Le nouveau tribunal de première instance de deuxième classe de Comè a été inauguré le vendredi 12 février 2021.
Le tribunal de première instance de deuxième classe de Comè est désormais mis en service. Monsieur Fortunato Kadjegbin est le président du tribunal de Comè.
Le Conseil des ministres du 30 septembre dernier a décidé de la création de trois nouveaux tribunaux de première instance à Malanville, Dassa-Zoumè et Comè.
Les tribunaux de Dassa Zoumè et de Malanville seront inaugurés dans les prochains jours.
A.A.A
Découverte macabre ce dimanche 14 février 2021 au quartier Arafat à Parakou. Le corps d'un étudiant de 26 ans a été repêché d'un puits de 10 mètres de profondeur.
Étudiant en 6e année de médecine à l'Université de Parakou, le jeune homme selon les informations de Frissons Radio souffrait de dépression. Il a été retrouvé dans un puits 72 heures après sa disparition. Son corps était déjà en état de putréfaction. « L'étudiant aurait profité de l'absence de sa mère pour se jeter dans le puits », informe la même source. Il aurait déjà tenté de se suicider. Après les constats de la police, son corps a été remis à sa famille pour inhumation.
A.A.A
Joël Atayi Guèdègbé était l'un des invités de l'émission ‘' 90 minutes pour convaincre'' de la chaîne nationale (Ortb) de ce dimanche 14 février 2021. L'expert en gouvernance et président de l'association ‘' Nouvelle éthique'' a opiné sur les questions brûlantes de l'actualité dont le système de parrainage de candidature qui suscite des vagues de réactions dans l'opinion publique au lendemain de la sélection des dossiers de candidature à la présidentielle. Dans son intervention, l'acteur de la société civile a décrié la CENA sur sa méthode de sécurisation des formulaires de parrainage.
« La CENA a essayé d'apporter son grain de sel, moi je l'ai souvent critiquée sur le fait qu'au-delà de la sécurisation du formulaire, elle n'avait pas à décider de l'anonymat du parrainage », a fustigé Joël Atayi Guèdègbé. L'expert en gouvernance trouve que l'institution chargée d'organiser les élections aurait mieux réussi son travail en permettant aux élus de parrainer les candidats de leur choix en toute liberté et transparence. Il évoque le cas du député Ahmed Tidjani de la 8ème circonscription électorale qui dénonce la confiscation de son parrainage. « Certains députés commencent par revendiquer ouvertement ne pas révéler qui ils ont parrainé, donc la CENA s'est fourvoyée de ce côté-là », affirme M. Atayi Guèdègbé, condamnant quelques bases du dialogue politique organisé par le Chef de l'État en 2019.
L'acteur de la société civile note que le dialogue national de 2019 qui a débouché sur la révision de la loi fondamentale est une occasion d'unité nationale ratée par le pouvoir Talon puisqu'il n'a pas réuni toutes les forces vives de la nation qui doivent décider à l'unanimité des réformes politiques. « Nous avons manqué une occasion de dialoguer et cela nous rattrape de toute façon aujourd'hui », a-t-il conclu.
Boniface CAKPO
Le conseil communal et le personnel de la mairie de Malanville sont en deuil. Un accident survenu vendredi 12 février 2021 sur l'axe routier N'Dali-Parakou à la hauteur de Banhounkpo a coûté la vie à Ibrahim Godji, un ancien Chef Services Techniques (CST) de la mairie de Malanville.
M. M.
La candidature du duo du parti Les Démocrates à l'élection présidentielle d'avril prochain a été rejetée par la Commission électorale nationale autonome (CENA). Invité à se prononcer sur la situation, le président de la commission de désignation de candidats du parti, Eugène Azatassou a donné son avis ce dimanche 14 février 2021 sur l'émission Grand angle de cristal News.
Selon Eugène Azatassou, étant donné que les décisions de la Cour africaine des droits de l'homme et des peuples (CADHP) n'ont pas été respectées, il fallait néanmoins se conformer aux textes en vigueur dans le pays, et dans la mesure des possibilités. Raison pour laquelle, Les Démocrates en dépit de tout, ont quand même déposé leur dossier de candidature.
A l'en croire, la formation politique opposée au régime du président Patrice Talon a procédé ainsi afin que le peuple sache que si Les Démocrates n'ont pas pris part à l'élection, que ce n'est pas de leur faute.
Bien qu'ils ne soient pas en accord avec la législature en place ainsi que les lois qu'elle a votées, Eugène Azatassou reconnaît que Les Démocrates ne pouvaient se tailler leur propre législature, et il fallait se conformer aux textes dans la mesure des possibilités.
