‘'Frère Hounvi'' n'est plus libre de ses mouvements. De son vrai nom Steve Amoussou, le web activiste béninois a été arrêté par la police togolaise dans la nuit du lundi 12 août 2024, aux environs de 23h, à Lomé au Togo.
Steve Amoussou alias Frère Hounvi, connu pour ses chroniques acerbes contre le régime de la Rupture et du Nouveau Départ est dans les mailles de la police. Le Web activiste a été interpellé dans la nuit du lundi 12 août 2024, dans une rue à Lomé, au Togo. Le chroniqueur est déjà extradé au Bénin et gardé dans un commissariat de police en attendant son procès.
Il sera jugé entre autres pour outrage au chef de l'Etat, diffamation, dénonciation calomnieuse.
A travers une vidéo publiée sur YouTube, Martin Rodriguez, l'opposant au régime du président Patrice Talon parle d'un enlèvement.
Selon certaines sources, l'arrestation de Frère Hounvi serait liée à un règlement de comptes de son entourage.
‘'Frère Hounvi'' n'est plus libre de ses mouvements. De son vrai nom Steve Amoussou, le web activiste béninois a été arrêté par la police togolaise dans la nuit du lundi 12 août 2024, aux environs de 23h, à Lomé au Togo.
Steve Amoussou alias Frère Hounvi, connu pour ses chroniques acerbes contre le régime de la Rupture et du Nouveau Départ est dans les mailles de la police. Le Web activiste a été interpellé dans la nuit du lundi 12 août 2024, dans une rue à Lomé, au Togo. Le chroniqueur est déjà extradé au Bénin et gardé dans un commissariat de police en attendant son procès.
Il sera jugé entre autres pour outrage au chef de l'Etat, diffamation, dénonciation calomnieuse.
A travers une vidéo publiée sur YouTube, Martin Rodriguez, l'opposant au régime du président Patrice Talon parle d'un enlèvement.
Selon certaines sources, l'arrestation de Frère Hounvi serait liée à un règlement de comptes de son entourage.
‘'Frère Hounvi'' n'est plus libre de ses mouvements. De son vrai nom Steve Amoussou, le web activiste béninois a été arrêté par la police togolaise dans la nuit du lundi 12 août 2024, aux environs de 23h, à Lomé au Togo.
Steve Amoussou alias Frère Hounvi, connu pour ses chroniques acerbes contre le régime de la Rupture et du Nouveau Départ est dans les mailles de la police. Le Web activiste a été interpellé dans la nuit du lundi 12 août 2024, dans une rue à Lomé, au Togo. Le chroniqueur est déjà extradé au Bénin et gardé dans un commissariat de police en attendant son procès.
Il sera jugé entre autres pour outrage au chef de l'Etat, diffamation, dénonciation calomnieuse.
A travers une vidéo publiée sur YouTube, Martin Rodriguez, l'opposant au régime du président Patrice Talon parle d'un enlèvement.
Selon certaines sources, l'arrestation de Frère Hounvi serait liée à un règlement de comptes de son entourage.
‘'Frère Hounvi'' n'est plus libre de ses mouvements. De son vrai nom Steve Amoussou, le web activiste béninois a été arrêté par la police togolaise dans la nuit du lundi 12 août 2024, aux environs de 23h, à Lomé au Togo.
Steve Amoussou alias Frère Hounvi, connu pour ses chroniques acerbes contre le régime de la Rupture et du Nouveau Départ est dans les mailles de la police. Le Web activiste a été interpellé dans la nuit du lundi 12 août 2024, dans une rue à Lomé, au Togo. Le chroniqueur est déjà extradé au Bénin et gardé dans un commissariat de police en attendant son procès.
Il sera jugé entre autres pour outrage au chef de l'Etat, diffamation, dénonciation calomnieuse.
A travers une vidéo publiée sur YouTube, Martin Rodriguez, l'opposant au régime du président Patrice Talon parle d'un enlèvement.
