L'enseignant Anicet Gbènankpon Sossa a été tué dans un accident de circulation dimanche 1er décembre 2024 alors qu'il se rendait à Sikki, arrondissement de la commune de Sinendé.
Décès d'un enseignant d'espagnol dans un accident de circulation. Anicet Gbènankpon Sossa, Aspirant au métier d'enseignement (AME), récemment redéployé dans les collèges de Sikki et Guessou-Bani, avait rejoint son poste le 18 novembre 2024. Il a été victime d'un accident de circulation dans la soirée du dimanche à hauteur de Wari alors qu'il se rendait à Sikki afin d'assurer ses cours le lendemain soit ce lundi 2 décembre. Le choc de l'accident lui a été fatal. Il est décédé sur les lieux du drame.
A.A.A
Une attaque terroriste à Malanville dans la nuit du lundi 2 au mardi 3 décembre 2024 a fait trois morts et des blessés graves dans le rang des militaires béninois.
Attaque meurtrière dans la commune de Malanville. Des individus armés non identifiés ont ciblé aux environs de 1 heure du matin des soldats chargés de la surveillance du pipeline Niger-Bénin. L'opération s'est soldée par des pertes en vies humaines. Le bilan provisoire fait état de 3 militaires tués et d'au moins 3 soldats blessés.
A.A.A
Des migrants Béninois confrontés à des conditions de vie précaires en Algérie seront rapatriés à Cotonou. L'opération de rapatriement volontaire concerne plus de 260 personnes.
Retour volontaire des Béninois vivant en situation difficile en Algérie. Grâce aux actions communes du gouvernement béninois, de l'Organisation internationale pour les migrations (OIM) et des autorités algériennes, plus de 260 Béninois identifiés vont retourner au bercail. Dans le cadre du processus de rapatriement volontaire, une mission béninoise a été envoyée en Algérie le 24 novembre 2024. Selon les informations, deux vols sont programmés pour l'opération. Le premier vol est prévu pour ce mardi 3 décembre 2024. Le second vol suivra jeudi 5 décembre 2024.
Ce rapatriement, qui témoigne de l'efficacité de la diplomatie béninoise, est aussi une opportunité pour plus de 260 Béninois de retrouver une stabilité après une expérience marquée par de nombreuses épreuves en aventure.
A.A.A
En cette période de fin d'année, Canal + Bénin lance des offres promotionnelles à travers sa campagne ‘'Chaque jour est une fête''. Elles ont été dévoilées à l'occasion d'une conférence de presse, lundi 2 décembre 2024, à la boutique Canal + de Saint Michel, Cotonou.
C'est déjà la fête à Canal + Bénin avec des offres exceptionnelles et des programmes de qualité pour tous. « On a toujours de bonnes surprises en fin d'année. On vous propose des offres et des programmes inédits tout au long de ce mois de décembre. Chaque jour sera une fête sur les antennes de Canal + », a déclaré la directrice générale de Canal + Bénin, Yacine Alao. Canal + offre en cette fin d'année des contenus les plus divertissants pour permettre à ses abonnés de passer de bons moments festifs.
La première saga familiale béninoise sur A+ BENIN
Selon Chrismain Babala, directeur de communication, il y a des séries telles que EKI saison 2 et Paris Has Fallen. Sur A+ BENIN, les abonnés pourront suivre la série ‘'APPARENCES'', la toute première saga familiale tournée au Bénin qui sera diffusée à partir du 23 décembre. L'humour est aussi au rendez-vous sur la chaine miroir du pays avec la nouvelle série Alokan réalisée par Sèdo Tossou. Sans oublier la 2e édition du Canal Comedy Club Cotonou et la diffusion du festival We Love Eya le 31 décembre.
La fête sur les antennes de Canal + Bénin, c'est également des contenus jeunesse à savoir Spider Man New Génération, Pokou 2, Reine et Princesse, Wish et les trois volets hilarants d'Hotel Transylvanie. « En matière de sport, nous restons le plus beau terrain de sport. Les grandes compétitions continuent d'être diffusées sur nos chaines Canal+ Sport. Il y a l'UEFA Champions League, la Première league, la Liga, la NBA Christmas Day et le Boxing Day à vivre en direct dès le 27 décembre », a indiqué Chrismain Babala.
30 jours de bonus offerts à la formule Tout CANAL +
Canal + Bénin réduit aussi le prix du décodeur HD (Haute Définition) pour le bonheur de ses futurs abonnés. À en croire le directeur des ventes, Alioun Cissé, le décodeur passe de 5 000 à 1000 FCFA à partir de la formule Evasion jusqu'au 31 décembre 2024.
Toujours en mode fête, Canal + Bénin offre 30 jours de bonus à la formule Tout Canal + pour tout réabonnement effectué sur la dernière formule. « Si vous êtes par exemple abonné à la formule ACCESS de 5000 FCFA et que vous vous réabonniez à cette même formule, vous bénéficiez de toutes les chaines pendant 30 jours », a expliqué Alioun Cissé.
Pour profiter de toutes ces offres exceptionnelles, il suffit juste de se rendre dans les points de vente de Canal + Bénin pour se réabonner ou par les canaux des opérateurs de téléphonie mobile. Il est désormais aussi possible de se réabonner via les applications Ecobank et UBA. « On invite vraiment toutes celles et ceux qui ne seraient pas encore abonnés à rejoindre la grande famille de Canal + Bénin pour profiter de la programmation exceptionnelle qu'on leur réserve », a conclu la directrice de Canal + Bénin, Yacine Alao.
