Le tournoi UFOA-B qualificatif à la CAN Scolaire 2025 a fermé ses portes ce samedi 23 novembre 2024. Si les Amazones et les Guépards scolaires du Bénin n'ont pas décroché leur ticket pour la phase continentale, ils repartent néanmoins de Niamey avec des médailles d'argent.
Chez les filles, les Amazones tombent avec les honneurs. En effet, face à la meilleure attaque du tournoi, avec 13 buts en 4 matches, les Amazones ont livré une prestation courageuse contre le Ghana. Elles ont tenu bon jusqu'à trois minutes de la fin, moment où un penalty sifflé en faveur des Ghanéennes a scellé leur destin. La capitaine adverse transforme l'occasion et offre le titre à son équipe.
Malgré la défaite, cette performance marque une nette progression par rapport à l'édition précédente à Lomé, où elles avaient terminé à la troisième place. Vice-championnes, elles repartent de Niamey avec une enveloppe de 75 000 dollars et des médailles d'argent.
Du côté des garçons, les Guépardeaux, champions en titre, espéraient réaliser le triplé. Dominateurs face à la Côte d'Ivoire, Moubine Ayamoudou et ses coéquipiers n'ont pas réussi à concrétiser leurs nombreuses occasions durant le temps réglementaire. La décision s'est donc faite lors de la séance des tirs au but, où les Ivoiriens ont pris le dessus (4-3).
Récapitulatif des récompenses chez les garçons :
Garçons
Médailles d'argent
75 000 dollars
Meilleur joueur : Moubine AYAMOUDOU
Meilleur gardien : Brice M'PO
Filles
Médailles d'argent
75 000 dollars
Meilleure gardienne : Moustarilatou YESSOUFOU
Les Amazones et Guépardeaux manqueront la CAN Scolaire 2025, prévue en avril dans un pays encore à déterminer.
J.S
Devant la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET), dix personnes ont comparu jeudi 21 novembre 2024 pour une affaire de trafic international de drogue vers des pays de l'Union européenne. Ce procès s'ouvre après la saisie à Cotonou de 18 kg de cocaïne par l'Ocertid auprès du principal prévenu dans le dossier.
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Les autorités béninoises démantèlent un réseau de trafiquants de drogue qui convoyait de la cocaïne vers les pays de l'Europe dont la France. C'est l'histoire de dix prévenus qui ont comparu jeudi 21 novembre 2024 devant les juges de la CRIET. Parmi eux, sept prévenus ont été placés en détention provisoire depuis juin 2024. Les trois autres prévenus sont des femmes dont deux sont poursuivies sans mandat pour trafic international de drogue à haut risque.
À la barre, neuf prévenus dans le dossier ont plaidé non coupable. C'est -à-dire qu'ils ont rejeté les faits de trafic international de drogue à haut risque mis à leur charge par le parquet spécial de la CRIET. Seul le principal prévenu dans le dossier a reconnu les faits et a expliqué le modus operandi du réseau.
Selon l'accusation, le principal accusé a été arrêté à son domicile par la police républicaine en possession de 18,45 kilogrammes de cocaïne, 16 millions francs CFA et 80 000 euros. Devant les juges, ce principal prévenu a indiqué qu'un Nigérian lui remettait des valises contenant de la drogue. Son rôle était de les transmettre à un agent de l'aéroport, qui se chargeait de trouver des passagers pour transporter les valises vers des pays de l'Europe, dont la France. Ces valises étaient remises à des femmes qui étaient chargées de les remettre à des personnes en Europe.
Selon le principal prévenu, ses coprévenus ignoraient le contenu des valises qui leur étaient remises. Il a indiqué que les prévenus ne savaient pas qu'elles contenaient de la drogue. Le dossier a été renvoyé au jeudi 5 décembre 2024 pour continuation. En attendant la prochaine audience, les sept prévenus poursuivis avec mandat de dépôt dans ce dossier retournent en prison, rapporte l'envoyé spécial de Libre Express.
L'accident d'un véhicule de distribution de produits pharmaceutiques a fait un mort et un blessé grave ce jeudi 21 novembre 2024 à Glazoué, dans le département des Collines.
Grave accident de circulation impliquant un véhicule de distribution de produits pharmaceutiques. Le drame a lieu ce jeudi 21 novembre 2024 à Zaffé, un arrondissement de la commune de Glazoué. Le bilan selon nos sources, fait un mort et un blessé grave. Il s'agirait du conducteur du véhicule. Le passager à ses côtés est grièvement blessé et conduit à l'hôpital pour des soins, et le corps du chauffeur déposé à la morgue. L'excès de vitesse en serait la cause de cet accident mortel.
F. A. A.
Le tribunal de commerce de Cotonou, à travers le jugement N°009/24/CDPA/TTC en date de ce vendredi 22 novembre 20240, a prononcé la liquidation judiciaire du Comptoir de distribution de produits alimentaires (CDPA Sarl).
