Sous le leadership du président Adrien Houngbédji, les militants du Parti du Renouveau Démocratique (PRD) ont lancé la campagne électorale ce samedi 27 mars 2021 à Porto-Novo.
Grande mobilisation des militants du PRD pour la victoire du duo Talon-Talata. La caravane entamée au siège du parti PRD a pris fin au portail du président Adrien Houngbédji. Tous les militants de l'Ouémé ont répondu à l'appel. Ils ont parcouru tous les quartiers des communes de l'Ouémé.
Heureux de constater la forte mobilisation des militants, le président Adrien Houngbédji demande à tous les citoyens de l'Ouémé de voter pour le duo Talon-Talata pour un KO au soir du 11 avril.
A.A.A
Dans le cadre de la campagne à l'élection présidentielle du 11 avril, plusieurs artistes de la musique béninoise ont égayé, samedi 27 mars 2021, les jeunes, au siège national de l'Union Démocratique pour un Bénin Nouveau (UDBN) de l'He Claudine Afiavia Prudencio. L'objectif est de remobiliser les militants et militantes du parti pour le KO du duo Talon-Talata à l'issue du scrutin. Les ambassadeurs du Bénin près la Chine Pierre Adovelande et du Bénin près le Japon Makarimi Adéchoubou ont honoré de leur présence ce premier concert gratuit offert la jeunesse.
Le concert démarré dans l'après-midi de ce samedi s'est poursuivi jusque dans la nuit. Une dizaine d'artistes tels que Nikanor, le chanteur adulé des jeunes, Laurent Hounsavi, le salsero béninois, Paco Kinos, Pamchito, Don Amos, l'orchestre B52, et autres ont tenu le piblic en haleine pendant plusieurs heures. Les spectateurs ont bougé leurs fanions à l'effigie du duo Talon-Talata sur des chansons composées à l'honneur du duo. Selon la présidente de l'UDBN Claudine Afiavi Prudencio, les artistes vont animer le siège tous les soirs jusqu'au 9 avril prochain. « Le chef de l'État compte énormément sur la jeunesse et la jeunesse aime danser. La jeunesse aime le spectacle, le concert. Raison pour laquelle l'UDBN a pris cette décision », a expliqué la présidente du parti. « Au-delà du concert, c'est surtout la fête qu'a annoncée le président Patrice Talon, la fête de la démocratie qui a démarré (...). C'est le démarrage des préparatifs du deuxième mandat qui va dérouler le programme d'actions du gouvernement », a indiqué Pierre Adovelande, ambassadeur du Bénin près la Chine qui était l'un des invités d'honneur de l'UDBN.
Maintenir la dynamique
« Le lion s'est réveillé avec le premier mandat et lors du deuxième mandat, le lion va rugir. Ensemble levons-nous, le 11 avril 2021, pour pouvoir porter le lion afin que le rugissement puisse aller dans les quatre coins du pays », a exhorté Pierre Adovelande.
Pour Makarimi Adéchoubou, ambassadeur du Bénin près le Japon, le président Patrice Talon mérite un second mandat compte tenu des transformations économiques qu'il a opérées. Le soutien n'est pas à marchander et l'UDBN s'active en conséquence pour que le KO en faveur du duo Talon-Talata soit effectif le 11 avril prochain, a rassuré l'He Claudine Prudencio avant d'appeler à nouveau à la mobilisation. « Je demande aux militants et aux militantes de l'UDBN de passer de maison en maison pour demander aux gens de sortir massivement, le 11 avril, pour aller voter parce que les actions du président Patrice Guillaume Athanase Talon sont visibles. On voit ses actions sur toute l'étendue du territoire national. Le quinquennat qui s'achève est très positif pour notre pays. Donc la dynamique doit continuer », a martelé la présidente de l'UDBN Claudine Afiavi Prudencio.
M. M.
Le duo des Forces cauris pour un Bénin émergent (FCBE), Alassane Soumanou-Paul Hounkpè croit en ses chances de remporter la présidentielle d'avril prochain par un KO retentissant face au président sortant, Patrice Talon. Ils l'ont fait savoir à l'occasion du lancement de la campagne électorale.
