Le monde connaît actuellement sa quatrième révolution industrielle, une période où la technologie transforme nos vies et nos économies à un rythme sans précédent. Cependant, cette transformation soulève une question cruciale : quel est l'avenir du travail, notamment dans des régions comme le continent africain où prédominent les emplois peu qualifiés et répétitifs ?
La disparition d'emplois n'est pas un phénomène nouveau. Tout au long de l'histoire, des révolutions industrielles passées jusqu'à l'ère numérique, nous avons vu des emplois évoluer et disparaître. Prenons quelques exemples historiques :
Le Spinning Jenny (inventé par James Hargreaves en 1764)
Impact : Ce métier à filer multibroches permettait à un ouvrier de filer plusieurs fils à la fois, augmentant ainsi considérablement la productivité dans l'industrie textile. Cela a entraîné le déplacement de nombreuses fileuses manuelles qui ne pouvaient rivaliser avec l'efficacité de la Spinning Jenny.
La machine à vapeur (améliorée par James Watt à la fin du XVIIIe siècle)
Impact : La machine à vapeur a révolutionné le transport et la fabrication. Cela a conduit au déclin des emplois dans les industries dépendant du travail manuel et de la force animale, comme les ouvriers des canaux et les cochers. Les machines à vapeur réduisaient également le besoin de travail manuel dans divers processus de fabrication.
En Afrique, dans un pays comme le Sénégal, certains se rappellent avec nostalgie des « télécentres », des cabines téléphoniques à plusieurs postes. Ces entreprises autrefois florissantes employaient de nombreuses personnes en permettant à des familles séparées par des kilomètres de rester en contact avant l'avènement des réseaux sociaux. L'arrivée des téléphones mobiles et du « seddo » (un système permettant le transfert de crédit de téléphone à téléphone, permettant aux clients d'acheter du temps d'antenne en petites quantités) a provoqué un brutal déclin des télécentres.
Chaque disparition d'emploi ouvre cependant la voie à de nouvelles opportunités. Par exemple, le déclin des télécentres a entraîné l'essor des cybercafés, nécessitant des compétences en gestion des ordinateurs et des systèmes d'exploitation. Bien que les cybercafés aient presque disparu aujourd'hui, cet exemple illustre adéquatement les défis posés par la quatrième révolution industrielle en Afrique.
Vulnérabilité des emplois en Afrique
En Afrique, plus de 90 % des emplois sont des postes peu ou moyennement qualifiés, ce qui rend le continent particulièrement vulnérable aux progrès de l'IA et de l'automatisation. Pour évaluer si vous êtes un travailleur peu ou moyennement qualifié, voici quelques critères :
Travailleurs peu qualifiés : Peu de formation formelle ou d'expérience spécialisée. Exemples : caissiers, concierges, serveurs, ouvriers, aides à domicile.
Travailleurs moyennement qualifiés : Formation et compétences spécifiques, souvent via des formations techniques ou professionnelles. Exemples : techniciens informatiques, assistants administratifs, électriciens, infirmières auxiliaires, mécaniciens automobiles.
Impact de l'IA
L'IA, ou Intelligence Artificielle, représente un changement fondamental dans notre façon de travailler. Des systèmes informatiques capables d'effectuer des tâches nécessitant habituellement l'intelligence humaine peuvent fonctionner de manière autonome, augmentant ainsi les impacts potentiels sur le marché du travail.
Selon un rapport du Webber Institute of Technology, l'automatisation et la robotique menacent de remplacer les emplois peu qualifiés en Afrique subsaharienne. La demande de main-d'œuvre qualifiée augmente, tandis que le besoin de main-d'œuvre non qualifiée diminue. Le défi est amplifié par le paysage éducatif africain, où de nombreux jeunes n'ont pas accès à une éducation de qualité et aux compétences requises pour le futur marché du travail.
Préparation à la révolution de l'IA
Face à ces défis, comment se préparer à la révolution de l'IA ? Voici quelques pistes :
Apprentissage continu : Suivez des cours en ligne sur des plateformes comme Africourse.com, des camps d'entraînement et obtenez des certifications en IA, science des données, apprentissage automatique.
Compétences humaines : Développez des compétences en pensée critique, résolution de problèmes, créativité, intelligence émotionnelle.
Apprentissage tout au long de la vie : Restez curieux et engagé dans l'apprentissage tout au long de votre carrière.
Éducation STEM : Investissez dans les disciplines des sciences, de la technologie, de l'ingénierie et des mathématiques.
Culture numérique : Maîtrisez les outils et plateformes numériques.
Spécialisation : Identifiez et spécialisez-vous dans des domaines à forte demande comme la cybersécurité, l'éthique de l'IA, la robotique, les soins de santé basés sur l'IA.
Adaptabilité : Soyez ouvert au changement et adaptable aux nouveaux rôles.
État d'esprit de croissance : Relevez les défis et considérez les échecs comme des opportunités de croissance.
Réseautage et collaboration : Créez et entretenez un réseau professionnel.
Entrepreneuriat et innovation : Envisagez des projets entrepreneuriaux utilisant l'IA.
Éthique et impact de l'IA : Découvrez les implications éthiques de l'IA.
Opportunités locales : Concentrez-vous sur la résolution des problèmes locaux avec l'IA.
Politique et plaidoyer : Participez aux discussions sur les politiques et réglementations en matière d'IA.
Le monde connaît actuellement sa quatrième révolution industrielle, une période où la technologie transforme nos vies et nos économies à un rythme sans précédent. Cependant, cette transformation soulève une question cruciale : quel est l'avenir du travail, notamment dans des régions comme le continent africain où prédominent les emplois peu qualifiés et répétitifs ?
La disparition d'emplois n'est pas un phénomène nouveau. Tout au long de l'histoire, des révolutions industrielles passées jusqu'à l'ère numérique, nous avons vu des emplois évoluer et disparaître. Prenons quelques exemples historiques :
Le Spinning Jenny (inventé par James Hargreaves en 1764)
Impact : Ce métier à filer multibroches permettait à un ouvrier de filer plusieurs fils à la fois, augmentant ainsi considérablement la productivité dans l'industrie textile. Cela a entraîné le déplacement de nombreuses fileuses manuelles qui ne pouvaient rivaliser avec l'efficacité de la Spinning Jenny.