Selon certaines sources, l'arrestation de Frère Hounvi serait liée à un règlement de comptes de son entourage.
‘'Frère Hounvi'' n'est plus libre de ses mouvements. De son vrai nom Steve Amoussou, le web activiste béninois a été arrêté par la police togolaise dans la nuit du lundi 12 août 2024, aux environs de 23h, à Lomé au Togo.
Steve Amoussou alias Frère Hounvi, connu pour ses chroniques acerbes contre le régime de la Rupture et du Nouveau Départ est dans les mailles de la police. Le Web activiste a été interpellé dans la nuit du lundi 12 août 2024, dans une rue à Lomé, au Togo. Le chroniqueur est déjà extradé au Bénin et gardé dans un commissariat de police en attendant son procès.
Il sera jugé entre autres pour outrage au chef de l'Etat, diffamation, dénonciation calomnieuse.
A travers une vidéo publiée sur YouTube, Martin Rodriguez, l'opposant au régime du président Patrice Talon parle d'un enlèvement.
Selon certaines sources, l'arrestation de Frère Hounvi serait liée à un règlement de comptes de son entourage.
Le directeur départemental des enseignements maternel et primaire du Plateau, Yémalin Emile DOSSA à travers une note ce lundi 12 août 2024, a suspendu la directrice de l'EPP d'Onigbolo village. Elle serait impliquée dans « la distorsion de vivres de la cantine scolaire » de son école.
Lire la note
Le directeur départemental des enseignements maternel et primaire du Plateau, Yémalin Emile DOSSA à travers une note ce lundi 12 août 2024, a suspendu la directrice de l'EPP d'Onigbolo village. Elle serait impliquée dans « la distorsion de vivres de la cantine scolaire » de son école.
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Le directeur départemental des enseignements maternel et primaire du Plateau, Yémalin Emile DOSSA à travers une note ce lundi 12 août 2024, a suspendu la directrice de l'EPP d'Onigbolo village. Elle serait impliquée dans « la distorsion de vivres de la cantine scolaire » de son école.
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Le directeur départemental des enseignements maternel et primaire du Plateau, Yémalin Emile DOSSA à travers une note ce lundi 12 août 2024, a suspendu la directrice de l'EPP d'Onigbolo village. Elle serait impliquée dans « la distorsion de vivres de la cantine scolaire » de son école.
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La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) a rendu son verdict dans le dossier d'un militaire déserteur. C'était ce lundi 12 août 2024, à l'audience correctionnelle des vacances.
Un soldat béninois recouvre sa liberté après 05 mois de détention. Poursuivi pour « désertion », il a été condamné lundi 12 août 2024, à une peine pécuniaire. Il doit payer selon la décision de la juridiction spéciale, la somme de 100.000 francs CFA. On reproche au soldat de première classe, d'avoir quitté son poste sans nouvelles, et pendant un bon moment.
Selon Banouto, le prévenu lors de l'audience du 24 juin 2024, a expliqué sa disparition. D'après sa déposition, ce qui lui arrive est un problème spirituel. Il a évoqué une histoire de jalousie dans sa famille. Le soldat a accusé une de ses tantes de lui avoir jeté un sort. Il a expliqué que la tante lui reproche de ne montrer sa générosité qu'envers ses géniteurs. Lors des débats de son inculpation, le soldat n'a pas caché sa volonté de retourner servir l'armée béninoise.
Mais le président des céans de la CRIET qui l'interrogeait à propos, lui a fait savoir qu'il n'est pas son chef hiérarchique pour décider de son sort. Si le jeune déserteur n'est pas récupéré par l'armée, il va devoir trouver un autre gagne-pain après 14 ans de services, rapporte le site d'informations. Le soldat de première classe ayant indiqué avoir fait ses débuts dans l'armée depuis le 1 décembre 2011.
La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) a rendu son verdict dans le dossier d'un militaire déserteur. C'était ce lundi 12 août 2024, à l'audience correctionnelle des vacances.
