Le coup de foudre se révèle être une thématique qui se retrouve au cœur des débats depuis des lustres. En effet, il s'agit d'un concept qui divise, car certains l'acceptent tandis que d'autres se montrent très sceptiques. Toutefois, peu importe les croyances, force est de remarquer que tout le monde espère un jour en faire l'expérience. Ainsi, qu'y a-t-il à savoir concrètement à propos du coup de foudre ?
Le coup de foudre existait-il réellement ?
Le coup de foudre se trouve être une croyance à laquelle tout le monde ne croit pas forcément. En effet, certains y croient dur comme fer alors que d'autres n'y voient qu'une construction sociale. Toutefois une étude réalisée sur le territoire français a démontré que la population y croit.
Néanmoins, les experts assurent que le coup de foudre n'a rien à avoir avec les rumeurs et superstitions répandues dans la société. En effet, ces derniers décrivent cela comme un état d'esprit favorisant une forte attraction physique ou intellectuelle. D'après certains spécialistes, il s'agirait également d'attirance et de spéculations inconscientes.
Quelle est la provenance du coup de foudre ?
Il faut noter que le coup de foudre est en réalité une croyance populaire avec laquelle de nombreuses personnes ont grandi. Il s'agit d'un état d'esprit ayant été érigé au sein de nombreuses comédies romantiques. Vous pourriez vivre cet état d'esprit sur Jezabel Vessir sur Jerkmate.
Toutefois, cela peut représenter un réel handicap pour les personnes qui y sont sujettes. En effet, le coup de foudre ne favorise pas les vraies rencontres. Il n'offre pas la possibilité de connaitre un individu qui pourrait potentiellement être un partenaire idéal.
Quels sont les symptômes du coup de foudre ?
Même s'il s'agit d'une utopie pour certaines personnes de nombreuses autres assurent l'avoir vécu. Ces dernières en décrivent quelques symptômes. En général, le sentiment éprouvé est similaire à un foudroiement. C'est d'ailleurs de là que vient le nom du concept. De plus, la personne qui y est sujette est tout à fait désorientée et perd ses repères corporels. En outre, cette personne croit avoir fait la rencontre de l'amour de sa vie. Lorsque le coup de foudre est intense, le rythme cardiaque du sujet se trouve être accéléré fortement. Il est également possible d'observer de la moiteur au niveau de ses mains.
Ses membres inférieurs sont par ailleurs soumis à du vacillement. En des termes plus clairs, à la vue de l'autre, le sujet du coup de foudre perd tous ses moyens. Il n'est pas non plus rare d'entendre certaines personnes affirmer qu'un tel état d'esprit est comparable à la sensation de flottement. En l'espace de quelques secondes, elles ressentiraient par conséquent un certain détachement de leur corps. Il faut ajouter à cela le malaise abdominal que les sujets ressentent à la vue de l'autre.
Pendant un coup de foudre, les scientifiques ont pu remarquer que le cerveau libère énormément de l'endorphine et de la dopamine. La première substance dont il est question produit un effet de bien être sur le sujet. Quant à la dopamine, elle incite ce dernier à agir.
A l'issue d'une réunion tenue le mardi 29 mars 2022, le Conseil d'Administration de l'Association des Parents d'Elèves de l'Etablissement Français d'Enseignement Montaigne de Cotonou a déchargé Luciano HOUNKPONOU de ses fonctions de Président. C'est désormais la Vice-Présidente, Stella CODJIA, qui assure l'intérim du Président du Conseil d'Administration de l'APE de l'EFE Montaigne.
Luciano HOUNKPONOU a été démis de ses fonctions de Président pour des questions de conflits d'intérêts. Selon les informations, Luciano HOUNKPONOU, élu le 16 février dernier, est l'avocat d'une banque dans laquelle l'APE de l'EFE Montaigne est titulaire d'un compte courant et d'un compte de dépôt à terme (DAT) de plusieurs milliards. Pour les Administrateurs, il se pose là une difficulté apparentée à un conflit d'intérêts potentiel dans la mesure où l'alinéa 3 de l' « Article 22 : Fonction » des Statuts de l'APE stipule clairement que « les membres du Conseil d'administration s'interdisent toute forme de commerce avec l'EFE Montaigne, directement ou indirectement ».
En outre, Luciano HOUNKPONOU est membre d'un Conseil d'Administration présidé par Nelly HOUNGBEDJI, qui revendique depuis près de deux (02) ans la légitimité d'avoir été élu par 15% des parents d'élèves de l'EFE Montaigne au cours d'une Assemblée Générale Extraordinaire en date du 26 juin 2020. Elle a entrepris la démarche auprès de la banque dans laquelle l'APE de l'EFE Montaigne a ses comptes pour dépôt dans ses livres de ses présidente, vice-président, trésorier et trésorier adjoint. La banque a donc saisi le Juge des référés près le Tribunal de Première Instance de Première Classe de Cotonou pour voir désigner un mandataire de justice afin de gérer les comptes de l'APE de l'EFE Montaigne. Par une ordonnance du 31 août 2020, le CA de Nelly HOUNGBEDJI et Luciano HOUNKPONOU a été débouté de ses demandes. Il a ensuite interjeté appel de la décision et l'affaire est pendante devant la Cour d'Appel de Cotonou.