Akpédjé Ayosso
Quelques photos
Dans le cadre de la mise en œuvre des dispositions prévues par le décret n°2023-095 du 22 mars 2023, un appel à candidatures est lancé en ligne, du 2 au 12 décembre 2024, à destination des Micros, Petites et Moyennes Entreprises.
Un appel à candidatures est lancé au profit des Micros, Petites et Moyennes Entreprises béninoises dans le cadre de l'obtention du label ''Start-up''.
Les MPME intéressées doivent : être classée comme micro, petite ou moyenne entreprise depuis une période maximale de six (06) ans au moment de la soumission de la demande ; avoir réalisé ou présenté une innovation dans l'un des secteurs du numérique, de la santé, du tourisme, de l'agriculture ou de la technologie ; avoir ou mis développé sur le marché un produit ou un service à forte valeur ajoutée, dont le modèle économique peut être répliqué à plus grande échelle.
Les MPME intéressées sont invitées à soumettre leur candidature en ligne via le portail national des services publics, à l'adresse suivante : : https://service-public.bj/public/services/service/PS01345
Au Bénin, un mandat d'arrêt international a été émis contre Rock Nieri par la Commission d'instruction de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET), a appris Libre Express. L'homme recherché par la justice béninoise est le beau-frère de l'homme d'affaires Olivier Boko
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La justice béninoise est aux trousses de Rock Niéri. Selon les informations de Libre Express, la Commission d'instruction de la CRIET en charge du dossier de la présumée tentative de coup d'État contre le président Patrice Talon a émis le mercredi 30 octobre 2024 un mandat d'arrêt international contre Rock Sarè Salvin Nieri.
L'homme d'affaires, aujourd'hui en fuite, est en effet recherché par la justice béninoise. Selon nos informations, la Commission d'instruction cherche en effet à l'auditionner dans le cadre des sources de financement de ce présumé complot qui devrait mettre fin au régime de Patrice Talon.
Dans le cadre de l'affaire de présumée tentative de coup d'État contre Patrice Talon, le nommé Venance Kokoyè, directeur administratif et financier (DAF) de l'une des entreprises de Rock Nieri a été interpellé à son bureau le mercredi 2 octobre 2024. Il a été ensuite présenté au procureur spécial près la CRIET avant d'être remis en liberté et placé sous convocation.
Pendant ce temps, son patron Rock Nieri avait déjà pris ses jambes au cou pour échapper à une éventuelle arrestation dans l'affaire tentative de coup d'État.
Rock Niéri est un homme d'affaires prospère qui a été dans les arcanes du pouvoir de la rupture de Patrice Talon qui dirige le Bénin depuis 2016. Il est le beau-frère d'Olivier Boko, l'ami intime du chef de l'État béninois.
Depuis fin septembre 2024, Olivier Boko ainsi que l'ex-ministre des Sports Oswald Homéky ont été arrêtés dans une affaire de tentative de coup d'État visant à renverser son ami de longue date Patrice Talon. Ils sont placés en détention provisoire depuis le mardi 1ᵉʳ octobre 2024 pour des faits d'atteinte à la sûreté de l'État, corruption d'agent public et blanchiment de capitaux.
L'affaire est renvoyée devant la commission d'instruction de la CRIET. Le juge instructeur devrait avoir terminé l'instruction et va livrer ses conclusions qui pourraient aboutir à un non-lieu ou à un renvoi en jugement.
Du 28 au 30 novembre 2024, à Agoué, un atelier de formation sur l'autonomisation des femmes participant au commerce transfrontalier a permis de renforcer les capacités d'une trentaine de femmes leaders engagées. Centré sur leurs droits et devoirs, l'entrepreunariat et la lutte contre les violences basées sur le genre, cette formation vise à les doter de compétences pratiques avec des outils de formation adaptés pour renforcer leur autonomie et améliorer leur participation dans l'économie transfrontalière.
En rappelant aux femmes, la pertinence de cet atelier à l'ouverture de ladite session animée par Cokou Romain AHLINVI ; l'expert en développement local et consultant du projet a souligné l'importance et le rôle clé que jouent ces femmes commerçantes transfrontalières dans le développement économique local. Il a notamment rappelé que cette formation offre des outils concrêts pour relever les défis quotidiens auxquels elles font face.
Les participantes ont acquis des notions pratiques pour une gestion efficace de leurs ressources, une étape cruciale vers la pérennisation de leurs activités. Un accent particulier a été mis sur la connaissance des législations transfrontalières et des mécanismes de protection pour les commerçantes. Des stratégies pour développer et diversifier leurs activités ont été également partagées, permettant aux femmes de mieux anticiper les opportunités et les défis du commerce transfrontalier.
L'initiative a été renforcée sur le terrain par une séance de restitution à Hillacondji, au cours de laquelle les participantes ont partagé avec leurs paires, les connaissances acquises au cours de ladite formation. Des échanges intergénérationnels ont permis de diffuser largement les bonnes pratiques, suscitant l'enthousiasme et l'inspiration au sein de la communauté.
Pour Cokou Romain Ahlinvi, cette formation n'est qu'un début. "Les compétences acquises ici vont contribuer à renforcer l'autonomie financière des femmes et à promouvoir des pratiques commerciales plus résilientes et inclusives", a-t-il déclaré.