Sûrs de l'adhésion des militantes et militants FCBE, et des Béninois de façon générale à leur projet de société, Alassane Soumanou alias Djemba et Paul Hounkpè ne doutent plus de leur victoire face aux deux autres duos en compétition. « Nous croyons en la victoire », a confié le candidat au poste de président de la République des FCBE, Alassane Soumanou qui croit déjà en une alternance au soir du 11 avril prochain.
La campagne électorale lancée vendredi dernier bat son plein, et les candidats se rendent dans les différentes contrées du pays pour solliciter les suffrages des électeurs.
F. A. A.
Le stade de Djougou a acceuilli en fin de journée ce samedi 27 mars 2021, le duo Talon-Talata. Les candidats de la mouvance ont échangé avec les populations du département de la Donga dans le cadre de l'élection présidentielle du 11 avril 2021.
Voici quelques photos du meeting.
Le duo Talon-Talata s'est rendu ce samedi 27 mars 2021 à Natitingou, dans le département de l'Atacora dans le cadre de la campagne électorale pour la présidentielle d'avril prochain.
« Je suis venu vous galvaniser pour qu'on étonne le Bénin entier au soir du 11 avril 2021 », a déclaré Patrice Talon face aux populations de Natitingou. Candidat à sa propre succession Patrice Talon mobilise les fils et filles du Bénin. Les cadres, autorités locales, dignitaires, religieux, jeunes et femmes ont répondu massivement à l'appel du duo de la mouvance. Les populations de Natitngou et des localités environnantes promettent au duo un KO au soir du 11 avril 2021.
Triste nouvelle pour le maire de la commune de Cotonou ! Luc Atrokpo a perdu son père.
Le géniteur de Luc Atrokpo a rendu l'âme dans la matinée de ce samedi 27 mars 2021. Les causes de son décès ne sont pas dévoilées. Selon les informations, le père du maire de Cotonou était un octogénaire affaibli.
Condoléances au maire et à tout le conseil communal de la ville de Cotonou.
M. M.
Le Bénin s'incline 0-1 dans les extra-times 90+3 face au Nigeria. La sélection béninoise était à 15 seconde d'une 5 ème qualification pour la CAN quand le nigérian Paul Onuachu a repoussé la qualification des Écureuils au mardi prochain face à la Sierra Leone.
La défaite face au Nigéria n'élimine pas le Bénin. Paul Onuachu, meilleur buteur du championnat belge 30 matches 25 buts (Genk) a juste retardé le rêve des béninois.
Très attendu du public sportif béninois, le match des Écureuils face aux Super Eagles du Nigeria s'est achevé sur une victoire de la sélection nigériane alors qu'un match nul suffisait pour que les deux équipes valident leur billet pour la CAN 2021 qui se jouera au Cameroun en janvier 2022. Le seul but de la rencontre est intervenu dans les arrêts de jeu, à la 94ème minute, par Paul Onuachu. 2ème derrière le Nigeria dans le groupe L, les Écureuils doivent faire au moins un match nul mardi prochain face à la Sierra-Leone à Freetown lors de la 6 ème et dernière dernière journée pour valider son billet pour la prochaine CAN.
F. A. A.
La Commission Électorale Nationale Autonome (CENA) a procédé, samedi 27 mars 2021, à l'hôtel Amazone de Bohicon, à la formation des points focaux communaux dans le cadre de l'élection présidentielle du 11 avril.
« Vous aurez des communications qui vont vous permettre de mieux comprendre ce que nous attendons de vous pour que l'élection du 11 avril se déroule conformément aux dispositions du code électoral et conformément au souhait de la Cena d'organiser une élection transparente ». C'est en ces termes que le président de la Cena Emmanuel Tiando a procédé au lancement de la formation des points focaux communaux. C'est par souci d'efficacité que la Cena a institué le point focal, a-t-il indiqué pour justifier la mise en place de cette catégorie d'agents électoraux dont le code électoral n'en pas fait mention. Emmanuel Tiando a rappelé aux participants quelques unes de leurs missions. Le point focal a pour mission d'être le relai entre la Cena et les coordonnateurs d'arrondissement. C'est le point focal de la commune qui est chargé de la réception du matériel électoral qui sera déployé sur le terrain. « Donc c'est une mission républicaine importante qu'on vous confie et nous souhaitons que vous puissiez vous acquitter de cette mission en toute honnêteté », a exhorté le président de la Cena. Il n'a pas manqué de les mettre en garde contre tout manquement au code électoral. A l'en croire, les point focaux n'ont pas reçu autorité pour s'ingérer dans le processus électoral en se donnant à des actes comme donner des instructions au coordonnateur d'arrondissement ou en se substituant à celui-ci. « Vous ne pouvez pas non plus transporter les urnes. Vous ne pouvez pas non plus participer à la compilation des résultats », a rappelé Emmanuel Tiando.
