Pour demain et bien même type de temps, dès le matin vous vous réveillerez sous un temps généralement nuageux avec des nuages assez denses près des côtes ouest en début de matinée.
Puis suivis d’une alternance d’éclaircies et de passages nuageux à partir de l’après-midi, à noter aussi quelques faibles pluies vers l’intérieur centre et ces nuages vont se déplacer vers les régions côtières du centre en fin de journée, sur la partie sud le maintien d’un temps voilé parfois orageux vers l’extrême-sud, le hoggar, le tassili et le sahara oriental, des soulèvements de sable sont prévus au sahara central.
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Considéré, du moins, par une grande partie du peuple algérien, comme l’un des meilleurs entraineurs qui sont passés par la sélection nationale, Vahid Halilhodzic revient en exclusivité au Buteur sur les présumés contacts entrepris par la Fédération algérienne de football avec lui. L’ancien coach de l’EN refuse de commenter cette rumeur et préfère montrer sa fierté d’avoir laissé une image crédible vis à vis du peuple algérien. Entretien.
Coach, jeudi dernier, votre nom a été de nouveau scandé par les fans présents à Lisbonne, une réaction même si vous y êtes maintenant habitué ?
Effectivement, j’ai eu vent de cela et croyez-moi ça me touche énormément. Les supporteurs algériens sont uniques au monde, à chaque fois que l’occasion se présente pour moi de parler avec vous j’en profite pour les saluer à mon tour et leur présenter mes remerciements les plus sincères.
Vous avez certainement eu vent de la réaction du public algérien qui a encore réclamé votre retour…
(Il nous coupe.) Ecoutez, j’ai beaucoup de respect pour ce métier d’entraineur, donc, s’il vous plait, épargnez moi. Je ne ferai pas de déclaration dans ce sens au risque d’être très mal compris, alors tout ce que je peux vous dire est que j’ai passé des moments inoubliables avec la sélection algérienne. Aujourd’hui, par exemple, j’ai reçu plusieurs appels de journalistes algériens et d’autres fans de la sélection algérienne. Pour l’instant, il ne s‘agit pour moi que de marques de sympathie qui me vont droit au cœur.
Certains affirment que vous avez été contacté. Une confirmation ?
Je n’ai absolument aucune déclaration à faire à ce propos. Vous m’avez dit que vous vouliez une réaction par rapport au public, alors je réitère mes remerciements au peuple algérien et je le remercie pour son soutien qui n’a jamais cessé, il faut le dire, depuis mon départ en 2014.
Justement, on vit toujours avec ce souvenir du Brésil 2014, et d’aucuns pensent que depuis votre départ la sélection algérienne ne joue plus sur sa véritable valeur…
Je suis vraiment triste et déçu des résultats réalisés par cette équipe car j’estime en toute honnêteté qu’il y avait le potentiel pour bien faire. Dommage ! Mais bon, il faut travailler beaucoup et préparer l’avenir avec plus de sérieux. Le peuple algérien est connaisseur contrairement à vous les journalistes (Rires.) Vous m’avez critiqué, mais j’ai tourné la page parce que je sais que cela fait partie du métier. Maintenant, lorsque je reçois des appels des journalistes je suis content et heureux d’avoir laissé malgré tout une belle image. Merci à vous et faites passer mes chaleureuses salutations au public algérien que je porterai toujours dans mon cœur.
Merci beaucoup, coach, et sachez que votre trophée vous attend toujours…
Merci, promis, je viendrai peut-être bientôt à Alger le récupérer (il rit franchement). Allez au revoir et merci encore, à la prochaine !
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Malgré la baisse en volume par rapport à l’année 2016, les IDE ont connu une diversification dans les domaines d’activité en 2017.
L’investissement direct étranger (IDE) n’a pas connu le boom espéré en 2017 en Algérie. Il n’a été en effet que de 1,2 milliard de dollars, a indiqué la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (Cnuced) dans son dernier rapport. Le taux en question a connu ainsi, une régression de 26% par rapport à l’année 2016 où il était de 1,6 milliard de dollars.
Les IDE captés par l’Algérie en 2017 ont connu toutefois une certaine diversification dans les créneaux d’activité, mentionne l’Organisation onusienne. «En 2017 la diversification des investissements directs étrangers en Algérie a été soutenue par les IDE consentis par le groupe de télécoms chinois Huawei et le sud-coréen Samsung qui a ouvert sa première usine de montage de smartphones dans le pays», précise la Cnuced. Selon la Cnuced les IDE pourraient bien rebondir en 2018 en Algérie. La révision de la loi sur les hydrocarbures en cours d’achèvement va booster l’attractivité de l’Algérie.