Selon les dispositions de l'article 35 des Statuts de l'APE « le Président du Conseil d'Administration assure dans le cadre des pouvoirs qui lui sont délégués par celui-ci, la direction générale de l'Association. Il est le seul habilité à représenter l'Association en justice et dans les actes de la vie civile. (…) ». Dans le souci de préserver les intérêts de l'APE, les membres du Conseil d'Administration ont décidé à la majorité absolue de démettre Luciano HOUNKPONOU de ses fonctions de PCA. Ils soutiennent qu'il « ne saurait représenter légalement l'APE en justice dans le cadre d'un litige pendant devant la Cour d'Appel de Cotonou, dans lequel sa cliente (la Banque) est impliquée, et plus encore lorsque l'Association est attaquée par le 2ème CA, illégitime, dont il est membre ».
Luciano HOUNKPONOU conteste sa destitutiono
Luciano HOUNKPONOU est contre la décision des membres du Conseil d'Administration. Selon lui, il reste l'unique Président du Conseil d'Administration, responsable légal de l'établissement. Il soutient que le processus de destitution du Président n'est pas prévu dans les Statuts de l'APE et évoque les conséquences de sa destitution sur le fonctionnement de l'école. Luciano HOUNKPONOU informe qu'aucune dépense ne pourra être validée y compris le paiement des salaires du personnel de l'établissement puisque les Statuts prévoient une double signature du président et du trésorier pour tout nouvel engagement financier ou choix de gestion de l'établissement. « La raison pour laquelle je me suis présenté à l'élection au Conseil d'Administration de l'établissement était précisément de contribuer à mettre fin à ces blocages institutionnels répétés qui affectent le bon fonctionnement de l'établissement et nuisent à la scolarité de nos enfants », a-t-il indiqué dans une lettre adressée aux parents d'élèves de l'école Montaigne le 31 mars 2022.
Cette situation pourrait-elle engendrer une crise au sein de l'établissement français ? Luciano HOUNKPONOU rappelle que selon les articles 12 et 16 des Statuts, une Assemblée Générale extraordinaire doit être convoquée par les parents d'élèves pour aborder la question si au moins 15 % des membres de l'association en font la demande.
Dans deux courriers adressés au personnel enseignant et au personnel non-enseignant de l'EFE Montaigne, Stella CODJIA, Vice-Présidente du Conseil d'Administration se montre rassurante : « Nous avons toujours un DAF, un Proviseur et un Conseil d'Administration qui, conformément aux textes, est aujourd'hui "présidée par intérim" par la Vice-Présidente qui avait déjà droit de signature puisqu'elle a signé les chèques des paies du mois de mars pendant l'absence de Monsieur Luciano HOUNKPONOU. Par conséquent, AUCUN ENGAGEMENT FINANCIER NE SOUFFRE DE QUELQUE RISQUE OU DANGER QUE CE SOIT ».
Les Administrateurs de l'APE de l'EFE Montaigne assument des fonctions bénévoles. Aussi, certains parents d'élèves s'interrogent sur les véritables objectifs de Luciano HOUNKPONOU et considèrent qu'il est aujourd'hui rattrapé par son appartenance simultanée à un Conseil d'Administration dont la légitimité a été judiciairement reconnue, et à un 2ème Conseil d'Administration illégitime né le 26 juin 2020 d'un appel au soulèvement de 15% des parents d'élèves.
C'est aujourd'hui le même procédé qu'il semble utiliser pour reconquérir ses fonctions de PCA.
Le constat est évident. Les populations d'Agoué et de Grand-Popo se ravitaillent en produits vivriers dans les villages du Togo voisin principalement à Dzoda (Agouégan). Une tradition qui perdure malgré les efforts du gouvernement béninois dans la production agricole. Une équipe de 24 Heures au Bénin s'est penchée sur la question.
Tôt ce lundi 8 novembre 2021, dame Afiavi G. quitte sa maison à Agoué pour se rendre au marché Dzoda. Un marché international qui se trouve de l'autre côté de la rive du fleuve Mono, en territoire togolais. Elle y est allée pour faire le ravitaillement en vivres pour le compte de la semaine. ‘'C'est tous les lundis que le marché s'anime. Et si on ne fait pas les emplettes pour toute la semaine, on souffre après car ici, nous n'avons pas de marché qui s'anime. Nous achetons tout du côté togolais'', confie dame Afiavi G.
Tout comme cette mère de famille, les populations d'Agoué et même de toute la commune de Grand-Popo se ravitaillent en produits vivriers au Togo pour leur consommation quotidienne. ‘'La plupart des produits vivriers (gari, maïs, haricots, tapioca et autres) que consomment les populations d'Agoué, de Grand Popo et même de Comè provient du Togo.'', reconnaît Edouard Akpaka, enseignant et secrétaire général de l'association de développement de l'arrondissement d'Agoué. Comment peut-on expliquer une telle situation ? Beaucoup pensent que c'est un fait historique qui dure dans le temps.