M. M.
Voici la compilation des Ecureuils du Benin face au Nigeria
Dans le cadre la présidentielle d'avril prochain, le président du Parti du renouveau démocratique (PRD), Me Adrien Houngbédji, a adressé un message de paix aux militantes et militants PRD de la diaspora.
A travers une correspondance, le président du PRD les invite à la culture de la paix, et à œuvrer pour la victoire du duo Talon-Talata.
Dans son message, Me Adrien Houngbédji salue et encourage toutes les initiatives de la session PRD de la diaspora (Europe), sous la direction de Rodrigue Akpadji. Il salue également l'initiative de création du Comité de concertation pour la diaspora dénommé "Dynamique unitaire des sections France : UP, BR, PRD, UDBN, et MOELE Bénin".
La mise sur pied de cette dynamique selon le leader des Tchoco Tchoco, est la preuve supplémentaire qu'ensemble on peut aller plus loin. L'ancien président de l'Assemblée nationale exprime sa reconnaissance à la dynamique pour ses activités de webinaire, la qualité des panélistes, et la pertinence des thématiques abordées.
Le président du PRD exhorte toute la diaspora à être des Ambassadeurs du Bénin pour la paix, la tolérance, le dialogue, et le vivre ensemble qui, selon lui, constituent la condition sine qua non pour un vrai développement.
F. A. A.
C'est à Djougou au nord-ouest du Bénin que le duo Alassane Soumanou Djemba - Paul Hounkpè du parti Forces cauris pour un Bénin émergent (FCBE) a lancé la campagne en vue de la présidentielle du 11 avril. Au Stade Atchoucouma de Djougou, les populations ont fait massivement le déplacement pour accueillir le duo Alassane Soumanou & Paul Hounkpè.
La délégation de la CEDEAO conduite par M. Francis Oké a échangé ce vendredi 26 mars 2021 avec le président de la CENA sur plusieurs aspects de l'élection présidentielle de 2021.
La mission de la CEDEAO a tenu une séance de travail avec Emmanuel Tiando, les commissaires et la secrétaire exécutive permanente. Selon le président Tiando, plusieurs sujets relatifs au processus électoral ont été abordés. Il s'agit des questions liées à la sécurité, les conditions de préparation du processus, la liste électorale etc.
Dans le cadre du scrutin du 11 avril, la CEDEAO appuie le Bénin afin que des dispositions soient prises pour limiter la propagation du Covid-19.
A en croire M. Francis Oke, chef de la division assistance électorale de la CEDEAO et secrétaire permanent du Réseau des structures nationales de gestion des élections en Afrique de l'Ouest, l'élection présidentielle 2021 revêt un caractère particulier. « Le Réseau des commissions électorales d'Afrique de l'Ouest déploie une mission de soutien au président de la Commission électorale du Bénin », précise-t-il.
La délégation sera composée du président de la commission électorale du Nigéria, la présidente de la commission électorale du Libéria et le président de la Commission électorale du Burkina Faso. Le but est d'assister et de soutenir le président Emmanuel Tiando dans sa mission.
La CENA poursuit-il, prend toutes les dispositions pour le bon déroulement du scrutin. « Comme vous le savez en période électorale, il y a toujours des appréhensions. Donc c'est à l'autorité qui organise de prendre ses dispositions et nous verrons le 11 avril si ceux qui ont des appréhensions ont raison ou non », a ajouté Francis Oke.
A.A.A
Soixante dix-huit (78) sites sont retenus dans quatre (04) départements du Bénin dans le cadre de la vaccination contre le coronavirus qui démarre ce lundi 29 mars 2021 sur toute l'étendue du territoire national.
