Afin d'offrir à sa clientèle des solutions adaptées à leurs besoins, Coris Bank International propose des produits d'exception tels que le compte CORIS PREMIUM.
De type nouveau, CORIS PREMIUM est un compte courant qui combine les attributs fonctionnels d'un compte chèque avec les avantages financiers d'un compte épargne.
Destiné aux personnes physiques, CORIS PREMIUM est un compte chèque rémunéré à un taux exceptionnel de 4% l'an.
La rémunération du compte obtenue à partir d'un solde minimum de 5 000 001 FCFA est semestrielle et est virée sur ledit compte au début du semestre suivant. A partir d'un solde minimum de 2 000 000 FCFA, le compte Coris Premium est exonéré des frais de gestion.
Pour un solde inférieur à 2 000 000 FCFA, le compte CORIS PREMIUM devient un compte courant ordinaire avec le paiement des frais de gestion mensuels.
Le coût des agios forfaitaires, s'il est applicable, est de 1650 FCFA HT par mois.
Souplesse de gestion et des avantages exceptionnels
Le compte CORIS PREMIUM offre au client une souplesse de gestion et plusieurs avantages. Il s'agit entre autres d'un taux de rémunération préférentiel ; des intérêts reversés semestriellement ; un nombre de retraits illimité et sans pénalité ; un plafond de rémunération non limité et approvisionnement par dépôt d'espèces, virements, remises de chèques, transferts reçus.
Avec le compte Coris Premium, il n'y a pas de frais sur mouvements débiteurs ni de frais de tenue de compte.
Le titulaire du compte a également la possibilité de nantir son avoir pour bénéficier d'un crédit sur son compte courant ou société.
Le compte CORIS PREMIUM , c'est aussi des conditions souples d'accès au crédit.
Pour avoir un compte CORIS PREMIUM, il suffit juste de signer la convention d'ouverture de compte en agence et joindre les pièces telles que : une copie de la Carte Nationale d'Identité ou du Passeport en cours de validité ; une attestation de résidence ou une facture (Electricité, Eau ou Téléphone au nom du titulaire du compte ; 02 photos d'identité récentes et du même tirage et un formulaire de demande d'ouverture disponible en agence.
A.A.A
Ecobank, le principal groupe bancaire panafricain, a remporté, dans le cadre de l'édition 2020 des Prix Euromoney pour l'Excellence, le prix très convoité de La Meilleure Banque Africaine en matière de Responsabilité Sociétale d'Entreprise. Euromoney reconnaît Ecobank comme acteur majeur de la durabilité et des partenariats y afférents. Cette distinction reconnaît par ailleurs la banque pour son impact probant en matière sociale et environnementale en Afrique.
Carl Manlan, directeur des opérations de la Fondation Ecobank, a déclaré : « A Ecobank, nous nous appuyons sur nos capacités humaines et nos ressources essentielles pour œuvrer en harmonie avec des partenaires pour la transformation de l'Afrique. Nous sommes passionnés par la conception conjointe de partenariats pour conduire le changement au sein des communautés à travers notre empreinte panafricaine. Le prix Euromoney pour l'excellence reconnaît notre collaboration avec les communautés africaines et des partenaires qui partagent la même vision. »
Ade Ayeyemi, directeur général du Groupe Ecobank, a déclaré : « La Fondation Ecobank effectue un travail remarquable en respectant son engagement à améliorer la qualité de vie des populations sur l'ensemble du continent africain. La Fondation devrait à juste titre être fière de son impact incessant et de la réelle différence qu'elle marque dans de nombreuses régions du continent. A travers la Fondation, notre Groupe met à profit ses ressources et ses capacités pour contribuer au développement économique et social de l'Afrique. »
La responsabilité citoyenne de Ecobank se focalise principalement sur les trois domaines clés que sont la santé, l'éducation et l'inclusion financière. Quelques exemples de partenariats récents :
• Une Campagne de trois ans initiée par Ecobank pour sensibiliser aux maladies non transmissibles (MNT) et éduquer les communautés en fournissant des informations essentielles sur les changements alimentaires et de style de vie nécessaires pour aider à prévenir les MNT telles que le cancer et le diabète. La Journée Ecobank est la journée communautaire bénévole de la banque, visant à aider les couches les plus vulnérables de nos communautés locales.