«Les amendements proposés à la loi sur les hydrocarbures pourraient faire augmenter considérablement la participation étrangère dans le secteur pétrolier du pays à l’avenir», souligne la Cnuced faisant observer toutefois que les IDE en Algérie dépendent fortement de l’investissement dans le secteur pétro-gazier. Le recul des IDE en Algérie a été, note le rapport en question, enregistré dans le sillage d’une baisse généralisée de l’investissement direct étranger en Afrique. Les flux captés par le continent ont chuté en effet à 42 milliards de dollars en 2017, soit une baisse de 21% par rapport à 2016, relève le rapport. «La faiblesse des prix du pétrole et les conséquences négatives de la récession du secteur des matières premières sur le plan macroéconomique ont favorisé la contraction des flux dans les principales économies africaines», explique la Cnuced.
Pour rappel, c’est l’Egypte qui est arrivée en tête des pays de l’Afrique du Nord en termes de captivité des IDE. Au sujet du classement des pays, il y a lieu de relever que les investissements directs étrangers en Algérie se font avec l’apport de l’Etat et ce, conformément à la règle des 51/49%. Cela veut dire que le montant de 1,2 milliard de dollars est à multiplier fois deux. Par ailleurs, il est à souligner que le gouvernement algérien bien que favorable au renforcement des IDE, ne base pas pour autant son économie sur ces derniers. «L’édification d’un pays ne pourra jamais se faire par des étrangers», a-t-on pu entendre à maintes reprises le président de la République et le Premier ministre Ouyahia s’exprimer sur la question.
L’instauration de la règle 51/49% en est d’ailleurs la parfaite illustration. Cela ne veut pas dire que le gouvernement n’a pas prévu des mesures incitatives pour attirer des investissements étrangers. Le gouvernement prévoit bien au contraire un bouquet d’avantages pour ces derniers. Outre la mise à leur disposition du foncier industriel et agricole, le gouvernement prévoit plusieurs avantages d’ordre fiscal, l’accès aux crédits bancaires, la baisse des impôts et la sécurité. «Le gouvernement algérien aura toujours besoin des IDE pour le transfert, de savoir-faire et de la technologie», signifient de leur côté les économistes. Les IDE contribuent aussi à la création de la richesse et de l’emploi. Les entreprises chinoises sont le meilleur exemple à donner dans ce sens.
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Le secteur de l’énergie a connu une quasi-stabilité de la production des hydrocarbures et une augmentation de la consommation d’énergie en 2017, selon le ministère de l’Energie.
Pour la branche hydrocarbures, la production commerciale primaire a été de 164 millions de tonnes équivalent pétrole (TEP), contre 165 millions de TEP en 2016 (-0,8%), indique la revue « Algérie énergie » éditée par ce ministère.
La hausse de la production du gaz naturel a partiellement compensé la baisse de production des autres produits, dont celle du pétrole brut induite par l’application de l’accord de réduction de la production de l’Opep.
Concernant l’activité de forage d’exploration, elle a connu une baisse de 9% avec 324 km forés, « en ligne avec la priorité d’orienter les efforts vers le développement des gisements afin de booster la production à moyen et long termes ».
Cela s’est traduit par une hausse substantielle (+17%) du forage de développement qui a permis la complétion de 230 puits en 2017 contre 196 puits en 2016.
En terme de renouvellement des réserves, l’effort a donné lieu à 33 découvertes d’hydrocarbures réalisées toutes par Sonatrach seule. Il s’agit de vingt (20) découvertes d’huile et de treize (13) de gaz à condensat et/ou d’huile.
S’agissant de l’activité transformation, la production des produits raffinés a baissé à 28,5 millions de tonnes en 2017, contre 29,1 millions de tonnes en 2016 (-2,1%), due à l’arrêt pour maintenance des unités de reforming des raffineries de Skikda, de Hassi Messaoud et d’Adrar.
En matière de liquéfaction, la production de GNL a grimpé à 27 millions de m3 en 2017 contre 25,5 millions de m3 en 2016 (+6%).
Cependant, la production nationale de Gaz de pétrole liquéfié (GPL) a diminué de près de 2% pour s’établir à 9 millions de tonnes.
Pour la production pétrochimique, elle a connu une forte baisse de l’ordre de 30% en s’établissant à 2,7 millions de tonnes, suite à la chute de la production d’urée (-35%) et d’ammoniac (-30%).
