d'Ivoire, les Ecureuils Dame du Bénin sont éliminées.
Les points culminés des deux rencontres font 5-2 en faveur du Burkina.
Le Bénin ne pourra pas participer au second tour des éliminatoires de la Coupe d'Afrique des Nations (CAN) Féminine, Maroc 2022.
Marc MENSAH
Une crise de jalousie a fini par emporter deux prétendants d'une jeune fille dans la nuit du samedi 23 au dimanche 24 octobre 2021 dans l'arrondissement central de Banikoara. Des dégâts matériels ont été également enregistrés.
Les sieurs Alain, un artisan et Moussa, un commerçant de petits ruminants ont jeté leur dévolu sur la même jeune. Une crise de jalousie s'est installée entre les deux prétendants et dure depuis cinq mois environ. Les faits se passent dans l'arrondissement central de Banikoara.
La rivalité entre les deux hommes a dégénéré en un drame le samedi 23 octobre 2021 lors d'une réception dans une buvette où les deux rivaux ont été invités.
Le sieur Moussa est arrivé sur les lieux accompagné de la jeune fille. Il aurait provoqué le sieur Alain qui s'est vu obligé de quitter la buvette.
Les deux rivaux se retrouvent aux environs de 20 H dans un club VIP et une bagarre s'éclate. Alain poignarde son rival Moussa à l'aide d'un coûteau.
Moussa rend l'âme sur le champ. Il a été inhumé ce dimanche 24 octobre 2021.
Les proches du défunt Moussa tentent de le venger et se sont attaqués à la petite famille d'Alain. Selon radio Beganse Fm la famille de Alain n'eut la paix que grâce à l'intervention de la police.
Les proches du défunt finiront par retrouver Alain. Ils assomment Alain à coups de bâton et de pierre.
Agonisant, Alain a été transporté à l'hôpital de zone de Banikoara pour des soins. Mais les proches du défunt Moussa n'en démordent pas et veulent en finir avec l'auteur de la mort d'un des leurs. Ils se rendent à l'hôpital et saccagent le centre de santé.
Aux dernières nouvelles, Alain le second rival est également décédé à l'hôpital.
Marc MENSAH
Le Bénin abrite dès mardi prochain le Circuit ITF des 18 ans et moins de l'Afrique de l'Ouest et du Centre. La compétition se déroulera du 26 au 31 Octobre 2021 au Tennis Club de l'amitié à Cotonou.
Une soixantaine de joueurs (filles et garçons) venus de plusieurs pays de la sous région prendront part à la compétition. L'objectif primordial pour les jeunes joueurs et joueuses qui prennent part à ce rendez vous est de glanner des points afin d'améliorer leur classement mondial (ranking mondial).
Du côté des béninois, le numéro n° 1 junior , Prince GANDONOU, qui est tombé en quart de finale, après un match très disputé, contre le français Dominique ROLLAND, tête de série n°2 à Lome, promet de prendre sa revenge à Cotonou.
Nombreux sont ces jeunes tennismen qui veulent profiter du rendez-vous de cotonou pour avancer au classement. Compte tenu de la pandémie du covid 19, la compétition se déroule à huis clos avec pass sanitaire. Toutes les conditions sécuritaires et sanitaires ont été prises pour un bon déroulement de la compétition a rassuré le Directeur du tournoi DANHOUAN Bruno.
Marcel H.
Deux hommes ont trouvé la mort ce weekend à Banikoara dans le département du Borgou, dans une jalousie autour d'une jeune fille.
Alain et Moussa, deux rivaux se disputent quotidiennement à cause d'une jeune fille. A l'occasion d'une réception dans une buvette de la ville, ce samedi, Moussa qui avait les faveurs de la dulcinée querelle, selon les faits rapportés par la radio locale, s'est mis à provoquer son rival, Alain. N'en pouvant plus, ce dernier quitte les lieux de la réception. Moussa le rattrape dans un autre buvette VIP de la place. C'est alors qu'une bagarre éclate entre les deux rivaux.
Alain poignarde Moussa à l'aide d'un couteau. Celui-ci rend l'âme sur-le-champ. Après son inhumation ce dimanche, ses parents s'en prennent à la famille de Alain. Il a fallu l'intervention de la police pour leur épargner le pire.