Le département du Littoral, de l'Atlantique, de l'Ouémé et du Borgou auront leurs centres de vaccination dans le cadre de la campagne d'injection de doses anti covid-19. « Dès la semaine prochaine, 78 sites de vaccination seront ouverts dans les quatre départements pour enregistrer et vacciner toutes les personnes éligibles et désireuses de s'offrir une protection vaccinale », a indiqué le ministre de la santé, vendredi 26 mars 2021, lors d'une conférence de presse. Selon Benjamin Hounkpatin, les doses des vaccins AstraZeneca et Coronavax ont été attestées au niveau international notamment par l'Organisation Mondiale de la Santé (Oms) et l'Agence européenne du médicament. Il précise que le gouvernement a pris les dispositions pour prendre en charge d'éventuelles complications qui surviendraient chez certains sujets vaccinés. Justifiant le choix des départements retenus pour abriter des sites de vaccination, le ministre a fait savoir que 95% des cas de Covid-19 enregistrés au Bénin sont concentrés dans ces 4 départements.
La campagne de vaccination prend en compte les agents de santé et les personnes âgées de plus de 60 ans.
M. M.
Elle est vient d'un pays musulman où l'homosexualité est vue comme une vicieuse ignominie. Elle a prétendu qu'elle est lesbienne, et qu'en cas de retour dans son pays, la réaction de la population, imbue d'une conception orthodoxe des interdits de l'Islam, aura été inéluctablement outrageuse et attentatoire à sa dignité et son intégrité physique. Y manifester ostensiblement son orientation sexuelle aura heurté les mœurs, les coutumes et les sensibilités religieuses. Le statut de réfugiée lui a été reconnu. Mais elle s'est retrouvée piégée dans un mirage, et a été amenée à flirter avec une femme. Elle est devenue lesbienne pendant des mois,…malgré elle.
Prétendant qu'elle est lesbienne et qu'elle risque d'être persécutée dans son pays, elle a demandé le droit d'asile.
Dans le récit de sa demande d'asile, elle a prétendu que dès l'adolescence elle est attirée, non par les garçons, mais par les filles. Elle a déclaré avoir eu sa première expérience homosexuelle par un baiser échangé subrepticement avec une fille, dans les toilettes de son collège. L'intolérance de ses proches, et la violence des réactions verbales et physiques de la société contre les homosexuels, généraient en elle une peur inouïe de manifester des sentiments qu'elle ne pouvait pas contrôler.
En effet, dans son pays, la grande majorité de la population, très attachée aux coutumes islamisées, considère l'homosexualité comme une déviance, un péché diabolique, contraire aux lois de l'Islam. La population manifeste ouvertement une haine viscérale à l'égard des homosexuels, traités comme des êtres sataniques, des souillures contre l'Islam. Elle a affirmé que lorsque ses parents ont découvert son penchant intime pour les femmes, ils ont déclaré qu'elle est bannie de la famille et de la communauté musulmane, et qu'ils attenteront à sa sécurité et sa vie si elle revenait au pays
Mais sa demande d'asile a été rejetée, au motif qu'elle ne répond pas aux conditions de la Convention de Genève du 28 juillet 1951 relative au statut des réfugiés, ni à celles du code français des étrangers (CESEDA). Elle a alors sollicité mon aide pour former un recours devant la Cour Nationale du Droit d'Asile (CNDA).
Avec des informations juridiques que je lui ai données, elle a fait un recors et a obtenu le droit d'asile.
Dans les éléments que je lui ai donnés pour former son recours, j‘ai démontré, sans revenir sur son récit, que dans son pays l'homophobie n'y est pas une déviance. Qu'au contraire, c'est l'homosexualité qui y est considérée comme une déviance. J'ai démontré que les convictions, prohibitions, principes religieux et traditionnels y justifient un fort degré d'homophobie, une culpabilisation permanente des homosexuels, qui les exposent à des persécutions, sans qu'ils puissent y bénéficier d'une protection efficace des autorités publiques. Qu'au contraire, les lois de son pays se rangent plutôt du côté de la population et des mœurs islamisées, en ce qu'elles incriminent à leur tour l'homosexualité, par des dispositions pénales sur les actes contre-nature.
L'homosexualité y étant doublement incriminée, à la fois par des réponses sociétales que des réponses pénales, j'ai alors invoqué une directive européenne et décision de principe par laquelle de la Cour Européenne de Justice a, en 2013, retenu le principe selon lequel les homosexuels originaires de pays étrangers constituent un groupe social persécuté, dès lors qu'il existe dans leur pays d'origine une répression effective de leur orientation sexuelle. Ces arguments ont convaincu la Cour nationale du droit d'asile, qui a annulé la décision de l'OFPRA et lui a accordé un titre de résident de 10 ans.