La machine à vapeur (améliorée par James Watt à la fin du XVIIIe siècle)
Impact : La machine à vapeur a révolutionné le transport et la fabrication. Cela a conduit au déclin des emplois dans les industries dépendant du travail manuel et de la force animale, comme les ouvriers des canaux et les cochers. Les machines à vapeur réduisaient également le besoin de travail manuel dans divers processus de fabrication.
En Afrique, dans un pays comme le Sénégal, certains se rappellent avec nostalgie des « télécentres », des cabines téléphoniques à plusieurs postes. Ces entreprises autrefois florissantes employaient de nombreuses personnes en permettant à des familles séparées par des kilomètres de rester en contact avant l'avènement des réseaux sociaux. L'arrivée des téléphones mobiles et du « seddo » (un système permettant le transfert de crédit de téléphone à téléphone, permettant aux clients d'acheter du temps d'antenne en petites quantités) a provoqué un brutal déclin des télécentres.
Chaque disparition d'emploi ouvre cependant la voie à de nouvelles opportunités. Par exemple, le déclin des télécentres a entraîné l'essor des cybercafés, nécessitant des compétences en gestion des ordinateurs et des systèmes d'exploitation. Bien que les cybercafés aient presque disparu aujourd'hui, cet exemple illustre adéquatement les défis posés par la quatrième révolution industrielle en Afrique.
Vulnérabilité des emplois en Afrique
En Afrique, plus de 90 % des emplois sont des postes peu ou moyennement qualifiés, ce qui rend le continent particulièrement vulnérable aux progrès de l'IA et de l'automatisation. Pour évaluer si vous êtes un travailleur peu ou moyennement qualifié, voici quelques critères :
Travailleurs peu qualifiés : Peu de formation formelle ou d'expérience spécialisée. Exemples : caissiers, concierges, serveurs, ouvriers, aides à domicile.
Travailleurs moyennement qualifiés : Formation et compétences spécifiques, souvent via des formations techniques ou professionnelles. Exemples : techniciens informatiques, assistants administratifs, électriciens, infirmières auxiliaires, mécaniciens automobiles.
Impact de l'IA
L'IA, ou Intelligence Artificielle, représente un changement fondamental dans notre façon de travailler. Des systèmes informatiques capables d'effectuer des tâches nécessitant habituellement l'intelligence humaine peuvent fonctionner de manière autonome, augmentant ainsi les impacts potentiels sur le marché du travail.
Selon un rapport du Webber Institute of Technology, l'automatisation et la robotique menacent de remplacer les emplois peu qualifiés en Afrique subsaharienne. La demande de main-d'œuvre qualifiée augmente, tandis que le besoin de main-d'œuvre non qualifiée diminue. Le défi est amplifié par le paysage éducatif africain, où de nombreux jeunes n'ont pas accès à une éducation de qualité et aux compétences requises pour le futur marché du travail.
Préparation à la révolution de l'IA
Face à ces défis, comment se préparer à la révolution de l'IA ? Voici quelques pistes :
Apprentissage continu : Suivez des cours en ligne sur des plateformes comme Africourse.com, des camps d'entraînement et obtenez des certifications en IA, science des données, apprentissage automatique.
Compétences humaines : Développez des compétences en pensée critique, résolution de problèmes, créativité, intelligence émotionnelle.
Apprentissage tout au long de la vie : Restez curieux et engagé dans l'apprentissage tout au long de votre carrière.
Éducation STEM : Investissez dans les disciplines des sciences, de la technologie, de l'ingénierie et des mathématiques.
Culture numérique : Maîtrisez les outils et plateformes numériques.
Spécialisation : Identifiez et spécialisez-vous dans des domaines à forte demande comme la cybersécurité, l'éthique de l'IA, la robotique, les soins de santé basés sur l'IA.
Adaptabilité : Soyez ouvert au changement et adaptable aux nouveaux rôles.
État d'esprit de croissance : Relevez les défis et considérez les échecs comme des opportunités de croissance.
Réseautage et collaboration : Créez et entretenez un réseau professionnel.
Entrepreneuriat et innovation : Envisagez des projets entrepreneuriaux utilisant l'IA.
Éthique et impact de l'IA : Découvrez les implications éthiques de l'IA.
Opportunités locales : Concentrez-vous sur la résolution des problèmes locaux avec l'IA.
Politique et plaidoyer : Participez aux discussions sur les politiques et réglementations en matière d'IA.
Le monde connaît actuellement sa quatrième révolution industrielle, une période où la technologie transforme nos vies et nos économies à un rythme sans précédent. Cependant, cette transformation soulève une question cruciale : quel est l'avenir du travail, notamment dans des régions comme le continent africain où prédominent les emplois peu qualifiés et répétitifs ?
La disparition d'emplois n'est pas un phénomène nouveau. Tout au long de l'histoire, des révolutions industrielles passées jusqu'à l'ère numérique, nous avons vu des emplois évoluer et disparaître. Prenons quelques exemples historiques :
Le Spinning Jenny (inventé par James Hargreaves en 1764)
Impact : Ce métier à filer multibroches permettait à un ouvrier de filer plusieurs fils à la fois, augmentant ainsi considérablement la productivité dans l'industrie textile. Cela a entraîné le déplacement de nombreuses fileuses manuelles qui ne pouvaient rivaliser avec l'efficacité de la Spinning Jenny.
La machine à vapeur (améliorée par James Watt à la fin du XVIIIe siècle)
Impact : La machine à vapeur a révolutionné le transport et la fabrication. Cela a conduit au déclin des emplois dans les industries dépendant du travail manuel et de la force animale, comme les ouvriers des canaux et les cochers. Les machines à vapeur réduisaient également le besoin de travail manuel dans divers processus de fabrication.