• Le Prix du Président du Groupe Ecobank pour le développement durable souligne le rôle de la banque dans la conception de solutions innovantes, reproductibles et évolutives conduisant à un changement environnemental et social durable, dans les pays d'implantation. Ecobank Togo est le lauréat de 2020 pour son soutien aux efforts du gouvernement pour fournir de l'électricité à 300 000 ménages et entreprises rurales, grâce à des kits d'énergie solaire.
• Le rétablissement de la santé des économies africaines est vital et en ce sens, Ecobank a contribué à hauteur d'environ 3 millions de dollars EU, en numéraires, matériel de santé et fournitures médicales. Ecobank a en outre déployé ses capacités financières en faveur du Centre de contrôle et de prévention des maladies de l'Union africaine pour permettre à toute personne sur le continent africain et dans la diaspora de faire un don pour participer à la riposte panafricaine contre la Covid-19.
• Au début de ce mois, Ecobank a lancé son initiative « Zéro Palu – Les entreprises s'engagent ». Lancé en partenariat avec Speak Up Africa, ce projet vise à éliminer le paludisme en Afrique grâce à des actions dirigées par le secteur privé en vue d'accroître les niveaux de financement et la prise de mesures plus solides et mieux ciblées pour soutenir les programmes nationaux de lutte contre le paludisme.
A propos d'Ecobank Transnational Incorporated (‘ETI' ou ‘Le Groupe')
Ecobank Transnational Incorporated (‘ETI') est la société mère du Groupe Ecobank, le premier groupe bancaire panafricain indépendant. Le Groupe Ecobank emploie plus de 14.800 personnes au service de plus de 23 millions de clients dans les secteurs de la banque des particuliers, la banque commerciale et la banque de grande clientèle dans 33 pays Africains. Le Groupe possède un agrément bancaire en France et dispose de bureaux de représentation à Addis Abeba en Ethiopie, à Johannesburg en Afrique du Sud, à Beijing en Chine, à Londres au Royaume-Uni et à Dubaï aux Emirats Arabes Unis. Le Groupe offre une gamme complète de produits, services et solutions bancaires notamment les comptes bancaires et de dépôt, la gestion de trésorerie, le conseil, les opérations du trading, la négociation des valeurs et la gestion de patrimoine. ETI est cotée en bourse sur plusieurs marchés boursiers à savoir London Stock Exchange à Londres, Nigerian Stock Exchange à Lagos, Ghana Stock Exchange à Accra et la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières à Abidjan.
La sphère politique béninoise sera enrichie dans les prochains jours par la naissance d'une nouvelle formation politique. « Les démocrates », c'est le nom du tout nouveau parti dont le processus de création est en cours, et sera porté très prochainement à la connaissance du public. L'objectif de ce parti opposé aux idéaux du Nouveau Départ et de la Rupture, est de provoquer l'alternance au sommet de l'État à l'issue de la présidentielle de 2021.
De sources concordantes, la collecte des dossiers des membres fondateurs par commune est déjà faite, et la cellule de centralisation chargée de leur étude est à pied d'œuvre pour transmission au ministère de l'intérieur et de la sécurité publique.
“Les Démocrates” selon nos sources, seront dirigés par trois grandes instances. Il s'agit entre autres, du Conseil supérieur, du Bureau exécutif national et enfin du Bureau politique. Ces trois instances seront chapeautées par de grands ténors de la politique béninoise.
Selon les mêmes sources, les anciens présidents de la République, Nicéphore Soglo et Boni Yayi en posture de sages, siégeront au sein du Conseil supérieur avec pour rôle, de faire rayonner ce parti de par leurs expériences politiques.