Mais piégée par son mirage, elle a été amenée à consommer son homosexualité imaginaire.
Quelques temps après, j'ai croisé cette dame. Elle était en état de grossesse avancée. Interloqué, je l'ai félicitée tout en lui remarquant avec un brin d'humour : je croyais que vous étiez lesbienne, madame ! Sur un ton taquin, elle répondit : Oui, mais il y a la PMA (Procréation médicalement assistée), il y a aussi la bisexualité. A moitié convaincu, j'ai rétorqué : Quoi que !? C'est alors qu'elle décida de m'avouer qu'elle n'a jamais été lesbienne, que c'était juste pour éviter une OQTF (Obligation de quitter le territoire français) qu'elle a demandé l'asile. N'ayant pas pu obtenir la régularisation de sa situation administrative par d'autres voies. Mais qu'elle regrette, parce que les circonstances l'ont amenée à se comporter comme une lesbienne, pendant des mois, à son corps défendant. Elle avoua que pour attester le caractère probant des différentes relations intimes qu'elle a prétendues avoir eues dans sa préadolescence, et la crédibilité de ses déclarations sur la manière dont elle vit son homosexualité en France, elle s'est approchée d'une association qui apporte un soutien matériel et psychologique aux personnes persécutées ou discriminées en raison de leur orientation sexuelle.
Mais sans le vouloir, ni le prévoir, elle a été entraînée dans un engrenage. Une lesbienne membre de cette association s'était beaucoup investie dans sa recherche de logement et de formations pour faciliter son insertion professionnelle. Elle se sentait redevable envers elle et, de ce fait, acceptait ses invitations à participer à des soirées et des manifestations LGBT (Lesbiennes, Gays, Bisexuels, et Transgenres). Elle lui faisait ensuite des compliments sur sa beauté, son joli teint et sa belle silhouette, et a fini par la draguer. Elle s'est sentie obligée d'accepter ses avances, et a décidé de jouer le jeu, pour obtenir des preuves de son homosexualité imaginaire et appuyer sa demande d'asile. Se disant que toute façon elle a un copain, et qu'elle aura juste à simuler un flirt avec cette femme, au plus tard jusqu'à la fin de sa procédure. Mais l'autre, se croyant aimée dans une vraie relation homosexuelle, lui a servi un baiser langoureux lors d'une soirée privée. Elle a concédé que ce baiser furtif a été réitéré à deux reprises, avant qu'elle n'ait décidé de s'éloigner de son amoureuse, parce que moralement persécutée par un sentiment de culpabilité. Malgré le remords, malgré le fait que son coming-out n'ait été qu'une supercherie, elle était devenue, de fait et malgré elle, une lesbienne.
Elle s'est menti pendant des mois, et a bluffé tout le monde sur son orientation sexuelle, noyée dans un mirage à l'instar de Tartarin de Tarascon. Je lui ai demandé quelle a été la réaction des membres de l'association quand ils ont appris sa grossesse. Elle répliqua qu'elle a anticipé le choc en leur affirmant qu'elle est devenue bisexuelle. Mais que c'est plutôt à l'égard de sa famille musulmane, et surtout de son père, notable respecté par sa pieuté, qu'elle a des regrets. Bien que, en grande partie, c'est pour leur venir en aide qu'elle ait inventé ce psychodrame qui lui a permis d'obtenir un titre de séjour et un emploi.
Son parcours migratoire soulève une intrigue difficile à dénouer, qui continue de titiller mes neurones, malgré mes 20 ans d'expertise des questions migratoires : La quête d'un titre de séjour et les difficultés existentielles peuvent-elles justifier les périlleux micmacs auxquels se livrent certains africains ?
Aliou TALL,
Président du RADUCC
Email : raducc@hotmail.fr
L'Union Démocratique pour un Bénin Nouveau (UDBN) de Claudine Afiavi Prudencio a invité des artistes pour des concerts gratuits tous les soirs au siège du parti à Dèkoungbé (Godomey) dans le cadre de la campagne présidentielle.