En Afrique, dans un pays comme le Sénégal, certains se rappellent avec nostalgie des « télécentres », des cabines téléphoniques à plusieurs postes. Ces entreprises autrefois florissantes employaient de nombreuses personnes en permettant à des familles séparées par des kilomètres de rester en contact avant l'avènement des réseaux sociaux. L'arrivée des téléphones mobiles et du « seddo » (un système permettant le transfert de crédit de téléphone à téléphone, permettant aux clients d'acheter du temps d'antenne en petites quantités) a provoqué un brutal déclin des télécentres.
Chaque disparition d'emploi ouvre cependant la voie à de nouvelles opportunités. Par exemple, le déclin des télécentres a entraîné l'essor des cybercafés, nécessitant des compétences en gestion des ordinateurs et des systèmes d'exploitation. Bien que les cybercafés aient presque disparu aujourd'hui, cet exemple illustre adéquatement les défis posés par la quatrième révolution industrielle en Afrique.
Vulnérabilité des emplois en Afrique
En Afrique, plus de 90 % des emplois sont des postes peu ou moyennement qualifiés, ce qui rend le continent particulièrement vulnérable aux progrès de l'IA et de l'automatisation. Pour évaluer si vous êtes un travailleur peu ou moyennement qualifié, voici quelques critères :
Travailleurs peu qualifiés : Peu de formation formelle ou d'expérience spécialisée. Exemples : caissiers, concierges, serveurs, ouvriers, aides à domicile.
Travailleurs moyennement qualifiés : Formation et compétences spécifiques, souvent via des formations techniques ou professionnelles. Exemples : techniciens informatiques, assistants administratifs, électriciens, infirmières auxiliaires, mécaniciens automobiles.
Impact de l'IA
L'IA, ou Intelligence Artificielle, représente un changement fondamental dans notre façon de travailler. Des systèmes informatiques capables d'effectuer des tâches nécessitant habituellement l'intelligence humaine peuvent fonctionner de manière autonome, augmentant ainsi les impacts potentiels sur le marché du travail.
Selon un rapport du Webber Institute of Technology, l'automatisation et la robotique menacent de remplacer les emplois peu qualifiés en Afrique subsaharienne. La demande de main-d'œuvre qualifiée augmente, tandis que le besoin de main-d'œuvre non qualifiée diminue. Le défi est amplifié par le paysage éducatif africain, où de nombreux jeunes n'ont pas accès à une éducation de qualité et aux compétences requises pour le futur marché du travail.
Préparation à la révolution de l'IA
Face à ces défis, comment se préparer à la révolution de l'IA ? Voici quelques pistes :
Apprentissage continu : Suivez des cours en ligne sur des plateformes comme Africourse.com, des camps d'entraînement et obtenez des certifications en IA, science des données, apprentissage automatique.
Compétences humaines : Développez des compétences en pensée critique, résolution de problèmes, créativité, intelligence émotionnelle.
Apprentissage tout au long de la vie : Restez curieux et engagé dans l'apprentissage tout au long de votre carrière.
Éducation STEM : Investissez dans les disciplines des sciences, de la technologie, de l'ingénierie et des mathématiques.
Culture numérique : Maîtrisez les outils et plateformes numériques.
Spécialisation : Identifiez et spécialisez-vous dans des domaines à forte demande comme la cybersécurité, l'éthique de l'IA, la robotique, les soins de santé basés sur l'IA.
Adaptabilité : Soyez ouvert au changement et adaptable aux nouveaux rôles.
État d'esprit de croissance : Relevez les défis et considérez les échecs comme des opportunités de croissance.
Réseautage et collaboration : Créez et entretenez un réseau professionnel.
Entrepreneuriat et innovation : Envisagez des projets entrepreneuriaux utilisant l'IA.
Éthique et impact de l'IA : Découvrez les implications éthiques de l'IA.
Opportunités locales : Concentrez-vous sur la résolution des problèmes locaux avec l'IA.
Politique et plaidoyer : Participez aux discussions sur les politiques et réglementations en matière d'IA.
Un conducteur de transport en commun appelé ‘'Tokpa-Tokpa'' a été interpellé par la police suite à la publication d'une vidéo injurieuse à l'encontre de la police et devenue virale sur les réseaux sociaux.
Un chauffeur de mini bus communément appelé ‘'Tokpa-Tokpa'' a été arrêté à Pahou dans la commune de Ouidah suite à la publication de propos injurieux contre la Police.
La vidéo injurieuse a été diffusée par le conducteur, selon la police, après que celui-ci a été surpris en train de procéder au chargement et déchargement de son véhicule hors des zones autorisées. A la vue de l'équipe de patrouille du commissariat de Pahou, le conducteur a pris la fuite en conduisant son bus dans une ruelle.
« Les agents de la Police républicaine ont alors procédé au retrait de ses documents, l'invitant à se rendre au commissariat ».
La vidéo devenue virale sur les réseaux sociaux n'a pas fait cas de l'infraction à l'origine du retrait des documents du conducteur. Une subversion, a indiqué la police dans une publication en date du 16 août 2024.
Placé en garde-à-vue, le conducteur sera présenté au Procureur dans les prochains jours.
M. M.
Un conducteur de transport en commun appelé ‘'Tokpa-Tokpa'' a été interpellé par la police suite à la publication d'une vidéo injurieuse à l'encontre de la police et devenue virale sur les réseaux sociaux.
Un chauffeur de mini bus communément appelé ‘'Tokpa-Tokpa'' a été arrêté à Pahou dans la commune de Ouidah suite à la publication de propos injurieux contre la Police.
La vidéo injurieuse a été diffusée par le conducteur, selon la police, après que celui-ci a été surpris en train de procéder au chargement et déchargement de son véhicule hors des zones autorisées. A la vue de l'équipe de patrouille du commissariat de Pahou, le conducteur a pris la fuite en conduisant son bus dans une ruelle.
« Les agents de la Police républicaine ont alors procédé au retrait de ses documents, l'invitant à se rendre au commissariat ».
La vidéo devenue virale sur les réseaux sociaux n'a pas fait cas de l'infraction à l'origine du retrait des documents du conducteur. Une subversion, a indiqué la police dans une publication en date du 16 août 2024.