Un soldat béninois recouvre sa liberté après 05 mois de détention. Poursuivi pour « désertion », il a été condamné lundi 12 août 2024, à une peine pécuniaire. Il doit payer selon la décision de la juridiction spéciale, la somme de 100.000 francs CFA. On reproche au soldat de première classe, d'avoir quitté son poste sans nouvelles, et pendant un bon moment.
Selon Banouto, le prévenu lors de l'audience du 24 juin 2024, a expliqué sa disparition. D'après sa déposition, ce qui lui arrive est un problème spirituel. Il a évoqué une histoire de jalousie dans sa famille. Le soldat a accusé une de ses tantes de lui avoir jeté un sort. Il a expliqué que la tante lui reproche de ne montrer sa générosité qu'envers ses géniteurs. Lors des débats de son inculpation, le soldat n'a pas caché sa volonté de retourner servir l'armée béninoise.
Mais le président des céans de la CRIET qui l'interrogeait à propos, lui a fait savoir qu'il n'est pas son chef hiérarchique pour décider de son sort. Si le jeune déserteur n'est pas récupéré par l'armée, il va devoir trouver un autre gagne-pain après 14 ans de services, rapporte le site d'informations. Le soldat de première classe ayant indiqué avoir fait ses débuts dans l'armée depuis le 1 décembre 2011.
La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) a rendu son verdict dans le dossier d'un militaire déserteur. C'était ce lundi 12 août 2024, à l'audience correctionnelle des vacances.
Un soldat béninois recouvre sa liberté après 05 mois de détention. Poursuivi pour « désertion », il a été condamné lundi 12 août 2024, à une peine pécuniaire. Il doit payer selon la décision de la juridiction spéciale, la somme de 100.000 francs CFA. On reproche au soldat de première classe, d'avoir quitté son poste sans nouvelles, et pendant un bon moment.
Selon Banouto, le prévenu lors de l'audience du 24 juin 2024, a expliqué sa disparition. D'après sa déposition, ce qui lui arrive est un problème spirituel. Il a évoqué une histoire de jalousie dans sa famille. Le soldat a accusé une de ses tantes de lui avoir jeté un sort. Il a expliqué que la tante lui reproche de ne montrer sa générosité qu'envers ses géniteurs. Lors des débats de son inculpation, le soldat n'a pas caché sa volonté de retourner servir l'armée béninoise.
Mais le président des céans de la CRIET qui l'interrogeait à propos, lui a fait savoir qu'il n'est pas son chef hiérarchique pour décider de son sort. Si le jeune déserteur n'est pas récupéré par l'armée, il va devoir trouver un autre gagne-pain après 14 ans de services, rapporte le site d'informations. Le soldat de première classe ayant indiqué avoir fait ses débuts dans l'armée depuis le 1 décembre 2011.
La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) a rendu son verdict dans le dossier d'un militaire déserteur. C'était ce lundi 12 août 2024, à l'audience correctionnelle des vacances.
Un soldat béninois recouvre sa liberté après 05 mois de détention. Poursuivi pour « désertion », il a été condamné lundi 12 août 2024, à une peine pécuniaire. Il doit payer selon la décision de la juridiction spéciale, la somme de 100.000 francs CFA. On reproche au soldat de première classe, d'avoir quitté son poste sans nouvelles, et pendant un bon moment.
Selon Banouto, le prévenu lors de l'audience du 24 juin 2024, a expliqué sa disparition. D'après sa déposition, ce qui lui arrive est un problème spirituel. Il a évoqué une histoire de jalousie dans sa famille. Le soldat a accusé une de ses tantes de lui avoir jeté un sort. Il a expliqué que la tante lui reproche de ne montrer sa générosité qu'envers ses géniteurs. Lors des débats de son inculpation, le soldat n'a pas caché sa volonté de retourner servir l'armée béninoise.