Emues et motivées, les femmes ont exprimé leur gratitude envers l'Organisation et son partenaire. Selon, Cathérine HILLAH, "Etre à cette formation, nous valorise beaucoup surtout sur la législation transfrontalière. Chaque femme de cette chaine devrait avoir tout au moins sa pièce d'identité à jour pour maximer dans ces échanges transfrontaliers."
Elles ont par ailleurs, émis le voeu de voir d'autres bailleurs appuyer l'OIM afin que les projets qu'elles ont à cœur soient soutenus. Enfin, elles ont affirmé leur détermination à mettre en œuvre les enseignements reçus. " La sensibilisation et la formation autour de nos droits et devoirs et notre facon à bien gérer notre activité, nous ont beaucoup apporté. Apprendre et partager nos expériences autour d'une telle activité, renforce nos liens et sauvegarde notre intégrité à participer à la chose commune. Nous veillerons à capitaliser les outils partagés auprès des autres femmes afin qu'elles soient autonomes" confie Agossa Elise, Présidente des femmes porteuses de bagages.
Cet atelier représente un élan significatif vers l'émancipation des femmes dans le secteur du commerce transfrontalier, prouvant encore que l'éducation et la synergie d'action en coopérative restent non seulement les clés d'une action commune mais aussi d'un progrès communautaire.
Cette activité mise en oeuvre par l'organisation internationale pour les migrations OIM au Bénin s'inscrit dans le cadre du projet " Autonomisation des femmes participant au commerce transfrontalier à petite échelle entre le Bénin, le Ghana et le Togo" financé par le Fonds de l'OIM pour le Développement.
Le 30 novembre 2024, le Bénin franchira une nouvelle étape majeure dans le secteur des télécommunications avec le passage à une numérotation téléphonique à dix chiffres. Désormais, chaque numéro sera précédé du préfixe 01.
Cette transformation, initiée par le Gouvernement du Bénin, reflète l'engagement du pays à moderniser et à préparer l'avenir, répondant aux besoins croissants des citoyens et à l'évolution rapide du monde numérique.
Face à l'explosion de la demande en services téléphoniques, liée à la croissance démographique et à la digitalisation croissante des services, le plan de numérotation actuel connait ses limites.
L'ajout du préfixe 01 permettra au Bénin d'augmenter considérablement sa capacité de numéros disponibles, tout en offrant une connectivité étendue.
Pourquoi ce changement est important :Cette avancée n'est que le début d'une ère de progrès technologique qui fera du Bénin la plateforme numérique de la sous-région dans les années à venir.
Le navire citerne Samos a quitté les eaux béninoises, ce lundi 2 décembre 2024 avec du brut nigérien.
Les chargements de pétrole brut nigérien s'enchainent sur la plateforme pétrolière de Sèmè-Kpodi. La station terminale de Sèmè-Podji a accueilli le 7e navire citerne Samos. Après chargement du brut nigérien, le Tanker naviguant sous pavillon Maltais a pris le large vers 4h du matin, ce lundi 2 décembre 2024 en direction de la Malaisie selon Bip Radio. Le premier chargement du pétrole brut nigérien dans les eaux béninoises à partir du pipeline Niger-Bénin à Sèmè a eu lieu 19 mai 2024.
A.A.A
En prélude à la célébration, le 2 décembre, de la 53e Fête nationale Eid Al-Etihad des Émirats Arabes Unis, Son Excellence Monsieur l'Ambassadeur Mohammed Saeed Al Kaabi, a organisé, jeudi 28 novembre 2024, une réception à Golden Tulip hôtel à Cotonou. Une délégation du gouvernement du Bénin, le Corps diplomatique et chefs de mission consulaire accrédité au Bénin, des représentants des organisations internationales et autres personnalités ont honoré de leur présence cet événement.
" (...) Tout d'abord, je tiens à vous remercier sincèrement d'avoir accepté notre invitation et de partager avec nous la joie de commémorer le 53e anniversaire de notre Fête Nationale.", a déclaré l'Ambassadeur Mohammed Saeed Al-Kaabi, dans son message à l'occasion de la célébration à Cotonou de la fête nationale de son pays.
"En cette occasion mémorable, j'adresse mes plus sincères félicitations et mes meilleurs vœux à Son Altesse Sheikh Mohammed bin Zayed Al Nahyan, Président des Émirats Arabes Unis, que Dieu le protège, à Son Altesse Sheikh Mohammed bin Rashid Al Maktoum, Vice-Président et Ruler de Dubaï, ainsi qu'à leurs Altesse, les Membres du Conseil Suprême de l'Union, au peuple des Émirats Arabes Unis, et à tous les résidents sur cette terre généreuse. Je souhaite à notre pays davantage de progrès et de prospérité sous la sage direction de nos dirigeants, et je prie Allah, le Tout-Puissant, de continuer à accorder succès et prospérité à nos dirigeants.", a formulé le diplomate émirien.
Grâce à sa politique sage, les Émirats Arabes Unis sont, par la grâce de Dieu, devenus un modèle mondial dans le domaine du développement économique., a souligné le diplomate émirien avant d'évoquer quelques progrès réalisés par le pays en 2023.
Le commerce extérieur du pays, y compris tous les biens et services, a atteint un chiffre record d'environ 4,4 trillions de dirhams. Les exportations de services ont atteint 606 milliards de dirhams, dont plus de 170 milliards de dirhams pour les exportations de services numériques. De plus, le pays a signé et négocié des accords de partenariat économique globaux avec plus de 13 pays, ce qui lui permettra d'augmenter ses exportations de 366 milliards de dirhams supplémentaires par an d'ici à 2031.
