Tout d’abord, une analyse sur ce match perdu contre le Portugal ?
Je pense qu’il va falloir analyser le match à tête reposée pour pouvoir parler du contenu. Je crois qu’on a vu quand même la différence centre une grande équipe et nous ce soir. Ce n’est pas à moi de tirer sur l’ambulance. Dans un match, il y a toujours des choses bonnes et d’autres moins bonnes. Le seul regret que l’on a, c’est que les trois buts qu’on concède, on aurait pu éviter. Ce sont des erreurs corrigeables c’est ce qui laisse des regrets sur le match.
La possession de balle était pour le Portugal, ça on le savait, mais bon il faut regarder devant. On est aujourd’hui une équipe qui est en difficulté, il ne faut pas se le cacher, maintenant il faut garder la tête haute.
On a annoncé le départ de Madjer et son staff après ce match, êtes-vous au courant ?
Vous savez, on suit un peu les choses de l’extérieur. On suit comme tout le monde les déclarations des uns et des autres. Après, une chose est sûre, tout le monde a des responsabilités. Après, la seule chose qu’on ne peut enlever à Rabah Madjer, c’est qu’il a voulu bien faire et quand il a parlé, il l’a fait avec son cœur.
Qu’avez-vous à dire sur cette décision ?
Maintenant, concernant les décisions qui seront prises par la fédération, je crois que nous n’avons pas notre mot à dire là dessus. On ne nous a pas demandé notre avis pour ramener le coach et on ne le fera pas s’il doit y avoir une décision. On est là pour donner le meilleur de nous-mêmes sur le terrain. Malheureusement sur ces trois derniers matchs, on est en difficulté. Maintenant, il faut faire le constat et essayer de trouver des solutions à nos maux. Il faut être prêts pour le mois de septembre.
Vous avez subi presque tout le match, un commentaire ?
On a subi parce qu’on avait décidé de jouer bas, on avait décidé de jouer en bloc, donc on a eu des difficultés à remonter le ballon. C’est normal parce qu’on a décidé de jouer bas et essayer d’être dangereux sur les attaques rapides. C’est un jeu qu’on maitrisait bien en 2014, puis sous l’ère Gourcuff en 2015, lorsqu’il avait bien sûr décidé de reprendre les choses en main. C’est des choses qu’on a perdues depuis. Après, je crois qu’il y a des choses à prendre en compte, car l’équipe n’est plus la même.
C’est-à-dire ?
Je veux dire que l’équipe des années passées n’est pas celle d’aujourd’hui. C’est difficile d’avoir une cohésion lorsqu’on est en recherche. Le coach l’a bien dit, il était en période de prospection. Il a donné la chance à pas mal de joueurs, donc quand on est en période de recherche, il nous faut forcément du temps et beaucoup de travail pour y arriver.
Comment vous voyez l’avenir de la sélection ?
Une équipe ne se construit pas en 6 ou 7 mois mais en deux ou 3 ans. Il va falloir être patient. Comme je l’ai dit, il y a quelque temps, nous avons besoin de reconstruire une équipe et le plus important est d’être opérationnel pour les prochaines éliminatoires de la Coupe du monde 2022.
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Le président de l’Association nationale des exportateurs Algériens (ANEXAL), Ali Bey Nasri, affirmé que plusieurs cargaisons de dattes et pommes de terre ainsi d’autres produits agricoles viennent d’être refoulées par la Fédération de la Russie, le Canada, La France ainsi le Qatar car, elles ne sont pas conformes aux normes et ne correspondant nullement aux termes du contrat conclus entre les deux parties.
En effet, le commerce vire au cauchemar, la France qui avait saisi les autorités, a notamment découvert une énorme quantité de verres de terre dans les dattes algériennes. Résultat : celle-ci avait été entièrement brûlée.
Le président d’ANEXAL a fait savoir que la quantité des produits agricoles algériens exportés durant les quatre derniers mois de l’année en cours a atteint les 20 millions de dollars, un chiffre déclaré « très bas » par rapport au nombre attendu, chose qui a été provoquée par l’énorme quantité de produits renvoyés.
«Il ne suffit pas de produire. Il faut également savoir produire et respecter des normes afin qu’on n’entache pas la bonne réputation des produits algériens » a,-t-il estimé.
Selon lui, l’Etat algérien ne fait pas suffisamment pour stimuler l’acte d’exporter correctement. Les exportateurs doivent être encadrés et préparés pour ne pas se retrouver dans des situations de retour de leurs marchandises avec tout ce que cela induit comme pertes financières.
Dans le même contexte, M.Nasri a appelé à la nécessité de conquérir le marché international. À cet effet, il s’est notamment déclaré optimiste, relevant l’existence de signaux d’espoir.
«Il faut se diriger vers la communauté algérienne établie un peu partout dans le monde et qui peut être un relais pour la promotion des produits algériens», a-t-il ajouté.
La même source a annoncé la tenue d’une réunion prévue le 12 du mois en cours au niveau du ministère de l’agriculture, afin de résoudre ce problème.
Imane Kimouche / version française: Rachel Hamdi
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Une secousse tellurique de magnitude de 3,7 sur l’échelle ouverte de Richter a eu lieu, vendredi à 03h15 dans la wilaya Batna, indique le Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (CRAAG) dans un communiqué.
L’épicentre de la secousse a été localisé à 8 km au nord-est de la commune de Sefiane à l’ouest de la wilaya de Batna, précise la même source.
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ALGER- La sélection algérienne féminine de football a pris une petite option pour la qualification à la Coupe d’Afrique des nations CAN-2018 au Ghana, en battant mercredi soir au stade 5-Juillet d’Alger son homologue éthiopienne (3-1), en match aller du 2e et dernier tour qualificatif.
Après la traditionnelle période d’observation, les Ethiopiennes ont ouvert le score par l’entremise du capitaine Erehima Biza (15e). La réaction algérienne n’a pas tardé à survenir, puisque dans la foulée (19e) Ramdani Madina est parvenue à égaliser d’une reprise de la tête.