Par ailleurs, la branche électricité et distribution du gaz naturel a poursuivi son développement durant l’année 2017, avec la réception de nouvelles centrales électriques et l’extension des réseaux d’électricité et de gaz.
Les capacités additionnelles de ces nouvelles centrales ont porté la puissance totale installée à 19.500 MW en 2017 contre 18.971 MW en 2016 (+2,6%).
En matière d’accès à l’énergie, le nombre d’abonnés a été de 9,2 millions pour l’électricité et de 5,3 millions pour le gaz naturel.
Ce qui dénote une croissance de 4% pour l’électricité et de 7% pour le gaz par rapport à 2016, portant les taux de raccordement à plus de 99% pour l’électricité et de 57% pour le gaz naturel.
==Hausse de la consommation énergétique==
La consommation nationale d’énergie a enregistré une hausse modérée de 1,5% en 2017 pour atteindre 57 millions de TEP, tirée essentiellement par la consommation de gaz naturel, alors que celle des produits pétroliers a baissé.
L’année 2017 a ainsi constitué la deuxième année consécutive où la demande des produits pétroliers sur le marché national a connu une baisse suite au relèvement des prix des carburants.
Pour l’électricité, la consommation a connu une hausse de 10% comparativement à l’année 2016, pour se situer à 60 GW. Elle a été tirée par la demande des clients de la haute tension avec une hausse de 20%.
La demande a enregistré des pics en termes de Puissance maximale appelée (PMA) durant la saison estivale de 2017 en atteignant un pic de 14,2 GW, en forte hausse (+11%) par rapport à la pointe de l’été 2016 qui fut de 12,8 GW.
Concernant le gaz naturel, la consommation nationale a atteint 40,4 milliards m3 en 2017 (+2,8% par rapport à 2016).
S’agissant du volume global des exportations des hydrocarbures, il a atteint 109 millions TEP en 2017 contre 111 millions TEP en 2016 (-2,3%).
Toutefois, la valeur de ces exportations a fortement augmenté pour atteindre 33,2 milliards de dollars en 2017 contre 27,9 milliards de dollars en 2016 (+19,2%).
Cette augmentation de la valeur des exportations en dépit de la baisse du volume exporté s’explique par la hausse importante des prix de pétrole.
En effet, le prix du pétrole brut exporté a atteint une moyenne de 53,9 dollars/baril en 2017, contre 44,85 dollars/baril en 2016, reflétant un gain de plus de 9 dollars/baril.
Concernant les exportations hors-hydrocarbures du secteur, elles ont baissé de 19,2% à 568 millions de dollars (62,9 milliards DA) en 2017, suite à la chute des exportations des produits pétrochimiques.
En matière d’importation, le secteur a importé 3,6 millions de tonnes de produits pétroliers en 2017, en baisse de 5% en terme de volume, en raison de la baisse des importations de gas-oil (-3,1%) et d’essence (-3,4%).
Mais en terme de valeur, ces importations ont haussé de 16% en s’établissant à 1,8 milliard de dollars, en ligne avec l’augmentation des prix sur le marché international.
Concernant les investissements, le secteur de l’énergie a mobilisé un montant global de 11,6 milliards dollars, en baisse de 7%.
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Deux narcotrafiquants ont été arrêtés et plus de 240 kilogrammes de kif traité ont été saisis par un détachement de l’Armée nationale populaire (ANP) et des éléments de la Gendarmerie nationale, vendredi à Tlemcen, indique samedi un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN).
« Dans le cadre de la lutte contre la contrebande et la criminalité organisée, un détachement de l’Armée nationale populaire et des éléments de la Gendarmerie nationale ont arrêté, le 08 juin 2018, à Tlemcen (2ème Région militaire), deux (2) narcotrafiquants et ont saisi un véhicule utilitaire chargé de 240 kilogrammes et 790 grammes de kif traité », précise le communiqué.
De même, un détachement de l’ANP « a saisi un camion chargé de six (6) tonnes de denrées alimentaires à Ain Guezzam (6ème Région militaire) », note la même source.
Par ailleurs, des détachements de l’ANP et des éléments de la Gendarmerie nationale « ont arrêté vingt-huit (28) immigrants clandestins de différentes nationalités à Tlemcen et Ouargla », ajoute le communiqué.
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Selon Nouredine Bedoui, cette situation est le fruit de diverses mésententes entre les membres qui constituent ces APC.