Comme plusieurs autres candidats à l'élection présidentielle, le dossier du duo des Démocrates constitué de Reckya Madougou et Patrick Djivo a été rejeté du fait des insuffisances relevées par l'institution en charge de l'organisation des élections au Bénin.
Sur les 20 déclarations de candidature, seules trois ont été retenues. Il s'agit des duos Alassane Soumanou Djemba-Paul Hounkpè, Patrice Talon-Mariam Chabi Tatala Zimé, et Corentin Kohoué-Irénée Josias Agossa.
F. A. A.
La candidature du duo du parti Les Démocrates à l'élection présidentielle d'avril prochain a été rejetée par la Commission électorale nationale autonome (CENA). Invité à se prononcer sur la situation, le président de la commission de désignation de candidats du parti, Eugène Azatassou a donné son avis ce dimanche 14 février 2021 sur l'émission Grand angle de cristal News.
Selon Eugène Azatassou, étant donné que les décisions de la Cour africaine des droits de l'homme et des peuples (CADHP) n'ont pas été respectées, il fallait néanmoins se conformer aux textes en vigueur dans le pays, et dans la mesure des possibilités. Raison pour laquelle, Les Démocrates en dépit de tout, ont quand même déposé leur dossier de candidature.
A l'en croire, la formation politique opposée au régime du président Patrice Talon a procédé ainsi afin que le peuple sache que si Les Démocrates n'ont pas pris part à l'élection, que ce n'est pas de leur faute.
Bien qu'ils ne soient pas en accord avec la législature en place ainsi que les lois qu'elle a votées, Eugène Azatassou reconnaît que Les Démocrates ne pouvaient se tailler leur propre législature, et il fallait se conformer aux textes dans la mesure des possibilités.
Comme plusieurs autres candidats à l'élection présidentielle, le dossier du duo des Démocrates constitué de Reckya Madougou et Patrick Djivo a été rejeté du fait des insuffisances relevées par l'institution en charge de l'organisation des élections au Bénin.
Sur les 20 déclarations de candidature, seules trois ont été retenues. Il s'agit des duos Alassane Soumanou Djemba-Paul Hounkpè, Patrice Talon-Mariam Chabi Tatala Zimé, et Corentin Kohoué-Irénée Josias Agossa.
F. A. A.
Familles, amis et collègues ont rendu un hommage ce samedi 13 février 2021 au défunt Me Marcellin Zossoungbo, président de la Chambre nationale des Huissiers de justice du Bénin. La cérémonie a eu lieu au tribunal de Cotonou en présence du Président de la Cour constitutionnelle, Professeur Joseph Djogbénou.
Me Marcellin Zossoungbo est passé de vie à trépas le dimanche 31 janvier 2021. A la cérémonie d'hommage, le Président de la Cour constitutionnelle Djogbénou a au nom des Institutions de la République, présenté les condoléances aux familles du défunt et au monde judiciaire.
« Je rends hommage à un ami, un frère, à un compagnon. C'est un adieu rempli d'espérance. Son départ nous presse de vivre », affirme M.Djogbénou. Ce dernier garde un bon souvenir de Me Zossoungbo.
Spécialisé dans la rédaction, la signification et la notification des actes extrajudiciaires, Me Zossoungbo est décédé à l'âge de 52 ans. Il laisse derrière lui, une veuve et des enfants.
Invité ce dimanche 14 février sur l'émission 90 minutes pour convaincre de la radio nationale, Agapit Napoléon Maforikan, consultant média et expert électoral s'est prononcé sur les réactions après l'agression de Ganiou Soglo.
« Ça me rappelle l'agression du président de l'Ong Alcreer Martin Assogba. C'est la même chose aussi, il a reçu des balles. On a accusé le régime de l'époque. Lui-même il n'a pas été tendre avec le régime. Donc pour moi, c'est de bonne guerre que les gens se mettent à faire d'amalgame », a déclaré M. Maforikan.
Certes poursuit-il c'est déplorable, mais il faudrait pas qu'on fasse d'amalgame parce que l'agression a eu lieu dans une période où il était un potentiel candidat à l'élection présidentielle de 2021.
« Je ne vois pas en quoi, il dérange quelqu'un et d'ailleurs sa candidature ne devrait pas être validée et ne l'a pas été », affirme l'expert électoral.
Pour lui, Ganiou Soglo « ne représente aucune menace ». « Depuis 05 ans, il n'a jamais pris une position sérieuse dans le débat public. Alors est-ce que cette candidature gêne. ? (...) Je ne vois pas en quoi un pouvoir peut se pourvoir au point d'aller tirer dans les pattes d'un candidat qui ne sert pas à grande-chose. C'est un candidat libre », ajoute-t-il.