Mais le président des céans de la CRIET qui l'interrogeait à propos, lui a fait savoir qu'il n'est pas son chef hiérarchique pour décider de son sort. Si le jeune déserteur n'est pas récupéré par l'armée, il va devoir trouver un autre gagne-pain après 14 ans de services, rapporte le site d'informations. Le soldat de première classe ayant indiqué avoir fait ses débuts dans l'armée depuis le 1 décembre 2011.
La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) a rendu son verdict dans le dossier d'un militaire déserteur. C'était ce lundi 12 août 2024, à l'audience correctionnelle des vacances.
Un soldat béninois recouvre sa liberté après 05 mois de détention. Poursuivi pour « désertion », il a été condamné lundi 12 août 2024, à une peine pécuniaire. Il doit payer selon la décision de la juridiction spéciale, la somme de 100.000 francs CFA. On reproche au soldat de première classe, d'avoir quitté son poste sans nouvelles, et pendant un bon moment.
Selon Banouto, le prévenu lors de l'audience du 24 juin 2024, a expliqué sa disparition. D'après sa déposition, ce qui lui arrive est un problème spirituel. Il a évoqué une histoire de jalousie dans sa famille. Le soldat a accusé une de ses tantes de lui avoir jeté un sort. Il a expliqué que la tante lui reproche de ne montrer sa générosité qu'envers ses géniteurs. Lors des débats de son inculpation, le soldat n'a pas caché sa volonté de retourner servir l'armée béninoise.
Mais le président des céans de la CRIET qui l'interrogeait à propos, lui a fait savoir qu'il n'est pas son chef hiérarchique pour décider de son sort. Si le jeune déserteur n'est pas récupéré par l'armée, il va devoir trouver un autre gagne-pain après 14 ans de services, rapporte le site d'informations. Le soldat de première classe ayant indiqué avoir fait ses débuts dans l'armée depuis le 1 décembre 2011.
La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) a rendu son verdict dans le dossier d'un militaire déserteur. C'était ce lundi 12 août 2024, à l'audience correctionnelle des vacances.
Un soldat béninois recouvre sa liberté après 05 mois de détention. Poursuivi pour « désertion », il a été condamné lundi 12 août 2024, à une peine pécuniaire. Il doit payer selon la décision de la juridiction spéciale, la somme de 100.000 francs CFA. On reproche au soldat de première classe, d'avoir quitté son poste sans nouvelles, et pendant un bon moment.
Selon Banouto, le prévenu lors de l'audience du 24 juin 2024, a expliqué sa disparition. D'après sa déposition, ce qui lui arrive est un problème spirituel. Il a évoqué une histoire de jalousie dans sa famille. Le soldat a accusé une de ses tantes de lui avoir jeté un sort. Il a expliqué que la tante lui reproche de ne montrer sa générosité qu'envers ses géniteurs. Lors des débats de son inculpation, le soldat n'a pas caché sa volonté de retourner servir l'armée béninoise.
Mais le président des céans de la CRIET qui l'interrogeait à propos, lui a fait savoir qu'il n'est pas son chef hiérarchique pour décider de son sort. Si le jeune déserteur n'est pas récupéré par l'armée, il va devoir trouver un autre gagne-pain après 14 ans de services, rapporte le site d'informations. Le soldat de première classe ayant indiqué avoir fait ses débuts dans l'armée depuis le 1 décembre 2011.
La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) a rendu son verdict dans le dossier d'un militaire déserteur. C'était ce lundi 12 août 2024, à l'audience correctionnelle des vacances.
Un soldat béninois recouvre sa liberté après 05 mois de détention. Poursuivi pour « désertion », il a été condamné lundi 12 août 2024, à une peine pécuniaire. Il doit payer selon la décision de la juridiction spéciale, la somme de 100.000 francs CFA. On reproche au soldat de première classe, d'avoir quitté son poste sans nouvelles, et pendant un bon moment.