Le ministre de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire, Nouredine Bedoui, a évoqué jeudi dernier, à Alger, la confusion qui règne en maître dans de nombreuses Assemblées populaires communales (APC), amenant certaines à la paralysie totale. S’exprimant au Sénat, ce dernier a minimisé la situation en affirmant que «ces cas ne dépassent pas le taux de 2,2%, soit 34 sur 1 541 APC.» Il a ainsi précisé que «seulement sept connaissent une paralysie de la plupart de leurs activités et le recours à des instances de délibération».
Selon Noureddine Bedoui, cette situation est le fruit de diverses mésententes entre les membres qui constituent ces APC.
A ce titre, le responsable a rappelé que l’installation des Assemblées populaires communales s’est faite après l’annonce des résultats définitifs des élections du 23 novembre dernier. «35 communes n’ont pas encore installé les commissions prévues par le nouveau Code communal de 2016 à cause des désaccords entre les membres de la majorité et le président», a-t-il avancé. Il a fait remarquer par ailleurs, qu’hormis les sept APC qui font l’objet d’un blocage, «les problèmes des 28 autres assemblées n’ont pas impacté le déroulement normal de leurs activités et la prise en charge des préoccupations des citoyens car les autorités locales ont mis en oeuvre les dispositions du pouvoir de substitution du wali prévues par le Code communal». Donnant davantage de détails, Nouredine Bedoui a expliqué que «le wali peut prendre, pour tout ou partie des communes de la wilaya, lorsqu’il n’y aurait pas été pourvu par les autorités communales, toutes les mesures relatives au maintien de la sécurité, de la salubrité et de la tranquillité publiques et à la continuité du service public, notamment la prise en charge des opérations électorales, le service national et l’état civil».
Il rassure encore en affirmant que toutes les mesures légales ont été prises pour garantir le fonctionnement normal des services de la commune et des services publics en relevant pour servir le citoyen et ce en mandatant leurs gestionnaires selon le cas, soit au chef de daïra, au secrétaire général de la commune ou à l’attaché administratif. Il fait savoir dans ce sens que les acteurs locaux et les autorités locales conjuguent leurs efforts dans l’optique de «parvenir à un consensus dont la finalité est de «faire prévaloir l’intérêt général sur les intérêts personnels».
Signalant le «faible nombre» d’APC n’ayant toujours pas installé leurs commissions, Nouredine Bedoui garantit que son département veille à «lever tous les obstacles qui empêchent leur installation». A ce propos, il a lancé un appel aux députés, aux élus locaux et aux partenaires politiques à «exhorter les concernés à surmonter leurs différends».
Il faut rappeler que le problème lié au blocage des APC survient de manière récurrente. En 2016, le décret ayant été promulgué à la date du 23 mars, a stipulé qu’en cas de graves désaccords entre les membres, qui tendent à entraver le déroulement normal des organes de la commune et après mise en demeure de l’Assemblée par le wali, restée sans effet, cette Assemblée communale ou de wilaya sera dissoute et pourra être renouvelée. Cependant, le blocage perdure et continue à ce jour de paralyser les APC au niveau national. Dans certaines communes, quelques membres d’APC tentent tant bien que mal de débloquer la situation, mais sans succès, ne parvenant toujours pas à apaiser les tensions.
Par ailleurs, Nouredine Bedoui s’est également exprimé, lors d’une séance plénière au Conseil de la nation, sur des cas d’agressions contre les agents de police dans l’exercice de leurs fonctions qui sont «quasi inexistantes». Tout en parlant de quelques agressions verbales, il a souligné que cela «ne constitue pas un phénomène ou une préoccupation. Concernant les mécanismes de protection des agents de police lors de l’exercice de leurs activités quotidiennes, il a insisté sur le fait que ces derniers disposent de toutes les garanties et exercent pleinement leurs fonctions. Il précisera d’ailleurs que «les auteurs d’agression contre un agent de police sont poursuivis en justice».
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Onze personnes ont trouvé la mort et 9 autres ont été blessées dans 11 accidents survenus au cours des dernières 48 heures sur le territoire national, indique samedi un bilan établi par les services de la Protection civile.
La wilaya de Bejaia déplore le bilan le plus lourd avec le décès de 2 motocyclistes heurtés par un bus, sur la RN 26, dans la commune d’Ifri Ouzellaguene.