Déterminés à venger la mort de leur fils, ils parviennent à retrouver Alain dans sa cachette, et lui assènent des coups. Conduit d'urgence à l'hôpital de zone de la localité, il finit par rendre l'âme.
D'énormes dégâts matériels auraient été enregistrés dans le conflit entre les deux amoureux.
Fabrice A. AHEHEHINNOU
Dans un communiqué, en date du 23 octobre 2021, Tanzania Peace Foundation (TPF) vient apporter un démenti sur un document falsifié, qui lui a été attribué sur les réseaux sociaux à propos de la déclaration de Dar es Salam sur l'exclusion de la rasd de l'Union Africaine (UA).
La Tanzania Peace Foundation (TPF) ne se reconnait pas dans un communiqué en date du 21 octobre 2021 publié en son nom sur les réseaux sociaux à propos du séminaire organisé le 16 octobre 2021 à Dar es Salam (Tanzanie).
Suite au démenti publié par l'agence de presse algérienne (APS) de la déclaration issue du séminaire de Dar Es Salam sur l'exclusion de la pseudo-rasd de l'Union Africaine, Tanzania Peace Foundation (TPF) vient de publier un communiqué par la voix de son Président sur l'authenticité de son communiqué.
Dans ce document en date du 23 octobre 2021, le président de Tanzania Peace Foundation (TPF), vient apporter des clarifications par rapport à ce Fake news. Mr Sadiki Godigodi a dénoncé non seulement le contenu du texte mais aussi l'inauthenticité de la signature et du cachet apposé sur le document.
''(...) la Tanzania Peace Foundation réaffirme fermement la participation positive et efficace de ses membres à la conférence intitulée, ''L'impératif du redressement post-Covid : Comment la résolution de la question du Sahara peut-elle stimuler la stabilité et l'intégration africaine ?'', qui s'est tenue, le samedi 16 octobre 2021, au Hyatt Kilimandjaro, à Dar es Salaam, en Tanzanie, ainsi que son sérieux dans le respect de toutes les conclusions et recommandations formulées conjointement lors de ladite conférence par the Institute of Peace and Conflict studies (IPCS) et la Tanzania Peace Foundation (...)'', indique le document officiel.
Le communiqué souligne que la TPF renouvelle son engagement et son attachement non seulement aux résultats de la conférence mais aussi au contenu de la déclaration finale publiée le 16 octobre 2021 par les deux groupes de réflexion tanzaniens à l'issue de la conférence.
Pour conclure, Mr Sadiki Godigodi précise que ''toute nouvelle publiée au nom de la TPF, par une station de médias ou un réseau social ne correspondant pas à la portée ou à un contenu de cette déclaration doit être considérée comme une fausse nouvelle et n'exprime pas les orientations de la TPF et les satisfactions des participants sur la question du Sahara''.
Ce communiqué officiel de la Tanzania Peace Foundation vient confirmer surtout la manipulation des Algériens et leurs acolytes du polisario sur la question du Sahara marocain.
La Banque Panafricaine, Ecobank, conformément à sa responsabilité sociétale envers les communautés des pays où elle est implantée, a célébré sa "Journée Ecobank" ou "Ecobank Day", aux côtés des pensionnaires de l'Association Saint Camille de Lellis. Ces personnes atteintes de maladie mentale ont reçu dans ce cadre des dons de médicaments, de matériels et de vivres au Centre Saint Camille « Oasis d'amour » à Tokan dans la commune d'Abomey-Calavi, samedi 23 octobre 2021.
Les bras chargés de dons, une délégation de Ecobank Bénin s'est rendue au Centre Saint Camille « Oasis d'amour » de Tokan, dans la commune d'Abomey-Calavi, samedi 23 octobre 2021. « Nous sommes venus dans un élan de solidarité, avec quelques vivres et équipements pour contribuer à notre façon, à la prise en charge de nos frères et sœurs qui souffrent d'affections mentales », a indiqué le représentant du Directeur Général de Ecobank Bénin, Bénito Fado. À cette annonce, les pensionnaires du Centre manifestent leur joie à travers des chants de louange au seigneur, quelques-uns esquissent même des pas de danse au rythme des tam-tams et des battements de mains. « C'est une joie ! Nous sommes très émus de votre présence au milieu de nous à St Camille, aujourd'hui », s'est rejouie Sr Pascaline Agboton, responsable des soins au Centre Saint Camille « Oasis d'amour » de Tokan.