Un fait historique
Quand on remonte dans l'histoire de la ville d'Agoué, on se rend compte que beaucoup de choses s'expliquent. ‘'Ce qui concerne l'arrondissement d'Agoué, c'est un peu historique. Dans les anciens temps, Agoué était dans le Togo. Il n'y avait pas une différence entre les habitants d'Agoué et Agouègan. Les familles qui vivaient à Agoué ont leur champs à Agouègan. Après les récoltes, ils vont se reposer à Agoué et en profitent pour faire la pêche. De mon point de vue, je constate que les grands parents ont peut-être remarqué que les terres d'Agoué ne sont pas fertiles pour les produits vivriers.'', raconte Edouard Akpaka.
Selon l'histoire, la première convention franco-allemande de 1885 a été défavorable à Agoué. Sur demande du roi d'Agbannakin, Agoué devient protectorat français le 15 avril 1885. La même année, le 24 décembre, les Français cèdent aux Allemands Anecho et Porto-Séguro en échange de quelques comptoirs en Guinée. Cette cession a été désastreuse pour Agoué et son annexion en 1894 à la colonie du Dahomey n'aura rien changé à la convention. De plus, avec la 2ème convention franco-allemande de 1897, une partie du royaume d'Agoué (la rive droite du Mono, de Tokpli à Agbannakin, le Nord de la lagune, de Agbannakin à Agouégan et Agokpamé) sera cédée à l'Allemagne. Ainsi, Agoué est séparée de tous les villages situés derrière la lagune d'où elle tire ses produits agricoles : la ville d'Agoué est française et toutes ses fermes sont allemandes. C'est ce qui expliquerait le fait que les populations d'Agoué et ses environs continuent d'être dépendantes du Togo en matière de produits vivriers. Mais pour la cheffe de l'arrondissement d'Agoué, Chantale Rosine Romao, au-delà des faits historiques, ‘' il n'y a pas de politique réelle de développement venant de la commune en matière de subventions.''
Malgré le poids de l'histoire et la persistance du phénomène, les autorités actuelles pensent changer la donne car cela constitue un manque à gagner dans la mobilisation des ressources propres.
Un poids sur l'économie locale
Selon les spécialistes des questions économiques, l'existence d'un marché dans un milieu est une source de mobilisation de ressources propres. Et donc quand les habitants d'une ville se voient obligés d'aller au marché ailleurs, ils ne font qu'enrichir l'économie locale du lieu où est implanté ledit marché.
De ce point de vue, la commune de Grand-Popo perd beaucoup d'argent quand ses populations alimentent à presque 100% le marché Dzoda d'Agouégan dans le Togo. Et pour Rosine Romao, c'est à cause de l'existence de ce marché ‘' qu'aucun marché de la commune ne s'anime.'' ‘'Cela urge que Agoué ait son autonomie dans la commercialisation et la consommation des produits vivriers. Le problème est actuellement sur tapis et on y réfléchit sérieusement. L'actuelle Cheffe d'Arrondissement cherche des voies et moyens pour y arriver.'', renchérit Edouard Akpaka.
Au-delà d'un simple constat, l'approvisionnement en produits vivriers de première nécessité est une évidence dans la commune de Grand-Popo : presque tout provient des champs des villages du Togo voisin.
Même si aujourd'hui au Bénin, la commune de Grand-Popo est en tête de peloton en matière de production maraîchère, Dzoda demeure le ''grenier à grains'' pour la majeure partie de ses populations et des localités environnantes.
Cokou Romain COKOU
Le constat est évident. Les populations d'Agoué et de Grand-Popo se ravitaillent en produits vivriers dans les villages du Togo voisin principalement à Dzoda (Agouégan). Une tradition qui perdure malgré les efforts du gouvernement béninois dans la production agricole. Une équipe de 24 Heures au Bénin s'est penchée sur la question.
Tôt ce lundi 8 novembre 2021, dame Afiavi G. quitte sa maison à Agoué pour se rendre au marché Dzoda. Un marché international qui se trouve de l'autre côté de la rive du fleuve Mono, en territoire togolais. Elle y est allée pour faire le ravitaillement en vivres pour le compte de la semaine. ‘'C'est tous les lundis que le marché s'anime. Et si on ne fait pas les emplettes pour toute la semaine, on souffre après car ici, nous n'avons pas de marché qui s'anime. Nous achetons tout du côté togolais'', confie dame Afiavi G.
Tout comme cette mère de famille, les populations d'Agoué et même de toute la commune de Grand-Popo se ravitaillent en produits vivriers au Togo pour leur consommation quotidienne. ‘'La plupart des produits vivriers (gari, maïs, haricots, tapioca et autres) que consomment les populations d'Agoué, de Grand Popo et même de Comè provient du Togo.'', reconnaît Edouard Akpaka, enseignant et secrétaire général de l'association de développement de l'arrondissement d'Agoué. Comment peut-on expliquer une telle situation ? Beaucoup pensent que c'est un fait historique qui dure dans le temps.