Par ailleurs, et durant la même période, les secours de la Protection civile de la wilaya de Sidi Bel Abbes sont intervenus pour prodiguer des soins de premières d’urgence à 7 personnes, membres d’une même famille, incommodées par l’inhalation de monoxyde de carbone, émanant d’un chauffe-bain à l’intérieur de leur domicile.
En outre, et à Bouira, le corps sans vie d’un adolescent, noyé dans une retenue collinaire, a été repêché dans la commune de Sour El Ghozlane.
La même source relève que les éléments de la Protection civile ont, depuis le 1er Juin 2018, sauvé 43 personnes de noyades dans des plages surveillées, alors que 78 autres ont reçu des soins de première urgence, au moment où 3 autres ont péri, noyées dans des plages interdites à la baignades à Tlemcen et à Jijel.
Le bilan de la Protection Civile signale, par ailleurs, le décès de 4 personnes, dont 3 ayant péri dans des mares d’eau et une autre dans une retenue collinaire, dans les wilayas de Bouira, Tiaret, M’Sila et Relizane.
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Mardi, la disparition d’un bébé de 18 mois a mis en émoi la population de Zemmouri (est de la wilaya de Boumerdès) et a déclenché une situation d’alerte maximale chez les services de sécurité.
Après que le père eut constaté que son fils a disparu, il a déposé une plainte auprès des gendarmes de la localité. L’information sur la disparition du bébé a très vite circulé laissant craindre le pire. Le kidnapping était une éventualité. Immédiatement, les gendarmes ont lancé une opération de recherche mais, en parallèle, ils ont commencé à interroger l’entourage de l’enfant.
Finalement, les enquêteurs se sont aperçus que c’est la mère du bébé qui est en difficulté avec son époux, le père de l’enfant et qui l’a évacué vers la ville d’El-Harrach (wilaya d’Alger) pour le soustraire à ce dernier.
A. L.
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Comme il met également en action des dispositifs et des mécanismes à même de garantir la sécurité socio-économique du pays.
Répondant à une question orale relative à la création de centres d’études stratégiques, le Premier ministre, Ahmed Ouyahia, a indiqué lors d’une séance plénière du Conseil de la nation que «le gouvernement va de l’avant dans sa démarche pour la prise de mesures anticipées et la mise en action de dispositifs et de mécanismes à même de garantir la sécurité socio-économique du pays».
Ces mesures s’inscrivent dans le cadre «d’une démarche intégrée et cohérente qui veille à l’implication de toutes les parties concernées dans l’élaboration d’études analytiques et de recherches stratégiques et prospectives, au service du processus de développement national durable et de l’intérêt suprême du pays», a-t-il estimé. «Les changements et les développements internationaux et nationaux dans les différents domaines, notamment sur le plan économique, ont souligné le besoin de procéder à des études prospectives, afin d’éclairer les centres de prise de décision», a-t-il précisé.
Il a ajouté que cela a «incité les pouvoirs publics à oeuvrer à la réunion de toutes les conditions nécessaires à leur réalisation». Dans ce cadre, il a indiqué que les pouvoirs publics s’étaient attelés depuis 1984, à l’institution d’un dispositif de veille, appelé «Institut national d’études de stratégie globale (Inesg)», chargé de l’observation de toutes les orientations socio-économique, financière, technologique et culturelle, pour leur permettre d’approfondir et de peaufiner leur vision générale du processus de développement national et d’être au diapason des évolutions afin de préserver l’intérêt suprême du pays». Créé par décret n°84-392, «l’Inesg est une institution à caractère scientifique jouissant d’une personnalité morale et de l’autonomie financière, placée sous la tutelle du président de la République».
Aussi, cet organisme tend «à identifier les facteurs et les mutations qui impactent la vie politique, économique, sociale et culturelle, pour les analyser, en coordination et en concertation avec les différents secteurs et instances concernés».
L’institut a pour mission d`effectuer des études prospectives sur la société algérienne et son évolution, outre une évaluation globale du développement national, tout en réalisant des études et des recherches à même de contribuer au développement de l’environnement national et à la promotion des relations internationales, à travers l’actualisation de la stratégie nationale globale en matière de développement et des politiques adoptées par les différents partenaires de l’Algérie et l’évaluation de leurs résultats aux niveaux sécuritaire et économique du pays».
L’institut a pour rôle également «d’engager une réflexion dans le domaine des relations internationales et les questions de défense et de sécurité en ce qui concerne leur évolution et leur implication sur la politique nationale et internationale de l’Algérie».