Selon le représentant du DG Ecobank Bénin, la Banque célèbre la "Journée Ecobank" ou "Ecobank Day", pour soutenir une cause sociale et apporter une solution visant à réduire la souffrance des communautés. « Autour de nous, des personnes souffrent de dépression ou de stress chronique. D'autres sont victimes du surmenage ou développent des tendances au suicide », a indiqué Bénito Fado, tout en encourageant à la prise en charge précoce afin d'éviter le pire. « Il est donc important de démystifier les maladies mentales et d'encourager les échanges autour de la santé mentale ! », a exhorté le représentant du Dg Ecobank.
Innocent Amoussou, le Directeur du Centre a remercié Ecobank qui est venue partager des moments de joie avec les personnes atteintes de maladie mentale. Ces personnes souvent rejetées constituent une main-d'oeuvre laissée de côté, selon le fondateur du centre, qui a souffert lui aussi de maladie mentale. « Nous sommes tous des malades ambulants », a lancé Grégoire Ahogbonon, fondateur du Centre Saint Camille « Oasis d'amour » de Tokan pour inviter à mettre fin aux stigmatisations dont sont victimes les personnes atteintes de maladie mentale.
Dans le cadre de la"Journée Ecobank" célébrée sous le thème : « Santé mentale : Il est temps d'en parler et d'agir ! », des dons ont été offerts aux pensionnaires de l'Association St Camille de Lellis. Les dons sont composés, entre autres, de quatre (04) machines à coudre, un (01) tricycle motorisé, cinq (05) boîtes à pansement, des médicaments psychotiques, vingt (20) sacs de maïs de 100kg, vingt (20) sacs de riz de 50kg, cinquante (50) cartons de 500 paquets de pâtes alimentaires (spaghettis).
« Vous avez été notre providence (...). On n'avait plus de vivres dans le Centre. Il n'y avait plus rien ! Mais, aujourd'hui, vous êtes venus les mains chargées », a confié Sr Pascaline Agboton, responsable des soins au Centre Saint Camille « Oasis d'amour » de Tokan. « Les dons comme ce que Ecobank est en train de faire (...), c'est quelque chose de très très généreux », a ajouté Innocent Amoussou, Directeur du Centre.
Pour le fondateur du Centre Saint Camille « Oasis d'amour » de Tokan, il n'y a pas de mot pour traduire la reconnaissance à Ecobank. « Je ne peux que bénir le Seigneur pour votre présence même dans le Centre », a avoué Grégoire Ahogbonon, fondateur du Centre.
Quid de la "Journée Ecobank" ou "Ecobank Day" et du Centre
La Journée Ecobank est l'événement phare annuel au cours duquel Ecobank et les membres de son personnel « donnent en retour » à leur communauté locale. Elle
a lieu au dernier trimestre de chaque année à travers 33 pays africains.
En 2019, une campagne de trois ans intitulée « Ensemble pour une meilleure santé », dédiée à la sensibilisation et à la prévention des maladies non transmissibles (MNT) a été lancée.
En 2019, les maladies cardiovasculaires ont retenu l'attention et le diabète était au coeur de la campagne de 2020.
L'édition 2021 s'est intéressée à la santé mentale.
Le Centre Saint Camille « Oasis d'amour » est fondé par l'Association St Camille de Lellis et s'occupe de l'accueil, la prise en charge et la réinsertion des malades mentaux. Depuis son ouverture en octobre 2016, le Centre a pris en charge plus de 11.000 malades dont certains continuent de recevoir des soins mensuellement. Il fonctionne grâce aux dons. L'Association St Camille de Lellis a également un Centre à Avrankou, Bohicon, Djougou, Dassa au Bénin en plus du premier, créé en Côte d'Ivoire. La majorité du personnel des Centres ont été des pensionnaires, c'est-à-dire des personnes rétablies de leur maladie.
M. M.