Placé en garde-à-vue, le conducteur sera présenté au Procureur dans les prochains jours.
M. M.
Un douanier et deux informateurs de la douane communément appelés ‘'klébés'' ont été jugés le mercredi 14 août 2024, à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET), dans un dossier relatif à une fausse alerte à la drogue à Porto-Novo. Le ministère public au cours de cette audience, a requis 03 ans de prison contre le douanier et un klébé, et 05 ans contre le second informateur.
En cause dans une fausse alerte à la drogue à Porto-Novo, un douanier et deux klébés ont été jugés à la CRIET le mercredi 14 août 2024. Selon les faits rapportés par Banouto, c'est un informateur de la douane qui a alerté le douanier sur un véhicule transportant des substances illicites en direction de Porto-Novo. Etant loin des indications données par l'information au moment des faits, l'agent de constatation a décidé de joindre un autre informateur le plus "capé" et maîtrisant le terrain dans le département de l'Ouémé et du Plateau. Ce qui, selon le site d'informations, a été fait et conduit à l'interception du véhicule à hauteur de Beaurivage à Porto-Novo, mais sans les produits psychotropes.
A l'audience du mercredi dernier, le ministère public dans ses réquisitions reproche au douanier de s'être laissé emballer par une fausse alerte. Il a demandé à la Cour de retenir le disciple de St Mathieu dans les liens de la prévention et de le condamner à 03 ans de prison assortis de sursis. Ce dernier avait bénéficié entre-temps, d'une liberté provisoire sous caution.
A l'encontre du premier "klébé", le substitut du procureur spécial a requis une condamnation ferme de 03 ans de prison pour « dénonciation calomnieuse ». Il lui est reproché d'avoir jeté du discrédit sur le propriétaire du véhicule. Le second information risque, quant à lui, de passer 05 ans derrière les barreaux. Le ministère public a demandé de le condamner pour « trafic d'influence » pour s'être fait passer pour un proche de l'ancien directeur général des douanes, Alain Hinkati. Les trois prévenus paieront chacun, une amende de 02 millions de francs CFA.
Après les plaidoiries des avocats de la défense, la Cour a renvoyé le dossier au 21 novembre 2024.
F. A. A.
Un douanier et deux informateurs de la douane communément appelés ‘'klébés'' ont été jugés le mercredi 14 août 2024, à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET), dans un dossier relatif à une fausse alerte à la drogue à Porto-Novo. Le ministère public au cours de cette audience, a requis 03 ans de prison contre le douanier et un klébé, et 05 ans contre le second informateur.
En cause dans une fausse alerte à la drogue à Porto-Novo, un douanier et deux klébés ont été jugés à la CRIET le mercredi 14 août 2024. Selon les faits rapportés par Banouto, c'est un informateur de la douane qui a alerté le douanier sur un véhicule transportant des substances illicites en direction de Porto-Novo. Etant loin des indications données par l'information au moment des faits, l'agent de constatation a décidé de joindre un autre informateur le plus "capé" et maîtrisant le terrain dans le département de l'Ouémé et du Plateau. Ce qui, selon le site d'informations, a été fait et conduit à l'interception du véhicule à hauteur de Beaurivage à Porto-Novo, mais sans les produits psychotropes.
A l'audience du mercredi dernier, le ministère public dans ses réquisitions reproche au douanier de s'être laissé emballer par une fausse alerte. Il a demandé à la Cour de retenir le disciple de St Mathieu dans les liens de la prévention et de le condamner à 03 ans de prison assortis de sursis. Ce dernier avait bénéficié entre-temps, d'une liberté provisoire sous caution.
A l'encontre du premier "klébé", le substitut du procureur spécial a requis une condamnation ferme de 03 ans de prison pour « dénonciation calomnieuse ». Il lui est reproché d'avoir jeté du discrédit sur le propriétaire du véhicule. Le second information risque, quant à lui, de passer 05 ans derrière les barreaux. Le ministère public a demandé de le condamner pour « trafic d'influence » pour s'être fait passer pour un proche de l'ancien directeur général des douanes, Alain Hinkati. Les trois prévenus paieront chacun, une amende de 02 millions de francs CFA.
Après les plaidoiries des avocats de la défense, la Cour a renvoyé le dossier au 21 novembre 2024.
F. A. A.
Un douanier et deux informateurs de la douane communément appelés ‘'klébés'' ont été jugés le mercredi 14 août 2024, à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET), dans un dossier relatif à une fausse alerte à la drogue à Porto-Novo. Le ministère public au cours de cette audience, a requis 03 ans de prison contre le douanier et un klébé, et 05 ans contre le second informateur.
En cause dans une fausse alerte à la drogue à Porto-Novo, un douanier et deux klébés ont été jugés à la CRIET le mercredi 14 août 2024. Selon les faits rapportés par Banouto, c'est un informateur de la douane qui a alerté le douanier sur un véhicule transportant des substances illicites en direction de Porto-Novo. Etant loin des indications données par l'information au moment des faits, l'agent de constatation a décidé de joindre un autre informateur le plus "capé" et maîtrisant le terrain dans le département de l'Ouémé et du Plateau. Ce qui, selon le site d'informations, a été fait et conduit à l'interception du véhicule à hauteur de Beaurivage à Porto-Novo, mais sans les produits psychotropes.
A l'audience du mercredi dernier, le ministère public dans ses réquisitions reproche au douanier de s'être laissé emballer par une fausse alerte. Il a demandé à la Cour de retenir le disciple de St Mathieu dans les liens de la prévention et de le condamner à 03 ans de prison assortis de sursis. Ce dernier avait bénéficié entre-temps, d'une liberté provisoire sous caution.
A l'encontre du premier "klébé", le substitut du procureur spécial a requis une condamnation ferme de 03 ans de prison pour « dénonciation calomnieuse ». Il lui est reproché d'avoir jeté du discrédit sur le propriétaire du véhicule. Le second information risque, quant à lui, de passer 05 ans derrière les barreaux. Le ministère public a demandé de le condamner pour « trafic d'influence » pour s'être fait passer pour un proche de l'ancien directeur général des douanes, Alain Hinkati. Les trois prévenus paieront chacun, une amende de 02 millions de francs CFA.