Une égalisation qui a complètement libéré les joueuses de l’entraineur Azzedine Chih, qui ont exercé un pressing haut qui leur a permis de prendre l’avantage grâce à Assia Sidhoum (32e), concluant une contre-attaque algérienne bien menée. L’avant-centre de l’Algérie Bouhani Benziane Naima a marqué un but à la 35e minute, mais refusé par l’arbitre pour une position d’hors-jeu peu évidente.
En seconde période, les Algériennes, conscientes que le score de 2 à 1 était loin d’être rassurant en vue de la seconde manche d’Addis-Abeba, sont revenues avec des intentions plus offensives. Après deux actions dangereuses, l’équipe nationale a réussi à corser l’addition à la 64e grâce au capitaine Sekouane Fatima, à la suite d’un coup de pied arrêté.
Complètement déchaînées, les coéquipières de l’entrante Merrouche Imene auraient pu donner plus d’ampleur à leur victoire, n’était le manque de concentration et de lucidité au niveau du compartiment offensif.
Les Algériennes seront appelées à rester vigilantes en vue de la seconde manche décisive prévue dimanche prochain à Addis-Abeba (16h00 locales/14h00 algériennes), un rendez-vous qui sera certainement difficile, au moment où les Ethiopiennes tenteront de renverser la vapeur chez elles et devant leur public.
Les deux sélections se sont déjà rencontrées deux années plus tôt dans le cadre du 1er tour des éliminatoires de la CAN-2016 disputée au Cameroun.
En match aller disputé au stade Omar-Hamadi (ex-Bologhine), les Algériennes l’avaient emporté sur le score de 1 à 0, avant de tenir en échec les Ethiopiennes à Addis-Abeba (1-1). L’équipe nationale a, par la suite, été sortie au dernier tour par le Kenya à la faveur du but marqué à l’extérieur (aller : 2-2, retour : 1-1).
La 13e édition de la CAN se jouera du 17 novembre au 1er décembre prochains au Ghana.
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ALGER- La loi fixant les règles générales relatives à la poste et aux communications électroniques visant à définir le cadre et les modalités de régulation des activités dans ce secteur, vient d’être publiée dans le Journal officiel.
Ce texte de loi a pour objectif de promouvoir le développement et l’utilisation des communications électroniques, définir les conditions générales d’exploitation des activités de la poste et des communications électroniques par les opérateurs, ainsi que le cadre institutionnel d’une autorité de régulation indépendante.
Il est précisé ainsi que les activités de la poste et des communications électroniques sont soumises au contrôle de l’Etat, qui « dispose de l’usage exclusif du domaine postal et en assure l’exploitation par des opérateurs, exerce le monopole en matière d’émission de timbres-poste et de toutes autres marques d’affranchissement des objets postaux et fixe les tarifs d’affranchissement et de toute prestation relevant du régime de l’exclusivité ».
La loi énonce que l’Etat, dans le cadre de ses prérogatives de contrôle des communications électroniques, « exerce, conformément aux dispositions constitutionnelles, la souveraineté sur l’ensemble de son espace hertzien et dispose de l’usage exclusif du spectre des fréquences radioélectriques ».
L’Etat instaure également, dans le cadre de ses missions de développement de la poste et des communications électroniques, le service universel de la poste et le service universel des communications électroniques et veille à leur mise en œuvre par les opérateurs. Ces services « sont fournis de manière permanente au profit de tous sur l’ensemble du territoire national », note le texte de loi.
L’article 8 prévoit la création d’un fonds d’appui du service universel de la poste et du service universel des communications électroniques dont la gestion est assurée par une commission multisectorielle présidée par le ministre chargé de la poste et des communications électroniques ou son représentant.
Une Autorité de régulation de la poste et des communications électroniques
Dans son article 11, la nouvelle loi énonce la création d’une Autorité de régulation indépendante chargée d’assurer la régulation des marchés postal et des communications électroniques pour le compte de l’Etat avec pour missions de « veiller à l’existence d’une concurrence effective et loyale sur les marchés postal et des communications électroniques ».
En vertu de ce texte, les opérateurs de la poste et des communications électroniques sont tenus de respecter les dispositions légales et réglementaires relatives notamment à la poste, aux communications électroniques et à la cyber sécurité.
L’Autorité de régulation est consultée par le ministre chargé de la poste et des communications électroniques pour la préparation de tout projet de texte réglementaire relatif aux secteurs de la poste et des communications électroniques, la préparation des cahiers des charges, la préparation de la procédure de sélection des candidats pour l’exploitation des licences de communications électroniques, la formulation de toute recommandation à l’autorité compétente préalablement à l’octroi, la suspension, le retrait ou le renouvellement de licences.
Algérie Poste autorisée à créer un service d’épargne
L’opérateur public Algérie Poste peut désormais diversifier sa gamme de prestations financières à travers la création d’un service d’épargne, selon la nouvelle loi.
« Algérie Poste est autorisé à créer un service d’épargne et à élargir la gamme des prestations financières offertes à sa clientèle sur une base commerciale conformément aux dispositions de la loi relative à la monnaie et au crédit », stipule l’article 29 de la présente loi.
Le même article indique, par ailleurs, que l’Etat concède à Algérie Poste le développement, l’exploitation et la fourniture des services de la poste entrant dans le régime de l’exclusivité. Algérie Poste est chargée, en outre, de la fourniture du service universel de la poste.
D’autre part, le texte de loi offre la possibilité à tout abonné de conserver son numéro de téléphone lorsqu’il change d’opérateur. Ce dernier est tenu de « garantir la portabilité des numéros pour l’ensemble des abonnés dans les conditions et modalités fixés par voie règlementaire ».
Le nouveau texte de loi annonce également la création auprès du ministre en charge des communications électroniques d’une entité chargée des points d’échange internet qui consiste en « une infrastructure physique permettant l’interconnexion de services internet en vue de garantir un routage local du trafic internet échangé entre les opérateurs de communications électroniques, établis sur le territoire national ».