La liquidation judiciaire du CDPA prononcée, ce vendredi 22 novembre 2024, au tribunal de commerce de Cotonou. Cette décision de justice intervient dans l'affaire opposant cette société à ses créanciers depuis plusieurs années. Par ce jugement, le tribunal estime que les conditions nécessaires à l'adoption d'un accord concordataire n'étaient plus réunies.
Le mandataire nommé par la même occasion est chargé de recenser les actifs et d'organiser leur vente aux fins de rembourser les créanciers.
Si ces derniers espèrent désormais que la vente de ces actifs permettra de minimiser leurs pertes, tel n'est pas le cas des employés et des fournisseurs. Ces derniers s'inquiètent des conséquences sociales et économiques de cette faillite.
La décision de liquider le CDPA a été prononcée après plusieurs mois de négociations infructueuses et de batailles judiciaires, suite aux difficultés financières auxquelles l'entreprise est confrontée depuis 2019. Selon les informations, une procédure de redressement judiciaire avait été ouverte, permettant un sursis temporaire avec l'homologation d'un concordat en 2021. Cependant, les efforts de redressement n'ont pas suffi à sortir l'entreprise de l'ornière. La situation s'est aggravée en 2024, mettant en lumière des dettes colossales et des litiges commerciaux, notamment une condamnation internationale de 613 000 euros (plus de 400 millions FCFA) à une société monégasque, selon les mêmes sources.
Le Comptoir de distribution de produits alimentaires (CDPA) est une entreprise appartenant à l'ancien président de la Chambre de commerce et d'industrie du Bénin (CCI Bénin), Jean-Baptiste SATCHIVI.
F. A. A.
La Fondation Mohammed VI des Sciences et de la Santé a lancé l'Académie Africaine des Sciences de la Santé (AAHS), le 23 novembre 2024, à l'Université Mohammed VI des Sciences et de la Santé à Dakhla.
L'Académie Africaine des Sciences de la Santé (African Academy of Health Sciences/AAHS) est une institution dédiée à la promotion de la recherche et du développement dans le domaine des sciences de la santé en Afrique.
La cérémonie de lancement de l'Académie s'est déroulée ce samedi à l'Université Mohammed VI des Sciences et de la Santé à Dakhla, précise un communiqué de la Fondation Mohammed VI des Sciences et de la Santé.
Située à Dakhla, l'Académie Africaine des Sciences de la Santé a pour mission de promouvoir une coopération Sud-Sud fédératrice, mobilisatrice pour une souveraineté sanitaire africaine. Elle vise à créer un espace d'échange et de partenariat pour promouvoir la recherche scientifique en santé, dans un contexte qui s'adapte aux spécificités de l'Afrique. L'Académie met l'accent sur l'excellence dans l'enseignement des sciences de la santé, en proposant des formations qui répondent aux besoins du continent.
Le rôle de l'AAHS consiste également à fédérer des experts, à travers la création de réseaux africains, pour mettre en place des stratégies, mener des projets de recherche, diffuser les connaissances et les bonnes pratiques en santé, devenant ainsi une instance et une task force majeure pour la santé africaine.
L'AAHS entretient des partenariats stratégiques avec des institutions comme l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et des acteurs de l'industrie pharmaceutique pour encourager la coopération en matière de santé.
Elle participe aussi à la collecte et à l'analyse des statistiques en matière de santé à travers l'initiative Big Data et agit à titre non-lucratif en tant qu'observatoire africain, répondant aux questions de santé publique des pouvoirs publics marocains et des instances africaines ou mondiales.
Les champs d'action de l'Académie regroupent la santé humaine (santé publique, urgences, cardiologie), la santé animale (vétérinaire et sécurité alimentaire), ainsi que la santé environnementale (réchauffement climatique, désertification, eau et stress hydrique).
À travers ses différentes initiatives, l'AAHS ambitionne de devenir un Hub pour le développement de la santé en Afrique, favorisant l'innovation scientifique et l'organisation de colloques et congrès.
Un accident de circulation, samedi 23 novembre 2024 à Sèmè-Podji a entraîné la mort d'un conducteur de taxi-moto, Zémidjan.
Décès d'un homme dans un accident de circulation à Sèkandji, commune de Sèmè Podji. La victime est un conducteur de taxi moto. Selon Libre express, il a été percuté par un véhicule alors qu'il tentait de traverser la route. Le conducteur de taxi moto est décédé sur le champ. L'accident a eu lieu non loin du carrefour Sèkandji en venant de PK10.
A.A.A
L'opérateur de téléphonie mobile MTN a lancé la 5G au Bénin. La cérémonie de lancement a eu lieu ce vendredi 22 novembre au Palais des Congrès de Cotonou, en présence des autorités, des responsables de MTN Bénin, des partenaires tcchnologiques et commerciaux et des directeurs généraux des entreprises publiques et privées.