Dans le domaine humanitaire, les Émirats Arabes Unis sont devenus un leader mondial. Le montant total de l'aide émirienne fournie au cours des 50 dernières années a atteint environ 320 milliards de dirhams, et plus de 178 pays ont bénéficié des programmes émiratis.
En 2024, Son Altesse Sheikh Mohammed bin Zayed Al Nahyan, Président des Émirats Arabes Unis, a émis des décrets fédéraux pour établir la « La Fondation caritative et humanitaire Zayed Bin Sultan Al Nahyan » et « l'Agence des Émirats pour l'Aide Internationale », en mémoire du défunt Sheikh Zayed bin Sultan Al Nahyan. Ces institutions, ainsi que diverses organisations caritatives et humanitaires aux Émirats, travailleront à mettre en œuvre les programmes humanitaires mondiaux des Émirats et à diriger les efforts vers les problématiques ayant le plus grand impact sur les communautés locales et mondiales.
Concernant les relations entre les Émirats Arabes Unis et la République du Bénin, l'ambassadeur a souligné qu'elles se sont profondément enracinées depuis les années 1980, et sous la sage direction de Son Altesse Sheikh Mohammed bin Zayed et de Son Excellence Patrice Talon, les deux pays continuent de renforcer et d'élargir leur coopération dans divers domaines pour servir les intérêts mutuels des deux nations.
Par ailleurs, depuis l'ouverture de leur Chancellerie à Cotonou, les Émirats ont travaillé à établir une coopération fructueuse et efficace avec la République du Bénin, comme en témoignent les visites de haut niveau entre les deux parties.
De plus, les deux pays ont signé plusieurs accords visant à promouvoir les opportunités d'investissement et à favoriser les partenariats entre les hommes d'affaires des deux nations. Il s'agit entre autres du Mémorandum d'Entente signé le 24 juillet 2024 à Abu Dhabi entre la Chambre de Commerce et d'Industrie de la République du Bénin et la Fédération des Chambres de Commerce et d'Industrie des Émirats Arabes Unis ; et du Mémorandum d'Entente signé le 27 octobre 2023 entre la Chambre de Commerce et d'Industrie d'Abu Dhabi et la Chambre de Commerce et d'Industrie de la République du Bénin.
"Les Émirats Arabes Unis sont l'un des plus grands partenaires commerciaux de la République du Bénin, avec des échanges commerciaux entre les deux pays atteignant 614 millions de dollars américains en 2022.", a indiqué Son Excellence Mohammed Saeed Al-Kaabi.
Ils se classaient au quatrième rang parmi les dix plus grands partenaires commerciaux du Bénin en termes d'importations sur la même période.
Durant le premier trimestre de 2024, les Émirats figuraient également parmi les dix premiers partenaires commerciaux de la République du Bénin, avec la valeur totale des biens exportés par le Bénin vers les Émirats représentant 2,7% des exportations totales du pays.
Pour accroître davantage le commerce entre les deux pays, l'Ambassade, en coopération avec le Ministère des Affaires Étrangères du Bénin, a organisé une table ronde intitulée "Coopération en matière d'Investissement et de Commerce entre les Émirats Arabes Unis et la République du Bénin", qui a connu une participation significative d'investisseurs et d'entreprises des deux pays.
"Nous réaffirmons notre engagement indéfectible et nos efforts continus pour établir des relations solides entre nos deux pays dans tous les domaines et en faire un modèle de relations bilatérales dans la région, servant les intérêts mutuels de nos deux nations amies.", a promis Son Excellence Mohammed Saeed Al-Kaabi.
Les Émirats, un partenaire privilégié pour le Bénin
Au nom de Son Excellence Monsieur Patrice Talon, le Représentant de la délégation du gouvernement, Amour-Marie Ako, a transmis les vives et chaleureuses félicitations ainsi que les voeux de paix et de bonheur du Président de la République et de la Nation béninoise au peuple frère des Émirats Arabes Unis et à leurs dirigeants et particulièrement à Son Altesse Sheikh Khaled Mohammed Ben Zayed Al Nahyan, Président de la Fédération des EAU.
Le Secrétaire général du ministère des Affaires étrangères du Bénin a rappelé que depuis l'établissement des relations diplomatiques entre les deux pays le 1er mai 1986, plusieurs accords majeurs ont été signés entre les deux pays. Il s'agit de l'Accord sur la promotion et la protection réciproques des investissements et le Mémorandum d'entente sur l'institution de la Commission Mixte de coopération bénino-émirienne.
Des négociations sont actuellement en cours pour le renforcement de cette coopération dans les domaines du commerce, de l'investissement, de l'éducation et de la défense.
Ce processus s'est renforcé notamment avec la signature de plusieurs Mémorandums d'entente et la visite au Bénin en mai 2024 d'une forte délégation d'hommes d'affaires et d'investisseurs émiriens.
" De façon spécifique, le Bénin souhaite accueillir les investissements émiriens dans les domaines du tourisme, de l'hôtellerie, de l'agro-alimentaire, du commerce etc. (...)", a indiqué le Représentant du gouvernement béninois. "La concrétisation de ce projet est d'autant plus important que les Émirats arabes unis restent un partenaire privilégié pour le Bénin, un allié avec qui le Gouvernement envisage de nouer un pacte solide basé sur un partenariat gagnant-gagnant dans divers domaines decoopération.", a-t-il ajouté.