L’opérateur historique tenu de donner suite aux demandes de dégroupage de sa boucle locale
Dans son article 102, la présente loi énonce que « l’opérateur historique titulaire d’une licence d’établissement et d’exploitation d’un réseau de communications électroniques fixe ouvert au public, est tenu, dans des conditions objectives, transparentes et non discriminatoires, de donner suite aux demandes de dégroupage de sa boucle locale formulées par les opérateurs de services de communications électroniques titulaires d’autorisation générales ».
L’opérateur historique « est tenu de prendre toutes les mesures nécessaires pour aménager ses infrastructures ainsi que ses locaux techniques existants afin de permettre aux demandeurs de dégroupage la co-localisation de leurs installations nécessaires à la fourniture de leurs services ».
La loi stipule que « lorsque la boucle locale filaire est partiellement ou totalement inexistante, ou lorsqu’elle présente un caractère d’obsolescence ou de vétusté, l’opérateur historique autorise, pour son compte, l’opérateur bénéficiaire à déployer une infrastructure de distribution dans le cadre d’une convention séparée de déploiement d’infrastructure de distribution, approuvée par l’Autorité de régulation ».
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ALGER- La ministre de l’Environnement et des Energies renouvelables, Fatma Zohra Zerouati, a présidé jeudi à Alger l’installation de la commission intersectorielle de la biodiversité dans le cadre de la Stratégie et du Plan d’action nationaux de la biodiversité 2016-2030.
Mme Zerouati a précisé avoir été chargée par le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, d’installer cette commission intersectorielle de la biodiversité qui aura pour mission, a-t-elle dit, la gestion et le suivi de la mise en œuvre de la Stratégie nationale et l’aide des différents secteurs dans l’élaboration de leurs plans d’action respectifs.
La ministre a fait savoir que des commissions sectorielles de la biodiversité seront mises en place pour assurer la gestion, le suivi et l’évaluation du plan d’action sectoriel de la biodiversité. Un cadre consultatif sur les orientations prévues dans la Stratégie nationale sera également mis en place, a-t-elle dit.
Elle a ajouté que certains secteurs tels que l’Energie, l’Industrie et les mines, l’Education nationale, la Pêche, les Travaux publics, les Transports, le Commerce, l’Enseignement supérieur, la Culture et le Tourisme avaient défini, lors de l’élaboration de la Stratégie nationale de la biodiversité, des plans d’action sectoriels dans ce domaine, soulignant que ces derniers seront adoptés progressivement.
La commission intersectorielle de la biodiversité est présidée par le secrétaire général du ministère de l’Environnement et des Energies renouvelables. Elle compte des représentants de quatorze (14) secteurs ministériels et deux (2) experts en biodiversité.
Par ailleurs, la ministre a mis l’accent sur l’importance de la biodiversité en tant que richesse nécessaire au développement et à la sécurité alimentaire.
Soulignant l’importance de la biodiversité en tant que ressource indispensable au développement et notamment à la sécurité alimentaire, la ministre a déclaré qu’il faut protéger cette richesse si nous voulons préserver l’équilibre mondial de l’environnement et relever le défi auquel fait face le monde à savoir les déplacements intensifiés des migrants et des réfugiés.
Mme Zerouati a fait savoir que le secteur de l’environnement, à l’effet d’évaluer les acquis du développement réalisé suite à la mise en œuvre du Plan stratégique de la convention de la biodiversité 2011-2020 notamment « la réduction de l’actuelle cadence relative à l’appauvrissement (épuisement) des ressources biologiques sur le plan national », il a été procédé à l’élaboration et l’adoption d’une Stratégie et d’un Plan national pour la biodiversité 2016-2030 sous le thème « biodiversité pour le développement socio-économique durable et l’adaptation avec le changement climatique ».
« L’Algérie parviendra à relever les défis socio-économiques et environnementaux liés au changements globaux à travers la préservation, la réhabilitation, l’utilisation durable et la mise en valeur de la biodiversité », a-t-elle ajouté.
Mme Zerouati a indiqué, dans ce sens, que l’Algérie aspire, à travers la Stratégie nationale, à élever sa responsabilité au niveau des exigences de la réalisation des objectifs de la Convention de biodiversité, d’une part et ceux du développement durable, d’autre part.
L’élaboration de la Stratégie nationale sur la biodiversité a associé 750 représentants des secteurs concernés.
La ministre a exhorté tous les secteurs à participer à la promotion du concept de la biodiversité pour garantir un développement socio-économique durable et s’adapter aux changements climatiques.
Mme Zerouati a précisé que la nouvelle stratégie sur la biodiversité reposait sur quatre principaux axes, à savoir l’adaptation du cadre institutionnelle, stratégique et juridique pour une prise en charge optimale de la biodiversité, le développement, le partage et la valorisation des connaissances et du savoir-faire ainsi que la sensibilisation à l’importance de la biodiversité pour un développement durable et global, a-t-elle ajouté.
La stratégie repose par ailleurs sur la promotion de la préservation de la biodiversité pour garantir la pérennité et le développement des ressources naturelles algériennes ainsi que la valorisation de la biodiversité pour une économie verte.
Les quatre orientations précitées sont réparties sur 21 objectifs nationaux adaptés aux objectifs du développement durable, en sus de 113 actions ou activités.
Parmi les 113 actions ou activités définies, la ministre a cité les principales mesures prévues dans la Stratégie adoptée et à mettre en œuvre notamment la création d’un observatoire de la biodiversité, doté d’un système de pré-alerte prévu dans les propositions de la loi de finances 2019, outre la mise en place d’une commission intersectorielle de la biodiversité, adoptée en Conseil des ministres le 28 mars dernier. La commission a été installée jeudi au siège du ministère de l’Environnement et des énergies renouvelables.