Le leader des services de télécommunications au Bénin, rentre dans l'univers de la 5G commerciale avec le slogan « Plus de vitesses, plus de possibilités ». Le représentant de la Directrice générale de MTN Bénin, Uche Ofodile, le directeur de MTN Business Chary Doumbia a fait savoir que la 5G est désormais disponible au Bénin. La ville de Cotonou et d'Abomey-Calavi sont les premières et elle va s'étendre progressivement au reste du pays, a-t-il informé.
« Le lancement de la 5G à MTN Bénin symbolise bien plus qu'une simple avancée technologique et représente pour nous, un nouveau chapitre dans notre engagement à offrir à nos clients et à nos partenaires des solutions innovantes au pointe de la technologie. La 5 G est une amélioration de la connectivité. Car elle ouvre la voie à de nouvelles possibilités infinies dans le domaine de l'internet, des objets connectés, la réalité virtuelle et la santé numérique. », a fait savoir la directrice des ressources humaines de MTN Bénin, Viviane Sissuh. Profitant de l'occasion pour saluer la contribution du régulateur des télécommunications et du ministère de la Digitalisation du Bénin à cette avancée.
A en croire Boladji ADEOLA, Senior Manager network planning & optimisation, la 5G apporte des solutions dans plusieurs domaines « La 5G amène une plus grande capacité et la vitesse plus grande de jamais vu dans le monde de 4G. Aujourd'hui grâce à 5G, on a jusqu'à 4 fois, 5 ou 6 fois de capacité de vitesse en terme de réponse, en terme de connectivité avec la 5G. La 5G a amené la capacité à nous tous de nous connecter avec une vitesse plus élevée et moins de latence. »
Le déploiement de la 5G a nécessité d'important investissement avec des partenaires techniques comme Huawei et Ericsson. Ces investissements vont se poursuivre pour une couverture de tout le territoire béninois.
« La 5G est une technologie que nous mettons à disposition de tous les béninois, grâce à notre partenariat avec Huawei et Ericsson qui nous amène le meilleur de leur expertise et le meilleur de leur connaissance pour donner vie à cette technologie sur le territoire béninois. », a expliqué la directrice de la Technologie et de l'information, Titilope FAKUADE avant de d'ajouter que ces partenaires qui nous accompagne feront avec nous, de la 5G une réalité partout au Bénin.
Le nouveau routeur 5G est déjà disponible. De Cotonou à Calavi, il y a 80 sites 5G. Les abonnés de MTN ont aujourd'hui la possibilité d'avoir la 5G lorsqu'ils ont les équipements adaptés.
Il faut préciser que MTN a investi plus de 8,5 millions de dollars pour mettre a disposition la 5G au Bénin. « Nous allons continuer à étendre ce réseau 5G au Bénin afin que les béninois du nord du sud de l'est à l'ouest puissent avoir accès à la 5G mais également avoir un usage adapté à leur besoin réel. », a ajouté Mme FAKUADE.
Le Ministre d'État chargé de l'Économie et des Finances, Romuald Wadagni et la Directrice de l'Agence Française de Développement (AFD) au Bénin, Laure Weisgerber ont procédé, vendredi 22 novembre 2024, à Cotonou, à la signature de deux accords. C'est dans le cadre d'un financement budgétaire de politique publique (FBPP) dédié au secteur de la culture pour un montant total de près de 36 milliards de FCFA sous forme de prêt. La signature a eu lieu en présence du ministre du Tourisme, de la Culture et des Arts, Jean-Michel Abimbola.
Le Bénin et l'AFD renforcent leur partenariat dans le secteur de la culture. Après le financement obtenu en 2021 pour la construction du Musée des Rois et des Amazones du Danhomè (MuRAD) (environ 23 milliards de FCFA), le Bénin vient de décrocher un autre financement. L'AFD a accepté sous la demande des autorités béninoises de financer le futur Musée d'Art Contemporain de Cotonou (MACC) au sein du Quartier Culturel et Créatif (QCC) de Cotonou. Le montant total est de 19,6 milliards de FCFA dont 16,4 milliards en prêt et 3,2 milliards en subvention.
« Le financement budgétaire signé est le troisième projet d'envergure dans le cadre de la coopération culturelle entre le Bénin et la France. Il porte à près de 82 milliards de FCFA le montant total des fonds mobilisés, répartis entre prêts et subventions, témoignant de l'appui substantiel de la France en faveur des Industries Culturelles et Créatives (ICC) au Bénin », informe le communiqué du ministère de l'Economie et des Finances. Le Bénin devient ainsi le premier pays à signer un accord de financement budgétaire de politique publique dans le secteur de la culture. Ce qui « confirme sa volonté de faire de la culture et des arts un levier essentiel de son développement ».