Selon lui, les pouvoirs publics ont joué leur partition jusqu'à son évacuation. « Tout a été fait dans les règles de l'art. Il faudrait que les enquêtes soient faites pour qu'on sache qui est derrière ce coup », a conclu M.Maforikan.
A.A.A
Dans le cadre de l'allègement des mesures fiscales à l'endroit des entreprises, le Conseil national du patronat de la presse et de l'audiovisuel (CNPA), a obtenu de la Direction Générale des Impôts, une dispensation pour les entreprises de presse de l'achat des Machines Electroniques certifiées de facturation (MECeF). Selon le communiqué rendu public, 13 février 2021, les entreprises de presse « sont alors autorisées à utiliser la version dématérialisée ou la version en ligne des MECeF sur www.impots.finances.gouv.bj/ ».
M. M.
Le débat que suscite la liste provisoire des candidats (03) retenus dans le cadre de l'élection présidentielle n'est pas au goût de Céphise Béo Aguiar. Invité sur ‘'Zone Franche'', dimanche 14 février 2021, le secrétaire général du Mouvement des Elites Engagées pour l'Emancipation du Bénin (Moele-Bénin) a donné sa lecture.
Selon le secrétaire général du parti Moele-Bénin, dire que des partis ou personnalités ont été empêchés de participer à l'élection présidentielle prochaine, n'est pas une affirmation fondée. Il en veut pour preuve le camp politique auquel appartient une partie des duos retenus par la Commission Electorale Autonome (CENA) après l'étude des dossiers de candidature. « 2 duos des 3 qui sont en lice régulièrement proviennent de l'opposition. Le processus est bel et bien inclusif », a martelé Céphise Béo Aguiar. A en croire le secrétaire général du parti Moele-Bénin, les partis qui ont été recalés ne font face qu'à des difficultés liées à l'application de la loi. « Les élections constituent un test pour éprouver la loi et, au besoin, on l'améliore », a-t-il ajouté avant de préciser que le parti Moele-Bénin a eu les mêmes difficultés en 2019 lors des élections communales. Pour lui, on ne saurait sur la base de ces difficultés, demander l'arrêt du processus.
En ce qui concerne la polémique liée au supposé verrouillage des parrainages, M. Béo Aguiar a indiqué : « le débat qui est fait ne se ferait pas pas fait s'ils (NDLR, parti politiques d'opposition) avaient participé au processus, ils auront eus des élus. Ils ne seraient pas obligés de marchander des parrainages ».
M. M.
La Commission Electorale Nationale Autonome (CENA) a délibéré ce vendredi 12/02/2021 à la suite du dépôt de dossiers de candidature à la présidentielle du 11 Avril 2021.
À l'issue de ladite délibération, trois (03) duos ont été provisoirement retenus. La question du parrainage détenu exclusivement par les deux partis du pouvoir, a dicté sa loi, au mépris des règles démocratiques et de la cohésion sociale.
Nous sommes au regret de constater malheureusement que l'exclusion, la vengeance, et les règlements de comptes sans fin, entre deux hommes, voire un troisième se prolongent encore dans les institutions de la République, semant ainsi des germes de contestations et de violences politiques à l'issue incertaine.
Prenant acte de la délibération, nous exhortons le peuple à la sérénité.
Face à l'impasse, nous pouvons nous permettre de vous dire que l'espoir est permis. Le plus fort selon *Jean-Jacques* *ROUSSEAU,* n'est assez fort pour être toujours le maître, s'il ne transforme sa force en droit et l'obéissance en devoir. De là, le droit du plus fort, droit ironiquement pris en apparence est réellement établi en principe. En quoi, il n'est pas vraisemblable que tous se trompent. Retenons que droit ne fait pas force et qu' il ne faut obéir aux puissances légitimes sommes nous tentés de dire.
Mais fidèle à notre doctrine de Paix, de Rassemblement, de Réconciliation et d'Unité Nationale, nous lançons un appel au Président de la République, garant de la paix, de la cohésion sociale et de l'unité nationale. Nous lançons également un appel à toutes les forces du progrès pour l' adoption d'une stratégie de retour à nos fondamentaux. Pour se faire, une intélligence politique, politiquement bien affinée, et l'union sacrée seront les atouts indispensables pour sauver notre patrie commune.
Nous lançons enfin, un appel à nos différents soutiens, cellules et mouvements sur toute l'étendue du territoire national, de rester en alerte maximum, et que toutes les structures constituées pour porter la vision *YED* *2021* seront consultées avant la prise d'une décision.
Vive le Bénin.
Vive la Démocratie au service du peuple.
Cotonou, le Samedi 13/02/2021.