Le Gouvernement du Bénin n'a pas manqué de remercier les autorités des Émirats pour leurs appuis aux projets d'infrastructures du Programme d'actions du gouvernement et la lutte contre le terrorisme.
De meilleurs vœux de paix et de prospérité ont été formulés au peuple émirien et à ses dirigeants à l'occasion de cette fête, qui s'est déroulée dans une ambiance chaleureuse et conviviale.
La Fête Nationale de l'Union Eid Al Etihad des Émirats Arabes Unis est célébrée le 2 décembre de chaque année. Instituée en 1971, la Fédération des Emirats Arabes Unis regroupe sept émirats (Abou Dhabi, Dubaï, Adjman, Charjah, Fujeirah, Ras Al Khaimah, Oum Al Qaiwain).
Le Colonel Lévy Stano Adanhodé, commandant de l'Ecole Nationale Supérieure des Armées (ENSA) de Porto-Novo est décédé, dimanche 1er décembre 2024 à Rabat au Maroc.
Décès du commandant de l'Ecole Nationale Supérieure des Armées (ENSA) de Porto-Novo. Le Colonel Adanhodé est décédé des suites d'une maladie au Maroc. Il était à Rabat pour recevoir des soins médicaux appropriés. Le Colonel Adanhodé a été aussi Commandant de l'École Normale des Sous-Officiers des Forces Armées de Ouidah (ENSO/FAB). Le décès du Colonel Adanhodé constitue une grande perte, non seulement pour sa famille biologique, mais également pour les Forces armées béninoises et la nation tout entière.
A.A.A
Le corps électoral sera convoqué, dimanche 5 janvier 2025, pour l'élection des membres de l'Assemblée consulaire de la Chambre de Commerce et d'Industrie du Bénin (CCIB Bénin) au titre de la mandature 2025-2030. Après les inscriptions, les différentes listes provisoires ont été rendues publiques. Il y a les listes provisoires des dossiers rejetés ainsi que les listes provisoires acceptés au niveau national et par région (Cotonou, Porto-Novo, Lokossa, Abomey, Parakou, Natitingou). Voir les listes sur https://www.cci.bj/articles/637/les-diffrentes-listes-dans-le-cadre-des-lections-consulaires-de-janvier-2025.
L'hôtel La Casa Cielo à Cotonou, a accueilli le jeudi 28 novembre 2024, la première session du comité de pilotage du programme DURAGIRE (Durabilité des Actions de Gestion Intégrée des Ressources en Eau) dans le Delta de l'Ouémé. La session a réuni les membres du comité de pilotage de DURAGIRE (mis en place par arrêté n°248/MEEM/DC/SGM/DG Eau/SA du 14 octobre 2024), des acteurs majeurs du secteur de l'eau et des partenaires techniques et financiers.
Améliorer la résilience des communautés de la basse et moyenne vallée de l'Ouémé face aux risques liés à l'eau, causés par les effets des précipitations saisonnières et aggravés par les impacts du changement climatique. C'est l'objectif du programme DURAGIRE financé par l'Ambassade du Royaume des Pays-Bas au Bénin et mis en œuvre par le consortium SNV, VNGi et ANCB (Association nationale des communes du Bénin) etc. Au cours de cette première session du COPIL, les membres du comité de pilotage se sont réunis pour faire le bilan des progrès réalisés au cours de la première année d'exécution du programme, de discuter des défis rencontrés et de valider le plan de travail annuel de 2025.
Démarré en janvier, le programme vise à assurer la durabilité des résultats engrangés dans le cadre de la mise en œuvre du programme OmiDelta notamment ceux relatifs aux actions GIRE (Gestion Intégrée des Ressources en Eau) pour renforcer la résilience des populations de la Basse et Moyenne vallée de l'Ouémé. Selon le Directeur national de SNV, Organisation Néerlandaise de Développement, Stéphane Tuina, le programme DURAGIRE se distingue par son approche inclusive et sa collaboration avec des partenaires diversifiés (agences nationales, autorités locales, comités locaux de l'eau, partenaires techniques et financiers et populations). « SNV en tant que chef de file coordonne les efforts et veille à ce que les résultats du programme répondent pleinement aux attentes. (…) Nous avons déjà enregistré des avancées importantes au cours de cette première année de mise en œuvre », a déclaré Stéphane TUINA.
Le représentant de l'Ambassade des Pays-Bas, Aimé SEDEGAN a réaffirmé l'engagement du Royaume des Pays-Bas à accompagner le Bénin pour une gestion durable de ses ressources en eau à travers le programme DURAGIRE. « Nous sommes tous invités à nous impliquer davantage et donner le meilleur de nous-mêmes pour la résilience de ces communautés à la base », a-t-il ajouté.
Faire de DURAGIRE un programme exemplaire
Dans son discours d'ouverture, le président du comité de pilotage, Anassi DAMBARO a présenté DURAGIRE comme un programme innovant. « DURAGIRE n'est pas simplement une continuation des acquis du programme OmiDelta. Il se veut un modèle, une vision prospective. En considérant les résultats obtenus et en renforçant les capacités locales, nous visons à ancrer la gestion intégrée des ressources en eau dans les pratiques et les politiques locales tout en garantissant la résilience des communautés face aux risques liés à l'eau », a affirmé Anassi DAMBARO. Le programme DURAGIRE repose sur quatre trajectoires stratégiques à savoir : le renforcement des capacités et des cadres réglementaires ; l'engagement accru des acteurs locaux ; la durabilité multidimensionnelle des actions GIRE et l'intégration d'un système d'alerte précoce. Ces leviers, souligne-t-il, traduisent notre ambition commune dans la gestion intégrée des ressources en eau.