La même source informe que ce financement vise la mise en œuvre de réformes d'envergure pour structurer et dynamiser les filières culturelles et artistiques, selon trois axes. Il s'agit du renforcement de la gouvernance publique pour soutenir la mise en œuvre de la politique culturelle ; de la structuration et la professionnalisation du secteur culturel afin de maximiser sa contribution à la croissance économique ; ainsi que du développement de la diffusion, de l'accès et de la promotion de la culture. « Un programme de coopération technique, complémentaire au financement budgétaire, contribuera au renforcement des capacités des ministères et agences chargés de la mise en œuvre de la politique culturelle, notamment l'Agence de Développement des Arts et de la Culture (ADAC) », précise le communiqué.
Pour le ministre d'État, « ce nouvel accord marque une étape décisive pour le secteur culturel béninois ». En investissant dans la culture et les arts, souligne-t-il, nous affirmons notre engagement à construire un avenir où notre patrimoine, notre créativité et notre savoir-faire seront des moteurs de développement et de rayonnement pour le Bénin. A en croire le ministre du Tourisme, de la Culture et des Arts, les investissements et réformes prévus dans le cadre de ce financement s'inscrivent pleinement dans la dynamique engagée par le Gouvernement depuis 2016 pour stimuler efficacement l'économie des industries culturelles et créatives au Bénin. « Ces projets visent à accélérer le développement des chaînes de valeur, renforcer la professionnalisation, moderniser les pratiques, et accroître la compétitivité des acteurs du secteur. L'objectif est d'en faire un levier stratégique pour le rayonnement régional et mondial de la Destination Bénin », ajoute Babalola Jean-Michel Abimbola.
Ce financement marque une nouvelle étape dans le partenariat franco-béninois. « Avec ce financement budgétaire inédit à la politique publique culturelle du Bénin, la France, à travers l'Agence Française de Développement, accompagne la vision forte du gouvernement béninois qui a choisi de faire de la culture un levier au service du développement et du rayonnement du pays. Ce financement est une première dans le monde, signe de la formidable dynamique à l'œuvre au Bénin », a déclaré Laure Weisgerber, Directrice de l'AFD au Bénin.
L'esplanade du Palais des Congrès de Cotonou accueille depuis le 20 novembre, l'édition 2024 du Salon national du Livre (SNL). L'ouverture officielle de cet évènement littéraire a été faite dans la soirée de ce vendredi 22 novembre par le ministre du Tourisme, de la Culture et des Arts, Jean-Michel Abimbola en présence des professionnels de la chaîne du livre et invités.
Outil stratégique pour le développement cultuel du Bénin, le Salon National du Livre s'est imposé au fil des ans comme un rendez-vous incontournable organisé par le ministère du Tourisme, de la Culture et des Arts à travers l'Agence de Développement des Arts et de la Culture (ADAC). Il réunit des écrivains, éditeurs, distributeurs, libraires, bibliothécaires et passionnés de lecture etc. L'édition 2024 du SNL est placée sous le thème : « Littérature de jeunesse : Le monde des petits dévoreurs de mots ». Selon le délégué général du SNL, Florent Couao-Zotti, c'est une invitation à plonger dans cet univers riche et vibrant où l'écriture dialogue avec les esprits. « En participant activement aux ateliers d'écriture, en donnant vie aux personnages lors de leur lecture théâtralisée et en devant les ambassadeurs de leur histoire préférée, les enfants ont transformé ce salon en une véritable fête de l'imaginaire », a-t-il déclaré. Le SNL enregistre la participation des figures de proue de la littérature dont entre autres Christian Eboulé, Eugène Ebodé et Suzanne Diop. « Ce salon au-delà de sa dimension festive est une plateforme unique de rencontres et d'échanges qui met en lumière les liens essentiels entre générations. Les auteurs qui transmettent leur vision du monde et les enfants qui la réinvente avec leurs propres rêves », a ajouté Florent Couao-Zotti.
Dans son discours d'ouverture, Jean-Michel Abimbola, ministre du Tourisme, de la Culture et des Arts, s'est réjoui de l'essor de ce rendez-vous littéraire. Il s'inscrit « pleinement dans la vision du gouvernement béninois, qui positionne la culture comme un vecteur essentiel de développement économique, de cohésion sociale et de rayonnement international ». Il a également mis en avant le Fonds de Développement des Arts et de la Culture (FDAC), une avancée majeure pour les industries culturelles et créatives béninoises. Pour le livre en particulier, indique le ministre, le FDAC ouvre des perspectives ambitieuses pour soutenir la création et l'édition ; renforcer les infrastructures et promouvoir la littérature béninoise à l'international. « Grâce à ce fonds, nous jetons les bases d'un écosystème culturel durable, où chaque maillon de l'industrie du livre trouve les moyens de pérenniser son action », a affirmé Jean-Michel Abimbola. Il a rappelé l'organisation chaque année du ‘'Grand Prix littéraire du Bénin'' (un autre événement majeur dédié à la valorisation du livre). « En attribuant des récompenses conséquentes aux différents genres littéraires et en les labélisant avec des noms de grandes figures emblématiques de la littérature béninoise, nous œuvrons à renforcer l'attractivité de la chaîne du livre tout en stimulant la créativité des auteurs », a souligné le ministre du Tourisme, de la Culture et des Arts.