Comme le conseil supérieur, le bureau politique et le bureau exécutif, seront meublés d'anciens ministres, députés et maires. Ces deux instances seront chargées des questions et stratégies politiques du parti.
Pour le contrôle du bureau exécutif et celui exécutif, on cite déjà des noms d'acteurs politiques tels que Eric Houndété, ancien premier vice-président de l'Assemblée nationale, et de Noureni Atchadé, ancien député.
Celui d'entre eux qui réussira à prendre le contrôle de l'une de ces deux instances, sera sans nul doute, la figure de proue du parti.
F. A. A.
Le dossier Icc Services et consorts a connu un nouveau rebondissement cette semaine avec la libération des responsables de cette structure illégale de placement d'argent. Invité sur Fraternité FM, le président de l'Association de défense des droits des spoliés de Icc Services, Hermann Mèton a donné son point de vue.
Hermann Mèton dit ne pas être surpris par la libération des responsables de cette structure. Depuis l'année 2010 que l'affaire a éclaté et que les responsables avaient été placés sous mandat de dépôt, c'était prévisible que d'un moment à l'autre, ils allaient recouvrer leur liberté, a expliqué le porte-parole des épargnants. A l'en croire, les spoliés de Icc Services n'ont plus rien à voir avec ces responsables, qu'ils soient en détention ou non. Etant donné que la justice a été saisie du dossier, et rendu son verdict, les spoliés, souligne Hermann Mèton, n'ont plus rien à voir avec les responsables de Icc Services.
Le problème au niveau des spoliés, selon lui, c'est comment orienter les différentes luttes après le procès pour que le remboursement soit effectif. « La mise en liberté de ces responsables n'est pas conditionnée par le remboursement », a précisé le président de l'Association de défense des droits des spoliés de Icc Services.
17 mois après le procès à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) poursuit-il, on devrait nommer quelqu'un à la Caisse de dépôt et de consignation au niveau de la juridiction spéciale. Le rôle de ce dernier selon Hermann Mèton, était de s'occuper des fonds, mais sa nomination n'avait pas été faite. Des plaidoyers ont été alors faits à l'endroit du président, les juges et certaines autorités à cet effet ; et c'est des mois après que le gestionnaire de cette caisse a été nommé, a-t-il expliqué.
Suivant la procédure définie, rappelle-t-il, on devrait convoyer les fonds au niveau de la caisse de dépôt et de consignation de la CRIET.
Hermann Mèton souligne que les avocats ont continué leur travail au niveau de l'Agent judiciaire du Trésor (AJT) en ce qui concerne les procédures à conduire afin que tous les fonds qui séjournent au Trésor public soient convoyés à la Caisse de dépôt et de consignation de la CRIET. Une fois que cela sera fait, on pourra procéder au remboursement des spoliés, a-t-il rassuré.
Pour le président de l'Association de défense des droits des spoliés de Icc Services, la procédure au niveau de l'Etat et des différentes institutions étant lourde, les spoliés continuent de mener les démarches pour ne pas être fatigués.
Il y a 10 jours, rappelle-t-il, la CRIET a fini sa session criminelle alors que c'est au cours de cette session que ceux qui n'avaient pas pu déposer à la barre durant le procès, devraient être fixés sur leur sort.
Selon Hermann Mèton, il s'agit d'un dossier volumineux. Tout le travail n'est pas encore terminé en raison d'une autre procédure au niveau du notaire, afin que tout soit mis à la disposition de la juridiction spéciale pour que la Cour les prenne en compte au cours de la session criminelle, qui a pris fin il y a quelques jours, a-t-il expliqué.
L'espoir est permis
Selon Hermann Mèton, les spoliés de Icc Services doivent garder espoir. « Un jour, une décision sera rendue et ils seront fixés sur leur sort et on leur dira d'aller se présenter quelque part pour chercher leurs sous, même si ce n'est pas la totalité », a-t-il rassuré.