Il a salué les actions du consortium SNV, VNG International et ANCB, les partenaires de mise en œuvre, l'Ambassade du royaume des Pays-Bas ainsi que l'engagement des membres du comité de pilotage. « Ensemble, nous devons garantir que DURAGIRE demeure un programme exemplaire en matière de gouvernance, de durabilité et d'impact », a-t-il déclaré. Au cours de la session, la cheffe de projet DURAGIRE-Delta Ouémé, Lise FLORIN a rappelé l'organisation et le fonctionnement du comité de pilotage.
Selon le Conseiller en planification, suivi et évaluation, Charlemagne BIO, le programme DURAGIRE renforce les acquis du programme OmiDelta à savoir entre autres le curage des canaux, les retenues d'eau, les passerelles et le reboisement. ; la mise en place de structures de préfiguration aux Comités locaux d'Eau ; la construction de balises d'alerte d'inondation couplées à une application mobile ; la mise en place de plateformes locales de réduction de risques et catastrophes et d'adaptation au changement climatique etc. La durée du programme DURAGIRE financé à hauteur de 11 millions d'euros est de 36 mois, soit 3 ans (2024-2026). La session du comité de pilotage a été aussi l'occasion pour les membres, de valider le Plan de Travail Annuel Budgétisé (PTAB) 2025 et de formuler des recommandations pour aligner les actions futures sur les priorités nationales et les besoins des populations locales.
Akpédjé Ayosso
Dans les coulisses des studios hollywoodiens, un nouveau nom fait sensation : Anzor Alem. Ce jeune cinéaste congolais, armé de son talent et de sa détermination, bouscule les codes et redéfinit les contours du cinéma africain. Mais derrière cette ascension fulgurante se cachent des défis colossaux et une lutte acharnée pour se faire une place dans un marché dominé par les géants américains.
Les défis du cinéma africain
Visibilité limitée : Le cinéma africain peine à se faire une place dans les salles obscures occidentales, où les productions hollywoodiennes font la loi. Les festivals de cinéma sont certes des vitrines importantes, mais ils ne suffisent pas à assurer une diffusion à grande échelle.
Financement difficile :
Les budgets des productions africaines sont souvent limités, ce qui restreint les moyens techniques et humains. Il est difficile de rivaliser avec les superproductions hollywoodiennes en termes de qualité visuelle et d'effets spéciaux.
Distribution complexe :
La distribution des films africains est un véritable casse-tête. Les circuits de distribution traditionnels sont souvent fermés aux productions indépendantes, et les plateformes de streaming, bien qu'elles offrent de nouvelles opportunités, ne sont pas toujours accessibles dans tous les pays africains.
Stéréotypes et clichés :
Le cinéma africain est souvent réduit à quelques clichés : la pauvreté, les conflits, la nature sauvage. Il est difficile de sortir de cette image et de présenter une vision plus nuancée et moderne de l'Afrique.
Anzor Alem, un acteur du changement
Anzor Alem, conscient de ces défis, s'efforce de contribuer au développement du cinéma africain. En créant sa propre production, il cherche à donner une chance à de nouveaux talents et à promouvoir une diversité de récits. Il collabore également avec des cinéastes internationaux pour faciliter la diffusion de ses films à l'étranger.
Son succès est une source d'inspiration pour toute une génération de cinéastes africains, qui voient en lui un modèle à suivre. En s'appuyant sur les nouvelles technologies et en tissant des réseaux internationaux, il ouvre de nouvelles perspectives pour le cinéma africain.
L'avenir du cinéma africain
Malgré les défis, l'avenir du cinéma africain est prometteur. Les nouvelles générations de cinéastes sont de plus en plus créatives et audacieuses. Elles utilisent les réseaux sociaux pour promouvoir leurs œuvres et trouvent de nouvelles formes de financement grâce au crowdfunding.
Pour que le cinéma africain puisse pleinement s'exprimer, il est nécessaire de :
Soutenir la production locale :
Les gouvernements africains doivent investir dans le cinéma et créer des infrastructures adaptées.
Développer les réseaux de distribution :
Il faut faciliter la diffusion des films africains à l'échelle internationale, en créant des plateformes dédiées et en renforçant les partenariats avec les distributeurs étrangers.
Lutter contre les stéréotypes : Les cinéastes africains doivent continuer à créer des œuvres originales et complexes, qui bousculent les idées reçues sur le continent. Anzor Alem et ses pairs ouvrent la voie à un cinéma africain plus fort, plus diversifié et plus visible sur la scène internationale.
Les travaux de construction du pôle commercial du stade GMK et de la restructuration du Palais des sports évoluent à grands pas.
« On a commencé les travaux depuis août 2022. Actuellement, nous sommes à un taux d'exécution de 68 % et les travaux évoluent normalement », a déclaré Issiakou Badarou, Chef de mission de contrôle. La construction du Pôle Commercial et de Restructuration du Stade Général Mathieu KEREROU (GMK) est l'un des projets majeurs du Programme d'Actions du gouvernement Talon. C'est un vaste espace commercial d'environ 35 000 m² en construction en zone urbaine à Kouhounou dans la ville de Cotonou. Il comporte un parking d'environ 3.000 places pour voitures et motos, un parc urbain, des locaux techniques, des espaces administratifs, environs 1.000 étals, 300 boutiques et 70 restaurants. Les halles sont divisées en quatre quartiers où seront exposées des produits de maroquinerie, de bijouterie, de cosmétique et le textile.