Des défis à relever
La cérémonie a été marquée par des prestations artistiques mais aussi une conférence inaugurale sur le thème de l'édition 2024. L'écrivaine béninoise Béatrice Lalinon Gbado a exposé les multiples fonctions de la littérature jeunesse. Elle cite entre autres le plaisir, le loisir ; la formation au savoir-être ; et la littérature en tant qu'un outil du bien-être psychologique des jeunes et des enfants. « La littérature jeunesse est un gisement de culture et du patrimoine. Contes traditionnels, mythes et légendes introduisent nos enfants aux traditions et à leur histoire », a affirmé Béatrice Lalinon Gbado.
Au titre des défis, elle a relevé la nécessité de produire plus de dessins animés, de films et de sketchs à partir des livres. « Il faut aussi produire davantage de livres de qualité qui attirent les enfants et des livres numériques de livres audio et rendre accessible des formats adaptés aux handicaps notamment aux personnes à déficience visuelle comme le braille, l'auto-description », a ajouté l'écrivaine.
Le SNL, c'est une programmation riche de tables rondes et débats, cafés littéraires, de stands d'ouvrages divers et animations. L'événement sera clôturé ce samedi 23 novembre par une soirée d'hommages aux illustres penseurs, écrivains et intellectuels béninois disparus.
Akpédjé Ayosso
Suite au décès d'un citoyen après une interpellation de la police républicaine à Parakou, 5 agents ont été mis aux arrêts de rigueur.
Sanctions pour les éléments du commissariat du 2e arrondissement de Parakou ayant effectué une patrouille dans la nuit du lundi 18 au mardi 19 novembre 2024. Les policiers mis en cause sont mis aux arrêts de rigueur. Au nombre de 5, ces agents ont entrepris d'nterpeller le jeune Ouorou Fayçal devant le portail de son domicile au quartier Nina, mais pas dans les règles de l'art. Le jeune homme a malheureusement perdu la vie.
Dans un communiqué publié vendredi 22 novembre 2024, la police républicaine a annoncé que « le Procureur de la République près le tribunal de première instance de première classe de Parakou ainsi que l'Inspecteur technique de la Police républicaine sont saisis pour diligenter respectivement l'enquête judiciaire et celle administrative ».
Ces enquêtes permettront d'élucider les circonstances du décès du jeune homme et de situer les responsabilités.
A.A.A
Ihsane Adjanonhoun était samedi 16 novembre 2024 encore en compétition. Le médaillé de Bronze au championnat d'Afrique 2024 s'est une fois de plus bien illustré en coupe de France juniors chez les +75 Kg lors de sa première dans la catégorie. Et ceci, après ses 2 saisons passées chez les cadets +70 kg.
Ihsane Adjanonhoun a rejoint la catégorie Juniors +76 Kg. Ce week-end, il prenait part à sa première compétition de coupe de France dans la ville de Pont-à-Mousson au côté 20 athlètes. Cette compétition très relevée a vu la participation des meilleurs athlètes de la catégorie dont celle du béninois Ihsane Adjanonhoun.
C'est dans cette catégorie très relevée avec les meilleurs européens lors de cette compétition, qu'Ihsane arrive à décrocher la médaille de bronze à la petite finale avec ses différentes palettes techniques.
J.S
Les Etats-Unis réaffirment leur soutien à l'initiative marocaine d'autonomie en tant que solution sérieuse, crédible et réaliste. Cette position de Washington sur le dossier du Sahara marocain a été soulignée vendredi dernier par un Responsable américain en visite à Rabat.
Les Etats-Unis réaffirment leur soutien à l'initiative marocaine d'autonomie en tant que solution sérieuse, crédible et réaliste à la question du Sahara marocain, a indiqué, vendredi à Rabat, lors d'un point de presse, la Secrétaire d'Etat adjointe américaine aux Affaires du Proche-Orient.
Selon Barbara Leaf, Washington continue de soutenir l'Envoyé personnel du Secrétaire Général de l'ONU pour le Sahara, Staffan De Mistura, dans ses efforts visant à faire avancer les négociations en vue d'une solution politique mutuellement acceptable.
La Secrétaire d'Etat adjointe américaine aux Affaires du Proche-Orient a réaffirmé la position des États-Unis sur la question du Sahara marocain lors d'un point de presse au terme de ses entretiens avec le ministre Nasser Bourita, Chef de la diplomatie marocaine.
Le Bénin lève l'interdiction de sortie pour certains produits importés à destination du Niger.
Certains produits importés sont désormais autorisés d'exportation vers le Niger malgré la tension diplomatique entre le Niger et le Bénin et la mesure d'interdiction de sortie de produits.
Les autorités béninoises, à travers une note en date du 11 novembre 2024 signée du Directeur général adjoint de la douane, lève l'interdiction pour les produits tels que le riz, les conserves et l'huile.