Après les plaidoiries des avocats de la défense, la Cour a renvoyé le dossier au 21 novembre 2024.
F. A. A.
Un douanier et deux informateurs de la douane communément appelés ‘'klébés'' ont été jugés le mercredi 14 août 2024, à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET), dans un dossier relatif à une fausse alerte à la drogue à Porto-Novo. Le ministère public au cours de cette audience, a requis 03 ans de prison contre le douanier et un klébé, et 05 ans contre le second informateur.
En cause dans une fausse alerte à la drogue à Porto-Novo, un douanier et deux klébés ont été jugés à la CRIET le mercredi 14 août 2024. Selon les faits rapportés par Banouto, c'est un informateur de la douane qui a alerté le douanier sur un véhicule transportant des substances illicites en direction de Porto-Novo. Etant loin des indications données par l'information au moment des faits, l'agent de constatation a décidé de joindre un autre informateur le plus "capé" et maîtrisant le terrain dans le département de l'Ouémé et du Plateau. Ce qui, selon le site d'informations, a été fait et conduit à l'interception du véhicule à hauteur de Beaurivage à Porto-Novo, mais sans les produits psychotropes.
A l'audience du mercredi dernier, le ministère public dans ses réquisitions reproche au douanier de s'être laissé emballer par une fausse alerte. Il a demandé à la Cour de retenir le disciple de St Mathieu dans les liens de la prévention et de le condamner à 03 ans de prison assortis de sursis. Ce dernier avait bénéficié entre-temps, d'une liberté provisoire sous caution.
A l'encontre du premier "klébé", le substitut du procureur spécial a requis une condamnation ferme de 03 ans de prison pour « dénonciation calomnieuse ». Il lui est reproché d'avoir jeté du discrédit sur le propriétaire du véhicule. Le second information risque, quant à lui, de passer 05 ans derrière les barreaux. Le ministère public a demandé de le condamner pour « trafic d'influence » pour s'être fait passer pour un proche de l'ancien directeur général des douanes, Alain Hinkati. Les trois prévenus paieront chacun, une amende de 02 millions de francs CFA.
Après les plaidoiries des avocats de la défense, la Cour a renvoyé le dossier au 21 novembre 2024.
F. A. A.
Un douanier et deux informateurs de la douane communément appelés ‘'klébés'' ont été jugés le mercredi 14 août 2024, à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET), dans un dossier relatif à une fausse alerte à la drogue à Porto-Novo. Le ministère public au cours de cette audience, a requis 03 ans de prison contre le douanier et un klébé, et 05 ans contre le second informateur.
En cause dans une fausse alerte à la drogue à Porto-Novo, un douanier et deux klébés ont été jugés à la CRIET le mercredi 14 août 2024. Selon les faits rapportés par Banouto, c'est un informateur de la douane qui a alerté le douanier sur un véhicule transportant des substances illicites en direction de Porto-Novo. Etant loin des indications données par l'information au moment des faits, l'agent de constatation a décidé de joindre un autre informateur le plus "capé" et maîtrisant le terrain dans le département de l'Ouémé et du Plateau. Ce qui, selon le site d'informations, a été fait et conduit à l'interception du véhicule à hauteur de Beaurivage à Porto-Novo, mais sans les produits psychotropes.
A l'audience du mercredi dernier, le ministère public dans ses réquisitions reproche au douanier de s'être laissé emballer par une fausse alerte. Il a demandé à la Cour de retenir le disciple de St Mathieu dans les liens de la prévention et de le condamner à 03 ans de prison assortis de sursis. Ce dernier avait bénéficié entre-temps, d'une liberté provisoire sous caution.
A l'encontre du premier "klébé", le substitut du procureur spécial a requis une condamnation ferme de 03 ans de prison pour « dénonciation calomnieuse ». Il lui est reproché d'avoir jeté du discrédit sur le propriétaire du véhicule. Le second information risque, quant à lui, de passer 05 ans derrière les barreaux. Le ministère public a demandé de le condamner pour « trafic d'influence » pour s'être fait passer pour un proche de l'ancien directeur général des douanes, Alain Hinkati. Les trois prévenus paieront chacun, une amende de 02 millions de francs CFA.
Après les plaidoiries des avocats de la défense, la Cour a renvoyé le dossier au 21 novembre 2024.
F. A. A.
L'Agence Nationale de Gestion des Marchés (ANaGeM), recrute deux (02 ) conducteurs de véhicules administratifs dans le cadre de ses activités. La date limite du dépôt des dossiers est fixée au 23 août 2024.
Lire l'appel à candidatures.
AVIS A CANDIDATURE POUR LE RECRUTEMENT DE DEUX (02) CONDUCTEURS DE VEHICULES ADMINISTRATIFS
CONTEXTE
L'Agence Nationale de Gestion des Marchés (ANaGeM) a été créée pour mettre en œuvre la politique publique de gestion des marchés et équipements marchands.
Dans le cadre de ses activités, l'Agence envisage de recruter deux conducteurs de véhicules administratifs :
DESCRIPTION DU POSTE :
1. PROFIL
– être titulaire d'un permis de conduire catégorie B ;
– maîtriser la conduite aussi bien à Cotonou que sur tous les axes routiers du territoire béninois ;
– avoir une conduite apaisée et respectueuse ;
– disposer d'un moyen de déplacement ;
– être rigoureux, discret, ponctuel, responsable et disponible ;
– Avoir le respect de la hiérarchie ;
– Disposer de références vérifiables ;
– Une expérience en conduite défensive serait un plus.