La ministre a rappelé la célébration de la Journée mondiale de l’Océan, le 8 juin, placée cette année sous le thème « Océans propres » dans le cadre de la lutte contre la pollution des sacs plastiques.
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La ville de Bordj Menaïel compte 75 000 habitants qui produisent en moyenne 60 tonnes déchets/jour. Les déchets ménagers associés aux gravats des travaux entrepris par des citoyens dans leurs habitations sont visibles à chaque coin de rue, obstruant les entrées des établissements scolaires, des immeubles et même devant la mosquée de la cité “La capelle’’. Et pour cause la vétusté du parc roulant de la commune. “On n’a qu’une seule benne-tasseuse et 4 camions dont trois tombent souvent en panne”, lance un élu. Et d’enchaîner : “On a aussi un manque d’effectifs et d’organisation que nous avons héritées de nos prédécesseurs.’’ “Une centaine d’éboueurs sont listés au niveau du service des voiries, mais près de la moitié assure d’autres tâches parfois derrière les guichets. Les élus recrutent des agents de propreté avant de les placer dans des bureaux”, révèle un élu de l’ex-parti unique mieux aguerris aux méthodes opaques. Devant les quantités enregistrées depuis le début du mois de Ramadhan, la mission des agents de la voirie devient plus ardue. À la cité Jolie-Vue qui n’a gardé que le nom, l’entrée au quartier est repoussante : “Nous devons fermer nos fenêtres à longueur de journée pour éviter d’être envahi de moustiques’’, se lamente un habitant de la cité. Le décor n’est pas en reste au quartier de Bousbaâ, les poubelles débordent sur la voie publique, les tas de détritus sont partout même devant les administrations comme au niveau de la cité “les Galets” jouxtant le siège de la daïra. Ce qui attire non seulement les rats et les moustiques, mais aussi les chiens errants dès la tombée de la nuit. Les élus avancent que l’APC n’a ni les moyens de recruter encore moins de personnes pour restructurer le service de la voirie et mieux l’exploiter.
Wahab M.
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WASHINGTON- L’Algérie a obtenu un score de 79 sur cent dans l’indice « Law and Order » (loi et ordre) de l’institut Gallup qui mesure le sentiment de sécurité dans 142 pays dans le monde.
L’Algérie a affiché un indice de 79 sur cent en 2017 , contre 90 sur cent en 2016, selon le rapport 2018 sur la loi et l’ordre dans le monde (2018 Global Law and Order), publié jeudi à Washington.
L’indice « Law and Order » mesure le sentiment de sécurité éprouvé au niveau personnel ainsi que les expériences personnelles concernant la criminalité.
Ce classement a été établi à partir d’entrevues téléphoniques et d’entretiens en face à face réalisés dans 142 pays, avec 148.000 personnes, selon cet institut de sondage, dont le siège se trouve à Washington.
Le sondage s’est basé sur quatre questions pour évaluer notamment la confiance des personnes en les forces de police et le degré de sécurité de nuit assuré dans leurs cités et quartiers.
Cette année, le Singapour a conservé la première place dans ce palmarès comme pays le plus sûr au monde avec un score de 97 sur cent, suivi de la Norvège, de l’Islande et de la Finlande avec un score de 93 sur cent chacun.
Les Etats Unis et la France viennent loin derrière avec un score de 84 sur cent chacun.
Pour la deuxième année consécutive, le Venezuela a enregistré le pire des scores avec un indice de 44 sur cent ce qui reflète, selon Gallup la persistance de la crise dans ce pays.
Seulement 17% des vénézuéliens interviewés ont déclaré se sentir en sécurité en marchant dans les rues la nuit, alors que 24% ont dit avoir confiance envers la police.
En bas de la liste, figure aussi l’Afghanistan, le Soudan du Sud, le Gabon, le Liberia et l’Afrique du Sud, considérés comme pays dangereux, selon cette enquête.
Le score indiciel mondial en 2017 a été de 81 sur cent, précise Gallup qui relève que 86 pays dans cette nouvelle édition du rapport ont affiché des résultats inférieurs à cette moyenne.
Globalement 69% des personnes interviewés à travers le monde disent avoir confiance en leur police et 68% et se sentent en sécurité lorsqu’ils se promènent seuls la nuit.
Toujours selon l’enquête, 13% des personnes interrogées affirment avoir été victimes d’un vol et 5% avoir fait l’objet d’une agression.
Par région et à l’instar des années précédentes, les pays d’Amérique Latine et les Caraïbes ont continué de cumuler les plus mauvais scores (62 sur cent) en 2017 contre 64 sur cent en 2016. Les personnes interrogées sont moins susceptibles de se sentir en sécurité.
En revanche, les résidents des Etats-Unis, du Canada, de l’Asie du Sud-Est, de l’Asie de l’Est et de l’Europe occidentale sont les plus susceptibles de se sentir en sécurité. Ces pays affichent des scores indiciels de 85 sur cent et plus.
L’institut précise, par ailleurs, qu’il existe des relations étroites entre les réponses des personnes interviewées et les mesures externes liées au développement économique et social du pays.
Ces relations renseignent sur la façon avec laquelle le taux élevé de criminalité peut affecter la cohésion sociale et les performances économiques d’un pays, explique cet institut,
Gallup rappelle qu’il est important de suivre ces indicateurs qui sont importants, en particulier pour les Nations Unies, pour continuer de surveiller l’évolution des sociétés.
« L’ONU vise à promouvoir des sociétés justes pacifiques et inclusives » dans le cadre des objectifs du développement durable qu’elle s’est fixée d’atteindre, indique Gallup.
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ALGER- La ministre de la Poste, des Télécommunications, Technologies et du Numérique, Houda-Imane Faraoun a fait état, jeudi à Alger, de la programmation de la couverture internet de 193 zones dans 14 wilayas du Sud, durant l’année 2018 et le premier semestre de l’année prochaine grâce à un financement du Fonds du service universel.