En revanche, la sortie de tous les produits vivriers cultivés sur le sol béninois, tels que le maïs, le mil et le sorgho, demeure interdite.
M. M.
LIRE LA NOTE DE SERVICE
Le Ministère des Affaires Étrangères du Bénin a récemment lancé TRADUX, une plateforme numérique innovante destinée à offrir des services de traduction certifiée accessibles à tous les citoyens, entreprises et administrations.
TRADUX permet à ses utilisateurs d'accéder à des services de traduction professionnels, certifiés et sécurisés en ligne. Ce service s'adresse particulièrement à ceux qui nécessitent une traduction validée, notamment pour des actes d'état civil, des diplômes, des contrats commerciaux, ou encore des documents officiels tels que des cartes d'identité et des passeports.
Les utilisateurs peuvent soumettre leurs documents en les téléchargeant directement sur la plateforme via le site tradux.gouv.bj. Une fois la traduction effectuée, le client peut récupérer son document en suivant l'évolution de sa demande et effectuer le paiement en ligne.
Le Ministère des Affaires étrangères assure la traduction de nombreux types de documents dont des actes d'état civil (actes de naissance, de mariage, de décès) ; des documents académiques (diplômes, relevés de notes) ; des documents juridiques (contrats, procurations) ; des documents administratifs (cartes d'identité, passeports, permis de conduire, extraits de casier judiciaire, registre de commerce…)
TRADUX propose trois types de services, chacun adapté à différents besoins et délais :
Service éco : 6 500 FCFA par page (1-300 mots), avec un délai de 25 jours ouvrés.
Service express : 18 000 FCFA par page (1-300 mots), avec un délai de 7 jours ouvrés.
Service urgent (disponible bientôt) : Traduction en 4 jours ouvrés.
Accessible via le site web, la plateforme TRADUX vise à simplifier le processus de traduction certifiée, offrant ainsi aux Béninois une solution numérique moderne et efficace pour répondre à leurs besoins linguistiques.
M. M.
La police a réagi ce vendredi 22 novembre 2024 suite au décès d'un citoyen lors de son interpellation dans le 2è arrondissement de Parakou.
COMMUNIQUE
Dans la nuit du lundi 18 au mardi 19 novembre 2024, la patrouille du commissariat du 2ème arrondissement de Parakou a entrepris d'interpeller le sieur OUOROU GANI Samba Fayçal au quartier Nima. Au cours de cette interpellation qui n'a pas été conduite dans les règles de l'art par l'équipe de fonctionnaires de Police commis à cette mission de sécurité, ce citoyen a malencontreusement perdu la vie.
La Police républicaine est profondément touchée par la vague de réactions et partage toute l'émotion consécutive à cet incident regrettable. Elle tient à exprimer en conséquence ses plus sincères condoléances à la famille éplorée.
Aussi, la Police républicaine tient-elle à préciser que le Procureur de la République près le tribunal de première instance de première classe de Parakou ainsi que l'Inspecteur technique de la Police républicaine sont saisis pour diligenter respectivement l'enquête judiciaire et celle administrative. Ces enquêtes ouvertes, permettront d'élucider les circonstances de ce décès et d'en situer les responsabilités.
Aussi l'Institution invite-t-elle les populations à la patience et au calme au cours de cette phase d'investigations nécessaire à la manifestation de la vérité.
Enfin, l'institution réitère son engagement envers la protection des personnes et des biens, ainsi que le maintien de l'ordre public, tout en veillant au respect des lois de la République et des droits humains.
Cotonou, le 22 novembre 2024
La cellule de communication
Dans le cadre de la mise en œuvre du Programme national de développement de la filière (PNDF) Aquaculture, 239 bassins piscicoles seront bientôt réalisés dans 38 communes du Bénin.
A travers le Programme national de développement de la filière (PNDF), l'activité d'aquaculture connaitra un nouvel essor au Bénin. 239 bassins piscicoles seront bientôt construits dans 38 communes du pays. L'Agence territoriale de développement agricole (ATDA) du pôle 7 selon une publication de La Marina, prépare la contractualisation avec des entreprises spécialisées pour les travaux de génie civil et d'aménagement hydraulique.
Le projet selon le site d'information, s'inscrit dans une ambition nationale plus large qui prévoit à terme la réalisation de 470 bassins piscicoles pour un budget estimé à 1,089 milliard FCFA. L'objectif visé est de répondre à la demande croissante en produits halieutiques tout en renforçant les capacités d'exportation de ces produits. Pour la phase initiale, 177 sites ont été sélectionnés pour l'installation de ces infrastructures, lesquelles comprennent des bassins simples, doubles et triples, adaptés aux spécificités des différentes zones ciblées.