Lors de la 10e journée du championnat professionnel qui s'est jouée ce week-end, Ayéma FC est allé créér la surprise sur la pelouse de Coton FC. Le club champion du Bénin lors de la saison 2023-2024 s'est incliné sur une différence d'un but. Le score de la partie était de 1-2 au coup de sifflet final samedi dernier. De son côté, Loto Popo s'est contenté d'un nul face à Dadjè FC.
Tous les résultats de la 10e journée :
ABEILLES FC (0-0) BUFFLES FC
DYNAMO P (0-0) BOA FC
HODIO FC (0-0) RÉAL SPORT
LOTO-POPO (2-2) DADJÈ FC
ASPAC (2-0) JSO
ASVO (3-0) AS COTONOU
COTON FC (1-2) AYEMA FC
JAK (2-1) AZIZA FC
USS KRAKÉ (0-0) SITATUNGA FC
BANI GANSÉ (0-0) AS TONNERRE
BÉKÉ FC (0-1) DYNAMO D'ABOMEY
CAVALIERS FC (2-0) DYNAMIQUE FC
DAMISSA FC (2-0) TAKUNNIN FC
ESPOIR SAVALOU (1-2) PANTHÈRES FC
ADJIDJA (2-0) AVRANKOU OMN
DRAGONS FC (1-1) JSP
REQUINS FC (1-1) ÉTOILES FILANTES
SOBEMAP FC (1-1) AS POLICE
J.S
5.231 candidats dont 11 en situation de handicap ont composé dans 8 centres de composition au plan national samedi 30 novembre 2024. C'est dans le cadre du concours de recrutement de deux cent vingt-cinq (225) agents contractuels de droit public de l'État au profit du Ministère de l'Agriculture de l'Élevage et de la Pêche.
Plus de 5000 candidats ont planché pour le concours de recrutement de deux cent vingt-cinq (225) agents contractuels de droit public de l'État au profit du Ministère de l'Agriculture de l'Elevage et de la Pêche. Les épreuves ont été lancées par la ministre du Travail et de la Fonction Publique, Adidjatou Mathys, et son collègue de l'Agriculture, de l'Élevage et de la Pêche au CEG Sainte Rita de Cotonou.
Selon Gaston Cossi Dossouhoui, « ce recrutement vient pour combler un vide sur le terrain ». « Il faut reconnaître que le secteur a bénéficié du sang nouveau il y a plus de 6 ans et aujourd'hui nous avons besoin d'agents techniques pour faire l'accompagnement des producteurs et pour aider aussi à jouer le rôle régalien de contrôle de la qualité de ce que nous sommes en train de faire et des chantiers que nous conduisons », a-t-il confié. Je suis heureux, poursuit-il, de constater que même si ça ne va pas combler le vide nous avons cette chance de regagner un peu tous les corps de métiers. Ce concours permettra de recruter des Ingénieurs du Développement Rural, des Vétérinaires Inspecteurs, des Ingénieurs de la statistique, des Administrateurs, des Analystes programmateurs et d'autres profils. A en croire le ministre de l'agriculture, de l'Élevage et de la Pêche, ces profils seront redéployés dans les secteurs clés pour faire le contrôle, l'appui-conseil, pour donner de la chance à nos projets, programmes, d'être déployés sur le terrain ».
5.231 candidats prennent part à ce concours dont 22% de femmes. Des personnes en situation de handicap au nombre de 11 se sont aussi inscrites pour ce concours. « C'est la nouveauté que les recrutements apportent. Faire une discrimination positive vis-à-vis de ces personnes qui vivent avec un handicap. Ils ne sont pas des gens sans connaissance et aujourd'hui, selon les profils qui vont sortir de ce dispositif, nous allons les déployer à des postes stratégiques qui vont leur permettre de s'épanouir et de prouver que les personnes avec un handicap sont aussi de la société », a ajouté le ministre Gaston Dossouhoui. Selon la ministre Adidjatou Mathys, « avec ce recrutement, le MAEP va pouvoir faire un peu plus en matière de production de la consommation locale ».
A.A.A
Démarrée vendredi dernier, la 8e édition du festival National du Sport Féminin est déjà à son terme du côté de Dogbo dans le Couffo. Hier dimanche, les grands gagnants ont été honoré en présence de nombreuses personnalités, dont le Directeur de Cabinet du Ministre des Sports, Crépin OKOUOLOU, son adjoint Thierry AKPA, l'honorable Natacha KPOCHAN, et le Directeur du Sport et de la Formation Sportive, Okry Christophe NONVIGNON.
Durant trois jours, la 8e édition a marqué une étape importante dans la promotion du sport féminin au Bénin consolidant ainsi l'engagement du Ministère des Sports et du gouvernement pour l'égalité et l'inclusion dans le sport. Voici les résultats définitifs au terme des finales disputées dans la soirée de ce dimanche 1er décembre 2024.