« 193 zones ont été programmé pour la couverture internet à travers le Fonds du service universel -prévu par la nouvelle loi du secteur parue au journal officiel mercredi- puisque aucun opérateur public ou privé n’a la capacité d’investissement pour couvrir ces zones d’ombre », a indiqué Mme Faraoun lors d’une plénière consacrée aux questions orales des membres du Conseil de la nation, précisant que l’Etat se chargera de leur couverture grâce au deniers publics durant 2018 et le premier semestre de 2019.
Le Gouvernement promulguera un décret exécutif encadrant l’utilisation de ce Fonds pour le financement des projets, a-t-elle ajoutée, soulignant qu’Algérie Telecom avait déjà procédé aux études techniques relatives à la couverture de ces régions.
la ministre a indiqué, à ce propos, qu’en vertu de la nouvelle loi du secteur, le Fonds du service universel est passé de la tutelle de l’Autorité de Régulation de la Poste et des Télécommunications (ARPT) à celle du Gouvernement et sera utilisé pour l’aménagement du territoire numérique.
Le ministère a enregistré plus de 560 zones d’ombres à travers le territoire national dans des régions de moins de 1.000 habitants dans le Nord et moins de 500 habitants dans le Sud, dont « la moitié dispose uniquement du téléphone fixe tandis que l’autre ne dispose ni du fixe ni du mobile. »
« Sur 193 zones dans 14 wilayas du Sud, 127 zones disposent de téléphone fixe et 38 autres ne disposent ni de téléphone fixe ni de téléphone mobile » a-t-elle ajouté.
Concernant la généralisation de la couverture en téléphonie mobile des régions du Sud, notamment les 14 wilayas ciblées, la ministre a fait état de « la généralisation en cours du service de 2ème génération (2G) au niveau de 2.360 stations de base, de 3ème génération (3G) au niveau de 1.652 stations de base. Quant au service de 4ème génération (4G), lancé depuis plus d’une année, il couvre 8 wilayas sur les 14″.
S’agissant du remplacement des câbles en cuivre par la fibre optique, la ministre a fait savoir 500.000 unités sont à remplacer d’ici la fin de l’année en cours ».
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Le P/APC a rappelé aux habitants de la commune qu’il est impératif d’éviter la consommation de lait de vache cru non pasteurisé.
Le P/APC d’El-Eulma, à 27 km à l’est du chef-lieu de la wilaya de Sétif, a, dans une annonce adressée à la population de la commune, indiqué que plusieurs cas de brucellose confirmés ont été enregistrés au niveau de la commune. Le P/APC a rappelé aux habitants de la commune qu’il est impératif d’éviter la consommation de lait de vache cru non pasteurisé. Dans une annonce affichée à travers les quatre coins de la
ville, le premier responsable de la commune n’a pas précisé s’il s’agissait d’une épidémie et n’a pas rendu public le nombre de personnes atteintes.
Cependant, il a rappelé que les produits laitiers, dont le lait cru, le “l’ben” et les fromages frais non fermentés, présentent un risque de transmission de l’infection à l’homme. Rappelons aussi que la viande du bétail abattu peut être commercialisée sans risque pour l’homme car la bactérie n’y est pas présente. Selon des médecins, une fois le diagnostic confirmé, le traitement de la brucellose humaine repose sur l’administration d’antibiotiques spécifiques pendant plusieurs semaines. Il n’existe pas de vaccin commercialisé pour l’homme. “Chez l’homme, la brucellose se manifeste par des signes non spécifiques allant de la fièvre isolée ou du syndrome pseudo-grippal banal jusqu’à des infections focalisées des articulations (arthrites), des testicules (orchites) ou du système nerveux central (méningites). Non traitée, la brucellose peut devenir chronique et être responsable d’une atteinte invalidante des articulations en particulier”, nous dira un médecin. Et de renchérir : “L’infection peut ensuite demeurer silencieuse durant plusieurs mois, voire plusieurs années, et se réactiver à l’occasion d’une autre maladie ou événement de santé. Ce qui peut constituer un véritable problème de santé publique.”
F. SENOUSSAOUI
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Force est de constater que la flambée des prix touche quasiment tous les produits, qu’ils soient locaux ou étrangers.
La mi-Ramadhan passée, le compte à rebours pour les familles mostaganémoise est enclenché, donnant le signal à une course effrénée, dont le seul objectif est la recherche et l’achat de quelques habits de l’Aïd pour leur progéniture impatiente de vivre cette journée joyeuse qui se renouvelle chaque année. Et dans cette quête qui promet d’être une saignée pour les petites bourses, la seule boussole qui tienne la route est celle menant vers les lieux ou boutiques proposant des articles d’enfants à des prix abordables. Force est de constater que ce n’est pas du tout l’offre qui manque en matière d’articles de l’Aïd et autres jouets pour bambins, mais bel et bien la flambée des prix qui touche quasiment désormais tous les produits de consommation, qu’ils soient locaux ou étrangers ! Et à moins de deux semaines de la célébration de l’Aïd El-Fitr, l’ambiance des préparatifs à cette occasion s’installe déjà dans la ville ces jours-ci. Pas plus tard que mardi 5 juin à la mi-journée, les rues et ruelles de Mostaganem était bondées. Les piétons composant une foule compacte de familles étaient généralement accompagnées des enfants, attirés par tout ce qui ressemble de près ou de loin à des vêtements, chaussures et autres accessoires indispensables pour le jour J. Une fois de plus, c’était le grand souk informel en plein centre-ville près d’une place bien connue sous le nom de “Carré”, genre de petit Square Port-Saïd, la bourse de Mostaganem où s’échangent les devises et principalement l’euro, quotidiennement tenue par les cambistes habituels, mais qui se font rares en ce mois sacré, probablement parce que la demande est nettement plus faible sur ce type de transaction.