Plusieurs artistes dont Nikanor seront en concert ce samedi 27 mars 2021 à partir de 15 heures au siège national du parti UDBN sis à Godomey-Dékoungbé ex Usine d'engrais. Dénommés « GUIDJOOOÔ », ces concerts live sont offerts gratuitement aux jeunes tous les soirs et ce durant les 15 jours que vont durer la campagne à l'élection présidentielle du 11 avril prochain.
M. M.
Prêt pour la bataille, le duo Alassane Soumanou Djemba - Paul Hounkpè a lancé ce vendredi 26 mars 2021 à Djougou, la campagne pour l'élection présidentielle.
L'évènement a eu lieu au Stade Atchoucouma de Djougou et a rassemblé les militants et militantes du parti Forces Cauris pour un Bénin Emergent (FCBE).
« Moi, président de la République, la première décision à prendre, c'est la réconciliation nationale. Moi, président de la République, c'est de mettre fin à l'injustice, de mettre fin à la corruption. Moi, président de la République, c'est baisser les impôts », a déclaré le candidat Alassane Soumanou.
« Dans le pays, il y a trop de mécontents, il y a trop de radiations dans le pays, il y a trop de camarades qui sont en prison sans savoir pourquoi ils ont perdu leur liberté. », a déploré le candidat des FCBE.
Et son colistier Paul Hounkpè de renchérir : « l'heure va bientôt sonner ». « C'est pourquoi, je vous dis courage, courage et déterminations chers frères et sœurs. », a-t-il ajouté.
Le lancement de la campagne du duo FCBE a mobilisé un grand monde au Stade Atchoucouma de Djougou. Les candidats Soumanou et Hounkpè poursuivent leurs meetings de mobilisation à travers les autres localités du pays.
A.A.A
Dès le début de la pandémie, avant même que l'OMS ne la baptise Covid-19, le Secrétaire Général de l'ONU avait sonné l'hallali en ce qui concerne l'Afrique : « Il y aura des millions et des millions de morts en Afrique même si la population africaine est jeune. Elle sera ravagée par la pandémie si on ne se lève pas tôt. » Il est donc juste et bon que, sans hésiter, la Chine et l'Europe se portent aujourd'hui au secours de l'Afrique avec les vaccins fraichement sortis de leurs laboratoires pour juguler le Covid-19. Car, compte tenu de la très faible capacité hospitalière des pays africains en matière d'urgence sanitaire, compte tenu surtout du fait que le virus, d'un variant à l'autre, joue á un Jacques-où-es-tu sinistre avec l'humanité, l'hécatombe africaine que craignait Antonio Guterres n'est pas inenvisageable.
D'ailleurs les Africains eux-mêmes ont très vite pris la mesure de la menace. Dès le début de la pandémie, des chercheurs, camerounais, béninois et malgaches, ont sorti de leurs laboratoires des compositions à base de racines et de plantes d'Afrique, capables, selon eux, de guérir ou de soulager le mal, voire de le prévenir. Ce fut, certes, dans une certaine précipitation. Mais il ne pouvait pas en être autrement puisque le monde entier a été pris de court par la survenue du virus et par sa violence. On subodora aussi, chez ces savants africains, comme un goût du lucre : se servir de la tragédie pour se faire de l'argent. Toujours est-il que l'OMS balaya du revers de la main les propositions africaines. Elle les réexaminera peut-être et veillera à leur amélioration si, par hasard, les vaccins récemment sortis des laboratoires ne confèrent pas une immunité aussi solide que celle escomptée.
Car, déjà, des voix autorisées contestent la validité desdits vaccins. Fin 2020, interviewé à France-Soir, le Prix-Nobel de Médecine, le professeur Luc Montagnier se montra très sévère. Celui à qui l'on doit la découverte du VIH-Sida estime improbable de fabriquer en laboratoire un quelconque vaccin efficace en un an malgré les progrès de la science, il juge irresponsable de le commercialiser sans l'avoir testé pendant des années. Ces raisons l'amènent – il est octogénaire – à ne pas se faire vacciner contre le Covid-19 à cause des graves effets, aujourd'hui inconnus, qui pourraient s'ensuivre pour l'organisme humain à court ou à moyen terme. Le groupe de savants renommés alignés sur lui est minoritaire. Mais eux aussi parlent de précipitation qu'ils mettent au compte de ce que l'humanité, OMS compris, serait l'otage des grands groupes pharmaceutiques, qui auraient décidé de gagner de l'argent à l'occasion de la pandémie et qui, pour cela, encourageraient le climat de peur.