Un fait historique
Quand on remonte dans l'histoire de la ville d'Agoué, on se rend compte que beaucoup de choses s'expliquent. ‘'Ce qui concerne l'arrondissement d'Agoué, c'est un peu historique. Dans les anciens temps, Agoué était dans le Togo. Il n'y avait pas une différence entre les habitants d'Agoué et Agouègan. Les familles qui vivaient à Agoué ont leur champs à Agouègan. Après les récoltes, ils vont se reposer à Agoué et en profitent pour faire la pêche. De mon point de vue, je constate que les grands parents ont peut-être remarqué que les terres d'Agoué ne sont pas fertiles pour les produits vivriers.'', raconte Edouard Akpaka.
Selon l'histoire, la première convention franco-allemande de 1885 a été défavorable à Agoué. Sur demande du roi d'Agbannakin, Agoué devient protectorat français le 15 avril 1885. La même année, le 24 décembre, les Français cèdent aux Allemands Anecho et Porto-Séguro en échange de quelques comptoirs en Guinée. Cette cession a été désastreuse pour Agoué et son annexion en 1894 à la colonie du Dahomey n'aura rien changé à la convention. De plus, avec la 2ème convention franco-allemande de 1897, une partie du royaume d'Agoué (la rive droite du Mono, de Tokpli à Agbannakin, le Nord de la lagune, de Agbannakin à Agouégan et Agokpamé) sera cédée à l'Allemagne. Ainsi, Agoué est séparée de tous les villages situés derrière la lagune d'où elle tire ses produits agricoles : la ville d'Agoué est française et toutes ses fermes sont allemandes. C'est ce qui expliquerait le fait que les populations d'Agoué et ses environs continuent d'être dépendantes du Togo en matière de produits vivriers. Mais pour la cheffe de l'arrondissement d'Agoué, Chantale Rosine Romao, au-delà des faits historiques, ‘' il n'y a pas de politique réelle de développement venant de la commune en matière de subventions.''
Malgré le poids de l'histoire et la persistance du phénomène, les autorités actuelles pensent changer la donne car cela constitue un manque à gagner dans la mobilisation des ressources propres.
Un poids sur l'économie locale
Selon les spécialistes des questions économiques, l'existence d'un marché dans un milieu est une source de mobilisation de ressources propres. Et donc quand les habitants d'une ville se voient obligés d'aller au marché ailleurs, ils ne font qu'enrichir l'économie locale du lieu où est implanté ledit marché.
De ce point de vue, la commune de Grand-Popo perd beaucoup d'argent quand ses populations alimentent à presque 100% le marché Dzoda d'Agouégan dans le Togo. Et pour Rosine Romao, c'est à cause de l'existence de ce marché ‘' qu'aucun marché de la commune ne s'anime.'' ‘'Cela urge que Agoué ait son autonomie dans la commercialisation et la consommation des produits vivriers. Le problème est actuellement sur tapis et on y réfléchit sérieusement. L'actuelle Cheffe d'Arrondissement cherche des voies et moyens pour y arriver.'', renchérit Edouard Akpaka.
Au-delà d'un simple constat, l'approvisionnement en produits vivriers de première nécessité est une évidence dans la commune de Grand-Popo : presque tout provient des champs des villages du Togo voisin.
Même si aujourd'hui au Bénin, la commune de Grand-Popo est en tête de peloton en matière de production maraîchère, Dzoda demeure le ''grenier à grains'' pour la majeure partie de ses populations et des localités environnantes.
Cokou Romain COKOU
Plusieurs DJ et gérants de bars ont été interpellés à Abomey-Calavi ce dimanche 03 avril 2022. Ils auraient dépassé le nombre de décibels recommandé.
Une démi douzaine de DJ et des gérants de bars interpellés puis placés en garde à vue ce dimanche 03 avril 2022 à Abomey-Calavi. Ils sont poursuivis pour pollution sonore. Les mis en cause selon Frissons radio, seront présentés au procureur de la République.
F. A. A.
La Commission Béninoise des Droits de l'Homme (CBDH) a procédé, jeudi 31 mars 2022, à l'installation de sa section régionale de l'Ouémé.
Le bureau départemental de la Commission Béninoise des Droits de l'Homme (CBDH) a installé à Porto-Novo le jeudi 31 mars 2022. « Avoir une présence régionale pour la Commission, c'est de faire comprendre aux populations qu'il peut avoir des institutions mises en place par l'Etat qui soient à leur écoute, qui soient là pour les protéger des violations de leurs droits mais également qui soient là pour leur enseigner la loi, éduquer au civisme, éduquer à la citoyenneté, éduquer au respect des lois de la République », a fait savoir le président de la Commission Béninoise des Droits de l'Homme (CBDH). Clément Capo-Chichi précise que le rôle de l'officier des droits de l'Homme, qui a été installé est avant tout d'accueillir les populations, de recevoir les plaintes mais pas de les traiter. Le président de la CBDH invite toute personne qui sent que ses droits sont violés à saisir la Commission.