2.RESPONSABILITES
Sous l'autorité du Directeur de l'Administration et des Finances les intéressés doivent :
– conduire dans le rE ;spect du code de la route et de sécurité les véhicules mis à disposition et les tenir en bon état de propreté ;
– assurer le transport des personnes et des biens en toute sécurité ;
– effectuer le contrôle technique quotidien avant la mise en marche des véhicules ;
– tenir à jour le carnet de bord ;
– contrôler et faire renouveler en temps opportun toutes les formalités administratives (assurance, visite technique, livre de bord, etc .... ) ;
– tenir à jour le registre de déplacement et de maintenance du véhicule ;
– signaler à la hiérarchie toutes anomalies constatées dans l'état de marche du véhicule ;
– aider à la bonne préparation des missions (lettre de mission, carburant etc.)
– exécuter toutes autres tâches en lien avec le poste.
3. QUALIFICATIONS ET APTITUDES
• Education : Peuvent postuler, les candidats ayant un niveau minimum du Brevet d'Etudes du Premier Cycle (BEPC)
• Expérience :
– avoir un minimum de 5 ans d'expériences professionnelles à un poste similaire ;
– bonne connaissance des localités du Bénin.
4. DOSSIER DE CANDIDATURE
Toute personne intéressée est priée de soumettre un dossier de candidature comprenant les pièces suivantes :
1- une copie du permis de conduire ;
2- un curriculum vitae ;
3- une attestation de résidence ;
4- deux photos d'identité ;
5- un casier judiciaire datant de moins de 3 mois ;
6- une copie des attestations et /ou certificats de travail.
Le dossier devra être adressé par courriel uniquement, le tout en un seul fichier
PDF à l'adresse : anagem.recrutement@gouv.bj
DATE LIMITE DE DEPOT DES DOSSIERS : 23 Août 2024.
NB : Seuls les Candidats présélectionnés seront contactés pour Entretien et test pratique.
Eunice LOISEL KINIFFO
Directrice Générale
L'Agence Nationale de Gestion des Marchés (ANaGeM), recrute deux (02 ) conducteurs de véhicules administratifs dans le cadre de ses activités. La date limite du dépôt des dossiers est fixée au 23 août 2024.
Lire l'appel à candidatures.
AVIS A CANDIDATURE POUR LE RECRUTEMENT DE DEUX (02) CONDUCTEURS DE VEHICULES ADMINISTRATIFS
CONTEXTE
L'Agence Nationale de Gestion des Marchés (ANaGeM) a été créée pour mettre en œuvre la politique publique de gestion des marchés et équipements marchands.
Dans le cadre de ses activités, l'Agence envisage de recruter deux conducteurs de véhicules administratifs :
DESCRIPTION DU POSTE :
1. PROFIL
– être titulaire d'un permis de conduire catégorie B ;
– maîtriser la conduite aussi bien à Cotonou que sur tous les axes routiers du territoire béninois ;
– avoir une conduite apaisée et respectueuse ;
– disposer d'un moyen de déplacement ;
– être rigoureux, discret, ponctuel, responsable et disponible ;
– Avoir le respect de la hiérarchie ;
– Disposer de références vérifiables ;
– Une expérience en conduite défensive serait un plus.
2.RESPONSABILITES
Sous l'autorité du Directeur de l'Administration et des Finances les intéressés doivent :
– conduire dans le rE ;spect du code de la route et de sécurité les véhicules mis à disposition et les tenir en bon état de propreté ;
– assurer le transport des personnes et des biens en toute sécurité ;
– effectuer le contrôle technique quotidien avant la mise en marche des véhicules ;
– tenir à jour le carnet de bord ;
– contrôler et faire renouveler en temps opportun toutes les formalités administratives (assurance, visite technique, livre de bord, etc .... ) ;
– tenir à jour le registre de déplacement et de maintenance du véhicule ;
– signaler à la hiérarchie toutes anomalies constatées dans l'état de marche du véhicule ;
– aider à la bonne préparation des missions (lettre de mission, carburant etc.)
– exécuter toutes autres tâches en lien avec le poste.
3. QUALIFICATIONS ET APTITUDES
• Education : Peuvent postuler, les candidats ayant un niveau minimum du Brevet d'Etudes du Premier Cycle (BEPC)
• Expérience :
– avoir un minimum de 5 ans d'expériences professionnelles à un poste similaire ;
– bonne connaissance des localités du Bénin.
4. DOSSIER DE CANDIDATURE
Toute personne intéressée est priée de soumettre un dossier de candidature comprenant les pièces suivantes :
1- une copie du permis de conduire ;
2- un curriculum vitae ;
3- une attestation de résidence ;
4- deux photos d'identité ;
5- un casier judiciaire datant de moins de 3 mois ;
6- une copie des attestations et /ou certificats de travail.
Le dossier devra être adressé par courriel uniquement, le tout en un seul fichier
PDF à l'adresse : anagem.recrutement@gouv.bj
DATE LIMITE DE DEPOT DES DOSSIERS : 23 Août 2024.
NB : Seuls les Candidats présélectionnés seront contactés pour Entretien et test pratique.
Eunice LOISEL KINIFFO
Directrice Générale
L'Agence Nationale de Gestion des Marchés (ANaGeM), recrute deux (02 ) conducteurs de véhicules administratifs dans le cadre de ses activités. La date limite du dépôt des dossiers est fixée au 23 août 2024.
Lire l'appel à candidatures.
AVIS A CANDIDATURE POUR LE RECRUTEMENT DE DEUX (02) CONDUCTEURS DE VEHICULES ADMINISTRATIFS
CONTEXTE
L'Agence Nationale de Gestion des Marchés (ANaGeM) a été créée pour mettre en œuvre la politique publique de gestion des marchés et équipements marchands.
Dans le cadre de ses activités, l'Agence envisage de recruter deux conducteurs de véhicules administratifs :
DESCRIPTION DU POSTE :
1. PROFIL
– être titulaire d'un permis de conduire catégorie B ;
– maîtriser la conduite aussi bien à Cotonou que sur tous les axes routiers du territoire béninois ;
– avoir une conduite apaisée et respectueuse ;
– disposer d'un moyen de déplacement ;
– être rigoureux, discret, ponctuel, responsable et disponible ;
– Avoir le respect de la hiérarchie ;
– Disposer de références vérifiables ;
– Une expérience en conduite défensive serait un plus.