Il faut dire que le commerce informel a envahi grandement le centre-ville au point où la circulation routière devient un vrai casse-tête pour les automobilistes qui empruntent les voies publiques, occupées par plusieurs chapiteaux illégaux dans lesquels toutes sortes de marchandises vestimentaires sont vendues à des prix légèrement bas, comparé aux magasins spécialisés. Cependant, dans ces cas-là, la qualité n’est pas souvent au rendez-vous. Aujourd’hui, les ménages et simples fonctionnaires se débattent pour atténuer l’hémorragie financière entre les dépenses faramineuses et sans fin des courses de Ramadhan et les préparatifs de l’Aïd; il y a de quoi, car pour vêtir de la tête aux pieds un enfant d’une moyenne d’âge de 5-10 ans, 10 000 DA à 15 000 DA sont nécessaires tant les prix pratiqués pour cette catégorie de personnes dépassent allègrement l’entendement.
À en juger par le citoyen lambda, le simple pantalon “à la mode” revient à 2000 DA ou plus, le haut est plus cher vu sa position dans le corps, et le père de famille doit débourser 3 000 DA pour une chemise ou jaquette. Les chaussures, sacs pour filles et autres robes ne sont pas en reste puisqu’ils peuvent atteindre les 5 000 DA dans les boutiques de luxe. Dans ce paysage anarchique des vendeurs de la rue et commerces réguliers qui s’octroient des espaces et trottoirs supplémentaires, le “Made in China et Made in Turquie” se disputent les faveurs des clients parfois pressés de se débarrasser de ce calvaire des achats afin de rentrer à la maison et savourer son f’tour au calme.
M. Salah
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Le ministre de la Santé semble avoir opté résolument pour un grand ménage dans les structures relevant de son département. Après avoir limogé, en début de semaine, le directeur général de la pharmacie et des équipements de la santé au ministère de la Santé, Hamou Hafed, qui y a passé huit années en poste, Hesbellaoui compte, affirment des sources sûres, sévir de nouveau. Quatre autres cadres de la santé sont dans le collimateur, et leur sort serait même déjà scellé, ajoutent nos sources.
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C’est sur Facebook que l’ancien chef du groupe parlementaire du FFS, Chaffaâ Bouaïch a appris la décision de la direction de son parti de le remplacer par Saddek Slimani. “Je viens d’apprendre par Facebook la nomination du camarade Sadek Slimani au poste de chef de groupe parlementaire du FFS”, a écrit le député de Béjaïa sur sa page facebook.
L’infortuné député n’est pas resté sans ouvrir les hostilités. “Je ne sais pas finalement ce qu’on reproche au pouvoir”, a-t-il pesté contre cette manière peu cavalière de le remplacer. Ça promet de chaudes empoignades !
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Condamné en mars dernier à une année de prison ferme pour une affaire de mœurs, un ex-journaliste, connu notamment par ses attitudes et accoutrements de salafiste inflexible ayant collaboré dans plusieurs quotidiens arabophones avant son incarcération, continue de recevoir par mailing, à ce jour, les bulletins d’information, invitations et communiqués officiels de plusieurs institutions de la wilaya de Constantine. Une négligence qui a échappé y compris à la cellule de communication de la Sûreté de wilaya qui continue également d’envoyer des mails au prisonnier. Le captif, même s’il ne dispose pas de l’usage d’internet en prison, a sa boîte e-mail toujours fonctionnelle et recueille toute l’actualité. Pis encore, en attente d’un grand toilettage, le listing des adresses électroniques qui reçoivent automatiquement les communiqués de presse de l’institution policière dans cette wilaya n’a subi aucune mise à jour depuis de lustres.
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Un photographe de Liberté a été empêché mardi dernier de prendre des photos au niveau de la promenade des Sablettes d’Alger. Pour les agents de sécurité de la structure, il faut être muni d’une autorisation pour pouvoir prendre des photos à l’intérieur de cet espace touristique. La carte de presse délivrée par le ministère de la Communication n’est, selon eux, pas suffisante pour pouvoir prendre des clichés dans la promenade. Que faut-il donc faire avec ces centaines de citoyens qui font un plaisir d’immortaliser leur passage les moments qu’ils passent aux Sablettes ? Faudra-t-il leur demander de se munir d’une autorisation pour ce faire ?
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Avec l’adoption massive qu’ont connue les technologies du numérique ces dernières années dans le monde, la frontière entre les nouvelles méthodologies digitales et le paysage économique tend à s’atténuer. La relation entre les acteurs de l’économie et les organes du gouvernement devrait a priori enregistrer de grands changements. Une question se pose alors sur l’avenir de l’élément unité de l’économie, à savoir l’entreprise. De quelle manière l’entreprise et le gouvernement peuvent-ils servir au mieux la population afin de rendre le digital un élément stimulateur du développement économique ? Les réponses à cette question doivent être appropriées et conformes aux nouvelles règles de l’économie numérique. Elles peuvent aussi servir de réflexion pour les entreprises pour adopter un nouveau code de conduite avec le client. Avant, le client était placé à la périphérie et l’entreprise au cœur. Aujourd’hui, avec l’avènement du service digital, c’est le client qui passe au cœur d’une entreprise. Les résultats issus de ce nouveau modèle sont en train de transformer le paysage économique dans la majorité des pays. Plusieurs rapports d’études ont indiqué l’existence d’une corrélation entre ceux qui ont intégré la culture du service digital dans leur société et ceux qui ont enregistré des pourcentages de croissance élevés. Selon plusieurs rapports Doing Business de la Banque mondiale, ce lien entre l’économie et la culture du service numérique a provoqué un impact sur l’attractivité d’un pays lorsqu’il s’agit de faire appel aux investisseurs pour favoriser la croissance économique. Une chose est sûre, cette culture doit aller avec la technologie quant à l’accélération de son rythme d’évolution. Par le passé, de nombreux ministères n’étaient pas en mesure d’offrir une panoplie de services numériques, car les responsables ne regardaient pas à la «loupe digitale» ce que les nouvelles technologies pouvaient leur offrir comme moyens pour se rapprocher plus des citoyens. Aujourd’hui, les technologies du numérique donnent une vision claire du rôle de la culture du service digital dans la gouvernance des pays. Ainsi, il est essentiel que la relation entre le gouvernement et les entreprises devienne plus axée sur le service digital. En Algérie, il existe d’énormes opportunités de suivre les traces des pays comme le Nigeria et d’utiliser les capacités des technologies du numériques pour créer de nouvelles sources de croissance économique.