Au départ, fait savoir le président de l'Association des spoliés de Icc Services, il y a des gens qui n'avaient pas cru mais finalement, le dossier a été enrôlé. L'argent qui séjourne dans les caisses et les biens à réaliser appartiennent aux spoliés, a soutenu Hermann Mèton.
Au sujet du montant et du nombre de spoliés, il a préféré gardé le silence faute de chiffres sûrs.
Icc Services est l'une des structures illégales de placement d'argent ayant fait perdre à des milliers Béninois leur épargne.
Après l'éclatement de l'affaire dans les années 2010, les responsables de cette structure ont été placés sous mandat de dépôt. Après le procès à la CRIET, ceux qui étaient en détention depuis 10 ans ont commencé à recouvrer leur liberté. Ce qui a suscité des interrogations au niveau des spoliés qui se posent encore la question de savoir s'ils pourront un jour, entrer en possession de leurs fonds.
F. A. A.
Une opération de récupération des malades mentaux errants a débuté ce mardi 14 juillet 2020 à Parakou. 26 malades mentaux ont été conduits au centre Saint Camille de Djougou.
L'opération a été conduite par le Fonds d'appui à la solidarité nationale, une direction sous tutelle du ministère des affaires sociales et de la microfinance. 26 malades mentaux errants ont été récupérés et pris en charge au centre Saint Camille de Djougou.
Lancée en novembre 2019 à Cotonou, l'opération a pour but de permettre aux malades mentaux de bénéficier d'une prise en charge thérapeutique adéquate pour la restauration de leur dignité. Cette opération va s'étendre aux autres villes du septentrion.
A.A.A
Le processus de restitution des biens culturels par la France au Bénin suit son cours. Ce mercredi 15 juillet 2020 en Conseil des ministres, le ministre de l'Europe et des Affaires étrangères et la ministre de la Culture ont présenté un projet de loi relatif à la restitution de vingt-six œuvres du trésor royal d'Abomey au Bénin.
Selon le projet de loi, la France va restituer à la République du Bénin, vingt-six œuvres du trésor royal d'Abomey, conservées par le musée du Quai Branly-Jacques Chirac, à la suite de leur don aux collections nationales par le Général Alfred Dodds (1842-1922). Le projet de loi prévoit un délai maximal d'une année pour la remise, par les autorités françaises, de ces œuvres.
La restitution des biens au Bénin s'inscrit « dans une démarche globale de refondation du partenariat culturel entre la France et l'Afrique, qui repose notamment sur le transfert d'expertise et de savoir-faire en matière patrimoniale ».
Un programme de travail conjoint avec le Bénin a été signé par les deux parties à Cotonou le 16 décembre 2019. Il permettra d' « approfondir le dialogue sur les différents aspects de la coopération culturelle franco-béninoise (formation des experts, création de filières professionnelles, échanges d'expertises, soutien financier à la création ou à la rénovation de musées, etc.), destinée à représenter une référence en matière patrimoniale.
A.A.A
Dans un entretien paru dans le média suisse « Tribune de Genève », le ministre Affaires étrangères et la coopération du Maroc Nasser Bourita s'est prononcé sur les accusations infondées d'espionnage lancées par Amnesty International.
« Loin d'être dans une dynamique de dialogue, ils ont mené une véritable campagne médiatique sur la base d'accusations infondées, induisant plusieurs médias et journalistes dans l'erreur », a notifié M. Bourita dans un entretien au journal suisse « Tribune de Genève ».
Le ministre explique que l'organisation non gouvernementale a « tenté de faire le lien dans leur document entre le Maroc et NSO ». Or poursuit-il aucune évidence ne vient établir et prouver un quelconque lien. « Et jusqu'à présent, les semaines passent sans qu'ils ne puissent étayer leurs dires par des données vérifiables ou des preuves. Ils affirment que seuls les États peuvent pirater les téléphones en utilisant les réseaux qu'ils contrôlent via les opérateurs de téléphonie. Mais aujourd'hui, les appareils qui permettent d'imiter le signal des réseaux et de pirater les téléphones mobiles sont vendus en ligne, » a indiqué le ministre Affaires étrangères du Maroc.