2.RESPONSABILITES
Sous l'autorité du Directeur de l'Administration et des Finances les intéressés doivent :
– conduire dans le rE ;spect du code de la route et de sécurité les véhicules mis à disposition et les tenir en bon état de propreté ;
– assurer le transport des personnes et des biens en toute sécurité ;
– effectuer le contrôle technique quotidien avant la mise en marche des véhicules ;
– tenir à jour le carnet de bord ;
– contrôler et faire renouveler en temps opportun toutes les formalités administratives (assurance, visite technique, livre de bord, etc .... ) ;
– tenir à jour le registre de déplacement et de maintenance du véhicule ;
– signaler à la hiérarchie toutes anomalies constatées dans l'état de marche du véhicule ;
– aider à la bonne préparation des missions (lettre de mission, carburant etc.)
– exécuter toutes autres tâches en lien avec le poste.
3. QUALIFICATIONS ET APTITUDES
• Education : Peuvent postuler, les candidats ayant un niveau minimum du Brevet d'Etudes du Premier Cycle (BEPC)
• Expérience :
– avoir un minimum de 5 ans d'expériences professionnelles à un poste similaire ;
– bonne connaissance des localités du Bénin.
4. DOSSIER DE CANDIDATURE
Toute personne intéressée est priée de soumettre un dossier de candidature comprenant les pièces suivantes :
1- une copie du permis de conduire ;
2- un curriculum vitae ;
3- une attestation de résidence ;
4- deux photos d'identité ;
5- un casier judiciaire datant de moins de 3 mois ;
6- une copie des attestations et /ou certificats de travail.
Le dossier devra être adressé par courriel uniquement, le tout en un seul fichier
PDF à l'adresse : anagem.recrutement@gouv.bj
DATE LIMITE DE DEPOT DES DOSSIERS : 23 Août 2024.
NB : Seuls les Candidats présélectionnés seront contactés pour Entretien et test pratique.
Eunice LOISEL KINIFFO
Directrice Générale
L'Agence Nationale de Gestion des Marchés (ANaGeM), recrute deux (02 ) conducteurs de véhicules administratifs dans le cadre de ses activités. La date limite du dépôt des dossiers est fixée au 23 août 2024.
Lire l'appel à candidatures.
AVIS A CANDIDATURE POUR LE RECRUTEMENT DE DEUX (02) CONDUCTEURS DE VEHICULES ADMINISTRATIFS
CONTEXTE
L'Agence Nationale de Gestion des Marchés (ANaGeM) a été créée pour mettre en œuvre la politique publique de gestion des marchés et équipements marchands.
Dans le cadre de ses activités, l'Agence envisage de recruter deux conducteurs de véhicules administratifs :
DESCRIPTION DU POSTE :
1. PROFIL
– être titulaire d'un permis de conduire catégorie B ;
– maîtriser la conduite aussi bien à Cotonou que sur tous les axes routiers du territoire béninois ;
– avoir une conduite apaisée et respectueuse ;
– disposer d'un moyen de déplacement ;
– être rigoureux, discret, ponctuel, responsable et disponible ;
– Avoir le respect de la hiérarchie ;
– Disposer de références vérifiables ;
– Une expérience en conduite défensive serait un plus.
2.RESPONSABILITES
Sous l'autorité du Directeur de l'Administration et des Finances les intéressés doivent :
– conduire dans le rE ;spect du code de la route et de sécurité les véhicules mis à disposition et les tenir en bon état de propreté ;
– assurer le transport des personnes et des biens en toute sécurité ;
– effectuer le contrôle technique quotidien avant la mise en marche des véhicules ;
– tenir à jour le carnet de bord ;
– contrôler et faire renouveler en temps opportun toutes les formalités administratives (assurance, visite technique, livre de bord, etc .... ) ;
– tenir à jour le registre de déplacement et de maintenance du véhicule ;
– signaler à la hiérarchie toutes anomalies constatées dans l'état de marche du véhicule ;
– aider à la bonne préparation des missions (lettre de mission, carburant etc.)
– exécuter toutes autres tâches en lien avec le poste.
3. QUALIFICATIONS ET APTITUDES
• Education : Peuvent postuler, les candidats ayant un niveau minimum du Brevet d'Etudes du Premier Cycle (BEPC)
• Expérience :
– avoir un minimum de 5 ans d'expériences professionnelles à un poste similaire ;
– bonne connaissance des localités du Bénin.
4. DOSSIER DE CANDIDATURE
Toute personne intéressée est priée de soumettre un dossier de candidature comprenant les pièces suivantes :
1- une copie du permis de conduire ;
2- un curriculum vitae ;
3- une attestation de résidence ;
4- deux photos d'identité ;
5- un casier judiciaire datant de moins de 3 mois ;
6- une copie des attestations et /ou certificats de travail.
Le dossier devra être adressé par courriel uniquement, le tout en un seul fichier
PDF à l'adresse : anagem.recrutement@gouv.bj
DATE LIMITE DE DEPOT DES DOSSIERS : 23 Août 2024.
NB : Seuls les Candidats présélectionnés seront contactés pour Entretien et test pratique.
Eunice LOISEL KINIFFO
Directrice Générale
Le ministère des affaires sociales et de la microfinance a réagi à la polémique selon laquelle 40 enfants prédestinés aux sacrifices humains auraient été retrouvés à Djèrègbé, localité située dans la commune de Sèmè-Kpodji, département de l'Ouémé.
Fausse alerte. Il n'y a pas d'enfants actuellement en danger à Sèmè-Kpodji. L'information relative à la découverte de 40 enfants prédestinés aux sacrifices humains à Djèrègbé, n'est pas vérifiée. Le ministère des affaires sociales et de la microfinance, aussitôt informé, a alerté la direction départementale des affaires sociales de l'Ouémé. Des retours faits au ministère selon une publication du Point focal communication, révèlent qu'il n'y a pas d'enfants en danger dans la commune. « Il s'agit plutôt d'une opération de la police qui a permis d'interpeller des personnes suspectes », lit-on dans la note.