F. F.
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Les seniors d’aujourd’hui sont compatibles avec les technologies du numérique. Ils représentent un élément clé pour renforcer leurs relations familiales via les réseaux sociaux. Mieux, les personnes âgées connectées sont bien placées pour expliquer les bienfaits de la liberté sur le Net et les risques d’une utilisation non adaptée aux principes de la société réelle.
Dans le secteur des télécommunications, on constate que dans la plupart des pays, un tiers des plus de 60 ans sont des consommateurs de services numériques. Ils sont bien équipés de produits IT comme les smartphones, ordinateurs, tablettes, imprimantes et montres connectées et d’autres devices qui leur permettent de rester en contact avec les jeunes générations, d’immortaliser en ligne leurs souvenirs de voyages et de les partager sous formes de photos et vidéos avec leurs familles. Autre avantage de la compatibilité des seniors avec le numérique, et sans doute le plus important, c’est la connectivité intelligente qui peut contribuer aux politiques de prise en charge sécurisée des personnes âgées à domicile via l’introduction des objets connectés dans l’habitat des seniors. En effet, de plus en plus de personnes âgées passent, aujourd’hui, la majorité de leurs journées seules dans leurs domiciles. Ce qui multiplie le risque de voir un senior perdre conscience, tomber ou carrément décider de ne plus s’alimenter. C’est dans ces situations dramatiques que les technologies du numérique vont montrer leur efficacité pour faire émerger des solutions permettant de lancer des alertes liées à des dangers qui menacent instantanément cette catégorie de la population. Un objet connecté peut facilement jouer le rôle d’un détecteur d’ouverture de porte d’un réfrigérateur afin de s’assurer que la personne s’alimente régulièrement. La personne âgée peut ainsi être suivie à distance par ses proches afin de s’assurer qu’elle ne se laisse pas mourir, drame qui arrive malheureusement souvent pour les personnes âgées vivant seules. Mieux encore, cette même personne peut aussi être surveillée à distance via des objets connectés qu’elle porte comme un bracelet ou une bague pour détecter la perte de verticalité brutale pouvant annoncer une chute.
Un domicile intelligent
Les objets connectés offrent ainsi de nouveaux services destinés à assurer aux seniors un confort sécurisé. Par exemple, une personne âgée atteinte de rhumatisme ou qui se déplace en fauteuil roulant, peut ouvrir les volets d’un simple appui sur la télécommande, évitant ainsi la gageure de l’ouverture de volets battants, ou de volets roulants à manivelle. Elle peut aussi se lever la nuit pour aller aux toilettes ou boire un verre d’eau, souvent sans prendre la peine d’allumer une lampe. Ce qui risque de lui causer une chute brutale. Ce type d’accident peut être évité en greffant un objet connecté, détecteur de mouvement. Ainsi, lorsque la personne quitte le lit pour se lever, la position debout est détectée et l’allumage automatique d’une lampe sera déclenché. Grâce aux technologies du digital, le domicile des seniors devient intelligent, notamment pour ceux à mobilité réduite. Grâce aux applications des terminaux mobiles connectées à des objets intelligents, les seniors pourront dialoguer à distance avec leurs, proches, leurs médecins et autres personnes pour s’assurer d’une prise en charge efficace de leur santé, d’un suivi du régime alimentaire, de la qualité de sommeil, du contrôle de la pression artérielle ou du niveau de glycémie. Il arrive également qu’une personne âgée soit atteinte de la maladie d’Alzheimer et qui, en sortant de chez elle, peut s’égarer dans la ville. Des objets connectés jouant le rôle de balises GPS gérées par un service d’assistance peuvent faire éviter ces problèmes aux conséquences parfois dramatiques. Cette solution fait interfacer une plateforme téléphonique, disponible 24h/24, 7j/7 et 365 jours par an, avec un boîtier d’alerte personnel, géolocalisable et paramétrable, que le senior garde sur lui, pour lancer une alerte en cas d’urgence et signaler très simplement sa position. Le trait d’union «senior-IoT» peut être très utile comme système pour les personnes âgées puisqu’il leur fournit une certaine assistance, de la facilité dans l’utilisation de la maison, tout en évitant qu’elles ne soient coupées du monde, grâce à une connexion quasi-permanente avec les proches.
F. F.
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Audi poursuit sa série de victoires aux « International Engine of the Year Awards » : pour la neuvième fois consécutive, le jury a choisi le moteur 2.5 TFSI de la marque comme étant le meilleur moteur de la catégorie 2 à 2.5 litres. Ses 294 kW (400 ch) en font le cinq cylindres de série le plus puissant sur le marché.
Surtout, les membres du jury du « International Engine of the Year Awards » ont encensé le couple impressionnant du moteur de 480 Nm (354 lb-pi), qui est disponible à seulement 1700 tr / min, ainsi que le son distinctif du turbo. Cette sonorité inimitable est créée par l’ordre d’allumage spécifique des cylindres voisins. « Le cinq cylindres est une icône de notre marque depuis plus de 40 ans », explique Oliver Hoffmann, responsable du développement technique chez Audi Sport GmbH. « Il y a deux ans, nous avons entièrement revu le 2.5 TFSI et changé le carter en une version en aluminium. »
Tout en formant le cœur de l’Audi TT RS Coupé, le cinq cylindres alimente également l’Audi RS 3 Berline. Le 2.5 TFSI permet aux TT RS et TT RS Roadster d’accélérer respectivement de 0 à 100 km / h en 3,7 et 3,9 secondes, la RS 3 Berline et la RS 3 Sportback atteignant ce résultat en 4,1 secondes. La vitesse maximale pour les quatre modèles est de 250 km / h de série, avec la possibilité de relever la vitesse maximale à 280 km / h.