Dans le nord du Bénin, 17 communes bénéficieront de ces infrastructures aquacoles. Il s'agit de Matéri, Toucountouna, Boukombé, Natitingou, Tanguiéta, Kouandé, Cobly, et de Kérou dans l'Atacora, et Copargo, Djougou, Bassila dans la Donga. Dans l'Alibori, Banikoara et Ségbana sont les communes bénéficiaires, tandis que dans le Borgou, Kalalé, Bembéréké, Sinendé et N'Dali bénéficient du projet. Les travaux selon La Marina, prévoient la construction de 71 bassins doubles de type 1, 1 bassin double de type 2, et 2 bassins triples répartis sur 55 sites.
Dans les départements des Collines et du Plateau, 7 communes ont été sélectionnées pour cette phase. Elles bénéficieront de 54 bassins de type 1, 3 bassins unitaires, et 2 bassins triples répartis sur plusieurs sites. Savè Dassa-Zoumè, Kétou, Pobè, Adja-Ouèrè, Sakété et Ifangni ont été retenues. Dans le département du Zou, 9 communes ont été identifiées pour accueillir 53 bassins doubles de type 1 et 12 bassins unitaires, répartis sur 54 sites. Les communes concernées sont Zogbodomey, Bohicon, Zakpota, Zangnanado, Covè, Ouinhi, Abomey, Djidja, et Agbangnizoun.
Dans les départements du Mono et du Couffo, le projet prévoit la construction de 28 bassins doubles de type 1, 95 bassins unitaires et 2 bassins triples, répartis sur 25 sites au profit des communes d'Aplahoué, de Djakotomey, de Toviklin, de Dogbo et de Klouékanmè.
Dans le cadre du Programme National de Développement des Filières (PNDF) Aquaculture, une production annuelle de 20 000 tonnes de poissons est prévue chaque année.
F. A. A.
Des femmes cheffes d'entreprises ont participé ce jeudi 21 novembre 2024, à un panel sur la chaîne d'accompagnement des PME à la Chambre de commerce et d'industrie du Bénin (CCI Bénin). L'initiative qui s'inscrit dans le cadre des Journées de l'entrepreneuriat féminin organisées par l'institution consulaire, a été animée par Mohamed CHABI LAFIA, directeur de l'accompagnement technique et du soutien aux PME à l'Agence de développement des petites et moyennes entreprises (ADPME), Bello KAMAROU, responsable en charge du partenariat et de la coopération internationale à la CCI Bénin, et Monique BIOKOU, cheffe d'entreprise.
La chaîne d'accompagnement des Petites et Moyennes Entreprises (PME), c'est la thématique développée lors d'un panel tenu ce jeudi 21 novembre 2024 à la Chambre de commerce et d'industrie du Bénin.
A l'instar de plusieurs autres panels qu'organise l'institution consulaire, celui-ci vise selon le responsable en charge du partenariat et de la coopération internationale, à accompagner les entreprises à se mettre à niveau pour accéder au marché ainsi qu'au financement. A cet effet, un dispositif « unique » est mis en place au Bénin. Il s'agit selon Bello KAMAROU, de l'ADPME. « Nous sommes partenaires de l'infrastructure qualité, partenaires de l'infrastructure économique, partenaires de l'écosystème entrepreneurial d'accompagnement des entreprises », a-t-il laissé entendre en évoquant les difficultés que les entreprises rencontrent dans l'exercice de leurs activités, qui d'après lui, sont relatives aussi bien « au respect des exigences réglementaires dans le cadre des activités de commerce, d'industrie et de prestations de services que des contraintes liées au respect des exigences réglementaires de l'accès et de mise sur le marché des produits ainsi que de l'accès au financement ». « La question du financement ne constitue pas un élément bloquant pour le développement de l'entreprise. Les entreprises font face à des questions de gouvernance, d'accès au marché, à des questions de visibilité, et lorsque vous travaillez sur tous ces maillons du développement d'une entreprise, vous arrivez donc à cerner l'entièreté de la préoccupation de l'entreprise et vous adressez les bonnes réponses à ces préoccupations », a expliqué le responsable en charge du partenariat et de la coopération internationale à la CCI Bénin.
L'ADPME en tant que guichet unique de promotion et de développement des Petites et Moyennes Entreprises en République du Bénin, a été présentée aux cheffes d'entreprises. La vision de cette structure et sa vocation à fédérer l'ensemble des interventions de l'État en appui au PME à travers une offre intégrée de facilitation de l'accès à l'information entrepreneuriale, d'orientation vers les différents dispositifs aussi bien publics que privés ont été exposées aux participants. Ses rôles d'accompagnement, notamment technique (le renforcement des capacités) et de facilitation à l'accès au financement n'ont pas été occultés lors de la communication présentée par le directeur de l'accompagnement technique et du soutien aux PME.