Les missions de cet institut sont intégrées «dans une démarche globale destinée à déterminer les différentes possibilités ou moyens d’action permettant d’anticiper et de faire face aux événements. Et partant, impulser toute initiative visant à sauvegarder et renforcer l’intérêt national», a-t-il affirmé.
Il existe, selon le Premier ministre, plusieurs autres structures au niveau des différents départements ministériels, chargés de la mission de prospection et d’anticipation dans des domaines précis, à l’instar de la direction générale de la prospection et des études au niveau du ministère des Affaires étrangères.
Parmi ces structures également la direction générale de la prévision et des politiques relevant du ministère des Finances, chargée d’élaborer les prévisions de macroéconomie et une évaluation des politiques budgétaires et fiscales du pays.
Il s’agit aussi de la direction générale de l’économie numérique relevant du ministère de la Poste, des Télécommunications, des Technologues, et du Numérique, et des TIC, qui veille à l’élaboration «d’une politique nationale de promotion de l’économie numérique et des nouvelles technologies» et de la direction du développement et de la prospection au niveau du ministère de l’Enseignement supérieur en charge des études prospectives visant à promouvoir les activités du secteur.
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Bagarre mortelle. Mardi 5 juin, un jeune homme de 26 ans a été mortellement poignardé lors d’une altercation avec son voisin de 34 ans dans le bourg de Sidi-Ladjel, relevant de la commune de Sayada.
Le fil de l’évènement tragique qui a conduit au meurtre fait suite à une dispute qui a dégénéré avant la rupture du jeûne le 21e jour du Ramadhan.
L’origine n’est pas connue mais une source proche de la victime évoque une somme d’argent de seulement 300 DA non remboursée.
La violence de l’agression avec une arme blanche était inouïe, la victime, touchée mortellement, a subi plusieurs coups de couteau. Placé en garde à vue dans les locaux de la gendarmerie, le mis en cause a avoué son geste mais il n’a pas donné d’explication pour le justifier.
Présenté mercredi devant le procureur, il a été mis sous mandat de dépôt pour meurtre avec préméditation.
A. B.
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Dans la journée de jeudi dernier, la cité des 140 logements de la ville de Sidi-Bel-Abbès n’est pas près d’oublier la tentative de vol d’un véhicule dans lequel se trouvait un enfant de 8 ans, et en plein jour.
Selon le communiqué de la cellule de la Sûreté, l’enfant âgé de 8 ans était tranquillement assis dans un véhicule léger de type Hynlux stationné dans la cité, son père étant parti faire des courses, lorsqu’un individu âgé de 22 ans s’est mis aux commandes de la voiture et parti en trombe sous le regard médusé des voisins.
Aussitôt l’alerte donnée, les voitures de police qui patrouillaient ont resserré l’étau autour du véhicule signalé et après une course poursuite effrénée, le véhicule a été immobilisé, le conducteur arrêté et l’enfant choqué pris en charge.
Pour réduire la gravité de son acte, le mis en cause a déclaré qu’il visait seulement le véhicule qu’il voulait voler. L’enquête diligentée permettra de cerner réellement l’intention de ce dernier.
A. M.
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Un homme s’est donné la mort, dans la soirée d’hier vendredi, à l’intérieur de la mosquée de la Mecque (Arabie Saoudite), lieu le plus sacré de la religion musulmane, ont fait savoir les autorités saoudiennes.
Les mêmes sources ont indiqué que l’homme était originaire d’un pays d’Asie Centrale, sans toutefois préciser de quel pays il s’agit. Il se serait donné la mort après la prière du soir en sautant de l’un des étages de la mosquée de la Mecque, a-t-on précisé.
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Cinq jours sans Internet, même s’il ne s’agit que de réseaux sociaux, cette coupure demeure une atteinte aux droits numériques des citoyens et des entreprises.
C’est sans penser aux conséquences économiques des entreprises et aux désagréments des abonnés que Houda Imane Faraoun, ministre de la Poste, des TIC et du Numérique, annonce la décision de bloquer Facebook et Twitter durant les cinq jours du bac ; un blocage d’une heure à chaque début d’épreuve. Elle justifiera sa décision par le souci d’“éviter tout ce qui peut entacher l’examen scolaire (bac)” ; un remake de l’année dernière et celle d’avant et celle qui l’a précédé puisque çela dure depuis trois ans sans que l’on puisse trouver une solution définitive à ce problème.