Les prix du « International Engine of the Year Awards » ont été décernés chaque année depuis 1999. Un panel international de 65 journalistes du sport automobile sélectionne les meilleurs moteurs de l’année dans différentes catégories. Cette année est la quatorzième fois au total qu’Audi a remporté ce prix mondialement reconnu.
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Nissan est récompensé pour la sixième et la septième fois par le Prix Auto Environnement MAAF avec, à la fois, la nouvelle Nissan LEAF et le nouveau Nissan e-NV200 qui sont récompensés pour cette édition 2018.
La voiture 100% électrique la plus vendue au monde s’est vue décerner un nouveau trophée. Nissan a déjà remporté le prix Auto Environnement MAAF en 2011 (Voiture Electrique) et en 2013 (Grand Prix Auto Environnement), avec la deuxième génération de la berline compacte 100% électrique. Lancée en octobre 2017, c’est la nouvelle Nissan LEAF, équipée d’une batterie 40kWh et des dernières technologies d’aide à la conduite Nissan, qui remporte le prix auto environnement MAAF dans la catégorie Compactes.
Trophées créés en 2005 par MAAF Assurances, les Prix Auto Environnement distinguent les véhicules et les innovations technologiques. Elus par un jury de spécialistes, ils sont les plus représentatifs des efforts réalisés par les constructeurs automobiles et les équipementiers pour préserver l’environnement.
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Des développeurs mobiles pour l’environnement iOS d’Apple s’organisent en «syndicat» informel et demandent au fabricant de l’iPhone de rendre accessibles les «essais gratuits» des applications aux utilisateurs pour les intéresser davantage à l’achat final. «Vivre par le développement d’applications» est devenu difficile, en particulier pour les développeurs indépendants.
Dans une lettre ouverte adressée à Apple, les initiateurs affirment avoir créé «The Developers Union» «pour défendre la durabilité dans l’App Store» en demandant au géant américain de l’électronique informatique grand public de rendre possibles les «essais gratuits» pour encourager les usagers à mieux se faire une idée sur les possibilités offertes par les applications avant de les acheter. Les développeurs sous l’environnement iOS estiment que par la création d’un «excellent logiciel», un développeur devrait «pouvoir gagner sa vie en le faisant». «Aujourd’hui, nous demandons à Apple de s’engager publiquement – avant le dixième anniversaire de l’App Store en juillet – à autoriser des essais gratuits pour toutes les applications dans l’App Store avant juillet 2019. Ensuite, nous commencerons à préconiser une réduction des revenus plus raisonnable et d’autres changements axés sur la communauté et adaptés aux développeurs», lit-on dans la lettre ouverte. Pourquoi les «essais gratuits» ? «Les essais gratuits sont un excellent point de départ pour rassembler l’élan nécessaire pour créer un changement significatif. Les essais permettent aux développeurs de montrer aux utilisateurs leur création et d’établir de la valeur. Avant iOS, les développeurs Mac comptaient énormément sur des essais gratuits, et ils pouvaient gagner leur vie tout en réalisant de bons logiciels», expliquent les initiateurs de l’appel adressé à Apple. Pour le moment, l’initiative n’est qu’à ses débuts. Lancée il y a deux semaines, elle a déjà récolté 553 signataires parmi les développeurs iOS, selon le site créé spécialement au sujet de cet appel. Mais parmi les adhérents à cette démarche, The Developers Union (qui ne se définit pas comme un syndicat classique), on dénombre de grands noms de l’environnement Mac et iOS. Parmi eux, Brent Simmons qui développe des logiciels pour les ordinateurs Apple «depuis près de 40 ans». Il est le créateur de nombreuses applications telles que NetNewsWire, un agrégateur de flux RSS pour Mac OS et iOS, mais également TapLynx (pour aider les développeurs inexpérimentés à éditer des applications iOS), MarsEdit (outil d’édition) et Vesper (un outil pour éditer des notes, des idées, des choses à faire, et les organiser en utilisant des tags pour regrouper celles qui sont en relation).
De meilleures stratégies App Store
A l’approche du dixième anniversaire de l’App Store, des développeurs d’applications iOS réclament «meilleures stratégies» pour leur permettre de «mieux gagner leur vie en tant que concepteurs d’applications indépendants». Les initiateurs veulent pousser à davantage d’essais gratuits des applications, en particulier celles qui ne coûtent pas quelques dollars seulement, et dont l’achat par l’utilisateur n’est pas évident s’il ne peut pas les tester avant. D’ailleurs, les développeurs regroupés autour de cette initiative se disent prêts à négocier une baisse de leurs partages de revenus avec Apple dans des proportions «raisonnables». Apple avait déjà donné aux développeurs d’offrir des essais d’applications gratuits pour des périodes allant de trois jours à une année, mais à la condition, pour l’usager, d’accompagner cet essai par un abonnement. Ce qui signifie que lorsque un utilisateur opte pour un essai gratuit d’une application, il doit autoriser Apple à le facturer automatiquement lorsque le délai de l’essai se termine. Pour les développeurs, la «situation idéale» serait de permettre d’offrir des essais gratuits «pour toutes les applications», à des durées déterminées et «sans obstacles qui pourraient rendre les gens hésitants à essayer leurs applications». Il faut savoir qu’en matière de revenus, Apple donne aux développeurs de l’App Store 70% de l’argent provenant de la plupart des applications, et en prend 30%. En 2016, Apple a changé cette répartition à 85/15 pour les développeurs qui sont en mesure de maintenir les abonnements à long terme. En janvier, Apple a déclaré que les développeurs iOS ont reçu un total de 26,5 milliards de dollars en 2017, en hausse de 30% par rapport à l’année précédente. Depuis la création de l’App Store, les développeurs ont gagné plus de 86 milliards de dollars.
A. Z.
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