Nasser Bourita a également relevé le ton utilisé par Amnesty International dans les publications et les tweets. « Nous ne pensons pas que le ‘'name and shame'' soit la meilleure manière de faire progresser les choses, si tenté soit-il que c'est là l'objectif », a-t-il déclaré.
Amnesty International n'apporte aucune preuve
Dans un rapport publié le 22 juin dernier, Amnesty International
a affirmé que l'État marocain a espionné le journaliste Omar Radi ainsi que plusieurs autres journalistes. L'enquête d'Amnesty international avance que le Maroc a piraté le téléphone du journaliste Omar Radi avec un logiciel espion, ‘'Pegasus'' développé et commercialisé par NSO Group, une société israélienne.
Les autorités marocaines ont réfuté catégoriquement ces allégations infondées et demandé à l'ONG des preuves dans une réponse officielle détaillée. Selon Bourita, le Maroc attend de l'organisation « un rapport détaillé étayant les allégations d'espionnage ». « Nous avons requis un accès à la chaîne de traçabilité du téléphone en question, incluant le software et le hardware, afin que les autorités marocaines compétentes puissent faire leur contre-enquête en bonne et due forme. Car tout un travail s'impose afin de comprendre comment le piratage a pu se faire », a-t-il notifié.
A l'en croire, si quelqu'un écoute les citoyens, a fortiori quelqu'un d'externe, il est important de savoir de qui il s'agit.
« Aujourd'hui, force est de constater qu'Amnesty n'est pas en mesure d'apporter la moindre preuve », renseigne le ministre.
En mai 2019, Amnesty International a annoncé le dépôt d'un recours devant un tribunal du district de Tel Aviv pour que les activités de la société israélienne NSO soient contrôlées.
Lundi dernier, le tribunal de Tel-Aviv a rejeté la plainte déposée par Amnesty contre l'entreprise NSO en justifiant cette décision par l'incapacité d'Amnesty à prouver que le logiciel était utilisé par leur gouvernement. Il s'agit selon le ministre d'un autre cas où Amnesty parle sans preuves. Tout cela fait planer de sérieux doutes sur leur méthodologie. Et le Maroc ne cédera pas à ce chantage, a affirmé Bourita.
Le chef de la diplomatie souligne que les réformes entreprises par le Maroc dans le domaine des droits de l'Homme ont été empreintes de courage et d'ouverture.
Pour lui, le Maroc ne « fait que demander des preuves, ou des excuses » à Amnesty International. « Notre trajectoire n'est pas parfaite mais nous avançons sereinement par rapport aux attentes de nos citoyens. Cependant, le Maroc est en droit de souhaiter une interaction fondée sur le respect, et c'est ce que nous exigeons d'Amnesty », a déclaré le ministre Affaires étrangères du Maroc, Nasser Bourita.
A.A.A
« À Ouagadougou en 2017, j'ai pris un engagement pour la jeunesse africaine : qu'elle ait la possibilité d'accéder à son patrimoine, à son histoire, en Afrique. Je l'ai confirmé en Conseil des ministres ce matin : la France va restituer des biens culturels au Bénin et au Sénégal », c'est le message émouvant que le président français, Emmanuel Macron a laissé sur sa page Facebook ce mercredi 15 juillet au terme des travaux en Conseil des ministres.
En visite au Burkina-Faso en 2017, le président français avait promis la restitution des œuvres d'art au Bénin et au Sénégal. Cette promesse faite il y a environ trois ans, a été marquée par un acte fort ce mercredi 15 juillet 2020 en Conseil des ministres. Il s'agit de l'adoption par le gouvernement français d'un projet de loi relatif à la restitution de biens culturels à ces deux pays.
Ledit projet de loi prévoit un délai maximal d'un an pour la remise, par les autorités françaises, de ces œuvres.