Selon Banouto, le prévenu lors de l'audience du 24 juin 2024, a expliqué sa disparition. D'après sa déposition, ce qui lui arrive est un problème spirituel. Il a évoqué une histoire de jalousie dans sa famille. Le soldat a accusé une de ses tantes de lui avoir jeté un sort. Il a expliqué que la tante lui reproche de ne montrer sa générosité qu'envers ses géniteurs. Lors des débats de son inculpation, le soldat n'a pas caché sa volonté de retourner servir l'armée béninoise.
Mais le président des céans de la CRIET qui l'interrogeait à propos, lui a fait savoir qu'il n'est pas son chef hiérarchique pour décider de son sort. Si le jeune déserteur n'est pas récupéré par l'armée, il va devoir trouver un autre gagne-pain après 14 ans de services, rapporte le site d'informations. Le soldat de première classe ayant indiqué avoir fait ses débuts dans l'armée depuis le 1 décembre 2011.
La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) a rendu son verdict dans le dossier d'un militaire déserteur. C'était ce lundi 12 août 2024, à l'audience correctionnelle des vacances.
Un soldat béninois recouvre sa liberté après 05 mois de détention. Poursuivi pour « désertion », il a été condamné lundi 12 août 2024, à une peine pécuniaire. Il doit payer selon la décision de la juridiction spéciale, la somme de 100.000 francs CFA. On reproche au soldat de première classe, d'avoir quitté son poste sans nouvelles, et pendant un bon moment.
Selon Banouto, le prévenu lors de l'audience du 24 juin 2024, a expliqué sa disparition. D'après sa déposition, ce qui lui arrive est un problème spirituel. Il a évoqué une histoire de jalousie dans sa famille. Le soldat a accusé une de ses tantes de lui avoir jeté un sort. Il a expliqué que la tante lui reproche de ne montrer sa générosité qu'envers ses géniteurs. Lors des débats de son inculpation, le soldat n'a pas caché sa volonté de retourner servir l'armée béninoise.
Mais le président des céans de la CRIET qui l'interrogeait à propos, lui a fait savoir qu'il n'est pas son chef hiérarchique pour décider de son sort. Si le jeune déserteur n'est pas récupéré par l'armée, il va devoir trouver un autre gagne-pain après 14 ans de services, rapporte le site d'informations. Le soldat de première classe ayant indiqué avoir fait ses débuts dans l'armée depuis le 1 décembre 2011.
La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) a rendu son verdict dans le dossier d'un militaire déserteur. C'était ce lundi 12 août 2024, à l'audience correctionnelle des vacances.
Un soldat béninois recouvre sa liberté après 05 mois de détention. Poursuivi pour « désertion », il a été condamné lundi 12 août 2024, à une peine pécuniaire. Il doit payer selon la décision de la juridiction spéciale, la somme de 100.000 francs CFA. On reproche au soldat de première classe, d'avoir quitté son poste sans nouvelles, et pendant un bon moment.
Selon Banouto, le prévenu lors de l'audience du 24 juin 2024, a expliqué sa disparition. D'après sa déposition, ce qui lui arrive est un problème spirituel. Il a évoqué une histoire de jalousie dans sa famille. Le soldat a accusé une de ses tantes de lui avoir jeté un sort. Il a expliqué que la tante lui reproche de ne montrer sa générosité qu'envers ses géniteurs. Lors des débats de son inculpation, le soldat n'a pas caché sa volonté de retourner servir l'armée béninoise.
Mais le président des céans de la CRIET qui l'interrogeait à propos, lui a fait savoir qu'il n'est pas son chef hiérarchique pour décider de son sort. Si le jeune déserteur n'est pas récupéré par l'armée, il va devoir trouver un autre gagne-pain après 14 ans de services, rapporte le site d'informations. Le soldat de première classe ayant indiqué avoir fait ses débuts dans l'armée depuis le 1 décembre 2011.
La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) a rendu son verdict dans le dossier d'un militaire déserteur. C'était ce lundi 12 août 2024, à l'audience correctionnelle des vacances.