M. M.
‘'Le Bénin face à la cherté de la vie'' est le thème du débat diffusé, ce Dimanche 03 avril 2022, à la Télévision nationale (Ortb). Les raisons à l'origine de la hausse ont été présentées par le ministre d'Etat chargé de l'économie et des Finances Romuald Wadagni qui était en face du président du Groupement des Industries de la Chambre de Commerce et d'Industrie du Bénin (CCI-Bénin) Mathias Adimou, du Syndicaliste et Secrétaire Général de la COSI-Bénin Noël Chadaré, du Président de l'Association des consommateurs Ernest Gbaguidi et du 1er Vice-président de la Coneb Mama Taïrou.
La situation liée à la cherté des produits est ressentie par les membres du gouvernement, qui ne « dorment plus », selon le ministre d'Etat chargé de l'économie et des Finances Romuald Wadagni. Pour Noël Chadaré, syndicaliste et Secrétaire général de la COSI-Bénin, les travailleurs suffoquent.
La solution serait de voir comment contenir les impacts et sortir de cette crise, a suggéré Mathias Adimou, président du Groupement des Industries de la Chambre de Commerce et d'Industrie du Bénin (CCI-Bénin).
Depuis 2020, on s'attendait à entrer dans un cycle de hausse en raison de la pandémie de Covid-19, qui a occasionné le ralentissement des activités économiques, selon le ministre d'Etat. La lente reprise des activités entamée est hypothéquée par la crise entre l'Ukraine et la Russie, pays producteurs d'hydrocarbures. Le décalage entre l'offre et la demande est le phénomène annonciateur de la hausse du prix des hydrocarbures. Si ces facteurs expliquent la hausse des prix, il faudra nuancer les raisons lorsqu'il s'agit de la production locale. La hausse du prix des produits locaux est dûe au fait que l'essentiel de la production béninoise va aux Etats voisins du Bénin dont le Nigéria, qui fait face à la hausse du prix d'achat du maïs (15% contre 5% au Bénin), le Niger en proie à une baisse céréalière, et le Burkina Faso, qui fait face à l'insécurité.
1 million 600 tonnes de maïs ont été produits au Bénin, selon le ministre.
Par ailleurs, Ernest Gbaguidi a indiqué que « nous dépendons en majeure partie des produits manufacturés ».
Dans un souci d'anticipation, le gouvernement a pris des mesures. « En juillet 2021, nous avons régulé les prix des hydrocarbures et subventionné à hauteur de 5 milliards FCFA par mois », rappelle le ministre de l'économie et des Finances.
Principal carburant utilisé dans le transport, le gasoil a vu son prix maintenu à 600 f le litre. Le gouvernement a également interdit en juin 2021 les sorties incontrôlées des produits vivriers, a ajouté Romuald Wadagni.
Selon Noël Chadaré de la Cosi-Bénin, les mesures prises peinent à prendre et ne sont pas respectées partout.
M. M.
A la faveur de leur rentrée politique tenue, samedi 02 avril 2022, à Djougou, les membres du parti Restaurer La Confiance (RLC) ont officialisé leur appartenance à l'opposition.
Restaurer La Confiance (RLC) se positionne sur l'échiquier politique national en tant que parti d'opposition. Les membres de RLC l'ont fait savoir à l'occasion de leur rentrée politique tenue, samedi 02 avril 2022, à Djougou.
« Le parti « RESTAURER LA CONFIANCE » en abrégé RLC, parti reconnu avec le récépissé 2022/ N°049 / MISPDC/SGM/DPPAE/SA du 24 Mars 2022, dont le siège est situé dans le Département du Littoral, Commune de Cotonou, au 7ème Arrondissement, quartier Sèhogan, C /907-908, Immeuble SANI AGATA Abadata 05 BP 1771 Cotonou Tel : (229) 97990987, déclare conformément aux dispositions de la loi N° 2019-45 du 25 Novembre 2019 portant statut de l'opposition en République du Bénin, son appartenance à l'Opposition au Bénin », indique la déclaration publique d'appartenance lue par le président de RLC, Iréné Josias Agossa.
« Nous sommes des sociaux-libéraux et souverainistes convaincus pour qui, la culture des urnes pour la conquête du Pouvoir d'Etat est un principe sacro-saint. Forts de notre idéologie social-libéral, qui a pour base le souverainisme, nous faisons de la défense de nos valeurs et celles de notre pays, un principe cardinal qui donne une place de choix au peuple dans la gestion du pays », précise le président en ce qui concerne l'idéologie du parti Restaurer La Confiance « RLC ».
M. M.
Le jeûne musulman a débuté ce samedi 02 avril 2022 au Bénin. Le calendrier du mois de Ramadan de l'Union islamique de Parakou renseigne sur les différentes phases du carême.
Une équipe de 3 bénévoles de l'association française Pompiers Solidaires est actuellement en mission sur la commune de Comé au Bénin pour un programme Eau-Hygiène-Assainissement
L'association française Pompiers Solidaires met en œuvre un programme Eau-Hygiène-Assainissement (EHA) pour réhabiliter un réseau d'eau et d'assainissement au Sud-Ouest du Bénin, en partenariat avec l'ONG béninoise IDD (Initiative pour un Développement Durable), les autorités béninoises et les populations locales.