Houda Imane Faraoun dispose, pourtant, de tout un département dédié au numérique qui gagnerait, entre autres, à se pencher sérieusement sur la question au lieu de recourir à des solutions de facilité sans tenir compte des pertes considérables en termes économiques. C’est du moins ce que s’accordent à dire les experts du domaine sollicités, à l’occasion, pour se prononcer sur la question. “Les solutions existent.
Seulement elles ne se préparent pas à la veille d’un examen. Elles nécessitent un cadre de réflexion que les pouvoirs publics n’entament pas”, nous a déclaré Farid Farah, enseignant chercheur et spécialiste des TIC. Celui-ci explique qu’“il faudra bien un jour régler le problème de l’utilisation d’un smartphone pour commettre des actes illicites qu’il s’agisse de triche lors de l’examen du bac ou autre”.
Pour le cas précis (le bac), Farid Farah parle de la solution humaine qui consiste à empêcher les candidats d’introduire des smartphones et autres terminaux ou alors l’installation de détecteurs d’ondes (détectent les smartphones et même les appels dans un périmètre limité). “C’est une opération qui demande en effet une grande logistique pas toujours évidente, ce qui enlève de l’efficacité au procédé”, notera-t-il tout en exposant la solution la plus radicale : “La solution technique suppose l’implication de plusieurs parties et consiste à recenser les centres d’examen autant que les antennes des opérateurs à proximité de ces lieux et diminuer la puissance des émetteurs de façon à rendre la connexion caduque sans pour autant que les appels soient suspendus pour éviter d’isoler les centres d’examen”.
Bien entendu, tous ces procédés nécessitent des lois pour ne pas bafouer les droits des uns et des autres. Un principe que la ministre choisit d’ignorer puisqu’elle a décidé de recourir à des coupures sans se référer à une loi donnant ainsi plus de mauvais signes aux éventuels investisseurs étrangers. “Ce filtrage applicatif ne marchera pas car les réseaux sociaux ne s’arrêtent pas à Facebook et Twitter. Je suppose alors que la coupure concernera Internet carrément et ça ne marchera pas non plus car, il existe d’autres moyens comme les VPN, les proxys et autres accès pour contourner cette coupure”, a soutenu, pour sa part, Iheb Tekkour, spécialiste en nouvelles technologies. Notre interlocuteur qui s’est indigné de l’annonce de la ministre de la Poste, des TIC et du Numérique au moment où le pays s’apprête à se lancer dans le e-commerce.
“Qu’il s’agisse d’ignorance ou d’indifférence, dans les deux cas, il est grave pour le pays de recourir à de pareils procédés pour régler un problème qui devrait être pris en charge par la ministre de l’Éducation. Les fuites existent aussi pour l’examen de sixième. C’est donc un problème que Benghabrit devrait régler en interne”.
Nabila Saïdoun
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Les policiers de la Sûreté urbaine de la commune de Hammadi, dans l’ouest de la wilaya de Boumerdès, ont mis fin aux agissements criminels d’un homme d’une quarantaine d’années qui arnaquait des jeunes filles en leur promettant le mariage.
Le territoire national était son terrain de prédilection et les réseaux sociaux en sont le moyen. C’est à la suite de la plainte de l’une des victimes que les policiers ont arrêté l’arnaqueur qui résidait dans la commune de Ouled-Moussa. Après avoir noué des relations avec la plaignante par le biais d’un réseau social, il lui a promis le mariage.
Arguant les préparatifs des noces, il a réussi à lui soustraire, en plusieurs fois, la somme de 60 millions de centimes. Comme la jeune fille ne voyait rien venir au sujet de ce mariage, elle devenait de plus en plus pressante. Sur ce, le délinquant passera carrément au chantage. Il menaçait sa victime de publier sur les réseaux sociaux des photos qu’il lui a subtilisées sur son portable. Plus grave, il a encore exigé de l’argent pour s’abstenir de publier ces photos.
Fort heureusement, la victime a eu un moment de courage et de lucidité et s’en est allée raconter sa mésaventure. Après investigations, les policiers se sont aperçu que l’escroc a d’autres victimes, à travers d’autres régions du pays. A l’issue de l’enquête, le suspect a été présenté au procureur du tribunal de Rouiba qui l’a placé sous mandat de dépôt.
Abachi L.
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Le journal télévisé de l’ENTV de mardi dernier, essentiellement consacré à la réunion du Conseil des ministres, est particulièrement édifiant quant à la mauvaise posture actuelle d’Ahmed Ouyahia.