Un soldat béninois recouvre sa liberté après 05 mois de détention. Poursuivi pour « désertion », il a été condamné lundi 12 août 2024, à une peine pécuniaire. Il doit payer selon la décision de la juridiction spéciale, la somme de 100.000 francs CFA. On reproche au soldat de première classe, d'avoir quitté son poste sans nouvelles, et pendant un bon moment.
Selon Banouto, le prévenu lors de l'audience du 24 juin 2024, a expliqué sa disparition. D'après sa déposition, ce qui lui arrive est un problème spirituel. Il a évoqué une histoire de jalousie dans sa famille. Le soldat a accusé une de ses tantes de lui avoir jeté un sort. Il a expliqué que la tante lui reproche de ne montrer sa générosité qu'envers ses géniteurs. Lors des débats de son inculpation, le soldat n'a pas caché sa volonté de retourner servir l'armée béninoise.
Mais le président des céans de la CRIET qui l'interrogeait à propos, lui a fait savoir qu'il n'est pas son chef hiérarchique pour décider de son sort. Si le jeune déserteur n'est pas récupéré par l'armée, il va devoir trouver un autre gagne-pain après 14 ans de services, rapporte le site d'informations. Le soldat de première classe ayant indiqué avoir fait ses débuts dans l'armée depuis le 1 décembre 2011.
Au Bénin, la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) a examiné le dossier de deux sœurs lors de l'audience correctionnelle des vacances judiciaires du jeudi 08 août 2024. Elles sont poursuivies pour avoir vidé le compte bancaire de l'ex conjoint de l'une d'entre elles.
Deux sœurs accusées d'avoir vidé le compte bancaire d'un expatrié, ex conjoint de la plus jeune actuellement en fuite hors du Bénin. Elle a, de complicité avec sa grande sœur, vidé le compte en banque de son ex conjoint. L'affaire a éclaté lorsque la victime a voulu faire une opération, et s'est rendue compte qu'il n'y avait plus rien sur le compte. Il devrait avoir selon ses déclarations à la barre, la somme de 7,7 millions de FCFA. Surpris, il saisit la banque qui l'informe que des opérations de retrait ont été régulièrement effectuées sur le compte. Les enquêtes de l'institution financière ont permis d'identifier la grande sœur de l'ex-conjointe de la victime dans les caméras cachées. Elle se serait rendu plusieurs fois au guichet pour faire des opérations.
Pour y parvenir, l'ex conjointe a piraté le code bancaire de la victime, récupéré les données qu'elle a mises à la disposition de sa grande sœur qui l'aidait à faire les opérations de retrait. La jeune sœur après son forfait a quitté le Bénin selon Banouto.
La grande sœur identifiée sur les caméras a été interpellée et placée sous mandat de dépôt. Elle est poursuivie pour les faits de « vol du numéraire » et « accès frauduleux à système informatique ».
A la barre, la prévenue a plaidé non coupable. Elle a reconnu toutefois avoir fait plusieurs opérations bancaires pour sa petite sœur, mais ignorait que c'était sur le compte bancaire de son ex-"beau-frère". Le montant total des retraits effectués selon ses déclarations, est de 2,2 millions de FCFA.
Les déclarations de la prévenue n'ont pas convaincu le ministère public. Elle ferait selon le 2e substitut du procureur, économie de vérité. Les deux sœurs selon le magistrat, ont simulé la mort de leur maman pour soutirer de l'argent à l'expatrié. Elles se seraient rendues tard la nuit dans son domicile pour pleurer la mort de leur maman, alors que celle-ci n'était pas décédée.
Sur la demande de liberté provisoire des avocats de la défense, le ministère public a marqué son opposition. Cette libération selon le 2e substitut du procureur ne peut être accordée qu'en accédant à la requête du plaignant de fixer la caution à 7,7 millions de FCFA, montant du préjudice. Une réquisition qui a suscité de vives réactions chez les avocats qui estiment que leur cliente a retiré 2,2 millions FCFA et non 7,7 millions FCFA.
Le dossier est renvoyé au 14 novembre 2024 pour délibérer sur la demande de la mise en liberté provisoire et les réquisitions du ministère public.