Après avoir rassuré l'opinion publique de ce que ses services travaillent de jour comme de nuit pour une meilleure protection des enfants au Bénin, le ministère des affaires sociales et de la microfinance invite toute personne témoin ou informée de cas de violence faite à un enfant à appeler gratuitement le numéro 138, la ligne verte pour dénoncer.
Le ministère des affaires sociales et de la microfinance a réagi à la polémique selon laquelle 40 enfants prédestinés aux sacrifices humains auraient été retrouvés à Djèrègbé, localité située dans la commune de Sèmè-Kpodji, département de l'Ouémé.
Fausse alerte. Il n'y a pas d'enfants actuellement en danger à Sèmè-Kpodji. L'information relative à la découverte de 40 enfants prédestinés aux sacrifices humains à Djèrègbé, n'est pas vérifiée. Le ministère des affaires sociales et de la microfinance, aussitôt informé, a alerté la direction départementale des affaires sociales de l'Ouémé. Des retours faits au ministère selon une publication du Point focal communication, révèlent qu'il n'y a pas d'enfants en danger dans la commune. « Il s'agit plutôt d'une opération de la police qui a permis d'interpeller des personnes suspectes », lit-on dans la note.
Après avoir rassuré l'opinion publique de ce que ses services travaillent de jour comme de nuit pour une meilleure protection des enfants au Bénin, le ministère des affaires sociales et de la microfinance invite toute personne témoin ou informée de cas de violence faite à un enfant à appeler gratuitement le numéro 138, la ligne verte pour dénoncer.
Le ministère des affaires sociales et de la microfinance a réagi à la polémique selon laquelle 40 enfants prédestinés aux sacrifices humains auraient été retrouvés à Djèrègbé, localité située dans la commune de Sèmè-Kpodji, département de l'Ouémé.
Fausse alerte. Il n'y a pas d'enfants actuellement en danger à Sèmè-Kpodji. L'information relative à la découverte de 40 enfants prédestinés aux sacrifices humains à Djèrègbé, n'est pas vérifiée. Le ministère des affaires sociales et de la microfinance, aussitôt informé, a alerté la direction départementale des affaires sociales de l'Ouémé. Des retours faits au ministère selon une publication du Point focal communication, révèlent qu'il n'y a pas d'enfants en danger dans la commune. « Il s'agit plutôt d'une opération de la police qui a permis d'interpeller des personnes suspectes », lit-on dans la note.
Après avoir rassuré l'opinion publique de ce que ses services travaillent de jour comme de nuit pour une meilleure protection des enfants au Bénin, le ministère des affaires sociales et de la microfinance invite toute personne témoin ou informée de cas de violence faite à un enfant à appeler gratuitement le numéro 138, la ligne verte pour dénoncer.
Le ministère des affaires sociales et de la microfinance a réagi à la polémique selon laquelle 40 enfants prédestinés aux sacrifices humains auraient été retrouvés à Djèrègbé, localité située dans la commune de Sèmè-Kpodji, département de l'Ouémé.
Fausse alerte. Il n'y a pas d'enfants actuellement en danger à Sèmè-Kpodji. L'information relative à la découverte de 40 enfants prédestinés aux sacrifices humains à Djèrègbé, n'est pas vérifiée. Le ministère des affaires sociales et de la microfinance, aussitôt informé, a alerté la direction départementale des affaires sociales de l'Ouémé. Des retours faits au ministère selon une publication du Point focal communication, révèlent qu'il n'y a pas d'enfants en danger dans la commune. « Il s'agit plutôt d'une opération de la police qui a permis d'interpeller des personnes suspectes », lit-on dans la note.
Après avoir rassuré l'opinion publique de ce que ses services travaillent de jour comme de nuit pour une meilleure protection des enfants au Bénin, le ministère des affaires sociales et de la microfinance invite toute personne témoin ou informée de cas de violence faite à un enfant à appeler gratuitement le numéro 138, la ligne verte pour dénoncer.
Le ministère des affaires sociales et de la microfinance a réagi à la polémique selon laquelle 40 enfants prédestinés aux sacrifices humains auraient été retrouvés à Djèrègbé, localité située dans la commune de Sèmè-Kpodji, département de l'Ouémé.
Fausse alerte. Il n'y a pas d'enfants actuellement en danger à Sèmè-Kpodji. L'information relative à la découverte de 40 enfants prédestinés aux sacrifices humains à Djèrègbé, n'est pas vérifiée. Le ministère des affaires sociales et de la microfinance, aussitôt informé, a alerté la direction départementale des affaires sociales de l'Ouémé. Des retours faits au ministère selon une publication du Point focal communication, révèlent qu'il n'y a pas d'enfants en danger dans la commune. « Il s'agit plutôt d'une opération de la police qui a permis d'interpeller des personnes suspectes », lit-on dans la note.
Après avoir rassuré l'opinion publique de ce que ses services travaillent de jour comme de nuit pour une meilleure protection des enfants au Bénin, le ministère des affaires sociales et de la microfinance invite toute personne témoin ou informée de cas de violence faite à un enfant à appeler gratuitement le numéro 138, la ligne verte pour dénoncer.
La diva de la musique béninoise, Angélique Kidjo sera en concert au légendaire Carnegie Hall à New York. L'évènement organisé dans le cadre de ses 40 ans de carrière aura lieu le 02 novembre 2024.
Un géant concert pour célébrer les 40 ans de carrière de Angélique Kidjo. L'évènement prévu pour le 02 novembre 2024, aura lieu au légendaire Carnegie Hall à New York aux États-Unis. Les billets sont déjà disponibles et peuvent être achetés en ligne via le lien suivant : https://www.carnegiehall.org/calendar/2024/11/02/angelique-kidjo-0800pm.
Angélique Kidjo est une grande figure de la musique béninoise, très connue sur la scène internationale. Toute sa carrière durant, elle a su s'imposer à travers une variété musicale allant du funk au jazz, l'afrobeat et la musique latine. Une riche variété qui lui a valu plusieurs distinctions, notamment les Grammy Awards.
F. A. A.