*Yannick Emmanuel* *DOSSOU -*
*Flora Carine TIANDO*
Candidats retenus à l'élection présidentielle du 11 avril 2021, respectivement au poste de Président de la République et de vice Président, le duo Corentin Kohoué-Irénée Agossa proposent un mandat de transition d'une durée de deux (02) ans. Le duo de l'opposition l'a fait savoir, samedi 13 février 2021, à l'Université d'Abomey-Calavi (Uac).
‹‹ (...) nous ferons de notre mandat, un mandat de transition. Au cours de cette transition, nous allons rétablir les lois, réviser la Constitution par voie référendaire. Le peuple va pouvoir choisir le contrat qui le lie aux institutions. Et sur la base des nouvelles lois, nous allons pouvoir réélire les députés avec le retour de tous les exilés politiques et la libération de tous les prisonniers politiques. Nous allons restaurer la confiance en notre sein en initiant un dialogue de vérité››, a expliqué Irénée Agossa. Le duo s'engage à démissionner après la transition deux ans.
M. M.
Les résultats de l'examen de Licence 2020 sont proclamés. Ils peuvent être consultés à l'adresse : https://eresultats.bj/consulter/licence-2020
Dans une interview accordée à BM TV, le député Dakpè Sossou s'est prononcé sur la candidature de Reckya Madougou à la présidentielle de 2021.
Le député Dakpè Sossou fait une analyse de la candidature de l'ancienne ministre à la présidentielle de 2021 en rapport avec sa beauté. Pour lui, Reckya Madougou à la tête d'un pays peut créer des problèmes au Bénin en raison de sa beauté. « C'est une très belle femme qui aurait dû ne pas s'immiscer dans ces affaires », a-t-il déclaré.
« Quand elle est arrivée au sein du parti ‘'Les Démocrates'', vous avez vu, tout ce qui a tourné autour d'elle ? Tel se lève il dit je serai son colistier, d'autres disent non, elle sera notre présidente. La femme même qui fait l'objet de tout ça, de tous ces protocoles quand elle sera à la tête du pays, qu'est-ce qui va se passer », s'interroge l'honorable Dakpè Sossou.
Selon lui, une belle femme « comme ça, c'est comme on le dit, des réserves minières d'un pays ». « Si vous la considérez comme une mine d'or, une très belle femme, inégalable, charmante à la tête d'un pays, je ne pense pas que vous avez la paix comme nous en avons actuellement au Bénin », a-t-il déclaré.
Reckya Madougou est le choix du parti ‘'Les Démocrates'' pour la présidentielle de 2021. Le parti a déposé son dossier sans parrains. Au terme de la phase d'étude des dossiers par la CENA, dix-sept candidatures ont été recalées dont celle du parti ‘'Les Démocrates'' (Duo Reckya Madougou-Patrick Djivo).
A.A.A
Dans la commune de Kandi, 2 élus locaux croupissent en prison depuis mercredi 10 février 2021. Le Chef d'arrondissement de Donwari et le Chef village de Gambanè sont inculpés pour usurpation de fonction et extorsion de fonds.
Les faits remontent à une bagarre entre deux individus du village de Gambanè. Bagarre au cours de laquelle l'un des protagonistes s'est blessé. Sur instruction du CA, le Chef de village a ordonné la prise en charge des soins du blessé et le paiement d'une amende. C'est dans le bureau du Chef d'arrondissement que l'amende a été versée contre décharge dûment signée par les parents du mis en cause.
Les deux prévenus ont été présentés au procureur avant d'être déposés à la prison.
M. M.
Peu après la publication de la liste provisoire de duos retenus par la Commission électorale nationale autonome (CENA) pour la présidentielle d'avril prochain, le candidat Joël Aïvo a réagi à travers une publication sur sa page Facebook dans la soirée de ce vendredi 12 février.
Pour le constitutionnaliste, candidat du parti du Front pour la restauration de la démocratie (FRD), c'est un défi. Le pays à en croire Joël Aïvo dispose « de ressources démocratiques pour relever ce défi qui vient de lui être lancé ».
Selon lui, le pouvoir en place n'a voulu prendre aucun risque à l'occasion de cette élection. « Il a choisi de sélectionner ses adversaires parmi ses alliés et refusé la compétition aux candidats capables de le battre dans les urnes ».
La CENA a publié dans la soirée de ce vendredi la liste provisoire de candidats pour l'élection présidentielle du 11 avril prochain. Le dossier de Joël Aïvo figure parmi les 17 candidatures rejetées par la CENA. 08 insuffisances ont été relevées dans ces différents dossiers. Trois duos de candidatures ont été sélectionnés par la CENA.
F. A. A.