LE PROGRAMME
Ce programme, d'un budget de 177 257 euros est prévu sur 2 ans (2022-2023). Il est soutenu financièrement par divers bailleurs français (le département de la Loire-Atlantique, l'Agence de l'Eau Adour-Garonne et la région Nouvelle-Aquitaine), et vise à améliorer les conditions de vie des populations de la ville de Comé et de ses alentours où les besoins en EHA sont importants
Grâce au programme Bénin, Pompiers Solidaires permettra à 4250 personnes de disposer d'un accès à des infrastructures d'eau potable et d'assainissement pérennes et d'être mobilisées pour une gestion durable des ressources et une améliorations de leur bien-être.
Ce que le programme permettra de réaliser :
3 forages dans la ville de Comé et sa périphérie,
280 latrines individuelles familiales pour les populations,
20 latrines pour des familles impactées par un membre en situation de handicap,
Des formations EHA pour 4250 villageois,
Des ateliers d'accompagnement dans le changement pour les villages : hygiène personnelle, utilisation et
entretien des infrastructures, propreté́ des villages, création de comités d'hygiène et de gestion de l'eau.
L'ÉQUIPE
L'équipe de la mission qui est arrivée le dimanche 27 mars dernier est composée de Jessica PEZIN (responsable de mission et présidente de la délégation Pays-de-la-Loire), Elodie Vince (secrétaire de la délégation Pays-de-la- Loire) et Frédéric André (membre de la délégation Bretagne).
Cette équipe sera active sur le territoire de Comé jusqu'au jeudi 7 avril au matin, et à Cotonou du 7 au 9 avril après-midi.
Le suivi du projet auprès des populations dans les mois à venir sera assuré par le partenaire local IDD, en lien avec la responsable du programme en France.
Une seconde équipe de bénévoles Pompiers Solidaires reviendra au Bénin dans le courant du 2ème semestre 2022.
EN PARALLÈLE : UN PROJET PÉDAGOGIQUE FRANCE/BÉNIN AVEC DES COLLÉGIENS
Alors que la mission était en préparation en France, la délégation Pompiers Solidaires Pays-de-la-Loire a mis en place un Tandem Solidaire (dispositif à l'initiative du réseau Pays de la Loire Coopération Internationale) avec le Collège Notre-Dame au Loroux-Bottereau, en Loire-Atlantique. Dans le cadre de ce projet pédagogique visant à sensibiliser les jeunes Français aux enjeux de la solidarité internationale, les 7 classes de 5ème du Collège Notre- Dame, accompagnées par leurs enseignants, travaillent tout au long de l'année scolaire sur un échange avec le collège CEG3 de Comé (où un forage de puits est prévu dans le cadre du programme EHA) sur les thématiques de l'accès à l'eau et des différences de niveau de vie Nord/Sud.
L'équipe de la mission en cours a rencontré cette semaine la directrice du CEG3 de Comé, Mme Ambroisine TOGBE, ainsi que 2 professeurs de SVT (Messieurs MACAIRE et AMOUSSOUKPO), afin de préparer les activités avec les collégiens béninois.
Elle interviendra donc les mardi 5 et mercredi 6 avril au CEG3 : diffusion de vidéos réalisées en France par les élèves, échange questions/réponses des élèves par l'intermédiaire de Pompiers Solidaires, réalisation de vidéos avec les élèves de 5ème béninois en réponse aux collégiens français, présentation d'un jeu de cartes ludo- pédagogique sur les risques domestiques réalisé par Pompiers Solidaire
Le Chef du Front Polisario a accordé une interview au journal El Mundo depuis les camps de Tindouf. Brahim Ghali n'a pas voulu se prononcer sur certaines questions du journal.
Suite à la déclaration de l'Espagne relative à son soutien au plan d'autonomie marocain sur le Sahara, le Chef du Front Polisario s'est prononcé sur quelques sujets dans le journal espagnol El Mundo. Sur le changement de la position de l'Espagne, le séparatiste a affirmé : « ils nous ont abandonnés à notre sort en 1975 et 47 ans plus tard, ils répètent la même chose. Malgré tout, le peuple sahraoui a résisté et continuera de résister jusqu'à ce qu'il impose ses droits légitimes à l'autodétermination et à l'indépendance ».
L'hospitalisation de Brahim Ghali à l'hôpital Logrono en avril 2021 en Espagne avait déclenché une crise diplomatique entre Madrid et Rabat. Questionné, il n'a pas voulu se prononcer sur le sujet. A l'en croire, c'est une question « purement humanitaire qui se mêle aux relations bilatérales entre deux pays ».
Le Maroc propose une autonomie sous sa souveraineté alors que le Front Polisario réclame un référendum d'autodétermination.
Brahim Ghali soutient qu'il « n'y a que le Sahara occidental dans le cadre de la légalité internationale ».
Selon le journal El Mundo, le leader du mouvement indépendantiste sahraoui n'a pu répondre à trois questions sur les 22 qui lui ont été posées.
« En mai de l'année dernière, le ministre marocain des Affaires étrangères, Nasser Bourita, s'est demandé si l'Espagne était prête à sacrifier sa relation bilatérale pour vous, avec ce geste qu'elle a eu en vous hospitalisant pour vous soigner du Covid. Selon vous, que s'est-il passé pour que la position marocaine ait fait changer d'avis Sánchez ? », a demandé le journal. Cette question est restée sans réponse.