Au total, 26 œuvres du trésor royal d'Abomey, conservées par le musée du Quai Branly-Jacques Chirac, à la suite de leur don aux collections nationales par le Général Alfred Dodds (1842-1922) seront restituées au Bénin.
F. A. A.
Le Bénin perd l'une de ses éminentes personnalités. Il s'agit de M. Saliou Aboubou, ancien président de la Cour suprême, décédé ce mercredi 15 juillet 2020 au CNHU de Cotonou.
L'ancien président Saliou Aboubou a succédé à Me Abraham Zinzindohoué à la tête de la Cour suprême. Il a assuré les fonctions de président de la Haute juridiction de 2001 à 2011.
A.A.A
Le Bénin a enregistré deux nouveaux décès de Covid-19 selon l'Organisation Mondiale pour la Santé (OMS).
À la date du mercredi 15 juillet 2020, le tableau sanitaire du bureau régional de l'OMS pour l'Afrique affiche pour le Bénin 1.463 cas confirmés et 28 décès de Covid-19. Le dernier bilan fait par les autorités béninoises est celui du samedi 11 juillet 2020 avec 1378 cas confirmés, 557 guéris et 26 décès.
A.A.A
Le Directeur de l'Office du Baccalauréat (DOB), Alphonse da Silva au terme d'une séance de travail avec les chefs centres et superviseurs du département du Borgou, a rassuré que tout est fin prêt pour que l'examen du Bac session de juillet 2020 se déroule bien.
Selon le DOB, toutes les dispositions sont prises pour que « tout se passe dans les règles de l'art ». « Les mesures barrières seront scrupuleusement respectées. Nous avons le gel hydro alcoolique, les dispositifs de lavage des mains et aussi la distanciation sociale qui seront de mise », a rassuré Prof Alphonse da Silva.
Le président de la République a tenu à ce que tout se passe très bien, et l'office du Bac tient à « proclamer les résultats comme cela se doit », a-t-il indiqué.
Au total, 954 040 candidats composent dès lundi 20 juillet prochain pour cet examen sur toute l'étendue du territoire national contre 104 024 l'année dernière. Cette baisse d'effectif selon Alphonse da Silva, est due au fait qu'il y a eu un taux assez fort de réussite l'année dernière, et au système Educmaster qui, selon lui, a permis de filtrer les candidats qui ne doivent pas aller aux examens.
F. A. A.
La première session criminelle de l'année 2020 du tribunal de première instance de première classe de Cotonou ouverte le 15 juin dernier, s'est achevée ce mercredi 15 juillet. Au cours de cette session, 21 dossiers ont été traités, et environ 50 accusés jugés.
Selon le procureur de la République, Mario Mètonou, le tribunal statuant en matière criminelle a prononcé durant cette session des peines de relaxe, mais aussi des peines de condamnation allant de 10 à 20 ans de réclusion criminelle. Une condamnation à une peine de perpétuité pour une infraction d'assassinat a été prononcée, a-t-il ajouté.
Le procureur de la République affirme que le tribunal sort de cette session avec « des sentiments de soulagement et d'espérance ». « Soulagement parce qu'une session criminelle, c'est un périmètre de haute tension, et quand vous sortez de ce périmètre avec le sentiment d'avoir contribué à faire avancer la justice dans votre pays, vous ne pouvez qu'être soulagé », a confié le magistrat sur les ondes de Frissons radio.
F. A. A.
Testée positive au Covid-19, il y a trois semaines, la chanteuse béninoise Sessimè a fait un témoignage sur sa guérison ce mercredi 15 juillet 2020 à travers un direct sur sa page Facebook.
« J'ai eu la Covid, j'ai beaucoup souffert, mais j'ai préféré garder la nouvelle pour moi et pour mes proches pour ne pas que ceux qui m'en veulent ne me poussent précipitamment dans la tombe. C'était très dur. J'étais au plus mal. J'étais malade et le traitement me rendait encore plus malade. Grâce à Dieu aujourd'hui ça va », a déclaré la Fanafana Lady à ses fans.