Selon Mohamed CHABI LAFIA, l'ADPME ne fait pas du financement ; elle joue plutôt « un rôle de facilitateur qui facilite l'accès au financement à travers ses différents partenaires financiers par le biais de partenaires publics tels que l'Agence de promotion des investissements et des exportations (APIEx) et la Caisse des dépôts et consignations (CDCB), a-t-il informé. « La réponse au besoin de financement des entreprises n'est pas systématique. Si les cibles viennent, on qualifie la demande, on fait un diagnostic, on voit quels sont les points d'amélioration (les forces et les faiblesses). Si l'entreprise est structurée on la met en relation avec une Structure d'Appui à l'Entreprenariat (SAE) qui élabore un plan d'accompagnement en fonction les besoins identifiés. Si l'entreprise n'est pas structurée, on essaie de l'accompagner dans la subvention. Si elle n'est pas immatriculée/formalisée, on essaie de l'orienter vers l'APIEx pour la formalisation, et par la suite, elle revient aux guichets de l'ADPME pour bénéficier aussi bien des accompagnements non financiers que de l'accompagnement financier », a clarifié Mohamed CHABI LAFIA.
Selon Monique BIOKOU, cheffe d'entreprise, ce panel est une très bonne initiative car il permet aux cheffes d'entreprises de reseauter, de se connaître, et d'être informées des opportunités aussi bien à la CCI Bénin que dans d'autres structures.
Face aux difficultés que connaissent les entreprises, elle estime qu'il est nécessaire de les passer au "scanner". Ceci, pour éviter les risques que l'accompagnement financier mis à disposition soit détourné. Le ‘'maître mot'' de tout chef d'entreprise selon Monique BIOKOU, est la « résilience », facteur important qui permet de se relancer chaque fois que l'on trébuche.
Les participants au panel ont également eu droit à un Masterclass sur” la recherche de financement” animé par Huguette AKPLOGAN DOSSA et Irina VIERRA HONVOU.
F. A. A.
Les circonstances de décès d'un jeune homme de 25 ans à Parakou alimentent les spéculations.
Le corps sans vie d'un jeune homme d'environ 25 ans du nom de OUOROU GANI Samba Fayçal a été retrouvé, mardi 19 novembre 2024, à Nima, dans le deuxième arrondissement de Parakou. Près de la victime se trouvaient une moto et un casque, témoins d'un drame non encore élucidé.
Dans un communiqué rendu public ce 22 novembre, le cellule de communication de la police souligne qu' "Au cours de cette interpellation qui n'a pas été conduite dans les règles de l'art par l'équipe de fonctionnaires de Police commis à cette mission de sécurité, ce citoyen a malencontreusement perdu la vie."
Cette découverte macabre alimente les spéculations sur les réseaux sociaux.
Aujourd'hui, des voix s'élèvent pour appeler à l'ouverture d'une enquête pour élucider les circonstances de la mort tragique du jeune Fayçal.
Aux dernières nouvelles, une enquête serait ouverte par les autorités compétentes sur cette affaire, qui intrigue les populations de Parakou.
M. M.
Déjà Grand Officier de l'Ordre National du Bénin depuis 2021, Cocou Edouard Loko a été élevé Grand-Croix de l'Ordre par Décret présidentiel en date du 21 novembre 2024.
« Monsieur LOKO Cocou Edouard, Président de la 7ème mandature de la Haute Autorité de l'Audiovisuel et de la Communication (Ancien Grand officier ONB par décret 2021-202 du 07/05/2021) est élevé à titre exceptionnel et civil pour prendre rang de la date de sa réception à la dignité de Grand-Croix de l'Ordre National », stipule l'article premier du décret en date du 21 novembre 2024.
Six (06) autres conseillers de la HAAC, 7ème mandature ont été également promus dans l'Ordre, selon le décret. Il s'agit de Madame BIO FAl Roukiatou, Messieurs : BARE Mohamed, N'DA N'tcha Gérard, TCHIBOZO Basile et OBEGONNOUDE Astérix Lionel Todjié qui sont nommés et promus ‘'Commandeur''.
Quant à Monsieur AHONOUKOUN Tossou Marcellin , il est élevé au rang de Grand officier de l'Ordre National.
M. M.
VOICI LE DECRET
Perturbations dans la fourniture de l'énergie électrique le samedi 23 et le dimanche 24 novembre 2024 de 07h à 13h dans 9 quartiers de Cotonou et environs
La Société Béninoise d'Energie Electrique (SBEE) a annoncé des perturbations éventuelles dans la fourniture de l'énergie électrique dans 9 quartiers de Cotonou le samedi 23 et dimanche 24 novembre 2024. Voici le programme :
– le samedi 23 novembre, de 07h à 13h, les zones passibles de perturbations sont : Kindonou, Agla, Mènontin, Fidjrossê, Kouhounou, Sikêcodji, Agontinkon et environ.
– le Dimanche 24 novembre, de 07h à 13h, les zones passibles de perturbations sont : Agla, Mènontin, Fidjrossê, Kouhounou, Aïbatin, Houéyiho, Adjaha, Vodjê kpota, Cadjêhoun et environ.
M. M.