En juin 2021, Brahim Ghali a comparu devant la justice espagnole pour torture, génocide, assassinat, terrorisme. Plusieurs organisations ont aussi dénoncé l'exploitation des enfants soldats par le Polisario. Brahim Ghali a choisi de ne pas se prononcer sur ces accusations.
La dernière question sans réponse est relative à la réaction du Polisario après la nouvelle position de l'Espagne.
Le journal cherchait à savoir si « ce changement de position du gouvernement espagnol pourrait-il amener les Sahraouis du Front Polisario à envisager à nouveau d'agir contre les intérêts espagnols, comme cela s'est produit dans les années 70 avec des enlèvements ou des mitraillages de bateaux ? ». Face à ces questions qui fâchent, le Chef du Front Polisario a préféré garder le silence.
Brahim Ghali a évité de répondre à la question sur la possibilité de voir le polisario s'attaquer aux intérêts espagnols (comme dans les années 70) en réponse au changement de position du pays sur la question du Sahara marocain.
Ce n'est que n'est plus ni moins une fuite en avant du séparatiste. Brahim Ghali a fait simplement économie de vérité.
Découverte macabre à Pira, une localité de la commune de Bantè. Le corps sans vie d'un vieil homme a été découvert à son domicile le vendredi 1er avril dernier.
Un vieil homme assassiné à son domicile à Pira, dans la commune de Bantè.
Selon les informations, l'un des enfants de la victime a rendu visite à son père, et constate contrairement aux habitudes qu'il n'y avait personne dans la maison, et que les portes soient fermées. Intrigué par ce fait inhabituelle, il alerte le commissaire de police de la localité qui déploie sur les lieux, ses éléments, et le chef de l'arrondissement de Pira.
Un soudeur est commis pour défoncer les portes.
Ils découvrent le corps du vieil homme dans une chambre. Selon le constat fait sur place, le crime aurait été commis sur la terrasse, et le corps traîné dans la chambre, puis verrouillé.
Une enquête est ouverte par la police.
F. A. A.
Le festival l'Afrique en Marche démarre lundi 04 avril prochain. La question de l'accès à l'eau et à l'énergie en Afrique sera au cœur de cette édition qui va se dérouler du 04 au 09 avril prochain.
Parler de l'autre Afrique, que celle des guerres et des migrants, c'est l'ambition du festival l'Afrique en Marche.
L'édition de cette année mettra l'accent sur la question de l'eau et de l'énergie en Afrique. Jean Jouzel sera l'invité de marque. Des musiciens et cinéastes, écrivains et poètes, conférenciers, scientifiques et responsables associatifs seront à ce rendez-vous pour exposer leur savoir-faire.
Selon un communiqué des organisateurs, toutes les manifestations sont en entrée libre, et dans la limite des places disponibles, sauf au cinéma Le Vincennes, et celle portant sur la mention « réservation obligatoire ».
Le festival l'Afrique en Marche existe depuis 12 ans environ. C'est un festival qui s'évertue à révéler la "face cachée" de l'Afrique, l'autre Afrique peu connue que celles des guerres et des migrants.
F. A. A.
Au moins 20 personnes ont été tuées dans une attaque d'une mine d'or artisanale dans le nord du Burkina Faso, a annoncé samedi l'AFP se référant aux habitants locaux.
Selon les sources de l'agence, "plusieurs dizaines d'hommes armés à bord de motocyclettes ont attaqué le site d'orpaillage de Kougdiguin". Cet incident survenu dans la nuit du 1er avril a fait "une vingtaine de morts et autant de blessés".
TASS
Une livraison de 1 000 véhicules GAC MOTOR au gouvernement de l'État de Lagos a donné le coup d'envoi de « LAGRIDE », le tout nouveau programme de taxi de transport de personnes de l'État. Cette initiative offrira aux résidents une option de mobilité plus sûre et plus confortable.
Le gouvernement de l'État de Lagos a lancé un service de taxi électronique avec 1 000 véhicules GAC MOTOR flambant neufs. Parmi les invités de marque de la cérémonie d'inauguration figuraient Babajide Sanwo-Olu, gouverneur de l'État de Lagos, Cui Jianchun, ambassadeur de Chine au Nigeria, Jin Mingyu, consul général adjoint de Chine à Lagos, et Diana Chan, présidente de CIG Motor.
Un effort de deux ans couronné de succès
LAGRIDE vise à fournir un moyen de transport fiable à un prix abordable. Les plans ont débuté en novembre 2019 lorsque le gouverneur Sanwo-Olu s'est rendu dans la province de Guangdong, siège de GAC MOTOR. La qualité éprouvée, l'habitacle spacieux et la technologie intelligente du SUV GS3 et de la berline GA4 devraient améliorer la qualité et la sécurité sur les routes de Lagos.
Deux ans après la conception initiale du projet, 1 000 véhicules GAC ont quitté Qingdao, en Chine, en octobre 2021 et sont arrivés à Lagos quatre mois plus tard. La flotte bleue et blanche a traversé le Third Mainland Bridge du Nigeria lors de l'un des plus grands road-shows du pays.