Actuellement guérie du coronavirus, la chanteuse béninoise continue avec le traitement d'un comprimé de chloroquine par jour.
« Je remercie tous ceux qui étaient au courant et qui n'ont ménagé aucun effort pour me soutenir », a-t-elle ajouté. L'artiste a cité la première dame Claudine Talon et l'ex ministre de la Santé Dorothée Kindé Gazard.
A.A.A
Les agents de la Police républicaine ont abattu dans la matinée de ce mercredi 15 juillet 2020, quatre présumés malfrats à Cotonou.
Les hors-la-loi ont ouvert le feu lors de leur interpellation derrière le Stade Général Mathieu Kérékou de Kouhounou, à Cotonou. Ils ont été neutralisés par les éléments de la police.
A.A.A
Le premier prêtre Bariba du Bénin, Père Jacques Bio Tanné a rendu l'âme le samedi 11 juillet 22020 à l'âge de 85 ans.
Le Père Jacques Bio Tanné a été hospitalisé depuis mars à la clinique Boni d'Akpakpa à Cotonou. Né vers 1935 à Ouénou dans la commune de N'Dali, département du Borgou, l'abbé Bio Tanné est le troisième fils de son père.
Vers 1946, il a débuté l'école à Parakou et entre ensuite au séminaire Petits Clercs de Ouidah pour l'enseignement ecclésiastique jusqu'en 1958.
Après avoir obtenu son Baccalauréat, il poursuit ses études à Rome en Italie.
Le 21 décembre 1963, Jacques Bio Tanné a été ordonné prêtre. À son retour au Bénin en 1964, il a exercé son ministère dans le diocèse de Parakou avec les responsabilités d'évangélisation sur les paroisses de Nikki, Banikoara, Bembèréké et Pèrèrè.
Père Jacques Bio Tanné a aussi fait des études en Sciences Humaines à Paris avant d'être nommé professeur à l'Institut catholique de l'Afrique de l'ouest à Abidjan. Le défunt a également travaillé avec Mgr Isidore de Souza.
En 1994, Père Jacques Bio Tanné a rejoint le Gabon pour poursuivre sa mission en devenant curé de la Cathédrale Notre Dame de l'Assomption de Libreville. Il a assuré cette fonction de curé en étant aussi Vice-Recteur du Grand Séminaire Saint-Augustin jusqu'en 2003, l'année où il quitte la Cathédrale pour être professeur et Directeur spirituel au Grand Séminaire.
A.A.A
Les membres du gouvernement ont tenu ce mercredi 15 juillet 2020 la session ordinaire du Conseil des ministres. Plusieurs décrets ont été adoptés au cours de ce rendez-vous hebdomadaire du gouvernement.
Il s'agit entre autres du décret portant attributions, organisation et fonctionnement du ministère de la Décentralisation et de la Gouvernance locale ; du décret portant transmission à l'Assemblée nationale pour autorisation de ratification, de la convention signée entre la République du Bénin et le Royaume du Maroc en vue d'éviter la double imposition, de prévenir l'évasion fiscale en matière d'impôts sur le revenu et d'établir les règles d'assistance réciproque ; du décret portant transmission à l'Assemblée nationale, pour étude et vote, du projet de loi relative au taux d'intérêt légal en République du Bénin ; du décret portant modification des statuts de l'Agence nationale de la Propriété intellectuelle (ANaPI) et la nomination des membres de son Conseil d'Administration ; et du décret portant nomination des membres du Conseil d'administration de la Société béninoise pour l'Approvisionnement en produits de santé S.A.
F. A. A.
Ils sont au total 100 candidats déclarés admissibles au concours de recrutement de personnels au profit du Ministère de l'économie et des finances, organisés le 20 juin dernier par le Ministère du travail et de la fonction publique. Liste des admissibles
Liste des admissibles
Dans le but de renforcer les capacités opérationnelles des forces armées béninoise, de la police, des eaux forêts et chasse aux fins de garantir davantage la sécurité intérieure, le Conseil des ministres réuni en sa séance de ce mercredi 15 juillet 2020 a autorisé le recrutement de cinq cents (500) soldats au profit des Forces armées béninoises, cinq cents (500) agents au profit de la Police républicaine et cent (100) gardes forestiers pour le compte de la Direction générale des Eaux, Forêts et Chasse.