S'il s'avère qu'en Afrique, en Chine et en Europe, le tueur Covid-19 sert d'occasion à ceux qui le peuvent de s'en mettre plein les poches, ce ne sera hélas ni nouveau ni étonnant. L'argent exerce sur l'homme une fascination tyrannique. Le Christ lui-même n'a trouvé que Dieu à lui opposer : Dieu ou l'argent et non pas Dieu ou Satan. Car l'argent, dispensateur de puissance et de gloire, c'est Satan. Avec lui en poche, l'homme se sent redoutable. Mais, quand l'argent fascine l'homme et le possède, il l'assèche, il le ramène à l'humanité brute, il tue en lui tout humanisme. Or il est à l'œuvre sur l'homme dans le monde depuis toujours.
Heureusement que, face à lui, il y a l'amour maternel, l'intelligence du cœur. Inépuisable. Toujours disponible. Et qui fait plier tout homme. Lui fait rendre les armes. C'est la présence inentamable de l'amour et de la tendresse maternels qui nous convainc que l'argent, qui peut tuer pharmacopée africaine anti Covid-19 et vaccins chinois ou européens anti Covid-19, ne tuera pas l'humanisme. L'amour d'une mère, dernier recours de l'humanité en détresse et en désarroi. Et par un mystérieux détour, le Covid-19 invite tous hommes et femmes à cultiver l'amour maternel pour sauver l'Homme par l'intelligence du cœur.
Le match de ce samedi 27 mars 2021 entre les Écureuils du Bénin et les Super Eagles du Nigéria se jouera suivant plusieurs dispositions sanitaires en raison du Covid-19.
Pour la sécurité dans le stade Charles Gaulle de Porto-Novo, quatre-vingt (80) forces de l'ordre seront déployées. Au total, 200 personnes à savoir les officiels et le reste du public sont autorisées à suivre le match. Ce nombre pourrait être revu à la hausse si la Confédération Africaine de Football (CAF) donne son autorisation. En ce qui concerne la presse, dix (10) cadreurs et techniciens, cinq (05) photojournalistes, l'ORTB, Canal +, la Télévision nationale du Nigeria, quelques radios et organes en lignes sont autorisés.« Tous les journalistes, reporters et techniciens doivent présenter le résultat négatif de leur test PCR à la covid 19, au médecin de la CAF pour accéder au stade. Les mesures de distanciation sociale sont à respecter dans la tribune de presse, ainsi que le port du masque », a indiqué le communiqué de la Fédération Béninoise de Football (FBF).
Ces mesures prises par la CAF et la FBF visent à permettre le bon déroulement de la rencontre.
Le match débute à 17 heures (heure du Bénin) et compte pour la 5è journée des éliminatoires CAN Cameroun 2021.
M. M.
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Nés il y a quelques jours, les bébés siamois de sexe féminin sont décédés ce vendredi 26 mars 2021 au CNHU de Cotonou.
Selon les informations, ils sont décédés suite à des complications survenues chez l'un. Les médecins n'ont pu sauver le second bébé.
Dans une lettre ouverte au ministre des affaires sociales et de la micro-finance et au ministre de la santé, le père des bébés Fulbert Coffi, enseignant dans la commune de Ouessè, avait sollicité l'aide des autorités. Selon certaines sources, la famille « n'a pas véritablement eu d'aide venant des autorités » après leur évacuation au CNHU de Cotonou.
Les bébés siamois sont nés le vendredi 19 mars 2021 à l'hôpital de zone de Mougnon (commune de Djidja) dans le département du Zou. Ils ont été par la suite transférés au CNHU de Cotonou.
A.A.A
Dans le cadre de la campagne pour la présidentielle 2021, le duo Talon-Talata se rend ce samedi 27 mars 2021 à Parakou et à Nikki.
Meeting du duo de la mouvance avec les populations de Parakou et de Nikki. Après le Littoral ce vendredi, le département du Borgou est à l'honneur. Patrice Talon présentera aux populations, les grandes lignes de son Programme d'actions de son prochain quinquennat intitulé « Le Développement, ça y est ».
Le duo va parcourir les 1er, 2e et 3e arrondissements de Parakou avant de se rendre à Nikki dans la soirée. Un meeting est également prévu à l'UNIPAR.
A.A.A