Athlétisme
100 m
1er : Ruth AGBADO (12.4, Zou)
2e : Ikimath ISSAKOU (12.4, Littoral)
3e : Blandine OYEKOU (13.1, Plateau)
400 m
1er : Pitchega NOUATI (59.92, Atacora)
2e : Ramziath AMADOU (1.01.3, Borgou)
3e : Anita OSEI (1.03.00, Alibori)
Lancer de poids
1er : Gozaine AKE (9m45, Ouémé)
2e : Jéovanie TONAHIN (8m90, Couffo)
3e : Bienvenue GUITCHAN (8m80, Littoral)
Saut en longueur
1er : Fidélia HOUEHO (4m95, Mono)
2e : Blandine OYEKOU (4m71, Plateau)
3e : Jeannelle HOUNVENOU (4m66, Borgou)
Lutte
– 50 kg
1er : Dramane MOUMOUNI (Donga)
2e : Corine AKODEDASSA (Atlantique)
3e : Alice KORA (Ouémé)
+50 kg
1er : Sakinatou OROU N'GOBI (Borgou)
2e : Félicité TRINNOU (Mono)
3e : Augustine YARIGO (Atacora)
Volleyball
1er : Mono
2e : Zou
3e : Couffo
J.S
« UEMOA : 30 ans d'intégration régionale pour le transport terrestre et les infrastructures routières » est le titre de l'ouvrage de Marion Vern Vinagbon Ayinon, présenté au public ce samedi en présence du Directeur des éditions l'Harmattan Bénin, Stephens Akplogan, du Commissaire en charge du Département de l'Aménagement du Territoire Communautaire et des transports de l'Uemoa, Jonas Gbian, du Directeur des transports terrestre et aérien Jacques Ayadji et de plusieurs experts des infrastructures routières.
« Ce livre est un projet éditorial auquel nous avons cru (...) », a fait savoir le Directeur des éditions l'Harmattan Bénin, Stephens Akplogan.
En présentant l'ouvrage, la journaliste Arlette Bonou a souligné qu'il est primordial de lire cet ouvrage parce qu'il est un ouvrage de référence pour les acteurs du secteur routier.
« Par cet essai, l'auteur a appréhendé les enjeux de long terme lié aux infrastructures de transport en tant que chargé de mission, il est en mesure de proposer des solutions à la fois réaliste et innovante tenant compte des défis lié à la mobilité durable. », souligne-t-elle avant de préciser qu'«
Il est un bien précieux non seulement pour les gouvernements et les institutions comme l'Uemoa mais aussi pour les entreprises de transport, les chercheurs et les organisations internationales impliquées dans le développement des infrastructures ».
Jacques Ayadji, en sa double qualité de postfacier mais aussi de représentant de Monsieur José TONATO, Ministre du cadre de vie et des transports chargé du développement durable, recommande la lecture de l'ouvrage.
« Je voudrais à cette occasion, vous recommander de lire ce livre, pour y découvrir tout le trésor qu'il renferme, pour ne pas dire qui y est caché.
J'ai personnellement fait l'exercice et j'en suis très heureux et très fier. », a-t-il indiqué. Il précise que ce le livre offre une vision complète et on ne peut plus claire des défis et opportunités qui se présentent dans le domaine du transport terrestre au sein de l'espace UEMOA. Il met aussi en lumière les progrès réalisés au cours des trois dernières décennies, sans occulter les défis persistants qui requièrent l'attention et l'action collectives.
C'est pour cette raison que le Directeur des transports terrestre et aérien, Jacques Ayadji, convaincu de la richesse de l'ouvrage, recommande à tout le monde d'en procurer.
« C'est l'occasion pour moi de vous inviter, de nous inviter à nous procurer ce livre pour y parcourir ses pages. C'est une opportunité pour comprendre l'importance stratégique du transport terrestre pour l'intégration régionale, mais aussi, les efforts déployés au fil des années pour promouvoir son développement. », soutient-il avant de féliciter l'auteur pour le travail exceptionnel qui a contribué à la réalisation de ce livre.
En prenant la parole, le Représentant Résident de la Commission de l'Uemoa, Yaovi Batchassi, a montré que, en 30 d'existence de l'Uemoa, il n'y a pas assez de livres qui retrace les actions de l'institution sous-régionale. « (...) Sans écrit et sans communication, c'est comme si vous ne faisiez rien. Par les livres on communique. Il y a d'autres moyens de communication. Mais l'important est de laisser des tarces à travers des documents comme celui de Monsieur Ayinon. », a expliqué Monsieur Batchassi.
Pourquoi ce livre ?
Pour soutenir les différentes interventions au sujet de son ouvrage et montrer combien de fois ce livre est un outil d'une grande importance dans le secteur routier, Monsieur Marion Vern Vinagbon Ayinon a essayer de clarifier.
« Écrit c'est partagé. Mais le présent ouvrage va au-delà du partage car son contenu, va durer dans le temps et traverser des décennies. Il est exploitable par toutes les instances pertinentes.. ».
Le livre de Monsieur Ayinon n'est pas destiné uniquement aux spécialistes du secteur routier. Il peut servir, aussi bien les étudiants que les chercheurs.
« Pour les universitaires l'ouvrage peut inspirer beaucoup de thème de mémoire et ou de thèse de doctorat. », a-t-il précisé.
Pour les professionnels ce livre est à usage multiples. D'une part il permet aux consultants d'avoir une prise en main rapide de la situation régionale du secteur de transport et des infrastructures et d'autre part, il sert de miroir aux acteurs des différents états pour une reconnaissance sous différents angles des réalités du secteur qu'ils vivent au quotidien. Pour les décideurs à tous les niveaux, le présent livre est à conseiller en vue de la prise de décision à long rayon d'impact. C'est aussi un livre pour s'auto évaluer pour approfondir certains aspects structurants.
Monsieur Ayinon n'a pas manqué de remercier tous ceux qui l'ont soutenu au cours de la rédaction de son ouvrage.
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