Par la même occasion, le Conseil a marqué son accord pour la formation professionnelle dédiée à chaque corps ainsi que pour l'acquisition de paquetage au profit des nouvelles recrues.
Les Ministres de tutelle veilleront au bon déroulement des recrutements.
Quant au Ministre de la Justice, il prendra les dispositions pour faire délivrer diligemment aux demandeurs, par les juridictions compétentes, les pièces administratives nécessaires à la constitution des dossiers de candidature.
Le Conseil des Ministres s'est réuni mercredi, le 15 juillet 2020, sous la présidence de Monsieur Patrice Talon, Président de la République, Chef de l'État, Chef du Gouvernement.
I- MESURES NORMATIVES.
Le Conseil a adopté, au titre de ces mesures, les décrets portant :
attributions, organisation et fonctionnement du ministère de la Décentralisation et de la Gouvernance locale ;
transmission à l'Assemblée nationale, pour autorisation de ratification, de la convention signée entre la République du Bénin et le Royaume du Maroc, en vue d'éviter la double imposition, de prévenir l'évasion fiscale en matière d'impôts sur le revenu et d'établir les règles d'assistance réciproque ;
transmission à l'Assemblée nationale, pour étude et vote, du projet de loi relative au taux d'intérêt légal en République du Bénin ;
modification des statuts de l'Agence nationale de la Propriété intellectuelle et nomination des membres de son Conseil d'administration ; puis
nomination des membres du Conseil d'administration de la Société béninoise pour l'Approvisionnement en produits de santé S.A.
II- COMMUNICATIONS.
Recrutement au profit des Forces armées béninoises, de la Police républicaine ainsi que des Eaux, Forêts et Chasse au titre de l'année 2020.
Dans le but de renforcer les capacités opérationnelles de ces corps à travers leurs effectifs respectifs, aux fins de garantir davantage la sécurité intérieure, le Conseil a autorisé le recrutement de cinq cents (500) soldats au profit des Forces armées béninoises, cinq cents (500) agents au profit de la Police républicaine et cent (100) gardes forestiers pour le compte de la Direction générale des Eaux, Forêts et Chasse.
Par la même occasion, le Conseil a marqué son accord pour la formation professionnelle dédiée à chaque corps ainsi que pour l'acquisition de paquetage au profit des nouvelles recrues.
Les Ministres de tutelle veilleront au bon déroulement des recrutements.
Quant au Ministre de la Justice, il prendra les dispositions pour faire délivrer diligemment aux demandeurs, par les juridictions compétentes, les pièces administratives nécessaires à la constitution des dossiers de candidature.
III- RENCONTRES ET MANIFESTATIONS OFFICIELLES.
Le Conseil a autorisé l'organisation, par visioconférence, le 30 juillet 2020, du 65ème Comité des Ministres de l'Agence pour la Sécurité de la Navigation aérienne en Afrique et à Madagascar (ASECNA).
IV- MESURES INDIVIDUELLES.
Les nominations ci-après ont été prononcées sur proposition des Ministres respectifs.
Au ministère de la Justice et de la Législation
Directeur des Systèmes d'Information : Monsieur Sèwanou Christian AGONVINON
Directrice des Droits humains et de l'Enfance : Madame Inès HADONOU épouse TOFFOUN
Au ministère du Cadre de Vie et du Développement durable
Directeur général de la Société de Gestion des Déchets et de la Salubrité urbaine dans le Grand-Nokoué : Monsieur Valéry LAWSON
Au ministère de la Santé
Directrice départementale de la Santé du Littoral : Madame Adjouavi Mathilde HOUSSOU.
Fait à Cotonou, le 15 juillet 2020.
Le Secrétaire Général du Gouvernement,