LAGRIDE est une opportunité clé pour renforcer la réputation de la marque GAC MOTOR au Nigeria en ayant un impact local positif. Sur le plan technologique, GAC MOTOR contribue au développement du secteur des transports au Nigeria. Sur le plan économique, le programme encourage l'achat de véhicules et favorise l'emploi, contribuant ainsi à la croissance économique globale.
Yu Jun, membre du comité exécutif et directeur de l'unité commerciale internationale du groupe GAC et président de GAC MOTOR International, a déclaré que LAGRIDE était une priorité absolue pour le groupe GAC et qu'elle était fortement soutenue par les gouvernements de Guangdong et de Lagos. Le lancement réussi du projet a eu lieu après avoir surmonté deux années de pandémie récurrente, de pénurie de puces et de retards d'expédition. Malgré des circonstances défavorables, GAC MOTOR a conservé son esprit artisanal, apportant des services de transport de qualité au Nigeria. La marque est désormais un moteur important du développement du secteur local du hélage électronique.
L'engagement envers l'esprit de l'artisanat
GAC MOTOR maintient une forte présence au Nigeria. En 2021, GAC MOTOR a remporté le prestigieux prix de l'« Entreprise automobile de l'année » du pays. Après des années de culture, le marché nigérian a reconnu GAC MOTOR comme représentant de l'artisanat chinois. GAC MOTOR continue de défendre l'esprit de l'artisanat et la recherche de la qualité, dans le but de créer une vie de mobilité agréable pour les utilisateurs du monde entier.
SOURCE : GAC MOTOR
Le jeûne musulman débute ce samedi 02 avril 2022. A travers un message sur sa page facebook, le président de l'Assemblée nationale souhaite un bon mois de Ramadan à tous les musulmans.
« Chers frères et sœurs de la Communauté musulmane, Ce jour demarre le mois sacré de jeûne dans l'islam.30 jours durant, vous êtes appelés à observer des privations tout en consacrant le clair de votre temps à des prières, des méditations et des actes de charité », a écrit Louis Vlavonou.
Plaise à Allah, poursuit-il, ces prières contribueront au resserrement de notre tissu social et à la consolidation de la paix au Bénin et dans le monde notamment en cette période où notre pays ainsi que tous les autres pays du monde subissent les conséquences d'une conjoncture planétaire.
A tous les musulmans du Bénin et du monde, le président de l'Assemblée nationale a souhaité un Ramadan empreint de bénédictions.
A.Ayosso
Nommés par décret pris en Conseil des ministres le mercredi 30 mars 2022, trois (03) nouveaux Généraux de Brigade ont arboré leurs attributs le vendredi 1er avril 2022.
Le colonel Fructueux Candide Gbaguidi promu Général de Brigade de l'armée de terre à compter du 1er janvier 2022 et le colonel Abou Issa nommé Général de Brigade de l'armée de terre à compter du 1er avril 2022 en Conseil des ministres le mercredi 30 mars 2022 ont reçu leurs nouveaux attributs le vendredi 1er avril 2022 des mains du ministre de la défense nationale Fortunet Nouatin. Promu également Général de Brigade aérienne à compter du 1er avril 2022, le colonel Bertin Bada a reçu ses étoiles.
« La carrière de tout soldat est faite d'élévation, de promotion et de nomination. Le chef suides armées a voulu au vu de ce que nous avons fait, nous élever au rang de Général de Brigade. C'est la consécration d'une carrière, c'est aussi aussi beaucoup de responsabilités parce qu'il est normal qu'on nous demande de mieux faire, d'être encore plus professionnel, de mieux commander », a indiqué le colonel Fructueux Candide Ahodegnon Gbaguidi. Le nouveau Général a remercié le Chef de l'État pour la confiance. Il a également salué la mémoire des soldats tombés sur le champ d'honneur.
M. M.
Le tirage au sort des équipes qualifiées pour la Coupe du monde Qatar 2022 a eu lieu ce vendredi 1er avril 2022. Les 05 représentants africains sont classés dans les groupes A, D, F, G et H.
Le Sénégal, champion d'Afrique va affronter le Qatar, pays organisateur, les Pays-Bas, et l'Equateur.
La Tunisie classée dans le groupe D, sera aux prises avec la France, le Danemark et le Pérou.
Le Maroc au sein du groupe F, va défier la Belgique, la Croatie et le Canada.
Classé dans le groupe G, le Cameroun sera face au Brésil, la Suisse et la Serbie.
Enfin, le Ghana évolue dans le groupe H aux côtés du Portugal, de l'Uruguay et de la Corée du Sud.
Composition des équipes
F. A. A.
Accident mortel de la circulation ce vendredi 1er avril 2022 à Oumako, commune de Comè, département du Mono.
L'accident a eu lieu à hauteur de Oumako, un arrondissement de la commune de Comè. Il s'agit d'une collision entre un camion et un minibus. Le chauffeur du minibus est décédé. Il a fallu une manœuvre de désincarcération pour extraire son corps du véhicule. Les sapeurs-pompiers ont confié le corps à la police. Deux personnes ont été également blessées dans cet accident.
A.Ayosso