En effet, à aucun moment, le téléspectateur n’a eu droit à un gros plan du Premier ministre que l’on ne verra que de manière furtive, contrairement à tous les autres membres du gouvernement, y compris les plus modestes d’entre eux. Quand on sait que les images des activités présidentielles font l’objet d’un montage extrêmement minutieux, cela se passe de tout commentaire.
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Une source proche du Bureau fédéral a confié, hier, à “Liberté” que l’officialisation du limogeage de Rabah Madjer et de l’ensemble de son staff n’est plus qu’une question de jours.
S’il subsistait encore un petit soupçon de doute aux yeux des Algériens quant à l’avenir du coach national à la tête de la sélection algérienne à la veille de la confrontation amicale contre le Portugal, jeudi soir à l’issue de la quatrième défaite consécutive des Verts, l’incertitude s’est définitivement dissipée. Rabah Madjer quittera bel et bien la barre technique des Verts sept mois après avoir été coopté en dépit d’une grande réticence des spécialistes qui remettaient en cause d’emblée ses aptitudes managériales et techniques à driver la sélection algérienne. La pâle prestation des camarades de Brahimi à Lisbonne a même transformé l’option déjà prise par la FAF, suite à la déconfiture contre le Cap-Vert en une exigence populaire.
Il n’y a qu’à jeter un coup d’œil sur les réactions et commentaires qui ont suivi la rencontre de jeudi soir pour se rendre compte de l’ampleur de la colère de la rue.
Une source proche du bureau fédéral a confié hier à Liberté que l’officialisation du limogeage de Rabah Madjer et de l’ensemble de son staff n’est plus qu’une question de jours.
Celle-ci pourrait même intervenir avant l’Aïd alors que d’autres sources affirment que l’annonce officielle de la séparation sera faite le 23 juin à l’issue de la réunion du bureau fédéral de la FAF.
Il faut rappeler à ce titre que la FAF avait déjà indiqué lundi en réaction aux informations faisant état justement du départ imminent de Madjer “que toutes les décisions engageant l’avenir du football national et de l’équipe nationale sont de la seule et unique souveraineté du Bureau fédéral de la FAF comme stipulé dans l’article 36 des statuts de la Fédération algérienne de football” ouvrant donc implicitement la brèche au limogeage de Madjer.
Il part avec une indemnité de 800 millions
En attendant, selon notre source, Madjer a été informé hier par le président de la FAF, Kheirredine Zetchi de la décision de la fédération de mettre un terme au contrat liant les deux parties qui courait jusqu’à juillet 2019. La FAF est d’autant plus à l’aise pour rompre le contrat dans la mesure où contrairement au cas de l’ex-coach national, Lucas Alcaraz, cette fois-ci elle a tenu à inclure dans le contrat un article ayant trait aux conditions de rupture de contrat unilatéral.
Ce point offre en effet la possibilité à la FAF la possibilité de résilier le contrat contre le payement de deux mois de salaire à Madjer, soit 800 millions de centimes. Alors que si Madjer démissionne, ce qu’il refuse de faire pour le moment, en témoigne ses déclarations d’après-match contre le Portugal, il aurait été obligé de payer la même somme à la fédération comme indemnité de rupture unilatéral de contrat.
Pour la petite histoire, notre source assure qu’au début des négociations, Madjer avait réclamé le même salaire qu’Alcaraz (60 000 euros) et un contrat de longue durée, soit jusqu’à la fin des éliminatoires du Mondial 2022 mais avec des objectifs intermédiaires.
“La FAF ne peut pas se permettre de maintenir Madjer à son poste devant la débandade généralisée qui s’est installée dans la maison des Verts. Les choses sont devenues incontrôlables. Il fallait réagir d’autant plus que la pression populaire devenait de plus en plus pressante et insoutenable. La séparation devient une urgence pour une fédération qui risque d’être emportée elle-même dans cette vague de contestation”, assure notre source.
SAMIR LAMARI
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Au moins 750 écoles ont été fermées depuis le début de la crise sécuritaire au Mali, privant plus d’un million d’enfants de scolarité, a déploré jeudi le Fonds onusien pour l’enfance (UNICEF).
Dans les zones touchées par la crise, cela affecte près de 150.000 enfants, chose qui aggrave le problème global des enfants non scolarisés dont 22% vivent dans les régions touchées par l’insécurité, relève l’UNICEF dans un communiqué. Ainsi, dans les régions septentrionales du pays, comme à Tombouctou, Gao, Ménaka, Taoudéni et Kidal, mais aussi dans les provinces centrales de Mopti et de Ségou, « se rendre parfois à l’école relève du défi quotidien »
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